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NuHa sia più forte della vostra fedel
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SETTIHANALE DELLA
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■ ABBINAMENTO
ItaUa : Annuali . . . L. 151,— Semestrale L. 75,—
Estero: » ... . . . » „ „ ;;
Ogni cambiitmonto d’iadiriszo costa Lire Cinque — La copia Lire 4,— “
CHIESA. VALDESE
Riguardate alla roccia onde foste tagliati
Isaia LI: 1.
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■ REDAZIONE: Via Sibaud, 7 . Bobbio Pellice
AMMINISTRAZIONE : Via Carlo Alberto, 1 bis - Torre Pelliee
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LA BASE DE LA BEGONSTRDGTION
II m’arrive souvent de penser aux villages ravagés, aux humbles demeures alpestres creusées par le feu des incendiaires, aux
routes et aux ponts démolis par la furie des
hommes aveuglés par la haine et le désespoir. Ce coin de terre solitaire, ces vallons
reculés, perdus parmi les montagnes qui semblaient les protéger si bien contre la tempête qui a dévasté notre Patrie, ont reçu un
nouveau baptême de sang et les gémissements des victimes de la nouvelle tyrannie
ont réveillés les échos séculaires des souffrances de nos aïeux, martys de la foi. '
Toutefois, dès que l’orage a cessé de
gronder, la vie a repris ses droits sur la mort
et sur la destruction. Et là-haut, comme partout'ailleurs, dans les campagnes dévastées
par le choc des armées et dans les villes démembrées et mutilées, le mot d’ordre qui résonne dans tous les discours est : Reconstruction '
Mais lorsqu’on pense à reconstruire,, chacun doit se poser la question : Avec quels
moyens vais-je participer à cette œuvre immense, qui a pour but immédiat de relever
les ruines et de faire rentrer la vie dans son
cadre normal ? i
Le problème ainsi pose ne dépasse pas
d’une coudée le plan materiel de 1 existence
terrestre: l’argent, la ¡pierre, ta. bi iv^uc, le,
bois, le fer, la chaux, la main d’œuvre, etc...
Ces choses sont rares, le prix en est élevé.
Voilà l’obsaçle 1 Réfléchis ; la_^ folie des hommes a semé çes. ruines, déiSastâ. ces biens
terrestres, déchaîné la mort là où s’épanouissait la vie, augmenté la disette, l’angoisse et
le malheur, jeté le désarroi dans les esprits,
troublé le rythme vital de la création... Or
penses-tu pouvoir guérir ces maux et ramener l'ordre, le progrès et la prospérité dans
ton coin de terre et dans un monde éperdu,
en relevant des ruines matérielles? Demain
peut-être une nouvelle vague d’orgueil et de
violence, déchaînées sur le monde par la
volonté de puissance et de domination, viendra balayer avec ses rafales diaboliques ce
qui aura été péniblement reconstruit Et le
travail exténuant des hommes ne fera que
recommencer !
Veux-tu contribuer pour ta part à faire
une œuvre de relèvement durable? Rentre
en toi-même et réfléchis sur les véritables
causes de tous ces maux. Détruire les causes de tant de malheurs, c’est commencer à
bien reconstruire et contribuer au véritable
salut de l’humanité ; de cette humanité affolée et désorientée qui risque , de se suicider en voulant satisfaire son égoïsme et son
ambition, de cette humanité qui paraît très
vieille, et qui n’est arrivée — pour la plupart des hommes — qu’à l’enfance de son
développement spirituel.
La base solide d’une telle reconstructio.n
git dans les couches profondes de l’esprit,
non pas dans l’apparence du monde matériel, Interroge donc longuement ta conscience, et demande-toi si tu ne contribues pas
par tes désirs et par tes actions à alimenter
dans le monde le feu dévorant de la discorde, de l’ambition, de la haine et de la violence. Considère d’abord le petit monde familier dans lequel tu vis habituellement, et
demande-toi si tu as toujours fait tout ce
que tu pouvais pour Je rendre meilleur, pour
y créer les conditions morales de la paix,
de la concorde et d’une fraternelle collaboration.
* * •
Ne t’excuse pas en rejetant la faute sur
tes semblables, ni en réduisant la valèttr de
ta conduite dans l’ensemble des relations
humaines et des grands problèmes qui concernent la vie sociale et politique de ton
propre pays.
L’océan immense est composé d’innombrables petites gouttes. Qu’arriverait-il si
chacune d’elles se disait : mon état particulier n’importe guère à la_^,masse énorme, je
n’ai aucune fonction vitale à remplir, je ne
peux rien sur ces éléments tout-puissants
qui m’emprisonnent? 11 arriverait que la mer
sans gouttès, ne serait plus la mer.
Il en est de même dè ta vie individuelle
au sein de l’humanité. Si chacune des gouttes humaineE qui la composent se retire dans
la coque de son égoïsme ou s’agite uniquement pour satisfaire ses désirs, il en résultera un manque d’équilibre et un appauvrissement d,és énergies de tout l’organisme.
Tandis que si chacune de ces vies individuelles prend conscience de sa fonction particu'lière par rapport à la masse, il en résultera
un accroissement de force et d’harmonie qui
contribuera puissamment au bien-être et au
progrèç de tout ce corps immense gouverné
par une seule âme.
C’est en interrogeant la voix mystérieuse
qui résonne parfois tout doucement dans ta
conscience que tu trouveras l’inspiration et
les. forces pour travailler avec succès à l’œ,uvre de reconstruction de ta vie, de ton foyer
et de l’humanité. En purifiant ce sanctuaire
intérieur de tous les désirs et, de. tous les
sentiments qui troublent ton cœur, tu contribueras à préparer les bases d’une paix
durable, qui permettra aux hommes de bonne volonté de relever les anciennes ruines
et de bâtir sur le plan de l’esprit l’édifice
d’une civilisation nouvelle, sur laquelle brillera le soleil de la -justice et de la fraternité.
■T 1 •
Pour savoif disoemér à chaque instant de
ta vie le bien du rnàl, le vrai du faux, interroge la voix intérieure qui veut te cévéler
1 Unité dans la variété et la multiplicité des
choses ët des événements. Tout ce qui mène
à cette Unité est vérité; tout ce qui divise
et fomente la discorde n’appartient pas à
la vérité. L’amour est vérité, la haine est
fausseté, parce qu’elle désunit et oppose
tout ce qui appartient à une même création,
à une même Unité universelle. L’égoïsme;
l’orgueil, le mensonge et la haine forment
une puissance de dissociation qui finit invariablement par détruire ce que les hommes
construisent ou reconstruisent avec beaucoup
de peine.
- L’amour, comme le Christ l’a révélé aux
hommes, est la grande force qui réunit, qui
crée l’harmonie, qui édifie pour le bien de
tous. Car l’Amour c’est Dieu en toi, et toi
en Lui. Si tu veux donc bien reconstruire,
sois le collaborateur de Celui qui fait lever
son soleil- sur les bons et sur les méchants.
François PeyroneL.
La Bibbia
. Quand’ero fanciullo, ricordo, la mi*;: buona mamma ci faceva amar la Bibbia, tìerchè
l’amavï lei-sressa e la conoscevà' prifedamente.
Senza ridurre il culto di famiglia ad una
pesante, noiosa istituzione, ogni tanto, specialmente la domenica sera, la mamma ci
riuniva attorno al tàvolo déllà cucina e, sulla
grande Bibbia, leggeva alcuni suoi passi preferiti. Noli eravamo bambini e non potevamo
afferrare facilmente nè il valore di quelle parole nè 1‘irnpòrtànza di quella lettura ; nondimeno,, ascpltàvamo in silenzio la voce di
colei .che tanto . ci amava. Mi par di udirla
ripètere : «-Mon âme bénis l'Eternel et n’oablie aucun de' ses bienfaits n,
Questo ricordo d’infanzia che, per grazia
di Dio, non è rimasto senza effetti in me, m'
aiuta oggi a comprendere il posto che la Bibbia deve occupare nella vita d' famiglia e a
valutarne tutte le conseguenze nella formazione di un ambiente famigliare cristiano.
Non dico nulla di nuovo quando affermo
che Tèso della Bibbia, come libro di edificazione, si va perdendo in molte famiglie
Valdesi ; di tutte le sane tradizioni del nostro popolo che rischiano di scomparire, questa era certamente una delle più belle e la
sua perdita non avverrebbe senza gravi ripercussioni in mezzo a noi.
Nei secoli della persecuzione il nostro popolo aveva difeso a spada tratta il prezioso tesoro della Bibbia e le famiglie lo avevano tramandato di generazione in generazione Ora,
senza voler idealizzare il passato è doveroso
dire che non è più così, poiché il tesoro della Parola di Dio, ancora custodito fedelmen^
te dalla Chiesa, non Io è più nell’intimità del
focolare domestico, dove si svolge la vita,di
un piccolo mondo che ci è caro e dove ognuno di noi ha il suo posto di responsabilità.
Molte famiglie Valdesi sembrano non oiù
cercare il tesoro nascosto; la perla dì gran
prezzo è stata da esse svalutata e qualche
volta abbandonata al suo destino.
Oggi la vita ha assunto un carattere di fermento e di grande attività materiale e mentale. Anche negli angoli più remoti delle no■stre Valli giunge l’eco degli avvenimenti nazionali e internazionali. Nelle famiglie si discutono i problemi del giorno, si parla delle
vicende della vita e delle proprie esperienze, fin qui nulla di male. Ma in mezzo a
tanto fervore di attività e a tante preoccupazioni che caratterizzano la vita di famiglia,
c’è ancora un po’ di tempo per il raccoglimento interiore attorno alla Parola di Dio che
è « utile ad insegnare, a riprendere, a correggere, a educare alla giustizia n? Purtroppo
il lavoro, la scuola, il commercio, i vari interessi della vita e le esigenze del vivere
quotidiano assorbono tutto il tempo degli individui e rimane poca cosa o nulla addirittura per elevare il pensiero a Dio sotto il
medesimo tettò, in una solidarietà di a.ffetfo
e di fede.
L’atmosfera del mondo è entrata nelle nostre famiglie e ne ha viziato l’ambiente.
Questo è il grave male di cui tutti, più o
meno, soffriamo. Dobbiamo confessarlo : la
lampada divina non risplende più o il suo
chiarore si è molto attenuato al centro della
nostra vita di famiglia.
♦ • •
Eppure, oltre alla lettura individuale della
Bibbia, c’è posto anche per la lettura de'Ia
Bibbia nella famiglia; per una lettura regolare, se la si può fare, oppure per una lettura occasionale che dia, però, il tono della
fede e della pietà cristiana alla vita della nostra famiglia.
La famiglia non può essere soltanto il luogo dove si lavora, si mangia e si dorme ; ciò
che dà sapore alla famiglia e ne consolida la
struttura è sopratutto il fondamento spirituale della Parola di Dio. Per questo, la famiglia è anche il luogo dove si celebra il culto
a Dio, prima ancora di recarsi in chiesa; e
se la Parola di Dio non è ascoltata e creduta nella famiglia, diffìcilmente lo sarà altrove.
1 vincoli di affetto e di sangue sono indubbiamente preziosi; ma essi sono fragili, di
fronte alle realtà della vita terrena ed alle
passioni della natura umana; soltanto la Parola di Dio li può fortificare e santificare. I
vita di famiglia, è inutile negarlo, è spesse
volte in crisi per diversi motivi dipendenti
dal carattere dei genitori o dei figliuòli, dalle
difficoltà della vita, dalle condizioni sociali e
morali dei '^pi; l’atmosfera creata dalla
Parola di Dk» è quella in cui l’ediflcio famigliare troverà sempre modo di rinsaldarsi e
di rinnovarsi, come per effetto di una intima,
misteriosa energìa che avvicina le creature
le une alle altre e le fa camminare secondo
i piani e la volontà di Dio.
La Parola di Dio è il sacro cemento dell’istituto famigliare; essa ne è anche la forza e la luce nei giorni in cui sembra che tutto debba crollare sotto ì colpi dell’avversità e
che le tenebre più non si possano squarciare.
* « *
Perciò, è necessario rimettere oggi la Parola di Dio al centro della nostra vita di famiglia. la Parola che « è pura d’ogni scoria »
e che « vai meglio di migliaia di monete d'oro
e d’argento ».
Nessuna famiglia è perfetta, come nessun
cristiano è perfetto ; ma, per quanto ci siano
delle eccezioni, ci sentiamo in dovere dÌ dichiarare che la sanità morale e spirituale della famiglia cristiana è in diretto rapporto con
l’autorità della Parola* di Dio nella coscienza
dei genitori e dei figliuoli. E quando in una
famiglia si possono mettere insieme, come
in un sol fascio, le gioie e i dolori, je ansie e
le speranze, le vittorie e le sconfitte, i dubbi e le certezze e poi deporre ogni cosa davanti al messaggio sempre attuale della Parola di Dio, quella famiglia non può non essere benedetta da Dio con una benedizion":
spirituale che supera ogni materiale esaudimento e non può non recare l’impronta ideila appartenenza a Gesù Cristo che l’ha riscattata col prezioso suo sangue sulla croce.
E’ sulla Parola di Dio letta e meditata che
molti genitori si sono riconciliati ne! perdono, dopo un istante di smarrimento e di rancore. Cohfortati da quella stessa Parola molti altri genitori hanno potuto affrontare le
tempeste della vita e chinar la fronte, con
profonda fiducia nel Signore, quando la morte è passata sulle loro dimore. Afferrati alla
Parola di Dio, come l’edera al tronco, i genitori' sperimenteranno ancora e sempre che
la grazia del Signore si adempie nella loro
debolezza e che non si può vivere di pane
soltanto, ma che s’ha bisogno ogni giorno
della parola ohe procede dalla bocca dell’Eterno.
Infine, su quella Parola i genitori uniranno le loro mani, pregando per i figliuoli,
chiedendo a Dio di farne non solo degli uomini, dei cittadini di questo mondo, ma sopratutto dei credenti, dei figliuoli del Regno
che ha da venire, dei discepoli del Cristo,
attivi in ogni opera buona e in ogni buona
parola.
Realizzare una vita di famiglia cristiana,
edificare la nostra famiglia sull'insegnamento
della Parola di Dio, trasmettere ai nostri figliuoli il sacro deposito della tede nel Vangelo : ecco la mèta verso cui dobbiamo tendere, per la grazia di Dio.
Per far questo, vale la pena di ascoltare
le parole di Gesù : u Chiunque ode queste mie
parole e le mette in pratica sarà paragonato
ad un uomo avveduto che ha edificata la sua
casa, sopra la roccia. E la pioggia è caduta, e
son venuti i torrenti, e i venti hanno soffiato
e hanno investito quella casa: ma ella non è
caduta, perchè era fondata sulla roccia ».
I E. Rostan.
JYicnte di nnoVo
«...ce ne sono tante di diiese fa'se; prole
stante (mi'todxa (sic!)... anabat ista... presbiteriana... anglicana), .dsmat'ca (romena.. bulgara... copta... greca), ecc.
Fa pena di constatare il tremendo guazzabuglio religioso iti cui si trovano le chiese
separate. Giusto castigo per essersi arbitrariamente e temerariamente staccate dalla
fonte di vita.
Solo la Chiesa Cattolica Romano è la Chiesa di Gesù Cristo. Le alfi’e sono soltanto del
falsi ovili, i cui pastori sono lupi camuffati
da agnelli ».
Niente di nuovo in questa prosa, nè nella
forma nè nella sostanza. Nè l’avremmo rilevata se fosse apparsa in un qualsiasi bollettino parrocchiale.
La pubblica invece il quindicinale di Torino Orientamenti Didattici ad uso degli insegnanti delle Scuole Elementari. Giudichi il
lettore dei risultati di una scuola orientata
verso l’ignoranza e la denigrazione...
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Ci siamo persuasi che è necessario metterci all’opera. Se vogliamo ancora esistere e non costituire una u riserva nazionale .
come i pellirosse in America, dohbiamo muoverci per uscire dal nostro guscio e scendere a valle, verso gli uomini. Sappiamo che
CIÒ tocca alia Chiesa, cioè a tutti noi ; sappiamo anche che molti non ascoltano 1 appello, e che, per una ragione o per l’altra,
sono contrari. Eppure, dobbiamo metterci
all’opera.
Ma qui cominciano i guai, profetati gi.
dal saggio seduto sulla porta della sua bottega: «Ehi mica facile! vedrete... quan.c
difficoltà, quanti guai...l». Si, qui comin
ciano le difficoltà.
Difficoltà dentro e fuori.
Difficoltà dentro, per la nostra poca fed
e per il nostro poco zelo evangelistico. Tanto
che non pensiamo neppure attuabili imprese
di una certa estensione, casa editrice, giornali, scuole. Anche se, sotto l’assillo del pane
quotidiano, un gruppo di giovani inesperti e
privi di mezzi può metter su e far prosperare
una casa commerciale, dimostrando che tante
cose è anche ¡»ssibile farle. Ma per noi non
si tratta del pane quotidiano, si tratta soltanto
di portare l'Evangelo agli uomini... e allora,
perchè riscaldarsi tanto?
Eppure, dovremmo saper che l’Evangelo è
più forte di noi, e che la sua azione non
dipende dalla quantità dei mezzi impiegati o
dalla saggezza umana delle iniziative prese.
* « *
Altra difficoltà, più esteriore, ma non meno
sentita : mancano i mezzi. Conosciamo le c
fiooltà materiali immediate in^cui si dibattono le nostre chiese; e come possiamo pensare ad estendere il lavoro? Ma qui pure
come sempre, è ancora questione di fede.
Affermiamo che i mezzi si troveranno se
fin da questo momento abbiamo fede sufficiente per contarci siopra come se già li
avessimo in mano.
Facciamo i nostri piani con saggezza direi umana, commerciale, ricordando che in
queste faccende i figliuoli del mondo sono
di solito più accorti dei figliuoli della luce;
mm dimentichiamo che molte delle nostre
opere devono poter fare le loro spese, così
come vi sono tante case editrici e giornali
che vivono, e danno persino dei guadagni,
senza miracoli e senza favolosi sovvenzionatori; non dimentichiamo che altre opere devono trovare simpatizzanti, e perciò sostenitiwi anche largamente intorno a noi, per
esempio scuole e istituti. E poi, non abbisfmo paura di chiedere i mezzi di cui abbiamo bisogno: non chiediamo per noi, ma per
l’opera 1 E non chiediamo genericamente, come se dicessimo : « Fate la carità a questa povera chiesa, che non riesce a tirare avanti » ;
ma dicia.mo francamente : « Abbiamo bisogno di tanto per quest'opera così e così- Siamo sicuri che voi ne comprendete la necessità e che vi parteciperete con i mezzi che
siete staio chiamato a possedere ». Se saremo cosi avveduti da riuscir bene la prima
volta, potremo continuare, estendere. E allora gli aiuti verranno da ogni parte, anche
da fuori, da oltre oceano... Solo, bisogna
mettersi all’opera con la fiducia che i mezzi
vi saranno, anzi, che già vi sono.
Ancora, difficoltà di uomini. Dove sono
le decine, forse le centinaia di collaboratori
di cui quest’opera ha bisogno, se deve avere
una certa estensione? Dove sono tutti i professori, i maestri, i colportori, gli evangelisti? Ci sembra di non vederne, o almeno, non
tanti quanti ce ne vorrebbero. Ne fa fede la
difficoltà di trovare il personale per le nostre
opere, già così ristrette.
Eppure, gli uomini vi sono più di quel che
non si pensi; ma, isolati, dispersi, non appaiono. Ve ne sono che sarebbero felici di
operare per l’evangelizzazione nel campo della loro particolare attività, se ne fosse loro
offerta l’opportunità. E poi, vi sono tanti giovani desiderosi di contribuire a quest’opera,
tante vocazioni che troppo spesso restano
come assopite, inefficienti percl^non hanno
possibilità di esplicarsi nell’opera! Diamo a
tutti coloro che lo desiderano e che ne sentono la necessità la possibilità di operare per
Tevangelizzazione. E vedremo ohe gli uomini non saranno pochi!
• « *
L’altra difficoltà viene poi da fuori, dall’ambiente : dobbiamo aspettarci opposizione,
forse lotta aperta. La libertà di cui tanto si
parla ci è tutt’altro che assicurata ; o se ci è
assicurata dalie leggi, in pratica è assai limi
tata. Può essere che invece di Jibttrtà avremo domani 'i strizioni, intollerailza, persecuzione^
Ma proprio questo hon ci deve spaventare. Sappiamo che l’evangelo è un messag
gio di pace per chi » io accetta, è accusa
e scandalo per chi lo rifiuta; sappiamo che
esso è sempre stato contraddetto e cwnbattuto- Se incontreremo opposizione, pétrà essere
un segno che siamo fedeli ; guai quando tutti, nessuno escluso, diranno bene di noi! Potrebbe significare che siamo morii, perchè
solo dei morti tutti dicono bene... Anche in
questo dunque attdiamo avanti, sipuri solo
della nostra vocazione.
Ecco alcune difficoltà : altre se ne possono prevedere. £’ bene che le prevediamo,
ma non mai cóme il saggio sedùto sulla porta della sua bottega che guarda placido il
mondo che si affanna; ma come l’impresario, risoluto ad agire, che fa piani e considera per poter meglio e più efficacemente
agire. Giorgio M. Girardet.
La festa del << XVII » è stata, 'quest'anno,
celebrata da piccoli e grandi con particolare gioia ed ardente entusiasmo. Alla vigilia,
tutta la valle offriva un meraviglioso colpo
d’occhio: quasi su ogni poggio ardeva un
falò. Le tenebre che, per tanto tempoj ci avevano sommerso, venivano d’improvviso cacciate e sostituite da un immenso mare di luce
che si estendeva fino al piano. Era quello il
■simbolo vivente della fine della notte, della'
vittoria della gioia sul dolore, deU'amore sul
l'odio, della libertà suH’oppressioné e la tirannide.
In queUa notte stellata, come erano emozionanti i cauti di lode e di riconoscenza all'Eterno che tanto ci aveva protetti !
E': vero, ' qualcuno aveva l’occhio Inumidito
dai pianto, egli pensava naturalmente a ben
altri falò che, negli anni scorsi, avevano incenerito e trasformato molti dei nostri villaggi in un cumulo di macerie. Tuttavia, alla
vigilia della «nostra» festa, bisognava essere allegri; in tutti, perciò, vi era un ardente desiderio di dimenticare le angoscie
passato.
Alia domenica, col privilegio d’un sole priraavèiile, il tempio era letteralmente gremito. Alla fine del culto, in cui si mise particolannenle in rilievo l’.unico e vero Autore
delia nostra libertà : Cristo Gesù, i bambini, sotto la guida dei loro rispettivi maestri
di religione, offrivano alla numerosa assemblea un ricco programma di recite e canti.
All’uscita del tempio, una quarantina di
pei'sone .si avviava verso l’albergo, dove veniva con.sumato il tradizionale pranzo. Anche qui, ancora canti ed alcuni discorsi di
circostanza e poi... d arrivederci » aH’anno
prossimo, Dio volendo, non più tollerati o
iiinmessi, ma liberi completamente, liberi,
nell’esplicazione della missione affidataci da
ilio.
• Il 1.5 gennaio abbiamo accompagnato
al campo del riposo Pascal Olga di Ida, degli Indiritti, nata morta.
Il 17 gennaio, venne in maniera improvvisa richiamato dal Signore lo spirito di
lìosiaii Francesco, di Ghigo, all’età di
anni 70.
I! 2 febbraio, furono resi gli onori funebri a Grill Francesco, di Villa, deceduto alla
tarda età di anni 89. Egli ebbe la gioia di
e.s.sere assistito negli ultimi istanti della sua
vita dai suoi figli, tra cui il prof. Emanuele.
Fino alla fine, egli desiderò udire la lettura
della Parola di Dio che così bene conosceva, avendo la certezza che soltanto con la
separazione dal corpo, lo spirito incomincia
realmente e completamente a vivere nel suo
Signore.
Alle famiglie colpite dal lutto, esprimiamo
la nostra cristiana solidarietà nel dolore.
XVII Febbraio. Dopo i lunghi anni di guerra l anniversario della nostra Emancipazione ha potuto essere degnamente celebrato secondo le nostre tradizioni. Alla vigilia hanno brillato ¡ fuochi di gioia; la domenica
mattina nel nostro tempio non v’era più un
posto libero; la tradizionale agape fraterna
ha raggruppato un buon numero dì convenuti: non è-mancata neppure una ben riuscita serata per le famiglie della Chiesa^ orgailizzatu dalla Corale p dalla Gioventù.
— Funerali. Il 4 febbraio si è spento, a
Roccapiatta, Román Cesare, di anni 79. Egli
viveva, da alcuni anni, in completa solitudine.
Il 6 febbraio è deceduta al Collaretto, dopo
alcune settimane di malattia, Oserpa Giorunna veri. Long, di anni 72.
Ai numerosi famigliari nel lutto inviamo
l’espressione delia nostra simpatia.
Il 19 febbraio, mentre stava per terminare
lina giornata di duro lavoro, la vita del giovane Maero Gino, di Pralarossa, veniva
troncata a soli 22 anni. Un pezzo di legno
lo colpiva al capo uccidendolo sul colpo.
Durante lunghi mesi aveva militato fra i
partigiani ed era sempre uscito incolume da
innumerevoli pericoli.
Alla famiglia che ha avuto buona parte
della casa distrutta durante la guerra ed è
stata sottoposta ad altre inmimerevòli pro
ve, giunga l’espressione della nostra solidarietà in que.si’ora di lutto. >
■ Le opere del Centenario. Desideriamo iiilormare i nostri amici del modo, come abbiamo fronteggiato la spesa per l’acquiato
I del nuovo armonium. Siccome la somma ocI fouente era molto al disopra delle nostre
I possibmta, abbiamo impegnato tutti i fondi
I raccolti fino od oggi per le opere dei cente1 nano, altre somme dei Concistoro e stretto
I un mutuo di L. 10.000.
I, :;La nostra gioia di aver finalmente dota1 to 11 nostro tempio di uno strumento conve
! mente e perciò moderata dalla sensazione
I scottante di avere un Sgrosso debito sulle
I spalle. Luiihdiamo nclt’aiuto di Dio che i
I spuera m nostri .àmicl ed ai Rorenghi vi
I cmr e luutiun ciò che debbono fare perchè
, questo p«.so,ci sia tolto dalle spalle.
E aou Sili a che la .prima delle opere del
iiostio Centenario condotta a terminel Re.sia, tra i più urgenti, il problema dei bandii pei la Sala della Gioventù e cdn questo,
alta ancora.
Avevamo - formulato tutto un vasto prog-rttmma di opere e facevamo assegnamento
speciale ^pra una partita di calce regalataci'daìl’iiig. Antonio Sforzini e .soprà un’aL
tra di leglia che speravamo ottenere dal Cotnime, poi i prezzi della calce precipitarono
sul più bello, la legna non venne ed il nubifragio del novembre scorso ci privò di molta mano d’opera rorenga ,e accrebbe le nostre nece.ssità. La strada rétrostanto al tempio venne distrutta con pregiudizio per la
sua fabbrica stessa. Alcuni fratelli rorenghi. la ricostruirono a selciato maissiccio e solido impiegandovi centinaia di metri cubi di
pietra estratta con dèlie mine appositamente: brillate; lavoro dei valore:di molte decfr e
di inigliala di lire effettuato da povera gente, senza 1 aiuto di alcun ente e--pei*-il quale non venne chiesto neppure un eenteslmo
di contributo al Concistoro. Opera del centenario anche questa © che speriamo durerà almeno un altro secolo; ma i nostri bisogni sono ancora lungi dall’essere soddisfatti... E lutto questo senza parlare dei nostri
poveri.s . ,
Ma non ci scoraggiamo, più sòn grondi
le nostre necessità e più sarà glorioso T aiuto
di Dio a no.stro favore.
Durante il culto del 24 febbraio u.s. sono
stati insediati nella loro carica di « anziani» e membri del Concistoro la signoi'ina
Maria Beux, insegnante, ed i signori Giovanni Staile e Silvio Rivoir. E’ la prima
volta che'una sorella è stata eletta a far
parté del Consiglio di Chiesa.
—• In questi ultimi g;iorni tre focolari sono
stati duramente provati da' doloróse separazioni :
La,signora Cesila Uragioni vedova Tron si
è addormentata nel Signore il 19 febbraio
II.«., dopo breve malattia. Moglie del pastore Giosuè Tron ebbe anipié possibilità,, durante la sua lunga carrièra, di far valere ì
talenti che'aveva ricevuto, al bene delle cóinunità, nelle quali fu chiamata ad essere
collaboratrice del suo sposo néll’^ópera di
Dio. Ebbe la gioia dt vedere tutti i suoi figli consacrarsi al servizio della Chiesa. Passò gii ultimi suoi anni qiii a Torre Pellice
circondata e rallegrata dali’affetto ricono-scénte e dalla venerazione dei suoi cari.
La signora Rosa Giordano vedova Gardiol,
tolta alla sua famiglia inaspettatamente da
lina violenta malattia. Fu valente aiuto del
suo sposo, il xiiof. Gardiol, madie amante
ed amata, consacrata alla famiglia, lascia il
ricordo benefico di credente fedele, di pietà
sincera, di bontà di cuore..
Tutti quelli che l’hanno conosciuta non dimenticheranno la sua parola sempre Inco*
raggiante, la sua devozione al dovere la
.sua amicizia profonda.
La ignora Ennchctta Bonjour ved. Gönnet, ^ che svolse la, sua attività ip un ambiente modesto, ma dove era stimata per la
•sua dolcezza d’animo. Colpita bruscamente
dalia malattia, contro la quale vanamente
lottò la scienza, e l’affetto della famiglia
non potè nulla. Iddio, nella Sua bontà, le
risparmiò dure e lunghe sofferenze.
A tutti j focolari provati rinnoviamo l’espres.slone della nostra viva simbatia èrìstiana. - •
F. U. V.
FEDERAZIONE DELLE UNIONI VAl.DCSI
GRUPPO VALLI
Visita del pastore A. Girardet
Cappellano della Gioventù del Cani, di Vand
12-27 marzo.
Martedì 12 : Torino.
Mercoledì 13 : S. Germano.
Giovedì 14: Prali.
Venerdì 45: Rodoretto.
Sabato i6; Perrero..
Domenica 17 (mattino) : Culto ai Chiotti.
Ore 15: Convegno Generale a Pomaretto.
Ore 20: Unione di Pomaretto.
Lunedi 18: Pramollo.
Martedì 19: Giornata dei responsabili Unionisti A Pinerolo.
.Mercoledì 20: Angrogna Serre, pèr le due
parrocchie della valle.
Giovedì 21 : Villar Pellice.
Venerdì 22; Bobbio Pellice.
Sabato 23: Torre Pellice.
Domenica 24 (mattino) : Cnlto a San Giovanni.
Ore 15: Convegno Generale a Torre Pei
LICE.
Ore20:Rorà.
Lunedi 25: S. Secondo di Pinerolo, con la
partecipazione dell’U.G.V. di pinerolo
Martedì : Prarostino.
Mercoledì 27: Seduto del Comitato di Gruppo a S. Germano.
Domenico 17 corr. ore 15, o Pomaretto
CONVEGNO GENERALE
DELLA GIOVENTÙ
Parlerà il pa.sfore svizzero A, GIr.ardet
JV IpX'* €.
PRIMA GIORNATA
^ DEI responsabili UNIONISTI
,’ , Pinerolo, 19 marzo
f-X Presidente ; il Capo-Gruppo.
Ore 9 Breve culto - l'astore Luigi Maraucla.
Ore y.3U; l'astori Ermanno Hostan e A. GiRAIiUKI';
La I unzione dell' Unione giovanile dì Chiesa.
Ore 10.^ ; Discussione. ■"
Ore 11.30: Canti giovanili.
Ore 12: Colazione al sacco.
Ore 13: Giochi all’aperto.
Ore 14: Due Unionisti e il pastóre A. Gi
RARDET :
La torniaiione e l'attività
del responsabile Unionista.
Ole 16; Tè offerto dall’Unione di Pinerolo e
dal Gomitato di’Gruppo.
Ore r;<-18: Partenza.
Avvertenze :
- Lu piintaaiiia sarà scrupolosamente osservata.
- 'lutti gu uniomsti componenti dei CoinilaU dii eluvi delle Unioni e quelli che hanno uij incurico sono caldamente invitati.
Noi 1 Iappiè ientanza di ogni Unione,
ma tulli I Responsabili vorranno approfuiaic di questa occasione unica pèr fraùiuiz are li li loro è coll’animatore
dello, gioventù svizzera, e per prepararsi
n gli 11 mi opera.
L tallone di i-iuerolo offrirà {'ospitalità per la none ai re.spansabili delle pari'io-vl.,1; Ola vaie nói) possono fare nello
stesso giorno il viaggio di andata e litorno. Comùnicàre il pi’oprio nome entro
Il 16 corrente al prof. C. A- Theiler - Via
Cario Alberto, 5 - l’inei-olo, specificando
^ per la notte precedente o seguente la
Giornata: Recapito; Sala deirUnione,
Tempio di Pinerolo.
Offerte in mem. di Franco Bosio, per i Campi Giovanili ■
L. Ugononi, L. 150 - Prof. D. Bosio, 300 - Pastore
A. CiOToa, 300 - G. De Capua e L. Ganga e. 200 - Prof
Giorgio Tron, 500 - R. Guaschino, 500 - Doti. M Ca
Mlk’ m - p. De i-aurcntiis, 2Ó0 - M. e V. Cuiiarclla.
?• ,e F- Som.nam, lOtìSi) - I. e M. Biancori, 200 Aniild« Pons-Bounous, 200 - Aldo e EMa \losca
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e signora, 300 - Pastore G. Bonnet e Signora, 200 Ermanno Scarmei, 200 - Lidia Pons-Bonnet, .50 - Lill'“" aon B^lezza, 100 - R. Gasparot
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I figli ; per la Cassa Emeritazione, L. 5000Per la Casa delle Diaconesse, 50W - I nipotini: per l’Orfanotrofio di Pomaretto, 4000 1 dipendenti della Ditta Augusto M. Long,
l’Orfanotrofio di Pomaretto,
lopo - I Colleghi e Collaboratori del dott.
Gustavo COmbà, da Genova, per Orfanotrofio di Torre Penice, 5120 - Paólo e Anita
Bosio, id., 200.
I figli in taemoria di CESIRA TRON ■
Ospedale Valdese di Torre Pellice, L. 2000 Ospedale Valdese di Pomaretto 2000 - Orfanotrofio Valdese dì Torre Pellice. 2000 - Rifugio Re. Carlo Alberto di S. Giovanni, 2000
- Diaconesse Valdesi, Torre Pellice, 2000.
DONI PER L'ECO.
Signore e Signori ; Bleilter Lidi», L. 50 - Rivoir Adolfo, 20 - Mazzolini, 50 - Codino Guido, 20 - Cook Collis, ^50 - MaUn AtinSs 10 - Martinat Augusto, IO - Durand Florin^ 50 - Ferazza Margherita, 50 - Long Enrico, 50 - Paschetto Elisa, 10 - Balmas Medina, 50 I ■ Marcella Malan, 15 - Catalano Gra
ziella, 20 - Garrou Giovanni, 20 - Peyrot Adele, 20 Grill Stefano, Sap., ,50 - Peyrot Luigi, 30 - Rivoire
Fanny yed. Long, 30 - Ing. Luigi Serafino, SO - Long
Francesco, .50 - Vicino Giovanni, 10 Gardiol Alessandro, ,50 - Meytre Augunslo, 50 - Favour Enrico, 100.
PRO VALLI.
Famiglia Valdese di quattro persone desiderosa di stabilifsi alle Valli, affìitterebbe
o acquisterebbe casa di pochi vani con annessa almeno una giornata di terreno. Rivolgersi per iscritto all’Ufficio «Pro Valli» Casa Valdese - Torre Pellice, oppure al presidente della Commissione, il Pastore di
Rora.
Cill.¥l
Torino : ogni
ore 14.45.
Milano: ogni
ore 14.30.
Venezia: ogni
ore 14.45.
Firenze: ogni
©re 19.M
Roma : ogni
ore 15.15.
Cagliari: ere
cmale).
Trieste; ogni
ore 12.15.
Genova: ogni
oro 15.05.
RER l»;i^DIO
domenica dalle «re 14.15 alle
domenica dalle ore 14.15 alle
domenica dalle ore 14.3« alle
domenicà dalle ore 19.3« alle
(lunghezza onda m, 281).
domenica dalle ore 15 alle
7.45 (alla domenica - fuiiidi
dornenica dalle or© 11.45 alle
domenica dalle ore 14.50 alle
Avvertiamo chi s’interessa ai culti per Radio, che D. V., la Corale Valdese di Luserna San Giovanni canterà al culto che sarà
trasmesso domenica 10 marzo, dalla stazione
di Torino. ■
Alberto Ricca; Direttore
Au:«rÌimt»ne N. P' 3U 4«ir’A.P.B.
Lino Tipo Arti Gbafichs - Torre Pellice
fi 2 i^rzo. a Prarostino, dopo non brevi sofferenze,
SI è addormentata nel Signore, nel suo 70* anno di età
CRISTINA BfRTAiOr
nata COfTANTIII
*''^*'* annanzto e, nell'impossibihtà de farlo personalmente, ringrazia ed esprimetela sua
r/cmtosceiiM al ofl.rtor* signor Bmt e Signora, al dottor
I: ' « tutti coloro che In qualsiasi
modo si sono adoperati nella luttuosa circostanza.