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oìxante-sixième année - Anno VIIP.
25 Avril 1930
N“ 15
SSANT CHAQUE VilNDREDI
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Le numéro: 25 centimés 'wo
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..,, dignes de louanges, occupent vos pensées (Phil. IV, 8).
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Le regard sur Jésus.
Raton dit quelque part que si la vertu,
dans sa beauté primitive, pouvait se présenter aux yeux des hommes', elle s'eraparerait aussitôt de leur adimiration et de
leurs hommages. Ce philosophe jugeait
trop favorablement de notre espèce. Le
modèle parfait de vertu et d’excèUence
morale a été présenté au monde, il y a
20 siècles ; mais le monde n’a pas été conquis entièrement. Et combien nous, chrétiens, ayons besoin de regarder à Jésus
î»our reproduire en nous de mieux en
mieux son image parfaite!
L’un des traits les plus remarquables
dans le caractère de Jésus-Christ est sa
soumission à la volonté de son Père. Il
ne vivait que pour le faire ; c’était sa
nourriture, disait-il lui-même; c’était son
occupation die tous lés instants. Rien ne
pouvait l’en détourner. A table avec ses
disciples, au temple, sur la montagne, par
le chemin, la nuit, le jour, entrant en
triomphe à Jérusalem, priant au Gethsémané, sur la croix, Jésus est toujours le
même : -il accomplissait la volonté du Père
qui l’avait envoyé. Sa pensée ne peut rien
créer de plus sublime que l’unité de cette
grande intention.
Cette soumission de JésiK était soutenue par une confiance entière en Dieu.
Malgré l’opposition des juifs et l’aveuglement des apôtres, Jésus, s’appuyant ¿ans
relâche sur son Père, persévérait dans
l’œuvre qui lui était donnée à faire. Trahi
par l’un des siens, abandonné par les autres, angoissé au point de s’écrier avec
douleur : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi
na'as-tu abandonné ?, sa confiance demeura
cependant entière ; et par ces paroles prononcées sur la croix ; « Tout est accompli », il reconnut l’immutabilité des conseils de Dieu, et il leur rendit témoigtuage
de sa voix mourante.
Nous devons faire observer ici que l’espérance d’une gloire à venir, que quelques' personnes ont représentée comme un
motif mercenaire d’obéissance, était forl
différemment estimée par Jésus, qui connaissait la valeur de l’héritage promis :
« A cause de la joie qui lui était proposée, est-ü dit, d' a souffert la croix, méprisant l’ignominie ». Peut-être n’a-t-on
pas toujours assez insisté sur la place que
l’espérance doit tenir dans le caractère
chrétien : Saint-Paul, quand il priait pour
les Ephésiens, demandait à Dieu « qu’il
éclairât les yeux de leur cœur et leur fît
connaître quelle est l'espérance à laquelle
ils étaient appelés ».
Jésu's-Christ nous a déclaré qu'amer
'^ieu de tout notre cœur, c’est le premier
jet grand commandement. Aimé lui-même
^e Dieu comme son fils unique, il rendait
a son Père un amour incommensurable ;
toutefois, il est à remarquer que son amour
n’a jamais eu rien d’exalté et qu’il se mar
nifeste par l’enthousiasme serein avec lequel Jésus accomplissait tout ce qu’il savait être la volonté de son Père. Cet
amour était chez lui un principe d’action,
et non une source d’émotion : et il en résultait une satisfaction d’âme intime qui
lui permettait de soutenir le choc 4es
oppositions des adversaires et du tumulte
du monde.
Nous savons peu de chose des exercices
de dévotion de Jésus-Christ : il paraît, cecependant, qu’indépendamment de la communion continuelle dans laquelle ü était
avec son Père, jl s’approchait de lui par
des prière fréquentes ; qu’il se levait souvent avant le jour afin de s’y livrer plus
intensément. Si Jésus priait ainsi, quel
besoins «’'avons-nous pas nous-mêmes de
prier ? Avec quelle instance il nous faut
solliciter les secours que lui-même réclamait avec tant d’ardeur!
OOO'-O'OO-O-OO^O'OOOO-O.O ■0-0--00-0
La théologie Tandoise
à partir de 1630.
Les conséquences de la peste de 1630
eurent une très grande influence sur la
vie ecclésiastique et religieuse aux ¡Val-lées Vaudoises.
Les plasteurs suisses et dauphinois, qui
vinrent aux Vallées remplacer ceux qui
avaient succombé, refusèrent de se soumettre à la discipline rigide de Tanicienne
Eglise Vaudoise, demeurée en vigueur
j'usqu''alors, et dont plusieurs prescriptions tombèrent désormais en désuétude.
Après les massacres de 1655, lorsqu’ils
voulurent intéresser à leur sort les -autres
Eglises protestante, les pasteurs vaudois
pensèrent à une nouvelle rédaction de la
Confession de foi, d'autant plus que les
synodes l'avaient, à plus d’une reprise, retouchée. Mais cette Confession, probablement rédigée à Genève, demeure entièrement calviniste et ne diffère guère de la
précédente que dans la répartition en
articles.
Les nombreux ouvrages polémiqLies que
Güles, Gros et Léger composèrent contre
les capucins, ne contiennent aucune donnée théologique originale, pas plus que
ceux qui furent écrite, entre 1666 et 1680,
contre le pasteur apostat Matthieu Danne
et le moine récollet Faverot. Thomas Gautier, pasteur de Fénestrelles, chargé par
les Vallées de répondre à ce dernier, le
fit dans un fort volume de 834 pages, qui
parut à Genève en 16T9. Lorsque la Révocation de l’Edit de Nantes le força à
émigrer, Gautier, invité par le landgrave
de Hesse, occupa avec distinction une
chaire de 'théologie dans l’Université de
Marburg, de laquelle il devint le doyen
et recteur. Les provocations de Faverot
amenèrent, d’ailleurs, le synode des Clos,
de 1667, à énumérer les erreurs par lesquelles advient la séparation d’avec l’Eglise,
Si l’Eglise Vaudoise garda officielement
la rédaction calviniste des dogmes réformés, fl ne pouvait cependant pas ne pas
y avoir quelque indépendance de pensée
chez les pasteurs, qui avaient poure'uivi
leurs études de théologie dans tant de facultés différente : Genève, Lausanne, Zurich, Bâle, Groningue, Die, Nîmes. Ughetto
et Balcet nous ont fourni des exemples.
Un autre cas se présenta lorsque les candidats, qui avaient fréquenté l’Académie de
Saumur, rentrèrent aux Vallées imbus de
l’enseignement du célèbre Amyrant, qui
avait suscité, dans toute l’Europe réformée, un grand débat au sujet de la grâce
universelle. Au synode des Qos, de 1671,
Sidrac Bastie djut jurer de ne jamais enseigner cette doctrine, et l’assemblée décida de faire prêter dorénavant, ce même
serment à tous les nouveaux ministres.
C’est ainsi que cette obligation fut impo
sée en 1677 au jeune Pierre Leydet, plus
tard martyr.
Après l'Exil et la Rentrée, s’ouvre une
période ■toute nouvelle pour la pensée religieuse dans l’Europe entière. La philosophie soi-disant naturelle, la Science soiuy^t superficielle de l'Encydopéidie, la lecture des ouvrages de Rousœaiu et de Voltaire, ennemi déclaré de la rebgion**
avaient infecté de rationiflisme et de scepticisme, d'abord la France, puis aussi la
Suisse de langue française, où la plupart
dös pasteurs vaudois recevaient leur préparation théologique. L’un d'eux aurait
même été le secrétaire de Voltaire.
Sous ce régime, toute une génération
(te pasteurs, à peu d’exceptiom près, apporta aux Vaflées un souffle d’indifférenee
qui favorisa chez le peuple le formalisme
et l'ignorance en matière de fd. Le Cormité Wallon, duquel dépendaient ein partfe. les honoraires des pasteurs, s’efforça
d^pposer une barrière à ce torrent d’incrédujité, en exigeant que les nouveaux
ministres signassent un Aßte d’Uniformité,
où étaient clairement exposés les principaux points de la doctri'ne chrétienne.
Cete mesure n’eut pas une grande influence, la Révolution Française étant venue, bientôt après, bouleverser le monde.
Au. reste, avant ce temps do liberté, si
niêrae quelque Vaudois avait eu des pensées originales et personnelles à exposer,
il n’aurait pas pu le faire, vu qu'il leur
était interdit de rien publier sans l’approbation de Tévêque.
Ceux qui prirent la plume sous 1© régime français s’occupèrent de science,
d’histoire, ou, ^ comme Rodolphe Peyran,
d’une quantité de questions diverses dans
tous les champs du savoir. Ce dernier
n’avait, d’ailleurs, pas les moyens de livrer à la presse ces écrite, dont un choix
Au lendemain de la Restauration, plusieurs pasteurs répondirent par écrit à
une pastorale d© l'évêque de Pignerol; mais
il s’agit surtout de polémique.
Le Réveil introduisit aux Vallées les
écrits évangéliques de César Malan, Gaussen, Roussel, qui rendirent l'a place centrale à la doctrine de la grâce. Le seul
écrit vaudois de cette époque, qui obtint
la sanction épiscopale, et pour cause, fut
un pamphlet sans consistance et sans conséquence, intitulé Les Vaudois convaincus
d’héréde.
Les étudiante des Vallées commencèrent
cependant à fréquenter, à Genève et à
Lausanne, les nouveHes Fac'ultés évangéliques, où la Bible était remise en honneur. Mais le passage d'Edmond Schrerer
à TEcole de théologie de Genève partagea
les étudiants en trois groupes, tes uns
ayant rejeté son enseignement dissolvant,
d’autres l’ayant suivi dans ses nidations
radicales, d’autres encore ayant hés|ité
quelque temps entre les deux partis. Les
Vaudois étaient représentés dans chhcun
des groupes.
Mais aux Vallées la prédication évangélique prit peu à peu le dessus, rendant inutile la tendance séparatiste des Mômiers.
Enfin, en 1855, fut créée la Faculté Vaudoise de théologie, qui eut son siège suceessivemeait à la Tour, à FTorence et à
Rome, et dont les professeurs ont fait paraître des ouvrages dans chacune des
branches des études théologiques ; dogmar
tique, exégétique, historique. Mais comme
les auteurs y ont exprimé, avec une entière liberté, leurs sentiments personnels,
il n’est pas possible, là non plus, d’en déduire une vue d’ensemble de la théologie
vaudoise. Cda sera sans doute plus facile
pour nos' successeurs, qui en jugeront à
distance,
J. J.
fut publié en Angleterre après sa mort.
Il Regolamento sui Culti Ammessi.
(Dalla Gazzetta Ufficiale, 12 Aprile 1930, N. 87).
Numero di pubblicazione 611. — REGIO
DECRETO 28 febbraio 1930, ,n. 289.
Norme per l’attuazione della legge 24
giugno 1929, n. _ 1159, sui culti ammessi
nello Stato e per il coordinamento di essa
con le altre leggi dello Stato,
VITTORIO EMANUELE III
PER GRAZIA DI Dio
l! PER VOLONTÀ DELLA NAZIONE
RE d’Italia
Visto l’art. 3, n. 1, deUa legge 31 gennaio 1926, n. 100 ;
In virtù delle facoltà a' noi delegate
dalTart. 14 deUa legge 24 giugno 1929,
n. 1159;
Udito il Consiglio dei Ministri ;
Sulla proposta del Guardasigilli, Ministro Segretario di Stato per la giustizia e
gli affari di culto, di concerto con i Ministri Segretari di Stato per l’interno, per
te finanze, per la guerra e l’educazione
nazionale ;
Abbi'amo decretato e decretiamo :
Art. 1.
Per l’esercizio pubblico dei culti ammessi'
nel Regno, i fedeli di ciascun culto possono avere un proprio tempio od oratorio.
L’apertura di un tempio od oratorio al
culto deve essere chiesta dal ministro del
rispettivo culto, la cui nomina sia stata
debitamente, approvata a termini dell’art. 3 della legge, con domanda diretta
al Ministro per la giustizia e gli affari di
culto e corredata dei documenti atti a
provare che il tempio od oratorio è necessario per soddisfare effettivi bisogni religiosi di importanti nuclei di fedeli, ed è
fornito di mezzi sufficienti per sostenere
le spese di manutenzione.
L’apertura è autorizzata con Decreto
Reale emanato su proposta del Ministro
per la giustizia e gli affari di culto di
concerto con quello per l’interno.
Art. 2.
I fedeli di un culto ammesso nel Regno
possono, senza preventiva autorizzazione
dell’autorità governativa, tenere negli edifici aperti al culto a norma deli’articolo
precedente, riunioni pubbliche per il compiménto di cerimonie religiose o di altri
atti di culto, a condizione che la riunione
sia presieduta od autorizzata da un ministro di culto, la cui nomina sia stata debitamente approvata a termini dell’art. 3
della legge.
In tutti gli altri casi si applicano le
norme comuni per te' riunioni pubbliche. ■
Art. 3.
I ministri di un culto ammesso nel Regno, la nomina dei quali sia stata approvata
a termini deU’art. 3 della legge, pedono
2
'^’1
pubblicare ed affiggere nell'interno ed alle
porte esterne degli edifici destinati al proprio culto gli atti riguardanti il governo
spirituale dei fedeli, senza particolare licenza dell’autorità di pubblica sicurezza e
con esenzione da tasse.
Tali atti debbono essere sempre scritti
in lingua italiana, salva la facoltà di aggiungere, accanto al testo italiano, la traduzione in altre lingue.
Art. 4.
I ministri di un culto ammesso nel Regno, la nomina dei quali sia stata approvata a termini déli’art. 3 della legge, ik)Ssono, senza alcuna ingerenza fidile autorità
civili, eseguire collette neU'’interno ed all’ingresso degli edifici destinati al proprio
culto.
Art. 5.
I ministri dei culti ammessi nel Regno
possono essere autorizzati a frequentare
i luoghi di cura e dii ritiro per prestare
l’assistenza religiosa ai ricoverati che la
domandino.
L’autorizzazione è data da chi è preposto alla direzione amministrativa del
luogo di cura o di ritiro e deve indicare
le modalità e le cautele con cui l’assistenza
deve essere prestata.
Art. 6.
I ministri dei culti ammessi nel Regno
possono essere autorizzati a prestare l’assistenza religiosa agli internati negli istituti dii prevenzione e di pena, ogni qualvolta ne siano richiesti dagli intemati
st^si o dai familiari o da chi abbia la tutela giuridica dei medesimi, sotto Fosservanza delle norme contenute nei regolamenti speciali per detti istitutL
*^Art. 7.
In caso di mobilitazione dalle forze armate dello Stato, i ministri di un culto
ammesso nel Regno, la nomina dei quali
sia stata approvata a termini delFart. 3
della legge, possono essere dispensati dalla
chiamata alle armi su attestazione del procuratore generale del Re presso la Corte
d’Appello, il quale dichiari che l’opera loro
è assolutamente indispensabile e insostituibile per l’assistenza religiosa dei fedeli
affidati alle loro cure.
Art. 8.
In caso di mobilitazione delle forze armate defio Stato, l’assistenza religiosa dei
militari acattolici, da esercitarsi da ministri di un culto ammesso nel Regno, la nomina dei quali eia stata approvata a termini dell’art. 3 della legge, può essere
autorizzata dall’autorità militare cui è stata affidata la suprema direzione delle
operazioni belliche.
Alla stessa autorità si>etta di stabilire
le norme e le cautdle con le quali tale
assistenza può e^ere /esercitata.
Art. 9.
^li studenti delle scuole teologiche, riconosciute dallo Stato, dei culti diversi dalla
religione cattolica, o delle scuole rabbiniche, ugualmente riconosciute, possono in
tempo di pace essere ammessi ai beneficio
del ritardo del servizio alle armi, ai sensi
degli articoli 98 e 100 del testo unico delle
leggi sul reclutamento del Regio esercito
approvato con R. decreto 5 agosto 1927,
n. 1437, per coloro che frequentano corsi
di studi nelle scuole stesse, equiparabili a
quelli delle università o deU’nltjmo anno
delle scuole medie di grado superiore.
Art. io.
L’erezione in ente morale degli istituti
dei culti diversi dalla religione dello Stato
può essere chiesta da qualsiasi interessato
con domanda diretta al Ministro per la
giustizia e gli affari di culto.
La domanda è presentata all’Ufficio di
culto presso la >Procura generale della
Corte d’Appello e deve essere corredata
dei testo deUO statuto dell’ente da cui risultino lo scopo, gli organi del’'amministrazione, le norme di funzionamento di
esso, i mezzi finanziari dei qpali dispone
per ij raggiungimento dei propri fini.
Con il decreto di erezione ixuò stabilirsi
che il legittimo rappresentante ddl’ente
sia cittadino italiano. In ogni caso però,
il legittimo rappresentante dell’ente deve
avere il domicilio nel RegnoC
Art. 11. ■
Ove lo statuto di un istituì dei culti
diversi dalla religione dello Stato non vi
provveda, si deve, nel decreto di' erezione
dell’istituto stesilo in ente morale, disporre
circa le finalità alle quali saranno devoluti
i beni dell’ente, in caso di estinzione del
medesimo per qualsiasi causa.
Di regola devono essere preferite le finalità di istruzione, di educazione o di beneficenza a favore dei naturali del luogo
in cui l’ente svolge la propria azione.
Art. 12.
Relativamente agli atti compiuti neb
l’interesse di istituti eretti in ente mor
rale, dei culti ammessi nello Stato, il fine
di culto è, a tutti gli effetti tributari,
equiparato a quello di beneficenza e di
istruzione.
Art. 13.
Oltre ale norme speciali stabilite nel
decreto di erezione in ente morale, gli
istituti dei culti diversi dalla religione dello
Stato sono soggetti ala vigilanza ed ala
tutela governativa.
Tutte le attribuzioni spettanti alo Stato
sugl istituti sopra menzionati sono esercitate dal Ministro per la giustizia e gl
affari di culto e dagl organi dal medesimo
dipendenti.
Art. 14,
La vigilanza governativa di cui al’articoJO precedente include la facoltà di ordinare visite ed ispezioni agli fetituti indicati nel’articolo stesso.
Quando siano accertate, a»m,unque, gravi
irregolarità nel’amministrazione di tali
istituti, ovvero quando Fammiinistrazione
non sia in grado di funzionare, 1 Ministro per la giustizia e gl affari di culto
può sciogliere l’amministrazione medesima
e nominare un commissario governativo
per la temporanea gestione.
Art. 15.
In qualunque tempo, con Decreto Reale,
su proposta del Ministro per la giustizia
e gli affari di culto, udito il Consiglio di
Stato, può essere dichiarata la nullità di
atti o deliberazioni degli istituti indicati
neU’art. 13, quando contengano violazioni
di leggi o di regolamenti.
Art. 16.
Gli istituti indicati nell’art. 13 non possono acquistare beni immobili, nè accettare donazioni, eredità o legati senza preventiva autorizzazione.
L'autorizzazione è chiesta con domanda
del legale rappresentante dell’ente, diretta
al Ministro per la giustizia e gli affari di
culto, e corredata dei documenti necessari
e d)el riassunto dello stato patrimoniale
dell’ente stesso.
La domanda è presentata all’Ufficio di
culto presso la Procura generale della
Corte d’Appello, il quale, completata la
istruttoria e sentito Fawiso del prefetto
della Provincia, trasmette gli atti al Ministro per la giustizia e gli affari di culto.
L’autorizzazione è conceduta con Regio
Decreto su proposta del Ministro per la
giustizia e gli affari di culto.
Deve richiedersi i,l parere del Ckmsigfio
di Stato se si tratti di atti il cui oggetto
abbia valore superiore alle 300.000 lire.
Art. 17.
Nel caso che manchi l’autorizzazione di
cui aU’artioolo precedente, gli acquisti e le
accettazioni, anche fatti per interposta
persona, sono nulli'.
La dichiarazione di nullità può essere
promossa in ogni tempo dal pubblico ministero 0 da chiunque vi abbia interesse.
Art. 18.
Le domande intese ad ottenere, ai sensi'
dell’art. 2 della lègge, Fautorizzazione
governativa per gli atti e contratti costituenti alienazioni di beni, debbono essere presentate dai legali rappresentanti
degli istituti agli Uffici per gli affari di
culto presso lè Procure generali del Re
delle Corti d’Appello e dirette al Ministro
per la giustizia e gli affari di culto.
Fra gli atti o contratti, per i quali è
necessaria l’àutorizzazione governativa, si
com'prendono, oltre le alienazioni propriamente dette, le affrancazioni di censi e di
canoni, i mutui, gli atterramenti di piante
di alto fusto, le esazioni e gli impieghi di
capitali, le locazioni ultranovennali di
immobili, le liti, sia attive che passive,
attinenti alla consistenza patrimoniale
dell’istituto.
Art. 19.
Il Miinistro per la giustizia e gli affari di
culto provvede con proprio decreto concedendo o negando l’autorizzazione.
Deve essere sentito il Consiglio di Stato
ogni qualvolta, per motivate ragioni di urgenza 0 di evidente utilità, si richiede la
dispensa dai pubblici incanti per vendita
di beni di un valore eccedente le L. 75,000,
ovvero quando l’autorizzazione concerna
vendita a pubblici incanti di beni o uno
degli altri atti o contratti indicati nel capoverso dell’articolo precedente, per un valore eccedente le L. 30(0.000, eccettuato il
caso che si compiano in forza di disposizioni tassative di leggi o di sentenza passata in cosa giudicata.
Sjietta agli Uffici di culto presso le Procure generali del Re delle Corti d’Appello
di provvedere in ordine alla domanda per
l’autorizzazione di che trattasi, quando si
riferisca a vendite o ad altri atti e contratti suindicati concernenti oggetto per
un valore non superiore a L. 100.000, o
non suiieriore alle L. 20.000 se si chiede
la dispensa dai pubblici incanti.
Avverso le deliberazioni negative dell’Ufficio per gli affari di culto è 'ammesso
,il ricorso al' Ministro per la giustizia e
gli affari di culto entro trenta giorni dalla
notizia della deliberazione stessa.
Art. 20.
L’approvaziioine delle nomine dei ministri
di culto, di cui all'art 3 della legge, è chiesta con domanda diretta al Ministro per
la giustizia e gli affari di culto dal ministro di culto interessato.
La domanda è presentata alFUificio per
gli affari di culto presso la Procura generale del Re delle Corti d’Appello e deve
essere corredata dell’atto, in originale od
in copia autentica, di nomina, dei documenti atti a provare che la nomina stessa
è avvenuta secondo le norme che regolano
il culto cui il ministro appartiene.
Qualora il culto non sia, o per erezione
dei suoi istituti in ente morale od altrimenti, già noto al Governo, debbono essere fomite anche notizie circa la denominazione di esso, i suoi scopi, i suoi riti,
i mezzi finanziari dei quali dispone, i nomi
degli amministratori, l’autorità ecclesiastica superiore da cui dipende.
Art. 21.
Gli Uffici per gli affari di culto, assunte
le altre informazioni necessarie per completare l’istruttoria e sentito il Prefetto
della Provincia in cui fi ministro del culto
esercita il suo ufficio, trasmettono gli atti
al Ministero della giustizia e degli affari
di culto.
L’approvazione della nomina è data con
decreto dei Ministro per la giustizia e gli'
affari di culto.
Nel caso in cui i seguaci del culto, cui
appartiene il ministro di culto che chiede
l’approvazione della propria nomina, siano
nella maggioranza cittadini italiani oppure
nel caso in cui al ministro del culto spetti
la facoltà di celebrare matrimoni religiosi
dei propri fedeli con effetti civili, a termini dell’art. 7 della leg'ge, il ministro del
culto deve avere la cittadinanza italiana
e saper parlare la lingua italiana.
Art. 22.
Copia del Decreto Ministeriale di approvazione della nomina dei ministri di culto
è comunicata agli Uffici per gli affari di
culto presso le Procure generali del Re
delle Corti d’Appello, i quali ne trasmettono immediatamente copia all’ufficio dello
stato civile del Comune in cui il ministro
del culto ha la propria residenza per ragione del proprio ufficio.
Gli atti del proprio ministero compiuti
dai ministri di culto sono operativi agli
effetti civili dalla data del Decreto Ministeriale di approvazione della nomina dei
ministri medesimi.
Art. 23.
I genitori, o chi ne fa le veci, i quali
non desiderano che sia impartita ai loro
figli l’istruzione religiosa nelle scuole pubbliche, debbono farne apposita dichiarazione scritta al capo deH’istituto all'inizio
dell'anno scolastico.
Quando il numero degli scolari lo giustifichi e quando per fondati motivi non
possa esservi adibito fi tempio, d padri di
famiglia professanti un culto diverso dalla
religione dello Stato possono ottenere che
sia messo a loro disposizione qualche locale scolastico per Finsegn'amento religioso
dei loro figli : la domanda è diretta al
provveditore agli studi, il quale, udito il
Consiglio scolastico, può provvedere direttamente in senso favorevole. In caso diverso e sempre quando lo creda, ne riferisce al Ministero dell’educazione nazionale, che decide di concerto con quello
della giustizia e degli affari di culto. Nel
provvedimento di concessione dei locali si
devono determinare i giorni e le ore nei
quali l’insegnamento deve essere impartito
e le opportune cautele.
Art. 24.
Quando il numero degli alunni lo giustifichi, gli istituti eretti in ente morale,
dei culti diversi dalla religione dello Stato,
possono essere 'autorizzati ad aprire, per i
fedeli del rispettivo culto, scuole elementari da considerarsi, a termini delle db
sposizioni speciali vigenti, a sgravio totale
0 parziale degli obblighi delle Amministrazioni scolastiche e dei Comuni.
Ogni provvedimento in proposito spetta
al Ministro per l’educazione nazionale, che
lo adotterà di concerto con quello per la
giustizia e gli affari di culto,
Art. 25.
L’autorizzazione che l’uffilciale dello stato
civile rilascia, a termini delFart. 8 della
legge, al ministro di un culto diverso dalla
religione dello Stato per la celebrazione di
un matrimonio, comprende la facoltà del
ministro stesso di delegare, in caso di legittimo impedimento, il ministro di culto
. che legalmente lo sostituisce nelFufficio, se
però la nomina del medesimo è stata de■ hitamente approvata a sensi dell’art. 3
della legge.
Nella delega, che deve essere fatta per
iscritto, il ministro delegante deve far
menzione dell’autorizzazione ricevuta e
delFimpedimento sopravvenuto e deve indicare il ministro delegato e la data del
provvedimento di approvazione della nor
mina dello stesso.
L’atto di delega deve es'sere allegata all’originale dell’atto di matrimonio da trasmettersi all’ufficiale dello stato civile.
Art. 26.
Se gli sposi domiciliano o risiedono in
Comune diverso da quello di residenza del
ministro di culto, innanzi al quale intendono celebrare il matrimonio, e si trasferiscono in questo ultimo Comune per la
celebrazione, Fuffioiale dello stato civile
della loro residenza richiede della celebrazione del matrimonio Fuffidale dello stato
civile del Comune di residenza del ministro di culto, e l’autorizzazione di cui all’articolo precedente è data da ques(t’ultimo ufficiale di stato civile.
Se, invece, il ministro di culto si trasferisce nel Comune del domicilio o della residenza degli sposi per celebrare il matrimonio, l’autorizzazione gli è data dall’ufficiale dello stato civile del Comune stesso,
dopo che si sarà fatto conos'cere al medesimo con la esibizione degli occorrenti documenti e della copia del provvedimento di
approvazione dela sua nomina, a sensi
dell’art. 3 della legge.
i
Art. 27.
La trasmissione deU’originale dell’atto
di matrimonio è fatta, dai ministro dS culto
che lo celebra, all’ufficiale dello stato civile da cui fu rilasciata la relativa autorizzazione. DeMa ricezione deU’atto dev’essere data assicurazione al mittente.
3
Nel caso previsto dal arimo comma dd:Vàrticolo precedente, Tufficiale delio stato
«ivile che rilasciò l’autorizzazione, trasmette copia autentica deffatto aU’ufflciale
da cui venne la richiesta.
Avvenuta la trascrizione dell’atto di matrimonio nel' registro dello stato civile,
ruffilciale che vi procedette ne dà notizia,
con rindicazione della data in cui avvenne, al ministro di culto che celebrò il
matrimonio.
In margine dei registri di matrimonio,
parte II, serie A, deve prendersi nota della
trasmissione di tale notizia.
'Art. 28i
' I ministri dei culti ammessi nello Stato
non po®ono rilasciare copie nè certificati
degli atti di matrimonio celebrati davanti
a, loro.
. Disposizioni transitorie.
Art. 29.
I templi ed oratori dei culti diversi dalla
religione dello Stato che erano aperti al
culto pubblico all’entrata in vigore della
legge sull’esercizio dei culti stessi, e gli
istituti che erano eretti in ente morale,
sono dispensati dal provvedersi di una
nuova autorizzaizione o di un nuovo riconoscimento agli effetti civili.
Agli effetti del ritardo per gli studenti
nel soddisfare gli obblighi militari di leva
stabilito nell’art. 9, si considerano riconosciuti dallo Stato i Collegi rabbinici di Firenze, di Livorno e di Eodi, e le Facoltà
Teologiche Valdese, Battista, Metodista
Episcopale e Wesleyana di Roma.
Ordiniamo che il presente decreto, munito del sigillo dello Stato, sia inserto
nella raccolta ufficiale delle leggi e dei der
creti del Regno d’Italia, mandando a
chiunque spetti di osservarlo e di farlo
■osservare.
Dato a Roma, addì 28 febbraio 1930 - Anno Vili.
VITTORIO EMANUELE.
Mussolini — Rocco — Mosconi
G-4ZZERA — Giuliano.
¡Visto, il Guardasigilli: Rocco.
Registrato alla Corte dei conti, addì
7 aprile 1930 - Anno Vili.
Atti del Governo, registro 295, foglio 31.
Mancini.
A Genève, sous la présidence de M. Bernard Bouvier, un Comité vient de se constituer en vue de célébrer, le mois prochain, la mémoire d’Agrippa d’Aubigué.
Il y a trois siècles', en effet, que le grand
poète des Tragiques, le grand annaliste de
« l’Histoire universelle », est mort à Genève après une longue existence, héroïque
et glorieuse. Une séance solennelle à
TAuIa, un culte liturgique à Saint-Pierre,
une exposition, une visite à son château
de Jussy, fourniront l’Occasion de rendre
hommage à une des plus hautes figures
dont puissent s’honorer les lettres et la
Réforme françaises. (Le Temps).
Au cours de la discussion sur le budget
■ de l’instruction publique, le ministre de
l’éducation nationale,^ M. Giuliano, s’est
prononcé, dans son discours, pour le maintien du système ^qui prévoit côte à côte
^ l’enseignement des professeurs de philosophie et celui des prêtres-professeurs de
religion. Il a ajouté qu’il serait erroné de
croire que le régime possède sa philor
Sophie officielle et veuille l'imposer. Dans
les écoles secondaires, la philosophie n’est
traitée (^’historiquement et non imposée
dialectiquement à travers un système philosophique déterminé. Le fascisme, a-t-il
IMursuivi, peut porter en lui-même beaucoup de philosophie et peut aussi produire
des philosophies nouvelles. Toutefois, dans
son développement actuel, il trouve en
lui-même la raison d’être de son propre
développement. La force du fascisme est
de marcher d’accord avec tous les systèmes constructifs.
sf: H?
Une importante assemblée d’officiers supérieure de l’Armée du Salut de la GrandeBretagne et d’Islande eut lieu à Londres,
sous la présidence du général Higgins. Celui-ci déclara que, à part certaines réfor' mes d’ordre purement administratif et relatives à la méthode à adopter pour l’élection d’un successeur, il tient fermement à
continuer l’œu'vre sur les bases posées par
le premier général et fondateur, William
Booth.
Le moment le plus émouvant de la réunion fut celui où le général lut une déclaration affirmant fortement et catégoriquement les doctrines évaingéliçpes que
FArmée du Salut professe. Toute l’assemblée se leva en signe d’approbation. La
déclaration fut signée par tous les officiers
présents.
Hc 4: «
Le doct. John R. Mott, a été, ces derniers jours, à Londres, l’objet de maints
témoignages de la , haute considération
dont il jouit auprès de tous ceux qui ont
à cœur l'œuvre missionnaire dont ü s’est
fait te propagandiste zélé. Une chaude réception lui a été faite à la « Mansion
House», à lacïuelle assistait l’Archevêque
de Canterbury. Il est de retour d’un
voyage fait en Orient. Il dit ses bienfaisantes expériences au cours de cette tournée. Jamais auparavant il avait pu se mettre en contact si intime comme cette fois-ci
avec 1e merveilleux développement du
christianisme dont il a été témoin.
Même dans 1^ petits centres on peut
constater te grand changement qu’opère
l’évangile. C’est, en particulier, ce qui Ta
frappé au Siam, aux Indes et en Russie.
L’œuvre des missionnaires protestants est
en général fort appréciée au Siam, où un
prince bouddhiste 'a pris l’engagement de
fournir l’argent nécessaire pour te maintien de deux postes de la mission
presbytérienne.
^ ^
De maints côtés on a exprimé te désir
d’avoir, en automne de 1931, un Congrès
de l’Eglise d’Ecosse. Pourquoi ce Congrès ?
Au Synode annuel le temps est, comme
partout du reste, trop pris par les
affaires d’ordre administratif. Or on sent
le besoin de débattre les différents problèmes que pose l’œuvre complexe de FEglise,
surtout maintenant que l’union des deux
grandes branches presbytériennes écossaises ouvre de ^ nouvelles' possibilités
d’élargir te champ d’action. Soit à l’intérieur soit dans les pays païens.
Le peuple suisse, appelé à voter te nouveau régime de Talcool, l’a accepté par
462.000 voix contre 314.316 et par 17 cantons œntre 5. Il s’agissait de diminuer
la consommation en imposant et restreignant aussi bien l’importation que la production de l’eau-de-vie. Cette réforme doit
procurer des ressources nouvelles évaluées
de 20 à 25 millions de francs en vue de
la réalisation des assurances sociales en
faveur de la vieillesse.
^ ^ ?1*
Marseille a érigé un monument à un de
ses illustres fils, Edmond Rostand.
Le chanoine Gauber célébra la gloire
de l’auteur de la Samaritaine. Il dit :
« S’il est un écrivain qui ait plus ardemment fait battre des cœurs, surexcité un
patriotisme, réveihé le culte de l’honneur,
de l’enthousflas'me, de l’idéal, de l’héroïsme
et de la chevaleresque bravoure, en un mot ■
de toutes les grandes amours dont il a si
bien dit « qp.’elles travaillent pour le cid »,
c’est sans contredit Edmond Rostand ».
Le prédicateur a rendu hommage à la foi
du poète, qui donna tant de témoignages
de son âme chrétienne, et il termina son
oraison par ces mots : « Et maintenant,
voici sa dernière prière : « Dans, votre
paix, c’est-à-dire en vous seul', éternd et
souverain Dieu, je dormirai, je reposerai ».
Ce sera aussi la prière que nous ferons
pour vous, ô cher poète, pour vous et pour
tous ceux des nôtres qui nous ont précédé là-haut. Dormez, reposez-vous, ou
plutôt vivez dans l’éternelte paix, dans
l’éternelle lumière, dans l’étemd amour,
près de Dieu et près d’eux ».
Le sous-secrétaire aux beaux arts,
M. Lautier, a mis en lumière la part (jue
E. Rostand a eu comme restaurateur de
la po^ie. Contre te matérialisme desséchant et le Spirituabsme anémié, Rostand
« restaure la poésie, menacée par te naturisme, il rend courage aux poètes un
peu trop enclins à céder à la léthargie
'symboliste. Il les rappelle, de toutes ses
forces, au respect de l'Idéal ; il tes invite
à demeurer fidèles à nos immortelles traditions ; il proclame sa foi enthousiaste en
un avenir de vérité, de liberté, de justice »,
Le révérend James de WaJf Perry, de
Rhode-Mand, a été choisi pour remplacer
te défunt évêque Anderson, à la' tête de
l’Eglise épiscopale des Etats-Unis.
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CHRONIQUE VAUDOISE
PoDP les sinistrés de Frali et de Massel,
Pour Proli: Famille Grilli, Lugano,
L. 100 - Union des Mères, Donneloye (par
E. Bertalot), 184,20 - Nicolò CrosiMa,
Ovaro, 10 - Chiesa di Pachino, 100 - L.
Zecca, Nice, 20 - Ing. Carlo et Malvina
Eynard, 10 - Prof. E. W. Long-Marey, 20.
Pour Massd: Union des Mères, Donneloye (par E. Bertalot), L. 184,25 - Prof.
E. W. Long-Marey, 15 - Eglise de SaintGermain, 69 - E. Gay, E. Lanta^et, 20
— Par te moyen de M.me Tron-Revel :
Luigi Ferrerò, 50 - Enrico Tron, 50 M, Tron-Revel, 50 - Robert Revel, 350 —
Eglise de Reggio Calabria, 50 - Sophie
Servettaz, 100 - Prof. Vinçon, 100 - G. E.
Mathieu, 10 - Pauline Peyrot, 10 - Divers,
par te moyen de P. Margiunti, 114 - Eglise
de Marsefile, 305 - Milano II, 108. M.
^ H* ^
LA TOUR. La semaine dimanche des
Rameauxi-Pâques a été particulièrement
béniie : deux cultes le premier jour de la
«Passion», auxquels bon nombre de personnes, surtout de la campagne, ne pût
assister à cause d’une pluie persistente;
Je soir du jeudi saint, malgré un temps
défavorable, nous eûmes une bienfaisante
réu'nion au temple, dans laquelle la lecture des passages de l’Evangile du jour
nous fit revivre avec Jésus dans sa dernière soirée de son existence terrestre.
A cette heure, dans te silence de la nuit,
dans une chaude atmosphère de prière, le
recueillement est plus profond et la comr
munion avec 1e Sauveur plus intense.
Nous étions ainsi prépara pour la SainteCène, mémorial que nous avoins célébré
avec l’émotion qui ne peut manquer en
pensant qu’en un soir comme celui-là Jé.sus institua te repas sacré et idit : « Faites
ceci en mémoire de moi » ; — 1e culte du
vendredi saint cause toujours une impression ineffaçable et laisse un souvenir bienfaisant, soit à cause du souvenir de la
mort de notre Sauveur qui nous est remise sous tes yeux et devant laquelle tout
homme se sent troublé et tout croyant angoissé, soit à cause ide la réception des
catéchumènes que nous avons l’habitude
de confirmer en ce jour-là.
Ils étaient quarante et furent ajoutés
à l’église. Nous leur rendons un bon témoignage quant à leur préparation intellectuelle ; nous avons demandé à Dieu,
qui connaît tous les cœurs, de les préparer, Lui, spirituellement. Aussi avonsnous bonne confiance que leur admission
dans l’église, par eux demandée, marque un
pas décisif dans leur vie et que la paroisse
reçoive, grâce à eux, de nouvelles forcœ.
Que l’esprit de Dieu les garde dans son
amour, qu’il les fortifie dans leur foi, et
alimente en eux sans cesse la flamme de
la pureté et simplicité vaudoises dont nor
tre costume — que presque toute les jeunes filles revêtaient, et le groupe était
bien beau — est un symbôle ; te jour de
Pâques, une très nombreuse assemblée,
une des plus nombreuses que nous ayons
vu dans les grandes occasrons, remplissait
le temple. Les' fidèles qui participèrent à
la Sainte-Cène furent au nombre de 230
environ, ce qui fait que, en tenant compte
aussi des membres d’église qui communièrent le dimanche des Rameux et le jeudi
saint, on arrive au chiffre de 400 les fidèles qui s’approchèrent, durant cette semaine sainte, de la Table du Seigneur. Détail qui a été remarqué : sur ces 400 on
a compté un grand nombre de jeunes.
N’oublions p'as lé beau chceur bien exécuté par notre Chorale, (pii contribua à
l’édification du culte. La coUecte produisit
540 lires.
— Ce lundi dernier, un groupe de 60
membres de la « Jeunesse » a fait sa première «sortie» de la saison, faisant une
première étape à Rocciamanéout, montant
vers les Porte d’Angrogne, te Vernet, où
nous attendait un bon thé avant de reprendre 1e chemin du retour par SaintLaurent. Jeux et chansons qu’aime une
jeunesse comme la nôtre occupèrent les
haltes durant la promenade, favorisée par
te beau temps. Bonne après-midi qui en
fait désirer une autre sembl'able sans trop
tarder.
— Mariages. M. Peyronel Auguste avec
MJle Daniùschi Mise. M. Cesan Riccardo
avec M.Ue Gomn NeUy.
— Décès. M. Jean Planchón, de RiœCros,
71 ans; M. Janavel Jean, des Chabriols
Supérieure, 44 ans ; M.me Regis Virginie
veuve Spüka, 85 lans ; Peyrot Henriette
mariée Rivoir, 71 ans.
FERRIER-MANEILLE. Dimanche, 13
avril, malgré te temps sombre et pluvjeux,
un nombre assez considérable, mais qui
aurait pu être supérieur (car nous aurions
aimé voir la s'allé bondée) de mères et
jeunes files die l’U.. G. de la paroisse de
Perrier-Maneille, se rendait au presbytère
pour entendre te message apporté par M.le
Mathieu, de La Tour, déléguée par le Comité de Groupe.
Les bonnes exhortations adressées et le
cordial entretien laissent en nous le meilleur souvenir. — Après la prière, de belles poésies furent récitées avec élan et
même les Cadette nous firent entendre
leur voix harmonieuse. — Deux cantiques,
sous la direction de M.me Jean Micol, furent chantés avec entrain ; et pour clore
notre après-midi, un boin thé bien garni
fut servi.
Nous remercions infiniment M.lle Mathieu pour son agréable visite.
Une mère.
— Nous venons de recevoir pour les réparations au temple de Manelle frs. 170,
au change L. 125,80, somme coflectée et
envoyée par M. E. Baral, Marseiïïe. Merci
aux souscripteurs : Peyran Alexandre,
frs. 50 - Pors Jean, 50 - Anonyme, 50 Pons Adolphe, 20 = frs. 170.
Nous attendons des imitateurs.
POMARET, L’Eglise du Pomaret a eu
le privüège d’être visitée par te Chef de
notre District, président d!e la Commission Exécutive. Le culte du dimanche matin et deux excelente réunions aux Cerisiers et au Clôt de rBnvera Pinacbe, et,
œmme condusion, la réunion du dimanche soir au Pomaret, ont d(?nné l’occasion
à M- L. Marauda d’apporter un message
bienfaisant à toute la paroisse, qui lui en
exprime par ce moyen sa vive reconnaissanee. L’école du dimanche aussi eut la
joie de recevoir la visite de M. Marauda
qui, d’accord avec te Consistoire, choisit
pour sujet de ses allocutions harmonie », sujet sur lequel, avec la délicatesse
fraternelte qui le distingue, il donna de
précieux enseignements.
Que Dieu bénisse sa visite en vue du
progrès spirituel de cette communauté.
g. c.
PRAMOL. Jeudi, 10 avril, un nombreux
cortège de parents et d’amis accompagnait au temple, pour la bénédiction de
leur mariage, l’heureux couple : M. Jahier Edvy de Barthélemy, notre maîtrechantre, et M.Ue Long Alice de Jean
(Clôt). Espérons qu’ils aient été les derniers à faire « la promenade » jusqu’à StGermain pour la cérémonie civile, puisque dorénavant on pourra se marier uniquement au temple ! Nous renouvelons à
ces chers époux nos félicitations et nos
vœux, demandant à Celui qui les a unis
de les bénir abondamment dans leur vie
conjugale.
— Dimanche, 13 courant, dans l’aprèsmidi, ont eu lieu lœ examens de nos catéchumènes de 2' et 3“* année. Nous avions
exprimé notre satisfaction l’an dernier,
en cette même occasion, mais nous tenons
à dire que nous avons constaté cette année aussi une sérieuse préparation. Le
Pasteur, les anciens Héü Bounous et D.
Grill, ont adressé aux catéchumènes dés
exhortations très chaudes et leur ont dit
ce (ïue Dieu et ce que l’Eglise attendent
d’eux.
— Nous lisons dans te Giornale del Pinerolese ipie le commissaire, l’ingénieur
¡Vinçon, a convcKïué les propriétaires des
terrains que traveirsera te chemin SaintGérmain-Pramol et qu’on ne tardera pas
à arriver à un accord sur toute la ligne,
grâce à la bonne yolonté des propriétai
•s
4
res, lia plupart desquels renonce à quelconque indemnité pour les bœns sujets à
Teixpropriation, donnant ainsi une ¡belle
preuve de savoir sacrifier quelque bien
particulier pour l’intérêt public. On espère qu’en automne les travaux pourront
eommeuoer. Si le chemin de Pramol est
« en rwte », nous lui souhaitons de grand
cœur qu’il n’ait pas à subir de fâcheux
arrêfe 1 Rep.
SAINT-GERMAIN. La fête de Pâques a
attiré dans la maison de Dieu une grande
foute, toutes les places disponibles ayant
été occupées,. Un beau cantique a été
chanté par la Chorale, enjievé avec entrain. Un grand nombre de commufmants,
enviaron 180, se sont approchés de la Table du Seigneur. — Une collecte en faveur
de l'diSîTie des Vieillards a produit 163 lires
et 40 centinies. Un excellent sermon surces paroles : « Pourquoi cherchez-vous
parmi les morts Cdui qui est viivaiît ? »,
produisit une exceltente impression. Que
Dieu mette son sceau sur ce cuite qui a
fait du bien' à ceux qui y ont pris part
avec foi. Un auditeur.
VIÎiLEgÈCHE. Actes liturgiques depuis le l®"^ janvier. Baptême : Bmnms
Lima Henriette de Jean Pierre et de Catherine Peyronel (Albarea). Bofuinms Albert de Louis et de Marie Maxieleine Bounous (Combegarin).
Mariage : Peyronel M. J. Adolphe de
Jean et d’Henriette Peyronel, avec Jeanne
C. M. Peyronel de Jean Henri et d’Henriette Constantin, tous tes deux de Trussan. Nos meilleurs vœux accompagnent
ces jeunes époux.
Sépultures : Peyret Alexandrîne feu
Thomas et feu Marguerite Vinay, décédée
au Coulet, le 26 janvier, à l'âge de 47 ans.
Perron Jacques Henri feu Jean Henri,
mari de Marguerite Tron, décédée à Villesèche Supérieure, le 2 février, à l’âge de
63 ans. Bounous Antoine feu Antoine,
mari de Marie Lageard, décédé à Barneô,
te 20 mars, à l’âge de 84 ans. Massd
Jean François feu François, veuf de Madeleine Poët, décédé au Plan de Faët, le 30
mars, à l’âge de 77 ans. A toutes’ ces familles en deuil, nous exprimons notre vive
sympathie chrétienne, ainsi, qu’à celle de
l’ancien de la Bâtie, dont le fils Eibet Albert de Pierre, est décédé à l’Hôpital du
Pomaret, le 28 février, en laissant dans
les larmes une veuve et deux orphelins.
— En quittant cette paroisse, et après
avoir pu prendre part, avec M. le pasteur
Guido Miegge, de retour de l’Ecœse, à
l’admission de 2,0 catéchumènes ; 11 garçons, dont un vient du Collège de La Tour,
et 9 jeunes filles, 1e Pasteur provisoire se
sert de l’Echo pour renouveler ses salutations cordiales à toutes les feuniltes appartenant à cette paroisse. Il remercie tous
ceux qui ont concouru à lui faciliter la
tâche, et spécialement les membres du
Consistoire, ainsi que le corps enseignant
des Qos, M., M.me et M-Ues VigMelmo. Il
recommande toute l’Eglise à Dieu et à la
parole de sa grâce. Pierre Chauvie.
oooooooooooooooooooooo
La Semaine Politique.
ITALIE. Le Roi a signé le décret qui
nomme les membres du Conseil National
des Corporations ^ur les années 1930-32.
— M. Mussolini a inauguré, au Capitole, les travaux de la Commission chargée
de l’examen régulateur de la capitale. Il a
souligné la nécessité de conserver à la vüle
son caractère architectural et de dégager
les monuments de la Rome ancienne des
constructions mesquines qui les entourent.
Il a ajouté qu’il faut donner à la ville des
parcs et des jardms.
— A la séapce d’inauguratiion du Com
seü National des Corporations, M. Mussolini a prononcé un grand distours au cours
duquel il a tracé le but du Conæil en le
définissant « le cerveau qui pense, qui prépare et coordonne», comme l’Etat major
dans rarmée. Il a parlé de la solidité de la
lira, des progrès réalisés dans le domaine
économique, dé ce qui reste à faire, des
buts immédiats à atteindre en l’an 1930 ;
il a promri de continuer à s’occuper d’une
façon particulière du problème de l’agriculture.
— Le mariage de MJle Bdüa MusscJini
avec te comte Galeazzo Giano a eu lieu le
24 courant. Témoins de la mariée étaient
Ml. Amaldo Mussolini et le prince Jean
Torlonia, tandis que M. Grândi et le comte
De Vecchi étaiwiit les témoins du marié.
— Nos délégués à la Conférence navale,
qui à leur arrivée à Rome avaient été acclamés, ont été reçus par te Chef du Gouvernement, qui a tenu à leur ooaiSrmer son
approbation sur te r^e qu’ils avaient joué
à Ixmdres.
— Accompagné du Ministre de la guerre,
M. Turati s’est rendu à Parme, où il a prononcé, devant les officiers de l’écote d’infanterie et les étudiants de la milice universitaire, des discours sur l’armée et le
régime; il' a afifixmé que «l’Italie a des
droits à faire valoir, droits de justice,
d’équüibre et de ptarité».
AUTRJCHE. Le bureau de la presse du
parti chrétien-social a publié une lettre de
l’anicien chancdaer, Mgr Seipel, déclarant
que son état de santé ne lui’ permettait
pas de continuer à remplir les fonctions
de président du Comité central du parti.
On sait l’autoirité dont jouit Mgr Seipel
à l’intérieur et à l’extérieur. On se demande qui pourra prendre la succession
dé chef de ce parti qui possède 73 des 165
mandats du Conseil national.
EGYPTE- Les journaux annoncent que
le rdi Fouad a sji^ié un décret-loi en vertu
duquel une somme de 34.971 livres égyptiennes est mise à la disposition de la famiRé dé feu Lord Carnavon, qui dirigea
les fouilles qui permirent de découvrir la
tombe de Toutankamen.
ESPAGNE. Au dernier Conseil de Cabinet, le Ministre de la justice a communia
qué à ses collègues im .projet d’élargissement de l’amnistie, qui affectera notamment les dléUts politiques.
INDES. Le Daily Maü, commentant l’agitation nationaliste dans l’Inde, Hâme le
vice-roi, Lord Irvin, de ne pas intervenir
avec plus d’énergie et demande l’arrestation de Gandhi avant qu’ü ait enflammé
les masses populaires de l’Inde.
PAYS-BAS. A la séance de clôture de la
Conférence de ccdîfication du droit international te Pr^ident a dit que s’il n’y avait
pas lieu de faire entendre un chant de
triomphe, il nY avait pas lieu non plus de
faire entendre un cri de détresse. Il c'onr
sidère cette Conférence comme la première
étape dans la voie de ,1a codification.
RUSSIE. D’après le Daüy Express, la
Ruæie est menacée de la famine par suite
dé l’échec deS Soviets à trarnsforiruetr l’agriculture en une entreprise collectiviste.
D’après la Pravda, le 30 0/0 seulement
des terres du Caucase ont été ensemencées.
TCHECOSLOVAQUIE. Le président Masaryk, après un séjour de quelques semaines à Cap Martin (Alpes Maritimes), est
attendu dans quelques jours, puisqu’il a
quitté la France pour se rendre à Genève
auprès d’une de ses' filles, M.me RévilJod.
Après un court séjour an Suisse, te président Masaryk retournera à Prague.
PERSONALIA.
Le dernier numero du Foglio d’Ordini
de la Milice, nous informe qu’au chef d’escadron Josué Bertalot, de la I® .légion Sabauda, a été décerné un encomio solenne,
pour avoir, en sa qualité de œmmandant
d’un détachement de la Milice de frontière, préoccupé qu'une patrouiile avait
été bloquée par la neige dans' une localité
dangereuse, courageusement accourut en
aide de ses camarades, qui purent ainâ
rentrer sains et saufs au détachement. —
Ribba et Maière de Frali, 48, 22 et 23
février 1930.
OPERA BALNEARE G. P. HEILLE
AVVISO IMPORTANTISSIMO.
Il Governo ha emanato, per mezzo dei
Prefetti, delie disposizioni nuove riguardo
all’invìo di fanciulh alle Colonie marine.
In seguito a tali dispo©izi'oni, è necessario far conoscere alla R. Prefettura, neUa
prima metà del prossimo Maggio, il numero e il nome dei ragazzi che sa,ranno
mandati al mare.
Perciò preghiamo vivamente i signori
Pastori di voler trasmettere te domande
degli aspiranti alla cura marina di' BorgioVerezzi al sig. Alessandro Simeom, presidente del Concistoro Valdese di’ Torino Via Pio Quinto, 15.
Tale domanda deve essere presentata il
più presto possibile, e ad ogni modo non
più tardi del 10 Maggio p. v. Si avverte che
te doniande che giungeranno dopo il 14
Maggio dovranno eæere respinte.
Nella domanda, perchè venga presa’* in
esame, i ridiiiedeaiti devono indicare :
1® Ncane, economie, paternità.
2® H preciso indirizzo (borgata, contrada
e numero).
3® ha. data di nascita (giorno, mese,
anno).
4® Professione o condizione dei genitori
o di chi per essi.
5° Se ed in quali anni vennero già ammessi alla cura marina, avvertendo che
coloro i quali hanno compiuto consecutivamente u,n triennio di cura non potranno
essere accettati.
6® La data precisa alla quale saranno liberi da obblighi, scolastici. Quelli che ritengono di eissere esenti da esami dovranno
notificarlo nella domanda stessa onde si
possa formare e far partire al più presto
una squadra.
Attiriamo l’attenzione degli interessati
sui punti seguenti :
a) Perdurando ancora le ragioni di
vita enormemente cara, verranno rigorosamente esclusi tutti coloro per i quali, a
giudizio del Sanitario dell’Opera, la cura
marina non sarà giudicata a^'olu'tamen'te
indispensabile.
b) Gli ammessi dovranno portar seco
un corredino con biancheria di ricambio,
scarpe in buono stato, pettine, forcelle,
ecc., e sopratutto un costume da bagno,
senza il quale non saranno accettati.
NB. I richiedenti verranno ulteriormente avvisati del luogo, della data della
visita medica, delle speciali norme per
l’accettazione e della data precisa dèffa
partenza.
Torino, 21 Aprile 1930.
Alessandro Simeoni.
lini PEI u sitiEii inuii iiinnniu e FiiEsmii.
3» Lista - Marzo 1930.
Riporto L. 15076,10 — Livorno : E. Orfanelli, L. 51 — Napoli: .Chiesa Scozzese, 754
- Adunanza Inglese, 5538^50 - CoEettato da
Miss G. Rae, 1100 - Adunanza Italiana,
121.40 - 'Chiesa 'Wesleyana, 80 - Chiesa Cristiana del Vomero, 400 - Scuola Domenicale
49.40 — Genova : Gliiesa Evangelica Riformata,
20 - E. Santoro, 10 — Bari : Chiesa 'Battista,
49,90 — Genova : Chiesa Evangelioa Riformata
Svizzera, 173,50 - Famiglia Rosa, 50 - A. Gastaldi, 10 — Oberburg (Svizzera) : A. M.atiiraiin, 100 — Pinerolo : Una lettrice de «La
Luce », 40 — Pesaro : P. Lncarelli, 20 — Torino : T. Pastrone, 10 - Coniugi Boldrini-Gay,
50 — Castino : Assemblea Cri'stiana, 40 — Canicatti : Assemblea Cristiana, 26 — Scaletta
Zanclea : Assemblea Cristiana, 60 — Pavia :
E. 'Vinçon, 100 — Milano: M. Ginc«ri-Mia.c,
100 - E. Lekllieuser, 17,50 - G. S'carpini, 50’ —
Parma : N. Sergiaco’ini, 10 —• Portici : Chiesa
'Metodista Episcopale, 180 - B. Del Re, 50 —
Basilea : Chiesa Metodista Episcopale, 50 —
Padova : Ciilesa Wesleyana, 56,65 ■— Ginevra :
E. Benech, 10 — S. Diego California : Costantino Battista, 270 — Ronwe : « Holy Trinity
Chu.rch», 6.36,10 - P. Triulzl, 20 - S. Sa,bbadini, 50 - Cassetta offerte Libreria S. S.,, 10,10
- Collcttato da A. Conti ; G. A. Conti, 10 Una Sorella, 10 - U. Holtz,, 10 - Piccole somme,
CO — Reggio Calabria : D. Salerno, 10 — Lotia.no : G. Settembrini, 25 — Villar Penice :
Famiglia Caveglia, 100 — Gerusalemme : M.rs.
H. E'uke, 4186 — Nervi : N. Zimino, 10 —,
Lusernu San Giovanni : A. Peranzoni, 15 —
Torre Pcilice : A. L. Comba, 20 — Schvxiri ;
M. Stoller, 100 — San Remo : S. John Cbimch,
500 — Fioridia : V. Adorno, 10 — Gioia del
Colle : 'Collettato da R. Agitone : Palmieri, 10
Piccole somme, 60 — Caltanissetta : G. durato,
10 - S. durato, 10 — Scicli : Cliìesa Metodista
Episcopale, 20. — «RICORDANDO» E INTERESSI : Rom,a: Collettato .dal prof. E. Tagiiahatela : Ricordando A. Pastore Vittorio Bani,
112,20 —■ Piccole .somme, 62,10. — Totale
L. 30755.4,5.
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doti. Enrico Pons - Foro Italico, 25 - Ro'Hui.
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Dons reçus pendant le premier trimestre 193QL
M.mes et M.rs : Moza Christenson, La Tour,
L. 10 - Ia Rostagno, Pomaré, 5 - Cath. Balmas, Hyères, 10 - Mathilde Gay, Pomaré, 20,
- Bourse des Pauvres, Id., 30 - Adeline Selli,
Romo, 15 - P. Q., La Tour, par M. C. A. Tron,
50 - Chev. off. Margarla, Id,, 25 - Auguste Pastre, Pérouse, 25 - H. Pascal, pasteur
émérite, Turin, 30 - Marie Pauline BarnesTurinJ^alla, Australie, 105 - Amos, Milan, 100
- Henri et Ida Ooïsson, Erythrée, 40 - l'icire
Barolin, ViUar, 12 - G, Pizzardi, La Tour, 50
- Paul et Denyse Revel, St-Jean,, en souvenir
de M.me R. Pons-Karrer, 15 - Les membres de
la Société de Via Oliva, La Tour,, en souvenir
de la même, 104 - Famille Pon.s-Karror, ]d.. en>,
souvenir de la même, 10 - J am Ule Pons-Karrer, Id., 10 - Cliarles Eynai’cL vice-consul, Constantine, 50 - Malan-CalruB, par M. Margiunti,
10 - J. Romano, pa.steur émérite, La Tour, 15
- Esther Revel-Ayassot, Id., 10 - Rita Mtegge,.
Massid, 25 - Giov. Miegge, pasteur, Id., 25 Colonie ,San Gustavo, 400 - Louise ‘Griset, Santa
Ana, 100 - Uoct. Th. D. Mídan, pasteur émérite, La Tour, 50 - Vaudois de Paris, collecte
du 17 févi'ier, 51,95 - Bozzi e 'Vidossieli, Milan,
300 - N. N., La Tour, 25 - Capitaine James
Nisbet, Id., 100 - Caroline Fontana-EouxBuffoli, Milan, 200 - G. Arias, La Tour, 95 L. Rinaldi, Taranto, 15 - PeiTicci, Id., 5 - A.
Gardiol, Pignerol, 20 - Alexis Balmas, xrasteur
émérite, Milan, 25. ■— Total L. 2187,95.
Abonnements payés et Dons.
(Le tdon» est eiitre parcìithèses).
1930 : (jodinó Oscar, Pin'erolo (5) - Refourn John, Connelly Springs - Italia Pons,
id, - J. H. Pons, Valdese - Jahier Giac., Pin«rolo (5) - Frache Enrico, Torre Pellice (2) Persico Joséphine, New-York (1) - Enrico
Gay, Prà, Genova (5) - Trebino Susanna,
Genova (5) - Aycaidet Adele, Luserna S.
Giovanni - Bert Luigi, Torre Pellice (5)
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