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Année XV®
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fi’abonneínent part du T- Janvier I; —— A’wTrti^-ir iOOn
et se paie d’avanoe. 1; 26 Juillet'ilOOy
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liftjnèftjs aéparS» 'demaiidéB ava{it
le tirage 10 centimes chacun.
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Arititfnçfis : go qentim^s jpar ligne
^ i pour unà 'aeiilô lois','—*-lB^oeîi^
< : Iriipç^ de 2 à ^5,|fols et, .10 cen•’ • • tlme pour fl fois et àà ¿eBana’.
^‘ádreláerí Ipóíil'l ila KëdACtÎo^ et
r Idi^nistradon à M, le Pas. tèiilt'.' ÏÎ,‘Bb6icn-^'5'a4‘nîf^i'biiït'tï, O'hiso»,/■Plûcrolo ) Italie- ,,,
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et le .sang. — ^ïiiissions. — Souscripiion. —
Une ' àAééâ'dte' îAtéres'satflé m'ènié pour ' les
W6t%ùfs dü Tékbén. -4 WouVollAs r'eligiensési
Chronique vAudoise. Revue i politique. H
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..liuiil.i.I) I ' 'iKÎi'ur'/ 'iwi liV ..l’iijiii i,'.
Nous venon.s de recevoir Je volume ill'ustré’ql?e ¡¿'Société 'd'Elistoire Vaudoise a publié , sous le
'iV'U'i ij’m l!l’;i!i‘iV i fiK;,'| /i-ü; T,
tit/ê .de.cuiieiÆit do B^centena^r■b de
la {rloneuse Reniree, 1689,-1889.-—
(T|Urip, Union Typ. Eclit.^ Peutpdre ia petite ^part.|de travail^ pue
nous, ayons été appelé à fo'urnir
Ppur'.çette publicatipn,,,iîëvrait ene
nous interdire ,d’én parler:, inais;
îiu p]sque de voir, nqs paroles mal i
ip.terpréteeS, nous ne pouvons nous ^
empêclier de féliciter le.Bureau dë
t, I I llKriDKi ,,'kîiIT 0(K'j
la Société pour la bonne r.eu,s site
(|e^ spn entreprisejLe : cnoix’,. dè^ |
'ipp,tièi;es. nqus a paru,, fprt ’ '
troduction de Mr. le prof. Vinay,
Jl.'-Î . ü.’l ,¡1 ■'•'il -14 i:l I 1.,'/
pn, entend , dans. Le, CanHque des
^allées. les^ dctes '^rfi
fiiesi&s de leur .massacre el de leur
■'!) . il .1- ; -Il .. (•.¡J,!.'- ,,',Ki;i;ji.',' ■■!
yers IJieu^l’église pepécutée, Com
me l’observe , Mr. W.
Il V* Í > l.t ■ I O t 1 11 j. / ''• P 11 ' >
cfi^nt^ne,_cprappsé ^elpp tonte,^^-“
1655, peut tout àussi^biep, s’^ippli-,
puer H|Uji ,souffra,ncêp^ àe 1686^
ippttpj^pp,inplainte .failj .suite u.n.apjtjcie sup
^ P ar ^. q n , h O ijQ m e J ,a up u el, p.e s
.épn^dqs sp,é.pip.les dpnne.pt nnpjUjFaje
pp ,mp étenp é. ^ e n, ette m ati ère Mr
E q.^è n,j^ dp, B H d.é. C.e n ' e.st p as, ¿¿’ns
émotion que l’on relit ce ¿a,bleaú
.vpy a n t, Ir açédi ap r è,s ^leSjd qc'|^’p^ts
P 0 n t e m p,o i;ai n s,,, d ’ u n p ê u p l é d ' e.xiiés,, âccupUli. à pras ouverts^par
la charité de ses çqreligionnaires
suisses et supporté dans ses ¡iiiipatiences de retour, dans ses mon¿agnes., I^ps deux chefs, yapdpjs
qui oht plus trkypllp 'ppU;r,,,p^|parei;, ppnp.ijéalisq.p .1^..
jplj ^ ^rnaud,, ïqnp; l,e sujet
dé deux étbdés, dont la dernière, *
. ce
2
-234
À
due à la plume du Doct. Lantaret,
est précédée d’un portrait inédit
d'Arnaud gravé d’après celui qui
est conservé à Middlebourg.
Voici venir la royale, souffrante
maiq^énergique figure de Guillaume
III d’Orange, dont Mr. le pasteur
Appia fait revivre les traits dans
un savant article où il examine,
en dernier lieu, la part qu’a eue
ce prince dans la Rentrée.
Victor Amédée II, le politique
dont la boussole semble avoir été
l'ambition, est caractérisé, sans
flatterie, dans un travail de Mr.
G. Luzzi, fort bien écrit en italien.
Voici la figure de Catinat. Elle
aurait pu fournir matière è une
étude, si l’on avait voulu grossir
le volume, mais elle est suivie de
l'histoire du Siège de la Balsille, oh
ce général n’a pas eu aussi facilement raison des Vaudois qu’en
i686. Le récit est celui du cap.
Robert, accompagné de notes par
M. H. Meille.
* Au point de vue de l’ordre historique, cette relation aurait dû
suivre Ijp travail patient et fort
utile» de Mr. D. Peyrot sur l’Itinéro#e de la Glor. Rentrée, accompagné d’une carte en 3 couleurs
qui est l’un des joyaux du Bulletin
spécial.
Mais l’histoire du passé ne doit
pas être considérée uniquement
comme une suite de faits sans lien
et sans but. Elle est, au contraire,
le déroulement graduel du plan de
Dieu àl’égard del’humanité.Chaque
épisode y a sa place marquée et
sa raison d’être.
Nous devons tâcher de t mesurer
la portée et les conséquences » de
la Rentrée, soit pou*r notre Eglise
Vaudoise elle-même, soit pour l’Italie toute entière, au point de vue
de ses libertés et surtout de son
avenir religieux. C’est ce qu'a fait
Mr. Aug. Meille dans un travail
intitulé Après la Rentrée et de nos
jours.
Deux articles bibliographiques,
dont le premier relatif aux travaux
sur H. Arnaud (Prof. Coraba) et
le second donnant un catalogue
des manuscrits et livres traitant
de la Rentrée, terminent la partie
scientifique du Bulletin, qui est
heureusement complété par la lettre adressée aux Vaudois de, la
part de Sa Majesté et par les Communications des Sociétés' âhiiéa.
■Si,, à cette variété ¡de, matière|s,
on ajoute la beauté de rexécution ,
le texte limprimé en' beau;Xü caractères, sur beau papier d'e'luxe,
les gravures bien réussies, représentant Arnaud, Guillaume, d!0range et la bannière qu’il donna à
Arnaud, Victor Amedée et Catinat,
et enfin la carte que noiis avons
mentionnée, la belle couverture....
et le prix relativement peu élevé
(1.50 pour les Membres de la’So'ciété, et 3 frs. pour les autres} on
peut s'attendre â ce que le public
s’empresse de faire un bon accueil
à cette publication de 160 pages
grand in 8® et que le nombre d’exemplaires tiré soit bientôt écoulé.
Avis à nos lecteurs qui n’auront
pas à s<î repentir d’avoir ajouté
ce volume à leur petite bibliothèque.
L'ouvrage est en vente chez les
Libraires de La Tour, chez M, Ant.
Micol nég., Pignerolchez Mr.
G. Goss, 1S, via Pio Quinto, Turin,
3
„Î35
et à l’éttanger chez; MM, Jolimay
successeur Gav-Roche, 38, rue du
Marché,Genève, ainsi que au Bureau
de la Société d'Histoire du Protestantisme français, 54, rue des
Saints-Pères, Paris. h. b.
U PmtlTfi ET ÎB SANG
Encore à propos de Giordano Bruno,
nous avons lu aernièrement avec plaisir* deux réponses du journal Fierartiosca, aux objections d’urt catholique
anonyme. La Mano di Ferro dam un
article avait traité de deux martyrs
(Giordano Bru no et Arnaldo da Brescia).
Naturellement la prétendue tolérance
de Rome était en jeu. Mr. X. qui se
professe «croyant sincère, et aime à se,
déclarer hautement catholique» crut
devoir intervenir. Il fait en conséquence dèux objections que le journal
florentin réfute avec justesse d’argumentation et plusieurs exemples tirés
de l’histoire.
< Ni l’Eglise, ni la Papauté ne sont
responsables de ce qu’on peut commettre en leur nom. Eglise et Papauté,
deux expressions de la même idée,
qui est 1 idée du Christianisme fondée
sur l’amour et sur la paix, ont vraiment horreur du sang ». — Voilà la première thèse du catholique romain. Les
preuves qu’il avance sont des paroles de
Grégoire le grand, que plusieurs répétèrent après lui, enir’aulres Si. Bernard.
La Mano di Ferro répond qu’il faul
distinguer entre Eglise et Papauté, au
point de vue historique, avant tout,
puis au point de vue religieux, si l’on
ne veut* pas rabaisser l’Eglise. Il faut
en outre distinguer deux périodes dans
rhisloire de la Papauté elle-même,
avant et après l’acquisition effective
et légale du pouvoir temporel. Dans
celle seconde période, encore faut-il
bien faire la différence entre le iangage de quelques papes et les œuvres
de la plupart d’enir’eux. On cite des
paroles'du plus grand pape de la première période, comme du leprésentant
de la Papauté et de J'ElgUse; c'est très
bien. Mais alors là raison veut qu^on
retienne représentants de ces mêtpes
institutions les successeurs de ce pape,
Etienne 11, Etienne III, et toute la multitude des pseudo-Pontifieès, comme
les appelle le cardinal Baronio, de la
pornocralie papale.
Ou (ous représentants, ou pas un;
ainsi veut la logique naturelle. Ingénieuse théorie que celle-ci : les papes,
en tant qu’ils parlent saintement, représentent l’Eglise et la Papauté, lorsqu’ils agissent en scélérats, ils ne reiprésentent rien, pas même leur propre
personne, parce que « ni l’Eglise, ni
la Papauté ne sont responsables de ce
qu’on peut commettre en leur nom » !
Logique, ajoute notre journaliste, et
surlonl fourberie, exlra-fine, en tant
qu’il sera vrai que stuUorum infinilus
est numerus (le nombre des sols est
infini).
Le catholique anonyme descend ensuite sur le terrain de l'histoire juste
et impartiale pour relever ce qu'il appelle un axiome: « Ce sont les temps,
qui font les hommes, ce ne sont pas
les hommes qui font les temps».—
Il va de soi que les temps porteront
sur leurs larges épaules les crimes des
papes et de l’Eglise romaine! Içi
encore notre Mano di Ferro fait sentir
son nom dans sa réponse. Il reconnaît
une partie de vérité dans l’afBrmation de son contradicteur, mais, et
l’action de l’homme sur la fornialiop
des temps, et cet ensemble de phénomènes multiples et compliqués qu’on
nomme milieu? S'\ les temps se forment d’eux-mêmes, sans l’intervention
des hommes, auxquels ils s’imposent,
nous aboulisons à un fatalisme histO'<
rique très-dangereux. Nous devons au
contraire dans la formation des temps
donner leur large pari à des horar
mes lel.s que Grégoire VII, Adrieu IV,
Alexandre lll et cinquante autres qu’on
pourrait nommer. La réponse de l’histoire juste et impartiale, interrogée
en toute conscience, est pour tous la
môme : « l’exemple abominable de pei;séciiter, de brûler, d’égorger les hérétiques, pendant le moyen-âge, en
Europe, vint des papes et des catholiques. i ,
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i^Niops 'avonsffésumé cettë contilôversiei
nom'pas pouë' pôFBüaëen (qos iecteiiirs'
d e< 11’jploIéi>a«ce' d e > ■ Ro m ë ; i e 11 ei i frousi
eèt!,ihélas'f trcip coñláue; ipbiúlr cj h 'iils noüèl
faille la dérafphtJféi-'.>à«tpe,meHit. G’esti
plutôt pour «tblnheii lune! idée de'pf.quel
pensent sur ce sujet d'çsnjournawdtij
iibéra1ïsrn0eitaliertJi':'.'M ! I ^iml Jtt
—^.,ll -----ni. --■.|ii;
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Bécük' dé wôtoflë' cîé ‘MrJ'’Ad:''Jalïûv\'
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K'MitiibyîJ’kFARiii; — Parti dei'fiarkiyj
lë>8>'juiti *je''SUjs ‘ên®n deinoiweaiu'ieni
' 'Ni! ÜIIIII ) . N- ,,
l 'Plabé à'iPambre de'"mon. wagon!
pOdi’ 'écrire,*! aSSîë'SUT'la bénie'chaise
plf à'Pt^Hqu’i "m’a! ' @fé' si i u ti (e à bord du
Gatth-iGasilé; mës"genoux continoeht
à me servir de table. Ce matin iàil7i
hëirr ¿*3’ ‘ le ih erHYOm è tre * p e < barq i i à i t
(}Ù'ë''8“;'ipénd'aht ^la tiuit'il à fait ■en-'
cot'ê 'plus froid'. Voici"les di’ben^ioîife.
d-éimoh ’rtralrOn ; longueur du platiohiept
5*6© ;! ifong'üeu r d e * I a ' teri le 1 dru'
geuF ir'l'i'rtférieub*1^05çi' bauteun! de!
I à' ïë H tfli 'î ,55 ;; di s la nde en I r e 1 es eSss ienx î
d'é^* dëtiii 'i’oues du' bêmre:!GÔté'i4i30; didnrètré'ddfeiîrbies'* antérieures 1,‘20:)]
di iafb'êtrié ' 'de^'rbu efe posi¥riefilre's ■ 4i,40r,- ■
h^lité'UT ’dé! l’espace;* libre'; enlreu les*cïiisà'è^!CÉ le* 'fftîte* dé ' la^tenteî ;0,40ij'
cëtl.e ddrnièr'ê 'bésuro donne un'e idée!
d'H"'donfôrtjde *!a chambdè' qbinmiest!
rêséMvéd' dàns' ma baison .-rotilanle.1»
O^és t llrti" boÿd ü" def ' '440 ' d e ' * I on g- ■ s iir
l,0ÿ dë large'ir la''Da^" é‘t''0,'48!ude
Hduiëiïr ablièntre; j’a*vance''là dedans
eri^rampant et'né ni'y glisse que fiond'
dPémîV 'Où"prèridre'lés'ôbiëls 'd'é'nt j’aii
prendre' lés 'ôbjëlS'dié'nt j’»i
bééoitSP Q*àand;ié viSgon ©si! en 'nniaFctTe!
jë'*éU1‘d -a^ipsiir la caisfee'd^avam aveei
mbh''^anwr." '•.''■■! '■■(uh>!i
'irOtivfe lè Voyage' délicteui 'jirs'ii
q'i'i'’1è5.o med dëuk'cobpa'gn'cfeife sdnli très'
aripafaloi; iié 'sôpt ijeùnes touls"deiiî5i
et’',Së' i'ë'iltfènt' à Mafëiting pou ri affaires.* i
Sfr Whitdl'è'y'icbnnaît'Miv'Goil'ldrd! et*
esÊ 'ën' * !çoi’ re'ipo hd kh ce ! avë'c 'lui, 1 i * ''*® *
vu "iussi, MiH "Jeàtimairét'â ShoshOngÿ'
il"ÿ a’'eihi|'an©.' '* luDiiiu.q ,*i-ii(jtij'ii
Mri'Müss’oè' estiférapiS' cfe'"bon'té'0'n‘’;!
vers moi, et les conducteurs soniâuë$r'
très: genitils/:Il v a! parrni eujci deux
Zàfp bpzien & ; e l (i^’ap tre.?,. dp . d iiféresn tps
tribus.,je profite qe Ipüles les occa.s'i'ô'nS ‘pOtii’ atliréf' leur' attention'' Virr
les ëho.ses sérieuaiefej et iis pataiëseni
aimer beaucoup nos. petits cuftes.*Il©
me flonnent des leçpns de .sqssqq^lç,,
eJtj.jpprécie à sa.jujsle yaleu.i’,. oÁidut
petit mol, (me je répété souveiii :
SOUS nos tentes une lasse de café; à
9. .0» illO.bdI'nous dpj.eO|n,qqSi';au,,au!;fil
à !côléj'd’iüiîü WiagoOn'i'HOùî 'dwonst;,às
l’amte Ivers;;^ Qi{,3,:b.ietileiS9ir.,poqs
pce®OnaI;;no,trebsouperMiautOHiT ,*diVu,n*
bon feu;^S®Uiv:épt\ili©ort5'ejup v,çp|,|jpfe;
fort qui assaiîsoi{ne;i lissez mai; à,;prAi,
¡ pOs'i nQtl'elthié ;Q!u,notr,eflafiá jeipOHP)-;
.S'iène,;ib.ais;jiaimemqn,vtoyagepqiwagqp';
6i> jer,iropve'! .queir,jjusqu’),Qi*il.i, Japauq,
coup 'deiichar,mPSt()Íi.'(>;■/« '''■".lo'iij
liile. n’ai cefiitp$,.pafii les nisës de.l’ÉA-íi
rOpe,i, mais Wëiu lipouiiyqU, ¡abpndanirfi
rtientiiài tous.pie.s.'besoiins,y
heijfeim .d'’am.mfer'rwrsjilp, ¡Z^imbéiíeít
erifi'ri! -Lfe(tp»,ys. que.iAOiU« tpaS'ORUrpppi
est assez monotone, de tempftpp. tdrppd>
quelques ’oiitposaSi! quelqupf.jbiuissons
r lépj n e s '. itir èsf i ' iiCii aep s,. 1 j n l q iîî o çft p pnj<i
l’atidiiljé'ldù, SOÎ!,;;at.dPiP©iitflSi,poÎl,i;p.e^,
eo Ib m pena da (pl at il udo-i aAliiC. j QllPii
j’àiiidôl allojîiiaiüëedbJiii, debPF-!'.SaRj^)
thenmâfli.qjufiiis]éwitiilaissé ,pr,e¡ipidre i #.
uni'biflis$0n7de:,.i :;jíÍBÍtií1 ibili^lfui^iAirri
tenflsiionnpeui»i>itel(!»;6 poqyaii ',pl|i?di
s'én- tS*reE*j Lës ifeniiilescde p©He>'.plap,tPj
ressemblent ibfflaucopp!(à/;egUpSidp.i?,qfj
cdeia)imiiiuëCHle,i ifffiàisi.Jë?iôpbPfS) tjBiiîPn
nâtjrfesl,! '(spnfciilop’rnéeSrSprgii le„ç,^lpQ
du, bùissôplfeni sortalquoiiplusnpnitsq,
dém èti ep iplu s. ■ on> la© t reP d, ,pri spn ipi(er>. |
ii'NOus yoyo'iiei'ae'tjempîs ft(intçî»ps-i(j/ej
gros (fîseauVjdes .i-iïôi'JteaùXrinîQÂ's -ài
collibr‘bkiicq dc'iletapsjioa.iëmps.vmp,
anliitópe.'iíDes- groqpés ide jeunea.^enpi
; eivjeuüfes ¡fiHesíMpmcOsUímfíiiitdigí^flfe;
; noua fapporteat dui .fait;frais pour;fVpip.,
! du itafiac’.i'eni'échangeiHQ'Uiël^iOefo'îsjijiti
i besr gër ¡V i en t a e réfu giëif isù r m on Vgp goq, \
alorsiíje p.iteods;‘!jaji>n Nopvëiqa .lesl^y,
mGfaf.'>ét* néunissaùlilo'ùs no^garçansq,
je-l eç Bi fenil i s. #ueliq(ues'.p0irUpnb meftleî! ,j
qfeu j©'tâche* de ileunlexpliqueridq mopu
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M-Pfii.hpQ,p,0,V|r„jW.;, ,^n 0^,^^
P|? !P,e,P.ppppPi,R,fig;fli;!Î,^, ppi}|;,je^,ii^(i!
/ll'.l, "il i'iii •.iiiv 'ir;' >1-,; li , ,;.i|
Nous sommes.xWjp.i)ui^,,(ifiii^, jp,Ui’&
d^nsi uns ifer,f)e.,d<i Mr. 15jÎps?o,n> !sq.ui
a,iÀ sÆlnlSaVlVipe,^que^;^^es^|T)l)ézipl;|fi,l
pour qualques.:.jflppf sepilfin^an}..;,■, U?,
traitai J te’tne i%i*a n4uMi> 11 ■ iMp3*iop,
les ,wfl>iiitanwpia. iifWiafid.4l ii«.’4 oigujo, lie,
liiayflii;l„lif}»giUiii Powi,|||dp:| raal^QUii;^,
liewt’opéeni|fl(iiGi;niib?i|iÿ.desiihpi,ifi^ faites,
ed; bqis! &turaqQuviÇ|[ilp,|d’^rg|4p,i ifavi
leutoit qwiiesii i’pcQftv4ri
ra>Êsi)tons>Mi,0i ,1a iVie.rafiiicainpMi^pipuiils.
de .troUpiWMXi"die,;Cih.è|i5reié( ,dp, vac}jes,|
etii bloBufS) 'et-: dPiisj jt' auUi Mpbes,, dhpil J P.
mâleiiGsbià. radiOiUiteij, "■m->i, (¡(i ;,mn<t
fiTou'biftçJp, raH lantiidp; :brpit,.,gg,'<in|
ai‘dé I [la, peine, & s’.ePliendii'P, be;:jP9i,ii
aiUoufiiiduiifenj; MÎJ. iMpfi?<?|g;%éi WAir,
leley racontent des histoires,dPilRflP,-.',
ii-,i_li;myiii:iiiM - A'ftgi'si'.i tiCnuniiiiV.
'tfêkin'à, SB'jnÎn,,v*‘~<uhai: ville leut.
dhiajlél lé^ de' da, ìtiissiibrM'weslieyiennè^ i at;
ò'é'S.ti toot.;.'..''' :‘ifio.tr,lO'l lii Aii<pui;)l
li.'tiiii/i'l _'i ilii'i.) iin : ii'i|!ii;|.‘ iini i.|,
■ol'iKr.i; ,9Ì ilc,lLd_'>liinii i; ,!!ii„l‘i|,
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I f pour le Bicentenaire de la GlorieDse'Reiltiiii
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Bonjour, ancien, 5; Anonyme déBohi,
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j rk 'iMmidon*,, feij: Pau!l.,ii'6; lilDgi Bayiii
i Mondon, ancien, lÜ^-JDaniel Geymonat,
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M. Salomon, ancien, 12; Jjavaji, Jn.ji içi:^
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I E/GranR,fediPWi',ef, hwJj, Boflj9g,r,
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i Péyrfl.t,iaèi-!P»#1- ^•lqippnJ'),;,l?an{,c,[,
¡Mondon, ancien,
I Total 1^® Liste Fr. 1034,75.
1 '
JÙIMIifiiiiTqi'4.IU-t^id
Ca'irus (Missouri) . . . Fr. 5
Madame Czaripe Pe'irelier, née
Jahi’éi')Vl(’»uètì)^'''b'''’.''' 'l'o-’i tdy ■'.50
'i-r/ib '1/ ‘ri(ì-,i/i:l/i 9h noiii;liM|Oii (;,!
^';| ;)SBPIStSi|DBrLjiI,$Pfl,fll|E|^, ;/JJEi4i4ii'iij (■;
a|,Hil)iloilii;'i /■iiiii.-.., ilii'ri /li di
';;*rmzkf'ô'üi]î' 4'^"'
JÌaltì|CavliiÌyffie'rll'i)d''\H'
6
-S38
Danne Jean Daniel, (quartier
Blonals) ...... « 5
Au lieu de Sebolò Bastie, c’esl Lebotò Bastie qn’ii faut lire.
Au lieu, de Fenouil Anita, (Cartera)
lir,e Fenouil Emjfé. , '
Malan Guillaume Docteur, (Malanot)
au lieu de 150 frs., lire 100.
.JVolIfe David, àu lieu de Sienne, lire
filóne èit ajouter: Vòllè^flènri; Lione,
frs.'20.,•, :
; -ì ■■ I .i ' ; I ':v; : . i i / : i: .‘ri ■ ^>
'.Ml 0ECDOTE INTÉhESSM^TB
,11 : .■ l,
paur ie.s lecleiirs <lii Témoin
*-(jîn .avait travaillé pendant toute une
sémaine au réveil de la piété dans
l’èâlise'.de X.
On qVaii itisislé; eulr’aùtres, sur le’
devoir'pouf chacun de payer ses dettes.
Dans,uné‘déà dernières réunions, après
une‘chateuréiise exhorialioji, l’évari: t' gélisle, suivant une méthode en vogue,
invite ceqx d’entre les auditeurs qui
Ont pàyé toutes leurs dettes'A lever.
Lé 'plüs grand nombre se lève; Il invité ensuite à sé lever ceux qui ne
les ont pas encore payées. Lentement,
un pèu confus, quelques-uns se lèvent
par ci fiar là. ‘
' Le pasteur s’approclie de l’iin de
cès derniers:
— Moji ami, lui dit-il, comment
se fait-if' que vous n’ayez pas encore
payé vos dettes? , *
Jé siiis, répond le pauvre homme,
éditeur d’un journal religieux; et
comme la plupart des membres de
votre, églisè ne m’ont pas encore payé
leur àbobnement, il m’est impossible
de payer mes dettes. '
Üo|tiDeUe0 IKeltgieu0e0
W Conflit confessionnel à Mayence. —
La population de Mayence se divise
à peu près én *parties égales^entre les
deux confessions catholique et protesUtql&, mais le clergé romain est plus
nombreux que le clergé évangélique,,
ses exigences dans les'cas de mariages
rhixles; sont plus rigoureusôs; l’action
qu’il exerce dans lés hôpitaux eSl plus
envahissante , de sorte que les protestants, dont l’instruction religieuse aélé
insuffisante, y courent facilement le
risque d’être entraînés loin dé l'Evangile. C’est, dit la SedîaîMé Beligieuse,
ce qui a déterminé un pasteur de cetté
ville, Mr. Lyncker, à joindre àunenouj
vèlleédiiipbd liCatkéchisme hessbts, q u *i I
a .fait paraître ^ cornrnéhcéméht
cet été, Un parallèle éntré les doctrines
distinctives des deux confessions, exposées d’après leurs symboles respectifs.
Malbeureusement les prêtres,, cat^liques de Mayëfjce se sont achoppés
à cet écrit, et tout particuliérement
au passage qu’il renfei''rtie sur la procession de la fêle-dieu, qui y est, parait-il, traitée, avec raison, de (frosstère
idolâtrie, et ils ont aussitôt i3i‘otesié
par une déclaration, contre le prétendu btüsphème de Lynckér et contre
le érartdo» de discorde qu’it Venail dè
jeteVdans que ville où les deux corilbssions vivaient en paix. '
Chose eürîeiisél mais pourtant trop
vraie eti tons pays; les journaux ia-'
dicaüx et libres penseurs de la ville
et des' ertvirons, ont aussitôt pris fait
et cause pour les prêtres romains, et
ont prêté la main à la convocation
d’ù n e 90 f le ' d’asse m bl ée p o pu taire qu i
s’est tenue le 18 juin,'et dans laquelle
2,000 personnesdediversesconfessions
sont venues prOtésler à la fois contre
les’agissements du pasteur Lyncker, et
contre les honneurs rendus à Giordano
Bruno. On assure qu’une plainte contre
Lyncker a également été déposée au
parquet, mais' nous devons espérer
qu^mle n’àbouïira pas à une'mise dh
accusation. ' '
Monument Coligny. - L’inaugui alion
de ce monument., .tardive réparation
d'ùn grand crime, a eu lieu le 10 courant à Paris. Oeuvre de Miü Grauk,
statuaire, il s’élève dans le petit jardin
situé sur la rue Rivoli, au chevet du
leiij|ile de l’Oratoire, et se compose
de trois statues: au centre. l’Amiral
debout, â droite la Patrie, à gauche
la Religion.il est d’un caractère grave,
du style du XVI siècle le plus pur.
7
,,, La cérjémpniei avail attiré un, assez
grand concours de^,pnon4è. Les cathpliquès n’élaieiit point rarps. Sur l’esiradé d'honneur ont pris place, entre
aptres: Mr. le marquis de Jàucouri,
président dii corailé du monumenl,
lequel le remit à rElai; Mr. Laronmet,
directeur des Beau-Arts qui prononça,
dit l’jB'pWse liibre, le discours ^ le plus,
bref, le plus ipcolpre, et le, plus insignidanlqu’il soil possible d’imaginer;
Mr. Richard qui a reçu le monurnenl
au nom du ço.nseil municipal de Paris,
eloqui daps un discours^ libre, tout
en!,respectant .Ip senlirUent religieux,,
appela le monument de |Ço|îgqy un
àc'té de r^éparatiop, et de justice, et flétrit les, apologistes attardés, de la
$ajnl Bàrihéjerny,;, Mi-. L. ,Vernes et
M.' Èug, Bei-sÎer 'qui oril parlé, l’un
comme .présidant du cousistdire_ de
l’Église .-réformée, l’au tre ,Cornme yicepresident du comité. Les. statues ont
coûté 75,000,fifgnçs, le décor de pierre
qiii les éncadre 55,0pO ; ce décor luini||rh,e,consiste en un fi’onlon tjûe supportent deux colonnes crénelées avec
Up cartouche, où, sont graYées ,!es,arm,es, du gi-and'Amiral, illustre victime
du.jdespoti^me çt dû fauatisme féroce
de''rEg]îsé'dés 'papes*,,,|V| ,,j, ,
Chroniiçjue SUfiuboiee
Le jf?tçppû>/. ( n DU s ai m on s
à lui rendre celle justice) a accueilli,
dans son dernier N*’, non moins de
trois lettres en réponse à celles qu’il
av.TÎI publiées précédemment contre
M. Prochel et l’Eglise V,iudoise en
général. M. Pons Modérateur rectifie
ce qui concerne la réponse de la Table
à la lettre du ministre de la Maison
Royale, déclarant que cette réponse
est « italienne au moins autant que la
& rose signée par IL, W. J. D. » Le
lodéraieur ajoute: «Opposé, comme
je le suis, à toute polémique qui nuit
à l’édification,' scandalise les'faibles et
jette le mépris sur l'Evangile que nous
avons la mission de prêcher et d’honorer dans toute notre conduite, soit
à l’égard des frères, soit à l’égard de
ceux diidehors,je laisse le public chré
liçn ju ge de^ ,a sj^rlions. ,d,u çor.respon dant H,. W., J. ,D. qui trahii.éviaera,.,
ment Iq vérité, avec le seul but,d.é
dénigrer les Yaudoisï. . ^
MM. D. Buffa et A.,iB. Ti;pn répopdehi en outre à une autre attaque
concernant la composition de l’Eglise
Vaûdoise de Rome en donnant dés
chiffres précis,,
»
1 ' ■ , . e* ' -il
Mardi prochain, 30 courant, à 8 ht
du matin, dans la Chapelle dePigneroiI,
s’ouvrira la Session de la Conférence pédagogique évangélique italienne. Sujets principaux àitraiter::
De l'enseignement simultané de l'italien et du français, et: Du travail
manuel. Ímu;'.: ,t.r
' , ,** ' 1' ■ ■•ii'i:: ’U
, Dimanche dernier a eu lieu ,1a ;pnemiêre visite de l’Eglise:.de PigneroL
Assemblée passable, entretien paisible
et fraternel. L’église compte 243 membres répartis en 125 familles. i
Le diacre chargé de collecter dans
la ville, peut rendre, à ses frères un
témoignage digne d’être proposésà la
méditation de bien des églises, savoir
qu’jlsdonnentvoJonliersv et mieux que
cela, qu’ils apportent eux-mêmes leurs
offrandes; au coUecleur, i : . i , ,,, i
X çç propos, nous sommes heureux
de mentionner un don très généreux
de mille francs de rente, qui a été
remis à la Table par Madenooiselle
Marguerite Long, en faveur des veuves
de Régents. ,
Par ce nouveau témoignage d’intérêt
en.faveur, de l’une des oeuvres de l’église qui étaient en souffrance, la, <Jpnalrice s’est acquise un titre, qui vient
s’ajouter à beaucoup d’autres, à la
reconnaissance 4e l’église¿ ■
*
Nous avons appris avec joie, mais
sans surprise, que Mr. Robert Prochel,
fils du docteur P^rochel, vient d’obtenir d’une manière distinguée, la
Laurea de docteu r en médecine à l’Université de Rome, et qu’il a été admis,
à la suite d’un concours, à prêter service dans les hôpitaux de la ville.
Les travaux avancent rapideraeQt à
l’Ecole-Monument de Balsille. ¡
■ r,',: ' ' i ■ v.i,
8
'"ta fem'Wîôtf 'i
pÿê‘S' bijhètriiît'e.‘''Oii''a .Su
dnaiiide d'é'*ÍV(>íivéR'á|ir îî'^uk'r]|Î!t^y
HïS/L'é! Hi6WolÎfh^üî',fôraira^a rifintê
Ôë \;imyrm6e:m áir'iyd'úfel "oh/'é'íÍ
s'éá'ljHle^s-y'á'r'WeiHfe'á'ly
0^ Wtáir'Lr
la base, el 0,30 ay sortíWetlI '
A la Tour, la -Salle du Musée est
ai¿lffevéeí'eelleHiiu>6yrW)'(féln'éííi j^à^’léin
de d'ôfi'èi 'dedrndmb' quèiilit' fbçadë dfe
l-9HMbi(sbn'bVaiiîi'do‘i'i'é. L’a-Iba'lusita'dé’ Velohgdij) ■ lù'OtWéiât) ■'ëhèïrtiiï'I pl'bVl Wéi^
dont te' i| r&vSUS'fe'é'ipüdrsAH.ëfi t dL'liVd-i
n)Arik,''fest''Î>l'àdée!'' \u ^0
\ t <0¡ft'>>oi!i'dra îb SeufôWWf'h rífe' 'mach'ift'è
américaine pour tourner légèVdf#èA't
le collège,, et le placer en ligne.para*H(êIfe'ka'‘fetiëtfiift é’f*à*ùK èdffilfefeÿ pliftés
dlfe'if’'áid‘tí^'dèléïil^rl'l 'l'i '!i-y 'n-iiin
U lillslüt )= -H-!tiiiii=aHi-^titi±¡±==¿
-ui-Mii íví-í: '1^11.'.’'’»',! .l'itri'ilc'i'l l-i
Gn I tegbfe i ivaJ ilifsir id iii T a rr&.i^ ell i ee m i
• •illdi -f'il i'n'n , 'lí•^-'-^^'ilill'' 'il'il îi) '.!
N el progila mm a'.d ei bo n CO feB o'a U» ®or S a
(í>ÁHÍráEiip inmggèire' èiwbrswiitm wroirô
oh«/ va ctypí'feiko. 'Soffl'oi'áralíiaíai îal ¿on«
cour*a I f giâ I ist udi©«ti < > ^rohiMsii / ! «dF 7P
anwel, ^eénnn «fuelli - diel<F?onb ' Sp. - i-L' '
Torre-Pell ice,‘I U* ¡(ji >1889!" “■'.'fl «
xuriii'.il -iOdUin».
74dri4(u»4^-^A-^.Hj4r--wi--Mtmrxulii-uii eli
' ’i*A"l’ 'd' -diiiii ‘»b
" ■''•fiie'd'tte îr-àü r""';,'
--'-7||■|7 --,'111 ■Ill')7*;l il't
Mtnlie. — La Police a éinpêèiié,1k
jijüblilife ! IdA"' d’é ' iti' ' 'éi'éi;tlTâi'i'ë dédi gée
p'àf'lfe dé'^."‘|['n(irbiriaH1" it 'lA'péé'dpdfe
l’hién'; * MW6,' * tí àds "Tô ïib'i *'d ”i pd Ú gbf ¿ b
liWfe' fitWiellé* doirb ' 1% 'bách'ál
d¿ Trebld'tíF'Tfek^fe'td^'li CorA1Íg''tfirecleur de Id'^ábkíi^lé WbdWííisítí'd'été
dissous aussi. D’autre pari, le Près
dII 'Mi nWlé rë' ’ 'áccí§.dd H t' aui‘ '' l/oAiiii' 4x
â'épiï'’pp^àyù'e'k'VáuV‘ik''tótíé^’^
âVlnt 'lôjlt alf^'‘Byu^nglíáM’tódur {jrüi
ëlïè a ' 'éÎé •|1'áífél ' Le ‘dé imïk'l k, u r'ûl^M
dM" fë^TS' 'è’ tJiiH Me ■ ‘cîWaikiTe '
Sf ' ciih'ff 1 fl k'i U re ' s^VÂ,' ji’ôs éd ' s mül tànll
rn^ht"'á¿M.3(1 ckif&bi',^fè!ç'tbi4(]'V'.'
ñkn BoiilkA'dfeV, ’ Rpcb'âFm 'M'''Diudiï,‘
pŸbtê^tkli l'.'.'eAl' tebiïl b ' ’.’iPès"' ' 4*1^ ef^ n ü è'^
cMfe'-'lk's-’ 4'ilra'îôhi^^ak’ l'là’
!.|i niiui-u/
ré'c'eii^oni‘'a dpiTfr ’dVV'TO^
fdsqù’aüx', é'ié'ct'jqrfs, k'4'-d| ''apVl'riclliij
l'i. y m I ■ lA „îL„.i n“j ’„¿U 1M‘A d „ „U ' tu<
général, leu’i^' Hbn{
g'ii‘liers.'*^'"l V'I’ ■
J ‘iiir, É‘ërfape‘rébr "dfÀù::;
ir'iclie ek'il'küé'rik'â BePlià';fè
^ '*Veï'^'’fà'.'lïn sè’JVè'ft'brà ’
m'e'nlll l4Wpé'r*e’ub eí'JíítónirlM ir Al-'
rdma^iilé' ba'ssercííjvb^r'BPfhtíísi'í ptílíP
S ''reiidre^ en;|mW, ’’à',
ri’ôè'ës','de''!é’é' p’riiic‘è'Weï‘ëdit'àlre 'àV^d'l^
sHüF’‘dé'*GjüiíriuM.ip.'¡ m
ddîv'V iWiéfVeu'iP'iiiàski 'c‘ó'iWm'é''r¿bM
«pnlant ''-iVir -H,
prim’éV pái"l’btílniHh tfdblid'dfej d’fi’à'Aiifé.Pê 'lei'bodsur Dbi'àndo," oe'TrPèk'té k
liiverpdtHi."''i'/"""" .........
ri’i
n iiiiv!
-i(]
Lê‘ïrti;,‘)im;. , . ., ,
Lé|!'éléietinds'dë'ibllflijlds’kuFcim lîfeil
du 45 octobre au*45 novembre. ,
*'■ '-H'U 'ïïduifellé':)¿i:'Mu
chanl leà"6ïAd/dâthi‘é^'WHii'ti(rldèi'’^il
libérale et peu digne de la république,
IMP. & LIB.f{||,HIANTORE MASCARELLj^
> O H) »Í rrn ' iV :» i w » n irrîrS^
PIERRE 6ILIÎES
HÏSTOfRE ' BGeLÎMlAâflQÜE' ” ’ ,
.ilii'iii'i.'ii; i; (-ni'>.ii(jesin'):) r-ilii!!ii mi r:
I, íjfiiíix, vCjt.donpafeèiSi.'VTi^ fin^ tektiilr fl. : /-«
iWBlWfeS. ffeStf-fSSr i-E
iniÎHrtüi aii'sya; ík'>íí.-vieii<-''l .W
-.'ÚÍ). I (■ ! ••ibTT-trrn-p-TT.i'-m'i'j )(!¡r» mji—ri
iii->-ii;P .;} '.lUBNM'ià&IIAOAr ü'Ut.-l • ! i:
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SiídtíDüZ'.SÍ r. lili,' ..-'l'i'i il <-'ii Í I;
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Pigaerol, Irnp. Chiantore-Mascarelli.