1
Année XIII®
PBlJi:' PAR IH
Italie , , . . 1 iL.
T(^U les pîifS de VUttio»
Ç9Pή ' , • , • ' •
Iqiie'dm Snd . . *• 9
^ On s'abonne : '
Au ^^i:eap4'Admipâstratl9n',
Che2 MK. les IPasteiirs ;
Ûb.e^ M.^nost ^berit ('Ple^erc^;^
et à ïà LlbralrieOhianTore ot
Maica,rolli /iPi^crf>^ ).
Jj'iü^^evscnt part dn. ,1' Janvier
et* se paie d’àvanoe.
N. U.
5 Novembre 1887
Numéros séparas demandés avan
lè tiraf^e 10 eontimos ebamin.
Annonces : 20 centlin^s par l^u e
pour une sonie fols, — IK centimes de 3 à ^ ibis et 10 cen
times pour d fols et au dessus.
S'adresser pour la Jlëdactîon et
ri4aJplstrallon à K, le Pasteur ÏI. Bosio — Saint GermainÜSuson CFInerolo} Italie.
Tout difingerpeut d'adresse est
payé 0,£pi oontîiinGs.
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Cf»
ÉCHO DES' VALLEES VAUDQISES
I l li ^»tHiaissaht chaque Vendredi
VSpMa «*« iMfws Acfaia 1 i-8. iutimaf la teW#« awif Î<» cAaWi/. Eìmi. iv, 15.
Ci»
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' :Sojximartire.
Jean Pierre'Meiite. — Conférence dn Yal
Saint Martin. —'Missions. — Nouvelles ré
ligiemek:^— P/i}‘ônif?iie cnttdoise. — ‘Àh~
■.■•>■> f.yOjiji;*- Ü'iit. ' "■ .. ■••
nonces. - ^
JEAN PIERRE MEILLE
Une npble vie vient de se terminer
j.Üpe laflfipe qui, au sein de
neire Eglise,'a .brillé d'un bienfaisant
éiclal pendanl plus de quarante années
vient de s’éteindre^ non pas sous les
souffles du moindre veut, ,mais parce,qu’elle avait eonsumé jusqu’à la dei>
nière goutte de son hpHe. — Ce n’est
pas la maladie qui a miné et insensiblement consumé ce corps qui
n’a.vait d’ailleurs jamais été particulièrement vigoureux ; c’est le travail,
un travail assidu, incessant, opiniâtre,
poursuivi obstinément lorsque déjà les
forces n’y suffisaient plus, et cela Iprsquelsà famille et ses meilleurs amis le
sollicilaifenl vainement de prendre
enfin un peu de repos sur la terre,
auprès de ses bien-aimés, avant d’al
ler goûter le repos du peuple de
Dieu. — Lorsqu’enfin il s’y est décidé,
c’était déjà trop lard; les sources de
la vie étaient taries. En vain, la science
médicale la plus accomplie et l’affection la plus tendre ont-elles jrivalisé d’efforts et de dévouement pour
ajouter quelques gouttes d’ huile
à cette lampe que l’on voyait s’éteindre. € H n’ est pas malade » ,
disaient les médecins. « Il ne souffre
pas », disaient les membres de sa
chère famille, qui l’ont assisté, à
tour, jour et nuit, pendant prés de
six semaines, merveilleusement soutenues dans cette œuvre d’amour.
Erifln, dimanche dernier, 30 octobre,
à quatre heures et demie du soir, il
s’est endormi doucement ( ne seraitil pas plus exact de dire il s’est réveiilé ) dans les bras de son Sauveur.
*
t *
Jean Pierre Meille est né dans
un petit hameau de la paroisse de
Bobi (Bobbio Pellice) le M novembre
1817, mais il vint très jeune encore
habiter à St. Jean où son père était
devenu régent de quartier et où son
2
frère aînév qu’il a pu à bônjdrojl
appeler son second père, exèrçEf^lus
tard ,ave<?,bé,nè'di,çtiOb les fonctions de
régétit pafqissial, — pour eeqx ,q^;
l’ont vu à l’œuvre et connu tèVprfe,
le 'modèle "'de^’'P^t'te classe si'‘‘îrnp,Q,rlante 'des 'ouvriers de l’Eglise.*“
A l’âge de neuf ansy le jeune,^^ille ^
fut admis à VEcole latine, la' seule
école Mpâcieuçfi accessible
|vou|s m so
à Latisan
le wpjrieu
dois, ne
par le^oihs
itput ^se fen
trer comme05^]^jF^giç^^_^ns2(^3
éñblissement qui allait f]^ieqt4v6^trj9,r,,
dans la période la plus prospère de
son existence. Doué d’une intelligence
ppu coparRui?^, d’il^n I go,ût .p^'oponeéi
pqur, Ifétude,' diutjL^iqapaçilé de lraya)il
qV(’il.,a,,çons.e.ifvée, tiusqti’à la|%i; i,l »e
laida ,pa^ ^,,îjiltii^r ; l’at,teB,tipp, ,À|ga-:
gq,ep V';esti,q?p.,de .¡sesiPJí¡of^ss,epr^^,;,et
!’;afí’Qetiqn,d9i(fl«^tíl.«es arpáis,jd’i^lite,,
dpn), up. PP ideMí spnlemenl.¡d»i, âPpopMsurvécuyi,..,. . ii:,
Gh,i¡Mopniiid'! lui,.gavait ; youô ■ pnp;
affec^op itoLUp ,particp,lièj|e, et., jç’est,
dap?,i)a farniille de, cet eXQel|ept ,prpr
fessepr dei,la,ngpe et ¡de ,,ljt|tératu]rpj
française,iqu-e,nptrp ami a açqpis ,çet,t|e
ppre|.é.,'d|3ççen.t,, et.,,^Ue pprrecttop
djÇ, langage, que, f’pq,, adrnivait, ,chftz
lpi„et,,qpe .)’pn ,aur,ait,.,vo.plq, imitpr,.!
-7-,D.’mp aptre, çpt,é,,i,le;^|Cpurs,jde Xippl
(;1837),, et liçs, „ i;appoT,ts , trèsi j inl,irr).e?
qpp,le jeune ^ipfliapb,api!pfliewt uvec
Ipi^ avaient dpy,eluppé,.9n IW!,ie,g9Ût
et,,U,capacité i,pour,| la,j pf^djcaliont
il était reconnu, sans contestation,
comme l’un des prédicateurs le mieux
doués entne ,!esi étudiants.da'Sa,volée.
'ill ■■.^(iiii.'j /.Í ' Il üi.'jiiiul mi
• Ii!i!!T/i)II Í i: "i* ■* '. I i iHlllIll.'l I iilf .i'î
''Uuri'.n!"'’i .;'Vi! lui li '.ii;it;,., 7I'V,|
, t,rop jeune pour recevoir. 1 iippo-,
sitioa des mains pou,r le ministère de
■ iU'-. ifu T',» .'i|. l(i '-.iii i'ii'iy.,T)
la „paróle (il fut consacré enlSM),
iÎ Vitii aux Vallées diriger pendantiude
l’année VEcole latine, devenue^l’êèOle
^f#Araioirei pour le Collège ^ i,et„iil
; à’|ièquilta*:si bien de cei.te fâche
*'tànt assez difficile,,,,qp'elie, luV M
confiée l’annéesuivante d’une manière
définitive ; mais ce travail ne suffisait
pas a son activité et ne répondait
'’•'"S jiirecteiT^n||à ses imtitudès
au lËsoin presSii^ll qu’il alait d’àncer ms intérêts dœrégne le Dieu,
ant subi à Lausanne, et dés Te début
jdJ^^él^iQl’idlIdfcr^ du Réveil,
■tlL aYttitliinyÿ'dèsir de concourir, dans
ses Vallées i au développement'de celui
dont Neff avait été l’instrument, quelques années auparavant. De fréquentes
préfficatipii^,, des ré,pnjpns.„ des, entretiens^ jntimes,,,spi'|iipul Iq,,pj;epif9f:e
Eçple du dimapclfe^fabbe à La Tour,
furent le moyen qu’il employa pour
atteindre le but oui lui tenait à cœur
Tout en donnant à son école les
soins lds-’ ^lu¥'iin^îfi^fts!'til3ès plus
assidus, il prenait le plus vif intérêt
â èé"quf Se ■ j)a.4i^a'ft' aux ''Vallées' 'et
qbeU|ües-ûns dé'teeÜX'quk ItfiyurviVehl'
së ' SodvieUn'ent de l’kédetllë' 'activité'
qü’il''â d'ébloyélé pdur' fâii’'é'^ri'oifiph'éf
iâ'caüèe de 'la ' mor'aliié' dans unb'
question éècléSiastîqu'é' et 'adiirtini^tfativè' ijiii' a 'abôUÙ‘'bü Synôdë extfaor4'
dittâirë’de 1848.''i" ■ '
'“'Mais n”ëst plus'iaùe tèniip's"de Suivfd
¿'oVre Mre à TuVid tl85Ô) 'dû 'il '’p
passé Ma* mëilld{ii*ë' 'pai'ile dé*'siai''Vié'
it"ô'u'i'I A pii 'déélôÿér''’li' ^,Bn*"'àîsû‘|■e’s"ldté'IiVs TáíÍés^'"d¿'rÍrié 8'éÎ|rièù'r
fàvalt 'ehWch'i’pdur''sô'û'Servici.'
- ;•! ■ ' I l'i .>-(1111 ni'Mi.-slii! ' -/'H ''l'il
I Placé dans notre ancienne capitale
' <iii'Vi v.'i ''i. ''il""" A, ;i,"l'
entgualité dev^ngéliste italien,à
3
brfe d’Ilaliáfis api^U’tërlant áül’ di«6rá'
Etats’'dë la Pèninsü!e,'*’éxilés^‘dè'‘lëût’:
patrié soilîponb'deb nlc^tifS'póUtíqüfeé','
sdif ptíür‘ deé motifs ' réfigiétil’.'
<ju él qtïéS'U ns ' ‘ ■ 'de ' xé^ ' hôm'mes ' ’ dht'
ôiiblié plus tardi’aidmiratidri éntH5t4¡-’
Siësfe et'id^-arden'íé'‘'áffettióii
àVai'édt ''témdi^hée'"à ' celui qui' fut'
lëéfb! pkstéur,'aücuti 'd’ëox n*a JarliaiS*
ceéSé ' dé pariei' dé-1 Ui' aVëC iïiië'*ies“-^
pectuléaSë'estime. •'
Dans ses moments diiBciles, et ils
ne lui ont certes pas manqué, deux
, m:-' i ■' -lU/./?:’ fJ /■
hommes entre plusieurs autres, ne
lui ont jamais ftit défttu}., le „général
Be.çlfyj'ith et Joseph,,Malan,.^toqjours,
prompts ,à,lui prêter, le^r appui moral
autant qqe matériel.¡Un ,noble émigré,.,
le, pomlç.,d’Onfgp collaborait avec liii
à la, rédaction de, lia Bmna Nfivell^,^
iqj ,prpmi ep jourufî d e l’évangé! isatiqn,,
Vandoise en,italien, fondé,et dii’ifeé jppt'
Iqi iiusqq’à),sop.„f;prnpJ^f»eWifhl ..Mi
d’#t{riÇS I féju i I Jps, ppb I i^Pf, à I jFlm’encq ,et
10 (J
;!■ ‘iltio'i ‘:nij Hmi'
. Gîbsiti loi'sque,, la- station d’évanfélisaéioDl doiTurin avaitiiiatteint, iSous i
1 as i sdinsiM étoués fetiîinfatigable aelir.>
vitó de Mr.iüMeille, îles proporlionSi;
d’uneiibelleüpongrégation.iiqoe la pa^;;
roisse vaudoisftide , languej.française, ;
devenue ivaeante” pat'la retrait® ide
MC. .AmuTBerl, demanda,!iunaniaié-:.i
ment (8 janvier 4865) Ip rainisl4ré>|
qu’il a exercé sans interruption jus^¡
qu’amîm omert tj o ùi ! i I. devînt i lévid eut U
pouciAui mêmeI qué. iseajolbrées' n’yj.
suiTisaieiit plusi<!34 oetohrei.4884). !ü.
’»Ce n%et ni en*qttelqués lignes', ni‘
mêthe e* quelques pages, <quel%n pêutdire ce que le pastóiir Méillé á été'
et'cé'qù’'i'l â' 'fait pôUi^Jsa’'èhèrB' pairôisse. 1.1 i.'il 'iiVlhi ii;ii
Geui iqui'i 'l’ont souvent ènténdu
prUnonbercdasiS'Bassémblén kÿnodalep
ou* ' ailleursdé ' IbngS 'discoiifs ’héC és»
sait'è'mehi'împrO'vîSés' k'sUr les sujets
lés-plus"vàriés,' au¥6ht de la peines
jcroiCe que'jamais il»' nè' 'tnontât en
j ehâii*é'’Sans'aVc(ir'sdighèWsein'erit p'rêI pacé'sa'p'rédieatiôn.'A'üSsiVtpïéPIe'jbtilsI sance pbui’’• cette pàrtiré’‘aisèii '‘éonsijdérable de son' 'aüditOi¥è'''’qin'’iétait®
I capable de ‘ suivre dii éommehce'raërit' à' ia'firi;' et ‘quèfllè' "imprèfesiort’
sérieuse'il laissait c'îféirioué'pài* l’onc-î
’tioH de "Sa ’ pardl’e','''‘^ar ‘ ia'‘ehaléUT
iet/'ia 'tertdCèsk'é- d^ ses appèTs!
; ' Le''soin' qu'il'dBHriaft'^à"là“ pCédî.i
j cation , ‘il l’âppoftaît à la cüéed'ârnèk;’
i aUi visites des ' malades', ' au:i‘'éxhô¥- '
I tâtions et aux répréhensions ihdi4iduelles. La moitié de ses journées était
généralement consacrée à cette partie
si importante, du min,ictère, ,éy^ang4-,
,lique. ' , ‘
■ -a.'. r. î:î..,|'.u ; . iM .l'')i.i''iîwT.i 'y'uq
...! iW'U'.ivn'
j Gomrrient trOuvait-il'ëhcoVe' ieiempè”
d’écrire? ‘Car il a' èù^' peddadïMqrt^-'
¡temps;'' uné»'borrespbnd'ànde''’iCè‘é'“8-^
tendue ; il'’k'beaucoup écrit pdtfi'nô's''
jbüCnaux »religieux ; iLà’ cbiiipoS黑ilh'‘
catéchismequi' eh est â la'3® éiUtîbh''
|italiénne;'il a préparé uÀê ‘ CéVlsibn
ide''notre'liturgieP il a écrit lé beàül’
jvOluthe consacré» à ia'''rtiémoirè ' dé
ramii et bienfaiteur des vaudois*,' fé.
.général BeékvVilh ; ainsi"què'"lfe petit“
¡volume deS"Sowehirs 'de LbuiÏ M.-'Le
projet de'cbhsiitution' diséuié k a‘dopîé' au ‘Synode' dô''1855 a"'été,' en
giande 'partie, éiaboUé par 'lüi'' cOratnë
l’ônt aussi été qUelqUeS-^unS'* dé* nës“
Règlements Organiqués». ' Et quelle
influence prépondérante n’a-l-il 'pas
exeixée sur'JeuC discussion xt* leur
adoption'? '‘'''i
Et dans tons'nos Synodes, jusqu’au’
dernier, 'auqUeh il a< éu, le'vifregret
dé' flè poavfoir assister^ n’esi-cé pas 4a''
4
vpjjç cje ^r, Meille que l’on a été touf
jours heureux d’entendre, même Iprsqu'on ne partageait pas, de tout point,
son opinion? Aucun homme dans
l'Eglise vaudoise n’a direciemeoi ou
indirectement exercé une influenoe;
plus bienfaisante sur sa marche générale, quoiqu’il ait toujours décliné
la charge d’administrateur, à laquelle
il se disait peu propre. La raison vraie
de ce refus obstiné a été très probablement la conviction qu’une paroisse comme celle de Turin réclarpail
impérieusement toutes les forces et
tout le travail d’un homme; ce que
l’on peut dire de toutes celles des
Vallées.
Menlionnons, avant de finiiyle développement considérable donné à l’Ilospice protestant, et la fondation des Artigianelli valdesi (deux œuvres qui lui
ont valu la distinction honorifique, devenue très rare, de chevalier des Saints,
Maurice et Lazare), celle de la Société
dçai.dpinjÇjseUeSjpour l’enfance abftPn
donnée, et l'intérêt constant qulü
prenait à toutes ces œuvres.,
C’est sa chère ilcale du dimanche
qu’il lui a été surtout pénible de
laisser, sachant toutefois très bien,
qu’elle ne courait aucun risque de perdre de son importance pour l’égliseMr. Meille a eu le précieux privilège de voir tous ses enfants hien'aimés grandir dans la connaissancei
et dans ramour de son Sauveur, et
deux d’entr’eux employés à l’œuvre h
laquelle il avait consacré lui-même
sa vie entière. Son fils aîné, richement doué pour entrer dans la même
carrière, avait été retiré par le,Mí4ti'f ¡
avant même d’ayoir achevé sa préparation, mais non pas avant d’êlreî
m,ûr pour le ciel, et dest parcequ’il
a .exprimé le vif désir que ,sa dépouille mortelle reposât, à côté , de
celle diC son;chei’ Loui^,,que dc; lâ.
ftavadera où il est mort> l’ombreide
notre bienheureux ami,..,car,,,jsoo.
coj’pSi_ n’élait riem, ¡de pins, a. été
transportée-à Turin et dépo^éCitau
cimetière protestant, dans le loipbpaU;
privé d’un excellent ami dont ,lp plus,
vif regret est de survivre à son pas-,
leur bien-aimé. P., LANTAnS'E. .
A LA RAVADERA '(TOnRE PELLICE)
« Il entrera dans la paix — il ce-;
posera sur sa couche ». Ces paí’óles
d’Ësaïe (57,2) nous reviennent' 'à la
mémoire au mómeát où nous l'cfaisons en esprit la roule 'coridüfsanl
à la maison de'campagne, simple'et
paisible, où lè vénéré M. Mèillë'
avait l’habitude'dè passef) chaque
année,’quètquefe''‘ moiii‘'et**'ôû ’’Il 'à
rendu Le dernier soupir Dimanche
après midi. Une foule de pefShnnës
venues de tous les côtés, s’y est rendue,
mardi à 3 heures, et a rempli la cour
sous les ombrages de laqaetlè M. Meille
avait si souvent tivivaillé, conversé
avec lè sérieux aimable qui le distinguait, et respiré Uair pur en promenant
ses regards sur la Vallée du Pélis. Les
membres du Consistoire dè Turin, la
plupart des pasteurs des Vallées, Jes
piofesseurç et les élèves de nos élabtisseménlSÿ l'/Orphelinat, les nombreux;
amis de la Tour et des environs,avaient
tenu à témoigner à la fois de leur
atfcciueu,se estira.e pqufJe véléi'anentt'é
dans son repos, et, de,|enr sytnpathto
pour la famille affligée, i i
La, maladio et le mort avaient maigri,
mais nullement altéré les irails bien
connus de ce visage icncadré de longs
che veux blancs, reposant maintenant
5
m
dans un, ceicueil Entouré de- nombreuses. couronnes de fleurs.
Le service funèbre a été, Selon le
désir exprimé par;,,1e défunt ^ très
simple. M. Gardiol »pasteur à Bobi *
beu d’origine de M. Meüle, lut le,
chapii Xi de l’Ep, aux Hébreux > après
quoi M. lie prof (('.barbonniec remercia
Dieu (i’aivoir donné et conservé longtemps à,ison Eglise un serviteur aussi
bien doué iquB; l’était ¡J. P. MeilJe et
implora sur la famille les consolations
du Père ,dés Miséricordes. M. le prof.
Troa termina par la lecture des deux
premiers versets du cantique 73 et par
la bénédiction. L’assemblée se dispersa
laptement sans accompagner au cimetière les restes de celui qui, ayant
été .évangéliste yaudois.qt Pasteur de^
Tufifl, avait, demandé d’^lre-ensevelij
dans cettdjil.ie, ,4;C0lé de sop flls Louis
et c^: banquier Joseph Malan.
’-JO U.l|- X»i (. ./.ij ,ir.» - •...■>
. TUÍUN.,
J Meriiredi nialinj, le eereueil fut
trasporti k pjacé , dans ,1a
chapelle rnoriiiaire où Jç, défilé de
ceux, qui voulaient revoir encore
une fois J leur pas.teur,, ^, ||eur ^ bien-,
faileur, ou leur ami, fut très long.
Les ^rtigianelli Valdesi^^ la FVafeilania ‘Evangelica avec sa " bànnièrè,
lés'Ecotes s’y,frpiiyaieht’en corps!'
Coramiè â' La tour! lé service fu-‘
nëbfe flit *d’une granÜë^ simpiicité' et
cofiiposé, exclusivement de lectures
bibliques et de prîêréS' en français'
et en italien,''a'véc Îé chknt du cantique:
j'k»-»)'Wîîîî.'j > > »
I , 0^ beali S.n^pel ^ielo. . j
MM. le:> ÛocU Lantarei, Ai,. Gay
pasteur, J. P. Pons Modérateur et
D. Peyrobipast. y ont succesiwementii
pris paru» M. lei DooU Prochet sfiifib
l’interprète de l'hommage respectueux
des évangélistes envers le premier évan,
géliste de. TurSuii'el, de la iparl de
Pbuvriert parti, divers messages furent com»muniqués (à l’Assemblée. A,
son ancien troupeau, ih.avait laissé
pour souvenir ces paroles: Le simhait
de mon cœur et ia^prière que je ¡fais
à Dieu pour vous,)>c’esl que vous'soym
sauvés. ■ I Í
i:ir ■
Mi:;
(I) Dès jC(9 oovembre 1849, rtal Tabte^
répondaat aa,yoeii exprimé ,pf>r .la paroisse
de Tarin, gy^jt étapli na service meusnel
en langue itaiienhe!'efsons'la date du 18
septembre 1859! oh Ih dans . les propèsverbaux de ses détibérations: /« Poubédlhmencer à accoraplir la »mission spéciale dè
l’Eglise Vandois«,,. quiiost une œuvre de
fûi, - (fonsidérant Utj convenance et U;
possibilité de. changer. Je service,mensuel en
un service hebdomadaire lla|i^, oi^ aussi,
de répandre, surloüt chez Ips italiens,, l'a
bonne odeur de l'Èvangilé;:'.. 'afrê'iè : Mr.
le recteur Meiile est pUcê à'Türin en qualité d’évangélislé ùtalien, idepuis le i’*- novembre prachain jusqu’au 31 mai 4851,.
I! -ar.- liîrv!; Miumu
ConfireRCf dn Yal S. IHartio
l’rtili. ‘in oclobrtì
Nous étions tout a .fait en petit
comité à la conférence du Val Saint
Martin, qui s’est tenue, aujourd’hui
même, dans la salle de l’école paroissiale du Dér-ier. Je n*y ai compté,
en tout, qu'une quarantaine (Je personnes. La plupart des pasteurs n’appartenant paè à la Vallée de Saint-Martin brillaient par leur absence. Nous
avons pourtant eu Je plaisir d’avoir
au milieu de nous MM. C. A. Tron
de. Turia et ,p. Peyrolï d.’Angrogne.
Après.»uni Culle présidé paiyMi:. h J.
Tro«!, MK.t'Phü. .BoMan introduisit
le suj«i,,,qui devait, être iraité; La.
6
'VliT-r-'VWs'vrww.
-360
leetm& de la Parole de Dieu en mon-,
trant, dans une courte allocution,
quelle influence cette lecïüré: a exercée à. travers les isiècless, eti quellè
place elle a eite ¡‘d a ns, tous, ¡les réveils
de la: vie; religieuse; Il fut; convenu
que,, vu le masque de tempsi, on se;
bornerait à parler deVla ¡lecture ■ dé
k Bible dans les cultes publics. 'Là
discussion porte d’abord sur la place
qu’il faut donner à la lecture de la
Bible dans le cultéiprincipal.
Tout- le monde est d’iSccord sur ce
point: c’est qu’elle doit avoir la place
principale. Dms là prëtiicaiion, c’est
l’homme qui^., s’adresse à l’homme,
dans la prière ¡c’est l’homme qui s’adresse à Dieu, mais dans 'la lecture
de la Parole de Dîeüy é'est Dieu qui
¿’adresse”â l’horamé. Aussi cette kèturé dpit-é’l|lé se,, faire lorsque Tasse mbi q^t déj,^ „fprm ée ,el quand un
cantique, et; une ,prjière ont d^jà, disposé les âmesrau recueillement. Fautil, pour cela, qu’elle soit faite immédiàtement avant le sermon, comme
cela ié"f8fiiqiii'tiàns qu'éîquès é|lisés'?
Ce n’est pas ,sûr que ce soit k meilleure'' ‘iïiéthode. **'Ori' 'poù'MfF’Koir
deux lectures, dont l’une faite par
le régent et l’autre par le pasteur.
En lOul cas.'îil faudrait que les Pasteurs'^ s’entendisseht ènir’eüXj ' et'eiisuitô avec 'leurs 'àsserablées paroissiales respectives, poür introduire dans
loutèS les é'gllses'des “Vallees’le même
ordre du cuite ; avec’le régime actuel,
leà'persdnnéS qUt assistent k un culte
ho>s'dé leur propre église s’y trouvent corhme dépaysées. ' '
II . il» ■
. :ï ' jtli rii ;;; -ii ¡' lii:;..
La question dn 'ehbïæ ' Bes pâ^sages''
à lire donne ensuite lieu à une discussion assez: profongéé.* Ou lie peut '
pas dire, d’une façon péremptoire
que ' l’ordre 'même dë'l'Ecriilil'e Tôft
le meilleur' à suivre ¡‘'nous' avons là
une ordre chronologique et historique
et nous'î rió vdulons faire’idansiiftbs
cultes ni ¡ dé ’ k chronologie rii’de
Phistoire. —- Il Taut un ordre‘ ayantl
pour basë*dte'pkfl' do’k rédemptiori
et pour'centre là" personne'de'JésuOF
Christ, '--"Il rie failt-pas'nori plus
être trop lié à la division en ebapi tresy
qui, pour ce qui‘règàrde"lé Nouveau
Testament, est souvent défectueuse;"Il
sérait avantageux de'Ikè non pas seur
lement uncj mais'-dèux ou 'trois pori
lions de la Pàrole'de Dieu', tirées do
livres dilférentsi'La lecture On Sertit
plus variée et éeS passageS^skipH*quèraieiit l’ün par Pautre. Ne Séraii-il
pas "aussi.avantageux qiie‘ la'-leélure
fût accompagnée de 'quêlquos' courtes
explîcaliôrts ? H est Une fOUlà de passages dont des aoditfeurs''’íié'''póüverit
pas saisir le sens, ainsi» à k volée;
et, ne l’oublions pas, la parole de
Dieu n’exérce son MiflUefléé que pour
autant qu’elle est comprise. Enfin,
il' faut t(ue'lë téxte‘‘dli Tserinan' sôit
toujours* en rapport'àVéc leë pàs'sàgèà'
Iris dé'Tnariière quç;^ d’Üri bloü'É'"à
l’aÜi'tre' du culte, P’attéfliiori de'Taii'dî-'’
tOîre SoitfOujoürs pOrléë 'silr le uiiêrtiB
point:.^
îles tai t en cpr e la qu estio n cl h%cleur. ^
11 rie sêrait pas corivenàblé àe donner
k lecture de la 'Bibje dans Îé ‘ çùlte
i principal, au pasteur qui y a déjli ùno
i part trop grande. D’un autre côté, if
serait bon quel 'dans Î’intérêt de la
variété, les régents se fissent, de temps
a autre, remplacer, pour cette lecture. Avant tout,"qu’ils se’persuadent
bien que la lecture est une des choses
tes plus difficiles;; il est plus faoile
doi bieni parler q.ue dei bioni lire;! eti
iqü’ils se disent aussiique 1^ mailleurs;
7
.351 .
lecteü^àl <Kehtp'eu^x fie’ sont ^'ais èncore
parvenus la perfection. Une bonne
lecture doit être non seulement inlisible /ët?5 (iof recU',^‘ iiiiyîs''ênèè{¥ ib*
telligep,tp,,,çl,\ sctt/ie ( ce qui ne veut
pas dire affectée ).
.vfîpinwïe Iq. (eipps-trnfwiquaU, o« ;ne
fit que touèber à ia" 8eiionde''.'ffartiè
dü'Èujyti la 'l^ciùrë 'idéi lâ; p3rtiFé'‘dé
Çièii 'dans,(ës cultes secêpdtîireé', et
après que , Î’on ent adopié, comme
sujet de la prochaine conférence la
cMff futiCiose,pailla
prièreIet,par le,iChant, ,p. .Ujif
/ ii;ij ü
• ni[ , !'!',! , —ri . iii - ;,q ■) i-.i!
Himalaya. — C’est un fait' connu
qw? ,irp«?jna^fiaves, pp^èdenl une
mp4c?,te, .œuvre,4e „œissjon isur, l’Himalajà poifidcfltah' À,,la suite' .d’una,
téuiUtÎve, infruciueuse,pour ipènétrer
en Mongolie, les missionnaires se fixèrent à Kyelane (dans la province de
Lah\.Wj4h',1857.
tinelî'es'ai'ancées, àu'rtiilieu'cles neiges
qui',\ durerft; -sialrrnois de rl’fartnéfe,
et réduits.'aux<-vivres qu’ilsi allaient
ch'ercher ■ une fois..par an"à vSimla,
ils persévèrent dans- l’œuvrp difficile
depuis 30 ans. L’oh he ¡pouvait s’atteitçlj{e,,à ,4®s .prompts,succès,.^ el-si
d^pH noüv^lès slàtions.ont ,élé fqnàées
depuis,,Iprs,.^si, grâcë‘à eux. pn^ossèdé une yjec^on de Î’Evajigile , en
tibétain, je, .nombre des convertis dépasse . de peu la trentaine.
Ijifie, ’lèttre du 'niïssîorfnaife‘ Héyé'e,
dètée .'de kyélangi 8 decein’bi'e ■^880^
paHe d^Uhe reci^dqkCence d’hostilités
de la part des payens. ’ '
Le peuple, puissamment influenpé
p'at^' les''èhé||’’'çt''’^ürtoù^^ les "iqmÆ's,,
cédà'rit ausài''à; ses ’ifia.üvaià| iiiâtincis*
péi‘sèinne1si çWntii(üe â' faire la ¿u'erre
a la 'mission^ C/est ainsi, par’exeniplei '
qu’il a demandé àil" gouvernement,
mais en.yajp, de,fE>ire fermer nos écoles... Nous comprenons d’ailleurs
d’où vient cette haine déchaînée main
tenant conirte nOûS d’uhe façon dont
nous fie savions rieù autrefois. On a
vu ' 'les 'îheurçux résultats-' âukqüels
otit abouti noià efforts; Lès^ enTan(s
d e n Os paysans Unt appris â :ëéri réjâ'l ire
et"â entrer dit possession d’uriè féülé
de^ connaîSsariées 'ùtHëS.’‘Avant* tïrtft,
ils* ont appris à réfléÇÎiir- 'A penser','
à rùgdr les choses pàV' 'eux^mêmes',
Célâ' a ' éfevé plusieurs' dë ces petits
âù desSffs du niVeaii Mtel’lëbtuél- dë
tm et les conducteurs du peUpîe
se trouvent, par ce fait, menacés de
perdre,,leur prestige., Quoi d’étonnqnt
qpc ceiiiircii redoutent dés jpir;? Péople
quj (eui;.a|fait4u. tortl rrr, tour,,obvier
qpelquepeuâu mal qu’qn, éstinie ayqi,r
déjà été accompli, on à forcé la ¡plupart de nos anciens élèves auxquels
leurs circonstances de famille le permettaient, du ippqlhjpe',’recevoir dans
la çlasse„des lamas et de prendre le
bortflBli'î'ëugé. l^dssffde îa'ihVeAïer
un moyen plus efficace pour étouffer
la semence jetée,, daps- cas \j,qHPCSi
cœurs! '
Le missiohriaire râcdéle 'étisuliè'
comment d’immenses sommés' d’argent
sont dévolues au rétablissement! du
boudhisme dans,, son, idistfiot. , ,j
tuque eiiaui^oi0é
( ! ’* * 1 '■ • ‘ ! I 1 • I ’ * î 1 ' ' I ' j
Orphelinat. — Le 26 octobre,, M "®
Agnès Christoffér, ' originaire ’dè la
Süisse Allemande, appelée’ pàr la
Table à prendre la direction'dë'l’Orl/
phelinat des Appiots, est arrjyée au
milieu de nous et n’ a pas tardé
d’entrer dans ses nouvelles fonctions.
Fille du pasteur Christoffel ami dévoué
des Vaudois, élève diaconesse de Mr.
Reymond, ^e Laueajaaeii.et'^ipius tard
directrice d’un hôphital dans te midi
de la France, M"® Christoffel n’ est
pas novice dans le ' ministère' de la
bienfaisance. Nous, lui .souhaitons les
grâces spéciales dopt elle a tout particülièrédiënt beséiii 'dans les' ’tdmmencements deison ¡travailr.aui) sein
de notre .^(qbJjs^emenu ^Lee.cjmis dps
o r P b eïi néà' ‘ s è èo u v i e n d f o ri t d’e 1 ! è dân s
leurs requêtes';' '■
8
, Co‘mpte-^rendw4‘^t Synode^ rrr- Il
faU 3itaa(irfr, iÇejlte aijnéejf fil ^ fiiijar,
letnsrit paijJiji,,;!Îa iSepîaiii0,:iie(rBièrii,
en,ime bipphurie, i4e 50 pagpg. jp
(Tippgp„ .AÎRioa)..çpnienaRi : l,es prér,
li/njflaiii:esi, trriiüa cotnplie-repdu spq»
ciRçjti de?, jpav^Ric ,du SvBodenrr). les
disçoiUjS idépvlés èlFRpgera, les
Actes,.,eJi, enlid, quelques lelitres
éçi'ites par Ip Bureau, La ]bro.chwre
esi prasqpe. eaiièrefoept;;iréd|gée en
langue itaÎienBe;, et, se i veuU' Û, IQ
centimes.,,,, , ' , ^ .
' JHsHinbtioti. Notre coreligionnaire,
M^'I’ipgénienr'AOolphe.Pellegrin, ponseillèi* municipal dcTu’rin; vient d’êtrè
cr^é' iÎJQmmpn'iîeMr dê la Couronne
d'Ililie. ■
L¿:¿
‘•iif 'ilüfJii 1
» ' SOUSGRIPTIOÑ ■
Í
eil lav^r du teippie de PraiDAl
Il-:'
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chand ne . . ' ; ;. i »! 4,00
L. V. ...............» 2,20
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Une /mie anonyme . s 2,00
'*"a. é!”tron, pasteur^ 9 "*^5,00
i, Long Bari,, maestro » 5,00
,,| ' Baniel, Gay, jupipr, .
,pasteur , i . t 5,00
M;>'» iMarthe iGÒnin', iustÌT ni,
! 'ii;î :i¡
mirice . * ' 5,00
«•'ir ■ f' • ■ .
f"'" îi ¡' Total fésl 1389-70
i» (
,i . ' 'î .ili. ■ .
La Conférence-des Eglises du Va)
Pélis ét du Val' Pérouse aUra' lieu
le tnWdi 8 novembre procbgin, dès
9 h. du matin, <i iPrarustin. ■■■■i
On 'élittaitera'de' la Célébration du
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