1
Année Huitième.
pRlXiD'abbohnbmènt :pA'R An
Italie 'iîi'. ! ^
Içg pays, ¿b rUpion
de poste . ► • 6
À^fnér^KjÌTe ' ' ' . ’ ‘ . ' > 9
On s'Hbonae ;
Pouf VÎntévieur che? MM. le»i
pastdU:i*3 et Jes Hbraires de
Tojr.re PeHtaO.
Ppup yEcctérl$ity&nl
’ 'itiîÀÎBtraUon. ’ ^
Bureau d'Ad
N. 19
12 Mai 1882
ÜD ftu plasifiurs uumdrfvs sépa-,
rés, demantîéS ^ aVaift-1i» * lÎJ ^
. rtts-e lO, cent; chiieuii.i..^j
Annonces: 25 centimes par
Les envois d'argent fout pwi!
lettre reçomm.andeé pu par
niandàth sur le Bureau dé !>«•
rosa A{rgentin<a, , .V| *.|i
,>^üqrila ^RÊpACTI.OÎi ad,re»sei
ainsi: A la l»ifec irtn dn TSjmoi«,
PomareCto ('Pinerolo)’lfaJip« !
i?our J’ADMmïSTRATTON adresser ainsi ; Â i'Admiitistratitm'du
Tcpioïî»’, Pomarattp i.PineiH^lop
ïtahe. , ..
Jinvi. I
, înmirT
" ËCHO DES VALLÉES VBUDQtSfS
:,;mî ParaiEpp.nt¡chaqueVendredi i:'.,,. ¡¡ip
Vio\ts xi« «rej limoim. Ac^ 1. *ioi r'.W '• Suivantla ymté ofe^e i« charift. ),jI5<
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a, lô'Pasteur iJfireÎ( Une oiJU'vellen
puhüeaiüSÔiilsur'les Vau(t(ii9. 7sHiie/,! i-riDe ;
Pissnfrolàiil’ral .'a.vee;GiH!es fsuiiej. -r* Gomitò!'CentraiiiiÛitepaationaf des ÜDions
CtwéUffnnes'deSjOiudés jfeiis?^ Gottrespcri
dancej'ri-RùmtilmmligieUies. — Reme po- ■
iiiiç'Mi.'iJ-î-i'Souscwpïiotït >—! jtnnoÙGe. ' 'i
',|t HiOiil i'WiVili'if! l’ioi I'M'» •'■>
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Il y a trois 'jbürs '*g«ilértièni ipié"
nous' ëviirts'* ië^ü'-laf hbÜVbIlë*;tfô la
ni’ér‘''hô.Ü& titì’tìotìtfoètì éiibtìhtièi^’
cë’’rèta¥d’V qiï'ènf^Éipptìsah't ¿ftìlMé’
lettre s’ëSt éfai#'’''^'^’ i*'"'’' ■
tsmua
«Mis«»
l’Académie de Genève^ ses études pour
le St. Mj«iSiÉ9Îd/!(pt-)ttpi’êSiia?i()iil reçu
l’imposition fliainsi qux Vallées il
avait déjà passe’tro^ aris 'à Rodoret
et un peu plus de dilTà Rorà,, lorsque
la fièvre de l’érri'igfatioh atteignit sa
paroisse, aussi bietf que la plupart
de ceHesiidyfvàliPêlls'',i’pdti¥î'if4ë pks
direj-dieS' Vallées* toù'i* eittîêresv*'M'ohi-'|
sidûr Morebétëit p'robaMenïent, parmi ‘
tous les paëféü'rs''dés Vallée!^,'-célùi"
qui risquait le plus de se laisser sé
r
duiré par lll^perspèètiivle ’d’ilii' plüs
vàîitls. chàm|)' ’dç'itàVail’ ej 'dluDè ‘poisî-‘
tiijn I rnâtérièlfe pliié' fai^lè* qüe céliys
q,tt11 eopiiaijssait 'déjà', lorsqu’il ‘était,
pàsleur à RodoFet,' 'ÿ. à'ne;.époque
où Iks ' Vaüdpîs ne': ppWa^Mitifen';
impri mèf -qU’àvèc
la censure, il avait pomlf’w’ap^
;cülësü;F'la qubÉiott'd'é'ia^l
|«üiÎio» ■ des-' ppsteûi^; ''PMb'.l t,àtd 'étEttit ■
à RnfAinisom lî.éii 'd’-oiAg^’.w'^r'
cbhsétoéPï fl''hvkît‘',a '¡sùrirafetflei’li’eë'
I diffiéiilife paH.Sfeplièi’es.v' il’ 'prhpôSàît
a'ù ‘Syn'ode db*;l8§5*"do dalt’ë''-pa'ss^e¥
U'éjtiè p'àbéiësé'.déd'adpbem'lérlç V^iië'la'
secoppë'e'fûsge'i* ate’qü’ilëÙH'.’^
jlé‘ 'rêklfetifetiM’ialbre ,"|e
IpOiPt dùe '¿nênié lî 'sw êiifiïfiraîï'Pa^
¡vOòàt‘j;'nouS'avònè'hp#ii‘^t*Wtó
|métìt-: âVec'i:rèS'‘if,îv'e ^isjfSttìodpd'tìéi'j
à là Veille de'is’ëmbaFquëMl'pl'lOTSifô
isèoeüîc' ^^élài'eni FOùVè¥tsji^'Ilî-^Mdï'!ît '
ja 'déniâi‘si’^h’'’éônfidëhfe‘4.«>ù
par-’'
¡que Ië‘devc)iF'Sdù‘lilé''r___----r - r—
itir,'- rie vdùlàîit!pàà''lkis^*]^lll<ceù¥‘
!q'ri'*if. avait" ërièburâ'gés'
' 'Nériè'-'p6umorisV'&frè¥'dàns'' ÉêaÜ'^'coup de détails très précis, pour
2
-.146
exptiguer par quelles causes diverses
le roinîslôre de M. Morel avait fini,
au bout de peu d’années, par être délaissé par la majorité des colons.
L’homme qui avait été l’instigateur
de l’émigration vaudoise, s’était bientôt aperçu que M. Morel n’était pas,
à beaucoup près, aussi flexible et
aussi complaisant qu’il l’aurait voulu,
et il n’avait rien épargné pour rendre
la position de ce pasteur extrêmement
pénible, De son còle M. Morel, à qui
un bon nombre de colons refusaient
tout CQJïCours pour son traitement,
avait cii la malheureuse idée d’exiger
d’eux une finance pour les actes de
son ministère, autres que la prédication à laquelle la plupart n’assistaient
plus, ce qui les avait nalnrellement
indisposés toujours davantage. — Au
reste le Modérateur, qui en -1869 a
visité oiBqiellement la ciionje, a pu
constater par le témoignage des personnes les plus compétentes en cette
matière,, que par leur sérieux et leur
fidélitéi les prédications de M. Morel
avaiényéléjji^ns les premières années,
en, tous ceux qui en sen
taferit îe tèiok.
Au milicn de ses luttes avec des
adversaires peu scrupuleux, de ses
soucis,': matériels, de ses désappointements pénibles, le climat aidant, la
santé,; autrefois si robuste, de monsieur Morel, s’était délabrée, en sorte
qu’il ne pouvait plus s’acquitter que
très J iiTéguliérement des devoirs de
son ministère, -i- En 1869 il n’était
plus, que l’ombre de lui-mêrae, et
f’année.suivante il demandait et obtenait son, éméritationf Nous 'transcrivons,ici quelques lignes du rapport
que; Îp .Mègnéidu Synode de 1869 a
lait Tÿble au sujet de M. Morel
et dé,.la'demande d’éméfitation qu’il
se proposât'^adresser au Synode.
« Malgré.îto qu’on peut-iui reprocher, service de l’Eglise
Vaudoise . qu’il a dépensé et ruiné
cettelsanté/jadis si florissante. Les
colons lui re'qdènt le témoignage d’avoir été ¿¡pgfjganl plusieurs années,
non sesîenqsnt ,,lpiir pasteur, mais
aussi ieur jdéienseurjntrépide et leur
avocati zéièi, soit auprès des autorités,
soit auprès du directoire, ou des directeurs de la Société de colonisation.
11 ne s’est pas enrichi, car s’il est
abandonné à ses seules ressources,
c’est à peine s’il pourra ramener sa
famille avec lui ».
Il songeait alors à se répalrier,
mais si, au Rosario, il avait une petite ferme laquelle, travaillée par ses
enfants, pouvait, à la rigueur, nourrir la famille, aux Vallées il ne possédait rien et se voyait dans l’impossibilité de s’y occuper d’un travail
quelconque un peu rémun^ateut»
— C’est sans doute ce quU’â'VetefflUhà la colonie où d’ailleurs le climat.,
plus sec qu’aux Vallées, le faisait
moins souffrir.
Les épreuves ne lui ont pas manqué
depuis lors. Des quatre enfants qu’il
avait en 1869, il ne lui restait, lorsqu’il est lui-même arrivé au terme
de sa carrière,‘que sa fille aînée,
mariée à un argentin et auprès de
laquelle sa veuve est allée habiter.
Nous avons appris avec une très
vive satisfaction que, dans ces'dernières années, M. Morel a souvent
frésidé des cultes au village de la
az, même quelque fois le culte principal lorsque M. le pasteur Ugon était
malade, ce qui fort heureusement ne
lui arrive pas souvent, ou qu’il chevauchait au loin pour porter les secours de son ministère à quelque
groupe de familles isolées.
Nul doute que M. Morel n’aîl goûté
pour lui-même les consolations de
cet Evangile qu’il se sentait encore
pressé d’annoncer aux autres, lorsque
déjà il ne pouvait qu’avec une peine
exü’êrae et au prix de douloureux
efforts, faire entendre sa voix.
Une nooveite publicalioo
sor les Vandois
(Voir le 'V* /7 de
IV,
Le plan d’attaque tel qu’il est ex
Eosé dans une dépêche de Catinat à
ouvois, en date de Pignerol, 22
avril 1686, est le suivant :
3
w^/^/WV^/^/'./WAA/W*■
U7,
Toutes !es troupes du roi devaient
marcher, dès le lendemain, 23. Le
jour suivant, M. de Mélac, à la tête
d’un corps de troupes composé de
deux régiments, de 100 dragons à
pied et de 60 chevaux, devait entrer
dans la vallée de St. Maïtiri par le
pas de l’Ours « dont le chemin commence dans la vallée de Pragela, à
un village que l’on appelle Château
du bois, à une petite lieue de la
Pérouse ».
• * ’Le même jour, Catinat, après avoir
Id^ v'ëiHe, selon ses calculs, emporté
le'Teste de ses troupes « le village (îé 8L Germain et autres hameaux au bas de la vallée de Pramol »
entrerait lui aussi dans la vallée de
St. Martin, emporterait le fort Louis
« qu’ils (les Vaüdois) Ont fait sur une
hauteur, pour empêcher de pénétrer
dans la dite vallée » et, « ces obstacles sulmonlés,» tâcherait, le même
jour, d’aller au village de Riclaret
pour s’y rejoindre avec M. de Mélac
qui, par le pas de l’Ours, serait arrivé à Bouville et delà à Riclaret.
Le mercredi 25 i toutes les troupes
enserhble entreprendraient de monter
sur le haut de la montagne de Pramol,
emporter Pramol et un poste de 200
hommes appelé Prà la rossa ».
« Jeudi 26, nous verrons à nous
faire des chemins dans la neige....
pour gàgner le Bal (la Vachère) ou
te mont Servin, pour prendre les
hauteurs sur le Prà-dél-Torno, qui
est leur ,principale retraite, en la
quelle ils ont conOance, pour faire
une grande résistance ».
Pendant que les troupes françaises
opéreraient, ainsi qu’il vient d’être
dit, les troupes de S. A. R. le duc
de Savoie devraient marcher vers la
vallée de Luserne, sur deux colonnes.
Celle de droite, commandée par Don
Gabriel, oncle du duc, devait partir
de Briquéras , pdlir tendre aux Pian
(où elle serait rejointe par M. de Brichanteau s’y rendant par un autre
chemin plus à gatidlic) et de là à la
Séa. L’autre, sous la conduite de
M. le marquis d’Ogliano, devait—-pour
distraire rallentiort de dessus la colonne précédente — faire des escar
mouches dans le bas de la vallée
d’Angrogne, tout en se portarit eii
avant, dans la direction de la Séœi
pour s’y rejoindre à la colonne coîttmandée par Don Gabriel, et marcher
de là, par la ftociailla, parlie sur
le Pra-del-Torno, parlie vers la Vdchére où Bon s’était, deti«éàiüetwiiezvous avec les troupes du Roi.
Et ce fut ce qui eut lieu, non toutefois sans d’assez,grandes difficultés
de la part des troupes françaises et
savoyardes, auxquéllés, Sùrpliisreflrs
poifïts, mais sùrtOüt' à SL Gèrmâiùy
les Vaudois opposéreM i'ive 'Té-^
sislance: si vive, que pîüsîéüTs'Ùffi'i'
ciers, parmi lesquels lé’cbhinnlandaTrf
de l’expédition, M. de Ville-VieiHé;!fÜ-;
rent plus où méins grièvement
sés, r un tu é, ai nsi qùù bea iicdub' âë,
soldats, (les vaudois diséùt qqelmds'
centaines) comme cela résulté!'d’aine
lettre de Câlinât à Louvois','dàtéé du'
camp de Pramol, le 24 avrird686. ;
D’autres résistances sans' êlrè an^éÎ*
meurtrières pour les assaillants
rent lieu sur une quantité de ppibiyi'
tant du val Luzerne (parliculièrèméri!'
sur les hauteurs d’Angrogùé), qüè dé'
celui de St. Martin ; tùâis’ elles n’ehl-;
pêchèrent pas ,qu,é la"jénciiôn'pTP-‘
jetée, sur la Vacnère', ‘de5 deux çoT|lé'
d’armée ne fût, dès 1^|!6'» ùri"J[ait
accompli, et que Cati mil hé pût commencer une dépêche à LouvoiS,, dé'
cette même date, par ces mots:, «le
poste tant vanté de Pra-del-Toür et
toutejla vallée d’Angrognes’ést reirdù à
discrétion, à la vue, des Iroupés , ilti
roi et de S- A. R. sur les 'haoténrp
Cependant, tout n’était pas àùsSî
fini qu’il le pensait, et’*le volume
de M. de Rochaz, contfenl"‘éri0ôréi)
à partir de ce moment, ùné trefltgidè'
de pages de dépêchés dé diiréTéMtéÿ’
rovcnances, ayant toutes pour
a résistance obstinée que dés‘édrps'
détachés de Vaudois éontinùêiient*,''
pendant deux bons mois, à oppoSèTl
aux troupes, soit sûr les'hautkiiif’ii|
du val Luserne, soit sur celfes,!^'
val St. Martin, résistitnee jiJgée àèsez
redoutable, malgré le nombre nécessairement petit de ceux quî.àvai^'
’le courage de la tenter, poilr q'ue
K
4
vejiir à bout, patinai ai^ cru
jijiçv%,^!5ftlà(|er ,/ui-in^ine. .çn.pjBrâ^i^iia jhaiiit§ui|S» ,ajgrç’¡çp,wverlea,¡.'dg
n^ige ’¡ef,, presqiio ipaiçcpssibles, qui
dpflai^pt jia’balaillp.|,,iîî fÀ miwe).,
tir. ('! .
àiPffl) am Gilles
.io¡r üli
-;m.i! i!f)C .ii'ii! i“'
lo
.'i j.t
r xio'l
rrrFTrr? i'“i r ““,r'
d^px'^ipQipbieai flu’pn. y çpp|è,. pnzei
cc^m^oautef mpÿpnries ou petites...
El^ô^est toute close de napntagnes et
; p|,u^‘ bৠ,tfint, resserrée entre ¡les
rpcnfr^^ OT ponr la sortie
mi .riV;Îer^-; mais.au" plus haut s^eslârgiii:;eu plusieurs valons f ■
d^jç premiers villages que: nous
reacpntrpnSi en ia tremontant, portent
íe ,¡MÍai¡;dp; çio^. Ils sont situésJe
long,a U apd çhenii n, ce qui ep; Í 602
fai,l|it ^Qa,nser. leur perte et voici ppur
S'^^.pn},prétendit ,que' les ,yau’dp¡s
Plqsr,((ainsi que ¡ceux iqui habitajient, le long, 4*^ chemin ^ e ¥al Pé
rpusqi'«,é,^to.^n|i par ¡leurs façons de
h>>‘'^eMiW aux passants et
sp^qfl ,ïtpn. dp; les en faire déil^fj ».jj^or^ree'n fut dorin4 mais
5S ^pjçhuf^iésenté^, on n’y donna
pft? siuitè,inTl%Q.i?n^' nw’nn imanrait,
pasjdlons,,supporte de;iYpir..,,un, beau
.coljûme çlést,
aujaqr<^|ltui an, Ge'n,tre,,deS:.C
shes[>teniples, ;au.yàj
S.„ J!li(!tritin;;ides! 1^6 q''étaient,j-,iousja,
«rààdiB^riinl^
g.'|.ji[,t9i’(ï|l ops Cio3'„|S,i|f Ip l'vei'.sànt:
qul,çanfiné,nvgc, Prampl,, son
iln?dVillage?„ d,e, la Communauté
de,j|lÎÀP*i*>»*eÎ qufi ont.en le malheür
ÿ^ir„ppur, seigneurs les Trüchei
Qfl.'ijppntf|é | aujpurp’hm:, ’ sur.
Sél 'fe.''(i
il' 11', . ■îi!'ri.'t;.l HW 'Il
sqUS) .la oominn^®“ lu'an"
F
le
ii,.1;urin,,au ¡Sénat, puis à l’Inquisiti'pn,Il fut éireingÎê et brûlé ,en.Í556
sufi la¡ nlacèj.du Ch^tpau .4 TùrÎn. Le
príenr,,Jtoróngb,,'4,m d^s 'd4ypts,fcélei'ais du I ^ièplp dp.Louis y, se ,,mocjuant |du; ,barbOj %riin. Cpnín ¡ qui
éta it al le,’ eu ¡ ¡Suisse, içheveherd es¡, livres., ï|it',.^6; 'lui’|fl()fulii..;nérP'^ûchalt
las avec,la¡laugüe,mais,avep.les épau,es',acb'éiailt„et .yen,oantí¡dés '.givres ;
et s’en allant páú’.lé monde ti fàîsà'it
Tâne de la Réforme ». fleet,pn^tanfait
rega,rd,é,, cela , cop)pe- .pn honheuf ; et.
lorsqu’il’ à étè,|appeié à'Ponfe^sûlV de
bouebe son Sauveur „.Ç Fa fait! sans
fléchir.Xà où Rorengo,se trompe c’est
lorsqu’il^ affii’mie .que le iémoignage
des .,m?ir.tyrs .Vaudo'is.. a ; été inutile..
« Le\sql de place,CJiâleau, ¡d et
d’autr.es ifeu|i,,du piémqnt, à\ été bien
stérile;, de .aorle.tque le ,sang ¡des
martyrs n’a pu le Ifaire, gemmer Si
seulenienl.ilayait assisté,au défiléide
1848 sur celle même place, peut-être
qubli.aurail .changé d’opinion,
. Gil jes,nous. |raèoni,e comment Char r,
les T.imehet essaya 'de ,s’emjP?Mr P.*^'
surprise du ministre de;Rtoom^e^ et
comment il fut repQnssé),VÎg<%nuse^
ment ,0. sa iroupet Un hpmme de
Ripelàret fort robuste;,se,.jém¡mdro®
sur lui, le Serra .contre ,nn: aidjre; et
l’eût, pu. étrangler ,;,mais:)p4ir,.respect
pour sa qualité,,de SeÍgn,eurdn Ueu ,
il. le ,laîs^,.allerÛïrn.ci|eti,se.:yea
de ceti,.échec.,en,'’faisant., la
¡En f 560, ¡R, foya „npe;. grofsajpande
dé ¡fanatiqués et aOijW-1 ûaouxaivril
avant jour ' sur;; feai viHnfeSrdf^'^
claret,,ravagc’anf’ Jpd, O’^;§Pid?iiÔf;fuaht
ceux, qu|ij put| isprpréndre., .teS; habitants ,des‘|'hdurgàaes, pins- élévéfis eureint. .Ip, ¡dé ?p..sauver’ '.dans^'les
bpis^ 'qui,,’, co’nyrent,' la, ’hauteùr .ét¡y
spudriféht,/,du,’,|froid id idim.
jusq’n’a’j ,Ce\(|n’‘itS('mr.eni isie.ppu rp,, trois
jours après, .par4Ó(j,ihóm!'é®^ .yenus.
Èn ^5^1* Chéries'^¡ru.c'líM.fíO
un détacheméPt,à[tyay,em les;,hauteurs
de, la ¡CpjhmÚaéúté¡dé'íae.í’ 'poür 'sur-,
prendre Te¡s .dé.fén^dp^ Pm dû Ipur
par Ipihnût,,,^ màis,lV.n ’rééint'plus.
Dans sa Mte^,n,il fut, àt!teî,nt,.|'par ,uû
5
-.149.
grand coup de pie,ri-o jetée par un
sitìip1e| hoìùtne'; .Çddpéstàni
tòriipè' ■ ' un J ' 'àutrp' ' ' ho td rii diVÌVant
'riri't I ësôéé ‘iné'smè'du dit fiübhèl,
,àrgé \dé*.'qUa'fi'e'dòigté*;^',Ì'ui;'‘éin
inanella là' lu^ié 6t fur despodill'è tó
nüd et'ï^iské sur 1^‘s;hàptés ‘rtrotìtagnéX-:--. » ll/ódrit à celui''qui’ ¡I’è'‘'ttìà
U'n’é 'grd$àò'^li*ànjfdn” àvoli' ‘là iii è
sàin'é ,rUàì's'/Òbsèite 'Gìiìe^,' >* .èp tètìfe
oécàsìo'Ws ïès' tàiiBoiis 'he ' iftìiivòydìil
dB'lie^j^;?
' ,0He'àùiée tùia'yiièfcifé RìtìbÌàrét‘fut
mis?, à Îéii.v/èVf-àâij^; ÒÈ’'fui''fen, “1686
lorsque Çaiiriàt' et ' Mèlàc le' trâVersèrent poùr.isè‘’i’éÙdi;è' 'à "Pràinol*..
• ■' Müu'r.ir; -\' . ■: .j.^r
:'“ï^ iiip -'iV
;....CflWÏéi'!Ccn(ra^'^
de$
Olivri;/ , '■ •¡••■ijuiüi- ■'
if Monsieur 'et honoré frèreli\un - .i
. ;Voiià '¿avez peül-êtfë’qUë, lëé'Unidns
X™® dé Jéünés Gens, organisées Waintenàpl én‘'AÎliancé .üniVerséllè;i’oiit
fondé' â 'Gènève un 'Gôtniiê jn’terriàiiónár'Jqui’,'' ehtëé autfes ' pa'ândats f, a
cqîuÎ’'tÊ‘se'tÿir d‘Agënciè 'tfe' R'énseii
ghedîênls A^Re^ôtiiinàndàtîbn%'',pdlit'
íes*jiidn'dàiypis.'•‘Mëtiib'rë oü Tidti^dé
l’une de ce|ffiions..tout jeune hdihtiié'
peut solliciter ‘l’àppd’i’ moral d^
in stitu tidn. ; 'S’iÍ 'part • ,pou r 's'é" 'rend ré
aàns 'ùiiè des loéahHéS\où' ndiis àÿbrié'
dés 'cóérfesiiñíid'áiits'l jnóü^^^^^
iphe ¡'(Ün'é'^i'éttfé' d'întfodüétién' qui,
p'cl tí r rn' ‘ra i,‘;è trél’iirad édbrànSé jutilit é. '
Salis','s’en'éakef; A'jûébW r éï déé' ii I à ées i
cértàÎnéé'^tMiprik 'dé 'àtàndds vîlïés'','
en À'ùîérÎîï“’à''‘bài\ éiièmp'té, oHt ’‘étij
souvent' là 'Jtil,é ‘d‘’eri'''p6uvoié;trouver
p'ôéir les'péuiiék’ 'gëris;'Màïs ' tdutèkHes
üéjBns.'S’én^a'^nt 'ÿ'àécûéillir. à*'éir-l
toüi'ér a*aiïec'uéii',''éi^^ cas' de in'aTadîé
à' vîsifér léà jêUééy''¿ens''qui fóiir sdrit;
rdtidrémândèsi.' iPal’"'notre" éntéëtüîijô!
nién .‘dès’/îàrriîllii's dii't;'déjà''été r'assü'-'
ré'eS V tei,iè'ù’n'é*'hointéè;a .été décdiir
véfl' daiis Üii' nôpitàf' d’dù’' îl''n’'ïtÿa]t
pu donner deses nouvelles: tel auirë*
a* éliî‘ liinrálórtíeiet ' t'éí¿vé’"’*^^hi:í,4'iíi!Arfnn
tre les périls auxquels l’isolement les
ëkpogait.'''""'“;' !'■.
...... }m ffréà ,fe. , ..V,» V
cœur 'Vôdiâ' Iéà 'àignaiérà”sâiis''p'éiïïé',
mais il faut pour cela qu’elle soit
connue, excessivement connu^ et qui
périt,■ÿ5jRiKii|îif(^^5qéÿà3P®r^ de
nos journaux religiteux, contrîbuèr à
en révéler l’existence? Nous nous
adressons donc à vous, Monsieur, bien
sûrs que vous’.flonseiiiireat à jndtjs ai
flfjàolu4,,gtó,wg ,%Ms ?ervicjes.i npus ,|0plige, ■ à, feclamér cèRe
; a^t-ii’'(h
s^lj qj lër ,dq, vo}i;q .j^opté qpp fJ é,
l’e.,,vous
I
enS
riir'pQ^iihti* Ph MPavi^nV* îIp ■
ilîtio'n f.
la,notre,, mais ,aussi.celle,,dë:-tôùsies
tu énseSj ç.t:_ çppdidjès /.aatptattppà., ^ ^ j
i ! Rou r fie Goffiitè Central Jq tmiationà l
!!•> i>i! ■ni'SoniPt<ée>kktiÎ ’‘'illi'mn:
•iiuq) iiiir 'm 'in_î2t_'rîl!) ^j’ri ou 'iiKHj
CO iiip xiiniriiso! *<')-) nli
P. S. — Comme exempteidé{s 4arvict \
qv. epenh ofé» drei [qo trs A^noie-citonii le
pittS;iHéc®Htiii;j'!i'.!ir ;ir> nin/ oj. onpi'iof
':'Bf,ê'l’unc"^tf^‘''Vil1és’‘‘de''‘ltf 'guiséd
rodiàifrfé, ttüûs àWiVë IMt' â',‘'fc'6Ü*]é
unllMdnsié'ùr' én ’.brH|y àdx bluëWüer-'
léi'‘'rn%niétudés'.‘’Son Bî’s,'''‘pà'MiJ d’M'l
fèiû'agné'tlour Loddréa, ‘hb'poÉliJe'blüa
sièdé' dé Viè dèptfià'•‘à'd'céëtaiH tèmps’’,
d’aiï1’'éuséè''éÜppbàit1oÂk:'Hàiité'ift/e'VÎ'■ d ëin, rti én t ; ï'ésn r i tl ’ d'é ' 'èe*'dàÿWMÎè iël'
Dahâ'd’esjàoir 'dë‘‘'f駑^ip|0(WéJ
truire nous écrivons’'iWii(idïâ\d8^ï à
rünibri 'dé ' Bojtdi'es ' erf'rai ‘'d^lint
nQn*'pàé fô' d'ériii'èrë'/'''iiiW ifî^nfifé','
ittà i 51’n^attt-d ë éffl i è'f ë’ a dbèss 6‘ Ütf j é'iitte
Hofnrtië, ' Wos làïnis'dë'ldÛdres’’sb 'iidt*'’
‘ ten‘t'‘ddsisii6t'’’'à'’ kà' ’'rëchénàiii^^ 'av'éb
................................. “ii’,«Pëii«'
¡reiitrëf
I f: ilni I
æm‘'aiissuôt"a; sa' ^ftfcn:i
rà'idé déüleü'llé lë'décDj
idtirebi ét'le peitsààd|w
•II. •■ii|i -ioi'i 'ti I')., nrrfvi
6
150-.
en rapports avec sa famille; c’esl le
père fui-même qui, dans une lettre
dé remerciements,, nons a appris cet
heureux |résüliat de nos efforts.
:l-'-'j
Cam 0)7ottbanc€
. j,j .,j . ...(■ «v/ijil I8S2
Mon cher Momieur,
Le temps me favorise de deux ou
trois manières. La pluie qui continue
à toiîjbef) quoiqu'elle soit un peu
plus liimide que' je ne la voudrais,
rafraîbhjl nos près et nos champs, que
le Vent avait desséchés ; elle me proçüre üh jour de repos , après une ou
deux semaines d’un travail un peu
lour^'t pour ;mon âge,, et enfin elle
me doilpe le lojsir dè vous écrire une
petîté Mlfre dont vous ferez l’ugage
que joüs trpuvfiréz convenable.
Ceùx.qui më Connaissent savent que
je n’ai jamais été fort en politique,
et qu’elle ne m’a jamais fait perdre
le somjneii'.'ni' t’apnéüt. Mais comment iaire, même lorsqu'on n’a pas
l’honheur, pôhrtanl si commun, d’être
conseiller communal, pour ne pas en
entendre, parler, et si l’on sait lire ,
pour ne pas être tenté de lire quelqu’un de ces journaux qui en parlent
tous les jours ? =
Il 'm’est arrivé plus d’une fois,
lorsque je vais au marché de Pigneroljide voir (|es revendeuses, assises
derrière leurs paniers, une pzelle à
la nmin, et tellement absornées par
leur, lecture qu’il faut les appeler
pour. se faire servjr, et qu’il, m’a,
semblé qu’un homme, et un agricul
leur,,ne pouvait pas demeurer tout à
fait éupuge,rjà CCS questions qui parairtM.^mrassen.si fort jusqu'aux
. . .
a^lq,qirc que jamais je ne
m’en suis autant ’occupé que ces derniers mois, et; voici pourquoi. •— Le
irait^jle commerce, que l’ItalÎe est
surféconclure la France,
sera néq^l^remeni ftiyorable ou funeste 4 pairie. Je n’entends
rien à l’iitdiillTO et je crois que je
serais hors d’étal de discerner entre
les nombreux articles du traité ceux
qui nous favorisent et ceux qui nous
sont désavantageux. Il n’en est pas
tout â fait dé meme de ce qui touche
à l’agriculture, qui est la principale
ressource de notre pays, et lorsque
l’on m’assure que nous sommes livrés,
pour ce qui regarde l’exporlalJon de
notre bétail, à la merci de nos voisins, de leur nécessité, ou de leur
bon vouloir, j’avoue que cette perspective m’effraye quelque peu, et que
si, à l’egard dè cette importante production de notre arrondissement,
l’ancien traité a été modifié à notre
dé.savantage, ceux qui l’ont négocié,
et ceux qui l’adopteront nous auront
fait un’dommage peut-être irréparable, et qne l’émigration sera pour
plusietiVs te- seul parti îi prendre pour
échapper à une extrême misère.
Les riches habitants des villes, ou
les employés largement rétribués, ne
comprennent pas la très grande différence qu’il y a pour un petit agriculteur (et nous le sommes, à peu
près tous), à vendre ses deux ou trois
veaux, 70 ou 80 francs, au lieu de
100 ou 110 la pièce; mps noua savons ce que cela yeut .toiç ,^dians la
famille, et les privatiife.^HÎ en dé
rivent. • ^ *
Je soupçonne qu’il y u , r ,
des hommes politiques influents, qui
ne savent pas d’où vient le pain, ef
ne s’inquiètent en aucune façon de
l’agriculture, tandis quq darjs la réalité, c’esl elle qui forme la meilleure
et la plus sure richesse d’un pays,
comme les meilleures fortifications
sont les poitrines d’hommes libres,
bien nourris et bien commandés.
Mais j’ai aussi entendu dire , sans
l’avoir lu moi-même, qu’il y a, parmi
les amis et les protecteurs de notre
agrieullure, des hommes,qui conseilleraient à notre gouvernement d’établir un fort droit dlenlrée sur les
denrées éirangères, afin que le travail
de nos agriculteurs soit mieux rémunéré
À mon avis, celte mesure serait un
crime dont un gouvernenienl, quelqu’il soit, porterait infailiiblemenl la
7
45L
peina, il ne doit jatnais être perrnis
d’affamer nn peuple, oy du moins
de favoriser les producleurs des objets
de première et absolue nécessité,
aux .dépens d’une masse de ôop%nl-,
mateuvs,'dont la plupart sonlpanvres.
Le pain à hofi marché, doit être une
des premières préoccupatiohs de ceux
qui ^ouvèrrtént. ' '
Au I lieu de soupirer après un droit
protecteur su les blés étrangers , il,
me sèrable qu’il nous reste beaucoup
de progrès à faire pour produire
mieux et plus ef à muîfis de’’1)’iâîs.
Le seul moyen raisonnable et d’une
réussite indubitable, serait, si on i^oulait l’emplOyet', là réduction à Là moi-,,
lié, ou au tiers, de l’impôt qui écrasis
surtout la petite propriété' rorieiére.
Si on n’y prend pas gardé', je craint'
bien que ron en yiéniié ‘à 'devoîr eniployer quelques miiUiers' de soldats à’,
cultiver les terres que les palivèès'
gens seront fôrcés d’abandonner au
fisc pour le payement de4eurs impôts.
Grâce à Dieu, n’est‘pas mon cas
et j’espère qné'Je' n’en serai pas réduil
à celle dure extrémité. Mais il m’est
déjà arrivé plus d’une fois de devoir
payer, en impôts divers, les deux
tiers, ou la moitié du'revenu de mes
biens.
Si, comme on le oriiÉ^., ce revenu
subit une diminution ,T'la suite du
nouveau traité avec la France, et que
les impôts ne soient en rien diminués,
si même les administrations communales font encore des progrès dans la
voie des dépenses, je ne vois pas trop
comment nous pourrions à l’avenir
manger du pain.
J’espère encore que mes craintes
ne soient pas fondées, et c’est dans
cette espérance que je vous prie, mon
cher monsieur, de me croire votre
dévoué frère Jacques.
Elise Peyran née Jalla
Samedi matin, 6 Mai, un nombreux
convoi funèbre accompagnait au €liamp
du repos celle qui fut M“® Elise Jalla ,
veuve du pa^w D. Timoléon Peyran.
Après un#nimadie , sans vives souffrancés, d’environ trois semaines, M'"®
Peyran s’est, endorinie dans la paix
de sorti 'Sauvépf,' ' le 4 courant i' dans
sa 83''" anrtée Deméurêé veuvé, déduis
plus ,<^e 46 anà, c’est à l’éçole de, l'àfuictiori què'ubtVe'^ênéjf'ablé yceud 'avait
appris, de .bonne’ {iéure}. â;'Hieitrc
toute Sà ÇOnuanéè'ett ¿pn'Fere célésté!
Pendant lés' déVbférs jÔd'fi dé "¿à iVi'é.
ne pouvait déjà plus pàéler,
Peyi’an trouvait encore àsçéz d‘é forcé ’
qüe\.._,..,.. ...... ^
à huit fdi^., jd'aés son uniier, ‘pçndâm
la dernière iparfiq dé .sd'.carHer'e,''à
fait"«'là joiô’' et..PaîlégreSse ;dé' sôd’
cœur» J ias^àn; dûment ôù'éflé ¿si
entrée ¿n''poésesfeion des réalités éternelles.
ftÿttyii'lleii;
France.!-" C’éitdiniàlidhe.procfiaih'
14 niai qu’àuront, lieu îés éleclioris
presbytérales* et consistoriales ‘dans la
pa r O iss è. j adis U niqué’ Pài^i s',' ' t éans
—X. J --.,1 ii-t
formée par un decfét'jugé frés-arbitraire du GoUvernèteédij ‘ eh huit paroisses distinctes. Lûpàrtr éVangéliqüé
contre lequel ce décret est surtout
dirigé, sé rriontre plein de confiance
dans la victoire. Inutile d^ajôutcr que
nous la lui souhaitons.
' ' I •' '' .»-1. .b.;,. ■„ .
(¿TKrontque ^auboiee
Ce n’est pas au loin seulement,
dans les Communes grandes on petites,
que les Administrations pe meurent
pas toujours de leur mort naturelle,
après avoir achevé leur teinps, si ce
n’est leur oeuvre, Si i’information
que je viens de recevoir est exacte,
comme j’ai tout lieu de ,1a, croire:,
l’une de communes les plus considérable du Val-Pélis est entrée, dans
cette voie. — Douze conseillers «qr
•quinze, latiguès d’attendre, ;depnis
plus de six mois, le redressement de
torts matériels, dûment con$,fâtés, faits'
à leur commune par un personnage
connu de tous et signalé a l’Autontô >
compétente, ont envoyé leur démis-sion au Sous Préfet de Pignerol,
8
-ni ! nnr., J r sr ■ n tit w n , un r-tn-rr.
q«,ils cpgv
PP.^iFPi ‘
le^V
t^Ì«.lWì¥S»)ì%rH .Vj‘: ■.libili.'
I, i’^RRÌiiW*s. s^^cfii:e(]Ì^MÌ, le^ d
ciïflqmii^e, ila,o:^^eflt rpndft^liif lg^
spcyippi .■p0a^Ìp,PRH<Ì’.?i«WM . « ■nfoi
■■•, .;,tilt:.Vi '.M. ,ioi^.WRP*.V,i,,..
'.l,u^ -A ,
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ñWfñ'i
,>*v\ ■ vï
lini
i’erfu;vp,rife
p'E^ff-ipüçmej, de, la veuv« dp..Ch!aHes.
Lowi^ilaripi,, Je .^jcUljêpf; #;,l’Wi^,.
! ,,,|^erpi;pùrflber^>’ps|\ i;ei}d« à.^JÎppza^
pipu .de, ¡temps,„-.Mcopp^gaé, de,
son premier aidb de caVp. le l*ep^pel
nn '-’ipr, j'i'iLijim '^'iii j'‘iiLt-/
I j ,r- L^.enempre des,^epu
té^, e ^ppropyé à up,e,fQTte,mçym;'jté la
l(|i, .ppurjè rj^iaplis^emeat'dn .qivQrce.
' G\'ande,Br0ta
gpè eçt,
, tenmi,p9rp,mjV(jaos,)p|jpa,rpj(ie D,ublin
■aJofftWWeYÎl
Ipi,.^u,,sçru,iiia ,(ÎP| Bftes tel qw, Tayait
vqf4i ¡la,iÉhao|iíire,,íde§„ ,qé,patés aypq
ufle, rep;-é^f^^.qfli ,<^es ioinerit#' daee
trefi.te ¡et ¡qjMlgue^ Æpll^gœ^, pa attend ¡
dajt miéwx m;l^.,m ,
'pà,^o,uyeliê J^l^^lopale. yqiée dans
ipqbí’.sfiVpaétiei^píir. lee .deux Cham-,
tteecirmje)^ Vl da,|l’íítatyi¡í.,a
Gh^mlíFie, ,de? dápiitée^yi^t. d!approu-t
ve# sí^^dquf; V«cp.mmevee,
frañco-itallen paf|dK¡fíqix eqp1,r¡e ,ild;ü
les deux tiers pour la loi et le tiers
contre. . t«: • i^.
ïûitiï fAf umi^
quer, ce sont, les non-satisfaits qui
onV^SÜrtoiiÎ' pdlfe ¿dntfë'lle VidIté*;;eL
loù'6' 1 Küi’d 'di Ì (l&tì bâ ’'étâiy di' Btímé^ dàW '
mÒlirdì^'tìéiidUril'’Hue.Téi íá'J'
íis^ííiV'diii' ‘‘Ridiedi" d'a' beàtïédllji l’e'l
piu s' grátid ‘ 'tìpiijbi‘e ; ' S brii ' gën éf à'| ' '
idttìèilf"tÙÌ"G’è^f line de^óes'.ibis Òù'’
rintêrêf péFsolitiel ’' bst ' lé'l'pírtntíipái '
gHMb.’’'Imbbsèìbld dò 'rèste'j bq^ioiil:
datìs'dèd’qfdesiióhs, dd‘'òòii‘Éèntóè tijilt
le'-iriondS'"" ''■> "'-'1"
'Dêpiiëlfs'â'i’êlé mdldlïerniai^'ie i'obtfále ' Vieiliardl' feè 'ieftl.è't 'dè ioui*"éV
jpifr.;''Lè*‘présldërit''de, 'là" Cbanibj‘é|,''j
FaHtìi,' ''àM(tò'*Stisòefi'drb sbs' 'fò’nfctioiiis''
i ’'irKùii^yAO-i^li>iJlQlÌ ¥n/^t»tl /1*Al - ^ !ì»
Ipjfu f nqmmes
pdbliigtpes se prp^jqaieAt,,ppie.voi,ture
ayëCj,,qv!atr,ei, indjyidqs, s’,ai?i’ëta dans
; leur^ ¡vpïeinage pt, deux de ces quatre
ipçbqnu^,I ^e , pyécipitèeeut ,sur eux
et'jl,es,.V'eée^aLa coup^,,de, ppignards,^
puis Vqtponterent en^voitürie et disparifi,reni,, ,-i7; Bord, p^endisb;, venait
de reraplàcer M.. Îorsier qui ..avait
denrié sa démission à cause de la
mise’ en liberté de Parqell et de ses
partisans , de la,'iU|jUp,,,agraire. On i
pense que le ministère Gladstone ne
po,qrra. pas y|Kter. au,,poqyqir après
cpi è,çhec ,,jfmîg|é,,,ànSf PP'itique de
mansuétude,;,éyaâgèi,*,que),et que des
: hommes, idécidés,,à o;eeio,ui’iF aux mei surca,jde>;pluiS;gfnndq sigueu
iapoq|é$s au ,ppu,volv:()Ju^qn’ici,.les apun;
I paplqs., ^pnllvpaj;Vjeuù s,;^, iS&: ^
iai,^,a\àîbérchiB,5oi4«iH'ld Pblipe Kiqui n
jcépendant arrêté un ,çpptairt) SippvPm
irépefla Rient ra,yenuid’A.méiii’quejiGqmn|e
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c^ièrêfiiërit -ïe foi •'H'‘òiiibeòt,''oiÌt éx
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riè dame anglaise, etâmie en Bavièrftiiç^pcçbft UftèibftMiOidfemme #e
chambre (protestante., au dessus de
;24 ansil |Saphant-,i|veR coq dre, tailler,
irépapec’,,'ièlcM-S!fi¡dF®^‘'ser',á-,|^.' Ban
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.nin' ,;i n-,Al<lñdt-¿dr|i¡|^
h^kst Robert, (teraift, effSI^tfitslra.l^r
noTivii' i- ,■ - ’
Pigncrol, lmp. Cnianlore et Mascarelli.