1
Soixante-neuvième année ‘• Anno XI®
S
L
9 Juin 1983
N® 23
. 3^bliqì^ìca Vald«^ ■ - . J
§i’ TORREI^H^CÎI ^
PAEAISSANT CHAQüfcr. VENDREDI
■s===
PRIX D’ABONNEMENT:
Italie (y compris les Vallées et Colonies)
Etranger (y compris.les deux Amériques)
Plusieurs abonnements à la même adresse .
Par an:
L. 10,» 24,.. 22,
Pour 6 mots
6,
12,
On s'abonne: à TorrePellice, au Bureau d’Administration de l’£cAo(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
L'ABONNEMENT SE PAy|: D'AVANCE.
S’adresser : pour la Rédaction, à M. le Prot. LOBI.S Micol - Torre Pellice. — pour
l’Administration, au Bureau du Journal, Via Wigram, N" 2 - Torre Pellice,
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
Tous les changements d’adresses coût§nt 50 centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
-O- Le nnméro: 90 centimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..y dGi^ïïes de louange, occupent vos pensées (PhiL IV, 8).
— -------------- -- - — ---------- -- ~ . ■ -..........................................—------- . — . ..— : .—
_| Message dominical.
(0
itnto
ï)
lliie
erli.
lET)
O
ente
formule d’a^cquiepcement
oui /\ Vous trouveriez
« Tu ne prendras pas en vain le nom de
l’Etemel, ton Dieu ».
Prendre en vaiin, considérer comme une
chose futile, sans valenr, le nom trois fois
saint de Dieu, tedié est l’habitude courante.
Ne vous récriez pais, chers lectems de ces
lignes, écoutez simplement ce qui se dit
autour de vous, contrôlez vos propres paroles et \. ous serez convainc'^s. Le nom de
celui i:lont l’œil est tippi pur poiur voir le
mial, P, cuisinière l’accole ah lait qui va
alu feu, limpiatient le vocifèr^ en réparant
son pneu déchiré, lei colériqu| le lance en
bomibe à la tête ide son contradicteur et
1 âme la plus honnête en fa|Î une simple
I Mon Dieu,
, inouï, fabuleux, id employer votre no|n à vous ou
celui die votre mère pour galvauder
ainsi à tort et à travers, ma® ie nom du
Tout-Puissant, vous en jouez ^mme d'une
halle sous les coups répétés dficette inliassable raquette qu’est la langhp
3iais il y a plus let, si i oè blo pi is
grave encore ! En quelqp s sclej i elles occalsions de vos vies, vous avez pris Dieu
à témoin de la sincérité de vos s ntiments:
comme de la loyauté de vos liitentions.
Vous- aivéz ,p|rom,is aü jour des Rameaux
de faire un effort persévk nant a'vet laide
de Dieu pour vivre selon 11 vaag ie 'X ous
avez affirmé idevant Dieu au jour! de votre
mariage que rien ne séparerait, ’¡si ce n’est
la .mort, ceux qui s’unissent devant Dieu.
Vous avez promis au baptême dp .vos e'nfants ide les élever dans l’iamouii du bien
sous le regard de Dieu. Comment ayez-vous
tenu ces promesses dont la moinidie transRTession fait de vous des ipiarjurés ? Quel
mépris vous avez ressenti pour ceux qui
ne tiennent pas leur pairóle et que vous
f)j.ppclez lâches ou traîtres indifféreniimelnt ;
quel soulagement vous éprouvez de la condamnation de tous ceux qui^ renient leur
signature ; mais interrogez-vous vOUs-mênies ; cette parole donnée à Dieu, c«te signature morale apposée sur tant ¿i^actes
essentiels — les plus grands —- âe vos
existences, qu’en avez-vous fait ? (Ihaque
négligence, cliaqiie oubli, chaque trailsgTession vous ont rendus coupables d’avoir
pris en vvain le nom de- 1 ’Eternel, 1 votre
Dieu. Ne vous étonnez plus, dès Iqrs, ni
les uns, ni les autres, que la puiiition
suive la faute et ravivez en vous la ilâmme
du respect divin qui vous ordonne at jourd’hui : « Tu ne prendras pas en vain le
nom de l’Eternel, ton Dieu».
(1) Nous donnons comme courte méditation
de cette semaine cc message dbminical quelnous
tirons de la Tiibune de Jjmsanne du 28tniai.,
Que ie.s lei-teiu-s prennent note que la Tril^niK
de Lausanne c.st un journal quotidien !
;êd.
CHIAVE BIBLICA
(compilata salla versione riveduta).
Le, temps passe et le thermomètre
monte...
Avez-vous pensé à vous assurer un ¡exemplaire de cet ouvrage en profitant dés conditions ide faveur qui vous sont offertes
Dusqu’à la fin du mois de juin ? D 32 (rehé L. 40) en Italie ; L. 40 (L. 50 relié),
pour l'étranger. *
Après le 30 juin le prix sera de L. 40
(D 50 rdlié).
Hâtez-vous et n'attendez pas que le prix
monte comme... le thermomètre, j
S’adresser à la Libreria Editrice Çïa<
diam - Torre Pellice (Torino).
IW
POUR LA VÉRITÉ
Jésus-Christ a donné la raison de sa venue parmi les hommes et ra énomœ le programme de son activité rédemptrice, en
proclamant « l’avènement du Royaume de
Dieu ». SaintrLuc nous dit à ce sujet :
4. JéS|Us allait de ville on ville et ido village
en village, prêchant et anlnonçant la, bonne
nouvelle du Royiatume de Dieu » (VIII, 1).
Les Juifs attendafent la restauratioïi de
la monarchie dlavidique; le IVfesie tant
désiré devait hs délivrer du joug étranger
et reconstituer dans toute sa gloire le
royaume d’Israël.
Jésus, le vérittalble ¡Messie, qui, devant
Pilate affirmera son titre royal, a paru,
oui, pour fonder un royaume, mais non
pas celui exclusif et borné, voulu par ses
concitoyen,s, puisque son règne dépassera
les frontières de la, Palestine et s’étendra
à l’humanité entière. Toute créature humaine peut idevenir citoyenne |de ce Royaume et cela non pas: moyennant un rite
extérieur (circoncision ou autre), mais par
des liéns spirituels, qui l'ünissent ^roitement au Roi lui-mêrnei''
Le citoyen du Royaume est celui qui
écoute la parole du Roi et la met en pratique (Matth, VII, 21). Il en résulte que
ce n’est pas par deis adhésions en masse
que se recr ute ce royaume, m,a|is par celles
inid,ividuelles.
Jésus n’ai, par conséquent, jamais émané
une constitution ni des dispositions règlementaires (ayant pour but de fonder une
institution corporative), qui relienaient les
citoyens entre eux et tous en bloc au Roi
lui-même.
Ed. Reuss, après avoir remarqué que
Jésus dans son m,inistère n’a jamais procédé ipour calculer le nombre de ses disciples, ajoute ; « Il se contentait de poser
le germe de la vérité, le germe régénérateur dans les âmes de ceux, qui l’écoutaient, il n avait point ,hâte d’enriegistrer
l’effet que ses discours produisaient. ».
La grande loi de l'amour, si clairement
proclamée par Jésus, dans ses deux grandes
cipplications envers Dieu et envers le prochain, était la charte du Royaume (Matth.
XXII, 37-39).
Cela établi, il sera facile de comprendre
que les nouveaux citoyens du Royaume,
par la communauté de leur foi et de leur •
espérance de voir se réaliser sur la terre
le règne du Christ, manifesté en Jésus,
ee groupèrent et formèrent autant de réunions QU assemblées que l’on désigna, suivant la nomenclature grecque en usage,
du nom de «ecclesia» (église).
La vie assoeiée des premiers disciples
du Christ commença, donc, de la manière
la plus naturelle par des affinités de
croyiance elt d’espérance et par des liens
d’amour. Et. Chastel écrit : « A ces sociétés chrétiennes, dont la communauté de
foi et la charité mutuelle formaienit le plus
intime lien, on avait peu songé, dans l'origine, à donner une organisation régulière,
un gouvesmement proprement dit, Jésus
lui-même n’etti' avait prescrit aucun...».
C'est à ces groupements primordiaux
que se réfère Tusagie de la parole « église »
(réunion) fait par Jésus (Maltth. XVHT,
17), ipiuisque à cette époque aucune organisation .ecclésiastiqiue proprement dite
existait. Quant à l’autre occasion, dans
laquelle Jésus se servit du même terme,
c'est à dire dans le célèbre passage Matth.
Xyi, 18, comme nous devrons y revenir
plus tand, ce n’est pas le cas idie nous y
arrêter maintenant. Il est bon, toutefois,
¡3» J, • T
deAponstater que, à part ces deux passah
ges; Jésus n'a jamais piarlé de l’Eglise, qui
implicitement devait se présenter à son
esprit comme une naturelle et nécessaire
con^uencê de la prédication du Royaume
de’Dieu mais il n’a jamalis confoudu
Royaume'"et Eglise, dians le sens que ce
dernier terme eut ensuite, car, s'il a annoncé le premier, il n’a jajmalîs pp-êché la
seconde.
Ce h'est que bien plus tard et pour des
préoccupations étrangères au véritable
esprit chrétien qu’on lai voulu établir une
teîÎe_ confusion. Jésus était préoccupé de
réj^i^re la Ixinne nouvelle de la charité
(ÏÏvine et du salut, nom. pas d’érîger un
goasernement impérial des âmes. C’est à
t^^qu’on attribuerait à la notion d’église
ks, paraboles de Tivraie, du grain de sénqsse, du levain, du trésor caché, de la
^le, du filet (Matth. XIII, 24-50), pnisqua le Mlaitre explicitement déclare qu’il
.JsÉ^t du «Royaume ides cieux»; Cette ex(6, iJri'ssion, comme le remarqiiie justement
J. Monod, correspond à celle de « Royaume
l|' d<.' Dieu », puisque c’est ce même royaume
I ^ -« considéré dans son origine céleste ou
,f dans siai réaliaajt,ion dernière, le royaume
?■§ idéal ».
^ Si, donc, il y eut déjà du vivant du Fils
' de l’homme, sur la terre, un rapptrochei ment fraternel de ses disriples, qui pou^ valent sentir du plaisir et de l’encourageç ment à se rencontrer, à se réunir entre
eux, — non nécéssiaiiremenit dans un lieu
fixe ni avec un plan (arrêté, — ces rudijgtmentaires fraternités n’étaient pas orgaj nisêes par le Maître lui-même.
L’esiprit social et l’esprit de solidarité
. ne pouvait pas ne pas se manifester bienL tôt parmi les premiers disciples qui, étant
L- reliés à Jésus, se sentaient rattaehés les
uns aux autres. Comme l'a très heuretuv senient exprimé Clément d’Alexandrie :
« Autour de l’aimalnt divin les âmes se
groupent », et le fait du départ de Jésus
N pour le ciel, plus que jamais resserre les
liens de ceux qui; se sentiront orphelins
. jusqu’à ce que l’Esprit consolateur ne
vienne rendre vivante la présence de Celui
qui désormais ne sera absent que corporellement.
Du reste, si à ces moments la chambre
: haute à Jérusalem ne réuinît qu'environ
cent vingt disciples, nous savons par une
déclaration de aaint-Paul (l Cor. XV, 6),
que le Christ ressuscité «était appiaru à
plus de cinq cents frères à la fois», ce
qui vient confirmer l’existence de ces divers libres groupements, dépourvus encore
d’une organisation quelconque.
L’œuvre missionnaire ides apôtres augmenta grandement le nombre de ces assemblées de frères qui, comme des points
lumineux: dans les ténèbres du paganisme,
formaient, si l’on veut, une constellation
composée d’étoiîles de, différente grandeur
et brillant d’un éclat ppius ou moins vif,
mais sans être reliées encore par un système ecclésiastique, qui autorisât de les
Englober dans Tunique désignation de ;
« Eglise chrétienne ». v
Ce sont autant d’églisies chrétiennes locales qui s’organiseront graduellement.
T. FaUot a défini l’église locale: «Un
groupe ,de croyants organisé d’une façon
permanente pour fairei Tœuvre de JésusChrist, en usant des moyens réguliers qu’il
a institués à cet effet».
-Nous: somimes ici sur le solide tmrain.
évangélique. Les églises locales pourront
se confédérer, ou former de vastes associations cultuelles, tendant idiêalement à
une seule et même famüle de croyants,
mais elles n’étaient pais appelées à devenir les pièces agencées d'une grande mar
chitoe, perdant ainsi leur caractère primitif et toute autcaiomieL
Le Rom,anisme a voulu identifier le
Royaumei (dé Dieu, ou idies cieux, et l’Eglise,
ce qui entraîna avec soi d’autres regrettables erreurs. Du Royaiume des cièux personnifié dans l’Eglise, il ne restera que le
titre mdniarchique, tandis que la plure signification spirituelle, contenue dans Texpression biblique, se perdra. L’Eglise-monarehie va calquer skhi organisation sur
celle des royaumes ¡de la terre, tout en
se proclamant la véritable réalisation du
Royaume des cieux.
Lé cardinaj. Bellanmiin a formulé la suivante définition qui fait autorité jusqu’à
ce jour : « L’Eglise ^ une société d’hommes unis dans la professiiœx de la 'même
foi et dans la pariiicipation aux mêmes
sacrements, sous le gouvernement des pasteurs légitimes et surtout du pontife,
romam ».
Les termes des définitions peuvent varier d’un théologien catholique à Tjiiutre,
màis la substance demeure la même :
l’Eglise est une institution monarchique
qui est gouvernée par im pontife et ses
lieutenants. Le professeur de dogmatique
E. Cerretti, idù sérimUaiire ide Bologne, dé-,
finit, dans sa Propédmtiqwe<, l’Eglise : « La
société des hommies qui se réunissent en
Jésus moyennant la profession de TEVangile, sous' la gouvernement infaillible du
Pape et des évêques».
Nous ne saurions mieux faire que rappeler ici, par contraste, comment le docteur
Ugo Jahni définit l’Eglise: «Une union
de cœurs, de consciences, de volointés pour
vivre solidairement en communion vitale
avec Chribt et pour travailler à l'extension
du Royaume de Dieu ».
Si même on trouvera que toute définition ne pourriait être qu'approximative et
par conséquent incomplète, cependant (dans
ses lignes essentielles on reconnaîtra quelle
est l’église qui r^iond m.ieux au véritable
esprit chrétien, qui développait dans les
disciples de Jésus-Christ deux grandes et
foncières aspirations : intensifier toujours
plus en eux la vi© divin© et apporter à
d’autres le gralnd .bienfait dont ils jouissaient ; en résumé : édification et évangélisation. Pour cela ils se grouperopt,
étant (assurés que même s’ils ne sont que
deux ou trois réunis en son nom, Jésus
est au milieu d’eux (Matth. XVIII, 20).
Le fait de l’esprit d’expansion missicainaire du cihristîanisme impliquait que ide
nouveiaux et multiple groupemeïits de
disciples allaient se former hors ides frontières de la Palestine ; et c'est ce qui
advint.
Les aipôtres et leurs coülaboraiteurs eurent soin de ne pas laisser, comme des
tisons éparpillés, les néopihytes, mais d©
Iês réunir en idies foyers de chaleur et de
V ^
Æ
dt-
2
a.i
f
vie associée!. Le tout sans des plans préalablement préconçus, ni des prescriptions
arrêtées, mais pour répondre aux besoins
surgissialnts de l'œuvre missionnaire cpi’ils
accomplissaient, et cela selon les lieux et
les circonstances.
'■ Il y a une raijscai qui ecqpliqoue le fait
que les premières commiunautés chrétiennes ne se préoccupèrent guère d'organisation, et c’est l’attente si vîvajnte dlu prochain retour du Christ. Ce n’était qfue provisoirement que la famiUe des croyants
se formait sur la terre ; elle (devait bientôt
saluer le retour de son divin Chef, qui
l’enlèverait avec lui et lui donnerait une
stable demelure dans les cieux.
Le retard de ce retour ramena du ciel
à la terre, de la vie à venir à celle présente, les pttéoccupations des croyiaints, qui
en toute manière et quoiqu’il arrivât voulaient rester fidèlement attachés à leur
Seigneur et Sauveur. A. M.
(Suivra un chapitre sur L'Eglise chrétienne).
NB. Loi seconde partie de cette étude
paraitra la semaîm prochaine. RÉii.
Hg3SüSaS3E3g3£Rc3g3Sg33g3g3BS3e3S388E3E3E3i:eBÎBE353Hij63
Fédération A. J. F.
Nous extrayons du journal mensuel Le
Bien public, organe officiel de la Fédération Internationale des Amies de la Jeune
File, et du BjuHetin italien publié à ¡Milan, des données et des faits intéressants
qui méritent d’être connsus.
Voilà pourquoi nous demandons à la Rédaction idè YEcho des Vallées de bien vouloir nous accorder im petit espace aujourd’hui dans son apprécié journal :
Dans le courant de l’année 1932 notre
travail ne s’est ¡pas développé ostensiblement ; en revanche, il n’a pas manqué de
donner aux Comités dirigeants les préoccupations, les tracas auxquels désormais
ils sont habitués ; difficultés causées par
le canaictère des jeunes filles, déceptions et
déboires daps bien des cas où l’on s’était
fait des ilusions sur le compte des personnes dont on s’occupait.
En 1932, dans les Homes de nos grandes
viUets ont défilé et séjourné 1979 personnes
de toutes les nationaJiltés, de tout âge et
de toutes les religions, mais la majorité
était dès italiennes. Le nombre des journées de iprêselnce fut de 16.584.
. Dans nos gaæs, et plus particulièrement
à Milan, Turin et Gênes, où Fœuvre se
poursuit d’une façon continue toute l’année, nous avons aidé 2319 personnes, parmi lesquellete 1569 enfants, et un pauvre
prisonnier libéré affamé, sur lequel un employé de chemin de fer attira l’attention
de notre agente. C’est vous dire que notre oeuvre ne conniaît pas de limites.
Les oeuvres des gares coûtent annoidlement la somme de L. 13.345, et, n’ayant
aucun fonds sur lequel on puisse compter,
on compréud aisément les difficultés que
les Amies ont à recueillir chaque année
cette somme, et les sacrifices que chacune
doit faire pour y contribuer.
Les buTeaux de iplaceanent ne se ressentent pas moins que les Homes des temps
difficiles que nous traversons. Le chômage
d’un côté, et la réduction du personnel de
service dans les fdmiU.es de Fautre, rendent les demandés de travail plus nombreuses que les pjlaces libres ; preuve évidente que, malheureusement, l’offre et la
recherche de travail sont encore toin de
se balancer.
Sur 3191 femmes italiennes inscrites,
999 furent,placées définitivement et le bur
reau qui eut le nombre d’inscriptions plus
élevé fut Gênes, avec 899. Viennent en^
suite Naples, Milan, Turin, Rome, Florence,
Torre Pèlilice.
Tous noè efforts tendent vers le même
but : aider, assister, conseiller, gudjder, et
si, aux yeux d;u profane le travail accompli
semble peu de chose, à côté de tout ce
qu’il y aurait à faire, nous répondons que
chaque effort est utile et nécessaire et
que la lutte pour le bien portera, nous
en sommes certaines, du fruit pour le bien.
(3ue Dieu nous aide à ne pas nous décourager et à faire toujours plus et toujours
mfeux. *
Et nous mentionnerons encore en passant la visite de la iprésidente natixmale,
M.Ie Nœrbel, diansde midi de l’Italie, qui "
a été d’un grand encouragement iwur l’accueil chateureux qu’elle a reçu à Rome et
à Naples, où les sections ont pris un essor
vraiment cônsidéraible, dû évidemment à
la nomirnaition à la présidience, dans la capitaje, de 0VI.me Wagnière, femme du Mi-’J
nistre de Suisse près le Gouvernement
italien. A Naples, grâce à l’entraiin
sistible et à la persévérance de la viceprésidente, M.me Fasulo, et de la Prési-if ;
dente honoraire qui ne se sont pas épar-'j»;
gnées, on est^enfin parvenu à vaincre unep
opposition systématique, qui, depuis desl
années, entravait sans c^se toute activité.'
Dans la gare comme dans les ports aussi
(Gênes et Naples) nos déléguées jouissent;
de la fibre entrée, ce qui favorise énormément leur travail.
L’itajlile traverse une phase de trans-*^
formation des plus intéressantes. Parallè- ,
lement à la création ou à la réorganisation (de mille autres institutions, politiques, sociales ou démographiques, le Gouvernement s’efforce de coordonner de plus f
en plus tout ce! qui concerne l’ass^tance ■
pubhque et privée et concentre ses soins p
les plus labsidus et les plus éclairés sur fiuf
'protection de la malternité et de l’enfance.
Il est impossible de ne pas admirer ce qui.
a été fait dans ce sens : les hospices pour
fiUtes-mères, les pouponnières et les garde-,
ries, organisés dans un esprit de largeur,
avec des systèmes tout à fait modernes,
sous la direction du parti fasciste, pourraient aujourd'hui servir de modèle. Le
Chef du Gouvernement a voulu que la journée de la mère et de l'enfant fût fixée au
24 décembre, (date symbolique entre toutes, pour relever, ennoblir le rôle de la
mère et de l’enfant, sentant bien' qu’aucune nation ne peut pr(Ospérer si, à la
base de son organisation, elle ne place le
culte de la fâmifie, et au centre de la famfile « la mère ». |.
Cîette réorganisation de lia bienfaisances
a pour but d’éliminer l’éparpillement des ’
forces, d’un côté, et, d’im autre, d'empêcher l’exploitation de la charité publique.
Toutes les Associations sont tenues, par
ordre du Préfet, de déposer, une ou deux
foils par an, la liste des personnes secourues, ainsi que les montants des secours
accordés.
C’est ainsi que la bienfaisance se transforme graduellement en assistance ; Mais
le Duce veut en arriver encore plus loin
et transformer l’assistance en une véritable solidarité nationale. Souhaitons la
réalisation de cet idéal, qui est un premier
pas vers la aolidarité fraternelle, universelle, iprêchée par le Christ et à laquelle
tout vrai disciple du Mlaître doit adirer.
SESSIONE DEGLI ESAMI
nel Liceo-Ginnasio ValdcseParcggiato.
Gli esami di ammissione alla 1“ ginnasiale aArranno luogo nei giorni 16, 19 e
20 Giugno, alle ore 9.
Gli esami di ammissione alla IV^ ginnasiale avranno luogo nei giorni 19, 20,
21 e 22 Giugno, alle ore 8.30.
Gli esami di ammissione ,aj Liceo avranno
luogo nei gipmi 13, 14, 16, 19 e 20 Giugno, alle ore 8.
Gli esami di idopeità aUa IR ed alla III“
ginnasiale ¡avranno luogo nei giomi 19,
20, 21 e 22 Giugno, afie ore 8.30.
Il diario degli egami per tutte le Scuole
Medie del Provveditorato di Torino è pubblicato nell’atrio del Ginnasio-Liceo.
Per ulteriori chiarimenti rivolgersi al
Preside.
POUR LE COLLÈGE.
Ilda Revel, en souvenir de sa
chère maman L. 50,
Fanny Revel, i|d. » 30,
AUX CORRESPONDANTS.
id. R., Oreara. Reçu, merci. Prochainement.
CHRONIQUE VAUDOISE.
BOBI. Deux nouveaux deuils, à peu de
distance des précédents, sont venus frapper notre famille paroissiale. C’est, tout
d’abord, la doyenne de notre paroisse,
Anne Gönnet veuve Pontet, du Puy, qui
s’en ^ allée auprès ¡dû Seigneur, chargée
d'années, à l'âge de 88 ans, après une
vieillesse vaillamment supportée.
C’est, ensuite, Paul Davit, du Fond de
Bobi, (décédé le 3 courant, à l’âge de 66
ans. Sa idiroiture et son aflfabilîté lui
avaient procuré l’estime de toute la population ; lalussi ses funérailles, qui eurent
fieu dimanche passé, furent une imposante
démonstration d’aiifection à sa mémoire et
de profonde sympathie envers sa famille,
de la part de ses nombreux amis de Bobi
et des alentours.
«
LA TOUR. Au culte du dimanche de
Pentecôte, quatre catéchumènes ont été
reçus. Que Dieu veuille faire d’eux des
membres vivalnts de son corps.
La Chorale a concouru à l’édification d.u
culte en exécutant avec beaucoupi d’expression un cantique de circonstance, pris
dans notre recueil. j. t.
— La Société ¡Missionnaire Pradeltorno
tiendra, D. V., dans la Salle Synodale, dimanche U cQuriainit, à 20 h. 30, sa séance
anniversaire dlu cinquantenaire.
Tout le monjde qui s’intéresse aux Missions est cordialement invité. Les membnes fondateurs et le® membres anciens
seront d’une manière spéciale les bienvenus. Pour la « Pradeltorno » :
Attilio Forkperon.
— Le Saggio ide gymnastique des élèves
des écoles primaires et siecondaines a eu
lieu igu Camp dès Sports, dans l’après-midi
de dimanche. Public des grandes occasions.
Les 400 élèves, tous dans leur uniforme
spécial, exécutant leurs exercices d’ensemble (avec un ordre, une discipline, un sens
d’harmonie vraiment impressifs, au son
de la fanfare des Alpins, pTésentaient un
tableau admirable. 'Aussi les applaudissements ne manquèrent pas aux vaillantes
escouades, ni à leurs maîtres, ni au président des « Balilla », M. Corrado Jalla,
l’organisateur ¡de cette belle et utüe fête
de jetmesse.
NEW-YORK. C’est avec un vif plaisir
que tout récemment, dans la liste des licenciés en théologie au Séminaire de NewBrunswick, N.-J. (Eglige Réformée d’Amérique), nous avons lu le nom. de notre compatriote, ancien élève de l’Ecole Normale
de La Tour, ^Ivanus Poët.
Félicitations de vos amis de New-York,
M. Poët, et les vœux les meilleurs pour
une carrière bénie au service du Mlaître.
— Dimanche, 14 courant, jour des Mères, nombreuse .assemblée. Petits et grands
étaient réunis.
Un des trois pasteurs de k. Madison
Ave. Presb. Church (l’Eglise Presbytérienne de New-York la plus forte en fait
de membres), le docteur Jones, a fait le
discours de circonstance en s’adressant
l>articulièrement aux jeunes.
De magnifiques roses — don d'une âme
prévenalnte qui veut garder l’anonyme —
ont été distribuées aux élèves de l’école
du dimanche ; lesquels, à leur tour, les ont
gentiment offertes à leurs mamians.
Un chœur à trois voix a enrichi le programme. Journée bénie.
16 mai. Nous venons de confier à la terre
(cimetière ide Nyack, une jolie petite ville
sur le Hudson, pas très loin de New-York)
la dépouillé mortelle de François Grill, décédé le 12 au Rockland State Hospital, où
notre frère avait été transféré d’un hôpital de fei métropole —• sa mémoire et ses
facultés mentales en génériail ayant pitoyablement faibli. Il faut dire que l’entreprise dans laquelle il s’était engagé il y
a quelques années ,avait, sans lui rapporter de bénéfice, lalbsorbé toutes ses épargnes précédentes...
Célibataire, il venait de Pral (Jourdan)
et était dans sa 51® année.
Membre de notre église qu’il soutenait
die ses contributions, et, dians la mesure
du possible, de sa présence aux cult^, il
laisse après lui le souvenir d’un homme
de paiix et int^pre.
Un bon . groupe d'amis, accompagnant le
Pasteur, sont allés lui rendre les honneurs
funèbres, c'est à dire écouter autour de
son cercueil les exhortations et les consolations de la Parole Sainte.
Un fçère et un© sœur lui survivent,
semble-t-il, en France. Nous leur exprimons, par ces colonnes, notre sincère sympathie chrétienne. Rep.
PIGNEROL. Le dimanche soir 28 mai»*
la Jeunesse de l’Eglise Vaudoise de Pignerol a tenu à démontrer sa joie à M. Marauda pour sa permanepce au milieu de
nous après 21 ans de ministère.
Après quelques paroles d'un jeune homme qui a exprimé, au nomi de teus ses
compagnons, l’affection que la Jeunes©
nourrit envers son Pasteur, il s’est déroulé
Un intéressant programme, au cours duquel se sont produits ; la Choi*ale, les enfants de l’école du dimainche, les Cadets,
les Cadettes et la Jeunesse des A. C. D. G,
de Pignerol et de Saint-Second.
La saUe était pleine à craquer et l’auditoire a témoigné sa satisfaction par ¡de
vifs applaudissements.
IM. Schreiber a consigné à M. Marauâl
le produit d’une souscription faite parm
les jeunes — c’est à dire L. 550 — que
M. Miaraluida passe à une des caisses de
l’Eglise qui est en déficit.
Que Dieu veuille nous conserver encor«
pendant de longues années notre cher Pas
teur ; qu’il le bénisse lui et sa famiUle e1
lui accorde d-o continuer son œuvre.
go. Id
PRALI. Jeudi, 1®’’ courant, un long cortège accompagnait à sa dernière demeure
terrestre la dépouille mortelle de Jeat
Etienne Ro<tan {l’amian), propriétaire d«
l’auberge de la << Pace ». Après cinq jours
de maladie, il est entré (dans l’éternité^
l’âge de 76 .ânfe. Nous renouvelons l'expression de toute notre sympathie chrê
tienne à la famüle en deujl.
— Dimanche 4 courant, au culte, lei
parents Louis Rostan et Hetnriette Mar
tinat, des Guigou, ont présenté au Sain!
Baptême leur petit Giglio, sur lequel nou
implorons encore les bénédictions divines
— Pour le idimanche 28 mai, l’Unicffi de
Mères et des -Jeunes Filles a organisé If
Bazar traditionnel qui, grâce à Dieu,
donné un bon résultat.
PRAMOL. Dans l’espace d’une semain
le Seigneur a rappelé à Lui deux sœur
de notre église : Jahier Louise née Boù
chard, de la Ruà, décédée le 30 miai, à F âg
de 63 ans, après plusieurs jours de souli
france: et Ribet Suzanne, de Peumias
décédée le 4 juin, à l’âge de 75 ans.
Que Dieu lui-même soit auprès de b
ceux qui pleurent et que par la puissan
de son Saint-Esprit il les rende « joy
dans F^pérance, patients dans l’affl:
tion, persévérants dans la prière ».
— Dimanche 21 moi, aw culte diu mati
la chaire a été occupée par M. Guido
voiV, pasteur à Prarustin, qui, à la tê
d’une nombreuse jeunesse, a visité not:
paroisse. Nous le remercions pour le
message qu’il nous a adressé.
PRARUSTIN. Nous remercions M.
pasteur et professeur émérite Henri Foi
nerón, qui a bien; voulu présider le culi
à Saint-Barthélemy et à Rpcheplaite.
Nous remercions également toutes 1<
personines qui ont contribué à la bon.
réussite du Bazar annuel.
— L’assemblée d’église a nommé dêll
gués à la Conférence M]M. Plaid RivoÉ
Emmanuel Forneron et Alexandre Roberf
délégué au Synode' M. François Pasqi
ancien.
On a réélu à la charge d’anciens, a
une tnagWfique votation : pour le qus
tier de Saint-Barthélemy, M. Paul Rivoi
pour la Crotta, IM. David Pasquet ; p
Rochepllate, M. Barthélemy Pastore.
Le i même jour, l'aSsemblée d'église
cidait de diviser len deux le vaste quart|
de Rocheplate-Pralarossa, en norami
M. Charles Gaudin ancien de ce dier
quartier.
3
í
mmeJ
it le|
eursl
r idei
mso^l
rent
cprî
sym
ìp.
mai»!
igne
Ma-I
a de
bor
1 se
less
roulé
du-H
Î en->
detsj
X GJ
l’au^l
r de
aaxd
armi
que
s de
icore
Pas
le elà
a. là
■ cori
let
Jea^
re d^
jour^
té,
l’ex^
chré
le
5>a,ir
not
dne
1 de
sé Id
3U,
lair
œur
Bo
rag
SOI
niai
i(
sano
►ye
afilie
latìl
o
, tè^
noti
d.
Foi
culi
iS 1^
boni
dé
Livoil
iber
sque
av
qua
ivoii
po
se
imÆ
srni
— Le 27 mai, après de longues années
-de mailiadie, est décédée notre sœur S<Ur
zanne Fomeron vetitìve Forneron, au Bilia :
elle avait 80 ans. Nos condoléances à la
faaniUe.
— Mariages : Paget Alberto Davide
(Ruata' Cornera); et Alice Majan (Cardons) - Salehgo Eugène Jacques (Pians)
et Costantino Léa Clémentine (Rounc).
Gumo Rivoir.
RORÀ. Décès. Deux mères, encore dans
la force de* l’age et veuves toutes les deux,
vitennent de nous quitter pour répondre
à l’apipiel du, Maître.
Muston Adèie veum THvoim (Ruà), emportée à 53 ans, après une courte maladie. Elfe laisse en tous ceux qui l’ont connue le sotuvenir d’une personne bumble,
patiente et d’une grande bonté.
Meynet Lotdse née Morel (Rounc), décédée à l’âge de 45 ans, après de longs
mois de souffrance supportée avec par
tience et foi. Notre sœur, qui avait perdu
son mari, mort à rennemi en 1917, s’était
consacrée laivec courage et ardeur à sa tâche d’élever ses deux enfants en qui ele
avait placé ses meilleures affections et ses
espérances. Elle laisse aussi im grand vide
dans notre église, dont ele a été touiours
un membre ffdêle et actif prenant part
avec enthousiasme à toutes ses activités.
Nous exprimons aux orphelins des deux
fam,i!lles et à tous leurs parents notre
regret bien senti et notre vive sympathie.
SAINT-JEAN. lAsüe des Vieülards. Nous
accusons réception avec reconinoissance des
dons suivants : Union des Mères, La Tour,
II. 20 - J. Bfeynat, en souvenir dé son
mari M. Barthélemi Bfeynat, 50. - Roberto Revel, Vaiombrosa, 500‘ - Maria Decker, 10 - Henri et Rosine Pav,ari|n, en sou>venir de leur frère, 25 - S. Revel-Lnng,
pour les bons soins reçus de Sœur Eva, 30
- Fernando Pellegrini, 500 - Gaisæ d’Epargne de Turin, 150 - Adeline H. Parise, JlOO
- Eglise Vaudbise de Turin, 200 - Eu sour
venir de Heffiriette tMaJanot, sa faimile,
L. 100 de «Consolidato» 5 %.
Pour le chauffage central : En souvenir
de M.Ue Lydie Rivoire : Perazzi Valeriano,
L. 200 - Faimile Penazzi-Rostadn, 100 - Pamile Perazzi-Peyrot, 100 - Famiile PerazziBounous, 100.
VILLESÈCHE. Le 1®^ juin, à 3 h. de
l’apirês-midi, un long cortège de piarents
et id’amis accompagnait au champ du re-^
l>os des Rousses la dépouile mortelle de
notre chère sœur Peyronel Augustine née
GiiiUelmet, décédée le 30 mai, aux Giacouliere, à l’âge |de 31 ans. Dix jours aupar
lavant ele s’était réjouie pour la naissance d’un petit enfant, lorsqu’une pénible
et violente maladie l’a atteinte et nous Ta
emportée.
Dieu veuile faire descendre ses consolations sur tous ceux qui pjleurent son départ, et surtout sur la mère, sur le mairi
et sur les trois enfants qu’elle feilsse orphelins. « Tu ne sais pas maintenant ce
que je fais, tu le sauras plus tard».
— Dans sa séance de dimianche matin,
1 assemblée électorale a nommé comme
délégués à la Conférence de District
MM. Masse! Jacques!, Ribet Pierre et Peyronel Ehiife ; et comme dSégué au Synode
M. Willielm Henri, de VUesèche.
PERSONALIA.
Le docteur Giovanni Luzzi, professeur
en retraite de notre Faculté de Théologie,
vient de recevoir une distinction qui nous
réjouit. La Fondation Suisse Sehjler, dans
sa séance du 20-21 mai, lui a décerné un
« don d’honneur » (Ehrengabe) pour ses
travaux de traduction et de commentaire
de la- Bible.
Nous félicitons notre vénéré professeur
de cette distinction en lui souhaitant de
pouvoir encore pendant de longues années
continuer sa belle activité.
CROIX'KOUQE.
La JounHee de la Croix-Rouge a été fixée
cette année au dimanche 18 juin. Dans
toutes les Communes d’Italfe des Comités
ont été constitués dans le but d'offrir ce
jour-là iUU public des objets, des fleurs,
des insignes, et d’en demandeir en retour
des fonds pour soutenir les djffférentes
œuvres d’assistance que la Croix-Rouge
organise et dirige chez nous. C'est un appel qu’on adresse à toute la population
d’Italie, en faveur de cette grande et bienfaisante Institution.
Par une décision très opiportune diu Président Qénénaî, tous les fonds reoueiUfe
à l’occasion die cette journée seront consacrés exclusivement aux œuvres locales
de la Croix-Rouge. 'Ainsi les donsi qui seront offerts dans les Communes des Vallées, dépendant de la circonscription du
Comité idle la Croix-Rouge de Torre Pellice, serviront tous à soutraiit soit l’œuvre
des Colonies d’Bté, à la montagne et à la
mer, soit les Postes d’Assistance et de
Secours, dirigés, les uns et lès autres,
par le Comité même.
C’est dire que le public répondra laivec
élan et généroslité à l’appel que ces œuvres lui! adressent.
Ht H< Hi
Les Colonies d’Eté, à la montagne (Pian
PIrà) et à la mer, commenceront leur activité dans les premiers jours du moïs
prochain. Y sont admis les enfiants de 7
à 12 ans, de famille pauvre et de santé
délicate. Les inscriptions peuvent se faire
jusqu’au 14 courant, auprès dé M. Attililo
Jalla, président - Torre Pellice.
.5^2515.
Artigianelli Valdesi de Tup.
Nota Bibliograpliiques.
Dimanche 11 juin, à 16 h., au Théâtre
Trente, les Artigianelli Valdesi vont se
produire comme acteurs dans une représentation de hienfahemee. Nous ne doUr
tons pas du succès de' lai pièce ; « La. classe
degli ajsini », de E. Ferravüla.
La représentation sera suivie de piur
simrs exercices de gymnastique.
Nous donnons la bienvenue aux jeunes
acteurs et nous les encouragerons par nor
tre présence à la représemtation : veuMez
prenétre note et tenez-vous libres pour
dimanche à 16 heures!
Storia dei Papi, par Enrico Metnier. —
Torre Pellice, Tipografìa Alpina, 1932,
ipp. 345 — L. 14.
Cet ouvrage a eu Thonneur d’un compterenidu très favorable dans la Cultura e U
libro idu mo:is de mai, et nous le reproduisons td quel :
« Il Meynier è un « valdese », un protesteinte ; potrebbero perciò sorgere sospetti
sulla obbiettività di questo suo riassunto
della storia dei Papi. Realmente, occorre
per debito di verità dir subito che l’A. ha
cercato, e quasi sempre ha rajggiunto, una
lodevole serenità idi visione e di giudizio,
non facile ini chi, come lui, non è disiiosto *
tendenzialmente a vedere nei successori
del « maggior Piero » precisamente degli
uomini investiti di una missione divina.
Il Meynier si affrettai, infatti, a dichianare fin dal principio, che non crede ad
una istituzione divina della Chiesa idi Roma. La ipotenza di quest’ultima, e la sua
supremazia, non sarebbero state altro che
frutto avventurato di circostanze storiche,
le quali og^giorno non esisterebbero più,
almeno in buona misura.
« Raccogliere in poco più di 300 pagine
la storia di due miìLtenni di vita gloriosa,
interessante la vita d'Europa e' del mondo
non vuol dir ipretendere, certo, di scriver©
una storia esauriente e sempre primaria,
equilibrata del Papato. Tuttavia, letto conile dovute riserve, si tratta di un libro ohe
costituisce un buon riassunto storico delle
vicende pontificali, fino ai giorni nostri ».
«Il: »
La Haute Critique et la Foi, par E. de
VÉDRINES.
Etude (donnée à la XIII® Assemblée Générale de l’Union des Chrétiens Evangéliques aux OUières (Ardèche), le 29 avril
1933, — Editions de l’Union di^ Chrétiens
Evangéliques - Francescos (Lot-et-Garonne). — Prix : S frs.
rsf
HtVnc de la Près».
La Gazzetta dd Popdo a publié, dans
son ¡numéro du 21 mai, un intérfâisiaîit entrefilet sur l’héroïsme des Vaudois. Quelqu’un avait posé la question que voici pour
la rubrique : Lettori, interrogated : « Les
Vaudois morts m guerre et décorés».
« Je lis souvent dans plusieurs journaux
catholiques des articles sur les Vaudois,
les protestants d’ItaJie.~
« Ce peuple, qui est connu dans le Piémont, est moins connu dans d’autres régions de ritaJie. Je voudrais quelques précisions aussi sur les vertus héroïques d©
ces montagnards».
■■ La réponse est rédigée dans un esprit
de sympaithile et d’admiration.
.«La Gazzetta del Popolo, qui par une
longue tradition a pour les Vaudois une
considération particulière et un grand respect, répond volontiers. Ce peuple, modèle
dans la vie civile par ses familles bien ordonnées et paltriarcales, dans lesquelles les
travaux les plus humbles sont honorés autant que les études les plus hautes, a écrit
pejnidiant la guerre des pages rayonnantes
d'héroïsme en sacrifiant un grand nombre
de ses vaillants et vigoureux enfants—
:« Les médailles d’argent et de bronze
sont au nombre de 67 ; entre toutes brille
du (Plus vif éclat celle id’or du major Ribet ».
La Gazzetta résume ensuite la brillante
carrière militaire de ce fils de nos Vallées
©n d^ termes qui ne pourraient être plus
élogieux, et termine en citant la motivation de la médaille d’or.
^ Ce n’est pas la première fois, du reste,
que les journaux reconnaissent le patriotisme et l’héroïsme vaudois.
Il n’y a pas longtemps, le Telegrafo, de
Livourne, consacrait long article à la
bataille de l’Assietta et ridait hommia©e à la bravoure des Vaudois.
''^k< Aujourd’hui encore les courageux montagnards vaudois chantent et enseignent
à leurs enfants la chanson de l’Assiette»,
.chanson qui, par un jeu de mots, n’est pas
.^ans malice :
'' « Sou0enéz-vous, Français,
souvenez-vous sam cesse
du goût de notre Assiette... ! ».
Fails el Nouvelles.
Angleterre. A Hampstead, le docteur
Groes, médecin militaire, a rédigé un questionnaire relatif à l’influence du cinéma
sur l’enfance, et auquel ont répondu 500
enfants des deux sexes de 11 à 14 ans.
H faut en retrancher les réponses de 60
enfants qui ont déclaré ne jamais aller
au cinéma, 69 % des enfants ont accusé
des sensations ide fatigue visuelle cansécutives aux projections. Les garçons se
montrent plus lassidus que les filles (un
garçon dit aller au cinéma six fois par
semaine). Les films de covy-boys sont généralement préférés. 195 .enfante se prononcent contre les histoires d’amour et 125
manifestent leur aversion pour les scènes
de meurtre. Tandis que 52 enfante espriment leur préférence pour les films de
guerre, 97 autres déclarent ce genre détestable. 229 enfante déclarent rêver du
cinéma la nuit, .après être allés au spectacle, et dans 69 % des cas ces rêves, sont
des cauchemars. A la demande : « Qu’ap^
P renez-vous au cinéma' ? », la plupart ont
répondu ; « Rien ! ». Certains ont pourtant répondu qu’ils apprenaient... l’argot
américain. Le docteur Gross conclut de
cette enquête que le cinéma est pernicieux
pour la santé des enfante, et que ses effets sur leur cœur ou leur esprit laissent
à désirer.
{Infortnations directes de l’Institut international du cinématographe éducatif).
(S. L).
« « «
Espagne, La Bible à la Foire dto Livre
de Madrid. Du 23 au 30 avril, nous dit
VEspaña Evangélica, a eu lieu à Madrid
la « Foire du. livre». A cette occasion, la'
Société Biblique a installé un stand qui,
grâce à son emplacement très favorable,
ne pouvait manquer d’attirer de nombreux visiteurs et acheteurs.
L’ina'uguration de la Foire a eu lieu
sous la présidence du ministre de l’Iinstruction publique et du maire de Madrid ;
la Société Biblique s’empressa de faire don
à ohacun de ces messieurs d’un exemplaire
de la Bible artistiquement relié. Le minis
tre die Hnstruction publique prit note des
différentes éditions die la'Bible, en vu©
d’achats ultérieurs de ce livre par l’Etat,
en faveur des bibliothèques publiques.
Une grande animation n'a cessé dte régner autour de ce stand, de nombreuses
discussions aussi s’y sont échangées, pai>
fois même assez animées.
Des étuis contenant les quatre Evangiles
ont eq inlut particulièrement un très grand
succèstet se sont enlevés par milliers. L’on
estime à 4000 exemplaires le nombre des
Bibles, Nouveaux Testaments et portions
vendus chaque jour au stand de la Société
• Biblique; en outre, une quantité de brochures, prospectus, apipels, etc., ont été
distribués au publie.
{Semaine Rdigîeuse).
« « «
Canada. M.me Ch. Bîéfer-Merle d'Aubigné écrit à la Serrmne Religieuse de Genève : « H se forme... de plus en plus, dlaUs
la jeuneæe américaine, des groupes désireux d’échapper à l’indifïérenc© et ato matérialisme ambiants. La dépressibn actuelle
pousse oeS esprits à chercher le progrlêê
dans la rénovation sociale ». Ils disent :
« Le capitalisme, trop souvent soutenu par
le christianisme, s’est menitrê injuste et
inhumain, en mettant le profit persomidi
à la base de l’effort économique. Pour instaurer une ère de justice et de fraternité, nous nous passerons de la religion,
ou bien nous l’entraînerons à notre suite ».
* * •
Indes. Mort du Sadhou Sumdar Singh.
Voilà bientôt quatre ans qu'on n’a pas de
nouvelles de cette ipersonnalitê indienne :
les journ.aux considèrent donc comme sûre
sa mort..
Il était parti pour le Tibet en 1929 et
depuis lors on n’a plus rien su de
lui. De quelle manière est-il mort ? C’est
ce qu’on ne saura peut-être jamais.
Il aivait fait parler de lui il y a queques années, surtout lorsqu’il visita TEu^
rope et tint des réunions dans plusieurs
villes, avec l’alocent de la plus profonde
conviction chrétienne, foi qu’il avaif embrassée comme résultat d'une profonde
crise spirituelle.
La famMe JAHIBR, de la Ruà, reconr.
naissante pour les témoignages de sympm
thîe reçus à l’occasion du départ de sa
bien-aimée ,
LOUISE JAHIER
remercie smcèremenit toutes les personnes
qui, de Afférentes manières, prirent part
à sa douleur.
Pratool, 31 mai 1933.
VARIÉTÉ
Le paraiiuie de réserve. Le fameux
prédiciaiteur Spurgeon aimait à illustrer
ses instructions de quelque exemple pratique, de nature à frapper la pensé© et
à -fixer l’attention. Dans la petite boutade qui suit, on n’aura .pas de peine à
trouver Une bonne et instructive vérité ;
« Un jeune homme qui avait été rendre
visite à sa tante s’apprêtait à prendre
congé d’^e lorsque, voyant qu’il commençait à pfeuvoir, il avisa dans un coin un
parapluie soigneusement enroulé dans son
fourreau. H ahait mettre la main dessus
et dèmander la permission de l’emporter
lorsque la vieillie dame, qui avait dès l'abord
épié ses mouvements, se précipita vers lui
en lui disant : « Non, non, ne prenez pas
« ce parapluie ; voilà vingt-trois ans que
« je le possède, et je (ne liai jamais exposé
« à la pluie ; ce n’est pas maintenant que
« je consentirais à le laiisser mouiller ! ».
— H y a ((ajoutait Spurgeon) des gens
qui soignent leur religion comme cette
bonne dame soignait son parapluie. Ils Tap»précient trop pour la porter au grand air.
Ils la serrent dans un coini de leur garderobe, mais ils ne l’exposent pas aux intempéries de la vie quotidienne. Ils la réservent pour les cas de grand malheur ou de
mort imminente, mais ils la trouvent trop
bonne pour les occasions ordinaires ».
(Le Témoignage).
« « «
Une définition. Elntendu dans une conférence, où il était question de l’attitude
à prendre à l’égard du bien d’autrui.
L'i'i . P’ ■ ■'
4
'-fi
vSuüvBíite qui mériteÍd’être'*.
-M .-1
•; •*
ini8áitée: r-~ ,
Attitude chrètimm /
Tu 'n'fts pas, ’
Je te donne.
- Attitude mn'ehrétierme : Je n’ai pas,
."Tu as,
^ -V ^ Je te prends,^
UNIONE CRISTIANA DELLE GIOVANI/^
. r I iÿao"ffg
CASA AL MARE
in memoria di Mise Schctlck - aperta dal
15 Giugno - JÙMssda Marma - Coreo
Vittorio ,Bmanuidfi, 48* (5 minuti di auto
da Savona •** Pàrtenize ogni 20 minuti da
Piazza'Armando Diaz).
La Ca^i’'con comodità moderne, bene
f, ■■ ’i ■ fiA-, ■•■■■,
.^pata, proBSpioiente k gpoaggia, offre ogni
Éapilitazione per bagni e cure miajrine.
Tassa id’fecrizione ; L. 5 per le Socie Li. 10 per le non Socie — Retta giomalienpi (compreso cabina e bagnino) e sse>
còndo le camere : Per le Socie delta U. C.
D. G., da Li. 12,50 a L. 15,50 - Per le non
Socie, da L. 13,50 a L. 17,50.
Rivolgere le domande d’ammissione corredate da referenze e certificato medico
aJk Sig.na L. Gany - Via S. Secondo, 70 Torino.
Dal 1* Luglio ,aJla Direttrice Casa «E.
Schaick» - Corso Vittorio Emanuele, 48 Albissola Marirm,.
MCIETl BIBUCA BBITANNICA E FOBESTIEBA
- Offerte di Maggio 1955.
Riporto L, 70.777,45 — Zurigo^ S. Eev^
SO — S. Fedele Intetvi : D. Andiréettl, 10 —
Ruma : Cassetta libreria Sacre Scritture. 23,15
■^A. P., ricortiaiido i figli, 114 -' Chiesa dei Fratelli, 45,55 - Imp. Libr. Sacre Scafitture, 140,50
- OoUattato da A. Conti; 32 - Offerta speciale
Ccdportori, 526,70 — Cgtmia;. Pratschòl, 10
— Éèggio Calabria : Òhiesa Valdese, 25 - D.
Salerno, ^11,75 — Mehfi -, L.. Pierro, 50 — Cre-:
D. Argentieri, 10 — Meda: E. M. e
nìaiuun^ 25 — Beanilard : G. Godino, 10 —
Napoli : Chiesa Cristiana del Vomere, 134 t
P. Aversano, 15 - E. Santoro, 21 —Vittoria :
Chiesa Valdese, 25 — Piccole somme, 67,20 —
Totale g^erale L. 72.153,30.
# * »
Les 11, 12 et 13 juin, la Société Biblique
prendra part à k « Fiera del Libre », à
I^ie même, dans la Basilique de Constantin, sur k Via deU’Impero.
Bon succès ! Je crois qu’un petit compterendu intéressera les lecteurs de l’Echo,
soit chez nous soit à l’étranger : nous
Tattendrons ! RÉd.
JhIm Tr«Mt dirtetanr-reipongabl«
Torre Pellico - Iniprìmorie Alpine
FINE CAMERIERA, buone referenze,
bisognosa cambio aria, media-alfa montagna, offresi per vitto, alloggio, piccola
famiglia. — COMORIO - Via Monte
Grappa, 1 - Plnerolo.
LIQUIDAZIONE. Lanerie e Telerie,
Fustagni, Velluti, ecc. — Arnoul - Torre
Penice (Appiotti).
BRODOiCÀRIf
pu rissimoJUj^ccccllentc
senza
aromi
.senza v:
droghe
DOTOT
DENTIFRiaO
INSUPERABILE
ÌVIOR-Te Al TOPI
PASTAroSFOREA LSTEINEK
: _ ■
IMPIEGO FGGILE
DISTRU2I0IE SICUBik.
.Uhm* Itflin
Ut flaoou
t . IH llMOH
Qmm
fondùtm .
Mim>
a. HKà^auec. di e. SlBln»r - Varnon (Francia)
Deposito per l’Italia: Via C. Ooltonl, 39 ■ Milano
li nadita
la titta la
Farnaola t
a Drogharis
.di ■
-Si. ■
Pubbtielti BERTOLONI - Mllaito
POMPE- FILTRI
por Acqua, Acati, Vini, UquorI, Sciroppi,
OHI, Medicinali, Pròfùntl; Òotla.
IMPIANTI PER CANTINE
per Vini Spumatiti, par Aequa Qasaose
a Salta - Catalogo gratta.
BELLAVITA - via"i
eli p.la parimi 3
. GEOMETRA
PAOLO ROSTAGNO
VIA WIGRAM, N. 6
Piano primo (e cioè piano superiore a quello
occupato dalla levatrice Sig.na Alice Chauvie)
Torre Pellicc
Tutti i lavori tecnici relativi alla professione
Intermediario compravendita stabili
Denunzie di successione
fatte con criterio razionale
Particolarmente esperto nelle volture
catastali arretrate, data la ormai lunga
pratica professionale in materia.
Mobilifici^ MERLO GERMftNO
' Casa di fidacia fondata nel 1890
2, Viale Mazzini - TORRE PELLiCE - Viale M^inl, 2'
.’ Mobili d'ogni tipo e stile, eleganti, solidi, garantiti - Spedalità sedie
ed articoli pieghevoli. . i
Tappezzeria in stoffa e cnofo * Materassi - I^Uaricd a rete ed imbot*
.tifi - Letti in ferro delle migliori Case Nazìoà^.
■ V, Stoffe per mobili - Corsie TàPP*ti - Tej^aggi •- Tele cerate - Linoleam - Cocco - Lana - Crine •- Capok. /
<H> 0-&
NUOVI RIBASSI - CONSEOm A DOMICILIO
oo o-o*
V ■
MISTURA LAMPUGNAN
(RICOSTITUEI^tE DIGESTIVA)
Questo vecchio preparato / base di. esh-atti di erbe aromatiche
amare pou dose piccolissima di ferro, è da quasi mezzo secolo il
preferito, per la sua pronta e reafe efficacia, in tutte le forme di
esaurimento, da qualunque c.ausa prodotti. Inappetenza, cattiva
digestione, postumi di febbre malarica, convalescenza, sviluppo,
menopausa, gravidanze, ccc.
Ottimo per le persone anziane, che se non ringiovanisce, procura
loro un senso di benessere ohe rende meno pesante gli inconvenienti tutti, dell’età matura.
Trovasi in tutte le farmacie a L.13. al flacone (prezzo ribassato).
i.
ANTtCO E VERO
UNGUENTO
BEBTOLOTTl
del Doti. Cav. E. PERABÒ
Risolve sema operazione:
Ascessi, Flemmoni. Foruncoli,
Paterecci, Ingorghi ghiandolari
Periostiti, Ragadi. - Ottimo applicato sulle Ferite e Piaghe in
genere, Piaghe varicose, da scotture, Geloni, Morsicature d’insetti. ■ Favorisce l’estrazione di
spine, schegge ecc.
Scatola da L. 5 da L. 9 da L. 20
IN SUPPOSTE
l’Unguenlo Berlolotll
è impareggiabile per calmare
decongestionare e cicatrizzare
emorroidi irritate interne ed
esterne, ragadi - forme Congestizie e infiammatorie acute e
croniche del retto.
Scatola da 10 supposte L. 8.05
Trovansi in ogni buona Farmacia
Amm. CORSO ITALIA, 23 - Milano
liOIII! HE
ANGROGNA (Lf Vernet)
Splendida posizione
: a 900 metri s. m. :
Trattamento ottimo
Eccellente acqua di sorgente
:: Prezzi modici ::
Man Spricht Deutsch
:: English Spoken ::
mi
.. .yUpìn est,
ZfWPce.
mtícocM'ne tsC'-u^UitS' /. .
COI NA/TRI Î'CARTA
CABON^
«TK.,.-,
oijinuí:
^zZe 'ce/idAsü/i/i/i.^ziyitb
€ Cof9Í€ yiíCCcú,
C.M/tj.Co. IClfl/laTiiUo 5lww6-MJJUàmo
VIEUX
COCNAC
BRANCA
MEDICINAL
L’Aiioctto STEFANO PETROT
con studio
lo Torino - ?la Hanionl 2. Angolo Plana Statato
(Talef. 4S878)
10 PlDcrolo - fla Sllrlo Pallleo, i(Titof. 18)
Riceve
11 TonePelHoe ogni Fenerdl, tri igtimariliiii
In P«r«a ArgentiaB ogni lartodl, ore peoirM.
P
q
d
P
s:
1’
V
P
ìt.
SI
tl
rr
e:
n
j<
«
■ fi:
D
se
vi
di
V
pi
l’c
éc
se