1
ani-rfl.ntième année.
6 Juin 1924
N*» 23
L'ECHO DES VALLEES
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
Poor 6 mois
PRIX D’ABONNEMENT: Par an
Vallées Vaudoises..................._.............L. 8,—
Italie (en dehors des Vallées) et Colonies .... » 10,—
Etranger..........................................»
Plusieurs abonnements à la même adresse .... » 19,—
Etats-Unis d’Amérique............................. 1 do"
On s'abonne : à Torre Pellice, au Bureau d’Administration de VÉcho (Via
Arnaud, 31); dans toutes les paroisses, chez MM. les Pasteurs.
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L'ABONNEMENT SE PAVE D'AVANCE.
S’adresser : pour la Rédaction, au Directeur M. Jean Coïsson, professeur.
Torre Pellice — pour l’Administration, au Bureau du journal. Via Arnaud,
N® 31 - Torre Pellice.
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
Tout changement d’adresse coûte 30 centimes, sauf ceux dü commencement
de l’année.
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Qnc toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables.. dignes de louange, occupent vos pensées. (Phil. IV, 8).
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PENTECÔTE.
« N’attristez point le Saint-Esprit
de Dieu, par lequel vous avez été
' scellés pour le jour de la rédemp
V tion». Eph. TV, 30.
I', I/)rsique nous possédoils quelque objet
auquel nous attachons beaucoup de prix,
et que nous sommes appelés à nous en séparer pour un temps, nous le serrons soigneusement après y avoir apposé notre
noim et notre sceau. Cette marque est destinée à nous faine reconnaître comme les
propriétaires légitimes de ces objets, dans
le cas où ils viendraient à se perdre ou à
être volés. Tant que le sceau demeure: intact, les joyaux sont en sûreté, et vous
avez la certitude de les retrouver à votre
retour tels que vous les avez laissés.
iVous qui avez mis en Chri^ votre espérance, vous êtes ses précieux joyaux, plus
chems à son cœur qu’il n’est possible de le
dire, car vous avez été rachetés à un grand
^''prix (1 Cor. VI, 20). Votre rançon pèse
plus que le monde entier, et le Propriétaire divin qui vous a acquis s’en est allé
pour un temps. Il s'est rendu dans un
pays éloigné, mais avec l’intention de revenir ; et son désir est de vous retrouver
à son retour en bon état, sans taché, irrépréhiensiblea et toujours à lui. Aussi vous
a-t-il marqué de son sceau, d’un sceau
royal, portant son nom et son image. Il
vous a scellé comme étant à lui et de manière à ce que la marque en fût visible
pour tous. Et aussi longtemps que ce sceau
ne sera pas brisé, vous êtes en parfaite sûreté. Aucun voleur, aucun mal, aucun accident ne. peut vous toucher ni vous nuii“e.
Ce sceau, c’est le Saint-Esprit, qui se révèle à vos cœurs par un sentiment de paix,
' de confiance filiale, de communion avec le
Maître ; par la douce assurance que vous
êtes à lui, par la joie à la pensée de son
retour, par un lien qui vous attache
au ciel, en un, mot par le sceau de l’Esprit.
^ ^ ^
Toutes les fois que vous faites quelque
chose de contraire à votre conviction, vous
commettez une imprudence à l’égard du
sceau, vous pourriez le détériorer, le briser, et,- en détruisant la marque du Maître
à qui vous êtes, exposer à toutes sortes de
dangers un trésor qui lui e^ si cher. Ce
bien peut s’égarer, tomber en de mauvaises mains, être endommagé, périr même ;
car rien ne le protège. Et si vous le laissez
se perdre, qu’en sera-t-il au jour où le
Propriétaire reviendra ? Qu’éprouverez■vous alors ? Que dira-t-il lorsqu'il trouvera
le sceau brisé et le trésor perdu? C’est
pourquoi prenez garde de ne point attrister le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous
avez été scellés pour le jerur de la Ré^^ption^
'i II est consolant de penser que ce sceau
tfa pas été mis sur nous seulement pour
cette vie et par rapport à notre âme, mais
QU’il intéresse aussi notre corps déposé
dans le tombeau ; car nous devons porter
cette marque divine jusqu’au jour de la
tesurrection et de notre entière rédemption. Bienheureuse assurance à l’égard de
ceux dont la poussière précieuse et sacrée
^ose sous la garde de Dieu même. C’est
^ un, profond mystère, mais une vérité
cei-taine, que cétte poussière est scellée par
>
Dieu, à qui eUe est chère et qui en prend
soin. Quand le Seigneur reviendra, la porte
du tombeau où elle a été dépo^, sera ouverte, et vous retrouverez le trésor intact
et dans toute sa beauté. Ce serait déjà contrister le Saint-Esprit que d’en douter.
:îi :l:
Mais voyons d’une manière plus précise
comment le Saint-Esprit peut être contristé en nous. Pour répondre à cette importante question, rappelons avant tout
que le Saint-Esprit agit sur nous par le
moyen de la conscience. Il y a une conscience. naturelle d’après laquelle les païens
eux-mêmes seront jugés ; mais dans le
chrétien, la conscience est plus qu’un instinct du juste et de l’injuste ; elle est un
organe, capable d’entendre la voix de l’Esprit. Il Va sans dire qu’elle doit être instruite par l’Ecriture, autrement elle pourrait prendre une fausse, direction et devenir maladive. Or, comme c’est la conscience
du croyant qui porte le sceau de l’Esprit,
chaque fois que nous faisons, disons, ou
pensons quelque chose qui est contraire à
notre conscience, nous attristons le SaintEsprit. Et ici prenez-y garde ; vous pouvez aussi bien le froisser en refusant d’accepter ses encouragements que ses reproches ; il est tout aussi mal de fermer sa
conscience aux consolations de l’Esprit que
de négliger ses avertissements. Doute.r du
pardon du péché, après qu’on l’a sincèrement reconnu, confessé au Seigneur et
abandonné, c’est offenser l’Esprit aussi gravement qu’on le fait par le péché même.
Peut-être une conviction s’est-elle emparée de votre esprit, un mouvement de. conscience à l’égard d’une vieille habitude qui
VQUS a frappé soudain comme étant une
chose mauvaise; peut-être avez-vous entendu comme une voix intérieure vous
dire : « ¡Viens maintenant ; que tardestu ? ». C’était l’Esprit de Dieu qui vous
faisait sentir sa douce étreinte et vous sollicitait avec bonté. Or vous ne pouvez résister à de telles invitations, pour passer
légèrement sur ces appels, sans contrister l’Esprit de Dieu.
Mais il n’est point froissé par le cœur,
d’ailleurs honnête et sincère, où se livrent
de grands combats. Il est patient et plein
d’indulgence, n’exagérant point nos fautes
et les supportant avec bonté ; car il sait
bien de qtm nous mûmes faits. Aussi
n’est-il point contristé par le péché qui
reste en nous, pourvu qu’on le reconnaisse,
qu’on en gémisse sincèrement et qu’on
lui résiste de bonne foi. Et si, dans de telles occasions, nous tenons nos regards fixés sur Jésus, aux tristesses de la lutte
succéderont bientôt les joies ineffables de
l’Esprit.
Aimons l’Esprit saint, car il est digne
de tout amour. Considérons-le comme un
Ami toujours vivant et puissant, qui ne
cesse de lutter en nous, pour nous procurer bonheur et salut. Si nous l’aimons,
nous ne l’attristerons pas; ou si nous
l’avons attristé, nous en éprouverons tant
de douleur que nous ne le contristerons
pluSf B- S.
MDIO Mi HÎMIcaÉllI
Vedere in
4^ pagina il
della phreria «LA LUCE».
Ne perdons pas courage.
Je vous défie de me prouver par un seul
argument en forme que la soi-disant réforme scolaire <— qm d’aucuns ont qualifiée de révolution scolaire — ait contribué ou soit destinée à contribuer au progrès de l’instruction. Du haut en bas de
l’écheUe, de l’Université à l’asile d’enfance-,
ce ne sont qu’entraves, complications, difficultés, barrières, embarras créés tout
exprès, dirait-on, pour nous dégoûter de
l’étude; ajoutez les taxes scolaires exorbitantes qui tendent manifestement à éloigner le peuple des écoles secondaires ; la
suppresskm pure et simple des petites écoles, éloignées des centres, qui va priver et
prive des dizaines de milliers d’enfants de
toute instruction...
Et combien de pères de famille qui sont
profondément découragés en face des difficMtés que noue venons de mentionner,
en face des frais toujours plus considérables qu’exige la fréquentation d’une école
secondaire quelconque : taxes, surtaxes, livres chers en nombre inimaginable, costume de gymnastique, paperasses timbrées,
légalisées et paraphées qui vous causent
toutes sortes d’ennuis à vous les procurer
..41 que sais-je encore ! Je ne parle même
pcÈ de là ' k'pèrisionYjl là" sètdë chose que
le Gouvernement ait oublié de contrôler,
de réglementer, mais que vous n’oubliez
pas, vous, de payer. Faut-il s’étonner alors
que 'parmi ces mêmes pères de famille, il
s’en trouve qui seraient décidés à quitter
la partie, si, à la réfléxion, ils ne se disaient, comme les bonnes gens sentendent
dans mon pays : « Après un temps il en
est toujours venu un autre » ; « û n’est
pas possible que cela puisse durer».
Parmi les innovations de la « réforme
scolaire » qui nous touchent de plus près,
il y a, comme chacun sait, l’abolition de
Z’examen de maturité, remplacé par « l’examen d’admission» à la première classe
d’une école moyenne quelconque. Une innovation qui a du bon, en tant qu’elle permet de faire une '[lus rigoureuse sélection
des élèves qu’on achemine aux études secondaires. Mais 'voici qui gâte la chlose : la
taxe d’examen est de L. 60, sans compter
les coûteuses paperasses de rigueur, à produire pour être admis à l’examen. En outre, ce même exa'men d’admission doit être
subi, tout 'naturellement, dans une école
de l’Etat ou r.pareggiata» à celles de l’Etat, d’dà nouveaux frais de déplacement
et de séjour. Ensuite, le programme est
celui de la 5.me classe élémentaire, ce qui
veut dire une année de plus d’études.
Et voilà nos pères de famille qui se mettent à réfléchir s’ü 'vaut la peine d’affronter tous ces sacrifices, tous ces déran-gements, tous ces soucis pour faire commencer à leurs enfants, que dis-je, pour essayer de leur faire commencer les études
secondaires qui tendent, semble-t-il, à devenir inaccessibles aux petites bourses et
qui 'vont exiger de longues années avant
d’assurer un gagne-pain ! « Il est bien plus
conve'nable, disent-ils, pour eux — et surtout pour nous — leurs études élémentai■ res achevées, de leur faire apprendre un
bon métier ou de les expédier à New-York,
en France ou en Suisse où ils ne tarderont
'pas à gagner {voûâ le mot magique.')
beaucoup plus que ne gagneront jamais les
maîtres d’école, les pasteurs, les professeurs ...ou les avocats sans causes ».
»
Et ils ont apparemment raison ; ils ont
réellement raison s’il n’y avait à considérer que le côté matériel, le gain, l’argent
pour tout dire. Seulement, l’argent n’est
pas tout, 'même en ce bas monde. Lorsque
notre population 'vaudoise aura sensiblement augmenté son bien-être, que nous
aurons beaucoup -plus ^ gens aisés, 'plus
de riches, et que, par contre-coup, le
niveau intellectuel aura infailliblement
baissé; que le peuple des Vallées n’arri- .
'vera plus à recruter parmi nous ses instituteurs, ses ‘pasteurs, ses 'professeurs, ses
médecins, ses ingénieurs; que nos écoles
secondaires 'ne seront plus fréquentées que
'par les privilégiés de la fortune... nous
nous trouverons amoi'ndris, nous n’exercerons plus la moindre influence autour de
nous et 'nous serons en 'pleine décadence.
Or, telles ne sont pas les aspirations des
bons VcmèkAs, conscients de la belle mission qu’il leur reste à remplir et convaincus que non seulement le niveau intellectuel ne doit ahsol'ument pas baisser chez
'nous, mais qu’ü est de notre devoir à tous
de l’élever, fût-ce même au prix des plus
grands sacrifices. Nous allons être opiniâtres, et pleins de courage pour affronter
les difficultés que j’ai mentionnées plus
haut, difficultés assurément piassagères et
qui ne sont pas insurmontables. Nos cultivateurs aisés de la montagne et de la
plaine, qui ont des enfants taillés pour les
études, vont se disposer à faire pour eux
tous les sacrifices que les temps exigent,
sacrifices qui, étant donné la dépréciation
de 'notre' monnaie, ne sont pas sensiblement plus grands qu’autrefois ; ils vont
les acheminer vers l’Ecole Latine ou le Collège, où le personnel enseignant les atteifid
les bras ouverts; et d’abord ils vont les
envoyer, en aussi grand rwmbre que 'possible, subir leur « examen d’admission » au
Collège, sans lequel ils ne pourraient être
régulièrement inscrits dans aucune école
secondaire.
Le programme d’examen est bien celui
de la 5.me classe ; mais nous tenons à souligner le fait que les élèves de la 4.mo, intelligents, suffisamment préparés et surtout studieux, peuvent fort bien affronter
cet examen. C’est même sur eux, tout partmdièrement, qu’on compte pxmr le recrutement des élèves de première, soit à La
Tour soit au Pomaret. En outre, nous nous
faisons un devoir d’avertir plus spécialement nos frères du Val Saint-Martin que
« l’examen d’admission » doit avoir été
subi le nombre exact d’années avant celle
où l’élève demanderait à être admis dans
une classe successive de l’école moyenne
où il voudrait entrer ; pour être plus clairs
disons que les élèves provenant de l’Ecole
Latine, qui vaudraient plus tard pcmrsfuivre leurs études au Collège de La Tour,
devront avoir fait leur examen d’admission
en première, trois ans avant leur examen
d’admission en Ame : une loi qu’il ne s’agit
pas de discuter, quelque dure qu’elle soit.
Notre trop longue « causerie » était vraisemblablement inutile : les bons Vaudois,
amis de l’instruction depuis toujours, sont
trop jaloux du bon renom de ru>tre peuple pour qu’il soit nécessaire de les encourager à acheminer leurs enfants dans la
carrière des études. j- c-
2
CHRONIQUE VAUOOISE
Gonm de cliaiit et lûtes scolaires.
Samedi 24 mai eut Meu, à 'Pignerol, un
« concours de chant » (gara) xx»ur les écoles élémentaires de l’arrondissement de
Pignerol, sous la presMence. de l’inspecteur de l’arrondissement, PVÎ. Zaffoni. Parmi les écoles ayant pris part au concours
nous remarquons celles, de. La Tour et
Saint-Jean qui onit eu chacune un second
pnx ; d’Angrogne qui a eu un quatrième
prix; du Pomaret et de Saint-Germain,
attestato d’incoraggiamento. On voit par
là que nos écoles se sont distinguées, ce
dont nous nous réjouissons vivement en
les félicitant, ainsi que leurs Directeurs
rœpectifs et en particulier MM. A. Rivoir
et A, Coïssoni.
■— Dimanche dernier, jour du Statuto,
nos écoles de La Tour prennent part à
une autre fête scolaire : « la consignation »
des drapeaux à chaque classe des écoles
publiques de la Commune. Pour donner du
relief à la solennité, les écoles sont réunies
dans le superbe emplacement du « Campo
Sportivo » où les attendaient les autorités,
toutes les sociétés de l’endroit, bannières
déployées, ainsi qu’uni très nombreux public. Le discours de circonstance, aussi
élevé que pratique et accessible à toutes
les inteUigenioes, ^ prononcé par l’avocat
Quaglia, de Turin. Par la même occasion,
ïe Syndic inaugure un médaillon-monument érigé par la Commune au donateur
du «campo sportivo», feu J. P. Davyt.
¡Avant et après la cérémonie les enfants
enlevèrent avec entrain quelques beaux
chants patriotiques, sous la direction de
M. A. Rivoir.
COLONIA VALDENSE. Nous recevons
une exoelente lettre de M. Louis Jourdan,
qui nous donne des nouvelles de la Colonie
' et de sa famille. Nous désirons communiquer aux lecteurs de l’Echo ce qui a trait
au déi>art pour une patrie meiUeure de
M. David Combe, originaire de Saint-iGermain. Il est décédé à l’âge de 78 ans, après
une longue et douloureuse maladie, entouré des siens et des voisins qui l’ont soigné avec amour. Il laisse .une veuve et de
nombreux enfants, déjà grands et la plupart mariés. Le défunt jouissait de l’estime générale et s’était acquis une position aisée. Il avait donné généreusement
la moitié du terrain où est construite l’éoole du 8me quartier. Ce cher frère n’avait pas oublié les 'Vallées ni surtout son
pays d’origine ; aussi chaque année nous
pouvions compter siur sa contribution pour
l’Asile des Vieillards de Saint-Germain.
Nous e^rimons à sa nombreuse famille
notre plus vive sympathie, en demandant
à Dieu de la soutenir dans cette grande
épreuve.
Cette même sympathie nous l’exprimons
à M. Louis Jourdan lui-même qui, il y a
quelques mois, a perdu sa chère file, pharmacienne de profession, et vit, en ce moment encore, dans l’anxiété à cause d’un
accident survenu à un de. ses fils. Notre
frère sait où trouver la force et la consolation dans les heiures sombres de la vie.
Nous apprenons par contre avec un vif
plaisir que M. le pasteur Henri Beux va
arriver au miheu de nous, pour prendre
part à notre Ssmode. Nous lui souhaitons,
dès maintenant, la plus cordiale bienvenue.
G. A. Tron.
LA TOUR. La mort vient de faire deux
nouveaux vides dans nqg rangs : Crmizet
Louis Ferdinand, né en France et décédé
à l’Hôpital, à l’âge de 63 ans. Marchina
Barthélemy, enlevé à l’affection de sa compagne, de ses sœurs et de ses neveux, à
l’âge de 59 ans. Ce frère, très connu à
La Tour, s’est distingué par son activité
et son amabilité. La nombreux public accouru à ses funérailles, représentant les
différentes dasse^ de la société et des deux
cultes, est une preuve éloquente de la
grande estime dont il jouissait au milieu
de nous.: A sa chère compagne et aux nom
E' uscito il Volume:
le Epistole del IVuoyo Testamento e TApoealisse
di ERNESTO COMBA.
E il quinto Volume dell’opera Storia letteraria della Bibbia.
Consta di 172 pagine. 11 prezzo è di lire 4, franco di porto. Ma chi manda
vaglia di lire 13,50 riceverà, franco a domicilio, tutti e cinque i Volumi della
serie: subito il 11° e il V°, e nei prossimi mesi gli altri tre, via via che usciranno.
Per l’Estero lire 18.
Ogni famiglia evangelica dovrebbe procurarsi questi libri.
Rivolgersi esclusivamente alla Libreria « La Luce» - Torre Pollice (Torino).
I signori Pastori sono vivamente pregati di ricevere e trasmettere le sottoscrizioni.
hreux parents nous exprimons notre plus
vive sympathie. Que Dieu veuille les soutenir dans leur épreuve.
— Dimanche après-midi, notre frère David Jala, qui avait préparé le riche programme d’une soirée, qui eut lieu dans
l’école des Chabriols, a eiu la récompense
de son trav,ail et de celui de ses aides, l’entretiem ayant fort bien réussi.
— Le Rapport de l’Eglise mentionne un
don fait en souvenir de M.me Rosine PonsGonin; ce don doit être considéré comme
l’expression de la volonté de M.me Pons
elehmême. C. A. Trow.
LUSERNE SAINT-JEAN. Nous enregistrons le décès de Marie Geymomt veuve
Pontet, originaire de Bobi, enlevée à l’affection de Sa nombreuse famille le 22 mai,
dans sa 72.me année, à la Tagliarea de
Briquéras, et le mariage de Goss Emüe,
des Goss, avec Rivoir Marie, du Valentin.
— La pluie refroidit bien des enthousiasmes, le dimanche surtout. Mais celle de
l’après-midi de dimanche 25 courant, n’a
pas empêché aux Mères et aux Jeunes
Filles de nos Unions de se retrouver au
grand complet dans la saRe Albarin pour
la fête annuelle que ces dernières ont coutume de préparer. C’est vous dire quel en
est l’attrait ! Le programme de dimanche
comprenait, entre autres numéros adressés aux mamans, une comédie admirablement récitée par M.Hes Ayassot, Marauda
et Henrieux, et trois beaux chants à deux
voix, sous la direction expérimentée de
Mlle Bianca Bagnari, l’organiste appréciée de notre église. Un bon thé fut ensuite servi.
L’attente n’a donc pas été trompée cette
fois non plus.
Mlle Pauline Peyrot, présidente de l’Ude Jeunes Filles, a transmis, entre autres
’ généreuses contributions de l’Union, L. 400
à la Caisse de notre Asile des Vieillards et
L. 50 à celle du Refuge ; ce dont nous la
remercions, elle et l’Union, très sincèrement.- E. T.
POMARET. Les lecteurs de VEcho des
Vallées connaissent l’attachement des Vaudois — en général ■— de l’Amérique du
Sud à l’église-mère, dont ils font preuve
en contribuant pour nos œuvres en Italie.
Voici un nouveau témoignage que quelques
Vaudois ont tenu à donner — et nous souhaitons que l’exemple soit contagieux :
c’est le seul but que nous nous proposons
en livrant à la presse ces lignes. — Nous
venons donc de recevoir de Tarariras
(Uruguay) un chèque de L.- 1072 en faveur de deux de nos établissements de
bienfaisance. Pour le Refuge Roi CharlesAlbert ont envoyé : M.me Marguerite Davit veuve Salomon, L. 170 - M. M. Pablo M.
Salomon, 500 - Pedro M. Salomon, 367 bBartob Fostel, 20 - Pablo Coïsson, 34. —
Pour l’Orphelinat : Bartolo Fostel, L. 14.
Nous ignorons si ces généreux donateurs
ont eu connaissance d’une circulaire de la
Commiseion des Institutions de bienfaisance,! dans laquelle la cause du Refuge
était particulièrement plaidée. C’est vous
dire, chers amis de Tarariras, combien vos
dons sont regus avec une profonde reconnaissance.
Nous nous sommes empressés de remettre Eargent reçu au membre de ladite Commission M. l’avocat Gay, qui nous a priés
de vous transmettre, chers frères Vaudois ses plus vifs remercîments et ceux
de ses collègues de la Commission.
Puisque je tiens la plume, je désire
ajouter quelques mots à propos de la chronique de l’assemblée paroissiale — parue
dans le dernier numéro — qui est non seulement très incomplète, mais surtout inexacte sur plus d’iun point. Si par exemple
M. C. J. avait «écouté avec attention »
la lecture du rapport, il n’aurait pas écrit
que ce qui «caractérise notre église dans
son ensemble c’est le calme, presque l’indifférence ». Il y a là du vrai et le rapport
le déplore, mais il n’en fait pas la caractéristique de l’église ; ce serait faux et ce
serait méconnaître le travail souvent caché ou peu connu de bien des membres
vivants ou manquer d’égard reconnaissant
envers eux. Il est vrai que C. J. parle de
plusieurs côtés réjouissants et il en cite
un : les collectes, qui ont atteint un chiffre ayant dépassé notre attente la plus
optimiste. Pourquoi n’a-t-il pas même mentionné la vie spirituelle qui se manifeste
sous bien des formes ? M. C. J. ne les connaît-ü pas ? Pour moi c’est le côté le plus
réjouissant. L’effort financier échoue là où
l’effort spirituel est vain. M. C. J. doit le
savoir, son expérience pastorale doit le lui
avoir appris.
Le correspondant de cette feuille veut
bien répéter dans sa chronique les félicitations et les remercîments faits à l’assemblée d’église à l’adresse du Consistoire pour
le travail accompli. Qu’il me soit permis
de rappeler que le même remercîment doit
être fait à l’adresse de ces nombreuses personnes qui aident p,uissamment le Consistoire et sans lesquelles les résultats obten,us ne seraient certainement pas aussi
réjouissants. A chacun ce qui lui est dû.
M. C. J. « a l’impression qu’une moindre partie de la paroisse prend un vif intérêt à l’œuvre pastorale ». C’est l’impression — qui devient un jugement ■— que
peuvent avoir ceux qui se tiennent en dehors de cette « partie ». Sans doute les travailleurs du Seigneur pourraient être plus
nombreux ; mais cette impression est-elle
juste, correspond-elle à la vérité? Que M.
C, J, pense aux différentes manifestations
de la vie religieuse, morale, existant aussi
chez nous, qu’il ne s’arrête pas à considérer les chefs seuls mais tous les membres
militants : son impression première devra
changer en une autre meilleure. Le moyen pour augmenter le nombre des volontaires du Christ n’est certes pas celui
que veut suggérer M. C. J. et qui consiste à avoir les assemblées d’église dans
l’après-midi au lieu du matin après le
culte. Règle générale, ce moyen n’est pas
pratique pour bien des raisons, chez nous.
Le vrai moyen je le vois dans l’amour
pour le Christ et son église. Et vous, M. C.
J., vous l’aimez votre paroisse, puisque
vous terminez votre chronique par ces
mots «notre chèiie paroisse». Belle et ardente déclaration d’amour, en vérité, mais
qui vous lie et vous impose des devoirs.
Et comme je veux bien croire qu’il n’est
pas question d’amour purement sentimental, mais pratique, le Consistoire sera tout
heureux de vous inscrire, pour la prochaine campagne d’hiver, parmi les ouvriers disponibles pour le service du
Seigneur.
Petites écoles. Le Consistoire n’a w
seulement « essayé » de rouvrir deux éco, '
les, il les a bien ouvertes et avec des résultats encourageants qui l’engagent à
rouvrir d’autres, dans la rnesure de ses ;
ressources, l’automne prochain.
Jules Tron;*
PRAMOL. Dimanche 25 courant rUni^u’
des mères et celle des jeunes filles ont
1 agréable visite de M.me E. Lantaret, de
la Pérçuse, membre du Comité régional,
et de M.Ue A. Viglielmo, de iVillesèche. Nos
unionistes de tout âge se réunirent en bon
nombre dans une salle du presbytère quii'a
pour la circonstance, avait été décorée dè.j
festons verdoyants. Une réunion des plqê
intimes eut lieu, et, d’après les... indiscrM
tions qui nous sont parvenues, nous sooi-^
mes à même de dire que les conseils ma-*{
ternels de M.me Lantaret ont fait beau-^
coup de bien et que les souvenirs du passé
évoqués par M.lle Viglielmo ont ému bien '
des cœurs. Après les remercîments de
M.me L. Pons, au nom des Unions de Pramol, un thé abondant a été servi par nos"
« marioïre ». Un merci de cœur à ces dames, qui n’ont pas craint la fatigue et le
mauvais temps pour venir jusqu’à nous!^
Au revoir... à une autre fois ! s
Dimanche 25 courant, à 2 heures de °
1 après-midi, un cortège nombreux accompagnait à son dernier repos la dépouille '
mortelle de Jean Long, de la Ruà, décédé
à l’âge de 66 ans, après une pénible mai^
ladie supportée avec patience et avec foi.'
Nous renouvelons à la famille en deuil l’expression de notre profonde sympathie
chrétienne. »
L’assemblée d’église a nommé comme
ses représentants à la prochaine Confé-^^
rence de District, MM. Héli Combe et Jean *
Costabel, et pour le Synode M. Jean Jacques Peyronel. D. P. il.
, RODORET. Dimanche 25 mai notre paroisse a eu la « visite d’Eglise ». M. L. Marauda, président, et M. A. Fuhrmann, secrétaire de la Commission de District,
nous ont édifiés par leur message évangélique qui nous a fait du bien. Nous avons ■
eu ainsi une excellente journée, remplie-!
de joie spirituelle. Bonnes assemblées le
matin au temple, l’après-midi aux Fontaines, et le soir au Champ du Clôt. Tan- i
dis que nous remercions bien cordialement
nos chers frères, dont la visite a été si
bienfaisante, nous demandons à Dieu de i
bénir tout ce qui a été fait en Son Nom.s’
— Nous exprimons encore notre sympathie a la famille de notre cher frère Fer’
dinand. Tron, qui nous a laissés à l’âge de
73 ans. Un long cortège a accompagné st
dépouille mortelle au champ du repos.
Le Consistoire/'
RORA. Une famille de notre paroisse a
été nouvellement ploi^ée dans le deuil par
le départ- de notre sœur Rachel Mourglia,.qui, après trois mois à peine, a suivi sa,
mère dans l’au-delà. Cette figure si sympathique et connue parmi noua vient de
disparaître presque subitement à la suite
d un mal qui ne pardonne pas ; et son départ, vivement regretté, cauæ à notre '
Eglise et à l’Union des Mères une p€,rte^,,
très sensible. Que Dieu veuille consoler la
famille affligée et graver dans nos cœurs
le souvenir de cette femme si pieuse
consacrée au service du Maître. A.^'
CHRONIQUE POLITIQUE.
La Chambre des députés, dans sa pr®"
mière séance, a procédé à l’élection du
président, de quatre vice-présidents et du
bureau de la présiidenoe. Le candidat du
Gouvemetment, M. Rocco, a été élu pr^
sident par 338 voix contre 127 bulletins
Marœs et quelques voix à divers autres députés. A la vice-présidence les oandulat?.
ministériels étaient MM. Grandi, Ga^*
rotto et Giunta. Le quatrième siège, laissé
à la minorité, a été gagné par M. Rodij^»,
du parti populaire catholique, ancien nû'
nistre.
3
m
y#
Le Sénat a réélu à la présidence M. Tittoni, avec une votation très flatteuse.
La Chambre a approuvé une motion qui
■est un premier pas vers la réforme du
jèg'lenient. Les Commissions parlementaires, établies depuis 1920 et composées d’après le principe de la proportionnelle, sont
abolies et on revient à l’ancien système
•des bureaux. Dans la séance suivante il y
a eu des incidents assez vifs et échange
,."d.e quelques cpups de poings à propos de
/loL validation des mamdats des députés fascistes. Les socialistes ont critiqué la conduite des élémente fascistes pendant la
campagne électorale. IM; Giunta a répondu
„avec beaucoup de vivacité. La séance a été
suspendue et reprise plus tard sans autres
incidents.
— Nos Souverains sont rentrés très sa,, tisfaits de leur voyage à Londres. Ils sont
- Tepartis maintenant pour rendre la visite
au roi d’Espagne;, et là aussi ils recevront
, sans doute l’accueil le plus cordial et
ÿ -chaleureuxw
FEIANCE. M. Poincaré a remis au Pré•sident de la Eépublique la démission du
^ Cabinet, qui reste en charge seulement
- pour expédier les affaires courantes. Pour
former le nouveau Cabinet M. MiUerand
doit attendre l’élection du Président de
la Chambre, car d’après l’usage, les Présidents de la Chambre et du Sénat doivent
être appelés en consultation à l’Elysée
avant de faire appel à un nouveau ministère. Mais la position de M. MiUerand à
'la présidence de la République n’est plus
tenable. Les groupes des radicaux, des radico-socialistes et les socialistes purs' se
sont réunis dimanche et ont voté à Tunanimité un ordre du jour qui condamne la
^.politique personneUe de. iM. MiUerand, dont
la présence à l’Elysée heurte la crnisdence
républlmine. Les socialistes ont délibéré de
combattre tout ministère, qui accepterait
■de se constituer a>us l’égide de M. MiUerand. Il est donc probable qu’il y aura une
crise présidentielle. Les candidats éveniiuiels à la succession seraient MM. Painie|vé et Doumergue.
— M. Paul Cambon, ancien ambassadeur
•de France à Londres, vient de mourir à
Paris, à l’âge de 81 ans. Il avait joué un
rôle très important dans l’Entente cordiale entre la France et l’Angleterre.
ALLEMAjGlNE. Le Président du Reich a
chargé le doct. Marx, chancelier démissionnaire, de constituer le nouveau Cabinet. iM. Marx a accepté cette mission.
AUTRICHE. Monseigneur Seipel, chanceUer d’Autriche, a été grièvement blessé
d’un coup de révolver tiré par un voyageur à la gare de Vienne. On espère que
la blessure ne sera pas morteUe. L’auteur
de l’attentat, qui n’a voulu dire ni son
uom ni les motifs qui l’ont poussé à agir,
a tepité de se suicider avec la même arme.
ROUMANIE. Une violente explosion a
tait sauter, à Bucarest, ime partie du pala^ royal et menacé la vie des Souverains.
E awident est dû à un incendie qui a ga^é un dépôt d’explosifs dans l’arsenal militaire. Grande panique, quelques morts et
nombreux blessés, plusieurs édifices détruits, entre autres le palais de la Bourse.
L.
bibliographie.
Emìtesto Comba : Le epìstole del Ntuovo
Testamento e VAppcalisse, Torre Pellice,
Libreria La Luce, 1924. 172 p. 16“. Prix:
4 lires.
Nous avons, ü y a quelques mois, présidé à nos lecteurs le volxime de M.
^fMuba sur les livres px-ophétiques de l’,An®cn Testament. Celui que nous présenns aujourd’hxii appartient à la même
^e de l’Histoirie littéraire de la Bible.
On y retrouve les mêmes qualités que nous
Wons signalées alors: diction siimple et
“aire, narration des faits rapide et inltéressante, exposition sincère et loyale des
«verses objections, conclxxsions objectives
«t ^ auxqueles on ne peut, en général,
QiU adhérer.
Le volume commence par ,xme courte biographie de l’apôtre Paul jusqu’au moment
^ il écrivit sa première épître, du moins
I* première d® celles que nous possédons.
Cette carrière si mouvemientée suscite
des discussions, à l’égard de la chronologie, les auteurs n’étant pas d’accord sur
la date qu’il faut assigner à la Conférence
de Jérusalem, que Paul lui-même, dans
1 épître aux Galates, pose comme la base
de sa chronologie.
L’auteur se demande ensuite quelles
sont les épîtres de Paul qui n’existent plus,
quel est l’ordre de. temps dans lequel elles
ont été écrites, quelles différences elles
présentent quant au style, au .vocab.xxlaire,
à la maiiière d’exposer les vérités dogmatiques et les enseignements pratiques,
et il montre victorieusement que ces
difféiences — que l’on peut rencontrer
dans les divers ouvrages de quelconque auteur de toutes les littératures — ne peuvent appuyeir aucun doute sur l’autheixlticité de ces lettres.
A propos de chaque épître, l’auteur raconte brièvement la fondation de l’église
à laquelle elle est adressée, puis il examine
les circonstances qui l’ont provoquée, il en
analyse le contenu et en discute l’authenticité.
Ça et là surgissent des questions spéciales ; pour les Thessaloniciens, les données escatolcg-iques ; pour les Galates, la
détermixïation du groupe d’églises dont il
s’agit, et de l’état d’esprit de ces congrégations; pour les Corinithiens, la relation
entre les deux épîtres connues, qui seh
raient la l.re et la 3.me, et une 2.mei qui
aurait été égarée ; pour les Romains, la
formation de cette église si importante et
ses relations avec l’apôtre Pierre, ainsi que
; la question du chap. XVL ; pour les Ephésiens, son identification avec celle des Laodicéens ; pour, les autres, la libération et
le .second emprisonnement de Paul.
Pour l’épître aux Hébreux, l’auteur examine la question de l’authenticité, mise en
question dès les premiers siècles, et sdrtie
victoriexxsement de l’épreuve. Entre les
divers auteurs (ApoUœ, Priscille et Aquilea, etc.), auxquels l’épître a été attribuée,
M. G. penche en faveur de Barniabas'.
Des doutes ont surgi surtout au sujet
de la 2.me épître de Pierre et de celle de
Jude, et ils demeurent à l’égaid de celle-là.
La seule réserve que nous nous permettions concerne la l.re épître de Pierre, datée de Babylone. M. C. voit dans ce nom
une indication symbolique de la ville de
Rome, centre de la corruption et du paganisme. La raison essentielle qu’il en donne,
c’est que Babylone n’existait plus alors.
Or, il est bien vrai que l’ancienne capitale de Nébucadnetsar avait été détxmite,
mais pour en bâtir, noni loin de là, la nouvelle capitale du royaume de Syrie, fondée par Séleucus, et appelée Séleucie ou
Séleucie 'Babylone. Le géographe Pline
l’Ancien, contemporain de Pierrq, l’appeEe
même Babylonje tout court. Cet impoidant
centre de l’Ori'ent pourrait fort bien avoir
été la résidence de Pierre.
L’eixamen des quatre, écrits de SaintJean ne provoque aucune difficulté spéciale, saxxf celle de l’interprétation de
l’Apocalypse.. A cet égand, M. C. nous semble être dans le vrai erx! l’appliquant aux
événements/ rapprochés du l.er siècle, et
non successivement à chacune des catastrophes qui ont bouleversé le monde, ou
qui le boxxleverseront encore.
(Vieiît enfin ,xme table chronologique allant de l’an 30, date de la moit de Jésus,
à la fin du l.e|r siècle, date probable de la
2.me épître de Pierre.
Comme chacxm peut en juger d’après
ce rapide exposé, cette publication présente un vif intérêt pour quiconque aime
à é’ocoupeir des questions bibMques. L’auteur mérite toute notre reconnaissance, et
le meilleur moyen de l’encourager à hâter la publication du volume annoncé, sur
les livres poétiques de l’Ancien Testament,
c’est d’acheter largement et de. lire avec
attention celxxi que nous mettons sous les
yeux de nos abonnés. J. J.„
Somnâajre de Revues.
BILYCHNIS (Aprile 1924).
R, Murri: Le origini del cattolicismo sociale — R. Nazzari: Psicologia, psicoterapia e psicanalisi — P. Gobetti : Le avventure politiche di un cattolicismo ateo : Filippo Meda — C. Bonavia: Liturgia della
morte — E. Ohlsen: L’Immagine di Gesù
nella storia e nel’arte - Note e commenti
- Cronache - Rassegne - Recensioni - Bollettino bibliografico di studi religiosi, ecc.
Hi Hi ^
FOI ET VIE (16 mai 1924).
P. Doumergue : La contribution du protestantisme à l’action philanthropique et
sociale du siècle — P. Doumergue : Les
stades du progrès — Sheüa Kaye-Smith:
Bons cœurs se rencontrent — G. TroubetzRoi: La lutte du bien et du mal en Russie - Notes et documents - Les livres - E.
Doumergue : A propos des rapports des
experts. — Cahier B. ; E. Vermeü : La
tentative de redressement de l’Allemagne.
Istitutìons Hospitalières Vaudoises
Refuge Roi Charles-Albert: M.Ue Adeline SeUi, Rome M., M.me et M.Ue Coïsson, mis- L. 50,—
sionnaires, Zambèze 30,—
M.Ue C. Coïsson, Torre PeUice M. Rémy Ricca et famiUe, Id., in » 10,—
memoriam » 50,—
U. 0. J. G., ViUesèclie (soirée) Pasquet Jacques, Ciabot Crotta, » 50,—
Prarustin 10,—
Roman Lina, Id., Id. » 10,—
Rivoir Jacquieline, Müoun, Id. » 10,Gay JacqueUne, Riveuira, Id. » 10.Gay cav. Adalberto, Id. » 5,Famifiie Benech, Pians, Id., en sou-
venir de Barthélemy et Susanne
‘Benech-Malan 50,—
A l’occasion d’un banquet fraternel,
le 17 février, au Serre, Id. » 5,—
Auguste Pastre, Pomaret Pleurs en souvenir de M.lle Lydie » 25,—
Roman : Gay ¡Barthétemy » . 25,—
Gay François et famille Cav. E. Ayassot, Luserna S. Giov., » 15,fiori in memoria degli amici: Cav. ■ Gustavo Turin, 10 - Alberto Gay, 10 - Bartolomeo Prochet, 10 = > 30,—
N. N., Asnières-sur-Seine > 50,—
Pastre Henri, Cannes » 25,—
Peyrot Philippe, régent, Pomaret » 10,M. et M.me A. Robert, Turin Bozzì-Vidossich, FUati cucirini. 200,—
Milano » 400,—
Vaudois de Cannes iCoUecte de Cannes (suite) : Anony- > 877,60
me, frs. 5 - Elisabeth CoUin, 20 - Change L, 5 = > 30,—
Bradipo Nicola, Torre PeUice, in memoriam AUemandi Orazio, Torino, in memo- » 100,—
ria della propria madre » 50,—
MourgUa Raffaele, Rorà (lascito) M.me Fanny Peyrot-Zürcher, Lu- » 950,—
'’sema S. Giovanni » 25,—
¡Paroisse de La Tour Pavarin Henri et Rosine, Luserna » 300,—
S. Giovanni » 2,—
Banchetti G., pastore, Rio Marina 'M.me ,M. Charbonnier veuve Jour- 100,—
dan, Torre PeUice » 5,-^
iM.Ue EUsa Charbonnier » 5,—
M.Ue Lina Eynard » 5,M.lle Suzanne Caïrus » 2,Commune de Rorà (contribut. 1923) > 20,—
Total : L. 3.541,60
M. A. Gay, Luserna S. Giovanni, 1 titre Cons. 5 0|0 M.me A. Burton, Torre PeUice, L. 500,—
id. id. » 500,—
Hôpitaux :
M.Ue AdeUne Selli, Rome ! L. 20,—
U. 10. J. F., Torre PeUlice M., M.me et M.Ue Coïsson, mission- » 100,—
naires, Zambèze » 30,—
ü. C. J. G., Villesèche (soirée) » 50,—
N. N. » 42,Alessio Antonio, Torre PelUce » 45,Alex. Rivoir, Miloun, Prarustin » 10,—
Pons J. Pierre, St-Sauveur, Hautes - V
Alpes, France » 6,N. N., Asnières-sur-Seine, Id. » 50,—
Pastre Henri, Cannes 25,—
GaUian Suzanne, Pomaret » 5,—
Ribet Albert, Id. » 15,Peyrot Philippe, régent, Id. y> 10,—
Long Alfred, Id. Bozzi-Vidossich, Füati cucirini. » 25,—
Müano » 300,—
Costabel Jean, Riclaret » 20,—
Tourn Naïf, prof., Milan » 25,M.me Fanny Long, Pignerol » 20,Mourglia Raffaele, Rorà (lascito) » 950,—
M.me veuive P. Peyrot-Zürcher » 25,—
J. P., Sud America » 50,—
Paroisse de La Tour M.me M. Charbonnier veuve Jour- 400,—
dan, Torre PeUice > 5,M.Ue Elisa Charbonnier, Id. » 5M.Ue Lina Eynaixi, Idi. » 5,iM.Ue Suzanne Caïrus, Id. Fleurs en souvenir de M.lle Lydie » 2,Roman :
M.me M. Cappellini, Rome > 100,—
M. Jean Peyretti, filleul de guerre » 100,—
M.me Julie Charbonnier, La Tour » 10,—
M.me Rache) Moreno » 50,—
X. R., RapaUo 10,
M.me veuve A. Burton, Torre Pellice, 1 titre Cons. 5 0|0 L.
Orphelinat : 1
U. O. J. F., Torre PeUice L.
M., M.me et M.Ue Coïsson, missionnaires, Zambèze, fleurs en souvenir de M.me A. Ricca »
M. Rémy Ricca et famUle, in memoriam »
Madeleine, en souvenir de M.me R.
Pqns-Gk)nin »
Simone et Dionigi Roman, Bric de
la Massera, Prarustin, en souvenir de leur petite Erica »
Boui^se des Pauvres Vauflois, Luserna S. Giovanni »
Id. Id., Pomaret »
Eglise, Id. »
Peyrot Philippe, ré^nt, Id. »
M. et M,.me A. Robert, Turin »
Bozzi-Vidossich, Filati cucirini,
Müano »
M. et M.me E. Malan, Torre PeUice »
M.me veuive F. Peyrot-Zürcher »
Raffaele Mourglia, Rorà (lascito) »
Consistoire de La Tour »
Chiesa del Salvatore, Clarksburg
(ü. S. A.) »
M.me M. Charbonnier veuve Jourdan, Torre Pellice »
M.Ue Elisa Charbonnier, Id. »
M.Ue Lina Eynard, Id. »
M.Ue Suzanne Caïrus, Id. »
Commune de Rorà (contribut. 1923) »
M. Diana Nicola, Torre PeUice »
M. Auguste Pastre, Pomaret »
M. Pierre PeUenc, Torre PeUice »
500,
100,—
30,—
50,—
10,—
12,—
I
100,—
30,—
54,10
10,—
300,—
300,—
30,—
25,—
880,—
500,—
100,—
5,—
5,—
5,—
5 2,
"J
20,—
8,50
20,—
10,—
Total L. 2.606,60
Dons sans destination spéciale :
In niemoria di Luigi Lavagne, la
famiglia L. 100,—
La Commission exprime à tous les généreux donateurs sa reconnaissance la plus
■vive et se permet de rappeler aux nombreux amis des différentes œuvres, ainsi
qu’aux Paroisse et aux Communes, les
nécessités toujours croissantes de n<»' Institutions Vaudoises dont l’existence dépend, en si grande partie, d® tour inlassable
générosité. Pour la Commission :
Albert Sibille, président.
JEAN BONNET
T«rr« Pallie« - Imprimerie Alpine
Mlle M. Bertinat ; M.me et M- J- SÉcitAUD-lBERTiNAT ; M.me et M. H. AunisioBertenat et leurs enfants, à Laïusanue ;
U.me et M. S. Bonnet-Bertinat et lours
enfants; M. et M.me E. Bertinat-Tuein
et leurs enfants, ainsi que les nombreux
parents, remercient bien sincèrement toutes les personnes qui leur ont témoigné
de la sympathie à l’occasion du départ de
leur bienoimé
JEAN PIERRE BERTINAT
leur cher père, grand-père, beau-père,
beau-frère, oncle et parent, enlevé à leur
affection dans sa 78.me année.
ViUar Pellice, le 28 mai 1924.
Total L. 2.510,
Le père .Alexis ; le rtiari Henri ; les enfants Cadet avec sa femme, Osvaldo, MalviNA, Albert, William, Jacques; les frères et les belles-sœurs, ont la douleur d’annoncer le départ pour la Patrie Céleste
de leur bien-aimée
ill
emportée le 29 mai, après quelques jours
de souffrance, à l’âge de 45 ans, à Rorà.
«Ceux qui auront été inteUigents
brûleront comme la splendeur du Ciel,
et ceux qui auront enseigné la justice à la multitude brûleront conune
les étoUes à toujours et à peipétuité». Dan. XIJ, 3.
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