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CiiuiuantiÀme aiui^ô.
17 Avril 1914
N. 16
OkêM
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!Ì ;f*lus J’ùn «ieHiplaire à thimòta® adresse,'cnacun* .’ »'4 *
, . A|leiiiagne,.Atitriclie-HopgFÌ«,9||gique,Brésii,I>an«niarli,!S II
' 'Egypte, Hollande, Suède, Suissé, jpa.r abonnement ,
- iiurx 'Imitai's9Ìéo‘‘Àeettr'd'tté’‘^ienn’é , ■ «¡‘'i} fi. • ' » 3,00^“'’
‘■i doiii' ' : ■ i' - ’trn—’TTTWT '''' ‘ .fi“'»«-' ■ ì'’'- '
On s’abonne: à Torre Pellice ^au burëan. dladia^nistjatjpn, et à;
■‘'q’dbàiiriineriè Alpine; danii'tòirteS les paroisses, chef MM. leS' '
■> -Mi: '»Ululi!:;-) C.ll | '«Ì 'ÌUOÌit il UlU lUtX.f in.
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l^fabonpamflatiae :ptyé ifBVttniàa. v»l‘)qqi:-! í>b Ju'iiy ■..fil.: i
¡ -^.u/ »b ni mì> tUi'i.-r! ;!!
PoBr tonteé lèi aunonees, s*adraasor à VlMprunprle .
. I oonoessionnaira. '
____________ _ ÌMprliu»rlé. .
;i :?■» liniMÌ) Jiìl!'. i!;ì liiOfT,,
S’adressei* pîèhr làRèdfcÙoii àMlà-^'Tao», piàsttiforrêP^^^^
et pour l’AfbafaOstÿattonàM. J. CIoiesoH. piOf.; TorrePemm »
i’i[i 'U'”" ■ 'nTT’-i 'ï‘ ïL' j i
Toât 'chftiigiBmeiit d'adressd coûte Ü centimeet sauf. ceux dn
OQmittenoenaeat de. Vannée. ' ‘h' 'üi 'i'inilïj
Les ohangemeats non aocpmpagnèg,d* 1a éCWB* t^£u
ne seront pas pirié en oonsidératibn. . . .
■ cin.üT f i;?-L ■») ‘I iltui üb .■i'eî>
ti Qi|ie. toutes les >oHoses vraies; ihoiinêtsâ,' justes, pures, aimables..i.|i âignèsi de louante; occü|ient ’ vi^a‘peukéês/^^^^
^ ‘ ^ . ' ■^;-î V. I --in.::, lli'n'M f-J -»U,
:li Î-; H- .'-Ji li>i ni U
Méditation n->^ À propos du iimgo i-rr- Jéf usT
.^1 , hojpniç ,1-^ —.Chronique
yandoise — Bibliographie — Nouvelles
^*** et faits divers — Nouvelles politiques.
Süi'i-i ^ ..■■■ ■ ' ' tbfa'--^
”f ^MÊÔlXAtlÔN.f j"
-hj i i f :Je.sqis,i^olui,qniit!î|t..,:
Ap I, i8.
Lés feinmes,, en se reqdaqt au sépulcre
¡»OUI-;embaumer, Iq, pqrpa de,,Çbristj..iip
§oup,çonnaiepi pas même, que sou.cprps
Çp fut plus ,Îà-,.Le sépulcre ayait englouti
sa. yictimpi'et il,devait, selop Iqu'r iajible
foi,, la g^pder- Aussi, grande a ,^té leur ter]
reur lorsqu’elles durent constate^ qu’U
était vide. Une idée travçrsp leur,esprit;
s» tli> fc.-i’O ■ .»i n. 15 ! . i .)Uj. f. ,1 ,
on a commis un sacnleae, on a derobe le
IUÍ¡ b‘)i !gi£'. J. f,ù:°i iiV Ub Vli.JÜ)5Sl'
corps de leur Sauveur. — Ne soyons pas
1 :-ifîc;r! ,i:\. .jKi/. .ÎUoU :,. i = til ïCiiO
trop severes en luseant ces femmes qui
, ^ ..ci-u>iUKi itA.if»i.-iq .Tifçu «üjii'.iiñui
devaient avoir entendu maintes fois de
là ‘bouché Yrtêiîi’é de Chriit', qii’i/^dèvait
ressüscitér' ad trfo^siènié '-'jourl*Éllés
avaient ehténdà, mais létir foi ùe Va* pas
plüs ioîn : là 'à ‘ èt8' piaéé‘ le' cOCpsj iâ''énès
crbièint 'le’tetroúV'érl'N’en'ëèt-if'iias*ü'é
iriêifié pOiir plirsieurs d’éhtré fious ? En
nbüà'Mrendànt ' an ’cimetiêré' ‘nôüs téliëtchOTïslè sépulcre renfermantlésdêpoiiilTes
. mórtéU'es d’ufi être*‘bieb-âîfùé. Certes,
toüf 'à été'traiisforin'é-en fiorndCé; éépéffl
dàht nos yeux s’arrêtent Tá';tíouá'oübli'óiiá
buiióüs n'aVoné‘pàk là force de regàrdèr
pliis ïiàiif irnos ÿeüX'áppés'ántis nè savent
pas s’élever ■vérk cès sphérésiiifîniés, où
nOÜk'délVoiis retfèmvéépâClà foi Céùx qui
ncfus óiit deVahcés.' " ‘ ‘ "
La Résurrection de Cbrikt est à-vànt
toùLnn fûit'histotiqaé; c’est à dirè un fait
prouvé par les téihbinà, et ñon páácbmfné
l’a ;^i*é'tèùdù'ùri Renâh,’ un fàit imagitiàîré
dû ‘ à reialtàtibn 'd’une' 'fèinm’é. Marie,
Marié MàdeMùè’,' Pierfè et Jèan', lés dix
â^’bWès,' lés bn¿e àpôtrés, les dèuX' discipléS d’Emttiáük, lés 500;“Sàtil dé Tarse,'
féS' S'aMàts Romains' sont 'âütant‘ dè* têrhbiiis de la puissance dé Christ 'qùî, le
ptémierjoiir dédà semaîrienst sorti tribni{jhabt "dé Son' tombeau, cbiiihié il l’avàît
prb'rrtîsi Nmis'hé poùvons'pas cb’mjirèndre le doute à cet égard, et rtoùs plaignons
deigrand ocenr;ceuxCqui nous ÿirésehtent
un Christ,' un Sauveur, lun homme parfait, mais qui ne serait pas ressuscité;!' i
U La Résurrection de Christ prouve en
second lieu qu’il est vraiment le fils'de
Diem II a quitté le ciel pour'cetté terre
enwprénant notre forme humaine.tll est
venu avec un mandat spécial, une missioniqu’il s’est chargé d’effectuer, sauver
les pécheurs, redonner à la créature un
Père et une patrie. Admettons pourtant
que sa mission a été remplie par sa Vie,
ses souffrances et sa mort, mais pouvons^
nous, avec cette vicide dévouement et
spus,tache, ponvons-upus avoir l’iassutance dh.».salut ? Oh 1 certes,,cette,viq.a.
fix.çeçtipnaellp, mais;,d’autres hom-*.
mes ri’ont-ils pas été des étoiles de première igraftdeur ? Une fois qu’un monunaeht est élevé à la mémoire d’un si grand
bienfaiteur, où est l’assurance que sa tâehe était,celle du .fils de Dieu ? Le fait
ifu’il est sorti du tombeau par sa propre
puissance, rassure complètement et dissipe le doute.t; -i. i .i,
31 La Résurrection de Christ prouve qu’il
estmotre Saiiucur, La créature humaine
.cherche un Rédempteur, quelqu’un qui
puisse'la rapprocher de Celui qu’elle a
abandonné,!contre qui. elle s’est révoltée.
Pari;eile-même,, elle ne peut rien faire,
puisqu'elle liest i condamnée, ; puisque la
ioL doit: àvoij? ,son . coups ; ?par elle-même
tout, essai/ de rapprochement est inutile
dtiVain; te Loi (doit frapper le coupable.
Mais.l’œqvre de Christ est vraiment celle
du iRédéip'ptenr et du Sauveur. Il l’ajpror
misisaleniiellement aubrigandi sur la croix,
il a assuré le salut au croyant; U a promis
la victoireMen rapprochant le pécheur de
son Dieuy .et; maintenant tout est réalisé
et acciOip.pli.üAgi8sanSi,;prioBs, portons des
fruits en abondance ; aimons, pardonnons,
nous montrerons par là ,que .Christ est
•vraiment'notre.Sauveur, que nous sommes à son service, et tout ce que nous ferons.sern« un,motif pour le glorifier et pour
bémr/Son. saint nom, , - . , '
i, Ç’est¿ainsi seulement que nous pouvons
comprendre tout,,ce qui se fait ..aujourd’hui au nom de Christ, en partant pour
rirreomra dansTespoir de gagner des âmes
au
qua'rid’' e'il
crifices pour Celui qui doit occuper la premiêhè placé dàns notre cœur. Oui, Christ
léRéssùscitê ékt Vraiment notre Sauveur.
'QuéUhonhèui' qné de pôuVoir compter
ùhiquémént sur lui ! ' ‘*
Là'RésürréCtion de Christ prouve enfin
qùé là Uzc/ol/’è fions est assurée et que
fibtis*kfissï nbfis ressusciterons. — En resSiiséitàfit; Christ mous dit : Mon Père â
àécëpté ifibn' cèfivre et mon sacrifice; ma
victoire c’est votre victoire. Ah ! c’est ici
que''ndtis devons plus que jamais femercierDieüi Avoir l’assurance que nos corps
sortiront du tombeau, que nous serons revêtus, d’un-corps glorifié ét incorruptible^
que nous reverrons nos bien-aimés, que
nous, aurons notre place au sein de la famille des rachetés qui sera pour toujours
guidée éti nourrie pan Christ, quelle joie
et, que.Ue I bénédiction I ;— Nous verrons
partie désormais nos bien-aimés sans, désespoir,au contraire, avec l’assurance de
nous retrouver bientôt. Nous plongerons
nos regards vers le tombeau qui va accueillinles. dépouilles d’un ami ou d’un
membre de La famille, mais au fond du
cœur nous,entendons la voix qui rassure;
Ce.n’est que pour un temps, pour quelqnUiiinnnées. Le sépulcre ne pourra pas
î garder sa victime. Christ est mort et il
: eat«!VÂvaht.,ï.îiou8 mourrons mais nous
vivrons./ Gloire à Dieul Christ, notiœ Sauveur^ il ¡est vraiment ressuscité et il vit.
3 / , i',- •;'■ C. A.'TrOÎSÎ.; ‘
I II I I i-i ; -iiii.i I
A! PROPOS DU TANG|o;':
Je serais joliment attrapé si vouS alliez,
de but en blanc, me demander de vous
dire avec quelque précision en quoi monsiste la fameuse danse dont le pape fiiême
s’est ému, que maint évêque a proscrité
et dont'tons les journauxi nous ont, jiendant,des mois, rabattu les oreilles. J’ai
ouï dke¡que c’est une danse d’origime argentine, très'immorale, si l’on .e»/ juge
d’après .certaines poses et positions d^
danseurs, telles que nous les donnehtelès
photographies et qui expliquent sufflsamment la Vogue du tango. ; sbüouj vi
’ ¥«iià toatemn seie»ee-«"taBgue9qiiew,
et je n’éprop^>pul>e^eç|t |e b^pjn d’en
savoir ni dé vbus én dire davantage. D’ail
, -aH!: ti. i'îli.iï -, ; ■ 3/. ■ ■ ■. ° Üj; ?..
leurs un sujet prof âne de cette nature ne
serai! guère à sa place dans notre’feuille
ausíterei mais il n est peut-ètte pas
de propos de parler ou de reparler ici niême des bals champêtres, bien plus ‘innô
■■ "'''rH:. 'iJ 5,: *: Lî'i-.r
cents que le tango et que cependant nombre de braves gens condamnent,'Qn a affirmé que, pour comhattre. emcacenient
le tango et lè^proscrire delà bohne société,
dès monseignéurs, èn Î'ràiice et même en
Italie, recommàndaienf’d'’,à'utr'és danses,
plus chastes, plus « coni’me il !àut ».'telles
que la « furÎàna » du qué sàis-je en core.
On'ia dit et nous le croyons sans peine’,
attfendu qüé les prêtres iie condafiinent
pàs les bàls 'priV'és ni même les publics. Je
né‘sache pas qu’un pasteur quelcofiqùè
ait jamáis prôné là' danse, dahs* fiüctifi
paÿs; tolis ndâ pasteurs Vaùdbis, qui n’ofit
pàV oublié la-noàZa legczon, iàùk sâriS‘é)[ception condamnent la danSè telle qu’bfi
la « pratique » dans nos bals jiübliés’dt
nous n’avons aucunepeiUe à fidïis'râhgéf,
sarts réservés, à leur avis. '' *4“*-’' ' "!•
Malheureusenient, * la jeunesse qÙi s’adonne avec entrain à cétte dîstractiôn démoralisante, se passe volontiers de f avis
du pasteur ou ne fait pas un grând cas de
ses-sages remontrances. Il y a meffie bon
nombre de jeunes gens et surtout dè jeunes filles qu’on dirait foncièrement sérieux — ils le sont peut-être au début—
et que le démon de la danse possède'; il
y'à'des pères et des ffières, sérieux etfnêmè pieux à leur façon, qui oiit dansé dans
tèfir jeunesse et qui ne voient pas'de trop
mauvais œil les jeunes d’à préserit s’ébàtl
tre à leur tour. Qui nous dit que telle
mère ingénue ne caresseTe secret espoir
de « caser » plus aisément sa fille, si celleci fréquente les bals ? Parmi la foule des
danseurs, il s’en trouvera bien un qui la
distinguera et la fera valser pofir le ï( bon
motif » 1 Or cela peut arriver — totit ar-*
rive ^ mais, en général, les garçôfis’ sérieux. et même les non sérieuxi recher
'chent de préferefifie les 'jéünèàj
ne dansent pas; et ils yôüi dîfibni pôlir*
'(ÿuoi* poùàpèu que-vmusié leur demandiez.
^ Je sais q'ü’on ’'^iourrait nous fàire ^l'ûs
‘d*une èïjècfiqii en‘‘favéur*dùj)al’*püfciîc:
3(’il faut que jéianesse se passè‘;‘iés Jéiittes
"génsfiht iiéàbîn'^dé distractions ; Iprsijû^'bn
’ a* triiiié toute’ ià'semaine^ il’ëst àhsblùitiérit ‘mdîspensâblé'dé s’amuser 'fin 'peu
îé dimanche; vous voudriez iious dêféfiâré nos îiâls'public en pléin'âîr*ét VbûS ¿e
condamnez pas les b'àîs ¿es salons'de la
bbhhë spciétéH),' T3oucemént* ]é ne diX pas
qiiè Ton dôWé* Vmîtér tout ce'qué ïbift jés
iui • * 'îi.} il J2îw^ '''►
« sgnouri » et je h oserais pa.s affirmer que
Jeé èals^pnvés soiénï'plus' md?àiyaté|ifs
^qée’ lés pùiiiics;' niais'' 'rVcbii,nàiséez‘‘ âii
iill 3?-i ii -.tu
moins que vous y trpuverez plus qe rete
nue et que Ta jeune iule y est, le plus sou
v'enïiÿous'iés yéfiii dç fea''ïnère, ce*dont il
r„ii i.uj,vivi iitj u,.>y i'*’. cl a U
laur tenir compte.,
»i-’-i .t U-J--iUliliV/i ¡a
• Ne demandons pas à un avare de ffe
'liilivg aiJ, jiiiii
fnr ravance, a un bjiveur de condamner
le vin ou les boissons alcooliques, et ippifis
o-;5.uwiiî lu.i iiC-j l’>u jîj c,sî i. ,
eneone fi quelqu vu qui, aime la danse de
J.»? v Hjÿ.00-1 'nn:fu. ir.»'»ad««»-; •à-'
vous dire du mal des bals publics, ni d y
découvrir que ce sont des lieux ou parfois
.vy.» k.y- « ;! Ji:'!'o i
la jeunesse se perd et ou elle.se corrompt
’iou/durs.' Mais' ,ce'que lés intèréssés fie
voient pas est constate par^iea spectateurs
sbüvëtit involbniiaires et dcça'sibnnelsÎ'lÎa
•fei„-iuv-. 'iH'V'ir/ Liii i' ylliw»î»R e
belle saison va. reyenir, fa nature,va se
-c.üi A'jÿ U Jjfi
parer de ses plus riantçs couleurs^ se
«'ïâifé tëfidre''éf ^feellW ‘Îes'^piséiiix l)ppient d*àWégréssk.'!i'ét**nqtre^^^
moifi’s sériéùsé frépil^fi'e‘kifii^^^ de
voir s’ôiivrîr le's Hais de la saison, ^¿1 é,b'ïfièidéfit avec ïeTet’ôùr du'printejiips'Î'ièi
nous Îàisîbààfiotré’ ibur des 'Valfees' par
'ùiie ‘éadièusè àprêàrinidi du dimànciié,
hBils’ dëébfi-vfTripns' piüà 'id’^iin'riant em^ihéëifiefifi^éïir üké'hauteur bien éh^vüt,
b’û éé téoùvé insitklîë ‘ uè ' baT cbàmpêfré.
lAii' siiriple spé 'd’ùk àè'cbrdéb'ii^
■Viqlbn^grihçâfit,’ ôü d’une fliî'fé Vndïahfïék
pJiiiàsiè'fé'qÎ
àbSôrbettt éâsùite ertbofiié ¿àriie.'Vpyétles -s’ariimer.’VPÿéz' cés'yéuX bi^ÎHàfi'il Où
pâXseht’'des' lUèiirà dé édnVbitisé'. ÉXàMûÛt ‘lèfirs gestes, Téfifé' attitkdèà''iééipf-bques ; ‘èssày'éz dé' saikif püèïqüék-fi‘As
des propos malséants qu’iisvécftfiildéùt*;
-<côyéz fèk bàdkutfs'd^ùf; 'fàùte* (fe'Àiiêux,
lèk 'Contéfrapiéfit àyieé' bèfitltudé''^ M
fie péiit plus ffiàisl'?.l ét*(Stè3--4i3nà;’'péi‘’ék
ét^ mères ’ qlûi rfoùS'Jïàél, 'Îà ‘iihb
écibîè ’âè Vértü, ' dù’ lèji'Ij éifhés Hiïèà ‘^001;
Apprendre là' ttiddèStïéœt Te bbii ton;! ét
dù les j'éuilés 'gefis h'ppnsniïèfit'â ’iéèpèéter lèséompaghés/lés amieS de’ifèürs'prdptes SoetirS'f' ' i >>'l‘
NoüS'p'oüriàôfis cofiiplêtér 'fiBs éibàMFVatiens, si noüs * n’étiPhs rétènûS* phr tâ
craihtfr dé nous voir àcCusèr dè '^diiiéitSér/normer mos leCtèiirS. Rîèn‘Ti‘*ëà‘*’plâk
IthriMe ttdtré pfeihsiéei-'èt bè l^fféTibùÿ-Üiyéïiè
des bals avec et après les pastetfiW^fi^
2
pour mettre
¡iscience dés pi
de veiller sufc
^irs de la sem
¡dimanche.
■
tonte civile Et
^ i-’Eglise vient de rappeler les
rap'
SC5«
pelant les.ssèijes à jani^ais médï6fa))les(^^ ^ ^
J&^hsèHWHé et du
pl^nt j;e Jés.us fds^depieu, ^âidoçs-noUs
d’oublier le Jésus fiis de rhomme I -rrt.è^"
3é|bus dé^azar%th'¿fe fllls de Mafie.Jé déè*’çeodant du roi prophète, le Jésùs-bom^
S, noÿ Jélatijraa. âvec l'
avec ï^^eUi par- eèlM de® épèux %^Pe
eux; it parlé dû 1tt^i^îl?d^da%dè8t^ét”^
- dêTàpàréssè;de®*tnfiuls et des aiimônès^^
tdü lîirértiéHt ët^dü divorce ; de pyièr|i^
;,4^ pienfp^sançfi; ,mais toujours coi^mp
d’un moyen* de faire l’éducation spiyi, jde notre race en vue du royattme
î,mè qui s intwpse à,tous^le|probJèmes de^^^^ patr-iqte; il a’est*
son époque et leur donne une ."solution
i^âliquè* qué ’1Es~’f?S^à^fôî1matîÔds
les our politiques se chargent ¿d’éçlairer
en les soulignant. ,
I I T ' ^ , î , . I ) t ' ' I '~i t •
1® Ce Jésus fils de l’homme a été un
grand patriote. ^ Il ainia d’un amour ardent le peuple au duquel jl, na
quit. Il pleura sur Jérusalem qui tue les
prophètes. Il chercha les brebis,, égarées
d’Israël; il appela la Samaritaine un peu
écervelée,,il n’oublia pas. les autres nations. — La haine des races, l’égoïsme , de
classe, l’org^ueiL de caste, n’ont aucune
place dans son esprit.^ ^ - r..
, À tort on lui a attribué les caractères
contradictoires d’un fanatique,d’un anarchiste, d’un spciaiisté, d’ud rêveur, d’up
mystique, d’uh.esséhien. -- Il n’pst pas
plus le protêcteur de la démocratie, que
celui de rpristocratie; il est un patriote
qui a^hiq peupiç en ainiant tous les
. hommek — « Si quelqu’un h’ainie pas les
siens, il a renié la ft)i et il est pire,qu’un
infidèle », sembie-t-il dire à ceux- qui
croient devoir haïr un peu leur patrie
pour mieux aimer ies peuples diyers, ^
2® Il a été un bon ciiopèn^. Il fait m^^
de courage én allant en Jüdéë bù bn veut
le lapider, et en montant à Jérusalem ou
l’on conspire contre lui. Il n’est pas séant
qu’un prophète meure hors de son pays,
dit-il à ceux qui voudraient lè dissuadèr
i 5 ’ . . Í ' Í ' 11 . , . ' ' ; » •• • 1 i y. ‘ -J : t ‘ i :. • i i '
d’aller en Judée. — Il paie les impôts et
s’acquitte d’un devoir odieux pour les
Israélites. — Tolérant, il reprend ses dis
î ÎJ'iilfC’l ir ! > ■ -, ,i ".j . * Í ■ ; * > ' U' ■ i ■ i ■
ciples qui voudraient détruire par la foudre du ciel une population impie.
■ -- Lrii)' ' ....-■■■c'.'l' y, ¡:- ii' -a
3° Il a ete un homme social, je ne dis
pas un sociahste. En elTet, tout en ne perdant jamais d vue le but suprême de sa
.vie, il â abordé de ^ayes problèmes économiques, lorsqu’il a fait l’éloge du serviteur ordonné, de l’économe fidèle; lorsqu’il a condamné lé riche égoïste à pause
du mauvais.usage des richesses, amassées
dp reste honnêteinent. Il ne craint pas,
lui, Rpi et Seigneur,^ de ramasserTes iporceaux qui restaient après, un repas offert
à la multitude « pour que rien ne se perde »! y- Au risque de scandaliser les puritains, il s’assied à table avec des personnes de renommée plus que douteuse.
Il confond les partisans acharnés de l’abstinence en changeant l’eau en vin aux
noces de Cana. ^ ,
40 11 n’a pourtant .pus été ni un démagogue, ni un législateur, jnais au voyant
qui aborde tuutes les questions ^en les
éclairant d’une luaûére nouvelle, — En
se plaçant & .un point , de vue supérieur,
il parle du mariage et du divorce épouvantail de,nos gouvernements — et indique une solution d’une simplicité frappante: « que l’homme ne sépare pas ce
que .Dieu a uni ^ fl établit la séparation
entre les pouvoirs civil et religieux de
l’Eglise et de l’Etat.— Il traite à maintes reprises de,l’existence des pauvres, de
calle des. riches et de leurs devoirs réçir
proqueni-, 1 '‘>1 '/j '-.'iVi; s>!mÎ
. En up^mot, fi s’in/éfêsse d /ouf ce’^'qûi
TCupc ^ hôi^es de temps. l|
jprdè l|^ quêtons sou|^ées par f’i
vreté e^^e la richte;?
Je Je sais, plus d’une fois on lui a,"dit:
il n'ë Vèst pas permis ». Et cette même
, parole ses diaciplés l’entendent encôi
isciplés 1 entendent encore
àujourd’huf II ne t’est pas permis,-leut
pas possible d’être disciple et bon citoÿeh,
il n’est pas permis de mettre l’Evangile à
côté des questions sociales'et éconpiniques; il ne: t’ést pas permis de parler, de
rEvangile,dé Christ et de t’occuper^des
choses.profanes, qutintéfessènt le -peuple,
des,Ibis, des habitudes, de la corruption'
des 'rtiœurs,'' de la dépravation des liômmes, des injustices sociales. Tout .ee
qui t’est permis à cet égard, c’est de faire
monter secrètement vers Dieu tes demandes et tes prières, comme le faisaient
les moines dans le passé. 1* : *
Il n’en est rien. Ce qui n’est pas pÔssible, « pharisiens de tous les siècles », c’eàt
de mettref des bornes à l’influence ide
l’Evangile. Sa lumière doit éclairer ¡et
purifier la vie privée et publique, le cteur
dès hommes, l’église, Jes lois, le commerce, Tindustrie, les mœurs, le peuple,
le monde entien. ! Hedwig'soa:^>:
' V AU TRANSVAAL. F:
Aüx deux articles que nous avons déjà
tirés du Bulletin de la Mission ^oin^Ui^,
nous iaîsbhs suivre une lettre — dont
qous retranchons seulement, ici et là,
quelques périodes descriptives A_}üe iïotrè ami, M.r le missionnaire F. Àloys
Cuèndet, fils d’un de nos anciens pàioissiens de St-Louis M° (0. S. A.)
i«
^.r Cuendet èst le titülàire de là ,sta
tion de Kouroulène, dans le nord de j’ancienne république du fransvaal, au N. E.
de, Pretoria. Tous les ehdibits nonîmés
dans cet article, se trouvent aux en vi
bfè, faisant la conversation avec un compagnon. jDehgéza est uû grand et bel
h,ôm.me, son^air placide lui donne phe certaine dignité* qui sied bien à s^ titres. 1
Phis voici sOiiï fils Philippe, qui s’est converti à Johannesburg. C’est grâce à lui
^ que Cëtie ânhèxe sé !fbride ; il a construit,
, il y a trois ans, une petite maison rectan'gulaire,"à un jet de pierre du village, où'
jj^il.avait.déjà. commencé à eiiseigner àsesf
jeunes frères. Enfin, voici Michel Motsambo, de Pfoukane, notre évangéliste
auquel j’avais donné rendez-vous pour ce
jour-là. Du temps de M.r Jones, feu l’inspecteur des écoles, il eiiseignaît la' Vannerie dans les cours pour instituteurs indigènes, mais depuis la mort de l’inspecteur il n’avait plus cette occupation, aussi
4SjtJ,l venu s’offrir popr jopder cette an-,,
liexe l’année passée; comme c’est un
brave garçon, je fus tout heureux de l’accepter. Il a environ 33 ans et m’inspire
de la. confiance, j’espère ne pas être déçu.
Après avoir pris un peu de nourriture,
nous sommes allés voir le bâtiment scolaire, qui sera en même temps l’église, et
la maison d’habitation de l’évangéliste et
sa famille... Ensuite nous avons tenu conseil avec le chef, pour lui expliquer ce qui
en était; Je lui fis comprendre que l’écbie
n’étàit pas pour ses enfants seulement,
mais pour tous ceux du pays. Quant à
lui, il répondit qu’il désirait beaucoup
avoir cette école, mais qu’il ne pouvait
pas assurer que les autres nabitants de
la contrée partageassent son désir. Nous
avons parlé longuement; Gédéon aexnorté Mietiel à être lidéle, numble et lort.
Pendant ce temps, le chef disparaissait
pour aller rejoindre ses amis qu’il avait
sans doute invités à vider un ou plusieurs
pots de bière. 1
Dois-je le dire ? Je n’ai pas grand espoir que cette annexe prospère. En premier lieu, je ne crois pas^que ie,pays soit
très peuplé, puis l’école est trop prés du
village, où l’on boit neaucoup, je crois.
Dengézâ lui-même n’a pas l’air d’un ivrogne, mais il est entouré de gens qui eux,
malheureusement, n’en ont pas seulement l’air... Eniin, nous essayerons et ferons ce que nous pourrons; Dieu veuille
qùe cette impression soit lausse.
{A suivre):
Ph. g.
rons de Kouroulène.
J’ai fait récemment un voyage qui m’a
beaucoup intéressé. Depuis plusieurs années, il est question de fonder une annexe
cjiej: Dengéza,,un pe|tit cnei qui haoite
au sud Je Kpuroulène. Plus dernièreqient
John dé Ga.ma, notre évangéliste deÎt.otsâkène» nous annonçait en consistoire
qu’il y aVait un antre petit chef, du nom
de. Maswangagni, qui demandait aussi
un évangéliste, car plusieurs de ses gens
ont été convertis en ville, et lui-inême a
envoyé son fils à l’école de Valdézia. En
àllant au Synode de Shilouyane, nous
avons fait visite à notre éyangéliste ùe
Kptsakène et il m’a remis une lettre qu’il
venait de recevoir de ce. petit chef, lui deT
mandant de les visiter et de me faire savoir qu’il désirait un évangéliste.
La demande était donp, pressante j et
comme les arrangements. que j’avais Jaits
avec Dengéza l’année dernière pouvaient
s’exécuter, et que notre nouyel évangéliste était prêt, rien ne me retenait d’ailer
voir ces deux personnages. Je suis doue
parti jeudi dernier, avec un de mes anciens, Gédéon, un men nrave nomme, pas
très causeur, et un lidele ciirétieii. iNotie
première étape lut d’ici chez Uengézai
son village n’est pas relié au reste au
monde par de belles routes...,
11 est une heure quand nous arrivons.
, Voici le chef assis à. terre, smis un ar
CHRONIQUE VAUOOISE
AVIS. Dimanche prochain, 19 c., à 3 h.
de T après-midi, aura lieu, D. V^., à La Tour
(Maison VaudoiseJ, la Fête de Chant, U
laquelle prendront part les Sociétés Chorales du Val Pélis, qui exécuteront ensemble et séparément plusieurs cantiques
et chœurs religieux. Le public est cordialement'invité à assister à cette intéressante fête, moyennant ia petite taxe d’entrée de 25 centimes.
Pour la Commission du Chant Sacré
Eugène Hevel, président.
ANGROGNE. Une belle et bonne journée pour notre paroisse a été celle de dimanche dernier. Si le jour de VendrediSaint un public trop restreint s’était rendu
au temple pour célébrer la mort de Christ
et assister à la confirmation de nos 27 catéchumènes, à Pâques le temple était
bondé, comme nous ne l’avions vu depuis
longtemps, et un grand nombre de communiants participait à la Sainte-Cene: ce
dont nous bénissons le seigneur 1
Un regret, cependant, manifesté par
plusieurs personnes, a été que la Ciiorale
n’ait pU) pour des motifs indépendants de
sa volonté, nous faire entendre le beau
, chœur d’occasion qu’elle avait préparé.
Le culte aurait été ainsi plus édifiant enî cGfe et lé*-chant des cantiques soutenu
par les bonnes^ voix réunies et exèrç
aqrait été moins larn^ntable et plus digne
de la cèf^onie 1 j., ? -?
ïÀ ^arif cela, le c^e imposant en solenner dé dimanche' restera gravé qànà
nos cœurs. Puissions-nous y puise4 ha
encouragement à la persévérance, «:ii’abandonnant point nos saintes assemblées it, comme trop de personnes, héfas !
ont coutume de faire i i
—• L’après-midi, à 2 h. y<ÿ, le jardiç (m
presbytère de ’St-Laurent réunissait un
grand nombre de mères de famille^ de
jeunes filles de l’Union Chrétienne et; les
catéchumènes reçues deriiierement. Après
îÇOÜ
un cantique et une prière, nos sœurs éç
talent dans le recueillement une méditation sur Marie Madeleiae,-à qüi premièrement apparut le SaiLveur^sessusdité.
Un récit intéressant fut lu par la dame du
pasteur. Ensuite, tandis que le thé se
préparait à faire son apparition toujours
bien venue, un groupe de bonnes voix
nous charmait par ses accords harmonieux, chantant du fond du cœur :,s Glaire
au Sauveur ressuscité!». Inutile de dire
que la joie se lisait- sur les visages des
présentes, heureuses de se retrouver ensemble et de clore ainsi la fête de Pâques.
Mais, comme pour les disciples d’Emmaüs, le jour étant sur son déclin, il fai*
lut songer à se séparer; ce que nos sœurs
firent après le chant du cantique : « Resté
avec nous. Seigneur 1 »¿ emportant dans
leur cœur un doux souvènir de cette belle
réunion.
LA TOUR. La fête dca écoles du dimanche du Val Pélis a lieu aujourd’hui
dans le Tempie Neuf. Nous en reparlerons dans notre prochain numéro.
NE W-jYORK. Avec beaucoup de zéje
et de persévérance, MM. Henry Ghigo,
Jean Pierre ..Ferrier et quelques. autres
personnes de bonne volonté, ont çéfisM à
j eter les fondements d’une Société de-secours mutuels pour les Vaudois et Tes catholiques originaires des yallées,,’qui désirent s’y rattacner. CettejSociété comptç
déjà une quarantaine de membres çt est
dirigée par un Uoimté dont M.r, Henry
Ghigo est président, M.r Etienne Davit
vice-président,, M.r Jean Pierre Ferrier
trésorier,,M.r Jules Villelm secrétaire, M.r
Albert Jahier vice-secrétaire.,,
— Grâce à une î^ociété « interdénomi-:
nationale » qui s’occupe de la diifusion de
la langue angiaise parmi Je^ .étrààgers et.
qui a mis à notre dispositionyija prOjíesr
seur, nous ayons p u organiser, Jé? le CQmuiencement de iévrier, uti cour^ d’anglais,
dans notre salle de réunions!. Ce cours,
qui a aussi un but.éducatif p.uisque le
livre de texte dont où se serti contient
des récits Je 1 ancien et du Nouveau, l’es-;
tanieiit, est iréqueiué par lü éiévea,donJ|
11 sont Vaudois et a Français ou d’autre
nationalité. Que de, bonnes petites œuvres ne pourriqns-iious pas initier si nous
avions une « maisonnette » avec plusieurs
chambres, à notre service 1
— Jeudi 5 mars, à l’Union chrétienne
(française) des r jeunes gens, devant un
public plutôt nombreux, composé leil
grande partie de Vaudois, M.nle pasteur
P. Griglio a donné une con/érence missionnaire et artistique sur l’Italie septentrion
nale (y compris la Toscane), en Filltuitrant par de maguiiiques projections luv
mineuses, un avait iixé un prix d’qntrée
de 2o sous, ce qui lait qu’on a pu de nou-veau mettre eusemole uue petite sommé
^•*0 doiiarsj pour les oesoins de i’Egiise
qui, cette année, ont augmenté pour la
raison que nos amis connaissent.
— Le 19 courant, M.r le prof. Ph.Ghigo
a uni en mariage, a New-fiork, M.t Albert
Barus et M'.flé Marie Hélène Báríis, l()\ís¡
i
3
de Faët. Nes-vœux les pl«s siar
<^es pour une longue et heureuse vie.
' Reporter,
■ PjRAMOL. Nous avons eu, une fois ençare, le privilège d’admettre à l’Eglise un
bon nuyau de nouveaux meilibres :■ 9
jeunes Mies et 12 jeunes gens, outre deux
autres i qui,', pour des* raisons divèrsesi
avaient dû suspendre leur instruction eeÎigeuse quelques, années passées^ et qui
ont spontanément demandé d’être admis
à U (Jonapiunion, Nous ne pouvons que
nousjcéjouir de ces nouvelles recrues tout
eh^Tious demandant si elles sauront persévérer dans leur hopnes dispwÉsitions ett
garder les engagements qu’elles ont pris
publiquement. Nous les portons sur le
cœur et les recommandons à la garde et
^ la grâce de Dieu.
^ Les cultes du vendredi-saint et du dimanche de Pâques ont été les plus solennels soit par la foule qui accourut au temple, soit par la réception des 23 catéchumènes. dont nous venons de parler, soit
par le chant très bien exécuté d’un chœur
de .circonstance. De nombreux communiants se sont approchés de la Table du
Seigneur,
Puisse la Parole de Dieu avoir été en
édification pour l’Eglise et transformer
les cœurs qui sont encore plongés dans
l’indifférence ou dans le péché. Ph.
, RODORET. Pour les sinistrés du
Champ du Clôt: CoïssOn B., régent, frs. 2
iL Rostan Jean Etienne feu Frï, 4 —
Garrou Philippe, 2 — N. N., 2,25 —
Louise Demichelis, 5 — M.lle Aline Ribet, 5 — Louis Oleari, 5 — Albert Clôt,
prof., 5 — Louise Pons-Karrer, 6 —
Bianca Arcangeli, 5. >
- —r MM. Cougn ing., le chev. Bounous,
lé doct. Rocchi de Rome, le prof. Jalla et
le pasteur Garrou ont visité le Champ du
Clôt .et pris les premières dispositions
pour la> reconstruction des maisons incendiées.
Les examens de Bible et de français
et le chant, présidés par le pasteur, accompagné aux Fontaines par le délégué
scolaire M.r J. H. Pascal, et à Rodoret
par un ancien, ont donné partout de bons
résùitàts.
-■ SAINf-JEAN. Nos fêtes de Pâques
pous ont été un sujet de joie et reconnaissance profonde envers Dieu.
Notre temple était rempli pour la solennité du vendredi-saint, rendue plus
émouvante par la réception de nos 33 catéchumènes. Le jour de Pâques, il était
littéralement bondé.
Netis avons noté avec joie un progrès
assez considérable dans le nombre des
participants à nos services de Sainte-Cène.
De jolis chœurs exécutés au vendredisaint et notamment celui de Pâques, sous
le direction de notre régent paroissial, ont
ajouté à la solennité de ces fonctions.
Le soir de Pâques, enfin, dans la Maisofi Vaudoise et devant un nomnreux auditoire, M.r le pasteur Luigi Rostagno
de Rome nous a donné une conférence
très appréciée sur ce sujet: « L’Evangile
à Rome », dont nous lui exprimons à nouveau notre reconnaissance sincère.
Puisse le souvenir de ces cultes de Pâques être en bénédiction pour notre paroütep.,
...•_________________________________
BiBLlüGRAPHiE.
D,# E. Meynier; Le credenze religiose
sono destinate a perire ? Estratto dai
Bollettino « li bolco ». — Prezzo E. 0,10
la copia. — Rivolgersi a Cesare Gay 32, Via Duomo - Napoli.
Questo lavoretto del dott. Meynier è
un’ottima confer^za — densa di latti,
arricchita di abbondanti ed appropriate
cil^oai -r- (^^l’Autpre ptonuBziò,^glvo
errore, davanri ad uno scelto e plaudènte
pubblico di studenti a Napoli. Va da sè
che il doti. Meynier è d’opinione che le
.»m^enze jrelìj^se^ sono ben lungi dall’essere « destinate a perire».
livre. Hs attenaent.T*aulo uf toujours,
avec un visage serein et paisible. Les sau
vages sont saisis de ^ isBwchtidd ftt k M.t di San Giuliano U ;
ments. Ils sont réduits à 1 impuissance. „ oiio ii q Ros
Nouvelles et faits divers.
Celle qui vit dans les plaisirs.
Anna Hasseltine, la première américaine qui se soit consacrée aux Missions,
avait dans sa jeunesse un caractère vif,
d’une grande sensibilité, aimait beaucoup
l’étude.
De temps en temps, elle éprouvait des
i^ressiôns religieuses, mais ces émotions passagères ne' l’empêchaient pas de
prendre part aux plaisirs mondains, aimés de sa famille. Elle finit à un certain
moment par cesser de prier. Mais voici
qu’elle lut un jour dans VEducation des
femmes, de Hannah More, cette phrase
empruntée à Paul : « Celle qui vit dans les
plaisirs, est morte en vivant » (1 Tim. v, 6.
Ce mot fut le trait qui s’enfonça dans
son cœur. Elle avoue elle-même qu’elle
resta comme pétrifiée. 11 lui semblait que
un pouvoir divin fixait son attention sur
ce passage. Des luttes suivirent cet appel.
Elle avait essayé d’abord de trouver la
paix dans les mortifications, dans des œuvres méritoires. Mais la lumière se fit peu
à peu en elle sur la grâce apportée au
monde par le Christ. Et le 16 juillet 1806,
elle se consacra sans réserve à son Sauveur. Elle avait alors de 16 à 17 ans.
Immédiatement elle chercha à faire du
bien aux âmes qui l’entouraient. Elle
montrait la réalité de sa conversion par
une vraie activité missionnaire. Six ans
après, elle épousait Adonivam Judson.
{Extrait de /’« Histoire du Christianisme »,
par J. Giudracca.
Bureau des consciences oblitérées.
Ce bureau peu ordinaire existe à Washington, et est une division du Ministère
des finances. Il est destiné à recevoir les
envois d’argent des personnes qui ont
quelque êhose à se reprocher et veulent
réparer soit un vol, soit un tort fait à autrui dans ses biens. Ce bureau fonctionne
depuis 1891, et ses recettes augmentent
d’année en année. De janvier 1904 à dé‘ cembre 1905, le bureau a encaissé 2 millions Yz de francs ! On tient compte des
plus petits envois. Un écolier enverra dés
timbres, parce qu’il a pris de la craie au
tableau noir; un négociant enverra des
billets, parce qu’il a évalué son revenu
trop bas. En 1896, une somme de 70.000
francs est venue de Londres, sans autres
explications. Récemment un vieillard
qui, à 16 ans, avait pris dans une agence
indienne en Californie, deux crayons d’ardoise sans les payer, a envoyé 75 centimes. Peu de jours après, on recevait
60.000 francs d’une personne qui avait
volé une caisse publique, avait depuis
longtemps restitué son larcin, mais se
sentait pressée de faire comme Zachée,
de rendre au quadruple ce qu’elle avait
pris. « Dieu seul sait ce que j’ai souffert ».
Signé: « Un pécheur ». — « Pécheur^ Ame
perdue. Repentant », telles sont les signatures habituelles de ces envois tous anoiv
nymes. Dans les temps de réveil, les envois sont plus nombreux et plus importants, surtout faits par des femmes qui
expliquent comment, en venant de l’étranger, elles ont introduit en fraude des
vêlements, des dentelles, des diamants.
(L’Ami).
Les demiers seront les premiers.
Les derniers. — En 1849, deux chrétiens des lies Samoa, Paulo et sa femme,
débarquaient à l’ile Niuvé (Océanie) pour
l’évangéliser. Ils avaient fait 500 kilomètres à travers les flots. Chose extraordinaire, on ne les mit pas immédiatement
à la mort. Mais on déchira leurs vêtements pour voir la couleur de leur peau,
on les pilla, on tua les volailles et les porcs
qu’ils avaient apportés. Le livre, que les
deux chrétiens de Samoa avaient avec
eux, ce livre avec lequel ils paraissaien#^
converser, faisait peur aux sauvages, et
ils les tenait en respect. A la fin, ils en-.^ 1
voyèrent deux de leurs plus braves guer<',
- riers pour tuer les étrangers, Les émis-’
- «aires arrivent à pas de loup:'Ils Voient
Paulo assis et lisant tranquill^ent son
impuissance
Ils attendent encore; Gela ne^peut «èj
faire 1 Ils parient avec Paulo,')>ujs revfén-'^
nent auprès des leui», sans avw osé tour
cher aux étrangers.
Quelques années après, il y avait doB'
Eglise en formation à Niuvé. Eh '1861,
l'Evangile de Marc était traduit, et en
1863, unelp^$e’d| Tlsldment.
La nuit (^i ÿui\|td’a|r^ê (i^fv^iumes,
beaucoup d’indigènes rie "dormirent pas.
On va voir ce qu’accomplit l’pvapgUe
dans ce milieaSjJohtt^’dâÿitsShé Cook
avait dit: c’est un guêpier de barbares
dont on ne peut s’approcher.
Les premiers. — Vers 1865, vingt-cmq
navim péraviéhs se ffvraiéht 1i la traite
des esclaves dans les îles de la mer du Sud.
Cent soixante habitants de; î’île^iuvé furent enlevés par un de ces navires. Parmi
ces riiàlrièure^x se tro^vid^iÎÎ| tfoi^' évan-f
gélistéâ indigènes ét béaucoÉpi de chrétiens..Savez-vous de qqoi leurs amis les
plaignaient ? De n’avoir pas leur Bible ou
leur fragment de Bibleï Faktlàlofu, nakai
fai tohi a lantolu l (Hélas ! ils n’ont pas
de liVlèâk^C euxl). AÎbii$ Ih ¡piafrcdé de
Dieu était gravée dans leur cœ\^^ comme
le prouve le trait suivant:
Les êàptifs étaient enfèrmjés dans la
cale. Les jeunes gens proposèrent un plan,
pour tomber sur l’équipage et se rendre
maîtres du navire. Mais leurs aînés s’y
opposèrent, ne voulant pas risquer de
tuer ou de blesser leurs oppresseurs. Et le
soir venu, dans cette cale, on pria et on
chanJ^ -c;. {Messager 4e$ Messagers).
MANCHESTER^
étant cette annéeiun catholique romain,
il n'a pas paru aü service de la cathédrale anglicane, de qpui a été sévèrement
blâmé par le psa% qni ne pent pas
comprendre ce*nâanque d'égard. Nous
nous permettons depe pas être de l’avis
du Dean. <; ' . ^
ASSOCUZIONE HAfflONi
~pel Ifoyphenf
Ë uscito il terzo’faâcicolo di quest’anno
délia RIVICTA MÉ^SILE che l’Associazione jiqzionüté italiana per il moviménto dèi
mente.
OÙ règne une grande ànîmatïoh.'i'T
d’abord la restitution de la visite que M,
forestîerij diffonde gratuita
Contiene magnffic^e illustrarioni delle
Marche, nó'tízif Suga esposizione delle
Marche a Milano; pp artièdlri dell’avv.
Ludovico Silenzi isu^ Leggi Vècchie éd
alberghi moderhii», ìjino studio .deU’on.
Cassin sul Waria^-Hotelier, articoli,
studi, notlzié è Vo|:i sp.^§s|io(gi,attinenti
al movimento dei forestieri ih I^ha, ed
infine gli atti deliri Sede centrale dell’AssoclazioHé; 'dèllè^'s'ué'IS'ézlofiìr dèrXò
tati e delie Associazioni federate.
^ CJ^TmCATI O’OBIGIIIB
per le merci i&Uaué esportate in Toridiit.
La Camera di Commercio di Torinéo Comunica che, in seguito ail’avvenuta ìtema
^4 trattato di pace fra' la Turclii% é la
^bia, la Direzione Generale
d^e contribuzioni indirette ha roiilio«rito
ia^, preesistente disposizione per ie
merci dirette in Turchia dovevanpii
riccompagnate da un certificato di
Nel richiamare l’attenzione dèi nòstri
esportatori sulla revoca suddetta, à ricorda che rimangono però sempre in vigore le disposizlonr relative ai c|rtìffCidi
sanitari, per i prodotti vegetali e per le
carni suine insaccate od altrimo&ti preparate, accertante Rer i primi la loro immunità da filoss|^ e per le seooiràe la
iiitounità da m^^tie opntagiolB»
wi IVbuv^li(i^^poytiqae(SL ,
I Le grand Ivén^^nt politique dp^j^titie
tôhiaine estìa jiSìcòntre- du marquis di
San Giuliano, noQ^ministre des affaires
étfangères, ^âvec le comtb Berchtol(% apaiatfe des affairef étrangères de l’eniparé
lautrichien. L’ehtrevue a iieu à Abbazia,
sur les côtes de r Adjpatique. Le due d’Avarna, notre ambassadeur à Vienne, et^ .
M.r Merey, ambascadetur d’Àutriclie à
Rome, se sont aussi rendus à Abbazia,
a. dix-huit mpis, loçsqp’i) 5* BP^ '
' sore pour présènter ses hommages à notr, i
importaucp. Les relations entre les^ deur
(pays àlliés ont passé dernièrement pa
une série d’incidents qui pourraient airiener des conflits. Il y asui#o#' M questioi
albamuse^ <|iff ^matHie»â èti^réglée ei
respectant les Tntéiêti réciproques. Noui
verrons dans quelques jours les résultat!
dans lés communftjuês ofiidels. Espéroni
que l'horizon s’éclaircira et que Tentent«
«ffieirile; eoiifiwBéeuaefms'defilinïj ha*éi»C
aussi à une entente plus eordFd#:::Jii*i|l
les deux peuples. ¿i
La question des^rroritil/^eèt pMi^
jamais à Tordre du jour? Gès 4rik'ÍSfu
insistent pour avoir les cinquante mï
lions d’augmentations qu’ils ont rêcte
més, et la menace de la grève gêriéraM
est toujours suspendue SUi;lO#: Idfity^
Les deux grandes assorialjÎQnS qpî côrftt
prennent à peu près les demi tiers de toi||
le perSónheT des ehêmins''ae fer italièn|l
la Federazione et le Sindacaio, né. sont p£^
entièrement d’accord sur láí tactK|hb ^
puivre. Les premiers seraient plutôt di^|
posés à prendre ce qüe te'gôU'VtSnfeli^éi
offre pour le moment, quitté à iMriâîîfdi
le reste la fois prochaine. Le syndica
dont les tendances sociaUstes, ré
naires sont très accentuées qualifié ces
concessions dé' dérîsoîrès éUp^sfôt^dîisè'
toutes ses réclamations. En outre le
imté ceatntl, qui siège,# Aoc^e, ppsteiffl
j#être CDiryoipié par léim^i^e, "ni ’va^l#if^alTirtre|eîr^tfci|s|ÎEn m^ ■-■#esÎuri'm'0#fenffStt' é^fftíe#elíf8Íl sú#‘
P ‘ .0.
Le prêsic^t de la Chambre de. coi^
nï#rcei|i’Ai|^ô|é a pris Tinitiaiîvé d’alléf
à 'îiome po#‘ tâcher d’âmenèr unë éP
M.r Ciulfelli, ministre dS
tente entre
travaux publics et'le Syndicat.
Ses d|c
marches n’ont pas abouti à grand chosi^
mais le Comité exécutif a décidé enfin
Sé rè'ndrëirRolié"êTdé'TâîîFiin premiSl
pas vers Tenterite. Les cheminots rèçl^
ment aussi la convocation du « Pariajüe]^
tino ferroviario », conseil mixtei coinpo^
des chefs et des représentants de iputiÉri
» le» catégories d’êmphàyêss-i^èsi
cession qu’ils avaient déjà obtenue, mais,
4 ce qu’il parait, elle était deveaueletérç
J î;m>v
— Le dirigeable Ciità ai Milano, constrmt par l’mgéMeur ^f^nini avec le
prddhit ;!^Une' soa^^ puBfîque et
donné àto flotte de l'Etat U y a ^^ques
miris, a'èirit plus qu'ime i
Il suite d’une fuite de ¿axtejhri
du atterrir dans tes envirra*
(province de Côme), Üne
pita autour et on ne sait
cause, prcdiablement la plgarei
d’ttri fumeur impruél^L^^
s'eriflamma et le réservôjç b^izlné
édata en tdèssaatttae.soix^ftiàil^'^ personnes, dont ânq très grièvement.' Les
quatre officima
pu descendre
mesmil 77 niètréji.
coûtè;5d0.0(XDfrttril.i
jAPôïi. a#
. pératrice Hâriûkp,
" Mutsuhito^ mort le 30 juillet"
pératrice douairière laisse le souvenir
d’une souveraine de haute inteHigence et
f degrand cœur. Évitant dé s’bcéri^r des
^ quristiôns "politiques; elle sfe «oBVa tout,
eritièré aüx œuvres rfe*chlrité. Elle avait
q>ris la direction de lUiCroix Rouge japo
G.-A. Tbom. Directeur-reeponscdiU.
iH
4
fF ARAIJiiCSK,
üiHi-jrifj « .oonsíeiiíqaín .; èií^¡h■ì^
' ■■ .‘i
"Dág&éí feksfa^ïiiÂssiiâ«* ß ^‘yorni'imáTñ ^:Wíüh^^ iaoz gil .g¡mi
'' mGMWÁíBér^2í-4 Mmsí PEiAiei *'
..... .', ! -ii»r/a7>-‘Rj<|3.oiiflj‘í ftívjitetósooiiSal : 3íb
'^' " "''Jff' í'T-------"éea «o»« cnnt iiumíí ma
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Spéc¡o,liste po.Br-^,Bia.Í^|^i¡ei^
dii ím^X»» ■ 'Q
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Guérison ¡isúré' 'éfc -rapide des
défauts de respiration dasaíe.yfí
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I I 01: RISfiARMÌO 11 f ÌMIN^ ,
istituita dallaidi' EittàiTorino nell’anno i837s-iSedeCeiìtralè:-'E‘iiiil4:Mferi-'Ar V »•{,
i (9 Capitale depositato L. :18t.OOO.OOO su.212.0(BÌIbretti-v:sFónda dÌ TiservU £,. 26.«OoÓoOi
r ÍÜTÍÍJIT X>. OTT/'S/ATT X¥ A T T. .TA-r-ry^ -w ^ -- • . A
Monferrato - Caselle TùriiiUe^^CasteUa- R
yl° •,! h, Cavour j fihmUon^ ^iCheràsco - Chieri I
- Coèéonato - Corio - Crescentino - CumiaL-CuoreZ
)ogitani - Dronero -Gassino -Gattinara ■- Ghemme - Giamnò - Ivred - La’Morrà- Lan.
‘ ' « jÌiin - Montecfnaro, àAsti - Monhgho - Moretta - Nizza Monferrato - Orbassat
t - Paesana Porosa 'Argentina--^Piossaióo 4 Poirihà : ’■ Porri rbS!
L ,:S.jGiorgio-.Qanavese rSanthià. -^Settimo Torinesè - Sornr,
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Pantßmnt.Martm .Rmoomgi:.,Rzveßo-Rivaro^ Canavese tRwoH rRorrngn^iia
rG.Giorgio.Canavese . Santhid -.SetHmn \ sommariva Bo^o . IZtmbiZ V
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Verzuolo r - Vigono - Villaframa Piemonte - Villanova à’Asti - VolfAano
SG|9^cpr^ale di l'oiTíii^eiJUce, tfiazza Cavour, 1 .Gasa Aruoletto.
; s/.t- t/j^qo y «e¿. giorni ¿¿r Mercoledì - Venerdì - Sabato e Domeniea.
Y ’ Y'. OPERAZIONI CHE LA CASSA¡ ESEGUISCE AI DEPOSITANTI- -sì 8
I. Apertura di abietti Uomiiiativi.di Risp^rmio^Ordinario col raassimo, credito di
^tei') &
■■ 1;:.. piÌbsenViSte °MC?mlÌS?S, s58',ü
i . formalità le stesse ,9per^ioni autpri^z^te al, titolare., y i fi of h ■ a
. categorie di persone (persone diservizio salariati
I ,® attendenti in getìère a lavori mànualipdi libretti no&S^ltl^ |fc’
. i'. ìT? “f massimo credito di R. 2000, e, coldispoitibile «inalterb
l' L'ij tdi ¡L. iiQQ, Sui quali,viene corrisposto l’interesse del 7 in °/ tlí>.++,^
Ok ^gga.4l «A WIW, lagabm il í«>rtMo¿Íál ■JiS£.ÚS^^
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f 9«stea4t?te,^:r*,
7tiV;Àc;+,^ Al yS-Uìì
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TÌTOlARl DI DI BRETTÏ ’ DI'PI OC ODÔ RISPA „ ---' —'
di-meli deh valóre nominale' di L. \aooì^hu^u^^^!^ concorrente
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Acquisto per dontoiidei depositanti di titoli deUa,specie, (R anemiche la Gassa
-gÌati^r^*^®’ facendone eseguire su richiesta il trapasso^ in efrtificaS?,,
tutte le Sedi della Cassa di Risparnuoi sia. in Xorino. etié nfAcan u
- Succumah fuorlTorinO, si rilasciano a richiesta, mvece del den^o^gh
cassette .dTri^arÌmÌ&^a"Ì)omÌ^
Il ' T A £'AdKA TMPT'MW nsmvrriiiSA^ ■ ^ almenasL. At ,
Sede Secondaria della Cassa Nazionale
‘idi Previdenza per l invalidità e la veechiain. /¡.ali «y,«*/,.- .. a„h. r- Vte.T"r/f
SS P^rVinvamUà:e la:V¡^obiaia degli operaci S cZTa SSÌ
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I ED.ALié BAÌ?BA ¡IL COLORE PmUTIVO
biàm#ed'1h^*nT''V H'c-lto per ridonare alla barba èd ai ck^rri’" '
èefiii'à' maécrtiifi/ -nè l’a-bV ns bejjezza e vitalità della prima,giovinezza , ■
^ PsÌÌG- Questa -impareggiabile
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compostóioiie pei capelli kuùGè' un tiritiira; ma’ ^acqua
• s- fumo che non ipacthia nàia biancheria ne la
,, .pelle e, che si adopera con la massima facilità
e speditezza. Essa agisce sUI bulbo’d'ei capélli
e della barba fornendone, il nutriinento ne-,
cessarlo e cioè ridonando loro il colore
, prinittivò./favortnd ne lo Sviluppo e renden' 'i
j doii Jicssibili, niybidi ed arrestandone ja. ,•
caduta. Inoltre.puljsce prontamente ia cotenna
è fà sparire la fdrròra. — Una s'^é 'bòWgHó
Gesta per 'Otìtìsógunà un effetto Sorprendente,
■>' •'■ATf Ete'TAT-O
i ■" 'Signori MIGONE idi C. — Milano
,] Flnaimcnte tao potutd.’trovare una preparazione che
t11 r f!nn.icci. ai r-ano O all.. ... OHE
'•t'
m! ridonasse,ai cap'elli ed'aila barba il coioràprimiti^^^^^
la freaeftèzza e la bellezza della gfovén'ffi'sTnla avere 1^
•f'J
itonìoo ricogtiitttente deLSaBgue.^
lU. ...I C iC, .. . minimo disturbo iielj’applicazlone.
bastò eiJ ora non ho un solo.peto tipneo.
uciia vuaua rtuncuiiiAic ini uasio CU Ora non nO UH solo npln hfahnn
tintura, ma un’acqua ché
non macchia nè la biancheria, ne la pelle ed agisce sulla cute e sui bulbi dei peli facendo
SCOtnp&rire totahnei^ te neiiipiilè è rinf«rij»tiiin Ir rarfjri Hi»i rarsoJK ‘ ■ta-««*ys • i.»./. ________e
tï' Í )
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geomp^ íiníorz^d^^ií ia;^tfTircEr't^*^
don cadono più, mentre corsi ¡1 pericolo di, diventare calvo. oc,o.«i clL
r&IKANi CrlnlvO,
Atmirmiìicii»
'^idvuiiQOtdiiu liQQUgl
COVSIRVUlMi. fllfilNtltiMiH
,AK6ElONtm,C!
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f)l WÌU«r*jie’|||
< §orge»^é AiigeÌioa > |
■ EiportiuioQé tutto il
MttdéM Muraa 10.000.000^^"^ iottíglfóf S
--- ... ™— --------------- , I, -lU'.hìiij 'U ('
U- A bottiglia, cent. 80 in più per la spedizione 2 hot
■nghe L. 8-.- 3 bottiglie L. 11 fraiiché di porto ed'é in vendita
presso tutti i FarmactsU, Parrucchiqii e Droghieri. *'l ì>1«';4w»ìS7m„'J;
SI SPEDISCE CQN LA MASSIMA SEGRETÉZZA
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Oeposità Generale da MIGQNE & C. ^ Via Orefici (^.mio teiriL, «-MILANO
: i«'iuyti3:f>-'»ii7tos‘»><l ,rionT ..A..-.'j
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