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Soixante-dmème année - Anno XII®. ‘
26 Oèt^bré 1934
à 3. .»
N® 42
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PARAISSANT 0OAQIÏE VENDREDI
'»K’..
PRIX D'ABONNEMENT 1
Italie et Coldnies italiennes..........
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Plusieurs abonnements à la même adresse .
Par aai Pour 6 mois
L. 10,» 24.» 22,
6,
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On s'abonne: à TorrePe///ce, au Bureau d’Administration deI’£cAo(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
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i’Admiaietratton, au Bureau du journal. Via Wigram, N" 2 - Torre Pellice.
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Tous les changements d’adresses coûtent fo centimes, sauf ceux du commen*
cernent de l’année.
Le munèro: 90 centimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes,, justes, pures, aimables.;;^*dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8)
COMUNICATO.
LA PRIMA DOMENICA DI NOVEMBRE
i signori Pastto'i e Anzàani-Bvangejisli della
Chiesa Valdese — i quali riceveranno una
nostra lettiera-circolare non appena sia
compiuta la sistemazione del campo di lar
VOTO — sono pregati di prendere nota che
la Tavola ha idisposto che, come nel piaissato, venga fatta ih tutte le nostre Chiese
la commemorazione della Riforma, nella
prilma Domenica di Novembre.
La colletta del culto principale; destinata alla Società Biblica Britannica e
Forestiera, va spedita direttamente al
dott. Bnrico Pons - Foro Italico, 25
Roma (101).
20 Ottobre 1934
n Moderatore: Ernesto Comba.
POUR Li TIR INTÉRIRl’Rfi
Christ (tt nons.
Col. I, 27. Lire v. 24-29.
I. - LE PRINCIPE.
« Christ en nous », an plein sens de cette
parole, c’est Dim en nous de la façon qu'il
était en Christ, disons mieux, de la façon
qu’il est en Christ; car, pour nous, Christ
est « vivant aux siècles des siècles ^
Dieu est en nous, en chacun de nous,
actuellement. N’avons-nous pas été créés à
l’image et à la ressemblance de Dieu ? (Gen.
I, 27). Ne sommes-nous pas de race divine ? (Actes XVII, 29). Seulement, tandis
qu’en Christ habite la plénitude de la diviniité, selon l’expression de St-Paul (CoL
II, 9), en nous la divinité n’existe trop
souvent encore qu’en germe. Il faut qu elle
y croisse « jusqu’à ce que Christ soit formé
en nous ». Ces dernières paroles sont encore de l’apôtre (Gai. IV, 19). « Ce que
nous serons, dit à son tour St-Jean, n’a
. A - a
pas encore été manifesté, mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous
serons semblables à Lui» (1 Jean III, 7).
« Semblables à Christ », ou « Christ en
nous ». C’est le grand et glorieux but qui
riôus est proposé. Il n’y en a pas d’aultres.
Olí s’il en est, il faut qu’ils soient tous
subordonnés à celui-là. Le profe^aur Masaryk, le vénéré président de la Répûblî*
que Tchécoslôvaque et dotfït on parle tant
de nos joiü^, né hense iiàS autremeht, s’il
est vrai qu’il a dit : « La politique n'est
pour moi qu'rih instrument ; mon but est
religieux et moral» (Courner des EtatsUnis, 17 juin 1934). Ah ! si les hommes,
ou un toujours plus grand nombre d’hommes savajient se placer à ce point de vue ;
si dans la vie, dans les affaires, dans la
I^itîque ils voulaient s’inspirer de ce
l>rin<gpe, "comme tout changerait en ce
moinde; et comme, au moment du grand
départ, leur pesrsonnalité se trouverait
enrichie !
Côrhmenti l’atteindre ce but ? Comment
nous en ràiiproeher de plus en plus ?
Par (feux moyeiis, principalement
« « *
îki dernier lielu, nous rappelant éoiis
tamment notre origine divine ; èh nous disant (fùej igeile que soit notre déchéance,
nous sommes enfants de Dieu. Est-ce que
poiïr cettie raison,, d'être le fils de celui qm
l’aVàît engendre ? Ce n'est pas ce qu'il
pensa, en toqt cas. « Je me lèverai, dit-il,
et j’irai' vers mon Père ! ».
Nos rapports avec notre Père selon l’esprit ont-ils été brisés ? brisés par l’oubli,
par l’égoïsne, par le péché ? Pen«)ns au
divin foyer dont nous nous sommes éloignés, à l’accueil ineffable qui nous y attend auprès de Celui qui nous est «demeuré fidèle parce qu’il ne peut pas se
renier Lui-même », aux possibilités merveilleuses qui nous restent malgré tout...
Il y aura là pour nous, à n’en pas douter,
un précieux stimulant.
Tout le contraire, il me semble, si, au
lieu de nous réclamer de notre haute naissance, nous nous disons que nous ne sommes que des vermisseaux de terne, ou nolus
cherchons à nous convaincre qu’il n'y a
absolument rien de bon en nous.
En vérité, j'ai de la peine à compren
dre comment, s’il n’y' a en nous rien de
bon, rien dé divin à cause de la chute de
nos premiers parents, enveloppaiit dans
fil Í.
ses conséquences tout le ^enre humaih,
nous puiisisiôns avoir pour destinée la stature spirituelle et morale de Christ. Le
torrent peut-ü remonter plus haut que sa
source ? l’homme peut-il devenir ce qu’il
ri’est pia,s pàr nature ou en principe ?
Vous me direz : Vous rie croyez donc
pas à la régénération, à la nouvelle naossaneé ? — Assuiiiément j'y crois, inalis dans
un senSiretaltiif, idans le sens que nous donnons à ces termes lorsque, par exemple,
nous dijsoins de la nature qu’eDe renaît
aïUB le souffle du printemps. Le gland a
certainement besoin, pour devenir chêne,
d'auxüiaires du dehors : de la pluie, du
soleil, surtout du suc nutritif de la terre ;
n’empêche qu’il he contienne en embryon
tout ce qu’ü sera ou pourra être un jour.
Ici nous touchons au second moyen de
poursuivre l’idéal «Christ en nous».
(14 suivre). • Pierre Grigiio.
Ce Mouvement des Groupes d'Oxforâ a
l’air de se mouvoir.
Après les retraites de cette année à Viévey dtl à Thouné, je ne parle que diéé suisses, en voilà une à Lausanne. Je n'avBÎS
jamais assisté à une de ces retraites, aussi
c’est avec intérêt que. je m’y sui& reiridu.
Ce qui frappe, tout d’abord, c’est la cordialité qui anime ces Groupes. On ne se
sent pas seiü, bien qu’étranger et
coninu ; les viæiges sont épanouis, on vous
sourit, on dirait qni’on se connaît depuis
longtemps.
J’ài trouvé qfü’îl y a de là joie ifflrmi
eux, on est gai, R ne manque pas üné cêr
(1) Il n’y a pas que les Groupes d’Oxford
dans le monde ! semblent dire nos lecteurs,
après les articles que n<)us avons fait paraître
tout récemment sur ce süjet. Celui-ci est ¿otc
le dernier que nous puhlidns, pour le moment.
Une aimable 'parsohhe a bien voulu nous traduire un article publié dans le Nieuwe Bott&rdamsche Courant, donnant le compte-rendU
d’un livre de Marjorie Harrison : « Saints ry/n
rnad» (Les saints perdent la rnison) et qui
est une critique du mouvement des Groupés
d’Oxford.
Nous savons qu’il y a des points faibles
dans le monvement des Groupes — comme
dans toutes les choses huimatoes — et nous ne
tenons pas à les cacher, mais nous, ne croyons
P|W convenable d^ajoul^ ùh nouvel article à
cette question. Merci quand même.
taine bonne humeur, on rit même, par
fioist Poipïuoî pas, au lieu de ces figures
aiÜongées, tristes ?
La discussion est facile, familièie : qui
■Jji.; I i ■
conijus a quelque chose à dire peut prenne la piarole. Il y a Uiu peu de tout dans
oœ équipés : des commerçante, dœ indusdleg pasteurs, des fiUes de magasin,
ouvriers : ils racontent leurs expéri^içiæ bénies ; pas de fausse honte de
par]^, Dieu leur donne le courage de
« partager »,
,D_y a eu pendant trois jours plusieurs
raoiCOTtres : quelques-unes seuleirbequt pour
hiiramies, ou réservées aux femmes, c’est
il a été traité la question de la pur^; ^ aiqtres' rencontres étaient mixtes,
^difirerente sujets ont été abordés. Rendahît ces entretiens, il y a de temps en
temps dies instante de rmieiilement, à la
fin un© prièire. Il a ôté fait, à mon avis,
uii bon travail.
'‘programme des Groupes dit tout :
lilwiiihëteté absolue, la pureté absolue, la
(î^rêcccupation de soi-même, et l’amour
at^u,
'les ^uipiers s’efforcent d’adopter oes
critères dans leurs familles ; la chose n’est
iSs toujours facile, mais peu à la fois ils
f airi’^t. Alors, que de miriaeles : maris
ét femmes qfui œ retrouvent, des fois après
„■fifen des années de maJenbenidus ; Tutaitax
se réalise entre parente ©t enfants, entré
frères ; alors S"paix ©f lé’h<rili©ur s’ensuivent pour de boa
Miais on bend plus loin, il faut appliqué
ces critères dû Ohrist dans la vi© de tous
les jours, dans les_ rations avec le prochain, dans les affaires, dans le travail ; et
là encore bien des témoignages courageux
sur les expériences faites.
Il y a eu en eux changement de vie : iife
en sont si heureux, qu’ils veulent devenir
des changeurs de vies.
C’est une force que leur donné (jette nouvelle vie, qui peu à peu se formé èn eux :
ils s’entr’addànt dans le coratìatj ils se confient l’un à l’aiïtre, s’aidant à se ^barrasser de bien des misères et die hontes cachées ; ils ôfent ée masque que tcius lés
hommes portent, prête à obéir à Dieu, à
abolir les barrière qjui nous séparent et de
Dieu et des horamès; àfers Dieu se oommunique à eux, Il leur montre le plan (ïu’Il
a pour chaioun, Mais il faut, chaque jour,
et souvent, ^ ^ûieSlIir doM le silence, et,
dans un aûan<^ji de l'être t<)ut entier,
laisser porlér^l^^ s^ , , „
Mon iriiprèssion, beaucoup ¿e
personnes s’mténeœent de ce mouvement,
^ l'J ¿J V . • mJ . > I ^
témoin ces, assemblées toujours bien frô;
quentéœ, et, ce concours ^impoeont^^ de
monde à l’e^ise de Sfe-Frahçbis, le dimanî(ffle matin, où un pasteur appartenant aux
Groupes ocoü^f fe, éB^rd. . ^
A la derhièfé .^^ehiblSa, fe (îimanché
soir, il y avait de l.(WO a 1.500 personneft
qui écoutaient avec tin intérêt soutenu le
message de.oes Groupes; on était là depuis deux heures, mais persónné n’avait
l’air de vouloir,?’ien..aller : «On y serait
resté encore^^aui^ai^i^y- qïg^.d^ût une voisine, teilement ' (î’ét^t çai^vant.
J O’-'- 1-1 • f-‘ _ J
C’estJh frat^ffll gjje^^ird^^ a voulue,
pour laqû^ Gipûp^ tfaya0^t ; effe
se forme pétii.à petit ,^,sç preipE^ dans
le monde ; cé. sera ^ùt4tre la révolution
J. qui portera la iiaix et la nor
de
malité dans ce marasme actuel ^
E^Telle troj) Î)eïïe cette vision ? Pourquoi dijuto, Ibut est possible á
Dieu, «è 'Ë,* M sotóèvé' fes montagnes .
P. St
DEMAIN,
Très honoré M. le Rédacteur,
C’est avec le plus vif intérêt que j’ai
lu un des artioles qui ont paru dans le
N. 40 dé notre cher journal, et je suS
sûr que mon intérêt a été celui de tous
les lecteurs, car le sujet ne pouvait revêtir un caractère de plus grande actualité :
« Aujourd'hui ». Je suis donc parfaitOToent
d'aiccond avec le professeur qui pnopos©
«aujourd'hui» comme mot d’ordre à ses
élèves, niais je pense qu’Ü ne serait pas
hors de propos de développer avec plus de
clarté et de profondeur là partie de l’article qui se rapporte à « demain », comme
étant demain inséparable d'aujourd’hui,
ainsi qu’auijourd'hui est inséparable d'hier.
Tous connaissœt très bien le danger
qu’il y a à se fier trop à l'avenir, et l’auteur d’« Aujourd’hui » à cité, sons l’indiqner, ce (jue dît Tapôtre Jacques dans son
épître (IV, 13-16) à propos de ceux (jui
bâtissent des châteaux ©n Espagne, hypothéquant leur avenir comme une chose
sûre. Mais il est d'autres dangers, diamétraJeraent opposés, qu’il convient de mebl
tre en ielief, à pr(^>os de la doctrine d’« aiujourd’hui ». Oe n’est pas que je croie que
le professeur les ignore — il y fait bien
affusion ■— maïs je désirerais les souligner..
Cette pensée pourra facilemfâit sem,bler
un fexoès de prudenee ©t une caainte exagérée, mais si Ton nie songe pas assez à
« (iemain », on risque de tomber dans la
doctrine de lai vte «au jour le jour», et
cela, non sefflement pour des étudiante.
Même si elle est bien entendue, la doctrine
dû carpe ¡¡Mem est dangereuse. Le présent
eût le fruit d’ün passé plus ou moins immédiat : or, il arrive facilement que 1©
brésebt n’est que la chute, parfois douloîarelise, d’illusions et d’espérances qui cône*
titûàiênt la raison d’être du passé quand
il était pir&ent, et le présent, s’il est pi^
m soi-même (jomine le seul bien dont il
ndiis est d(>nné 'de di^oser, peut sembler
éii certains cm tout autre qu'un bien, car
il n'eèt qû^uhû défaite et une faillit©
complètes.
Si on ne c()urrait pas le risque de ton>
ber dans iüne dissertatidri philosophique,
et par cohsêqpént iïuftile à líos effetfe, où
pourrait i&rler, ici, de la difficulté qu’il
, ÿ à à distinguer netteanent entre les trois
tieûiès : pateé, i^ésent ©t futur. Cela, pour
dSrë (ïuè 1’« aujourd’hui » dé l’article est
une sorte de présent ebntmuel, inséparabié de l’avenir. Quand une épreuve nous
atbânt, nous rie savons plus (juelle est là
limite entre le passé et le présent, ©t
toute co!nfiian(îe, tout e^¿)oir, seraient impossibles sans songer à ^majti. il est bien
d’insister sur là nécessité de ne pas renvoyer tout à l’avenir, prSepè par système ; mais d ^ aûài bteri de parler de
démàîn avec un accent d’espérance, sincot
b, vie peut dévenir ÜKsompréhensible, ét
ôèià ést bien loin d’être chrétiea Demain
^ un bien que nous ne possMons pasi
mais c’est un bien çpi nous est xirorim i
sàns cette pensée, le pàtei devient mui*
tile, et le présent plus inutile' que le p^sé:
je rie (ûxns pas, (iommië Tàûteiir df « Aujourd’hûi », (pie « demain est un mot abominable ». II peijt f être, màfe il ne doit paé
Têtrë. Deîriàin exjdfefaéra ramertume
d’àujoürd'bûi ; il réj^dra à tant de pour
qMm qui nous hantotit aujourd’hui ; il résoiwírá áte crises doufeureates ; ií ouvrira
.1
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2
L*Echo des Vallées - 26 Octobre 1934-XII
des voies nouvelles et inattendues ; il sera
plus lumineux si aujourd'hui est ofesour et
orageux.
Nom, il ne faut pas négliger aujourd’hui
en se fiant aveuglément à demain : c’est de
l’inconscience ; il faut; cependant, espérer
en demain, Et l'espérance est bien une
vertu chrétienne.
Pardonnez-moi ces réflexions peut-être
banales, mais sincères, et veuillez agréer,Monsieur le Rédacteur, mes salutations
empressée. Maffister.
L’mteur de « Demain » a raison, mais
l’auteur d« Aujourd’hui » n’a pas tort !
Il s’agit de différents peints de mces, anuDXquels nous amm du reste fait aümmon, si
nous ne les avons pas amplement développés. Celui qui profite de aujourd'hui, c’esi
précisément celui qui croit à demain.
Après oeia^ nous pourrons attendre un oMr
tre artîde sur hier, avec ses expériences,
ses leçons..., et l’autem- sera encore dans le
W«.' réd.
Le Message du Conte Universel des U.C.J.G.
a la Jeunesse CHIeune.
Le Comité Universel des Unions Chrétiennes de Jeunes Gens, réuni à Oxford
en juillet Idiemier, sous la présidence de
cette admirable figure de chrétien qiu’est
John Mbtt, a adressé à la jeunesse chrétienne le Message suivant, qui doit constituer la ligne directive de l’œuvre des
Unions Chrétiennes :
« Le puissant défi que les forces du paganisme lancent aujourd’hui contre notre
foi et notre vie chrétiennes nous a donné
la sensation très nette de la faiblesse de
nos Unions dans leur œuvre de direction
chrétienne de la vie de la jeunesse. Dans
l’énorme confusion du monde actluel, Dieu
nous a donné la preuve évidente de notre
impuissance à combattre victorieusement
le mal, soit au dedans ide nous, soit dans
notre vie sociale.
« C’est pour cela que nous sommes obligés de noms adresser à Dieu, en une fervente prière de repentance, dans la certitude que nous pouvons uniquement obtenir Une nouvelle force dans l’obéissance
totale à Celui qui, tout en étant crucifié,
nous a dit : Prenez courage, j’ai vaincu
le monde.
«Suivant la ligne directive très sûre
de Jésus, nous confirmons ici la Base de
Paris. Nous avons la conviction qu’d existe
pour nous aujourd’hui, comme jamais,
l’urgente nécessité de rémir les jeurues
gens, qui, regardant à Jésus comme à leur
Dieu et Saulvouir, selon les Saintes-Ecritures, désirent être ses disciples dans la
doctrine et dans la vie ; et joindre leurs
efforts pour Vextenúan de son Règne parmi
les jeunes. En nous inspirant de ces paroles, et par le moyen de la puissance dtu
Saint-Esprit, nous sommes décidés à être
des témoins de Jésus-Christ, par la pa“role et par l’action, dévant la jeunesse d©
nos Unions et de notre Patrie^ Nous voulons demander à cette jeunesse même
d’être prête à son appel de « chercher
avant tout le Règne de Dieu », et de faire
tout le possible pour conduite d'autre peirBonnes à Lui obéir.
« Nous sommes décidés à prendre pour
nous-mêmes, et à présenter à la jeunesse,
les Saintes-Ecritures comme contenant la
Parole de Dieu et comme l’unique moyen
en vue de la vraie fratemité spîrituielle.
« Nous reconnaissons que l’unité est un
don de Dien, qui ne peut être réalisé que
dans la mesure dans laquelle nous vivons
en Lui, et Lui en nous. C’est pourquoi, en
face de la désunion de nos forces, nous
sommes décidés à rechercher une compréhension toujou^ plus complète des vérités de la foi chrétienne, dans la certitude
que c’est par cela seulement que nous trouiverons l’unité.
«Nous reconnaissons que la conscience
du jeune homme se trouve dans un état
de perplexité souvent tragique, en face
des graves probl^nes de la vie individuielle
et sociale, de la famille, de la patrie, de
l’industrie, des rapports internationaux
et interraciaux. C’est pourquoi nous som
mes décidés à rechercher et à suivre la vobnté de Edeiu en Christ pour la vie individuelle dans tous ses rapports, ayant en
vue la formation d’une chrétienté mondialei vivante.
«Eh pleine communion avec l’Eglise,
nous demandons à la jeiunesse de se préparer pour la lutte qui menace la commmiauté chrétienne dans tout le monde.
Noifâ sommes convaincus que quiconque
veut témoigner courageusement pour le
Christ, doit être préparé à souffrir et à
être persécuté, tout comme les chrétiens
des temps apostolique. Comme membres
de FEglise, qui est le corps du Christ,
nous chercherons au pied de la croix force
et courage pour cette lutte, en communion
fraternelle ,aVec ceux i^de toutes les nations, qui sont un en Christ ».
Eh adressant aux U. C. J. G. d’Italie, et à tous ceux qui ae préoccupent de
l’éducation chrétienne de la jeunesse, ce
Message du Comité Universel, le Comité
Universel d’Italie attire l’attention de tous
sur sa profonde signification. Le Message
rappelle la néceæité de l’aide directe de
Dieu contre la «mception payœne de la
vie qui se manifesta de nouveau dans le
monde ; la néceæiité pour chaque chrétien
d'être prêt à supporter, dans le monde actuel, la souffrance, la persécution, le martyre. Que chacun veuille examiner, dans
uln e^rit de prière et d’humilité, à la. lumière de l’enseignement de Jésus, la voie
qu’il doit parcourir, et qu’il demande à
Dieu la force de la parcourir jusqu’au bout.
A ■ C, D. G.
Le «[onvep» AnDoel du Groape Piémonî,
Le « Convegno » Annuel du Groupe Piémont aura lieu à Saint-Jean, dans la. salle
de la Maison Vaudoise, le 1®"^ novembre,
avec le programme suivant : 9 h. 30 : réunion des délégués ; 10 heures : culte d’inauguration. Suivront la présentation des rapports annuels, la formation du programme
d’action pour l’année prochaine, la discussion sur quelques questions se rappor- ^
tant a la vie de nos Unions. Les Unions
Chrétiennes du Groupe sont priées de pro-'
céder à la nomination de leurs délégués
an « Convegno » (un chaque dix membres
actifs), et d’en envoyer les noms, avec un
rapport de l’activité de l’Union pendant
l’année passée, à M. Attilio JaUa, président dû Groupe, avant le 30 courant.
A midi, ,un dîner en commun sera préparé an prix de L. 6. Prière de s’inscrire
auprès du présîdtent de l’Union de SaintJean, iM. Henri Gay - Mlonatti - Luserm
S. Giovamd.
Que Dieu veuille inspirer ce «Convegno », et le soutenir de ses bénédictions,
afin que nos Unions puissent conserver
toujours plus leiur activité pour le progrès dé l’Eglise, surtout parmi la jeunesse.
Sanctification dn Dimanche.
M. le Directeur,
Contraint depuis douze ans (qui ,en suivent prœque cinq de service militaire) à
travailler quarante-sept ou quarante-huit
dimanches par an, j'ai enfin salué avec enthousiasme le coup de lance dé votre dernier numéro en faveur de la sanctification
du Jour du repos, contraste si l’on veut,
mais plutôt suite logique de l’article de
fond.
Permettez-moi dès lors de rappeler à
vos lecteurs que si l’on peut s’attendre
cïuelqiie chose ides souscriptions et pétitions, des résultats bien plus réels seraient
assurés si tous ceux qui font prefession
de christiajiisme s’atetenaient, autant que
possible, de faire travailler les amr&s le
dimanche. Ne rien acheter, ne pas mettre
à la postle de la correspondance qui peut
attendue, etc..., et, au surplus, ne lias charger de oœ commissions ses enfants ou sa
domestique pendant qu’on occupe sa, place
au temple, au pied de la ohaîre ou sur la
chaire.
Le jour où nous aurions atteint ce
premier succès, nous pourrions en espérer bien d'autres, très importants et
bienfaisants. 5.
Toute personne souscrivant un abonnement nmveam, pour l’année 193S recevra
i’Elcho (te ViaiLbes gratuitement d^s le jour
que l’Administration du journal reçoit le
montant de l’abonnement. En s’abonnant
touÈ de sMte, on aura le journal pendant
quatorze mois.
COMUNE DI TORRE PELLICE.
STATO CIVILE dal 15 al 21 Ottobre 1934-XIl
Nascite N® 0 — Decessi N® 0
CHRONIQUE VAUDOISE
DONS REQUS
M.me Gonmet (Pension du Fort) :
Pour Hôpital L. 10,
» Refuge » io[_
» Orphelinat » jq
M. Joseph Pons ;
Pour Missions » 2,50
» Eglise » 2,50
H! » * '
, Pour l’Orphelinat de La Tour ; En souvenir de M. Henri Long, de Pignerol, ses
neveux et nièces Beux, ,avec' leurs familles
L. 105,—
* * «
AN6R0GNE. Le culte à Saint-Laurent
aura lieu, dimanche prochain, à 10 heures ;
et au Pradiutour à 11 heures. R. N.
BERGAMO. Le 30 septembre dernier,
M. le pasteur T. H. Gay a pris congé de
cette communauté, où il a dépensé 31 ajnannées de fidèle activité au service du Seigneur et de son église. Une grande foule
est accourue pour exprimer encore une
fois toute sa reconnaissance à son Pasteur.
M. Gay se retire aux VaMées, où il va demeurer dans la maison paternelle dû
Teynaud. M. le pasteur Amaldo Comba,
qui lui succède, a initié son travail ici dès
le idimanche 7 octobre.
BOBI. Il nous faut enregistrer quatre
décès, survenus dans le courant d’octobre :
Mondon Ame feu Jean,, s’est éteinte à
Balangié, à l’âge de 69 ans. — Charbonnier Judith née Michelin, des Patusettes,
décédée au Centre. Totalement sourde et
aveugle dapuis bien des anlnées, eBe a
traîné sa lourde chaîne avec résignatioû,
jusqu’à l’âge mûr de 85 ans. — Davit
Jeanne die Pierre, morte aux Raymonds
(Combe dés Charbonniers), à l’age de
un mois. — Davit Paul de Daniel, de la
Ville de Bobi (Caserma). Après un' long
séjour en France, ûotre frère s’était établi à S. Remo, où ü gérait un petit restaurant. La mort l’a surpris en pleine activité, à l’âge de 35 ans seulement. Sa dépouiBe, transportée à Bobi, fut accompar
gnée au champ du repos par de nombreux
amis, parmi lesquels bon nombre de combattants. Il laisse dans la douleur uine
jeune yeuve et des pareûts, à qui nous
voulons exiprimer notre profonde sympathie chrétienne.
COAZZE. Dimanche, 21 octobre, nos
amis M. Boero Sereno et M.me Rosabmsin Emilie ont célébré leurs noces d'argent.
Pour la circonstance, les membres de la
famille et les parents étaient réunis.
Nous prenons part à leur joie et for^
mons pour eux les meilleurs souhaits.
FLORENCE (Eglise de Via Mmnzoni).
Le départ de M. Henri Meynier, après
quinze ans de service zélé dans notre
église, a offert à notre communauté l’occasion de lui témoigner son attachement
et sa' recounafasance.
Dimanche 14 courant, l’égliseï, bondée,
écoutait les adieux chaleureux et émius
que lui adresssait le doet. Meynier, récemment transféré à Brescia. M. le pasteur
Ph. Grill, ancien dans notre église, lui répondait, avec beaucoup d’à propos, en lui
manifestant, à lui et à son infatigable
compagne, les regrets et la reconnaissance
du Conseil d'Eglise et de tous les frères.
M. le pasteur D. Buffa, de l'Eglise de
Via dei Serragli, s’y associait lui aussi,
après quoi l'ancien Ceseri invoquait sur
ceux qui -partent et sur l’église qui reste
les bénédictions (Jivines.
Puissent les uns et te autres contin__.
dans le chemin que Dieu leur a traoS¿í
Après le service divin, l’Eglise a offert!
à M.me et M. Henri Meynier un souvenÿ«
et un album (îomblé d’autographes.
Nos meiBeurs vœux, les plus fratemelaj^,
accompagnent nos conducteurs dans le nou^i.'
veau champ de travail qui te attenii
sp.,
— Dimanche, 7 octobre, dans la chapeB©
de l’Eglise Evangélique Réformée du « Lua^
gamo Guicciardini », a eu lieu, dlev,ant une
nombreuse assemblée, l’instaBation du nqu-veau pasltfeiur, M. Karl Fueter. Le sermon-i
a été prononcé en langue allemande tan-. ''
dis que la partie liturgique a été lue en
français par le président du Consistoire,.
M. Jean Térond.
M. le doct. Fûeber prêchera alternativemant en français et en allemand, le
dicct. Tony André ayant donné ses démissions à cause de ses nombreuses (xx;u- "
pations et de l’état précaire de sa santé,
et le doct. Iselîn, dont la santé a aiussi
beaucoup souffert Thiver idiemier, restera
comme pasteur auxiliaire.
Nous formons les meiBeurs vœux pour
1 Eglise sœur et pour ses conducteurs passés et présentis.
Lundi soir, 8 courant, dans l’Aula
Magna du Palais Sajviati, M.lle Mia vanOostveen, traduite par M. le prof. Silvio
Pons, a répété son intéressante cïonférence
accompagnée de tableaux, peints par eBemême, sur te îte du Danemark et sur la
Gbrieuse Rentrée de nos pênes. Nous tenons à lui exprimer toute notre reconnaissance pour Fintérêt qu’elle prend à
inotne Eglise par ses dessins si frappants.
■ Le dimanche 21 courant, M. le pasteur Virgilio Sommant, chargé par la Table, a présenté, avec son tact habituel et
avec des paroles touchante, M. h pasteur
TuUio^ Vinay, comme son coUaborateur
chargé tout partiouliènement de l’œuvre
de Dieu se rattachant à l’Eglise de Via
Manzoni. M. Vinay ensuite donne son pre- '
mier message dans ûn bon sermon sur te
paróte de Jésus: «Marthe, Marthe, tu
t inquiète et tu t’agite pour beaucoup de
choses. Une seule chose est nécessaire... »
(Luc X, 41).
— Dimanche prochain. Dieu voulant, la
même c^monie aura lieu dans l’église de
Via dei Serragli, où M. Vinay doit a'ussi
être présenté comme coadjuteur.
— Les Consistoires des deux églitees
ont, de part et d’autre, décidé de convoquer, ,au plus tôt, les assemblées d’Eglise
respectives pour préparer un programme
d action pendant la nouveBe campagne
d hiver qui vient de s’ouvrir.
C^e Dieu inspire et dirige toute les
décisions qui vont être prisas et tous les
efforts qui vont être faits pour l’avancement de son règne. phg.
HIRSAU (Württemberg). Nous apprenons que M. le pasteur Adolf Markt,
qui a été pendant de longues années pasteur à Riniache (Württemberg), et qui
est -un de nos pluis fidèles amis, vient de
perdre suhitiement sa cnmpagne bien-aimée. Nous lui exprimons, par le moyen
de l’Echo auquel il est abonné, toute notre
sympathie chrétienne.
PERRIER-MANEILLE. Lundi, 15 courant, à Turin, Dieu a rappelé à Lui, après
une longue et crueüe maladie, Rosalie Bomnous, âgée de 27 alns- Elle a supporté ses
maux avec patience, foi et courage, qui ne
découlent que d’une âme dévouée au Seigneur. Le pasteur M. A. Deodato a, dans
cette occasion, proclamé la Parofe de consolation qui est pénétrée dans les cœ'urs.
A tous ceux qui ont connu et aimé la
chère défunte, d’une manière spéciale à sa
tamte Madeleine Giaiero, qui a été pour
eüe plus que mqre, à son père et à son
frère, nous exprimons notre sympathie
(dmétienne.
— Dimanche, 14 courant, l’étudiant en
théologie M. A. Genre a occupé la chaire
dé l’éghse de ManeîBe. La parotee le remercie et le suit dans son séjour à Rome,
où il va passer sa tréisième année de prépara'tion aû Saint-Ministère.
3
L’Echo des Vallées - Vendit 26 Octobre 1934-XII
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PIGNEROL. Notre église vient de faire
tune perte sensible avec le départ d’id-bas
de M. Henri Long, âgé de 74 a!ns.
C’est une figure bien connue qui disparaît : connu et estimé, autant en \dlle
qpe dans'régKse, il a fait d)u brâi autour
de lui en continuant les traditions de l’ancieinne famille Long. Souffrant depuis de
longs mois et demiènement alité, il ajttendait avec calme le passage à une vie meilleure ; et sereinement il s*est ^dormi le
15 courant.
Nous renouvelons à la famille affligée
l’assurance de notre affection chrétieime.
— Un wMvecm foyer vient de se fonder
par le mariage de M. Jacques iHvahr, du
Pont 'Sanin, avec M.lle Renata Garâid, des
Combes de Saint-Second. A,ux heureux
époux, encore nos meilleurs vœux de
bénédictions.
PGMABEfT. Lundi dernier, par une belle
journée d’automine, dans notre temple
tout orné de verdure et de fleurs, a été
célébré, par le pasitteur G. Comba, le
mariage de M. Lamy Caisson, de PraJi,
candidat en théologie, avec M.Ue Violette
Fastre, fille du vice-président de notre
Consistoire. Parents et amlis, en grattid
nombre, assistaient à cette touchante cérémoUie, où le Pasteur parla avec des accents émus et la Chorale exécuta xm
chœur de circonstance. Aüx vœux sincères des présents vinrent s’ajouter les dépêches — très nombreuses aussi — des
collègues et des amis absents. Nous renouvelons à ces chers époux nos meilleurs souhaits de bonheur et d’abondantes bénédictlions dans leur carrière au service du
Maître.
PBABUSTIN. Après une courte maladie.
Dieu a rappelé de ce monde notre frère
David Paget, des Molere : notre profondè
sympathie pour les affligés.
— Nos activités reprennent ; école du
dimanche, catéchisme, réunions de quartier, et nous demaqdons à Dieu de bénir
tout ce qu’on fait en son nom.
— Le premier dimanche de novembre,
les mères sont convoquées pour leur première réunibn : nous les attendons nombreuses à Saint-Barthélemy, G. R
RODOBET. On s’adresse à l’Echo pour
qu’il envoie une pensée et les sialutations
les plus cordiales à M. Jean Tron qui,
pour répondre à Tappel de la Table, a
quitté cette paroisse à destinatibn de
rAmérique du Sud.
_ La demande vient de l’Association Chrétienne de Jeunes Gens, que M. Tron a fondée pendant son ministère à Rodoret Elle
est signée par un sympathisant, qui exprime encore son regret d’avoir vu M. Tron
s ^oigner, et forme pour lui, pour son tra^
vaü, les meilleuirs vœux, tout en exprimant le désir de le voir revenir un jour.
RORÀ. Mercredi, 17 octobre, un nombreux convoi accompagnait au champ du
repos Rivoire Joseph, âgé de 81 ans. La
mort, qui suivit sa longue et douloureuse
maladie, fut pour lui une délivrance. Aux
parents, qui l’assîgtèrent fidèlement jusqu à la fin, nos sincères condoléances.
- Dimanche, 21 octobre, dans un culte
solennel présidé par le pasteur M. Albert
Ricca, de Massel, vice-président de la Commission de District, eut lieu l’installation
du nouveau pasteur M. Henri Geymet.
SAINT-GERMAIN. La petite Zaira Balmas de Louis, des Martinats, a été présentée au baptême. Que Dieu bénisse la chère
enfant qui a été consacrée à Son Service.
VILLAR. Départ. Le 9 courant, nous
avons accompagné à sa dernière demeure la dépouille mortelle de notre
sœur Susanne Bertin née Rivoire, de la
Rua, qui nous avait quittes d’une manière
soudaine, le jour précédent, à l’âge de
53 ans. Nous demandons à Dieu, qui console et qui fortifie, de soutenir le mari et
les enfants que ce deuil éprouve bien
durement.
— Nouveam foyers. Nous avons eu la
joie de célébrer, ce jeudi 25 courant, dans
le temple, le mariage de quatre braves représentante de notre jeunesse, tous appartenant au quartier du Teymaudi; Isdine
Gras de Antoine avec Paxid Janavd de Paul
Auguste, et Marie Bon&ssa de Paul avec
J, Baptiste Demaria de Joseph Dominiçpie.
Que Dieiu ratifie ces liens et qu’il
descendre sur ces chers époux Sa bénédiction et Sa grâce.
— Nos remerctements très sincères à
nos frères G. P, G., de S. OuStavos (Rép. Argentine) , et J. G., de S. Carlos (Rép. Argentine), qui même de l’autre bord de l’océan
n ouiblient pas leur petite patrie et nous
ont fait parvenir, pour l’Eglise et pour
notre œuvre d’évangéhjsaticm, des dons
très agrées, qui ont été destiné selon' les
indications -reçues.
MOVIMENTO GIOVANILE.
Riceviamo dalla Presidenza della Federandone Oiovavile Valdese, con preghiera
<M pubblicazione, U seguente
COMUNICA'K).
Il Comitato Nazionale della Federazione
Oiovande Valdese, nella sua seduta di Settembre, deibberava dì invitare le Unicmi
federate a consacrare la loro riunione della
prima settimana di Novembre alla preghiera a favore della gioventù.
A parziale modifica di quanto sopra, il
Comitato invita oira le Unioni federate a
voler mettere a parte per la preghiera per
la gioventù la lofo riunione della seccmda
settimana di Novembre (dall’11 al 18 Novembre), dato òhe altri gruppi di giovani
credenti consacrano, in tutto il mondo,
quella settimana allo stesso scopo : e la preghiera concorde è potente.
Faiis ef Nouvelles.
Allemagne. Voici le serment que,
d’après la nouveUe loi ecclésiastique, les
pasteurs doivent prêter désormais :
« Je prête serment au Dieu omniscient
et saint, en ma qualité de prédicaiteuir de
1 Evajngile, dans ma charge actuelle comme
dans toute autre, — comme il convient du
reste à un ministre de l’Eglise évang^ique
allemande, — d’être fidèle et obéKsant à
Adolphe Hitler, chef du peuple et de l’Etat
allemannid, et de consacrer mes forces a,u
service du peuple allemand, comme il convient ^ à tout Allemand évangélique. De
plus, je jure de remplir les tâches de ma
charge ecclésiastique ctmformément alix
réglemente de l’Eglise évangélique aflemande et d observer les indications qui me
sont données par ces prescriptions ; enfin,
comme prédicateur et conducteur spirituel, ide desservir en tout temps avec fidéflté et dévouement la paroisse dans laquelle
j’ai été nommé ».
Le Synode confesmnnel de BerlinBrandebourg a déclaré, par un manifeste,
que les lois et décisions du Synode national (qui a adopte le serment ci-dessus)
«sans valeur d’après le djrmt ecclésiastique et séculier ; qui s’y soumet viole
la Constitution et le droit de l’Eglise ».
Et le manifeste conclut par ces mots :
« Obéissance à ces autorités ecclésiiastiqui^
est désobéissance à l’égard de Dieu».
(Semeur Vatidois).
Notez qu’il n’est pas question de JésusChrist ! réd.
^ « Ht
Dawemaek. Une belle conversion. La libre pensée a été abandonnée par un de
ses chefs de file au Danemark, le professeur F. Heegaurd, qui dans la seconde édition de sa Paedagogik confesse en ces
termœ son retour à la foi chrétienne:
« Par les expériences de la vie dans ses
chagrins et ses æuffrances, mcai âme a été
sœouée et les fondements sur lesquels je
bâtissais anéantis. J’ai cherché la paix et
1 ai trouvée en Dieu. Je n’ai pas abandonné
la science pour cela, mais elle occupe maintenant une autre place dans ma vie. Je
suis arrivé à la certitude qu’fl n'y a qu’une
seule ajiCTe de salut pour l’homme : la foi
simple et vivante en Christ ».
(L’Evcmg&iste).
***
Ecosse. Les Facultés de Théologie de
Edimbourg, Glasgow, St-Audrews et Aberdeen viennent d’être rouvertes. Partout
on signale un nombre satisfaisant d'étudiante inscrite à la première année. Les
joumaip: religieux s’en réjouisBrait, car
ils considèrent le fait comme un signe évident que les jeunes écossais, quelques-uns
desquels très doués, choisissent toujours
plus le ministère chrétien avec un sentimmt de vraie vocation.
, — Le prof. W. P. Paterson, de l’Université d’Edimbourg (Faculté de Théologie),
laisse sa chaire. Dernièrement on a orgap»
nlrë une réunion pour FhoUorer et lui exprimer le regret de le voir partir, quoi<iu’il ne quitte pas Edünâxyarg.
Le docteur Paterson, qui fut aussi modérateur_ de l’Eglise d’Ecosse, est une
grande personnalité. Nous accompagncms
de nos meilleurs vœux notre ancien
professeur. i
BEVUE DE LA PRESSE.
L’Evaatgelical Christencbm, orgiane de
l’AlUanoe Evangélique Mondiale, de Londres, publie dans son numéro de septembre-octobre un article bien documenté sur
notre dernier Synode. L’article est dû à
notre ami M. Henry Martin Gcoch, secrétaire de l'AUiance, qui était à La Tour
avec sa dame, pendant le Synode.
De belles illustrations donnent à l’article un attrait particulier.
■Merci, M. Gooch !
liitMon iKpitata Miiia.
Done reçus jusqu’au 22 octobire 1934,
REFUGE.
Juan Gönnet, San Carlos Oentrn Rép. Argentine L. 100 - Lieutenant-cotonel L. Rivoire,
Saint-Jean, 50 - Constance Jervis, La Tour, 10
- Coüœté par M.lle Madeleine Coïsson, à Cannes: Mille Weber, frs. 70 - E. Wamery, 50 ^
E. Wagner, 20 - B. Poron, 50 - H. et M. Maur
chîère, 50 - M. Meunier, 10 - M. Cardinal, 5
- M.mes Jalla, 15 - H. Mazza, 30 - Roux-Mazza,
15 - PaJestrl, 10 - Famille Jouve, 20 - M. Klener, 10 - MJle Sailer Landry, 10 - O. Avondet, 10 - Hilda Avondet, 10 - A. M., 10 - Lina,
Mtoritz, 20 - Anonyme, 50 - A. Rey, 5 - Delphine
Serra, 5 - M. Papon, 10 - Verine, 20 - Etienne
Ahne Malan, 20 - Marie Druzzo, 5 - P. Berôiatot 20 - O. Erdone-Malap, 10 - Méry Malan, 10
- E. A. Bertin, 20 - M.Ue Chardon, 10 - C. Carota, 5 - Y. C., 5 - M. C., 5 - M. Dubois, 5 M. Ixiew, 10 - Anonyme, 2 - Mlles C. et Suzanne Chambon, 50 - Miss Haie Wite, 50 M. et M.me F. Long, 30 - M.me Giottoli-Monnet, 15 - M.mes Peyronel et Pezzutto, 40 Mille Alice Pons, 10 - M.me Sauvan, 10 M. Pierrisnard, 30 - M. B. Bounous, 30 - M.me et
M. pasteur Donzé, 20 - M.me et M. Odin, 15 M.Ue A. Forneron, 15 - Dupont-Jouve, 15 M.Ue Marie Mayer, 20 - Mlle Madeleine Coïssoii, 50 - Antoine' Breuz^ 5 - Cauda Madeleine, 10 - Pastre L. Henri, 50 - Charles Genre,
20 - M. Jeanbarquin, 3 - M. Bonnefon, 10 M. StaUé, 50 - M. Perry, 20 - MJle Eisa Pastre,
20 - M.me Scocciiiaro et Mile Ritoet, 30 —
Total frs. 1250, au change L.'959,35.
HOPITAUX.
Peyronel Henri, Riclaret, L. 25 - N. N., Pomaret, 50 - M.me E. Leidheuser, en souvenir
de sa chère maman Lmise Gardiol-VinQon, 200
- Prida et Laura Rostaing, en souvenir de leur
maman, 50 - Salma Longo, Florence, 00 - Marie
Rostan, Pomaret^ 10 - Juan Gönnet, San Carlos
Centro, Rép. Argentine, 400 - Etienne Eynard,
La Tour, pour soins reçus par Sœur Eva, 50 Jo.5ué Geymonat, Bobi, pour Pomaret, 50 - Cbnstance Jervis, La Tour, 10 — Mlle Weber, Cannes, frs. 25 - MJle Madeleine Coïsson, Id., 30
= frs. 55, au change L. 42,30.
ORPHELINAT.
Deux sœurs, Saint-Jean, L. 30 - M.me Peyronel, La Tour, 20 - Juan Gönnet, San Carlos Oen
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15,29 19,29 S.Margh.,:? 6,56 12,20 18,15,35 19,35 Torre P. a. 7- 12,25 18,05
(•) Al Venerdì e Festivi.
S
ORÀRIO PfekRbviA ELETTRICA PINEROLO-PEROSÀ ARGENTINA
Pinerolo . „ p.
Ponte Leminà (tac.) »
Abbadia »
RiagIietto-Fiugera(foc)»
S. Martino >
, Porte »
Malanaggio (fac.) »
S. tìermahò »
Villa'r Perosa »
Dubbione »
' Pinaasa, ., »
S. Sebastiano’ »
Perosa Argentina a.
Perosa Argentina p.
S, Sebastiano >
Pinasca »
Pub,bione. »
Villàr Perosa »
S.Qermatio »
Malanaggio (fac.) >
Porte »
S. Martino >
Riaglietto-Fiugerac/acj»
Abbadia ui i »
Ponte Lemina (fac.) »
Pineròlo a.
(I) Sàbato (Mercato a Pinerclò) — (2)’ Festivo.
ORARIO AUTOMOBILE BEROSA*PEBBE3lO-PRALY in vigore dal 15 Luglio.
6,15 7,52 (1) 10,45 12,45 14,35 16,40 18,25 (2)' 19,50
6,23 7,59 10,52 12,52 14,42 16,48 18,32 19,57
6,^ 8,02 10,55 12,55 14,45 16,51 18,35 20,6,30 8,05 10,58 12,58 14,49 16,55 18,38 20,03
6,33 8,08 11,01 13,01 14,52 16,57 18,41 20,06
6,36 8,11 11,04 13,04 14,55 17,- 18,44 20,09
8,16 11,07 13,08 14,59 17,03 — 20,12
6,44 8,19 11,10 13,12 15,02 17,06 18,51 20,15
6,54 8,26 11,17 13,21 15,10 17,13 18,58 20,22
7,02 8,33 11,24 13,26 15,18 17,20 19,05 19,08 20,29
7.05 8,36 11,27 . 13,29 15,21 17,23 20,32
11,34 ' 13,36 15,29 17,28 .— 20,37
7,15 8,45 11,40 - 13,39 15,35 17,31 19,16 20,40
6,50 7,35 (1) 8,55 12,05 13,55 16,20 17,56 (2) 19,35
6,53 7,38 — 12,08 13,59 16,23 19,38
6,58 7,43 9,02 12,13 14,05 16,28 18,06 19,43
7,01 7,46 9,05 12,16 14,08 16,31 18,09 19,46
7,07 7,53 9,15 12,23 14,15 16,45 18,16 19,53
7,17 8,- 9,22 12,30 14,22 16,53 18,24 20,7,20 8,03 9,25 12,33 14,40 16,56 . — 20,03
7,24 8,10 9,28 - 12,39 14,43 17,^ 18,31 20,08
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