1
VWÌ
3 f
tietit pas a« tnême monde, qu’un j»bîme
noos sépare, et, J^ciqui^pilin
ra'^on, on dfeiî^ïiburt^^ s'enî^er
bieto vite. Avec oa n^pas|de*ntiment. Il se présëalÉ à ab#cois^Pun
fç^e toujours, ët surtout quand nous
en|avons le plus besoin. « Venez à
moi vous tous qui êtes travailléset char- géa= et je vous donnerai le repos de voë
digues sont venus â I^ui. Personne n’a
j aipais jtrouyf étranger,
des müiiers onticrié ayeu joie i Christ.
est à moi et iesuis à,J<uj ! Vieu4raient-,
ils - à Christ, tous ceux-là, s’il était lé i
génie Mpréike ^'reli^étixf 33
En dernier lieu, nous disons^que le"
gejtie suscite, l’etonne^ent, l'udtuiration ^
et fion l adoration. Dans lë Testament
iiïï thriit. qp^
adoré le Christ, les martyrs put adoré
le Christ et nous voulons adorer nous
aussi le Christ, non par la puissance de
notre raisonnement, mais à cause de
l’imprepipn spirituelle que le Christ a
Pfouiiit en nqus- De Christ pour nous
q®t P^® bn génie religieux,
mais, le’ Eik .de ^pieu^ l’Agneau qui ôte
les péjdés âÿ monde. . .
Prarusim, décembre 1913. ,
E. B. Besïai,qÎ.
rîd,î!î:1'j‘i5l
- .J
«De châtiment qui nous donde la
lix esfepml^ur Dui HÉ c’est par^ëg
,^eurtr|#uresMue noi|fc avons eu
m. . tài ÉW'i
W à
i:
■'Ü
t .
^ybiei ôjioiiee nuit!*
J’aime à;m¿!,repftgentér la première
nuit, de comhre la plus douce et la
plus calme des (nuits orientales.. . ,4
Sous Un ciel presque lumineux, dont
riçn ne yoîle les proiondeurs étoilées, la
terre dort silencieuse.
.,pu ciel descend là sérénité du mysf
tère, de la terre s’élève le soupir de l’at" tenté; la paix règne partout.^ Dans
l’humble cabane dè: Bethléhem. J&îus
naît; il n’y a rien en Dui d'exttaordinaite, et pourtant p’est Dni que Ton
appellera un jour le Christ, le Fils du
Dieu Tout-Puissant.
Des anges ,¡qui veillent au-dessus de
Bethléhem, pour protéger la naissance
du grand Roi, entonnent leurs mélodies
célestes...
Gloire dans les cieux, paix sur la
terre; un Sauveur vous est né, le Fils
de Dieu vous,a été donné !
* • i !. > ■'»
y a-t-il quelqu’un parmi vous, lecteurs, qui soit plongé dans la nuit sombre du chagrin?
Des étoiles s’éteignent, aucune harmonie divine ne se fait enfendre, et partout court un frisson glacé de tempêté.
Oh I que la douleur est terrible I que
les soucis sont lourds à porter I et combien il est.difficile de croire, lorsque
l’orage gronde I
* ..............., .f . . ...
Tout est en paix sur la terre la première nuit de Noël, que tout soit en
paix dans nos rœurs aujourd’hui.
Pas bien loin du lieu oh Jésus naît, la
Croix se dressera un jour. Jésus, le Fils
de Dieu, rnouira pour ûpus.
Cette croix ne s’est pas dressée en
Vain et ce n’est pas inutilement que JéSüs est mort à cause de nos péchés.
—r « Méprisé, abandonné des hommes, homme dè douleurs, connaissant
là souffrance. Il a inspiré le mépris comme un objet à la vue duquel ou se couvre le visage ; et nous n’avons fait aucun cas de Düi.
« Cependant, ce sont nos maladies
qu II portait ; c’est de nos douleurs qu’il
s était chargé. Et nous, nous pensions
qu’il était puni, frappé par Dieu et humilié. Mais il a été meurtri à cause de
ûos péchés, bïisé à cause de nos iniquité».
Jéih#^ tdü «kpié fbr son
supplice ; rien ne nous sera plus redemandé.^ Ci H B ..3S A
r Nos péchés étaient rouges com’tme :sde il’écarlatëi ils ont été >lapchi&i
est iceBii-dont la transgression est re,f ^D4®qtjes péchés sont pardohhfe!»
15* Jésus a porté sur Dui l’iniquité de
I nous tons; comment ne se chargeràit-11
e.pas aujourd’hui de nos peines? 4 „
/(’" Eiiî qui ùops aime tant, qui nous,chérit comme le plus_ tendre des frères,
pourquoi ne prendrait-Il, pas sur' Dui.
nos soucis et nos doutes ? ^
Dorsque I angoisse nous etreint, notre
âme affolée cherche inutüenient dp repos autour d’elle; ce li’est qu’aux pieds
de la croix qu’elle le trouve et rien n'égale alors la sérénité qui l’inonde.i
Douce nuit de No ël, apporte ton baume aux coeurs en détresse, rappell^aux
hommes que le grand Dibérateur veut
les soulager de leurs maux,, afin dç les
éjeyer ayqc Dur daiftS la gloire... i . ,.,..
; .jCarillonpeE, joyepsesxlo.ches de IJoëi!
Dé jôiiV vièhdfa oh vcrtis ahfionceéez à
tous lës hommes sur toute la terre, qli’un
Sauveur nous èst hé, que le Filà de
Dieu nous à été donné. ' Ester C^i,i.i.
SUflTOUT PAS DE MUSELlfRE !
« Muselière, appareil que Fou met'aux
ânimaüx domestiques pour les 9^pêcher dë manger et de mordre ». Ç’est
Datousse qui lë dit. — Cet instrument
ne s’applique pas aux animaux venimeux ni aux carnassiers de la brousse.
— Ce qui est regrettable et f âchèug.
Ce qui est plus regrettable encore,
c’est que l’on veuille àppliquef cet appareil antipathique et démodé non pas
aux journaux connus par leur violence
atrabilaire, leur caractère acariâtre,
leur rage féline, mais aux journaux religieux généralement calmes, compassés, réservés, honnêtes et généreux.
On leur répète avec un accent tantôt
violent, tantôt onctueux, plein de componction comme la prière matinale d’un
enfant pieux ; « De grâce, journaux religieux, restez dans votre coin, soumettez-vous, sans protester à l’opération
des chanteurs dë la Chapelle Sixtihe
qui célèbrent en ton de sol les éternelles louanges dü « successore del maggior
Piefo » ; la révolution industrielle et sotiale qui est en train de s’accomplir
s’effectuera très bien sans vous ; ne vous
èn mêlez pas, car votre sentimentalité
religiensé ne peut qu’entraver l’œuvre
de progrès qui se prépare ; s’il vous reste
hn peu de temps, vous pouvez le ,consacrer à la société locale de bienfaisance,
& la distribution de quelques draps, de
quelques flanelles chaudes accompagnées d'un peu de soupe oU d’un petit
traite religieux; ne descendez pas sur le
champ de bataille, U y a trop de boue,
trop de calomnies, trop de mensonges,
trop à'orgueil, trop de mauvaise Joi, et
surtout trop de haine, de chantages et
de fripons. — Tenez-vous à l’écart ; votre honnêteté, parfois agaçante, aigrirait les esprits ; on vous appellerait avec
mépris « les journaux du bon Dieu »,
les « Unti del Signore » ; votre intervention ni désirée, ni nécessaire, risquerait
seulement de compromettre la cause
sainte que vous défendez. — Oh ! pour
le bien de la religion, pour la tranquillité
de l’Eglise, laissez-vous mettre la muselière comme de bons animaux appri
J’ai souvent entendu ce discours. —»*
f’^'gardé % silence. -4 VéteiC^du
P®8 fe moment ¿ai'%e\ pàrl^ leiài^ge foi, mo&p^isé ..^i Ins
ia» par le®tpartisans de^la mteedÉre
aux journaux religieux, ni le langage dë
î k®beifé irâns s-^3q)oser auxinsultes de
ceux qui se réservent le droit exclusif
de parler au nom de l’humanité en périma
II- attrait certes été trèsi à propos 4^.,
dire que nos journaux'religieux ont be-l
soin, pour propugnare il bene sociiüf^
morale e religioso, d’être l’écho fidèle" de
toutes les choses vraies, honnêtes, juntes,
pures, aimables: 7
1° De jouir à’mx€ grande liberté pour
développer leur programme et remplir
leur mission. Ce n’est pas avec des. chaînes rivées aux pieds, fut-ce au nom 4*
socîà1îsÎne’^6ïï“4e 'fan'archœ'," qtie Fo.a
peut faire un travail utile. — iycs œillères ont été supprimées même jjour les
chevaux des voitures publique.s, grâce
à la propagande sensée des sociétés pro-,
tectrices des animaux. — Ne le. mettez
pas, ni aux journaux religieux ni à leurs
directeurs !
2° Pour être intéressants et lu:, üs ont
besoin d’éclairer toutes les q iestions
religieuses, sociales ou politiqu s. « Un
peu plus de lumière », disait Goethe sur
son lit de mort. — Ne refusons pas à
nos journaux religieux le droit de jeter
un peu de lumière sur les problèmes qui
intéressent la famille, l’Eglise, la patrie, le courant des idées nouvelles. —
Mais s’ils soutenaient, dira peut-être un
esprit craintif, des principes que nous
ne partageons pas entièrement? — Que
importe? Il n’y a que les tyrans et leurs
élèves les anarchistes' avec leurs cousins et leurs amis qui prétendent que
la lumière, pour être bonne, soit teintée
par la couleur de leur parti !
* Noub ne so^mmes. pas.~à quelques ex- ,,
ceptions près — de ces gens-là. — Nous
disons au contraire aux journaux religieux : surtout ne vous laissez pas mettre la muselière, pas même si, en faisant
cela, vous étiez sûrs de recevoir les applaudissements... des négociants populaires et des commis voyageurs de l’appareil dont Darousse a donné la définition que je viens de citer.
Hedwig’ son.
UN ÉPISODE OE L’ÉVANGÉLISATiON
PARMI LES MINEURS LIÉGEOIS.
Il y a un accident à la houillière des
A.; il paraît que trois fiîs de chez M.
sont tués ! — Telle est. la nouvelle qui
nous accueille au retour d’un voyage,
et qui déjà court de porte en porte
mettant l’émotion dans les ménages ouvriers qui composent notre communauté. Chacun est désolé; la famille
épfouvée est la seule qui se rattache au
protestantisme évangélique dans le village des A. ; très unie, très hospitalière,
elle a l’estime et l’affection de tous.
Peu à peu, les renseignements se précisent; ils sont un peu moins graves,
heureusement, que la première nouvelle ; deux des victimes ont été retirées
vivantes, mais leur vie reste en grand
danger. Et nous apprenons les circonstances de la catastrophe. Depuis quelques jours, les trois frères travaillaient
ensemble dans un montage, c’est à dire
une fouille partant d’une basse galerie
et s’élevant presque verticalement. D’aération s’y faisait imparfaitement et ils
s’en étaient plaints; ce jour-là même
ils avaient juré qu’ils y allaient ppur la
dernière fois. Hélas, c’était une fois de
trop I
Ils arrivent à leur besogne; le plus
jeune, Déonard, qui est «boutefeu»,
monte en avant ; les deux autres le ^ii|Vent ^é,^rès,tmai^l’air est charg|
^isoiœ^r les couj^de dynamite
^ pàr^s ouvriejri qui viennent' âé
quitté* li taille. De'premier se serri iâ
tête lourde, crie à ses frères de prei|dre
garde et veut rebrousser chemin; ihais
: il perd pied, il glisse, dégringole Va
se fracassei le'ïiâne au fond de la,^ galerie/,-j cinquante mètryS' plus bas. ; Un
instant après, un second corps he suit;
. ç’est Jean-B*aptiste, son iièfë a|né;
quant au troisième, Daniel, il est iffira--'
cujeusement -arrêté dans sa chute q>sr
une planche transversale, à laauelle. il
• reste suspendu sans connaiss a î
tout rentre dans le silence ; ils ■.
personne n’a rien enieudu e;
songer à les secourir. Et ii i .
comcidënce providentiel!'; .
heurte du pied un ca
tre, se rend compì qu'il doit y «
un troisième, < t après avoir aupelé en
vain, grimpe dans le montage et va
prendre sur son dos m corps de Daniel,
en aiipàïgiice inauunt;, . ' ...
Il s’agit de lés remo.uter a i plus vite;
le cable focctiorné, la eag
et là-haut,' à l’ou\ ‘note d'.
e. Rutó itsëüls
e Reut
ra une
)re, là i
on qui
un au- ■ -'Pl
remonte;
/'uits c’est
encore un frère qui, sans rien savoir,
opèr^ raçcroçhage et a l’atroce sur-*
prise dç reconnaître en. ces cadavres des
figures , ai urées... Vite on s’empresse;
pour Déonard.ü n’y a rien àfaire; JeanBaptiste, grièvement blessé, est trans-,;
porté safls connaissance à l’infirmerie,;
quant à Daniel, après plus d’une heure
d’efforts pour établir la respiration ar.-^
tificielle, il ouvre enfin les yeux au moment même ofi son père arrive au lieu
de l’accident. .ri
't ii*. ♦
Quelques heures plus tard, nous arrivons àJa maison de deuil. Comment
consoler dés: parents "sr ‘ brÜsquternënt,^
si douloureusement éprouvés? Dieu
soit loué; nous sommes chez des croyants authentiques, et l’Esprit de consolàtion nous a précédé. Voici le père
qui vient à nous; ce n’est certes jpas un
phraseur ; taciturne de tempérament, il
lui faut An effort réel pour articuler
quelques mots soiis le coup de l’épreuve
et nous savons que c’est le cœur qui
parle, tandis que d’un geste il nous
montre le lit où est étendu Déonard;
« Que le nom de F Eternel soit béni ! Car
celui-ci était aussi avèc Jésus ! ». Puis,
en nous conduisant dans la chambre
voisine ; « Ee Seigneur a bien fait les
choses ; il nous a conservé notre Daniel,
qui n’a fait que nous consoler depuis
qu on l’a ramené. Daniel, voyez-vous, !
c’est le premier fils que Dieu m’a donné
après ma conversion ; je l’ai consacré à
Son service dès sa naissance ; c’est pourquoi il l’a gardé dans la fosse aux lions».
Et avec lui nous pouvons rendre grâce
de la délivrance dont à été l’objet le
cher garçon qui est président de notre
Union chrétienne de jeunes gens et moniteur fidele, faisant chaque dimanche
plus d une heure pour se trouver à son
poste, à 9 heures du matin, après avoir
travaillé toute la nuit au fond de la
mine.
De dimanche suivant, un enterrement évangélique attire une foule d’environ deux mille personnes au cimetière où quelques années auparavant,
la prédication de M. Cacheux était ac- *
cueillie à boules de neige. Cette fois-ci,
la foule est attentive et sympathique;
! les drapeaux rouges du syndicat ont
ouvert le cortège; et c’est dans un si*^
ience religieux qu’on écoute les dis^
cours d’un unioniste et du pasteur, puisIp chant d’un cantique quë le jéune wi-i >
2
lí í '
fe
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ir
tieur chantait volontieia à; s@a »
an fond de la fosàe:
A tpi ma vie, à toi ïpoîî ® A*
O CMst, îçpn Fïère.# .^a Sauveur 1
Qp’à ta voi:^ doupe^^4ll4s^’appelle
Tov'^Jours j’obësse, fidèle. 1 ^
Oh ! viens me prendre par & matû,*
Et conduis-moi sur ton chenpn.
***
Il fallait poumuivre lê^^^ailles quess
Dieu nous avait^rmis de faire dans’pe ^
village en de si trafiques pbnditidns.ij^''
Tout l’été, des conrses ïn^slc^naires réguUères y furent pliÈE^ées;|’Evàngîle
retentit au hord de la f otite, ét bien de§j‘,
Evangiîës furent Vendus, biài des trai^
tés ou des feuilles illuSfcrées ^distribués, ■
qui sont autant de graines d^. vie que 16 ;
Tout-Puissant peut arrosef; «je sa grâce.
Mais nous avons dû faire uUeaiois, de
plus l’expérience des diificuji^s, des Îeiyteufs de I'éyaMg^â,tîtÎf?l^''les *
ges où le ple^Ccath Çdemeùrl
tfe temps"îâé ’fèsi^,
«reimemi vint, et sema Pivraip parqû
le bié ». ■,
X<’ivraie, ici, parut sous la forme des
calo-üiüies — si vieilles et toujours-le.nàibsantis ^ contre le protestantisme
et '.'ontre les. réformateurs. Tæ vicaire ‘
A. lie se borna pas, à les .lancer du
hau de la «chaire de vérité», mais il
organisa au ..cercle d;’étwde,': catàrti3i«e
use série de causeries sur — pu plut^
contre — Martin Dûther/Xe'présidenib
de 1,’Ünion chrétienne-aFf.nfiifté4ayiit8
ë pister à l'ùneid’énfrevdiys^ouJ^ài
de l’accompagner, ce quf,j^us fîmeil
avec plaisir: ce n^est pWtous les jouri!
que nous avPns l’occàsibfi’Aieîp^nétrerl
dans un patroriage catho|iqu^,^ H Ü
Une petite sàÎle de pféfnîèr* ellg4i
remplie d’envirôn 13b hommêâ'; on esÿ
venu nombreux, notre présenoehétanii
annoncée; il n’y a plus de place assise^
et nous nous tenons debout dans le fon4
tout à côté du curé-doyen. ^ 0
Ua séance est ouverte à 8 hl^ ^ sou§
une présidence laïque, Un J)rocès-verba|ppas d’appel. M. le , vicaire a.la. ,p>a]Fp%
pour sa conférence sur le&.origims^u^ protestantisme. Pendant deux heu'feFtT'
parle, non sans éloquence naturelle; il
expose à sa manière l’histoire de la réforme, attaque les doctrines de l’infail
«r^oserditemeat et
^®"iê-laixgénqli^‘“àp^ofter un ^éu‘d’aij
dans cette atmosplt^p
]i^a|§ril |audra
vA ^i%' la parole est donnée
à l a’ boh^ ^pout 10 minutes.
A cela se réduit 1|é cmd^o^ie cié^ide I
Nos >.ptotes!tetionivn#èlangent èeu à
1’affmfie‘j û'ïibtrè proportion de repfeari
fcj . gv -iiv J 4 ■ ■i'
^ dre le ^ujet dans mnè ^tre<,0ynce/vpii^
nous répond que Iç question est résblûe;,
“ que l#prc^èsthntiimé. ês^j jugé et qne |^
' cerGlp’a :“4’:âutresisûiets âq?'
jour. Nous devonéuoy^ bômei'^ en gpèl- ,
qiips mpfe, a rectifier les énofmitéç^es
pbtefitbs, a suppfer les atiditétirs
\de profiter de cette occasion nmique
lire 4a Bi^lf qui est là à leur disposition, et à les :^’\^ter à une prochaine
’ cojprence çontfadiftoirè à 'Îâj^âi|Sif^
i du ■''èu]^e.^'a|i'aice, h'éks^<n^b^ja*’ vons^qu^a |lupàrfn’füront f a^le c^uragç^d’y yepir et que Je vicair^ç en. tout
cas'F brillera par son i absence mais
nous ne faiblirons bàé'âü deY.qil;d’^
•‘clamer .devant des aesprits ¡moins préveiins 'hr, bonne nouvelle de l’Evangile
4D.M ii .M&ssag6x,JBelge A)^....,_ .,
libilité de la Bible^ du libre eya|nen, de.la justification pat la'fôrseülVf s’êtefid"
surtout longuement sur leS|Vices de i,uç-'
ther et les grossièretés de ses « Propos
de table ». S’il n’y a, pour nonS,> pas grand chose de neuf dans son exposé,
il y a cependant du nouveau pour ses
auditeurs: pour la première fdis-la Bii-'
ble est là sur la table du patronage et
le vicaire y puise des citations nombreuses. Il s’en excuse d’ailleurs à maintes reprises, expüqùaàt^qtfe g%sÏ =^en
ennuyeux, mais qu’il faut bien se servir de citations bibliques avec les protestants. Et il en tire, parfois, il faut
l’avouer, des choses assez impré-vues :
c’est ainsi que pour justifig^.l^i dqgjrim,
catholique des indulgences, il cite-a Cor .• «
II, 7, où Saint-Paul inyite ^eSslecteurs
à « user d’indulgence » îfverdioniifcalrffeeli
lique) envers un pécheur, de leur çq^-jf
munauté ! Personne ne bronchç, nttlrùci3’|
l’air .de se douter que toute l’arguîpebr\
tation est construite sur un pauvre jeu.
de mots. Il va sans dire, quej)as.un;deSj
auditeurs n’a sous les yeux les textes
dont on accumule les citations. Et nous»
souffrons en pensant à totites^Cès jeunes
intelligences qui sont tenues sons l’éteignoir, et qui peut-être au jour où elles _
reconnaîtront les fissures d’un tel en-^
seignement, ne trouveront d’autre refuge qu’un athéisme non moins décevaat, CQift;çe ijous ginierions pouvoir^
il.l
¡jiijiajimxi7WifT.i-ii.il 0
V Eccoci a mantenere la prpmessa fatta la
f|ettimana scorsa, ¥iprfendfendò là ' jitìtiblicaliiony àelÌè^'ÌfM;è di stìttoscrizioni, e siardlo
||ieti di fàiè,"SegnaÌandó aÙà ricono
’«cen^a.sdij quanti alla nostra Scuola, si inte
Sissano, il dono munifico dell’egregio comtn.*'
ederico Selve;, di Torino. St,giiisti/ehe seguiva sino ,s0tt<^izione 11
IJavprp che noi venivamo compiendo e che
Jyolfe ìil fecSrrente del
b’andamentp della -nostra .collctta,) yi avev.a
ifin dai principio lasciato sperare un dono
Ipospictìò, ed oggi, che la Scuola Normale
|Mi&ta -è utt-£a4to-.c&mpiatoy VoUé. eoÀMe4a£e
lla^ sua simpatia pgi; il nnovo Iatitn(y3»
^ À. guesto .Mecenate dell’istrnzipne pubblica,* nonché alla'di lui gentile Signora, che
ideila còsa si è pure tanto interessata, noi sen'•*vplgere-.„particplari rinigraziameati,. .augurando che il suo ..esempio
"Sw^Bigirqtiattti ancorB-mon-diedero;-« dare,
— e a dare con generosità, per affrettare il
raggiungimento della meta. !..
21» ìfiSTAiDTSGTTÓSCRIZIONE:. ;
Comm. Federico Selve, Torino T. 25.000,-jì’j|isy;,.^e^é^ii^ f( . ( }! 10^-079,0^
TOTATE GÉNFRÀtÈ L. 97.079,
ì\jy2»JlJrlTAlM4oTfOSCRIZIONE. '
Ricavo netto del Bazar tenuto
ii,"fiaiTotféi-®BHÌ€fe.’im'' Settembre; -»
I9Ì3 . . : E.
Ricavo nettò di vari Concerti
dati nelle Valli Valdesi »
.íTotaleí ziilEi^, E.
• Éièté precèdenti »
TOTAEE GENERALE E.
5.062,50
I-037.90
6.100,40
97.079,05
103-179.45
'3Â
Pel Comitato Centrale
ViivERiANO Ferazzi.
CHRONIQUE VAUDOISE
ì.rsir
Vf,*
4bîStiéit ute quantité de
: dé^üs «ur& mafche de ïa Colonie, où
ils^troiiVe|cttm}^mentitabli; ce dont
apiSs Ife temèrcimssÊicèriment. En
vâdb la. Ug$b di &nduitie qu’il s'4
' tTaiEfée, ÿVI. EioSt^ s’^t efforçjÎ^’
rœiporey l^j ^3^tènfe df culti]^^
ch^ps sum ji^qttSci,’et s’es^7|||[ ^ ^
meùt pjacé;.à .10^tq;d’ube soci|i^’eb<ï4|
péiàtiV|, a^n dé se soustjlraire
d^ 'pTfteu^ (fjaîgejit qui
jusqu'au 12^ %.-.iEn se mettant ea.^la-b'
■ tiboi av|c l’înspectetâ: de|’Etat,-iJ. à
'ôbt^nirfe dan3 ses e^ais des atôübm-:
jtiéiib slnsities ift^ après «avoir-ô,b£^v
|.ùtue;gra|ide;yarilté de graines d®Ja
V du goUvernemeùÇ â; pétri;, au 'bout'W
^.peu deltemps exp^r prodifits ea;
obtenattt plusieur&MédaiJles et putf prif Î
me de plus de? mill^iastres. Nx^bte-arÂ}
: se trou-te fc^ endeiàagéjïet a pîSsÎ^-pàÆ
s à plusiéurs Îcongr^^e çoopérattiom '
Tout^ derj^ren%i< ¿e la Visite
gdu coUsul générât^® Sapta Fè, M. le;^,
.{Comniaudeuf Add^e Késsi, q4*'%i|-"
tait tôx4e la pUroyi^S, il :^t reçu pat lùî
lîiiet acctfcilli ,J;yè§ fcô^ialement par ce
haut personnage, Ç^i fut heureux d)^j|
berrer là matU à tw^yaudois, rep^sentant d’Un peuple ^vah fidèle au
à la patrie, oedont-ffle fé^cita. Aubah-^
‘ quet, li|. Rostan remerc^ sincèrement
le consfh et-éiernîttEà soü discours, en,.^
là.afeue Malienne, p'St;es paroles : «. %m-°'^
pre ayeliti Savoia'f:’’— Nous adreslbni^
nos siîîcêfèS'fêîlcîtàtlôïïs ■à“”Mr'Rostan'
pui§s|-t-il,.^l9ngteuips^ epçqfg, ..honorer
sa pâftié pâî’beu'’^àcéi^^'ér§bh*hén
bieq^
avoir
,ajat comme
%Moi et niâ
y-, ,_c»» ■>' -y ; ...«liKê-VV^
. ï|.,le Roi i^jTd’ac
BARÍ. Notre collègue M. Vito Gar'-rette’T'ùprès une année seulement de
-ffliïïistêrë dans cette villéT' pôur plùlû^râ «ais.ou?jq,U;’ilvest inutile de., menftonner, a jugé bon de quitter Bari, l’Italie et l’Eglise Vaudoise pour se transBor||§gyéçi 4a ffmi% aux, Etaj:s-tjnis.
Nous apprenons maintenant avec plaisir que ce pasteur zélé et capable vient
d’être placé à la direction de l’Eglise
Jresbytérienue de Hazleton P». — Evidemment son départ a laissé un vidé
daiis. nos rangs, mais ce qui nous çonsole-.b’est'que notre collèguë saura' tfayailler avec foi en Amérique pour la
même bonne cause. Que Dieu Veuille le
bénir abondamment, c’est- notre vœu
sincère.
I ECHÂNGUE. Nous avonb féçù ùrfe
longue lettre de notre ami M. Théophile
Rostan, de h. Colonia Dw^er/ail,. Entre
J moué kmvbm,iéi ^pré
sideni -d«: iai- S.0mié.ij[rau4ohf< âq Genève.,Ja belle spmme,,.de frs. 40 pour
que ^remercier bien cordialement tous
nos àmfs "VffiiSôîS è^qui ont
voulu penser à nous, et nous chargeons
M. le Président de fa Société Vaudoise
d’exprimer à" tous Tes ‘donâtéùfs’ üotre
vive reconnaissance. En pensant à.nous,
chers amis, vous faite.s, Jes. .fieureux, et
les fêtes de Noël et du NÔûvéi-An, seront d’autant ^lus appréciées. Que
’ Diéû ■^ëùnie ypns: bénîf abondarriment,
chacun dans votre travail, et nous ne
‘ voulons« pâs'*^©ùbliéï- dot. séMhà'Mér
un heureux Noël et une nouvelle an
-N, a-; a* -»-twnn-HJjt-aay im TWTVitrr r-vu-‘Pluir-^g-.w h
nee remplie de joies.
■-Voici la.liste des souscripteurs:
HSifi Güidoïti,'-frs.i^'-“^'JÈ^
lier. 0.50 —■ Eli Martinat, 0.50 —^ Jacqùes Forneron, 0.50 — Daniel Martiinât, o¿75 —- J. Gostabel, 0.50 —Henri
jMartinat, Arbeit ^nn|i^-i;J^
A. Gaudin’ '-f- |/t4ielFô£nerél|, | jJ.ÇMJdeleine i-Ôifësçâ., i i^-.^psaliW
bon, I — Fanny Forneron^
fPàkl Easquet, l — M. Jtastèt, Il
jMjle Baret, 1.50 — M.me C. R. Garidî(|l, I —Paul Pasquet, i ^Jl. Avon-'
det, I .1 — .Feniittaiid JlaSs
,g, 2—M. Hong, 2 —Adèle Andrion, /
J J— Benzonelli, 0.50 — A. Quiblier,
p-Ao — Jean Paschetto, 2 —M.ïle
Anna, 0.50 — J. Ricca,p.jq-J-Josephs
Combe, 3.50 — H. Botréhaid,' î
Gönnet, 0.50 — Eli Martinat, £>.50 .
Fainille Benech, 5 — Total frs. 40.25.
n ÈA TOUR. Encore deux décès: cêliii
âsM^^the Avondet, de Riô-ctos,enlevée
h 1-affection des siens par une violente
pnfumonie, après quelques jours de
maladie seulement.-fíon fils Alexandre
J Ju arrivèï’ à téii^è Aé Nièe^qjbùt là
Voir encore, mais seS"^tja| jqui ¿
épîit à New-York, ainsi que*^ son aùtre
IP^: Albert, n’ont plüs éü'oé privilège.'"
Api mari et aux enfants affligés, nous.,
fss^rimons notre vive sympathie chré
iiôiine; notre sœur n’avait que 68 mis.
Celui de Lageard Madeleine veuve-Ja-"’
iiàiel, des MeillçSÿ qua:ÿiei des Bonnets ;
Chàbriûls. Notre sœùr,. ôri^naire.i’de ,J
I|oínaret et décédée à l’âge de: 73 ans,
a*’puffert assez longtemps. Que Dieu
soit avec son fils et sa belle-fille, surtout
en ce moment de deuil.
'm! .
' Dimanche soir a eu lieu le dernier
exaiœn de (mssrtier; de V^
No.tÈT avons é'ü'pàrfôüt de ‘beaux aùdi- ’
toires èt dès auditeurs attentifs. Dieu
veuille que le sujet qui a été traité, ce-r
X a.--.a’-î
)ÿ^de la
Tron,
Syndic
ide liftissei
pù^; il m«r#ll^mé
^l^llelle- ■
ajouter
^^trd« public,
__________________£Sit Jfi bienvenu
etianssi
'jEtops Pdresspné,i^‘íélicitat|qQ^ pp:J:onciliafetiF desia SíeÍDdite;£t4if de
P»sa,Y.'.On^.f*‘
la
d*»ïméès. eö
i^út at
tîlie^éeor
ap. travimi f Japs T
i^ef ^oH’siÎ
Veuillez ptibiii
yj^ilîlle les
ptTDiier ces queiqfi«|:i^es
sur notre cher Echo: Dimanche dernier,
déoemlùm: ie» éléo(beùiS> * de notre
pamis^P^cqnçqqp^ .^x^cíJer à
|^^ctmpides >iicifftS,,iSq. fe©at affirmés
sur Jes 4rnms sulyauts: Vilfe/HL. Jean
Jféélectíbny ; Pommiers-^JoúrÇrîflirjelçction) ; Ribbe,
iW-^ ^stàni '•* Louis
Parus-, Âàreâs, M. Jean Menu
tan. Nôüs’àVôns la pérsuâ^on *qué tous
ces frères voudront bien a< ^i^ter cette
chargéfii^mîa; èpâous ffii jfis És meil
leurs ViéAk' Afùe ÔK
bémpçt Jfs, gttidef en no
pendant de'longues ann
N^#-A^RK;.’ nor ■
^è'i^re ' tt.,'Étienne '’rai,'
avec M.lle Lina. M .., de
Rorà Ee 17 nóveme-. ,.*«ii-ne EsIÂer
CoíyWs.Au.Viáaf, aùèîSme élève àe no- ’
t£é ..avec. M- Éarham .Serposs,
de Bulgarie — De 23 novembre M.lle
iVefe Salle, de Florence, avec M. Arrigé Rajóla, ^iRjàas. Í ■
Tous ces mariages oat #è célébrés
avec j’iuteryëntion du' pasteur de l’Eglise, qui rèàouyéMe àük' époux ses vœu x
les plus sincères defbiSahSur sous le regard de Dieu.
. -».-.-De-dimaaehe ïé-novembreŸM; de
pasteur Vito Garretto, étant de pas-'
ÂWj^orlt,- a p^ehé àtu^
2jTimSl713,-:f 1’Ê4
glise colonne et soutien de la Vérité,))
dont il a su tirer de belles applications
pour notre peuple yaudois, en intéreà
|t| j^^ejatitlà Id direction* je
sè'" it'alieùtië 'presbytérienne- de
jHezl^pni P®-, et nous savons qu’il ,qst
d^à b’èâtfcoup apprécié. ; , i
De même dimanche nous avons
eu l’assemblée d’Eglise p‘our la lectùfe
Rlâpg^îS.inudl«l1| li MÜscussiôh
d’une proposition très importante; dos
âhljens, celle d’inviter le pasteur àdoîiner, dorénavant, tout son temps àl’îœtt- ,.
yre parmi les Vaudois et conséqûenymoût'dé lui faire" un honoraire réguiîêf.
D’assemblée s’étant déclarée unàrtimemeut favorable à la chose, M. Griglio a accepté en remerciant et en implorant le secours "de Dieu pour Tac«*
complissementde sa tâche. Reporter^
Ab. payés et non quittancés.
^ '1913 : Benjamin Tron, RqdoreJ: ^H. Pascal, Turin, 1914^11 se trouVe en effet qu'un
Jl EiîiPaKïàl » deux lois, et j’aynié
passé l’abonnement à... IQT4).
1914: Rev. D. Miller, Bordighera — Mat»
chese d’Angrogna, Codogno — Dott. Si
Rocchi, Roma (contraccambio angui î) ' -DCap.,Qiov. Ribet, Potenza — Cav. Tommàso
"nRIbef,' Perosa —Prof. G., D. Prochet, -Tu
Rivoli M.me Galhan, Marseille — M.me
Gaydou, Id. — M.me Pascal, Id. — M.me
ArcangeU, Milan (échoit i.r sept. 1914) —
E. J. Deidheuser, Milan — J- J- Ribet,
Cuorgné — Schalk, Turin — J. P- ReVel;
P^erol-— HpwMd Th;. Gay,-Beifatàe —
Riva-Eong, StXCermàîa, — j
mas. Id. ■
C.-A. Tbon, Direçiev/r-reêponsàblt^ \
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, .V. mma I. »Mgf» λ appranrtótó
Ma aall’uieia peròlibya a ridotto.
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OtfMItJt tt upèr’ì^ ¿ea.fliiÿïat^i|{£Î
Bridai^n tutt'e duf^ pM f ,
Per l’acqua di CHÌnilìa'di Migonéi
Cha poi Mron col I^Àiàrti udditóo.'-*^-*"
y.
; Par eke alla ftadreJ .6tto non diqiiiaecia;^
Anzi dir ti dovreUio che It gaita,'' ^
Che I Umbi tl prcMtae U fabcta.
■ ■' -'if'i; '
Per ttuper pei retth te«iu parple, ; , j
Quando vide venir ^nte di .hai^a ,
Sul mente dqUa'pfeala'dua prole. " '
. ... I' - . . •.
sistema spèciate e con materie di prìmissteia qiialifl possiede le mitìiforr viitó teraqmil^ le quali ff ^
in possente e ^teimce rigeneratore ^del sistema capillare. Essa è un liquido rinfresé^^® P^®*^**» ed Hi
mesAa^A fio Aaa4a>ì«a aenMM4nl2 ^ ____ ^ ,
preparata con____________
soltanto sono un possente_________
interamente composto^ sostanze^ vegetali.
Nonjambia II coibré dèi capélli e ne impédisce la caduta prematura. Essa ha dato risultai immediati e soddisfacentissimi aiahn quando la caduta giornaliera dei capelli era fortissima.
1“ wshim.». cjwjnodo^ «d nh'hM^jto tuW I Fjrmâciiÿl. Profumfeft. ParrùccfiWrt, Óroghìerl. éhtneagllerl . Bazar, i'
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