1
Soixante-onzième année
11 Octoìnre 1935-Xin
N* 40
Kj>liateca, Vàïdese
torre PELUCE
CHAQP3S VENDBEDI
B"==
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Italie et Colonies italiennes ....
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L. 10,» 24,^'
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- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
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Que toutes les choses vraies, honnêtes, juates, pures, aamables..ÿ '^^[pes de louange, oocapent vos pensées (Philipp. IV, 8).
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Jieprenons notre campagne.
C’est le moment où toutes les activités
ecclésiastiques reprennent; nous voulons
nous associer à cette reprise par L’Echo
et dans l’espoir de faire une œuvre utile,
malgré notre pauvreté, nous allons
offrir le journal gratuitement pendant
les mois de novembre et de décembre
aux nouveaux abonnés de 1936.
Nos lecteurs sont donc instamment
priés de le faire savoir à leurs amis
et connaissances.
L’abonnement est de 10 lires, mais
les dons supplémentaires seront les bien
venus, car malgré toutes les économies
que nous nous sommes imposées, nous
ne réussissons pas à éteindre le déficit
qui grève sur le budget du journal.
Nous recommandons à tous nos collaborateurs et correspondants de bien
vouloir intensifier leur activité en faveur '
de notre feuille vaudoise, afin qu’elle
puisse être variée, riche, intéressante,
digne d’être un lien sympathique entre
tous les Validais, en Italie et au delà
des monts et des mers.
Pour la vie intérieure
LES TRIBUL/lTiONS DU CHRÉTIEN.
« Vous aurez des tribulations dans
le monde ; mais pneno? courage,, j’ai
vaincu le monde ». Jean XVI, 33.
Jésus s’entretient avec ses disciples
avant de terminer son ministère terrestre et ip. leur fait des promesses. Que leur
promet-ü ? De la joie, de la. grandeur, de
la richesse, de la gloire ? Rien de tout
cela; l’horizon qu’ü leur laisse entrevoir
list plus sombre : Votes aurez des tribulations dans le monde.
Jésus aurait -pu Se passer de projeter
aux, regards de ses disciples une telle
perspective : i’s le savaient bien qu’ils
rencontreraient des tribulations, car ils
en avaiisnt déjà rencontré. Chacun aurait
pu déjà raconter ses déboires, ses épreuves, ses peines, Dans un monde de souffrance, le disciple, comme tout autre homime, est sujet à la douleur.
Mais estrce des tribulations générales
que Jésus entend parler à ses disciples ?
Jie ne crois pas : dans ce cas il aurait
dit une banalité absolument en contraste
avec la profondeur de sa pensée.
Ls disciple, comme tous les autres mortels, pourra connaître la souffrance, la maladie, la disette ; il ^airra se débattre dans
l’incertitude, dans le doute, dans les embarras de tous genres : il ne fait pas exception à la loi générale.
Mais à côté et en plus des tribulations
d’ordre générai, il y a des tribulations de
(hscwle; il y a la croix que tout fidèle
serviteur de Jésus doit porter,.
Tous^ tant que nous sômmés, nous aimons à parler die nos difficultés, de nos
ennuis, de la crise, des temí» difficiles ;
mais Eont-oe là des tribulations de disciples et la crise n’estelle pas seulement
telle par le fait .qu’elle affecte notre
bourse, nos commodités, nos plaisirs ?
Dans le désairoi actuel, le disciple ne
souffre pas seulemenit comme le monde
gouffre ; il a une souffrance qui lui est
propre, qui n’est pas d’ordre matériel
seulement : son esprit, son cœur, son
âme sont atteints d’une doulour-euœ meurtrissure. Il souffre avec ■ et comme tous
les fils des hommes, mais en plus il a æs
peines à lui. H a cru â la bonté, fe mal
trionlphe dans ie monde; il a rêvé xm
âge de paix, de tranquillité, de'■travail,
et voilà que des orages crèvent sur ITiumanîté. L’idéal -auquel il n’a pas næonçé
et auquel U-tr’êateiifcl pas renoncer,, eoâte
que Coûte, est toujqpjre! très éloigné. Dans
son cœur se neüèt^t toutes les peines de
ses compagnons de vqyage. . .................
On devrait donc conclure qu’il est bien
malheureux le disciple de Christ, plus
malheureux que les autres hommes.
Mais Jésus, qui n’a pas cru devoir imnumiser ses disciples! contre la peine, a
cependant fait quelque chose pour eiux.
Il leur a* prédit des tribulations, mais en
même temps il leur a témoigné ^,sym:pathie, il leur a fait sentir qu’il serait
avec. eux,. qu’R ne les abandmoerait pas. ’
Il leur a adressé la parole dont ils auraient besoin dans leUrs tribulations :
Prenez oouragp.
De son cœur fraternel ae dégage ce sentiment de solidarité qui sera pour le disciple la source de la plus grande d^
foreses ; sa paro’e pleine de tendresse n’a
cessé de résonner à travers les siècles, et
tous ceux qui l’ont entendue en ont été
fortifiés et consolési.
Mcüs dans l’iexpreseion : Prenez courage,
il n’y a pas seulemient de la sympathie;
eBe €sst l’écho d’une réalité, ^’une expérience personnelle.
Jésus peut dire à ses disciples .de prendre courage, parce qu’ii a vaincu le monde.
Il a connu le monde, Cdui qui invite
à prendre courage : rappelez entre toutes
ses expériences la tientation au désert et
la hame et l’abandon des siens, Iq mépris et le refus de son ménagé. Mais il
a tout supporté, jusqu’à la mort infamante et affreuse de la croix.
Par l’abaissement ü' est arrivé à la victoire et à la gloire des cieux.
Tout cela doit être un grand encouragement pour nous, si nous tenons à être
de vrais disciples de Jésus.
Dès que nous avons compris la beaxtté
du service chrétien, nous ne reculerons
pas devant Issi peines qu’il peut nous
causer ; an contraire, nous nous sentirons
heureux d’être jugés dignes de souffrir
pour la cause de Celui qui a donné ^a
vie pour nous.
Mais efforçons-nous de ne pas confondre, ks tribulations de tous les hommes,
avec celltes dest dzscijies : ceux-ci Jésus les
a mis à part et je dirais qu'il a dêvekippé
à un degré supérieur lf ]èür‘i fa<adté 'de
souffrir. ïki même temps il'leur a donné
l’assurance de son éternelle présence, de
sia sympathie, de sa force : voilà pourquoi
«n de ses,plus grands disciples a pu dire,
malgré toutes-ses difficultéSi ses liïttes
et ses peines : « Nom ne perdons point
courage». (2 Cor. IV, 1>.
Le DeDiième Centenaire
^ dn Comité Wallon.
^ La pnenuère moitié du 17® siècle .fut
PÎHb: lies VaUées une époque de grande
paisêre matérieBe. C’est à grand’peine
qu’l ^travers les. .guerres presque incessawbes nos pères avaient pu relever les
ruœes accumulées en 1686 et nemettre
en culture les terrains tombés en friche
pendant l'exil.
Les impôts étaient écrasants. Mais ce
q*uâ finit de réduire aux abois ces populaticoB alpesfenes ce furent une suite de
m&ûvaises récoltes et de terribles intempéries. Une trombe d’eau, qui fondit en
aalât 1728 sur les hautes vaUé^ grossit
tous 1^ torrents à tel point que le ViUar
et Bobi subirent des ravages terribles,
inutiisant pour longtemps les terrains
les meilleurs. Ce dernier village ne fut
même pas protégé contre la furie des
eaiix par son rempart séculaire.
A ioüïe de ces nouvelles, la charité des
pcotieetants étrangers s’émut, surtout en
Suisse, en Angleteme et en Hollande.
Lœ Pays-Bas avaient pris à cœur les
intérêts deq Vaudois tôt après les masseëres de 1655 ét . depuis lors cet intérêt
ne s’était pas démenti, en pîUtieuîier
’'' ■"dafts les églises waHonnies, auxqiliellèî "
s’étaient raittachés5leB*nombreux réfugiés
huguaiots, parce qu’elle célébraient leur
culte en français. C’est ainsi qu’en 1727
le synode wallon votait 90G0 florins pour
les Vaudefis qui étudiaieitt â l’étranger en
vue du minisltère ; ce subside fut porté
plus tard à 12.ÎX10I. Mais les désastres
causés par' l’inondation de 1728 émurent
les âmes • chasriltables à tel poèit que, la
même année, 50.(XI0 florins furent col’ectés dans les Provinces Uniea Tbente mille
furent tout de suite envoyés aux VaYées
et dîistribuiés aux sinistrés pour les arracher à leur dénûment et leur permettre
de relever les ruines. Les autres vingt
mille furent constitués en xm fonds de
secours permanent. Chaque église expédiait ses dcaîs à part ; ainsi, encore en
1728, Namxir fit parvenir aux Val’éifô 516
florins, Amsterdam en envoya 697 en 1729.
Michel L^er, pastexir à Genève et petit-fils d’Antoine, modérateur et pasteur
de Sainbjean expulsé en 1644, fut délégué aux VaUées pour examiner les conditions des Vaudois. Une copie du rapport,
qu’il écrivit en 1730 sur son enquête, fut
envoyée en Hollande et fit connaître les
difficultéa matérielles que traversaient les
famiiflles des pasteurs et d^ régents, ainsi
que la .néaesfflté de soutenir ^instruction
élémentaire. Cette même année une nouvelle collecte, faite en Hollande, produisit
20.000 florins, que Léger fut chargé de
distribuer lui-mênaei. D’autres secours furent envoyés les -années suivantes, «jusqu’à ce que le synode walbn de 1734 délégua l’administration du Femds Vaxrfois
aux qxiatre églises gui avaiait contribué
avec plus de générosité. C'étaient oeCes
d’Amsterdam, la Haye, Delft et Rotterdam. A la suite d’un-nmiveau synode, les
quatre commiæaires se réxmirent à Amsterdam, le 9 septembre 1735, et se constituèrent en Comité Wallpn. Le «q»ital
qui fut confié à leur admdnistraition s’élevait alors à 21.015 floarùis, produisent un
revenu de 704 florins, qui-furent dès lors
envoyés annueHement aux*Vallées.
I
En 1740 le secours hollandais permit
d’élever et de pro’onger le vieux rempart,
qxii n’avait pas suffi à garantir la ViPe
de Bobi contre l’inondation de 1728. Il a
encore été aHonigé récemment, 'à la suite
de l'alluvion de 1920.
' Tout en contribxiant à relever les honoraires mesquins dœ pasteurs, des régents
paroissiaux, et des veuves de ces ouvriers
de l'église, les ajmmissaires wallons pourvurent à augmenter le nœnbre des éodes
de qxiartier, pour obvier à l’ignorance,
compagne de la misère. En 1740 on comptait 32 de ees « iietite écoles », dont la
moitié au Val Luseme, 7 au Val Péroxiae
et 9 au Val Saint-Martin. Portées plus
tard au nombre de 38, elles reSurent, au
19« siècle, xme nouvelle impulsion énergique grâce à IfambaBsadleur de Prusse WaJdburg-Truchsess et au général Beckwith.
Des dons spéciaux fxxrent aussi' souvient
envoyés pour des besoins particuliers Ou
à Toícasioo de mauvaises récoltes cauc
sées par la grêle, dœ avalanches ou des
inondations.
- Eln 1760 et 1762 le Cbmité rédigea des
Mémoires sur l’état des Vallées, 'qui prœ
voqfuèrent de nouvelles coHectes. En 1763
ils fixèrent à 4000 francs la somme annuelle à atteindre ; l’Angleterre devait
en outre fournit 260 livres sterling, la
Suisse 160 florins.' On put ainsd augmentar de 300 livres la somme attribuée axtx
maîtr^ d’école et porter de à "9C0
celle qui était destinée aux pauvres.
L’église de iMiddelburg ayant concouru
à -la collecte avec xm élan particulier, -son
pasteur fut appelé à faire partie du Corailté, qui s’adjoignit aussi un ancien en
qualité die trésorier.
A partir de 1767 le Comité Wallon
maintint aux Val’ées l’Ecole Latine, qu’il
ne ferma qu’en 1836, après que le Collège,
fondé par Gilly et Beckwith, eut été solidement organisé.
Le Présidefiit ou le Secrétaire fut tour
à tour la cheville ouvrière du Comité, en
entretenant une correspondance très active avec la Table Vaudoiise. De leurs lettres ressort une connaissance approfondie
des besoins des Vallées. Les étudiants en
théedogie étaient suivis avec xm intérêt
particulier.
Quelques jeuniœ pasteurs, admirateurs
de Voltaire, étant rentrés aux Vallées
avec des sentiments rationalistes, dont
leur ptrédication se ressentait, le Comité
intervint en 1767 pour imposer la signature d’un Acte d’Uniformité, afin de garantir la pureté de la, doctrine. Ceux qxa
refuseraient de le signer seraient privés
du subside.
Depuis la fondation des Hôpitaux, et
plus tard de l’Orphelinat, ces établissements bénéficièrent aussi de ces envois
d’argent, ainsi que l’enseignement de la
Bibb et de la langue française.
L’espace limité ne nous permet pas
d’insister davantage sur les nombreux
siujets de gratitude que lœ Vaudois ont
envers le (bmité Wallon.
Nous nous limiterons à nommer les amis
de notre ïfelise, qui ont successivement
eu en mains la direction de cette administration. Ce sont Samuel Châtelain
(173&-75), H. Oeñoíi et Samxtel Robert
(1775-18ao$, R. Mounier (1810-43), J, Daniel Revel, de SMOit-Jean* pasteur à La
Haye (1843*i55), P. Maunier (1855B2),
puBS Loms Brésaon comme secrétaire et
A. Perk cœnme président, enfin P. Reyss
secrétaire, A. Arnal pr^ident. J. J,
2
L*Echo des Vallées - Vendredi 11 Octobre 1935-XIII
la Ée ime ïté aiaiiii.
Nous avoBs assisté avec plaisir à la reniée des daæes: quefle heîle jeunesse,
depuis les tout petits des éodes primaires
ju^u’aux lycéens qui ont déjà l'air de
philosophes ! Quelle beUe jeunesse, eÆ
quielte grande nesponsajbilité nous devons
sentir, nous les-aînés, envers envms
ceux qui doüvient être prêts à nous remplaoer, pour accomplir mieux que nous
leur tâche d’hwnmes. •
Devant cietite matière à travailler, à
formieir, je me sens saisi par le sentiment
de mon incapacité et je pense aux deux
potiers que j’ai surpris à Jbur besogne.
Les voilà tout au fcœd de la vaMée; ils
pétrissent une terre ^)éciaile ; puis, chacun
à sa manière, faoonne quelques objets. L’un
me présate une amphore daigne d’un
palais royal l’autre une marmite bonne
seufement pour le taaidis le plus miséraKe. Une amphore, une marmite; quelle
énorme différence entre les deux! Et
pourtant oDies sont, tirées de la même
argüe ; íes deux potiers ont travaillé côte
à côte, mais le résultat ‘de leur travail
est tout à fait différent.
H y a uns autre arg'ile, bien plus précieuse; cest loifartoe, ç’est la jeunesse
qize nous sommes appelés à instruire et
à ^uquer. Nous devenons des potiers ;
mais que sortira-t-il de nos mains? Des
amphores axix lignes délicates et pleines
d’harmonie, ou des marmites grossières
et peu agréables à la vue ?
La question est grave et nous sentons
que par nos propres capacités ü est imposable die bien réussir ; mais i y a un
potier qui fait bien tout ce qu’ü fait :
te ert Celui qui de la poussière de la terre
a taré l’homme, « une créature à son image
«t à sa ressemblance».
Quand Ü travaille. Lui, notre argilei,
tout ce qui sort de ses mains est parfait.
M pourtant de longues années durant on
lavait pour ainsi dire exclu de® écoles
de notre patrie ; on n’y prononçait plus
son nom, on n’y apprenait même plus la
prière mo^le que Jésus avait enseignée
■a ^ disciples ; tout signe extérieur de
la toi chrétienne était banni.
Depms quelques années tout cela a
teHa^e et ceux qui ont la responsabilité
•de l«3iueataon de la jeunesse ont'compris
■qw le fondement religieux est le plus
surjet lé plus fécond en bons résultats.
L’instruction religieuse est rétablie dans
t^les ordres d’écoles; la rentrée des
est devenue un événement solenune cérémonie impressive, un culte
inspirateur. Nous sommes revenusi à la
^esse biblique qui affirmait : « Crains
Ineu^ et garde ses commandements... ».
L école athée ^t un non-sens et les esprits les plus clairv(^ants s’étaiient insurcontre elle ©t réclamaient qu’on rétablit lenseignanent religieux. L’orientaliste M. Kerbaker, entre autres, a insisté
avec énergie sur la valeur de l’enseignement religieux qu'il présente comme « un
complément nécessaire de la culture généra!©» rt le sentiment religieux comoie
•« le principal fondaient de la moralité ».
(« h insegnamento religion ndüa scuola »
in «Scritti inediti», a mra délia Reale ‘
Accademia d’ItcMa, vdl. 7).
Tous les éducateurs consciencieux ont
dû reconnaître qu© la pensée, 1© sentiment de Dieu sont les plus grands auxiliaires de l’éducation. J’ai rencontré des
hommes qui s’occupaient des enfants abandonnés, fourvoyés, et qui me disaient avec
les accents de la conviction la plus profonde que l’œuvre de relèvement, de redressement i/était possible que par la
communication de la vie religieuse.
C’est donc avec joie que nous voyons
que l’enseignement religieux a été rétabli
dans toutes les écoles de notre patrie ;
quant à nous qui l’avons ah immemorabili,
nous voffions le rendre toujours plus acceptable.'^ujours plus assimilable et vivant en sorte qu’ü ne pénètre pas seulement la penséèt mais Tâmè, lé cœur, la
conscience, qu’il devfeine le levain qui
fait - lever toute la pâte, qu’il renouvelle
la vie -entière.
Au moment où toutes les. écoles. (y com• pris les écolfô du .'dimapchië) se rouvrent,
nous pensons à nos enfants ^vee; la plus!
vive affection et nous, invoquons l’aide
du grand Potier, éfin^ qu-’il supplée à tous,
nos manquement''•'^' devienne, dans l’éducation, la base que rien ne peut ébranler.
Itm lui li f»llli il bdenint.
'Mardi matin est décédé, à la suite d’uwe
pnmnwme foudroyante, M. Henri Rîbet,
beaurfrère du modérateur, M. le prof. E.
Comba.
. Nom exprimm nctre -sympathie émue
à M. et M.me Conibà et à la famMe ducher dispam.
PONS REÇUS
Flews m souvenir de. 'M, Louis Gamba.
La famMe:
Pour TEfelise L. 100,
» l’Orphelinat 50!—,
» l’Hôpital » 50,’
* * » ’
Pour h Collège :
Dott. Umberto Eynard, Torre
PeHioe L
735.
ANGBO6NE. Après une interruption ,
de 34 ans, la Vênérablé Table a réintégré:
îe poste de second Raisteur avec résidence
au presbytère du Serre. Cette nouvelle a été
^ue avec une grandie e(t reconnaissant©. ;
joi© par la ■ population, vaudoise de notre •
paroisse, se dispose à souhaiter une
chaleureuse bienvenue à M. Achille Deo-^
dato, qui était 1 an dernier piasteur à ^
Turin, Son installation aura ieu au culte,, '
de diinanch© prochain, au chef-lieu, et ilj î'
est à prévoir une grande affluence de^
participan,ta
★ Nous remercions vivement 1© pasteurf
M, Robert Jahier et Tévangéliste en re-j|
traite ÍM. Ch. A!. Arnoulet qui ont pré-Jv
ridé cuites au chefdieu et au Pra-'t
dUtourl ■ V
★ L’école du dimanche du Martel, comf
fiée aux soins' dévoués du diacre M. Ber- '
taJot, se rouvrira dimanche prochain. Nous 1
prions vivement les parents d'y envoyeni
les enfants dès la première leçon.
★ La famiÜe d’Etienne Chauvie, de|
Saintdiaurent, a été bénie, le 4 courant,,i.î
par la i^ssaince di’un troirièm© enfantJ
Alma Aliee. Nous” démanidoiis au ^igneuiÉ
de la garder dans sa grâce.
Nous profitons He cette occasion
rappeler aux paroissiens Jja prière inte
nous leur avons déjà faite, de nous pnxticiper toujours naissances. Outre,que
ces participations sont pour le Pasteur une
nécessité d’administration, œlui-ci sma
très heureux, de temps en temps, de pari
ticiper aux joies de ses paroiæiens, tandis
que par ailleurs on lui fait part d’un si
grand nombre de misères. R. N.
BOBI. L’Echo de la semaine dernière
a déjà annoncé le igrave accident qui est
venu jeter la paroisse dans le deuil.
U s’agit de la mort soudaine, survenue
mercredi 2 courant, de M. Josué Geymonat, instituteur.
Tandis que, à motocyclette, ii parcourait la grande route provinciale, arrivé
au pont de Subiasc, à cause d’une fausse
manœuvre, notre frère est précipité sur
le fond dq torrent, se blessant grièvement. Transporté d’urgence à l’Hôpitaî de
La Tour, il! y succombait une heure après.
Mi. Geÿmonat laisse un grand vide après
lui, à cause des multiples activités qu’il
avait ^ues, au sein de notre poputetion.
Après avoir successivement occupé, comme instituteur, des postes dans la vaîlé©
d’Aoste, à Bobi et à Briquéras, il venait
d’être nommé au Vifiar où il avait commencé avec entrain Ja nouvelle année scolaire. C’est précisément en revenant de
son école qu’ü a trouvé la mort.
Mais c’est surtout au sein de sa fâmiUe
que le -vide creusé est grand. Nous pensons avec une profonde sympathie à cdle
qui a été pendant quatre ans la précieuæ
compagne de sa vie, M.rae Hélène
monatiChauvie, si forte dans sa douleur,
à sre deux tendres enfants qui ne réalisent pas encore la grande perte qu’ils
viennent de subir, et- à son père, M. le
chev. Etienne Geÿmonat, qui a vu coura- geuèeraent tomber les uns après les autrre tous les membres de sa famille.
Les obsèques, imposantes par^ le grand
nombre des participants venus de pr^
et de loin, et auxquelles prirent part,
entre le Pasteur de la pareisa^ Ml|. les
pasteurs R Jahier ©t J, Tnœ, ainsÿ que
MM. le Directeur didactique de La Tour
et Hélïl Long, instaifcuteur au Viliar, furent une solennelle démonstration de l’estime générale dont étaient entourés notre frère et toute sa famille.
Tk In memortam de Josué Geÿmonat,
Mme et M. Giuüo Jon-&otta (Turm),
L. Kl pour i’ifejise de Bobi.
LATOÜB. La présentation à la paroisse de M. le pasteur Fuhrmann, que
!a Vén. Table a bien voulu désigner comme collabcrateur du Pasteur titulaire
aura lieu œ dimanche prochain, 13 courant au cu’te de 10 h. 30.
★ Le !«'• octobre dernier on fêtait, dans
la grande salle de l’Asile FroëbeJjen, le
centenaire de la Société de càuture. &iixantieidix personnes environ s’y trouvaient
réunies. Après le culte présidé par le Pasteur la Présidente fit, à grands traits,
1 historique de la Sreiété depuisi ses origine j=u«ïu’à ne® jours. On peut se rendre compte de la tâche charitable accomplie au cours de ce siècle. Mesdames VolaPeyrot, Adolphe Comba et M. le prof. Jean
JaUa rappalèrent quelques souvenirs intéressants die 1 activité de la Société, et
M. Auguste Coïsson, missionnaire, termina
par la prière.
Le Comité de la Société de couture a
décidé de créer un fonds, dont l’intérêt
ira au bénéfice des pauvres, hélas! toujours nombreux, et qui est appelé Fonds
du centenaire. M.me Jules Tron, pasteur,
recevra avec une viye reconnaiæance les
dons que les cœurs charitables voudront
bien lui faire parvenir.
★ La mort a enlevé à sa famiUe et à
l’église M. Jean Louis Gbmôa; qu’une ma-ladie affligeait depuis ' quelques; mois. U
laisse un bon souvenir d'époux et de père
conmeré au bien des siens, et de crôyant
pieux et soumis à la volonté de Dieu.
Nous tenons à redire à sa compagne
et à ses enfants combien nous sympathisons avec eux dans leur deuil Que le Seigneur les console comme Lui seuil peut
le faire efficacement.
Et c’est aussi les consolations d’EnHaut que nous implorons sur les jeunes
parents Cougn-Albarea, auxquels la mort
a enlevé leur bébé qui n’a fait qu’une
brève apparition dans ce monde pour
s’entôler aussitôt après vers Dieu.
★ Im «Balziglia» ressuscite. Jeudi
g(oir, âans une salle du Collège Vaudois,
a eu lieu la première séance de la «Balzigfia », reconstituée comme Société scolaire d’études vaudoisiœ. Etaient présentst
entre autres, le présidé du Collège, prof. E.
Longo, avec quelques collègues, et le pasteur M. Jules Tron.
Le ictoct. Vittorio Pons, ancien élève du
Collège, expliqua les raisons de la reconstitution et énonça le but à atteindre. La
« Balziglia » devra être, à côté de la « Pra
de! Torno », une source de vie spirituelle
parmi letg étudiants et visera à faire con.naître notre histoire, à rendre plus so’ide
l’esprit de corps vaudois tout en s’inspirant des principes, chrétiens qui doivent
être à la base de notre vie.
M. Osvaldo Coïsson, président, lit et
explique le Règlement et trace le programme à développer.
Le prof. J. Jalla prend la parole pour
souhaiter à la « Balziglia » reconstituée
un avenir florissant, digne d’un glorieux
passé.
Le prof. E. Longo fait lui aussi ses
souhaits.
La séance, qui avait été ouverte par
le Choral de Luther, se termine par le
Serment de Sibaud et la prière prononcée par le pasteur M. J. Tron.
Le Secrétaire : Robert Malan.
SAINT-GEBMAIN. L’inauguration de
l’année scolaire aura lieu dimanche 13 courant, dans notre temple, avec un culte
Qiécial pour Jes enfants et les parents.
Nous prions donc les intéresisês de bien
voifloir être i^ctuiels, pour commencer
ainsi une annéé de travaii sous le regard
du Pèrè ceinte.
★ Au Saint-Baï>t&ne a été présentée
la petite Silvia Comba de Eugène et Hé
Vald
20
100
lène. Que Dieu bénisge la petite Si
et ses parents.
★ Asüe des Vieillards. Dans reçus
1“ juMlet au octd>re 1935 ; Eglise
Via Die Amicisi, Milan, L. 100 - Eglise
Febnica Po, 15 - Dant Frank, Mancb
ter, 178 - Eglise de Torre Pellice,
memoriMn du regretté pasteur Char]
Albert Tron », 700 - Seiger Nancy, Val
lauris, France, *300 - Cabella Eugénie,
rin, 20 - Bouchard Barth. et Giaiero
20 - Eglise de Pramol 50 - Stallé Heu
Monitecark), 40 - Griset Emmanuel pro;
et M.me, 75 - Berton Elvina, Pignerol
- Long-Rivoire Fanny, Id., 20 - Coïi
Alice, Id., 5 - Balma Ausonia, Id.,
Schreiber Armando, Id., 20 - Union d
Mères de Saint-Second, 10 - Eglise de V
lesèche, 25 - Soria Ida et famille, Turi:
50 - Eglise de Rodoret, 20 - Oddone
Pietramarazzi, 5,10 - Salce-Bounous, Vill
Perosja, 10 - Longo Selma, 15 - M.me Ro
Pignerol, 25 - M. Richard, Genève,
M.me Stagnitta, 50 - Revel Marie, 20
Emma Leidhieuser^Gardiol, à l’occasi
d’une visite, 300.
Hélas ! la liste lest trop courte poi
tout un trimestre. Nous avons l’impre
sion que l’Asile de Saiint-iGermain est
peu négligé par la libéralité chrétien:
On le croit doté. C’est une légende qu^
ne faut pas laisser prendre racine. Bien^i
au contraire, nous en sommes à nous de-,
mander comment nous, pourrons continuer^
à maintenir notre grande famille de 80>
personnes puisque tous les articles de rari,,
vitaillement ,et de chauffage renchérissent^
de jour en jour. Voilà pourquoi nous sup-’^
plions ceux qui 1© peuvent de bien vouloir nous venir en aide.
MM. les Pasteurs du -Val Cluson ■vont;:
recevoir incessamment un certain nombre
de sacs vides pour la coUecte ordinaire^
de pommes de terre et autres denrées.
Les' dons en nature seront, cette année,
plus appréciés que jamais, et nous remercions à l’avance 'tousi ceux qui prendront
à cœur de nous en faire parvenir la plus
grande quantité possible.
Pour le Comité administrqtif ‘f^
Barth. Soulier, directeur.
VILLAB. Distinction civile. Nous avons
été heureux d’apprendre que, par un décret du Préfet, un membre de notre Consistoire, M. Jacques Dedmas, du Teynaud,
ex-syndic, vient d’être nommé, sur la proposition du podestat, M. le comm. F. Margaria, délégué de ce dernier. Nt® sincères
félicitations.
★ Départ. Avec nos enfants des écoles
du Centre, toute notre population a été
très douloureusement impreæionnée à k
nouvelle du départ si inattendu du jeune
nouvel instituteur qui avait à peine commencé sa carrière au milieu de nous,
M. Josué Geymmat, de Bobi. • ■
Nous nous unissons tous pour exprimer
au vieux père et à la jeune famille Geymonat notre plus vive sympathie.
★ Visite. Dimanche dernier notre église
a eu la surprise et la joie de recevoir la visite de son ancien conducteur,
M. le pasteur Auguste Jahier, -qui a présidé le cuite. Nous le remercions de grand
cœur.
★ Notre Vente annuelle en faveur de
la. Maison Unioniste qui est en projet a
eu, malgré les temps difficiles, un résultat
encourageant.
Merci' à tous ceux et à celles surtout
qui se sont dépensés pour en assmer l’heureuse réussite. Merci tout- iparticuâière-■
mient à ces frères et sœurs que même la
grande distance n’a pas empêchés de
prendre part à 'notre Bazar. j.
PERSONALIA.
L’*Æpino, de Roine, publie dans son numéro du 1®>' octobre, un article élogieux
à l’adresse du bataillon « Saluzzo », envoyé
dans l’Afrique Orientale.
Nous signalons ' à nos lecteurs que le
commandant du bataiUpn ^ un officier
vaudois, M. David JaUa, fils du prof. Jean
Jafla.
Nos vœux accompagnent le commandant
et tous ceux qui Itti sont confiés ; officiel®, sous-officiers et reHats.
ïi: ^ ÿ
Nous apprenons en retard que M. Renato Malan, fils du prof. Guido MaJan, un
-.i:.
3
L’Echo des VaUées - Vendredi 11 Octobre 1935-Xm
de nos anciens élèves au Collège de Tbne
Fenice, a conciuia, au mois de juiSet, sa
Icairm en médecine avec mention. ^ pieni
voti <e dignità di stampa-».
Nos félicitations et nos meiUeurs souhaits au nouveau docteoar.
les Livres
•Ultra - Ugo Janni — Guanda, editore,
1935 — L. 12.
La finalité du monde ; la survivmice de
la personnalité humaine à la mort ; la résurrection, l’immortalité ; la route vers le
but ; la réincarnation ; la consommation
finale : voüà les arguments d’intérêts toujours actuels qu’aborde ce nouveau livre
du doct. Janni.
Jl ne s’agit pas d’un développement général, à un point de vue philoeoiphiquei.
Ultra pose les problèmes de l’Au-delà et
fonde leur critique sur le terrain de la
Sainte-Bcriture, à la lumière de la pensée
chrétiennia.
C’est avec une parfaite clarté et une
lorique puissante qUe le doct. Janni nous
introduit au centre des problèmes les plus
■controversés, soit qu’il discute d^ rapports supposés entre les âmes des trépassés et nous, soit que, sur les traces de
l’Evangile, il aborde le sujet presque insoluble des peines étemelles.
Signalons encore une qualité que l’ai’gument' tout particulier de Ultra rend
vraimient précieux : un savant équiïïbre
dans le choix des problèmes à mettre au
premier plan et dans la façon de les envisager. Quiconque désire approfondir
l’examen des questions de l’Au-delà, qui
-ont été très souvent et trop souvent faussées, pourra donc recourir avec confiance
au livre du doct. Janni.
Dans une de ces phrases, qui’ sont comme des rayons de lumière, il s’exprime
ainsi : « Il Vangelo non ha per fine di tòglierci- la curiosità intorno alla modalità
-della vita ultra-terrena, forse anche perché al presente le nostre categorie mentali non sarebbero capaci di afiTerrare una
rivelazione di tal genere Et s’il admet
la nécessité de la spéculation, il veut
l’exercer avec une extrême prudence.
Les ailes de la spécula-tion s’élancent,
peut-être avec une plus grande hardiesse
dans le chapdtre ; « la réincarnation ».
Grande habileté, vraie génialité à mettre
en valeur les éléments favorables à la
thèse de la réincarnation ; le raisonne:raent est impeccable, toutefois sera-t-il
jamais postible de traduire les réaiütés
immensément mystérieuses de l’Au-delà
dans le pauvre langage de notre pensée ?
Et si notre pensée ne peut percer le voile
de l’Au-delà, ne serait-il pas plus sage
de renonoer à une définition détaillée de
certains problèmes et de s’en tenir à un
prudent agnosticisme ?
Le livre du doct. Janni est bienfaisant
pour les problèmes qu’il pose et pour l’atmo^hère élevée du développement.
En outre, aux cœurs brisés par le deuil
■ou troublés par le désespoir, il ne peut
qu’apporter une grande consolation et
une vive espérance.
C’est donc avec une profonde conviction
que nous nous, permettons d’en conseiller
la lecture.
5
FEDERATION DES VAUDOIS
DES ÉTATS-UNIS.
Souscription pour l’Ëglise Vandoise d’Italie.
— 1934-35 —
NEW-YORK ET ENVIRONS '
(1« liste).
Groupe Madeleine Caïrm:
Céline Coïæon, $ 1 - Susanne Brez, 1 Pauline Zecca, 1 - Ernesta Vola, 1 - Ernestine Coïsson, 1 - NdJy Bertin, 1 - Amelia Besson, 1 - Lé^, Caïrus, 1 - Marie
Louise iMartinengo, 1 - Marguerite Vinay,
1 - Pauline Rivoire (Corona), 1 - Dora Rivoip-e, 1 - MargUerile Bonjoui;, 1 - J^
Bonjour, 1 - Emilie'Vanesi Càrh^aìi
(Cal.), pour rHôpitai-du Pomarêt et ÏOr
phelînat de La Tour, 5 - Marie Rivoire, 1
“ Madeleine Cairus, 2. - Total $ 22.
Groupe Louise Dwrand:
Emiha Cavallero, $ 1 - Hector Bert. 1 Louise Elicona, 1 - Hilda Bem, 1 - Louise
Durand, 1. - Total $ 5.
Groupe Henriette Thiele :
Marguerite CeynxMiat. $ 1 - Pauline Geymonat, missionnaire, 1 - Marie Gairou, 2
- Jean L. Garrou, 1 - Philippe Garrou, 1
- Jean P. et Jeanne Rostan, 1 - Letiaa
Rostan, 1 Marianne GriR, 1 - Richard
et Henriette 'Huete, 2, - Total $ 12.
Groupe Henri lUvoire:
Laurent Rivoire, $ 1 - Marie Bianchì, 1
- Marguerite Rivoirq, 1 - ¡Michel De Pasquale 1 - Paîul Roman, 1 - Henriette Eynard, 1 - Anselme Plavan, 1 - Henri Bfertin, 1.- Henri et Pauline RSivoire, 2 - Jean
Benech, 1 - Ebther Malfroy, 1 - Jean D.
Godino, 1 - Lisette Rivorrei 1 - Aline
Revel, 1 - Etienne Bertin, Brooklyn, 1. Total $ 16.
Groupe Josué Tron:
Amelia Long, $ 1 - Jean GriU, 1 - Ida
Gril, 1 - François Perrou, 1 - Camille
Hirn, 1 - Henri iMenusian (50 th St), 1
- Emmanuel Tron, aussi pour l’an dernier, 2 - Henri: Tron (Corona), 1 - Marie
F. Multare, 1 - Em^ Pascal, 1 - Attilio
Paschetto, 1 - Josué Tron, 1,. - Total $ 13.
Total 7” liste pour New-Yoïic, $ 68.
P G
CHIOAGO.
Groupe Antoine Pons :
Henri et Lydia Grill, $ 5 - PhiMppe et
Louise Berger, 2 - ¡ML et M.me François
Peyrot de Philippe, 3 - M. et M.me Henri
GriU (grosis), 2 - M. et M.me Jean Hairi
Peyrot, 2 - Antoine et Aline POns, 2 M. et M.me Ernest Mûris, 2 - Malvina
Rostan, 1 - Susanne Rostan, 1 - Susanne
Richard, 1 - Hélène Bertalmio, 1 - Jean
Etienne Garrou, 1 - François Peyrot feu
Jacques, 1 - Eugène Bneiuza, 1 ■> François
Grill de Jean, 1 - Henri Rostan de François, 1 - Marie Pons, 1 - Guido Rostan, 1
- Philippe Berger (senior), 1. - Total $ 80.
Mes remerciements lies plus slentds à
tous, chers amis de Chicago, mais s(urtout
à la personne qui s’est comme toujours,
pris la peine de collecter vos bannes
contributiona P, G.
iBstitations Hospitalières Vandoises.
ORPHELINAT.
Union Chrétienne, Villesèche, L. 30 - Diano
Nicola, Bari, 1 - Pleuire en souvenir de M.me
talentine Comba-Long, de M.me Gay-Durando,
Torre Pelllce, 25 - GiuUo Comba, à la mémoire
de son épouse bien-aimée Valmtine Oomba^,
Long, 500 - PamiUe Comba, à la mémoiare de
leur beUe-flUe et beUersœur Valentine CombaLong, 1000 - Prof. Ernesto Comba, modérateur,
et M.me, en souvenir de leur cousine Valentine Comba-Long, 200 - IGay Paoloi, Prà Genova)
à la mémoire de M.me Valentine' Oombâ-Long,
200 - La Fédération des Vaudoâs des EtatsUnis d’Amérique, pour une place à l’Orphelinat, 2000l
C’est avec des sentiments de reconnaissance que l’Administration des Institutions
Hospitalières Vaudoises a reçu par l’entremise du Rev. Dr. Pierre Origlio, pasteur
de notre Eglise de New-York, le don que
la Fédération des Vaudois des Etats-Unis
d’Amérique a bien voulu nous faire avoir
afin de créer un fonds pour la place d’une
orpheline à notre Orphelinat Vaudois de
Torre Pcllice. Nous les remerçions pour
leur générosité, pour leur idée si pratique,
et pour l’intérêt qu’ils démontrent pour
toutes nos Œuvres.
Puisse ce geste de solidariété chrétienne
être imité par d’aUttes amis de notre Orphelinat Vaudois, afin que ce bel Institut
puisse vivre et prospérer.
HOPITAUX.
. Edouard Marauda, Londres, L. 50 - M. et
M.me Alfredo Long, Perosa Argentina, à la
mémoire de leur cher fils, L. 50 - Bertiaid
Jacques, Poinarelv 10 - Antoin^te pirill, Id,
‘10 - Vaipiola Giovanni, Asti, 30 - Pastïe Auguste, ..Perosa Argentina, à la . m3ïKfire. du
«Marin Vaudvâs», 20 - Pascal,Edmond, Fontaines,, 20 - Pasquet PrÔdérie,' Miradolo, 25 Boêtan Marie, Massels, 10 - Genre J. Pierre,
'Bouvjl (pour ufie transafctiqn), 50,.
: ^ REPÙGE. • •
• Giulia Monastier,-ToiTe Pelliee, L. 15 - IiLme
Em. Gaîiiand, Due»osrAires,-50 —, Qdlecté par,
Mme Jüuschàafi;^ Nice: Mpue TotterP-Boanous, 10 - N. N., ID - Bertin-Ohauvie, 10
- liane Qxauvle Brenda, L. 10 - Pons Oiauvle,
5 - Muschiâto^ 11 — iGrlset-Long, Saint-Germain, 10 - Deux dames de passage, 6 — Fleurs
en Eouvenâr de M.me Giifiia CSoi^uaia; Gé-héral Ettore Petrali Cioognara, Beigaino, 50 MJueAda Frizzoni Petrali Ciccgnara et Manes
Mina et CSara Prlzzonl, Bergamo, 25 — P. P,
VUlar Pedlioe, 30.
ggpnnrinntinàpnnnnnD
Faite et Nouvelles.
Allemagne. Foi allemande et foi chrétienne. Voici quelques indicàtioas sur Tattitude du Mouvement de la^foi câlemande
(prof. Hauer) au sujet de l’éducation. Ce
moiuveníient désire éliminer de l'éc<de tout
eSaseignement confessionnel, celui-ci d&>
vaut être donné esclusivenaent dans
régüse. Par contre, le programme componga l’ienseignemient de «letónaent allemand », qui, dans tens les temps, aurait
résisté aux influenoes étrangère Le christianisriKi figure parmi oes dernières. Il est
opposition imkoncíKable avec le fond
àHemand primitif. Aussi longtemps que
les confeesions chrétiennes exerceront une
puissante influence sur le peuple, celui-ci
ne pourra pas retrouver son âme allemande. Les confessions ne souhaiteit pas
Fundité du peuple alemand, iriles ne veuh
lent pas l'homme ai0ema.nd, mais le chrétien en soi.
Contre ces tendances qui se manifestait toujours plus ouvertement, les cerctes de ÏEfelisa confessionnelte affirment
que, d’après la foi chrétienne, fe « chrétien en soi » n’est pas une notion biblique, mais vient d’un IbéraJisme dégénéré.
Les proteeitants d’Allemagne Savent qu’ils
sont des Aüanands qui sont chrétiens et
qui confessent le peuple et l’Eltat. Ce qui
sépare la foi chrétienne en Dieiu, de la foi
en Dieiu du Mouvement de la foi aUemaaide, c’est l'absence die révélation historique dans dette diernière. Dieu n’y est
plus qu’une idée issue de l’âme raci¿ile,
du sang allemand et de l'esprit allemand.
Dieu n’y egt plus une récité. Au contraitre, fe Dieu et Père de Jésîus-Uhrist,
devenu chair, a pris la forme historique
de lia personnalité de Jésus et par là a
piodelé l’histoire du monde, ce dont l’histoire dii peuple aÜœiand est aussii im témoignage. Tout le ^ubte spûjtuel, toute
la détresse pÆtîque et àxîiàe du peuple,
autrefois et maintenant, viennent du fait
oue sa vie s’est détachée des racines de
la foi chrétienne. Dans te, situation actuelle, ce qui importe c'est te retour du
peuple à Christ dans tous les domaines
et particulièrement dans celui de l’éducation. S. Œ. P. I.
Sc * »
Chill L'Eglise et la pditique. Les églises protestantes du Chili ont récemment
résumé leur attitude vis-à-vis de-la vie
civile, en 9 articles, dont voici un abrégé :
1“ La mission de l’Eglise de Christ est
éminemment spirituelle et eUe n’accepte
aucime retetion officielle avec l’Etat. Chacun dans sa sphère. Mais l’%lise doit contribuer à l'ordlre de te vie civile et à perfectionna te société ;
2° Les membres de l’Eglise doivent faire
usage de leurs droits civiques ;
3“ Le chrétien doit contribuer à la solution des problème poEtiques, sociaux
ou économiques;
4° Le chrétien doit déterminer son vote
par la recherche du bien-être général;
5° L’I^Mse ne doit pas favoriser im
parti politique déterminé.
6" Le bieii-être d’une nation dépend de
la somiiïe d’idéaux chrétiens incorporés
dans sa. législation ;
7“ Le chrétien peut axlhérer au parti
de son choix, mais il, doit examinsr si te
pragramme de ce parti est en concordance
avec les principes du Christ ;
8® Les chrétiens doivent agir avec intégrité dans te politique, se considérant
comme tes exécuteurs de la doctrine du
Maître ;
9® Læi temples ne doivent pas servir
de lieu de recrutanaent pour un parti
déterminé. S. Œ. P. I.
» * «
France. Evangile et Liberté reproduit,
dans son numéro du 25 septranbre, le résumé du sermon prononcé par le prof. D.
Borio i>our l’ouverture du Synode, et publié par l’Echo.
Notre confrère dœme aussi un bref
compte-rendu du Synode, et pariant de
la séance consacrée à la réception des
étrangers, il ranarque : « Smihaüons que
nos Egli^s de France se fassent une fois
représenter au Synode de nos frères
d!Palie ». (C’est nous qui soulignons, et
cruoique nous n’ayons, aucune autorité of
ficielte, tuHS tenons à dire à nos coreligionnaines de France que ce serait avec
le plus grand plaisir que notre Synode
accueilterait leur r^irésentant).
— Du 26 au 29 s^tembne a eu lieu,
à Itilfe-Roubaix, te 2« Congrès du Christianisme social des pays tetins (7* de te
Fédération fransaiae du Christianisme
social)^
Paftei les crmfênenders ; MM. Jean Cadier, EHje Gounelle, P. Boec, H. Qavier,
André Plrüip, Georges Lasseme^ G. Laliga,
etc. L’organe du mouvement est te revue
portant le lUMn de : Le Christianisme social, dont VEcho a fait mention à maintes
nepri^.
' Nous publions te rriaiiifestie-mvitation
' qui donne une idée de ce mouvietnent.
« Nous canvicns à œ Congrès tous ceux
qui synapathteent avec tes principes et
l’idéal du Christianisme ^iril, c'est-à-dire
d’un christianisme vivant, actifL courar
geux, ^pliqué à fa réalité, à toutes les
réalité.
«A la lumière de l’Evangile, dans l’esprit d’un protœtantisane fid^ et novateur et suimnt tes directives et tes méthodes (fe notre iMouvement, nous proclamons te primauté du spirituel, c’est-àfdire de l’Esprit du Christ qui doit tout
pénétaer, c'eSt-à-dire tout assànir et tout
sanctifier : dans Findividu, l'esprit, Tâme
et te corps ;• daiM la société, l’église, l'économie et te politique.
« Nous cherchons, dans nos Congrès et
nos PTOunei^ts, à vivifier et à régénérer les régimes et les -syistèmes par une
coronrébenrion et une fidélité chrétienneT
touiouis plus grandes ; nous plaçant au
cœur meme die fa; vie- sociale et întemationale, nous étudions les Questions les
plus actuelles pour dégager les applications pratiques du Christianisme et nos
devoirs neraonnels et coJfectifs.
« Séssion d'étude et d'information, iBurainée pa.r les certitudes évangélfiopues, nos
a<5sises latine et française du Christianisme social offrent à ceux qui, en France,
en IMgique, en Suisse et ailfauTS. ont
conscience de leurs resDonsabilitês en.
■hnn+ rm» rliVinles du Cbriafc. l'o-caSÎOÏl
d'affirmer oue la chrétienté organisée doit
être, dans te monde, un ferment continuel
de régénération .ët de salut soeial ».
_ * * *
6RANDB-RRETAGNE. Etudss SOcioles POWT
étudiants en théologie. Depuis un certain
temps, te Wycliffe Hall à Oxford a organisé pendant l’été pour ' les étudiants un
cours hors dq cette localité. Cette année,
^ dix premiers jours de cette période ont
été consacrés à l’étude sociale à Londr^.
L'objet de ces cours est triple: 1) examiner
lœ conditions soeiates dans les grandes
vill^ (habitations, usines, écoles, places
de jeux) ; 2) voir ce qui a été déjà réalisé
pour combattre les fléaux sociaux (crimie,
maladie, chômage) tout en reconnaissant
combien reste à faire ; 3) voir la «Hitribution que l’Eglise peut apporter en collaborant dans le service soeial volontaire
et de façons plus officielles. S. QB. P. L
* * *
SoissE. Confirmation. La Synode du Canton de Zurich s’est occupé de te confirmation et des demandes d’exception pour
une confirmation avant l’âge fixé par la
loi. Le catéchumène doit avoir 16 ans
avant fe l«*' mai de l’année de sa confirmation ; le Synode exige que l'on soit beaucoup plus sévères quant aux demandes
d’anticipation; une OMnimssdon spéciale
sera chargée d’examiner ces danandes
transmises par les Conseils de paroisse.
Seuls les cas de véritable nécessité devront
être pris en considération,
{Semeur Vaudois).
, * SS !|!
Pour une religion universelle. Eii 1934,
la «New History Society» (Société pour
que J’histoire du monde prenne une tournure nouvelle) a organisé parmi là jeu. nesse d’Asie un «aicours sous le titre :
«Comment la jeunesse peut-eUe contribuer à réaliser une religion universelle ? ».
Le christianisme, te bouddhfemq l'hindouisme, l’isOamisme et d'autres religions
ont été représentées parmi les participants.
Les concurrents plaident en faveur de
l’égalité dès sexes, des races, et des peuptes de différaites couteuTià; Us se déclarent contre la guerre. Ils s’élèvent contre
te dogmatisme religieux ; & désirent une
religion universelte et voudraient propager leurs idées par la presse, la T. S. P.,
l’art et te théâtre.' Us souhaitent une Hr
bte universeUe comjxxsée de monceaux
choisis, de l'enseignenieqt, dsœ 'plus grands
penseurs spiritudte de tous tes t^ps et
de toutes .Iqs r^es.. Une fangue universelle est déclarée un adjudant neeeæaire
à rubitê intemationate:
Les enseignements de Jésus sont souvent cités par des concurrente apparie-
4
4
L*Echo des Vallées - Vendredi U Octobre 1935-XilI,
nant à d’autres religions, qui déclarât
que cet enæi^CTaent contieint la acJution
pi^Meroes de ITiiutnanitaé. Fiit caractéristiqu© ; ceux des auteurè des travaux
qui sont eux-mêmes chrétiens, montrent
QU ils sont possédés par une force qui
donne la -pléniti^e <J© la vie. Le christianise a donc qudqpe chose â offrir au
monde, de plus grand que runiver^isme
&Œ.p:r.
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1,03
1,22
6,- 7,20 10,10 12,36 16,58
6,04 » 7,23 10,15 12,41 17,02
6,15 ) 7,36 10,26 12,52 17,15
6,36 7.— 7,52 10,45 13,13 17,38
6,50 7,26 8,05 11,06 13,34 18,01
7,20 8,10 8,30 11,47 14,07 18,42
4,50 6,36 7,56 11,36 13,20 17,27
5,29 7,22 8,28 12,14 14,02 18,02
5,54 7,48 8,45 12,36 14,23 (8,18
6,14 8,06 8,59 12,53 14,40 18,39
6,25 8,17 9,10 13,04 14,51 18,51
6,30 8,21 9,14 13,08 14,55 18,55
18,20
18.24
18,41
19,04
19,19
19,51
(1)
18.25
19,08
19,24
Cáüe^FRthígtfte (Homes)
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19,48
19.52
20.05
20,26
20.52
21,30
19.06
19,32
19,46
20,03
20,14
20,18
(2)
21,03
21,08
21,20
21,39'
22,02
22,40
20,02
20,53
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15,35 19,35
8,30
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9
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(I) AI Venerdì e Festivo — (2) Feriale
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7,
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11,50
11,55
12,01
12,08
12,15
12,20
(2)
16,10
16,15
16,21
16,28
16,35
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(3*
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7,32
7,35
7,41
7.45
7,52
7,59
8,02
8,05
8,08
8,11
8,16
.8,19
S,26
8,33
8,36
(«
8,45
8,52
8,55
8,58
9,01
9,04
9,08’
9,12
9,49
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8,45 9,35
(2)
10,45
10,52
10,55
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11,01
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•.11,10
11,17
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13,01
13,04
13,08
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13,21
13,26
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13,36
13,39
14,35 -(3) (I)
16,40 18,25 19,52 21,15
14,42 16,48 18,32 19,59 21,22
14,45 16,51 18,35 20,02 21,25
14,49 16,55 18,38 20,05 21,28
14,52 16,57 18,41 20,08 21,31
14,55 17,- 18,44 20,11 21,34
14,59 17,03 — 20,14 21,37
15,02 17,06 18,51 20,ir 21,40
15,10 17,13 18,58 20,24 21,47
15,18 17,20 19,05 20,31 21,55
15,21 17,23 19,08 20,34 21,58
15,29 17,28 — 20,39 22,02
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7,55 8,55 9,45 12,05 13,55
7,57 - 9,48 12,08 13,59
8,03 9,02 9,52 12,13 14,05
8,06 9,05 9,55 12,16 14,08
8,13 9,15 10,02 12,23 14 15
8,20 9,22 10,10 12,30 14,22
8,23 9,25 10,13 12,33 14 40
8,27 9,28 10,17 12,39 14 43
8,30 9,31 10,20 .12,42 14 46
8,33 9,33 10,23 12,45 14!49
8,36 9,36 10,26 12,48 14,52
8.39 9,39 10,29 12,51 14,55
a. 7,40 8,45 9,45 10,35 12,58 15,—
(1) Festivo dai 14 Luglio ai !• Settembre --'.<2)'.Sabato (Mercato a Pinerolo)
___________(3) Festivo fino ai 13 Luglio e 4al 2 Settembre in poi.
6,43
6,46
6,52
6,55
7,02
7,14
7,16
7,20
7,23
7,26
7,30
7,33
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16,20
16,23
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16,45
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17.
17,03
17,06
17,10
17,13
17,20
17,56
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18,09
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18,34
18,37
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18,43
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20,5 Í
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Pérosa Argentina
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9,08
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9,30
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9,-43'
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r0;07
10,16
10,20
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20,05*
20,14*
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20,32*
20,41*
20,50*
20,55*
Trossieri-Faetto
Chiotti-Riclaretto
Pomaretto
Perosa Argentina
a.
P
a.
Ferrerò e Praly si effettua nei giorni 16 e 30 Giugno e dal !•
(*) Dal 14 Luglio ai 1" Settembre.
5,05*
5, IO*
5,19*
5,28*
5,41*
5,45*
5,55*
6, —
6,03
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17,18
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Luglio a! 16 Settembre.
rimeri« Alpi» S. jlL
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