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PfIï d’abosnement par an;
Vallées Vaudoises . . Fr. 2,50^^ Itali«|. Fr. 3(00
, Etranger . . , . . . ‘: • .... . . . ,j,;» 6^ j
Plus d’un exemplaire à la même adresse, ohacùn '. » 4 ^
Allémagne, Autriche-Hotigrie, Belgique, Brésil, Danemark,
Egypte, Hollande, Suède, Suisse, par, abonnement, , ,
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On s’abonne: à Torre Péllioe aU bureau ^’administration et à
l’Imprimerie Alpine; dans toutes les paroisses,chez MM.les
Pastéurs. ^ -0»¡3/uo:.; ìjd .
' L'abOnnetnent sé paye daTanoe.
Pour tontea les anvonoes, s’adresser à l’Imprimerie Hplae,
'oonoessionnaire. >
' S’adresser.pour Ja.Rédactlon à M. C.-À. Tron, past., TorrePelMee,
‘•q u.v, igit pourFAdmlnlstratton à M. J. CtoissoN, prof., TorrePeUiee- ?
-, "Tout changement d’adresse coûte 16 centimes, sauf ceux dû
o t 1UD oothmeacement de l’année. - ’ " ’
; j ,Le^ changements non accompagnés de la tomme de ¡16 eenv
ne seront pas pris; en considération. . .
ij; h liji ■< ■ - D; K:,.,, : ---
Qiiè toutes les choses vraleis^^ honnêtes, justes, ^ures, àiiiniabres.............
. -íhdd H in; >fi ;«oJ
. tes de louange, occupent^vos
(Phil ‘ I V, sy
SOMMAIRE:
Avis — Méditation — I,e Cléricalisme —
Protestants d’Ecosse — Chronique vaudoise — Nouvelles politiques Pro
Scuola Normale. )
AV I.S.
Les dernières nouvelles q,ui.nous parviennent sur l’incendie du..village du
Champ du Clôt, de la par pisse de Rodoret,
sont très graves; aussi, sajis ouvrir npusmêmes une souscription, sachant que le
Consistoire de Rodoret s’est adressé aux
autres Consistoires des Vallées pour solliciter un secours,, nous raettops volontiers l'Echo des Y ailées à la dispositicm des
Consistoires, disposés à insérer les nu ms
des souscripteur^,j.Hhtons-upuSj donc de
venir,en aide à no§ frères, si çrueilement
éprouvés, surtput maintenant que nous
sommes au cœur de rhivêr. ^
MEDLTATIÔN.
i j, Tu ajBiiams ile-SeignMis: ton;
Dieu et ton prochain comme.
j toi-même. ‘ AfàiiA.' AAV/.-’'
La première semainé de l’année est
consacrée à la prière; c’est l’Eglise chrétienne qui donne rendez-vous à ses membres, aiih qu’ils passent en revue les bienfaits accordés par Dieu pendant toute
une année, les invitant à la reconnaissance. C’est en même temps une occasion
pour s’humilier et demander pardon, si
souvent l’ingratitude a pris la place de la
reèonnaissance. C’est aussi le moment
pour obtenir de nouvelles forces dans la
lutte qui est engagée et qui doit durer
jusqu’au terme du court ou long voyage.
Le premier dimanche de l’année se
prête pour esquisser un programme d’activité chrétienne. Moïse lance le sien par
ces mots: Tu n’auras point d’autres dieux
devant ma face et ce programme durera
jusqu’à la fin des siècles. Jésus, bien plus
tard, s’adressera aux foules en prpçla-.
mant heureux les pauvres en esprit. —
Pourquoi chaque créature n’aurait-elle
pas le sien? Il en est un que nous voudrions voir s’effectuer et qui est contenu
dans les paroles de notre texte: Tu aimeras. Tu aimeras ton Dieu, en pensant
à tout ce qu’il a fait pour nous dans le
passé. Il a appelé, éclairé, béni. Tu aimeras ton Dieu en contemplant le présent. Il donne la force, il guide, il fait
pfospérer. Tu aimeras ton Dieu en jetant
un regard vers l’avenir. C’est sur lui qû’il
faut compter pour arriver au but et pour
obtenir la victoire. Tu aimeras ton Dieu
en lui donnant la première place dans ton
cœur et en vivant ces heures bénies de
communion spirituelle, comme le fait un
David, un Jésus, un Paul et un Jean, Tu
l’aimeras en lui offrant la place d’honneur dans ta famille pour qu’il donne son
consentement à tous tes plans et qu*Il
bénisse tous tes désirs. Tu n’oublieras pas
dc’j’iftviter avec toi en te rendiant aù trâ
vail, aux champs comme à l’usine. Aimer
Dieu, quel bonheur I, J V ! /
Tu aimeras ton prochain; cet amour découle ;tout naturellement du premier. —
Mon prochain, c’est à dire toute créature
faite à l’image de Dieu, sans tenir compte
de sa religion, de son éducation, de sa ci-r
vilisation; mon prochain, qui peut être
un ennemii» un calomniateur, un persécuteur, maisque jedois aimer, soit enl’aidant, soit,en Je pardonnant, soit en me
consacrant;à lui comme Je font les mis-,
sioUjUaires, les docteurs et tous ceux qui
ont à cœur le soulagement des soufîrances rnorales et physiques. ^ ;
Tu aimeras ta famille; soit,qm’il ..s’agisse de celle où j’ai été élevé avec des
frères et des sœurs, où la différence, de.
caractères, où les intérêts peuvent si facilement diviser, soit qu’il s’agisse de la*
famillç, composée de tous lés habitants;
de rha patrie, pour laquelle je dois me
donner par des sacrifices ou des conseils.;
soit enfin qpe,nous conten^
rnille spirituelle répandue sur la surface
du globe terrestre. Nous sommes tous
membres de cette famille, et la fraction
à laquelle nous appartenons doit être
avant tout l’objet de notre activité et de
notre amour, dans le but de la faire prospérer afin qu’elle réponde à l’attente gé-,
nérale, mais à côté, il y a l’immense armée répandue sur la surface du globe, et
nous devons nous intéresser à sés’enquêtes, à ses difficultés, à ses aspirations.
Réjouissons-nbus de voir ces nobles aspirations d’entente et d’union; c’est le
cri du jour, c’est le soupir des âmes élues.
Donnons gloire à Dieu de voir tant d’activités. s. .
Tu aimeras toi-même. Il ne s’agit pas
de l’aspiration à l’orgueil, au moi qui
voudrait primer toute chose; il ne s’agit
pas non plus de notre intérêt particulier ;
non, tout cela est exclu, mais bien plutôt
de ce corps qui est le temple du Saint-'
Esprit et que nous n’avons pas le droit de
mépriser; il s’agit de cette âmeJmtnor-“
telle qui est en nous, rachetée par le sang
‘ de Christ et que nous voulons savoir en
sûreté. Pour l’amour de nous-mêmes et
de notre âme, aimons-nous nous-mêmes;
dans ce sens, cela est non seulement permis, mais obligatoire.
Voilà notre programme pour l’année
1914: Aimer Dieu, notre prochain, la famille et nous-mêmes. Pourrons-nous l’ef, fectuer? Certainement. Un Paul s’écrie:
Je puis tout par Christ qui me fortifie ».
— C’est donc une question de volonté.
Le secours est là. Essayons donc et aimons.
C. A. Tron.
L.E cléricalisme:.
Le cléricalisme est une maladie qui surgit dans les églises dont les mehibres se
désiñtéressent de l’œuvre commuhe. —■
1 C’est çé'^ùi arrive un peu partout, mais
- - , I i’SCij jiiRD’iü-' ■: .-‘J 'iD! ;
particùlÿêrcmehf dans l’églisè calholiqiie.
—. Les iârqikes àbdiquertt leurs droits et
leurs déVoirs en faveur d’une minorité
lortem'etít’brgañisée : le clergé. —• La lutte
commencé'immédiatement après la formation dé c’es deux camps opposés. —
Ce rte sbht plus dés alliés, cé sont’des %
nemis. ...........^ - ,
Comrik'erli'le combattre? — La meilleuré
manierç- ae Coiubàttre et dé Vaincre” lé
cléricai$ihé c’ést dë pbusserTeS laïijües
à rèclaAeéTeurs droits dans tout ce' qui
concerne l’administratiôri des tichéssès
matérieilis spirituelles dé l’EgÎisé. Gô'mbattréf éspiit d’abdicàtibn des uns et celui d’enipféténreht dés'autres; donner à
rEglise’^'sbù*'caèhet p'opûlâiéè et'"tìèm<^
cratiqúé.®'’ ■ ' ■ ' ' '*■ ' ■
5es éh^em'^.’ Sés ’éiihémis les plus redoutàBïeS”ée lié soùt ni les anti'élêricâ'ùx
imbus d*'aithèîisine qùi rnahgèht dü curé
à tous les repas, ni les franc-ïnàééris. —
Ils cohitìàlterit âVeC qirélqùes succès, il
est vnd; iñanÍféstíiiíonS èitérieùres du
d’éfÍcalíéníè,*’ ilâ' lùï ”áiffptítéftt'’quèlq^^^^
brânéhes, 'màis^ilà làïsséht à’'la piànte'“
toute sa force, sa virulence ét ses matéficeà; — Ce n’est pas en établissànt là précédeftee du mariage civil sûr le réligieux,
le divorce, ou en légiférànL sur la thaiii'
morte, les couvents où les prêtres, que
l’on détruira le cléricalisme. —• Tbutes
ces'dispositions n’bnt guèré plus de succès qu’un cataplasme d’espèces émollientës sur une jambe de bois. —■ La lutte
cbhtre une manifestàtîbn spéciale du clé-'
rîèalîsme n’atteint pas la racine et la
source du mal. Ellé le refoule d'un côté,
mais il s’ouvre d’autres canaux et se précipite avec force redoublée dâns d’autres
directions.
C’est ce qui arrive dans les pays catholiques où il est toujours combattu et où'
il réhait toujours comttie Î’hydreaux ceiit
têtes. — Il n’y a pas moins de cléricalisme dans la conduite du député sbcialisté
et athée qui adopte la croix pour' gagner
quelques votes, que dans celle dù sacristàin qui déchire les placards électoraux
dü candidat anticlérical.
■ Ses ennemis redoutables, ce sont:
lo) Ces chrétiens sincères et convaincus
qui peuvent répéter avec l’apôtre: nous
sotórnes nous aussi le peuple de Dieu, le
sacerdoce royal; Dieu nbus a fait nous
aussi rois et sacrificateurs; nous ne voulons plus aucun Médiateur entre nous et
Dieïi'i Christ nous suffit. —■ Ce'sont ¿es
artisans, qui, comme'les 70 prêchent en*
laïques l’Evangile au nom de leur Maître;
ont comme Aquilas ét Priscille, une église
dans leur maison, et poussés par l’amour
des âmes, travaillent pour les conduire à
l’obéissance de la croix.
2°) Ceux qui sont convaincus que l’Egliséne repose pas piùs sur le^pasteur que
le corps ne repose sur la tête et travaillerït,
pour ïa soutenir, la rendre plus forte, piüs’
agressivè, plus utiíé,’ plus fidèle.
glise repose àùr ses méinbrés. — Sont-ils
fidèles, actifs, horinêtes, zélés, généreux,
unis, d’un même cœur? L’Eglise sera
forte. — Elle ne connaîtra pas la plaie de
la foi: ni le cléricalisme, ni son frère puiné
l’anticléricalisme. — Sont-ils infidèles,
paresseùx, égoïstes, divisés: l’Eglise será
faible. Le terrain sera propice pour
l’éclosion dû cléricalisme.
3°) Ceux qùi considèrent les docteurs,
pastéurs, apôtres bu évangélistes comme
des hohmies sourpis aüx mêmes infirmités que nous ». Les considérer comme dés
êtres à part —■ süpérieùrà ou ihîéneurs,
peu importe mais qui accomplissent
eûcclusivement dés fonctions religieuses,»
pour le salut de tous, c’est faire'dù^,cléricalisme meme si l’pn ek 'anticlérical.
Ils .sont lés ouvriers dans la moissbri du
Seigneur, c’est vrai,'mais tous les chré
tièns doivent être des ouvriers avec eüx
■ i , ,.;î , , ■'
et comme eux. , ^
4°) Les grands'ènnemw clèricalù
sont ëhcore' cèux qui xTnfercsseh/ à
l’Eglise éf réclàmènt leur part des préoccupations administratives et spirituelles.
—- Qui ne permettent pas qu’on les mette
de côté comme des instruments rouillés.*^
Qùi veulent leur part d’activité, de responsabilité, de devoirs et de privilèges,
— Qui né veulent pas qu’il y ait upe catégorie qui fait tout et une qui ne fait
rien, ou, au plus, se limite à critiquer et
de temps en temps à applaudir.
Il n’yl j^E
glise où chaque membre s’intéresse à
l’œuvre commune, travaille et prie, lutte
etlnsiste pour sauver les âmes..—; Former
des carcictères, des chrétiens consçients et
actifs, c’est protéger J,’Eglise contre le cléricalisme., ; . , P Heàwig'son.
PROTESTÍHTS DÏCiJSSL ’
S’il est vrai que. l’Eglise catholique
s’est donné pour but de faire rentrer
, dans son giron les protestants de langue
anglaise, il est tout aussi vrai que ceuxci ont' fini par s’en apercevoir et à. s’y.
opposer de toutes leurs forces. Quand
on a commencé à jouir des douceurs de
la liberté, on n’est pas charmé par l’idée
de refitrer sous le joug .et surtout le
joug de Rome.
En Ecosse l’Institut Protestant travaille et a rouvert dernièrement se^
classes. L’orateur pour l’année 1914 est
le Rev. D.r Alexandre Sniellie, ^e Car-^
luke, notre ami et surtout un grand ami
de notre Eglise. Sa première conférence
eut pour sujet : « La Réforma.tion dans
sa littérature ». Il observa av^Q't tout
que la parple «Protestant.» savourait
trop de négation. Si les princes protestants, à la seconde Î)iète de Spire en
15,29, protestaient “contre bien des choses, ils plaidaient aussi eu faveur de vé' rites ^dsîtîves. IfCur mottô : «^V“. 0.
2
M
sm
lèi*:-’ 'iSjiVi!x-i ìd
jj .liiìl. s
¿1 . .......................... ,
^ Il signifiait : « La Parole de Die^ de
re étemellei|èn| », le
estantisme pgeif éi|^psuméÆls
laraient que hoin|K dèit j
compte de ioi^ L^iiÆui
£ It oui et leur non était non, et il n’y
^ 1 ien en ceci de négatif.
Ig^éciurutent^ue feuT protestation
P;£ it causée par leur loyauté et
aqoiour à la vraie religion chretienné
îta ic
fta is son tout. Si le protestantisme doit
6a ■ force, protester contre }?iêïC,d,es. érBei|rs wi-maiti«tis>ii,n^, est;;®,ai.imoi^^^,
tyr|i Qjyj’it, ¡topQp. sur des^.a'^rmâtiôns
^ojitives. Il parla sur a) la"vdleïin- 4â\
îibifffiffi'^iîoft êt'rê’fift' pré-'
ri' £ï*f#fcfs.- JT'-.
-P' ■ * Ti
pour Juir^.iiie. Point .n’est néces
^laife qu’pnr|ixdiçe .sacerdc^al ym se
gijcer entré j)ieu et les^Îiomlines. è) La
salnlet 'é de Id“}amitiéfinest" paâ une
-?PÎP wo note
<î}lf^ti^nne.^Pen4ant le mpyen-âge cette
vérité fut oiis,curde. Le cloître, fut préféré à la faniiile< Cçtte sorte de religion
^ évideijkinppt produit des suints, mais
dçur,g^rp ,de^ p^^été .n’était ¡pas le genre
du. ,C|wpt.:. Heureusement qup l’ascétisnie est, en .„baisse. La famiÜe^est la
9fé^tioi^(fq^;bjeti’ U.u’y a pas d’autre
forme de vie supérieure, c) ^autorité
du Livr^f^. La ,Bible et la Bible seule, est
,1a religion du p,r9testan,tisme. L’art de
fa presse .piit lès hpin^e?^^en, CPb^munipn
les mit en
communion ^a^ec/Hie% ^
la gr^ce spirituefle et intérieure. Cette
.^de,cpuye^^e fut plus grande que ce.}le.de
rÂmérique. , , ,
HÎÎ*01faî ¡fj ..-.Uvi . .. >:'(■
fes hommes à la douleur
du peche connu et a la conversion cauT
see,par l Espnt Saint. Ûn liyre,infailli
.serait aussi inipôssibié qu’une Eglise infaillible! L’esprit de vérité conduit à toutes les vérité. d) ta su^ériorÎië^de la croix. Non la
croix materielle mais le salut acquis sur,
la croix pour les hommes pécheurs. —
ij ' .n.r.
JNous nous approprions ,1e salut accompli sur la croiî pat le simple lien de la
. - 7 : J;;:!; ¡1^ lil i-.-,,
foi. Cest 1 article par
par excellence du
profestahfisme, c’est celui qu’elle doit
ténilr ferme jusqu’à la.mprt et'’qu’elle
doit Pfêçhér fid!èlement jusqu’aux extïémites'dé’Wtcrie,'’ ‘E.’B.
CHRONIQUE VAUDOISE
ANGROGNE ET VILLAR; Nous reCfevbUi la pfêsteftte ’citcuZazVè, que nous
publions, 'avec lé Tade Mecixm du Catécftnnièhe. Après'exameny nous ne pouvons
que'• 'Décommander chaleureusement,
car iLse, p.rête, meryeil|e^comme ,intro
duetíclñ-an^ ^liDs dii éÎthêchismy
.„par «;.,.7 27 Décem&re 19Í3.
Cher collègue, ' '
Nôûs àVohs rhonnettr de ■vous envoyer
uti exemplàifë cïe notre' Vade-Mecum du
Çaîéihümèfie. * .
Ce petit nianupl, contenant des notions
prépaiatoires à l’étude du Catéchisme
proprement dit, est destiné aux jeunes
genè ét jeunes filles qui font leur première
année d’instruction religieuse. '
Si, après'examen, voiis croyez qu’il
puisse être utile à notre jeunesse dés Vallées, et si Vous Vous décidez à l’adopter
dans votre paroisse, il pourra être imprimé pour la prochaine année ecclésiastique.
Nous vous serions reconnaissants si
vous vouliez nous faire part de vos observations' et nous proposer les modifications'que Vous jugerez devoir,apporter
à notre inodeste travail.
Nous saisissons cette occasion, cher
Wljègué, pour’vous safuer aflectueuse
, ; origin • ■ i -y -'-'A'
ment et vous souhaiter, ainsi qu’à votre
mille,'^e hei^use ¿ocelle annéeÿ’tî|
•e en jnédi^ns. ^
Vos (^ouéi^abs le'l^gneur ^ i
ikM .-te!. 1 ^G. Jahier^.,?'^
Eug. Revel.
PS. î-?“oLl|i qoL.. en attenda»ip^
l’impression du Vade-Mecum du Catéchu,mMf, désirent ¡en avoir quelques exem-pïaires comme celui que nous ypus envoyons (prix 0.15), sont priés de- s’adres-*
ser au pasteur d’Angrogne. i
sî,«ffiÎé^NNES. Home pour gouuernàntek et
servantes. — Nous, reproduisons dvi Rap,,*port,céqui sait, sm^ 1912-1913:
* ’Nos ^ tablèà'ùx' statistiques et finan-*^^
^‘ciers pourraient à eux seuls constituer
tout notre Rapport annuel, tant l’exerci'cé écoulé à été calme et normal.
^ 'NOtré DirèctriW, soutenue par sa vaillance physique et morale habituelle,,, a,
comme toujours, tenu tête aux multiples
devoirs de sa tâche, conduisant le ménage
avec une sage économie, exerçant une, tutelle affectueuse et chrétienne sur, ses
pensionnaires à l’intérieur, et gardant autant que possible contact avec les jeunes
filles en place au dehors. Ce travail n’est
pas de ceux dont on peut voir les fruits
immédiats, d’une manière sensible. Cependant, nous savons que notre chère
Directrice a reçu, à cet égard, de précieux
encouragements.
L® mouvement des entrées et sorties
a été sensiblement le même que dans
l’exercice précédent, L’écart assez grand
i’pn constatera, par contre, dans les
journées de séjour, provient de ce que nos
pensionnaires se sont placées beaucoup
plus facilement cette année. Nos recettes
de pensions ont été, de ce fait, considérablement diminuées.
Malgré ce déficit, notre Budget se main*.‘7 î'Î j ; situation, satisfaisante..
Nous regrettons seulement que .les dons
excéptiohnels destinés à grossir notre
fonds du Jubilé, ou jonds d’immeubles, no
soient pas plus fréquents. Nous remercions nos amis de l’Hôtel Paradis, M. et
, M.me Staehle, de leur généreuse pensée
' à l’occasion du mariage de leur fille, Mademoisellê Staehle.
Les dames des grands hôtels de Cannes
nous continùent leur précieux et généreux concours, soit pour des dons en nature, soit pour les collectes, soit pour l’organisation de la Fête de Noël. Nous les
remercions chaleureusement.
Notre ambition serait de faire toujours
mieux dans l’intérêt des nombreusse jeunes filles qui viennent chercher abri dans
notre Maison. C’est ainsi que nous espérons devenir un jour propriétaires, soit
dans l’immeuble actuel, soit ailleurs.
L’organisation de conférences pu causeries ménagères pourra ainsi être étudiée
avec fruit.
Nous sommes reconnaissants de l’appui qui nous est donné par le Haut Conseil Fédéral et par la Société Suisse de
Secours, comme aussi par les bienfaiteurs
et souscripteurs fidèles de notre œuvre.
Nous espérons mériter toujours mieux
leur confiance et nous attendons de Dieu
la bénédiction sans laquelle notre œuvre
serait vaine pour le bien moral que nous
poursuivons.
Tableau du mouvement de la Maison
Hospitalière pendant la saison 1912-1913:
Total des journées de séjour, 15 septembre au 31 mai, 2.675 contre 3.398 dans
l’exercice antérieur — Entrées, 260 contre 26Q.
Répartition dés pensionnaires: 1“ par
confessions religieuses: catholiques, 124
contre 112; protestantes, 131 contre 148;
orthodoxes, 5 — 2^ par nationalités:
t France, 61 : Suisse, 65; Italie, 61; Alle
magne et Alsace, 50; Angleterre, 9; Au|ricîÎe-Hôngrie, 5; Russié,’î4; HoHaEnde,
3^;^Ohêthe, Total 260. , *- <
^ ^ ëpmm^ le voit, l’Italie occupe^ la
^dàde pïade, et certainement les Vàudoises forment le grand contingent, aussi
l-nous tenons à exprimer-nôtre'reconnaissance au Comité pour tout le bien qu’il
fait». ^
COLONIA IRIS. Les nouvelles que
nous venons de recevoir d’iris sont bien
tristes. Depuis deux ans environ iÎ ne
pleut presque plus et par conséquent les'
colons n’ont point de récolte.
Les commerçants de Jacinto Araüz
ont invoqué rinterventidn du gouvernement et eux-mêmes font tout ce qui est
en leur pouvoir de faire pour éviter une,
catastrophe complète. La sécheresse est
générale sur toute la lignedeBahiaBlanca
au Pacifique.
COLONIA VALDENSE. Le 31 octobre le Collège de Colonia Valdense a célébré son XXV anniversaire. Pour l’occasion, les élèves avaient préparé un concert littéraire-musical qui a très bien
réussi et vivement intéressé le nombreux
public qui était intervenu ; la fête se termina le lendemain, par une promenade
au Rio de la Plata. Nous nous réjouissons
des progrès qu’a réalisés ce Collège et
nous exprimons le vœu que les Vaudois
de nos colonies sud-américaines sachent
profiter toujours da'li'antage des moyens
d’instruction qui sont à leur portée.
—• M. le prof. Louis Jourdan communiqué à son père que M. J. B. Griot, âgé
de 86 ans, est décédé tout à coup, sans
passer par la maladie. Cette nouvelle
inattendue qui plonge dans le deuil huit
familles, puisque M. Griot avait cinq fils
et trois filles, nous fait impression, car
M. Griot, originaire de St-Germain, était
lin dés premiers colons Vaudois de l’Uruguay et, par son activité, était une colonne de la colonie. —' Nous tenons à
adresser aux familles aflligées l’expres-'
sion de notre sincère sympathie chrétienne et, d’une manière spéciale, à la
famille de M. L. Jourdan et à celle de
M.me veuve Pons née Griot.
LA TOUR., Dimanche dernier a été un
beau jour pour notre jeunesse, qui est accourue en grand nombre, environ ua&
centaine, à l’entretien qui lui est consacré
le premier dimanche du mois dans l’école
de Ste-Marguerite. — Nous remercions
aussi tous nos jeunes gens qui ont répondu avec tant d’empressement à notre
lettre de Noël et Nouvel-An.
— Nouvelle école. Nous apprenons que
M. l’instituteur Rivoir ouvrira, à partir
de jeudi 22 courant, une école de préparation à la licence de 5®-6° élémentaires,
pour adultes. j
Pour toute information, s’adresser à
M, Rivoir, instituteuf à S.te Marguerite.
— Les cours de la langue internatio
nale Esperanto seront repris Mardi prochian, 13 courant, à 4 h. de l’après-midi,
dans une salle du Collège, sous la direction de M. le prof. Alexandre Vinay. C’est
une bonne occasion pour apprendre une
langue auxiliaire, simple et facile, dont
quiconque peut se rendre maître avec Un
très petit nombre de leçons. Le Comité espère que les inscriptions aux cours seront
nombreuses cette année, et que la société
Esperanto Rondeto de Torre Pellice verra
une augmentation sensible dans le nombre de ses membres. Le Comité.
PISE. Du Rapport annuel nous .reproduisons ce qui suit:
« L’andamento della Chiesa, pur non
segnalando grandi novità, si può ritenere come soddisfacente, sopratutto se j
esso costituisce un pegno di prog¿^
|iaggìo^7per favv^re.
I c|]p nelle don||hiche ordinari^ fuIprio pie^lio frequentati, come dimo|tia
pìire l’atànento «srefficatosi nelle '^o9lette domenicali. Ma, a questo riguaÌdi),
confidiamo in progressi ulteriori. T|itti
dovrebbero considerare come loro |diÿypte indiscutibile la frequentazionefdli
culti. 5
« La nuova Liturgia, che conferìseé
un pò più dì nobiltà ê)âi‘decoro ai ciîltï,
venne imparata assai presto. Esprir^igy
nip, pero, il desidèrio che tutta la fratellanza vi prenda maggior parte, g §
* è'Segnaliamo la Commemorazione'dd
17 febbraio (data che iniziò in Italia |itià
nuove èra per la libertà di posciet|zà)
fattasi' con una conferenza speciale Ne
accompagnata da bellissimi con di circostanza, eseguiti dalle Signore e Signorine della Chiesa.
« La Scuola domenicale annoverò ben
112 iscritti, dei quali cento cattolici. —
Tale numero non fu inai raggiunto prL.
ma, dopo la chiusura delle Scuole diurue.
« Vorremmo però, che tutte le nostre
famiglie vi mandassero i loro figli. Ringraziamo tutti coloro che con loro offerte hanno contribuito alla riuscita
della bella festa àoìVAlbero di Natale
che abbiamo avuta; festa sempre cara
ai nostri cuori.
« Il Pastore ha bisogno, per questaj
Scuola, di essere coadiuvato da un mag-’
gior numero di monitori,
« La Società delle Signore, che vogliamo ringraziare per il suo valido aiuto fìnàhziario, ha ripreso nuova vita."' il Bazar da essa preparato riuscì ottima^'
mente. ' * ‘■ !! (,.;
«Le contribuzioni sono in aumento.
Vorremmo, però, che tutti i fratelli dessero il loro Obolo; ilìioltre; furono collettath L-¿od'^pe?-la''Scuola Normale che
già si è aperta , quest’anno in To rre Pellice (Valli Valdesi). i ,
« Nel complesso. Tattività della Chiesa
si è manifestata in tutti i campi; suoi,:
Ma noi tutti aspiriamo ad una condizione di cose sempre migliore, e dobbiamo aver presente ilsavio ammonimento
dell’Apostolo : « Chi semina scarsamente
mieterà scarsainehte ; ma chi sentina liberalmente, mieterà altresì in benedizione »,(2 Cor. IX, 6).
.Pisa, li IO ottobre xgi^. : ,5 i ,.'
. si'.y Per il Consiglio di Chiesa
•) Dott. E.‘ Meynibr, pastore
Via Mazzini, 23 - ^. 3°.
PRALY.fcMalgré la neige, tombée eri
assez grande abondance ces jours pássés,
et uri froid très vif, nous avons eu à Noël
une belle assemblée dont une très fortemajorité s’est approchée de la Table du
Seigneur. A rendre la fête plus solennelle
et bénie ont contribué pour leur bonne
part le chœur et les cantiques bien pré-’
parés et chantés avec beaucoup d’entrain
et de précision. Un remercîment de cœur
aux membres de notre Chorale et surtout
à son directeur M. Coïsson pour la peine
qu’ils Se sont donnée.
■ ■ i lil
PRARUSTIN. — Mariages; Rochon>
Louis feu Jean et de feu Léger Marie, du
Pomaret, avec Chambón Susanne de Michel et de Bounous Susanne — Roman
Pierre de Jean Pierre et de Godin Snsanne, avec Rostan Susanne feu Michel
et de Forneron Marguerite — Godin Jean
de Philippe et de Gardiol Marguerite,
avec Godin Louise de Daniel et de Gar»;
diol Madeleine — Paget César de Jacques
et de Paget Marie, avec Paget Madeleine
de David et de Roman Susanne — Rivoir-;
Georges feu Georges et de Grill Jeanne, ;
’ avec.Beneçh Emma de E.arthéleniy,et
m'
I
■I
i
3
mmm
Sus^tt® Malam N05 meilleurs vœux de
bonheur. *
Décès: Pasquet Judith, décédée aux’
Pian, à l’âge de 76 ans — Constantin
Cornélie, décédée à la Barma, à J’âge de
54 ans ■— Gardiol Louis Philippe, décédé
à Ciambeyré, à l’âge de 71 ans ~ Marthe
Cardon, décédée à Saret Cqmba; à l’âge“
de 80 ans — Marguerite- Paget, décédée
à Bellecoste, à l’âge de 79 ans — Bouhous Susanne, décédée au Ciabot di Couley, à l’âge de 65 ans ■— Coïsson Henri,
décédé aux Pian, à l’àgè de 22 ans.
toutes ces familles affligées nous envoyons
l’expression de notre profonde sympathie chrétienne. 1 “'”1^
>PRAMOL. Les examens de quartier
ont tous été faits avant la ffn de l’année
avec un bon concours de personnes. Que .
Dieu bénisse ces réunions et donne eiB-'
cace aux exhortations de ses faibles sér-'
viteurs. , ^ v*'
— Le culte de Noël a été bien fréquenté
malgré la neige, la glace et, le froid. Un,
chœur bien exécuté a contribué à rendre
le service plus imposant .et sôleftnél, ,
A l’occasion des fêtes, de' nombreux
communiants se sont apptochés de la,'
Table du Seigneur.
: Actes lUurgiqmSt—Baptêmes: Ber
talot Ernest d’Héli et de Long Henriette
(Ailiers). .'wOC
Décès: Long J, Barthélemy feu J. Paul,
et feu Long Marthe (Piene) est décédé k
l’âge de 43 ansj latesant d|Sa ^jettil
femme et cinq enfààts en bas âgé; ■l’uissent les affligés, auxqueljS Jiqusrexprimons
notre sympathie, .^ttehdre avec confiance
les consolations de Celui qui est le Père
des arph^Unset le;.prpteçteur des yeuves.
ROCHEPLATE. La fête de Noël. Cette
année encore M. le régent-évangélisté
Pierre Tron, a pris rinitiâtive d’avoir ûrt
arbre de Noël. Sort Idée a été approuvée,
par le public, vaillamment secondée par
la jeunesseret le résultât final a été très
réjouissant. Le jour de Noël, le temple
de Rocheplate était bondé par un publié
de grands et de petits, dont bon nombre
venaient mêmé^d’assezJp,in, assister,,
à la fête. L’arbre était superbe et superbement garni. On entendit de très beaux
chants', chantés avec beaucoup d’entrain
ét d’ensemble, les uns français et les au»
très italiens, niais tous très bien adaptés,
à la circonstance. Les enfants répondirent avec aplomb et clarté aux demandes
posées par M. Tron, ayant trait à la
naissance de Jésus. Lé pasteur râcorita
aux enfants, sous forme de légende, ce
qui dut se passer à Bethléhem à l’époque
de la naissance et termina la fête proprement dite par la prière et la bénédiction.
Ensuite on chanta encore, tous ensemble: Mon beau sapin l », et Pon distribua ensuite les cadeaux aux enfants.—■
Nous remercions de tout cœur M. Tron
pour la peine qu’il s’est donnée, les sacriflçes pécuniaires qu’il s’est imposé,
ainsi que tous ses collaborateurs et collaboratrices, surtout le syndic Forneron,
l’ex-ancien Godin et M.lle Tron.
— Le culte de Noël fut fréquenté par
le public des grandes occasions. Dommage qu’il n’y avait pas de chœur spécial, cette année. E. B.
S. GERMAIN. A l’occasion des fêtes
de Noël, la Société des mères de famille,
aidée de quelques dons spéciaux, a pu
distribuer quelques cadeaux utiles à une
trentaine de familles de la paroisse.
— Samedi soir 27 décembre, la Société Pra del Tomo, représentée par
l'étudiant Mathieu et un de ses amis, a
donné une séance avec projections sur
Madagascar et l’œuvre missionnaire
qui s'y poursuit.
|S8tetii ée îâ S:.' A,
Comba, ayant accepté, avec lé "epinsentement du Consistoire, Tapperqui ;lui
a été adressé de se rendre*én AUemagne
comme collecteur, pendant le mois de
janvier,, il sera remplacé pendant ce
temps par M. le prof, émi Bosio. M.
Comba doit'visiter Brême et ses ért virons et sera présenté par M, CalvÎnô, le
vétéran'des collecteurs vaudois en Allemagne,> . , ,
SAINT-JEAN. Favorisées par un
temps des plus beaux, bien que froid,
¿nous ayons eu de très bonnes fêtes de
. fÎOel et NouveL-An. ’ ;
Npk assembléés de culte, habituellement encourageantes par le nombre des
' assistants, nous ont été un sujet de joie
et d’édifleation toute particulière en cette
iNpériode dé fêtes.
A Noël, toutes les places étaient occupées dans le temple; le jour du NouvelAn, une assemblée vraiment remarquablè, et notre culte du soir, à la veille de
. ce: jour, dans le temple, a été comme l’an
dernier solennel et touchant avec une
large participation de fidèles à la SainteCène.
Notre Chorale nous a donné deux béaux
chœurs de circonstançe, à Noël .et Nouvel-An, et entraîné l’assemblée dans le
chant des cantiques d’occasion, très soi'gnertsement préparés,
y 'Un merci bien de cœur à son infatigable directeur M. Co'isson, ainsi qu’à
tous ses coopérateurs.
Le vendredi 26 à 3 heures c’était la fête
des enfants de nos écoles du dimanche,
au nombre de 300, groupés daris le temple autour de l’au'bre étincelant et généreux de.. friamdises, pour tout ce petit
monde.
y Quelquès fècitatirtrts, beaücoup de
¡chanté, enlevés aved eritrairt; programmé
court, fête bien réussie. î'’
, Le 2 qânvier-enfin, lavfête’ tradïliorf^
nelle de nps virtllards de l’Asile, due à
Tinitiative des dames du Comité de couture. Une petite fête en famille toute afr
fecüqn et cordialité, dont nps vieillards
paraissaient jouir comme des enfants.
Nous remercions vivement les persan^
nés qui ont concouru au succès de ces
joyeuses réunions fraternelles où l’esprit
s’élève et les cœurs se réchauffent; mai^
nous en remercions Dieu par-dèssus tout|
en lui demandant qu’il les veuille bénirj
pouf le bien de nos âmes et de notre chèrq
Paroisse., , . . X. X. |
i: TURIN. Adieuxde M. le pasteur Giamî^
piccoli. Dimanche 4 janvier, à 6 heures
du soir,, SUT l’invitation du- fionsistoire^
la chapelle de 15, Via Pio Quintéf se remplissait de membres de i’Eglise pour ser-,
réf la main à M. le pasteur Giampiccoli,
ià la veille de spn départ pour Rpme. Déj^
le 21 novembre une charmante réunioi|
de famille due à l’initiative de M, le pas|
teur Albert Prochet et de sa dame avait
donné'occasion à la jeunesse d’exprimet
au cher pasteur qui la quittait toute sort
affection. Des paroles émues furent prononcées de part et d’autre.
M. Giampiccoli dans ses adieux recommanda à la jeunesse de persévérer dans
la prière. ,
C’était maintenant }e tour des grands.
Mî Prochet, président, salua son cher collègue au nom de la paroisse et le remercia
de tout ce qu’ii avait été pour lui.
En lui offrant comme souvenir de la
paroisse une pendule-réveil, il exprima le
désir que celle-ci ne puisse marquer que
des heures bénies; *
M. G. de Fernex exprima ensuite les
remércieraents chaleureux (Je la paroisse
à M. Giampiccoli pour la fidélité avec laquelle il s’était acquitté de son ministère
.au milieu ^elle, pour sa prédication si
" nourri^ l’instruction si intéressante don. née à I4 jeunesse, et les nombreuses œuvres deibien^^isance soutenues ou gujdées
par noire ami. - /
Ce daiinier remercia en rappelant quç
ce n’av^it pí^s été sank un profond déohi-rement^de cœur qu’il avait accepté Tap- ,,
pel unætiime«qui lui avait été adressé par
le Synode. Si sort ministère a eu de bons
,^résultats, il le doit aü fait qu’il es;t resté
fermeniént basé sur l’Evangile de JésusChrist, ü Les liens ecclésiastiques se rotnpent, dèt-il,"mais ceux de l’affection restent, et ee sera pour lui un plaisir et un
repgs que de pouv^l^' retourner souvent
au miliéu de vous, de prêcher ou de donner dei confépencèsj |ur des sujets qui,,;
pourroitt-voiis intéresser ».' Une fervente
prière de M. Prochet termina cette émouvante #rémonie. ■ D.. P
YILLAR.^ Actes- ñturgiques de Décembre ^913: Baptêmes: Gönnet Al
bert, d| Pierre et de Courdin Susann e
(St. Ch|istophe); -J Gönnet Pierre,- dé1
David |ti de Gonnét Madalaine (Sufèf).
Entetremenis: Jean Aristide Caïrus,
feu Je^! Etienne, marié à Ca'irus Merie,
• 56 ansÎ(Cucuruc) Bonjour Daniel,
dr Jean. Jacques, et de Michelin Salo- .,
mon Susanne, 40 ans (Barma). A. J.
- >.-•# : • ■t? ■ ' - ••
PRG| SÇTOLA^NQj^MALE.
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sig.ra, £. 100 — Sig.fa Kraal-Malan, La
Aia, §0 *^'Sigma Rônian Lydie, 20 —
Sig. Forneron Davide, 15 — Sig. Schutz
e sig.ra,: 200 — Sig.na Guigou Maria, 5
— Col(çttnte,dalla stessa a Berlino, 15
— Un’ex-aliieva di Torre Pellice, 60 —
Miss Mauson Amy, Londra, 25 — Unione
Cristiana delírt GiÓVaní Üf Villar Pellice,
30 -— Sig.na^vaín-^pertéml Haárlem, 20
— AfïM., Londra» 6 -r- Sis. Doti. MartinLang e sig.ra. Neuen Berlin, 20 — Sig.
Befard-Cäffärel, IfjO“— Sig.' J: DV Stalle,'
, pastore, Coffrane (Svizzera), 20 — Miss
5 Ba^b’Qlómenr Lot ----A; Ff rend of'
^Bjugiand, 25,20 —■ Ñ. N., a mezzo sig.ra
Ñpfho Malan-Charbonnier, 5 —■ Sig. Bri|tóm e sig.ra, 56 -r Sig.k Cesare Gay, 36
783,20
Totale della'24®' Lista ßc
Iji; Liste precèdenti
»»ïl66.654,45 ^
î'TOTALE GENERALE L. 167i437,65
fUÎ
li I
Per il Comitato Centrale
V. Perazzi.
15^1 BIBLIOGRAPHIE.
ÎI^SSIDOR. Revue Bi-Mensuelle IIlustrée. 19, Boulevard Montmartre,
i-H Paris. Ab. 7.50 (00 s’abonne seule{ ',;ment pour une année).
lî'Dn écrit énormément de nos jours,
ôp écrit trop, on écrit mal. Rien d’étoniartt à cela, puisqu’on écrit "dans Tuùiqbe but de gagner de l’argent.
La poste nous apporte tous les jours
quantité de journaux, de revues, etc.,
qui sollicitent notre abonnement. Nous
ne pouvons pas lire topt cela; le temps,
l’argent et l’envie nous manquent. —
¡s nous ne voulons pas'vivre non
dans une ignorance crasse, nous
Voulons savoir un peu ce qui se passe
dans le vaste monde, tout en sortant
des cancans et des faits à sensation de
notre journal quotidien. Il nous faudrait une bonne Revue, pas trop coûteuse, bien écrite, traitant de tout un
peu, une revue, en un mot, qui instruise
notre esprit et élève notre âme. Cette
'revue, je l!ai découverte dernièrement,
‘elle s’appêlle^Aféirei^E^ Messidor est
une fée qui, à vol d’oiseau, vous promène agréablement à travers les publi
cations de toute sorte et ne vôns arrête
que sur sommets ; passionnantes actb^tés, pages de forme impeccable et
signées d% noms célèbres, illustrations
■^de choix.
-—Fée qui, pour unèsomme modique
vous tiendra aü courant de tout,
f': —Fée qui tout en se tenant au dehors de tout parti politique et de toute
confession religieuse, vous portera Técho de la race et dé laTconscience françaises, dans tout ce qÜ’éües ont de plus
digne et de plus élevé. Jl'i ^ ^
’ ;L*Fée qui murmure tout bas àjvotre
oreille le nom d’Henri SoulÍé,nom connu
et aimé de nous tous!’ :
Voilà la Revue à laquelle nous allons
nous abonner.!* E. BertaWT.
Auxlrêceptipas qui ont^u beu à Rome
le premier jour de l’an on a rértiarqué la
présence du maire de Tripoli, Hassuma
pacha Karâraâuli, venu pour porter au
roi fies* hortimagês dé not^é nouvelle colonie africaine.
Le ministère a soumis à la signature du
roi un décret qui augmente l’impôt sur
l’alcool, le portant à 330 francs le quintal.
Un décret analogue élève les prix des tabacs, cigares et cigarettes, qui sont obget
d’une pins grande cortsommation.
La colonne de troupes commandée par
le colonel Miani a remporté ¡un brillant
succès pertdârtt sa marche Vers MurZuk;
capitale du Fezzan. Attaqués par uné
mehalla sous les ordres du chef Mohainedben-Abdalla, nos soldats - ont vaiilairt|
rtient repoussé l’ennemi et se sont em
par&i de j^shrug^ îLe
resté sur le terrain. ,,
-ii La Turquie vierit d’acheter en Angle*
terre un superbe dteadnought, le Rio de
Janeiro, destiné d’abord au Brésil èt
vêndu erismte aux eirehères par ia maisûÜ
constrùctricrt Là Grèce ést très inqüiéte
craignant la puissance maritime de sa rivale dans la mer Egée, énormément âecrue par la possession de cette puissanteunité*Tiavaie,'qui:'sera liOTée pr0chain6-|
nient. Les"~intenfions belliqueuses de la
Turquie deviennent toujours plus éyi.,dentes. Le fameux Enver-bey, promu fé^ cemment général de brigade, vient d’être
nemmé miiüsïfe de la guerre, et nous savons par expérience qu’il n’est pas animé
de sentiments très pacifiques.
La question des îles conquises pm’^ Ia
Grèce aura probablement une solutiort
favorableià (èlie-ci, léà';püifeartces de' la
Triple Alliance ayant adhéré à la préposition anglaise communiquée aux puissances dans la note de décembre dernier.
On presse 'de tous côtés l’Italie de rendre
à la Turquie les îles du Dodecannèsé, et
l’on veut réunir cette question à celle des
frontières dè l’Albanie. Mais le moment
n’est pas venu d’abandonner ce gage que
nous gardons légitimement en vertu du
traité de Lausanne.
La Grèce sommée de retirer ses troupes
des districts albanais du sud qu’elle occupé encore a promis de le faire le 18
courant. M. Venizelos, président du conseil des ministres de Grèce est parti pouf
Rome. C’est un indice que les rapport*
pohtiqües entre les deux pays vont S?à**
méliorant. E. L.
V PENSÉE ' : y
L’activité est le véritable plaisir dq
la vie, ou, pour mieux dire, vie ellemême. W. Schlegel.
NB. Faute d’espace, nous renvoyons j
art . prochairt. Na la - liste des abî^-> non \
quittancés.
C.-A. Tbon, Direçteur-reipontabk,
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VOLETE LA SALUTE ? '
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