1
jk ‘f’flliotmetnent par an
•::!:■ «
Iftir^Aiitriohe-Hoiigrie.
ÆW Brésil, Danemark,
™ ®i Hoìlaniie, Suède,
-i Pav ahonnement
S^lon 1 ’ Acrord de
Fr. B
irïï“ ,<l'A(iministration ;
. „<■ les Pasteurs; et. à
¿Sgn^j^Torre PelHce.
Année XXXY. X. 24.
rj’abomiftment se paye d’;
avance.
Annonceftr 20 ccDtiïiiea par espace
dû ligne peur 1 fois — 15 eentimes de 2 û 5 foie et tO centim.ee pour 6 fois et au dessus.
N. Tourn, prof., 7‘orre J’elHce et
pour l’AdniiMi.stratioii à M. Jean
Jalla, prof.. Torre l'ellice.
LEO
DKS VALLÉES VAÜDOISES
Paraissant chaque Jeudi.
l,a. Hui vaut la vérité arao la eliavité. Epli. IV, 15. Que ton règne vieniiB. Malt. VI 10
Sommaire ;
^0 la
semaine — L’éducation de la
Sjy — Nonvcllea do riivangéli
Qt — Un document à conserver —
oui(|i]e — Elections — Onvi'ag-es reçus
^evue Politique — Annonces.
Ech
OS de la semaine
tojj’ L défaite (qu’il appelle la
¡5 ij de M. Giretti a prouvé une
Pltls que notre Collège aurait
dalle sane riforme ». — «Vln
V»..* Valdesi, continue-t-il,
'Ht*
“Résultat des élections, dans le
de Briquéras, a ramené sur
^0 1 question qui avait déjà
I^^Ulevée en i8g6, apres la pre’îomination de M. Soulier.
^Près un correspondant de la
,r*^ ‘ 4J.V i tjf
q'^' écrit de Bri
HOl
If, J' faremo sempre senza rappre® Farlamento >.
>as be.soin de faire observer
k , V inette Hsertlon est contraire
f%^®'"ité. Je ne sache i^as
' ''®i dans les communes de la
que
U à se plaindre que M.
'ibes ucg'ligé les interets !é|, de cette partie du Collège.
. de
^'’^ait fait, on n’aurait pas
manqué de se servir de cet argi
ment, qui aurait été à la fois plua
efficace et plu.s honnête que bien
d’autres que 1’ on a fait valoir contre
sa réélection.
Mais une chose n’ est que trop
vraie ; c’ est que le Collège est constitué de telle manière, qu’ il y aura,
presque inévitablement, toujours la
guerre entre les deux éléments qui
le composent. Le.s Vaudois ne pourront jamais proposer et soutenir une
candidature sans provoquer 1’ opposition de r autre partie du Collèjge.
■— Ou, si l’on préfère, quiconque se
présentera en concurrence avec le
candidat des Vaudois, sera toujours
à peu près sûr d’être largement
appuyé dans l’autre'partie du Collège.
Or, il n’ est pas nécessaire d’être
un grand connaisseur des hommes
pour affirmer qu’ il .s’en trouvera
toujours de ceux-là.
• Cela étant, il arrivera nécessairement de deux choses 1’ une. Ou bien
les Vaudois renonceront à soutenir
une candidature de leur choix, ou
bien chaque élection sera une bataille
entre la montagne et la plaine, comme
on dit habituellement, ou, pour parler
plus clair, comme le fait le correspondant cité plus haut, entre les
Vaudois et ceux qu’ il désigne mp
P
td
S’adresaer pour la liédactioii à M,
Î~<
CP
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iî
Tout «îiaTigemeiit d’adresse coûte
i5 een Unies, sauf cenx du corn*
lïienceineut de Vannée.
03
S'
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H
§
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H
2
186 —
destement par ces mots : « noi poverettiyf. Ce n’est pas précisément un
terrain de luttes fécondes.
Or, je voudrais le demander à
tous ceux qui nous connaissent même
superficiellement: est-il légitime, ou
non, que les Vaudois désirent avoir
à Rome un représentant qui les
connaisse à fond et comprenne non
pas un peu mais entièrement leur
position unique en Italie ? Nous ne
professons i^as seulement une religion différente de celle que le Statut
proclame la Religion de 1' Etat. Nous
avons des institutions à nous, qui
ont leur histoire, qui sont vie de
notre vie et sans lesquelles nous
cesserions d’exister, non seulement
comme église, mais comme peuple.
Est-ce trop prétendre que de vouloir pour notre représentant quelqu’un qui comprenne et fasse comprendre ce qu’ il y a de spécial
dans notre position et, au besoin,
défende nos institutions contre de
véritables injustices dont elles ont
été plus d’une fois menacées — et
pas toujours en vain — par une
bureaucratie inintelligente et tracassicre ? Je ne crois pas que personne
puisse raisonnablement contester la
légitimité de ce désir.
D’un autre côté, qui oserait espérer que la majorité de 1’ élément
non vaudois accci^tera jamais san.s
opposition une candidature vaudoise ?
La conclusion ne saurait être douteuse. Il faut réparer la faute que
nos représentants' de quelques années
passées n’auraient jamais dû laisser
commettre, de diviser les Vallées
Vaudoises en deux ptirtics. Il faut
restituer à notre Collège la vallée de
Saint Martin et en détacher les
communes de la plaine, ou du moins
la plupart d’entre clics. Il y aura
encore des mécontents, car il n’est
pas possible que le Collège se compose
exclusivement de Vaudois. Mais l’élément vaudois sera si prépondérant,
que la lutte ne pourra plus se dérouler sur ce terrain délicat et irritant. Si nos adversaires demandent le
$
divorce nous l’appuyerons de t®
nos forces. Pour ma part, je les °
gagerais à le faire, puisque, poUf
moment, ce sont eux qui sc ctOj
lésés dans leurs droits et obU!
de subir un état de choses doOf
ne paraissent pas satisfaits. ..
En attendant, je crois devoir ath :i
l’attention des Vaudois sur le
qui a été fait dans la plaine, de|"
les élections précédentes, pour .s
à assurer la majorité à cette P'
du Collège. Elle ne l’a pas
mais les listes électorales oiîf,
iiccrues dans une proportion
considérable. Chez
peu dans ce sens,
commencé,
nous, on
On avait
mais on s
'est découb
quand on a vu que l’intrigue
réussi à faire annuler un grand n
of
bre d’examens, qui certes avaienV|
au moins aussi série'ux et sévères'»^,
ceux qui, faits dans l’autre
Collège, ont été validés tain®
battant.
II
organiser pour nous occuper - jj
manière suivie de tout ce qui ^
faut que nous pensions
cerne les affaires politiques et
torales, afin d’être toujours pï®
faire ce qui peut être utile ^^^,0
térêts de notre peuple et de ^ ^
jamais pris au dépourvu, à
moment que nous soyons app®‘ j
faire valoir nos droits ou acco^^
nos devoirs do citoyens. Je
qu’émettre l’idée, j’espère
fera son chemin et que ceux
peuvent prendront l’initiative ® jjii
organisation plus complète n*' "ni
régulière que nous n’en avoU®
jusqu’à présent.
U
(C la
(V. N.oa 17, 18 et 21),
J’ai dit qu’il faut appré^’f
•' ' ' 1.......... ■■ir- 'fl;
valeur dos actions iiar co
-lOX
sont en elles-mêmes et non p
3
1S7
i '■
gisons extérieures. J’ ajoute qu’ il
de meme, mettre la valeur dos
dans ce qu’ ils sont et non
liqueur exquise. Une certaine
|^®^îtion, une charge officielle, un
“Wr ■
l’habit qu' ils portent, dans le
1^®’^ qu’ ils occupent ou le nom qu’on
donne. Il peut être utile qu’une
i^uteille ait son étiquette, mais jamais
^'luette n’ en changera le contenu
he fera d’une mauvaise boisson
honorifique, je ne dis pas que
but
cela soit à mépriser, mais ce
J pas ce qui constitue la valeur
„ * homme. Celui qui est un homme
. '■ teh qu’ il soit au premier ou au
.j^tnier degré de ce qu' on appelle
Othello sociale ; s’il monte, il sera
haut le même qu’ il était en bas,
par des vicissitudes auxquelles
homme peut être exposé, il lui
4rrf
hye de descendre, il restera tel
était, Les marques d’estime
U d reçoit de la part des hommes
1. - poussent qu’ à s’efforcer de
béi
bter davantage l’approbation de
; j,' conscience, et s’il rencontre de
L apposition, de l’hostilité ou du
"'®,Pris, il n’ en fait pas moins ce
croit être bon et juste. Les
;■ .®hneurs ne r attirent ni ne l’éblou,j,..®ht, et s’il en reçoit, il ne s’en
-louit qu’en tant qu’il y trouve
: j hloyen de faire plu.s de bien, de
;■ hdre de plus grands services à son
f^’^?chain.
Malheureusement
5j , -^,xcuicuci;nj.ciiL ce n est pas ainsi
' hn apprécie les hommes dans la
au milieu de laquelle nous
, X hiis. On y regarde plus à 1’éti■ d'-’-' contenu, plus à ce qui
à ce qui est. On attribue
^6 valeur à l’homme en raison
: titres, de sa posifio«, de son
des charms dont il est revêtu,
p^^®*^~à-dire de tout ce qui n’ est
Et l’honneur que 1’ on acà toutes ces choses extérieures
; ( pour ainsi dire, « en raison di
' ■'•CI* — ----^ ^— --------- —
' '•s de la distance » par rapport à
Pytsonne elle -même ; si bien que,
établissait la hiérarchie des
d’un homme (auquel j’ en sup
L
¡)ose beaucoup) suivant l’honneur
qu’on leur accorde d’après les habitudes générales de la société, on
trouverait, au haut de l’échelle, le
plus extérieur, une décoration, par
exemple, et au bas..... 1’ homme;
On ne saurait renverser plus complètement r ordre naturel des choses;
et ce n’ est pas ainsi que nous enseignerons à nos enfants à. juger.
Nous nous efforcerons de leur montrer de toutes les manières, et avant
tout par notre propre exemple, qui
est toujours le moyen le plus efficace
d’éducation, que ce qui importe, ce
n’est pas ce qui est sur l’homme,
ou autour de 1’ homme, mais ce qui
est dans l'homme, c’est-à-dire l’homme
lui même. Nous enseignerons à honorer la personne humaine, et non le
titre, la position, le nom ; et cette
personne humaine, nous l’honorerons
dans r honnête artisan tout comme
dans l’homme d’état, dans l’humble
ouvrier comme dans le riche industriel qui profite de son travail, dans
la servante fidèle et dévouée comme
dans la noble dame qu’ elle sert. Si
nous faisons une différence, ce sera
en faveur de ceux qui, obligés par
leur position à travailler sans relâche
et à se priver de toute jouissance,
acceptent joyeusement leur rude tâche
et la remplissent avec une scrupuleuse fidélité. Ceux-là seront l’objet
de tout notre respect. Par contre,
nous réserverons tout notre mépris
pour les désœuvrés et les oisifs, à
quelque classe qu’ils appartiennent,
soit qu’ ils vivent aux dépens de
leurs familles, ou de personnes charitables qu’ils exploitent, soit que,
profitant des sueurs de leurs père.s
et de ce qu’ on appelle une position
indépendante, ils passent leur vie à
jouir sans rien faire, inutiles à euxmêmes et aux autres.
Pourquoi notre société contemporaine en est-elle encore à considérer
comme un titre d'honneur pour un
homme de n’ avoir pas besoin de travailler pour vivre f Le vrai titre d’honneur, c’ est d’être capable, par son
4
im
travail, non seulement de pourvoir
à tous ses besoins, mais de rendre
le plus de services possibles aux autres. Aussi, ce que nous estimerons
le plus chez 1’ homme, après le caractère moral, c’ est la capacité de
travail, l’activité féconde et — je
dirais l’habileté, si je ne craignais
d’être mal compris; je veux dire
cette aptitude à bien faire ce que
r on fait, laquelle, en partie, est un
don naturel, mais qui est surtout le
fruit d’une préparation sérieuse, d’efforts soutenus et persévérants, d’une
constante attention à évnter toute
négligence et employer consciencieusement tous les moyens de se perfectionner dans r exercice de la profession que 1’ on a embrassée.
Enseignons à nos enfants le respect
de la personne humaine, indépendamment de toute considération extérieure. — Enseignons-leur le respect
du travail, du travail utile et productif, sous quelque forme qu’ il se
présente, et du travailleur honnête
et consciencieux, quel que soit son
champ d’ activité. - - Enseignonsleur à estimer les hommes selon
leur valeur morale, et non en raison
de l’étiquette qu’ils portent. C’est
une condition essentielle pour atteindre le but que nous nous proposons : la formation de la personnalité.
fA suisi'e).
Viihlésiiis.
IouybIIbs dB r ivangélisaiion
Nous glanons dans le Bollettino
de juin :
Rome. Vliu/t-iiii nouveaux membres ont été admis le jour de l’Ascension, dont treize issus du catholicisme.
L’assemblée était très nombreuse, et
le moment où les nouveaux admis
ont répondu aux diverses demandes
qui leur étaient adressées a été particulièrement solennel. Les frères ont
participé en grand nombre à la Sainte
Cène.
Naples. « Nous avons eu le
d’avoir au milieu de nous peU”
quekpies jours, le mois passé,
tendre un dimanche soir dans l’fi^
M. Théophile Mathieu, notre
gcliste à Schiavi-d’ Abruzzo ,
pour faire à cette Université 1’®^:
men de diplôme pour l’enseignei®.j
du français dans les gymtTases,
et instituts techniques. Sur .
mes qui se sont présentés à l’exai®^
obtenu le
trois seulement ont
désiré, et, cela va sans dire, -j
Mathieu était un des trois.
est vrai que très souvent il
mieux être avec la minorité
la majorité. Nous félicitons
ment M. le professeur Mathieu
Une nouvelle salle de culte a
habitent plusieurs de nos frères
où depuis des années déjà, une s'
dirigeait une école du dimanche
sa propre maison. Une nombr® ^
assemblée a assisté à
l’inaugura»®*
Pietra Marazzi. La congregai^
a fait une grave perte dans la
sonne de la mère du maître-évaug
liste, M. Rosati. La Gazzetta j
Popolo a rendu compte en termes »
sympathiques de la cérémonie
funérailles. — L’église progresse!
cultes sont très fréquentés e*réveil de la vie religieuse se i»'
feste chez quelques-uns des mem®
iilî
1
Pachiuo (Syracuse). Des
d’intolérance et de fanatisme se
accomplis contre F œuvre éva»0®
que. Le curé s’est mis à prêcher “1
les protestants étaient cause ‘i®
sécheresse. Mais la réponse ne
pas à venir sous forme d’une f ,
abondante. Les prêtres se sont a®'
« amusés » à brûler dans l’é^
après avoir prêché contre les
tants, un certain nombre de
chures .et une vieille Bible. Le P.
U#
pie en a été indigné, surtout
qui avaient lu ces brochures. '
même temps les prêtres ont op
une démonstration contre les
géliques, réunis pour la célébra
5
189 —
■ leur culte. On cria à bas les prox-^stants et on lança des pierres contre
porte. On dut dénoncer le fait à
■^autorité. La démonstration fut répé, '•=6 quelques jours plus tard. Les
Pretres, précédés du crucifix garni
crêpes et suivis d’une grande
'Ouïe, s’arrêtèrent devant la porte
local où les évangéliques étaient
*'®Unis pour le catéchisme. Nouveaux
^*■18 de « à bas les protestants ». L’é'Vangéliste, M. P., sortit, mais une
pierre faillit l’atteindre à la tête. Sans
perdre contenance, il sc mit à leur
®-itnoncer la Parole de Dieu. Les
- prêtes poursuivirent leur chemin,
niais leurs fidèles, au lieu de les suivre,
Entrèrent en grand nombre dans la
^alle pour entendre la prédication
ne l’Evangile. D’autres vinrcntencoi'e
■ joindre à eux après la procession.
enthousiasme était général et
PâJ'tout on entendait répéter que les
; n-Vangéliques sont les \n-ais chrétiens,
1 les prêtres les vrais destructeurs de
' loi de Christ
Clîïl^OjV IQli P
I Société (P Utilité publique. Une
[ section de cette Société s’est
[■ J nstituée à Angrogiie sous la présii ç^nce de M. le pasteur Balnias. Les
de caissier et do secrétaire
¡Br confiées à MM. A Bertalot,
jg '.^-nteur, et P. lllvoire, ancien. La
^ctioii compte déjà plus de trente
^ ,?ibi’es. Nous lui souhaitons une
jj^ivité féconde et bénie. Ce n’est
le travail qui lui manquera. Nous
déjà eiitondu rnentioiiner comme
à mettre prooliainement à l’éle reboisement et l’institution
B laiterie coopêratioe. Puis, il y
grosse question du chemin du
nu Tour qui réclamera dès Fabord
^B' , *^nii attention. Nous espérons
• 1^ elle réussira à y intéresser toute
^^Pnpulation d’Angrog ne et à lui
B^her d(j nombreuses contributions,
®'^gent, en travail et en terrain.
— Le Comité provisoire cliargé
de préparer la constitution du Consorzio se réunira le 24 pour F examen
du projet dé règlement.
Unions chrétiennes. Nous rappelons que dimanclie 17 aura lieu
au Yillar une conféronoo des Unions
du groupe Piémont. A 10 1[2, culte
spécial dans le Temple - à 2 h. réunion, en plein air au Teynaud ou,
en cas de mauvais temps, dans la
grande école. Sujet; L'éducation par
les Unions.
]ya Saison. Mauvais temps Toujours pluie.
Depuis le 27 avril, nous avons eu quatre Jours
de suite de beau temps, du 27 nu 30 mai.
C’est tout. — II est à craindre que la campagne,, qui s’auuonqait sous les meilleurs auspices, ne iiiiisse par être désastreuse.
ELECTIONS
--—---
Voici le résultat exact de la votation dans les Collèges de Briqueras
et de Pignerol.
COLLÈC7E DE BRIQIJÉRAS
SBCTI0NS v: O Vi M t/5 Cd ■».a O P O) 'B ■ O Tfl «U o
Brieherasio 368 264 12 249
Angrogua 308 214 201 13
Bibiaua 271 190 7 181
Bobbio Pellice 271 163 148 14
Campiglione 158 120 1 119
Cavour 596 316 51 240
Garzigliana 63 39 2 37
Inverso Porte 73 47 39 7
Luserna S. G, 352 248 126 118
Osasco 72 48 10 37
Pramollo 146 116 112 3
Prarostmo 244 175 166 9
Rorà 104 80 49 31
S, Germano 114 87 85 ' 1
S. Secondo 117 90 28 62
Torre-Pelìice 515 386 250 129
Villar-PelUee 156 101 87 14
3928 2684 1374 1264
6
ti'l
— 1Ô0
COLLEGE DE PTGNEROL
SECTIONS
Pinerolo 1
„ 2
„ 3
„ S. Pietro
Aliliadia Alp.
Bariasco
Eaetto
Fcneatrelle
Frossaaco
Macello
Massello
Mentoulles
rerrerò
Perosa-Arg.
Pùiasoa
Pisdna
Poimiretto
Praly
Pragelato
Rielaretto
Reietto
Roure
TJsacaus
Vitlar-P erosa
'250
BÛ6
329
239
119
105
80
108
124
101
105
66
1?;
149
132
195
138
05
38
48
46
94
64
39
159 i 1Ü0
143 ; 88
'222
54
103
107
223
65
84
184
72
110
85
61
99
3562
1Ü2
30
47
79
36
68
130
100
145
108
59
34
43
45
48
33
64
39
99
86
110
35
62
33
102
29
47
63
36
60
11
20
81
80
4
1
1880 1605
37
2
11
156
aux Vaudois de méditer soigneusement
ce document
et de le conserver.
L’adversaire de M. Soulier a voulu
couronner dignement sa campagne en
publiant la proclamation suivante, que
nous reproduisons sans un mot de
conmiontaire; nous renonçons même
à souligner, comme nous avions commencé à le faire, les' morceaux les
plus...caractéristiques : cliacun le fera
pour son compte. Nous recommandons
COLLEGIO POLITICO DI BRICHERASIO.
Battuto per le violenze morali e
materiali esercitate da una coazione
di ipocrisie, di gelosie e di interessi
piccini, io non ho bisogno di mandare
un ringraziamento ai 1264 elettori?
che si affermarono sul mio nomo nell®
elezioni politiche di domenica scorsi*;
Essi sono abbastanza soddisfatti
aver dato F esempio raro ai nosh*
giorni di una lotta leale fieraincnl'®
combnttuta per un programma sincero
di libertà e per un’alta idealità politica.
Perciò un mio ringraziamento no®
aumenterebbe in nulla la ineffabile
soddisfazione deile loro oneste o®'
scienze.
Ritornato dopo la battaglia nelle
dei mici elettori, io prometto e l**'
impegno con essi di continuare, eoU*®
per il passato e senza alcuna preoocil'
pazloho ambiziosa, la propaganda sereo®
ed indefessa por i principi che ini so®®
cari.
l’uii darai ohe i nostri avvers*®'
abbiano a pentirsi ed arrossire ®J!
giorno della loro vittoria. Noi,
sconfitti, ci onoreremo sempre di ess®®®
caduti pel nostro programma e pG*'
nostre idee.
,-le
Bricherasio, 7 giugno 1900.
Edoardo Giretti
OUVRAGES REÇUS
Ernest Dliombrea : SermoilS inéd** '
Paris, Librairie Pischbacher, 1900 ^
1 voi. m-12.
e*
Conférences ìii»olofrétiqueS ,
doginatiiiines par A. Thmen, pr®®
dèca d’uno préface par E. DeumergT®,
Paris, Libr, Fisclilmcher, 1900, 1
in-12. Pr. 2 fr. 50.
.■çirii-'
L’Evanglle dii Royaume par
fred Monod. Paris, Libr. Fìsolibacb® ' “■
1900, 1 voi, in-12. ,
Giacomo Weitzccker: Il
Giuseppe Beisoiie. Pinerolo, d'P
grafia Ohiantore-Masearelli, 1900.
L’Ami de la .Teimesse.
Sommaire du N® du 2 Juin,
Ou demande du ^rayail, A B, —, J
recruea, poésie, A. Fm:h. — B ya clia*®** j
7
— 101
fi-. ^ ®tasseurs I histoire véritable, J), du Ih'zen.
J L Eacaliule (fin), Mins Aicock, trad, par
— i"i' petit prodige, l’enfance
® -ittüüarfc (fin), Charles Jiigaut.
PENSÉE S
Il ne faut pas se laisser éblouir
l’éclat de quelques bonnes œuvres
Îo on a faites: les méchants en produisent aussi quelquefois.
,T. BASNAGE.
La sagesse est la force des faibles.
J. JOUBEBT.
Revue Politique
Les élections de ballottage de dimanche
^6rnier ont été moins favorables à 1’ Extrême
^^Uoiie qu’ on u’ avait lieu de craindre —
«Itrau'adicaux n’auront donc pas 100
t%e3 à la nouvelle Chambre, mais 88 on 90
Ont- an plus y compris Komnssi et Bissolati
On va élire à Milan, sans ancun doute,
remplacement de De Andreis et Ciccotti
îhi opteront pour Bavenne et Naples.
Le n’ est cependant pas sans de graves
Wéoooupatious que le Parlomeut va se rou''n. La faible majorité ministérielle (276)
Pouasora-t-elle F intransigeance jusqu’ à ne
Pas Vouloir céder d’un point sur la question
nouveau règlement. Est-ce que F opposition
oustitutiomielle insistera pour que le minis
6t la majorité capitulent sans conditionsV
1ère
Quant fk l’Extrême Gauche nous n'ignorons
PUS quelle va être sa ligue de conduite; elle
j^ûtinuera dans F obstruetiuii jusqu' à ce que
U majorité ait totalemejit, abdiqué — 11
^udrait un moyen terme, mais où et com„ ®ut le ti'obiver si chaque parti s’ obstiné en
I U avis ? Nous croyons qn’ à F heure actuelle
tn ™ute du Ministère Belloux ne serait pas
‘ grand malheur pour notre patrie, mais
^ Ù3 ne voudrions pas que sa chute entraînât
de de toute autorité parlementaire, ni qu’elle
J utqnât uniquement le triomphe des ennemis
sif institutions. Avis à F oppo
constitutionnelle qui doit veiller à
j. dlègrité du Statut sans faire pour cela le
P des révolutionnaires.
chrétiens étrangers en général et les
i,L?®iminiiires en luirticulier sont, dans l'empire
ti^Pis, eu butte aux plus cruelles persécu■ J ''PS de la scete nationiialü des Boxers, une
dei't s^erète qui compte des millions d’a
Uif ‘"P 'l'd lU'Otégéft luiv le Gmivcriic
Qn
ft F I miiérat.ricc, i-.e qui ne fii.it, qii’iin.
Ij„PPt.it.é de chrétiens mit él.é massacrés,
■bo.xers (Ica natjonaliste,s de là-baa) on
aux étrangers à quelque pays qii'il.s
appartiennent et ils vondraieut en être délivrés ainsi que de la civilisation occidentale.
Les puissances européennes ont débarqué des
troupes pour protéger leurs sujets respectifs
et de sévères reniontrauces collectives ont
été faites au ministère des Affames Etrangères, mai.s .snii.s beaucoup de fruits, puisque
tout dernièrement 7r> chrétiens indigènes ont
été massacrés par les .soldats chinois qiF on
avait envoyés pour les défendre.
En Autriche F obstruction obstinée d’une
jiartie do la Gbainbre a provoqué la clôture
dû la session parlementaire. C’ est la revanche
des Tschèques .sur les Allemands qui n’ont
que trop abusé do ce vilain système d’opposition. La dissolution du Reichsrath ne résoudrait pas la question qui e.st bien plus
grave qu’ elle iF en a F air.
. Les Boers continuent à perdre du terrain
et à se replier vers le nord après avoir
évacué Pretoria, mais ils ne semblent pas
encore bien décidés à se rendre sans conditions, ainsi que le voudraient les généraux
anglais.
j. C.
Pour le.s aiFamcs des Indes.
Listes précédentes L. 400,55
l’ar M.rae Eva Lvzzi : “ Ai bimbi
affaniati delFIndia,, de la part
de la Classe missionnaire de coü~
ture (Ploreuee). Produit de la
vente d’objets laits par les élèves 30
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sans enfants, pour FRsi7o Evangelico di Vaüecrosia.
Adr. Villa Violetta, Bordighera.
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Avviso di concorso
n: SINDACO INFR ASC RITTI.)
Visto In, flelilro.razione Consigli,uro
26 A.g'osto i8g8 (li nomina (lolla
maestra della Scuola di Via Oliva,
in via provvisoria ai sensi dell’art.
8
— 192 —
i
142 del Regolamento Generale per
1 ’ istruzione elementare 9 Ottobre
1895;
\^sto 1’ art. 127 dello stesso Regolamento
NOTIFICA :
Essere aperto il concorso al posto
di maestra della Scuola mista detta
di Via Oliva, classificata di grado
superiore, rurale di i.®' classe, cui va
annesso 1’ annuo stipendio di L. 800
pagabile a rate bimestrali posticipate,
oltre r alloggio.
Le domande delle aspiranti, redatte su carta da L. 0,60 ed i documenti tutti dì cui è menzione all’art.
128 N.® 4 del citato Regolamento
Generale, dovranno esibirsi all’ ufficio
comunale non più tardi del 31 Luglio p, V.
Il certificato medico, l’attestato di
moralità e la fedina penale dovranno
essere di data non anteriore agli
ultimi sei mesi.
Torre Pcllicc, addì io Maggio 1900.
N. 323. NULLA O.STA
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ropolo verrà pel lUOO ancora ampliato, e,
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^:ionJì.^a^ detto gioiuiaìo sarà in grado di escire
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Coloro che si abbonano alla
del Popolo direttamente al suo
d’amministrazione in Torino, o con vaglia o cod
cartolina-vaglia, hanno diritto; ,
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