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ixante-troisième année.
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15 Avril
N» 15
L’E (h
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PARAISSANT ÛHAQtJS rvENDREDI
■ta V- —
PRIX DV.
•lÊNT:
Par an Pour 6 moia
Italie (y compris les Vallée ^ ei Colonies . . . , L. 10,— 6,—
Etranger............................................> 24,— 12,—
Plusieurs abonnements à la même adresse . » 22,—
Etats-Unis d’Amérique 1 ooHar % dollar
Amérique du Sud ............................... 1 pesos or *4 pesos
On s'abonne ; à Torre Pellice, au Bureau d'Administration de VEcho (Via
Arnaud, 31);..dans toutes les paroisses, chez MM. les Pasteurs.
L'ABONNEMENT SE PAYE D'AVANCE.
S’adresser: pour la Rédaction, au Directeur M. Jeas CoTsson, professeur,
Torre Pellice — pour l’Administration, au Bureau du journal. Via Arnaud,
N“ 31 - Torre Pellice.
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
Tout changement d’adresse coûte 30 centimes, sauf ceux du commencement
de l’année.
w Le Naméro: 25 centimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables./ dignes de louange, occupent vos pensées (Phil. IV, 8).
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Jolies de Pâques.
«Je vous ai portés sur des ailes
d’aigle ». Exode XIX, ,4. ■
Pâques, point lumineux dans l’histoire
universelle, astre qui resplendit entre la
terre et les deux, s’élevant au-dessus des
immobilités du règne de la Mort, est
l’affirmation solennelle du triomphe de la
Vie qui rappelle au monde Celui qui veut,
jusqu’à la consommation des siècles,.
« attirer tous les hommes à lui », les
élevant dans la gloire éternelle par la
puissance de sa résurrection.
Pâques vient nous dire, année après
année, qu’il y a au-delà de l’immensité
infinie un cœur qui palpite pour nous,
le cœur du Vivant qui, par sa victoire
sur «celui qui avait l’empire de la mort»,
a donné une impulsion nouvelle et giganj,tesque à l’avancement du règne de Dieu
et qui veut aujourd’hui encore donner
aux hommes les ailes qui leur sont nécessaires pour monter jusqu’aux cieux. Ces
ailes sont celles de la délivrance, de la
loi, de l’amour et de là victoire. Rayonnements lumineux auxquels rien ne peut
résister, ces énergies spirituelles, qui
Jaillissent du tombeau du Divin Ressuscité,
sont plus puissantes que les «ailes d’aigle » sur lesquelles l’Eternel a porté
JsraëJ au-delà de la Mer Rouge.
rji rfc iji
Pâques offre à l’homme qui gémit dans
les chaînes du péché les ailes de la délivrance. Les Evangiles nous racontent que
dès que les femmes eurent annoncé que
Jésus était ressuscité, Pierre et Jean coururent au tombeau. Ce n’est pas seulement
aux pieds des disciples que la résurrection
donne des ailes, mais c’est aussi à leur
cœur ; une transformation intérieure va
s’opérer soudainement en eux, en celui
surtout qui avait renié le Maître et qui
va se distinguer désormais par son
témoignage héroïque, par un courage à
toute épreuve. Une métamorphose morale
semblable, qui sera une véritable délivrance d’un esprit de crainte, de timidité,
de lâcheté, va s’opérer dans le cœur
d’autres disciples lorsqu’ils entendront
que le Christ est « vraiment ressuscité ».
Et plus tard, sur le chemin de Damas,
la vision éclatante n’accomplira pas seulement le miracle de la délivrance qui
donne des ailes au converti, mais elle
fera du plus grand pécheur le plus
grand apôtre, l’élevant d’ascension en
ascension jusque sur les sommets les
plus sublimes de's régions de l’esprit. Ces
ailes de délivrance et de rénovation dans
l’œuvre du dépouillement intérieur et de
la formation du nouvel homme," le Christ
ressuscité les offre de tout temps : il lés
offre aujourd’hui encore aux âmes qui
gémissent sous le fardeau du péché.
Les ailes que Pâques apporte à la terre
sont celles de la foi. Ces ailes devaient
naître même dans le cœur de celui qui
avait dit : « Si je ne vois la marque des
clous dans ses mains et si je ne mets
mon doigt dans la marque des clous, et,
si je ne mets ma main dans son côté, je
ne croirai point ». Et c’est en effet la
vue dû Divin Ressuscité qui produit le
grand prodige; la foi germe dans le cœur
même de celui qui avait tout mis en doute
et Thomas devientdès ce moment l’humble
croyant qui s’écrie avec toute la ferveur
■ de son âme : « Mon Seigneur et mon
Dieu ! ». La résurrection de Jésus-Christ
qui a été, dès lors, pour des millions
d’âmes le coup de baguette magique qui
a mis fin en elles à l’état de doute, cette
résurrection qui est, on peut bien le dire,
le rocher granitique sur leqqéf s’élève
l’Eglise Chrétienne et contre lequel vont
se briser les efforts de ceux qui voudraient renfermer les limites de l’existence humaine entre le berceau et la
tombe ; la résurrection de Jésus-Christ
est encore aujourd’hui l’argument formidable, inébranlable, la force toute puissante pour aider les cœurs ballottés dans
l’incertitude du doute à s’élever sur les
ailes de la foi.
Ailes de délivrance, ailes de foi, les
ailes de Pâques sont encore des ailes
d’amour. Ces ailes naissent instinctivement
dans l’âme qui n’est pas sensible à la
tendresse du Divin Ressuscité. Quelle
tendresse, manifeste le Seigneur à MarieMadeleine qui pleure devant sa tombe !
« Marie! », lui dit-il de sa voix la plus douce
en lui apparaissant dans sa gloire ; et
l’ancienne possédée des sept démons
répond soudainement, le cœur rempli
d’amour: « Rabbonni, mon Maître!».
Quellj^ prévenance dans le Sauveur sorti
du tombeau en se manifestant à différentes
reprises à ses disciples pour les arracher
au doute ou à l’incrédulité ! Quelle délicatesse dans l’entretien affectueux avec les
disciples d’Emmaüs et quel attachement
dans les expressions qu’il adresse à
l’apôtre du reniement: «Simon, fils de
Jonas, m’aimes-tu ? » ! On comprend que
ces attestations d’amour aient donné des
ailes à l’affection latente qui était dans
0 *
le cœur des disciples et à l’égard de
laquelle ceux d’Emmaüs disaient: « Notre
cœur ne brûlait-il pas au-degans de nous,
lorsqu’il nous parlait en chemin et nous
expliquait les Ecritures?». On comprend
que ces attestations d’amour aient produit des manifestations d’amour et aient
donné des ailes aux apôtres, aux martyrs, aux réformateurs, aux missionnaires
et à tous ceux qui, à travers les siècles,
consacrèrent leur existence au service
du Maître et allèrent jusqu’à faire le
sacrifice de leur vie par amour pour
Jésus-Christ !
Aujourd’hui le monde voit s’élever dans
son ciel beaucoup d’ailes étincelantes ;
est-ce des ailes d’amour? Oh ! si Pâques
pouvait faire de toutes ces ailes des ailes
d’amour ! Car le monde a besoin plus
que jamais de paix et d’amour ! Pour
que ce miracle s’accomplisse, il faut que
les chrétiens soient des manifestations
d’amour, il faut que les ailes qui sortent
du tombeau de la résurrection les transportent, dans un esprit de consécration
et de service, vers l’humanité qui péchej
qui souffre et qui périt !
Les ailes que Pâques nous offre sont
encore celles de la victoire. Le seul espoir
qui restait aux femmes accourues au
sépulcre de Joseph d’Arimathée, le premier jour de la semaine, était de pouvoir
embaumer le corps de Jésus ; cet espoir,
ce dernier espoir devait aussi leur être
enlevé, et le tombeau vide devait les
plonger dans la plus grande perplexité;
et cependant les anges réussirent à faire
nàîtrè au fond de ces cœurs affligés les
ailes de l’espérance qui étaient les ailes
de la victoire. Un seul mot suffit : « Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui
qui est vivant ? 11 n’est point ici, mais
il est ressuscité ». Ce mot inattendu
devait mettre fin au règne de la mort
dans l’âme humaine, dévorant les ténèbres
de la tombe et illuminant la sombre vallée qui y conduit ! Ce mot inattendu et
glorieux devait donner aux âmes les
ailes de l’espérance et de la victoire, les
soulevant au-dessus des réalités visibles
« qui ne sont que pour un temps, vers
les invisibles qui sont éternelles». C’est
en effet sur les ailes victorieuses de la
certitude chrétienne que s’envoleront
désormais «ceux qui meurent au Seigneur», répétant avec force les expressions de l’apôtre : « O mort, où est ton
aiguillon? ôsépulcre, où est ta victoire?».
ou redisant avec l’apôtre des Hautes-Alpes,
Félix Neff, sur son lit de mort : « Victoire,
Victoire, Victoire!». Et quant à ceux
qui restent, ils trouveront eux aussi, malgré le déchirement de la séparation, la
force qui relève les fronts abattus, la
main amie qui séchera leurs larmes, la
puissance invisiWe qui les inondera de
l’immense vague de la certitude du revoir
glorieux ; et, soulevés par l’aile immense
de la Victoire chrétienne, ils chanteront
le cantique de Vinet : <^Ah! pourquoi des
chrétiens gémiraient-ils encore /».
•S *î»
Au soupir du psalmiste, qui est le
soupir de l’humanité aux prises avec les
affres du péché et les « terreurs de la
mort », à ce soupir : « Oh ! qui me donnera
les ailes de la colombe ? », Jésus-Christ
a répondu par sa résurrection, par laquelle
il donne à nos cœurs les ailes vers lesquelles ils soupirent ! D. P.
A CEUX QUI “DONNENT
fl"
On collecte tout le long de l’année,
tantôt pour ceci, tantôt pour cela, chez
nous et ailleurs que chez nous ; mais il
est une saison — celle où nous venons
d’entrer — plus particulièrement indiquée
"pour récolter méthodiquement les dons
en faveur de l’Eglise à laquelle nous
appartenons. Gageons que le titre de
cet article va vous induire en erreur et
que vous allez aussitôt nous attribuer
l’intention de faire appel, une fois de
plus, à votre générosité au profit de
l’une ou l’autre de nos œuvres. On ne
prête qu’aux riches, et nous le faisons
si souvent le métier de quémandeur,
inhérent à celui de jourifaliste, qu’on
peut vous pardonner votre méprise. Car
pour une fois, vous êtes en erreur : ce
n’est pas pour faire appel à la générosité
du public que nous traçons ces lignes,
nous le disons tout de suite, afin qu’on
nous lise jusqu’au bout.
Et maintenant qu’on vous a rassurés,
venons-en au but principal de cét article
qui est d’encourager ceux qui donnent,
de rendre hommage à leur générosité, et
leur dire qu’elle n’est pas ignorée et
qu’on leur en est reconnaissant : ils méritent bien ça.
Nous citions dernièrement dans L’£c/io,
à propos de dons et de « la hausse du
prix de la vie», l’opinion de l’économiste
français Ch. Gide, par lequel il affirme
que, malgré la dépréciation de la monnaie, lorsqu’il s’agit de collectes pour
l’Eglise, « les chiffres d’autrefois n’ont
pas beaucoujp changé ». Or, si cela se
vérifie dans la France protestante — mais
il doit y avoir un peu d’exagération —
îl serait souverainement injuste de méconnaître que chez nous il en va un peu
autrement. Depuis quelques années, bien
des gens semblent vouloir apprendre à
donner; on commence à se dire que c’est
un devoir élémentaire, à se rendre compte
des besoins multiples et à proportionner
les dons à la valeur réelle de la monnaie,
représentant à peine le quart de ce qu’elle
était avant la guerre. Mais nous avons
plus et mieux que cela ; vous trouvez
dans toutes nos paroisses bon nombre
de personnes ne donnant jusqu’ici que
fort peu ou moins que rien, qui ont pris
l’héroïque décision de délier le cordon
de leur bourse et contribuent régulière
ment. Ne leur demandez pas aussitôt
d’être larges et ne les bousculez pas ; car
ce genre d’éducation, excessivemnet délicat, ne se fait pas en un jour.
Il y a donc progrès et un progrès
réjouissant ; nous pouvons le constater
en parcourant les listes de souscriptions
pour l’Eglise en général et pour nos
différentes œuvres de bienfaisance, d’instruction et autres. Je ne pense pas que le
Caissier de la Table, pas plus que lesTrésoriers et Caissiers des Consistoires,
des Institutions Hospitalières, etc., songent
à me donner un démenti, puisque les
faits parlent clair.
Mais — c’est fatal qu’il y ait toujours un
mais — vous aurez observé que ce sont
presque toujours les mêmes qui donnent
à tous les appels, qui figurent dans les
différentes listes de souscription ; donc
aussi toujours les mêmes qui donnent
fort peu, ou ne donnent qu’après s’être
fait tirer l’oreille, yous dites que cela
n’entre plus dans mon sujet qui était de
féliciter et remercier ceux qui donnent ;
mais comment voulez-vous parler des
uns et faire semblant d’ignorer les autres ?
On a déjà compris que le but dé ces
lignes est aussi celui d’exciter une sainte
jalousie parmi les gens serrés en les plaçant en face des généreux. On a beau
dire que les comparaisons sont odieuses,
qu’on ne doit donc pas en faire, que
personne ne connaît au juste les conditions financières du voisin ou de l’ami ;
j’ose affirmer qu’il n’est peut-être pas
un seul contribuant à nos œuvres qui
ne fasse ses réflexions — quitte à ne
pas toujours les garder pour soi — sur
la valeur du don de telle ou telle autre
personne, en proportion des moyens
qu’on lui connaît. Vous dites que c’est
mal, que c’est de l’indiscrétion. D’accord.
N’empêche que voilà un péché à peu
près universel.
Ne nous cachons donc pas que -les
autres nous jugent, nous jugent sans la
moindre indulgence et ne font pas grand
cas de nos excuses ou de nos justifications
plus ou moins plausibles. Et c’est là le
côté utile des listes de souscriptions.
Nous avons beau nous cuirasser, beau
ergoter avec notre avarice en essayant
de la justifier d’abord à nos propres
yeux, ensuite à ceux de notre prochain,
2
• .’ÿ>.
, /;A >7 , ,
F
»,'
■
il est impossible que jioas ne ^soyons
pas touchés dans notre amour propre en
découvrant que le don de X., un homme ,
bien moins riche ou, si vous préférez,
bien plus pauvre que nous, est de beaucoup supérieur au nôtre! Nous affecterons
d’abord l’indifférence, mais l’on en rougira quand même un peu, au moins en
dedans... et à la prochaine occasion on
sera un peu moins chiches.
Et à ceux qui ne donnent pas, qui ne
donnent jamais, qui ignorent ou font semblant d’ignorer les besoins de leur Eglise
et de toutes les œuvres qui en ressortissent plus ou moins directement (hôpitaux,
orphelinats, etc.), — quitte à en profiter
pour eux-mêmes ou les leurs, le cas
échéant, n’y aurait-il pas quelque chose
à leur dire aussi? Eh non! on n’aime
pas à prêcher dans le désert ; et d’ailleurs
ces « particuliers », en adoration constante devant leurs sous... ou leurs gros
billets,, ne lisent pas L’Echo des Vallées
et ne sont pas assez intéressants pour
qu’on s’occupe d’eux. Ce sont des assistés », même s’ils ont pignon sur rue,
vivant, dans une certaine mesure, aux
frais de la communauté; des assistés qu’on
baptise, marie, hospitalise en cas de besoin et enterre sans qu’il leur en coûte
un centime ! Heureusement que leur nombre va en diminuant d’année en année
et qu’ils auront bientôt totalement disparu
delà circulation. Notre mentalité vaudoise
est en bonne voie de transformation. 11
fut un temps — et nous n’allons pas
remonter aux persécutions — où la très
grande majorité de nos gens se disaient
que tout ce qui concerne les besoins de
l’Eglise, l’entretien des institutions de
bienfaisance et autres ne les regardaient
pas : « Il y a des fonds pour cela, et
ensuite il leur vient de l’argent de l’étranger », se répétaient-ils avec une entière
conviction ! On a enfin compris le peu
de consistance de ces sortes d’arguments
sous lesquels nous abritions notre égoïsme
et l’on s’est dit qu’il nous faut, en toute
chose, compter surtout sur nous-mêmes et
apprendre à faire feu de notre bois, ne
fût-ce que par un sentiment de légitime
fierté, si l’on ne veut pas invoquer des
motifs de plus haute portée. j. c.
FÉDÉRATION VAUDOISE
AUX ÉTATS-UNIS. ,
[Une organisatìon dont les membres s’engagent à verser la cotisation annuelle
d’un dollar au profit des œuvres de
l’EgUse Vaudoise~\.
Colonie de New-York et environs.
l.er Groupe - Henri Ferrerò.
Ont versé leur cotisation pour 1926-27
les personnes dont les noms suivent :
M.me Jean Domaine, Et. Peyrot, M.Ue Lydie Pons, Benjamin Pons, M.me Bepjamin
Polis, Clément Pons, M.me Clément Pons,
Maurice Bourgeon, Emmanuel Tron, M.me
Emmanuel Tron, Albert Pons, Henri Pons,
Benjamin Vinay, Jean Poët, Lords Costabel.
A donné une contribution spéciale (dollars 2), F. Canal. - Total dollars 17.
2.me Groupe - M.me J. Domaine.
Ont versé leur cotisation : M.me Henri
Tron (L.-I.), M.Ue Lisette Rivoire, Lamy
Bertin, David Coi'sson, MEe Betty Yest,
M.me L. Dike, Henri Menusan, M.me O.
Him, M.me J. P. AUio (L.-L), M.lle L. Martinengo, M.me G. Cavallero (L.-L), M.me
A, Gay (Id.), Henri Ferrerò, M.me Durand-Ribet, M.lle Albertine Dalmas, B. Cucchiarone. - Total dÆars 16.
Z.me Groupe - M.me P. Blender.
Ont versé leur cotisation : MJle M. Gay,
M.me F, KoUer, M.Ue H. Planchón (L.-I.),
M.me Berryman, M.me E. AUio, M.Ue A.
Hugon, M.me G. Cautín.
0ht donné une contribution spéciale (2
dollars chacune), M.me P, Stevens (L.-I.),
M.me A. Parise, M.me P. Bleuler. ■> Total
dollars 14. p. g.
{A suivre).
Signorina evangelica CERCA posto
di governante presso bambini di almeno
tre anni. Rivolgersi al Pastore H, TEOFILO
Gay - 5, Via Giacogio Quarenghi, Bergamo.
FernantliKMeyniep.
{Arrivé en retard poìi.r le dernier nnméro%r
Nous venons d’accompagner à sa dér
^ MJ
mère demeure terrestre le fils de notre
conducteur spirituel, M. le docteur Henri
Meynier. Qu’l a été triste Ije départ dé
son fiils, jeune universitaire de dix-hidt
ans, plein de bonté, plein d’activité, plein
d’espoir dans la vie! Que nous l’aimions,
et combien il aimait tout son monde !
Pauvre Fernando ! Il venait de s’inscrire
à la Faculté des Sciences Economiques et
Commerciales de l’Université de Florence.
Il en suivait les cours avec la même activité, avec le même zèle, avec la même ardeur qu’il avait déployée au Gymnase-Lycée « Michelangelo ».
Combien on l’a regretté, ceux-là seuls
peuvent le comprendre qiu assistaient à
ses funérailles. Toutes les Eglises Elvanigéliques Italiennes et .Etrangères y étaient
représentées ; M. le prof. Riccardo Della
Volta, directeur de la Faculté à laquelle
notre cher frère était inscrit, y participa
personnellement, avec une foule d’étudiants
et d’étudiantes ; le Lycée « Michelangelo »
y fut représenté par son Vice-Directeur,
par des Prclfesseurs, par des élèves ; le
« Gruppo Giovanile Valdese », l’Union Clirétienne de Jeunes Gens, l’Institut « Ferretti », l’Institut Gould y participaient lai'gement ; de nos deux Eglises Vaudoises,
aucune famille ne manquait.
Quel témoignage d’estime et d’affection
envers le défunt, envers toute sa famille !
A l’Eglise de Via Manzoni, le service funèbre fut présidé par M. le pasteur Sommani. M. Rivera, pasteur de l’Eglise Baptiste, y parla au nom du, Conseil des Pasteurs. Dans la chapelle du cimetière des
« Alloni », M. Sommani, M. Phlt de l’EgUse
des Frères, M. Spini de l’Eglise MéthodiiSte,
nous donnèrent tous la vive sensation de ;
l’unité réeUe et supérieure qui règne entre :
toutes nos Eglises Evangéliques. ^
Puissent tous ces tépioignages soulager, i
dans leur affection terrestre, le cœur dé- |
solé de la pauvre mère, de la chère sœur j
et du bien-aimé père de notre cher Fernando. Que Dieu soit auprès d’eux et avec
tous les membres des familles Meynier et
Bounous si douloureusement éprouvées.
s. p.
La Famille du docteur H. Meynier, de
Florence, profondément émue et reconnaissante, iremeroie toutes les personnes ayant
pris part à s»n immense douleur, pour le
départ de son bien-aimé et inoubliable
Opera Balnearia 6. P. Melile
E’ aperta l’iscrizione per la cura marina
a Borgio-Verezzi. Le domande devono essere inviate entro il giorno 15 Maggio al
Pastore della Parrocchia cui appartiene il
richiedente. In questa domanda, perchè
venga presa in esame, i richiedenti devono indicare :
1” Nome, <;!Ognome, paternità.
2" Il preciso indirizzo (borgata, contrada
e numero).
3" La data di nascita (giorno, mese,
anno).
4° Professione o condizione dei genitori
o chi per essi^
S” Se ed in quali anni vennero già an>
messi alla cura marina, avvertendo che coloro i quali hanno compiuto consecutivamente un triennio di cura, non potranno
essere accettati. .
6" La data precisa alla quale saranno liiberi da obblighi scolastici. Quelli che ritengono di essere esenti da esami dovranno
notificarlo nella domanda stessa, onde si
possa formare e far partire al più presto
una squadra.
Attiriamo Tattenzione degli interessati
sui punti seguenti :
c) Perdurando ancora le ragioni di vita
enormemente cara, verranno rigorosamente
esclusi tutti còloro per i quali, a giudizio
del Sanitario dell’Opera, la cura marina
non sarà giudicata assolutamente indi^
spensabile.
6) Gli ammessi dovranno portar seco un
corredino con biancheria di ricambio,
scafile in buono stato, pettine, forcelle,
ecc., e sopratutto un costume da b^no,
senza il quale non saranno accettati.
NB. I richiedenti verranno ulteriormente
avvisati del Juogo, della data della visita ,
medica, delle speciali norme per l^ccetta- '
zione e deUà data precisa della partenza.
Torino, 2 Aprile 1927. '
11 Presidente : DaViDe Boao.i
Aqx Unions Chrétiennes de Jeunes Gens.'
Un « Cqnvegno Unionista » aura lieu, le
lundi de Pâques, sous les beaux châtaigniers du Teynaud. Le culte commencera
à 10 h. 1|2. A 14 h. aura lieu un entretien,
organiisé par les Unions, avec programme
varié (saynètes, monologues, etc.).
Toute la Jeunesse Unioniste de la vallée
y est cordialement invitée.
a. J.
CHRONIQUE VHUDOISE
En lami de la Sotield iTDIstolte landaise.
Voici le résultat des collectes du 17 février, en faveur de la Société d’Histoire
Vaudoise. Nous prions les donateurs de
considérer cette publication comme un reçu,
avec ncs plus vifs remerciements aux Eglises : Torre Pedice, ,L. 250 - Forano (Rieti),
15 - Torino, 200 - Livorno, 100 - Pachino,
20 - Genova, 110 - Pisa, 17 - Riclaretto, 50
- Catania, 27 - Piali, 2S - Firenze, 50 - Verona, 20 - Rodoret, 30 - Bari, 30 Mes^
sina, 35 - Vallecrosia, 64 - Rio Marina, 20
- AngTogne, 50 - Vìllar Pellice, 50 - Roma,
150 - Perrier, 15 - Aosta, 2Q - Pomaret, 70
- Bieilla et Piedicavallo, 25 - Siena, 85 - Pramol, 16 - Paris (Quelques Amis Vaudois),
40 - Milano (S. Giovanni in Conca),, 150 Lucca, 36,25 - Prarustin, 50 - Pignerol, 30
- Saint4Jermain, 25.
Nous prions les retardataires de hâter
leur envoi, que nous publierons dans une
prochaine liste.
Le Président : David J a hier.
S0ÜSCB1PT108 POUB LES COLLEGES WUDOIS.
L. 80.627.80
Listes précédentes
M.mes et M.rs :
P. A. Mondon, chirurgien dentiste » l.CiOO,—
Jean Griot, La Tour (Viale ’
Dante) » 250,—
Albert Eleynat, St-Germain—*“» 100,—
Charles Grill, diacre, Pomaret » 100,—
Par Eugenia Sccci, Rome (Miss
Webb, L. 25 - Mrs. Paul et
Miss Woodman, 150 - Mrs. Mc
Callum, 100 - Mrs. Olmsfede
Otis, 25) p= Total » 300,—
Adélaïde Bertet, Envers-Pinache (en souvenir de son cher
fils avocat Hunÿert) » 50,—
Elise LantaretJGay, Pérouse (en
souvenir de son cher fils
Henri) » 100,—
In memorianf de Fernando Meynier ; G. B., Florence » 50,—
{A suivre).
Total L. 82.557,80
'AINGROGNE. Samedi, 9 courant, a eu
heu, dans le temple de Saint-Laurent, la
bénédiction du mariage de M- 'Etienne
Chauvie feu ¡David, de SainULaurent, avec
M.lle Smanne Buffa de Pierre, ex-conseiller, des Odins. Nos félicitations cordiales
aux famüles des époux et nos vœux de
bonheur à ces derniers,
—■ Dimanche, liO courant, c’est le rév.
Théophile Malan, de Philadelphie, qui a
présidé le culte à Saint-Laurent, en ,l’absence du Pasteur titulairé, monté au Pradutour pour le service de célébration de
Sainte-Cène. D., P.
CANNES. Le Directeur de l’Echo des
Vallées reçoit, par le canal de M.me veuve
Bastie-Turin, de Saint-Jean, la somme de
frs. 1060 collectée, pour le Refuge Roi
Gharles-Mbert, dans la Colonie Vaudoise
de Cannes, par MjHes Madeleine Ccnsson
et .Mélanie Jakier.
Nous transmettons la somme au prof.
M. Jean Jalla, président de la Commission
des Institutions Hospitalières Vaudoises,
qui, en son temps, pubhera la hste ,des
dons.
LA TOUR. La « conférence » de SainteMai^erite », la dernière de la saison, a
été.tenue dimanche dernier par M. le prof.
J. Jaüa qui» entretint, de façon fort intéressante, comme toujours, son auditoire, de
la fondation de l’Hôpital de La Tour (1826),
de ceux ¡et cehes qui en prirent l’initiative, de ses bienfaiteurs, de son développement progressif et constant, des immenses services qu’il a rendust, etc. Je n’ajoute
même pas qu’il nous a dit quantité de choses que la plupart d’entre nous ignoraient.
Une page d’histoire vaudoise moderne,
donc, qu’il fallait, qu’il faudrait faire connaître même en dehors de La Tour, où
notre public est tout particulièrement privilégié, sous ce rapport aussi.
1
— Notre paroisse est encore sous Je coup
d’un accident ayant eu des suites, mortelles. Au retour du marché, vendredi dernier, M.me veuve Patdine Charbonnier née
Grand, fit une courte visite à son amie,
M.me Etienne Eynard, de Via d’Uliva. Elle
sortait de là, accompagnée de sa fille, pour
se rendre chez elle, lorsque, au bas de, l’escalier, le pied lui ayant manqué, elle tomba
à la renverse sur les dernières marches
et se cassa la nuque. Quelques heures
après, elle rendait le dernier soupir, sans
avoir repris connaissance.
Ses funérailles eurent lieu, en partant
de l’Hôpital, dimanche dernier, et furent
une manifestation unanime de sympathie
pour la fille, M.lle Marguerite Charbonnier,
si douloureusement éprouvée dans ses plus
chères affections.
— Collège. Dans l’après-midi de dimanche dernier, les étudiants du Collège ont
eu, sur leur beau Camp de Sports, une
agréable et joyeuse fête. Sur l’initiative de
leur Gruppo Sportivo, ils avaient organisé
des .concours de différents sports athlétiques : la course des 70, des 80, des 250 et
des 1.000 mètres, les sauts en longueur et
en hauteur, le lancement de la balle de
fer. Les concours: se sont déroulés avec
beaucoup d’entrain, à la présence de quelques Professeurs, de quelques parents,,de
presque tous les élèves.
Nous donnons les noms des vainqueurs
des différents concours, qui reçurent de
belles médailles en argent, tandis qu’au
2.me et au 3.me on a remis des miedaiUes
de bronze.
Pour le saut en hauteur : De Ritter Guglielmo (aînés), Masstà Pietro (cadets) ■ ■
Pour le saut en longueur : Gambino Antonino (aînés), Maestà Pietro (cadets) —
Pour les 70 mètres : Cielo IDavide — Pour
les 8i0 mètres: De Ritter Guglielmo —
Pour les 250 mètres: Rostan Ermanno
(aînés) , Cielo Davide (cadets) — Pour les
1.000 mètres : Salimbeni Francesco —
Pour le lancement de la balle de f er : De
Ritter Guglielmo.
Ce dernier a aussi gagné la médaille d’or
du Pentatlon, ayant obtenu le plus grand
nombre de prix. a. j.
— Une hcmne scnrée. Mardi soir, l’Union
des Jeunes .Gens était convoquée en séance
extraordinaire, afin de témoigner à M.me
Balma toute sa gratitude pour ce qu’elle
a fait en sa faveur.
Le vice-président, Italo Hugon, au nom
de l’Union remercie chaleureusement M.me
Balma surtout de ce qu’elle a pensé de
doteir l’Union d’un piano qui, lui aussi, attend que les portes du « Ciabot » lui soient
ouvertes. Il donne la bienvenue au milieu
de nous, en cette belle circomstance, à son
fils Rino Eahna, notre membre affectionné
et fondateur de Unionista qu’il continue à
diriger même de Rome; ainsi qu’à notre
président Riccardo PeUenc, que ses conditions die santé tiennent absent de nos séances depms longtemps. EIn signe de reconnaissance tangible, il offre ensuite à M.me
Balma un recueil de Psaumes et Cantiques
et un joli bouquet.
M.me (Bahnsi, nuUeraent troublée d’être
seule de son sexe, remercie de la bele démonstration d’aifection de la part des Unionistes, assurant qu’elle ne l’oubliera jamais ; elle raconte comment die fut amenée à connaître l’Union et à l’apprécier,,
et se dit elle-même redevable à l’Uraon, car
c’est ici, en grande partie, que son fils a
puisé sa vocation pour la carrière pastorale.
I
a
1
i
!
I
3
■
. Suivent une saynète, quatre monologues,
une romance, le tout accompagné de la
traditionnelle tasse de thé qui termine le
programme. Omega.
— Le capitaine des « carabiniers » chev.
David Gardiol a été promu récemment
< maggiore nella riserva » de la même arme, ce dont nous tenons à l)e féliciter
chaudement.
— Parmi les « podestà » qui viennent
d^être nommés pour les communes dépassant les 5 mille habitants, nous trouvons
lés noms de MM. Geniale Grati, pour la
commune de Saint-Jean, et du docteur Oscar Geymonat, pour celle de La Tour.
'Nous leur souhaitons à l’un et à l’autre,
par dessus toute chose, de gaigner la confiance de tous leurs administrés en étant
des administrateurs entièrement dévoués
au bien public. Et la besogne ne va pas
leur manquer,
— Une conférence très intéressante aura
lieu, le dimanche 24 courant, à l’Aula Magna, à 8 h. 1|2, pax l’initiative de la Société Dante AMghieri. M. le comm. avocat
îAttüio Begey, consul de Pologne à Turin,
gui- ce sujet : La Polonia di ieri
e di oggi. La conférence sera illustrée par
de nombreuses projections lumineuses.
RORA’. Départs. îjz-29 mars, trois membres de notre éghse sont partis pour l’Amérique du Sud. Ce sont : Jean Mourglia
(Seitourà), qui se rend auprès d’un frère
établi depuis longtemps à Justo iDaract,
dans la province de S. Louis. Sa famille
le rejoindra plus tard, si tout va bien. Ensuite deux jeunes hommes : César Durand,
le facteur bien connu et apprécié, qui était
. aussi, depuis quelques années, secrétairecaissier de notre Union « Josué Janavel » ;
p‘ accompagné par un autre roreng, Bernard
Durand, va à Jacinto Arauz, dans la
Pampa Central. — Par contre, nous avons
le plaisir de revoir parmi nous M. Frédéric
Tourn, de Dolores, qui est accompagné par
sa femme et ses deux flUes.
Nous accompagnons de nos meilleurs souhaits et de nos prières les partants, et souhaitons une heureuse bienvenue au frère
qui vient d’arriver.
— Décès. Une double très grave épreuve
vient de frapper une des meilleures familles de la paroisse. 11 y a environ un
mois décédait, après une courte maladie,
Félicie Malan née Morel, des Fusines. Sa
famille n’était pas encore remise de ce
■*
rude coup lorsque le mari, VhiUppe Malan,
en travaillant aux carrières, se blessa gravement à une jambe. Transporté à I’HÔh
pital de Luserne, il succomba après avoir
subi trois amputations et enduré pendant
près de deux semaines des souffrances indicibles. Ses dépouilles mortelles furent
accompagnées par une fouie nombreuse et
émue au cimetière nouveau de SainbJean.
Le service funèbre fut présidé par les Pasteurs de Saint-Jean et de Rorà.
Que Dieu, le père des orphelins, protège
et garde les trois orphelines, une desquelles encore en bas âge.
' Visite. Le dimanche 3 avril nous
avons eu le plaisir de recevoir la visite de
M. et M.me Tron, de IBbbi, qui étaient accompagnés de quelques jeunes gens et jeunes filles de leurs Unions. Le programme
de la journée a été bien rempli. Le matin,
au culte principal, jM. Tron parla avec
beaucoup de force à un auditoire nombreux
et recueilli. L’après-midi, à 3 heures, réunion unioniste dans la grande école, où
M.me, et M. Tron nous adressèrent de chaleureuses exhortations. Enfin, jiour clore
la journée, réunion à Mourcious, présidée
encore par M. Tron, devant un auditoire
très nombreux, ,
Nouts reïnercions M et M.me Tron pour
leur visite et leurs appels,, et nous deinandpns à Dieu de béniir la semence qui a été
jetée dans les cœurs.
( Les cultes du dimanche soir, là Mour•cious, tenus alternativement par les Pasteur^ de SaintyTeau et de Eorà, continuent
à être fréquentés d’une manière encoxira-'
geante. Dimanche, 10 courant, une trentaine de membres de la Chorale de Rorà,
profitant de la belle soirée, accompagnè
rent le Pasteur et chantèrent quelques
cantiques nouveaux qui furent appréciés
par le public. e. p.
SAINTJiEAN. La conférence de M. Henri
Tron, pasteur à Saint-Germain, a eu Heu
mardi soir, dans la salle Albarin, devant
un très bel auditoire. L’orateur, présenté
par M. E. Tron, a péroré la cause de l’évangélisation avec cette chaleur communicative, cet enthousiasme et cette conviction
efficace qu’on lui connaît, et a "rappelé ce
que cette œuvre, si belle et si pleine de
promesses au début, a été dans le passé,
ce qU’aUe est de nos jours, et ce qu’elle
sera dans l’avenir.
L’assistance a prouvé par son attention
soutenue combien elle savait gré à l’orateur de toutes les nouvelles et de toutes les impressions que ce discours lui a
laissées.
Une fervente prière de M. Gardiol et
une collecte faite à la sortie clôturèrent
cette belle réunion.
— Jeudi, 7 courant, à Briquéras, M. El.
Tron a présidé le service funèbre du petit
{Balmas Henri, âgé. de 13 mois, Notre profonde sympathie e,st assurée à la famille
en deuil. Y
— Asile des Vieillards. M. le docteur Ottavio Prochet et M.me Liliane PenningtonProchet ont fait parvenir dernièrement à
notre Caissier un lot de Consolidato 5 0|0
de la valeur nominale de L. 12.500.. En y
ajoutant les 2.5100 lires déjà versées par
leur regretté père, M. le comm.. Robert Prochet, administrateur apprécié de notre Institution, on obtient le total de L. 15.000
nominales qui seront un précieux appoint
pour le budget de l’Asile, malheureusement
toujours plutôt anémique.
Tout heureux de pouvoir ,correspondre
au désir des généreux donateurs, le Comité de l’Asile va intituler aux noms vénérés de Robert et Nadine Prochet, un des
petits dortoirs qui seront aménagés dans
la bâtisse où l’Asile va se transférer, s’il
plaît à Dieu, bientôt.
En signalant la bonne idée de M. Prochet
et M.me Pennington d’assooier à un acte
de philanthropie pratique un hommage à
la mémoire de leurs vénérés parents, nous
leur exprimons la reconnaissance de nos
vieillards et souhaitons qu’ils aient beaucoup d’imitateurs. B.
.^TRIESTE. Le Piccolo, de Trieste, du 5
»durant, insère un compte-rendu complet
et fort élogieux de la corjférence publique
que l’avocat M. J. H. MeiUe a tenue à l’Université Populaire, le 4 courant, sur le sujet : Il volto di Cristo attraverso i secdi,
et par laquelle, à Laide de bonnes projections, il passe en revue les œuvres d’art
d’inspiration chrétienne, italiennes et étrangères, qu’il illustre et commente à mesure
avec sa parole chaude et colorée. M. Meille
est vivement applaudi par le public choisi
qui se pressait dans la salle.
Le même orateur a tenu, le 5 courant,
dans le temple vaudois, une deuxième conférence avec projections sur : L’épopée
vaudoise dans le vieux Piémont.
]\ouyelles de la Semaine.
Italie. A l’occasion du traité d’amitié qui
a été .conclu dernièrement à Rome entre
ritalie et la Hongrie, et qui a donné Hèu
à de cordiales manifestations de joie, de
part et d’autre, notre Premier Ministre a
promis que l’Italie fera son possible pour
faciliter à la Hongrie le débouché de ses
produits et de son commerce à Fiume, qui
a toujours été — dans le passé ■— le port
naturel de la région hongroise.
— !Eln même temps il a fait, au Conseil
des Ministres,^me exposition complète de
la situation entre notre pays et la Jougoslavie, et parlé de la possibilité d’un
éclaircissement après acceptation de quelques conditions préliminaires. — Dans un
coup d’œil jeté à la situation du pays, à
l’intérieur, il a déclaré qu’elle est tout à
fait bonne, sous tous les rapports.
— A la Société Royale d’Histoire, qui
a voulu offrir à Bevito Mussolini le diplôme de membre de la Société, le Premier
-Ministre a officiellement annoncé, dans son
discours d'occasion, que le Gouvernesment
va courageusement commencer les fouilles
pour remettre au jour la ville d’Hercula
num, ensevelie elle aussi, comme la plus
célèbre Pompéï, le 79 après Jésus-Christ;
et qu’il a aussi déddê de faire remonter,
du fond du lac de Némi, les d'eux superbes
navires construits par l’empereur Tibère
comme lieu de séjour, et sombres au fond
du petit lac romain, on ne sait ni quand
ni comment. Les difficultés des deux entreprises sont très grandes, sans doute,
mais elles seront vaincues par la volonté
tenace des hommes.
— Guglielmo Marconi a récemment obtenu, en Angleterre, avec l’installation d’un
nouvea,u service public et direct de télégraphie sans fil à ondes et faisceaux, de
Londres à Melbourne (Australie), un nouveau triomphe. La distance entre les deux
capitales, qui sont aux antipodes, est d’environ 18.000 km., et les communications
ont pu avoir Heu en moins de 3 minutes.
On prévoit que l’on pourra, à l’état actuel
des appareils et par ce moyen, transmettre, d’un continent à l’autre, près de
300.000 paroles par jour, et Marconi espère même d’arriver plus loin encore. En
même temps, il poursuit de très intéressantes recherches sur la téléphonie et la
télévision sa,ns fil, qui ont déjà donné d’ex
. ceUents résultats. Honneur donc à Marconi,
une des plus grandes et des plus pures
gloires de notre patrie !
— Pendant que les Italiens de New-York
préparaient à De Pinedo un accueil grandiose et avaient déjà lancé une souscrip
, tion pour faire cadeau d’un aéroplane à
notre vaillant aviateur, le Santa Maria,
qui était déjà arrivé aux frontières occidentales des Etats-Unis, après un parcours
de 37.'70l0 km., a été complètement détruit
par .un incendie, provoqué par un jeune
homme américain qui lança négligemment
sur l’eau huileuse qui enveloppait l’hydroplane un reste d’allumette. Heureusement
qu’il n’y eut pas de victimes ;l maie la nouvelle de cette destruction, qui s’est répandue comme l’éclair, a fait une impression
énorme, en Italie surtout. L<e vol ne sera
cependant pas interrompu, car le Gouvernement a déjà fait préparer un autre appareil qui sera envoyé à De Pinedo le
plus rapidement possible, afin qu’il puisse
glorieusement terminer son entreprise
féerique.
~-f^près Rome, c’est Miâm qui,a recours
à l’or des Eltats-Unis, avec un emprunt de
30 miJîions de dollars, qui a été obtenu à
'i peu près aux mêmes conditions que celui
de la capitale.
Après de nombreux renvois, le procès
contre l hon. Zaniboni vient de commencer
auprès du tribunal spécial, à Rome, et va
être rapidement conduit à terme. D’après
nos quotidiens, l’ex-député a amplement
admis sa culpabilité, en confessant que son
intention était absolument de supprimer,
le 4 novembre 1925, le Chef du fascisme.
Son co-accusé, le général Cai>ello, nie au
contraire sa participation — sous quelconque forme que ce soit — à un attentat
qu’ü désapprouve et. que son passé seul de
soldat devrait suffire à condamner.
— Etranger. Un projet de M. Poincaré,
président du Conseil, a été black-boulé par
la Commission des finances, avec 20 votes
contraires et 20 favorables. Il s’agissa,it de
céder à une Société Suédoise, en régie intéressée, le monopole des aUumettes : mais
les . 'SociaHstes s’y sont opposés et en ont
fait une question politique et de principe ;
Poincaré a toutefois l’intention de repiésenter le projet à la ChamiVre, afin qu’il
soit discuté publiquement.
— iDes nouvelles provenant de Londres
donnent comme certain et advenu un coup
d’Etat au Chili. Le Président actuel aurait
été (|éposé et le colonel Ibanez se serait
proclâmé dictateur.
Une réunion entre les grands industnels d’Italie et ceux d’Angleterre a eu
Heu à Londres. De bonnes décisions ont
été prises : entre autre, les délégués anglais ont approuvé le principe que «les
ententes industrielles internationales ne
devraient point couper le chemin aux nations qui, comme l’Italie, se trouvent dans
une phase d’intenâe développement économique, ni leur limiter la liberté de se refournir des matières premières dont elles
manquent ». Les faits suivront-ils les
paroles ?
— Un coup de foudre dans les affaires
de la Chine a été celui du général CiangTso-Line, le dictateur du 'Nord, qui a fait
irruption — malgré le droit d’extra-territorialité — dans la Légation russe de Pékin, pour y faire arrêter, armata manu,
plus de 60 meneurs de troubles, jaunes et
blancs, qui y avaient étabH leur quartier
général. Des documents très; importants et
compromettants pour le Gouvernement soviétique de Moscou y auraient été saisis, ce qui empêchera les Soviets de faire
trop de cancan sur l’acte énergique et certainement grave du dictateur de la Chine
du Nord, ennemi juré du nationaHsme can
tonais et du bolchévisme russe. La situar
tion asiatique va donc s’aggravant de jour
en jour, comme ü est prouvé par Tassassinat de l’inspecteur en chef de la ,police '
indienne de Shangaï, dans le centre même,
de la concession internationale, où se sont
faufiles de nombreux bolcliévistes et agitateurs de tout acabit, pour provoquer de
toute manière les autorités internationales.
P- À
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Jean Coïsson, directeur-responsable
Torre Pellico - Imprimerle Alpine.
Les sœurs Marie et Madeleiîne GeymoNiAT, ainsi que tous tes* parents émus pour
la démonstration d’estime et d’affection témoignée à leur chère sœur
remercient toutes les personnes qui voulurent s’unir à letir douleur par leur présence aux funérailles, par les soins et les
fleurs, ét d’une façon particulière la Société deis Mères de famille.
M. Charbonniiîr, dans l’impossibilité de
remercier toutes les personnes qui lui ont
témoigné tant de dévouement et de sympathie à l’occasion du deuil cruel qui vient
de la frapper si subitement en la personne
de sa chère mère
que Dieu a rappelée à Lui le 8 avril 1927,
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2,25 2,75 4,2- 2,40 3,60
2,25 2,75 4,2,75 3,25 4.4,- 4,- 5,4,- 4,- 5.4,- 4,- 5,4,- 4- 5,4,- 4,- 5,18.- 18,- 20,2,50 3.- 4.3- 3,50 5,—
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Per L’AUSTRALIA
Caprera : 25 Maggio da Genova
per Livorno (ev.), Napoli, Messina, Catania (ev.), Porto Said, .Inez
(ev.), Aden (ev.). Cochin (ev.),
Alleppey (ev.), Colombo, 1 eniantle, Adelaide, Melbourne, Sydney,
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Eredità cristiana . . . . L. 1,—
Evidenza della Profezia ... » 1,—
il fatto di Cristo .... » 2,—.
Grazia e Verità in Cristo . . » 0,50
La Grande Settimana della Storia umana
(tela).......................» 4,—
Luce d’Oggi, pane quotidiano . . » 1,—
Momenti di Sosta . . . . » 0,50
Munificenza del Re . ... . » 0,50
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