1
Année XV«
PBIX »'ABOfîNEMEKT PAB AK
Halie . . ' , 'J ■ ’ . L 3
Tous leà pi^ys de TUnlon de
liostê ■ * . . . » d
Amérique du Sud . . * 0
Ou s’abonne :
Au bureau d’Adminlatration ;
Chez MM, les Pasteurs ;
0h67! M. Ernest Jlobert (Tignorol;
Qt à la Librairie Cliiantore et
Àlascarelli /l’ignerol).
N. 28.
l'j'abônnerhênt ÄU. l* .Tán-ricr
se paffe à’ayiwîc|}. ¡
12 Juillet 1889
Numéros séparés demandés avaiit
le tirage 10 centimes chaoun.
À?tHOHC6i/: 20 centimes par ligne
pyiiV pne, saule fois, —16 centimes de ä A. 5 fbis et 10 oençlines pour 6 fqis et aiî t^ossua.
S’adrosser pour la I^éâftçtion et
l’Admiuistratîflu à M. le Pasteur H. Bosio — Sai'nf’ GermainCtuson ('Pinerolo^ Italie.
Tout changement d’adresse est
payé 0,25 centimes.
o=>
1-a
rii
I
ÉCHO OES, ^áLLÉÍES VAÜOÛISES
>i
■ !'
,1
iParaissant chaque Vendredi
iViTtÄ liiff. Jters« ffi'morns
.A'I u> 'i'i'..
Aotks 1, B.
.'WVi
■ iSoiïirnaic'e
i ',. ' * ) ' O ' ■ ■ ' ' ' r ■
PPi Po’, he ^iccolp Messagère,
— ;SpQScriplion. — Eyangélisalion. — Missiûh>s. Aux Jeunes fuineurS., —• Nouvelles
réjigieuses. — Chronique vaudoise. — Revue
poliiique. — Annonces. ; .. ^
GWmni la viîrité àtec tn charité, Epb«
15.
Ions être un seul corps, d’un bout
l’autre de l’Italie, et nous montrer toujoursplusoette Eglise évangélique d’Italie que Dieu a suscitée
et miraculeusement conservée
)!" fir-!7
.UN PO’ PIÙ. DI LUGE
. - ; -Tv- .. ii: ....
' Le général Lamarinora, en don*
tiahf'cé titih iV Î’hû ,de ses,livre,«,
a, iY,çi,u ! ja, jY,1,er,,î|i>j.p,eu ; p fiq ¡ lumbre
s.unila catnpaghe. i.dai-iSßß. Notre
intention en insçrivant'ces paróles'
qiPwtÇ!,: iip.hf»i,vpndr;Î0]h*
derii'ia'n'ipeiu ií)Jus;.de lumière ^ur la
pi'Opo.sition' adoptéè par la çonfé:
reucé Roina-Napoli, et dont Mr. le
pà,ste,ur,,Baffa,^îijjenjj^tpou,
tears la semaine passée.i:(Corni:g,ei?
dans sa lettre ‘^ueiqués erreqt's
d’impression;qili ' qi^t |¿'¿hápi)’é)'.
, i La ,p 0 n férep.ç,^„Àofl ç .i.
le Synode,! s’inspirant des söuyenirs
de la Rentrée, prdclame d'uine
nière solennelle, « que nous vou
Notre'correspondant a senti ce
que -cette proposition avait de vague, d’indéfini, et il croit que les
membres du Synode sauront bien
lire entre les lignet. Nous avons
essayé; mais, soit à cause de la
faiblesse de notre vue, soit à cause
de' l'écriture, décidément trop effacée, nous n’avon.s rien su' diAcouvrir de clair. Voilà pourquoi nous
demandons des éclaircissements.
Proclamer que lea'déux branches
’ de l’Eglise vaudoise formèrit un
seul corps! Gela n’a-t-il pas été fait
I déjà plus d'une fois? L’unification
n'a-t-e!le pas été scellée lorsque
I les délégués laïques des églises de
' la Mission ont pris leur place à
' cèté des députés des paroisses?
Quelle nécessité, quelle utilité y
a-t-il cà proclamer une fois dé plus
f ee qiue 'chacun peut voir de ses
propres yeux? Ne court-on pas le
J
2
«5
: 4
risque, en déclarant solennellement
une chose évidente, de la mettre
en doute?
Nous n’ignorons pas qu'il reste
bien des diversités entre les églises
des Vallées et celles de la Mission.
Eile.s sont régies par des réglements
différents, et il leur manque une
constitution unique. Mais cenesera ^
pas un acte de Synode qui pourra
changer un état de choseslcréé
par les circoQ^stan^ces.
Veut-on rappeler, d’une Ta^on
spéciale, aux église« vaudoises, la
mi.s.sion provÎdentielle/’que Ilieu
leur a assignée dans la patrie qu'il
leur a rendue? l.’occasioti en est
certes, favorable; I et dans ce cas,
qu'on le fasse d’une manière simple
et claire^ de façon ce qu’il soit
facile à chacun des membres do
J’église de comprendre tout çe qu'a
de féç], de sérieux et de grandie
devoir qui lui est rappelé. Qu’on
le fasse aussi avec les sentiments
de modestie qui conviennentà ceux;
qui ont bien imparfaitement acç ont pli leur tàcbe jusqu’ici, de fraternité'a l’égard de ceux qui travaillent à.céité de nous, et surtout
de cpnfiance en Dieu. H, B.
Cet article était imprimé lorsque
npus avons .reçu du centre de f’I, talierune lettre d.ont rauteur, tout
en approuvant pleinement la prem.ière partie de l’ordre du jour voté
à Poggio-Mirteto, se prononce dans
le ipênve sens que nou.s au sujet
de l’inutilité de la seconde. Il con^
cl,ut en disant.: « Quanti à nous, allon.9 de d’avant, précliant| l'Evan-j
gile, étendantl'e règne de,Dieu en
Italie, nous moutrarit toujours plus
”V7.
dignes delà mission glorieuse pour
laquelle Dieu a conservé l’Eglise
Vaudoise
».
Rêd.
LE PICCOLO MESSAirERE
parti en guèrre
I! n’y a pas longtemps que Gladstone,
isé'trôffvanl au milieu d’une Assemblée
qui ne lui témoignait que de l’admiratiob, se prit à ffofèr la êiscipline
fortiftanie de la criiique; qiiEs’exeree
s,ur toutes les aglions d’unShomme
public,"et se fait au grand sbleil de
la liberté., - -, ;
Suivant ce principe, notre église, et
eb particulier Mr. le docteur Prochel,
n’onl qu’à se louer des attentions du
Piccolo Messagere. Son dernier N° contient non moins de &epl colonne.s de
critique à l’adresse, tantôt de l’Eglise
Vaüdçise,, tantôt des opidîôns pai’tiçulièrés'de'Mr- 'Prôohôt. " ■ ■
Comrpe les , lecteurs peüyefft' ‘bien
penser, il y aurait beaucoup à dire
si l’on voiilàît èntahiôr une dis'cussiôb
au sujet des plaintes formulées contré
l’église vaudoise, et son aptitude à
l’œuvre d’évangélisation en Italie.
Mais nous ne voyons pas la possibilité de discuter avec le Piccolo Messagère tant qu’il sera animé de l’esprit'
qui a dicté les trois articles auxquels
nous^avons fait allusion.
Le lecteur en jiigéra par un exdinple
tiré de la prenaière des sept colonnes
susdites. ■ ,.,;i ¡,. . i Si'-, h:i
L’auteur y cite dlabord une ietlre
de Beckwith, écrite'en 1855, lorsqu’il
s’agissait de la fondation en' vue de
l’évangélisation, d’une Ecole de Théologie. « Le côté faible de votre clergé,
écrivait le général au, Modérateur,
est, h présent, sa èulture' exclusivement frabçaisé, qui'lé rend peu
apte,à la tâche que les événements des
dernières années lui ont dévolue »>,.!
Chacun sait combien, depuis IorS|
les choses ont changé. Mais (e Piccolo
Messagere n’a pas mêtïié l’air de s’en
douter^ et il œcritpisans sourciller, le'
paragraphe suivant:'<( ¡d.-. i;
MC
3
lVVwA<>vvV‘•n^w>AlrvAln4^iv^<■lA^<Mwvv^»Mw^A<ViA
. í*
219
*«/usqu'à que| point ,l,e? Vai^dp!s, ?e
Ronl^déponiltós áe la li'l’léralureYsícy
frán'i^ise, í^'ápu.n.,p jiiííé.f par
le fait qiiY tout ,se .fait en français dans
celle église, jiisqu’à aujourd'hui; ,et
bien que le Roi ait écril dernièremenl
à l’Eglise, Vaudoise en ilaiien, la Table
Vaudoisé a cependant répondu en (Van-çais (sic) à S, ’Md 'el cela m,a|gré Tordre de S. E, le Prérudent des Ministres
aux repi'ésentants du Royaume, de faire
en italien leur correspondance officielle. La simple politesse exige que
nous Pépbddioné'â'nos supérieurs dans
la langue dont ils se servent eux-mêmes, à moins que nous ne l’ignorions.
C’est inutile.; ,le.s Vaudois nq se croient
plus Vaudois si leur langue officielle
n’est pas le français; comme les catholiques ne se croient plus catholiques
si: leur Ifmgjie officielle n’ést'pas le
latin ». ■■■ ’ Y ■ ’ <
;Ppisque ,H. W..’ ' J,, O- (riii américain, dil-on) élaii en si bonne
veine.pour'conter des bourdes à ses
lecteurs, il, aurait pu ajouter que tous
les évangélistes vaudois en Italie prêchent en français, et qu’au Synode,'
s’ilj;arrive à quelque malheureux de
prononcer.pil mol d’ilaHenj il' est jmmédialèm'eril excommunié', Ot' qu’èhfin
les 'Vaudois ne seront contents que
ld,rsqd'é.de français sera deVenh la tan-'
gua de,’tous Tes"itâliens.
“ - ' ' !■,• Il, , , '
Et .dille quejftjqurnal qui prêle faiissemeni'fi la Tableune lettre française au
Rqi, et.se fait le,champion de Tiialien,
n'écrivait naguères pas une page qui
fût exempte de ffauies.,de gramma^’ej
Que T.un des articles de son dernier '
Nfi où il critiqne que appréciation ré- i
centeî du docteui:¡Prochel sur l’œuvre.,
dai Gavazzi, a pour titre: «Gavazzi
MiaTtFiMTolÍ et commence ainsi: « U '
ReivUjD.; Matteo, Paochel dà nel giornale ameFicànoi-il Thé.Churçk at home
and abroad unq.; schizzojdeila vita del
Gavazzi, per, eD,ùcTudere<eon le apprej-,,
zazioni seguenti suljasuapredicazione, !
che al certo mislifica^ct i\ Gavazzi,,.e
non sono conformi al vero».,
Quapd pn, a fsoirmêmei taniide pro■gris; à faire,j.«n peu ;dq mudestiq u,e/.
serait pas déplacée; et si l’on veut ■
êtrq pris a'ij sérieux, il ne faut.',,,pas.'
donner de grosses bourdes pour des
arguments.. TI. B.
JOUIHAL i)E raPifilTlON
par f’îurl ITcytiittidiii
(Suite]
Le d’octobre les ennemis dressèrent embuscade le jour auparavant à
Samma, mais nous les apercûiiies du
Serre de Grueiquf moulaient pour nous
y attirer; c’est pourquoi plusieurs s’en
allèrent pour les. attaquer et les Tirent
décamper, aprè.s en avoir tué un et
blessé Irois ou quatre; il n’y eut ni
tué ni* blessé des nôtres.
La nuit du 1T au 42 d’octobre nous
fîmes brûler toutes les granges qui
avaient du foin vis à vis dé Bobi afin
que la cavalerie n’eût pa.s du fourragé,
et pour, s’il était possible, les faire
retirer de là.
ijes ennemis ayant résolu de mener
le convoi à Mirahouc nous attaquèrent
le dimanche IS”® d’octobre et 'arrivèrent au dessus du Ser de Cruel avant
jour; ainsi nous ne pûmes lés, reléhir
jusqu’à l’Aiguille où nous nous bat-i
tîmes vigoureusemeni tout le jogr et
nous y avons eu un rnôi l et 5 blé.ssés,
les ennemis sept pu huit mPrts et
autant de blesses. ' ■ " '■
'Api’ès cela tes ennemi.s renversèrent'
et détruisirent entièrement, la communaulé de Bobi et autres endroits jiisqu’à couper les choux des jardins afin
dé 'nous ôter le .inoyén de vivre.
Hier notre camp volant élanl allé
du côté de Pramol et ayant tué une
vingtaine de personnes et entr’aulres
des révoltés, entre lesquels il y avait
deux guides, dont l’un s’est perdu et
l’autre a été tué, C’est; chose remarquable que de tous les détachements,
que nous avqns faits, lant pelils ,q|te,
grands,! ei quelque dessein qu’ils aient’
eu, ils en sont toujours venus à bout
pai; l’assjslance du fout-Puissant,.quoique. Turel .nouB.jait abandonnés avec,
une trentaine de français le 15 d’oc-
4
tobre. C’est celui que j’ai nommé cidevant il'ôtre çomraandatit, qu’il le fût
où non, n’.étant pas digne qu’on lui
donnât ce nom, pour le grand soin
qu’il a pris de notre passage dans la
Savoie; il est du nombre de ces temporiseurs: qui àuiviretit Jésus^Gbrist
pendant qu’il multipliait le pain, mais
qui l’abandonnaient dès aussitôt que
les gendarmes le ..prenaient. Il y en a
à qui le trop de bon temps rompt le
cou; aussi celui dont nous parlons
a-Nt trouvé son payement, enrayant
abandonné ses frères, Dieu a permis
que 156u 16 déserteurs avec Ini, ayent"
été tués et lui et les autres faits prb’
sonniei’s; ce qui le fera repentir de nous
avoir abandonnés et emporté tout l’argent du ‘publie; tout cela sont deS'
choses'qui feront frémir les gens zélés
pour l’avancement du règne de JesusCbrifil; mais que cela ne; nousi étonne
pasicar il faut que l’ivraie, soit tiréet
eluséparéé du bon grain. ui
,Le 12.'“^ d’octohrCi qui, était le dimanche, les ennemis nu lieu d’observer
ce jour qui est celui du repos el ide
le,. coiïfiacrpt'i à la gloire de Dieu, passèrent,de. bon matin, au,,Coi de /a Beufa
et; brûlèrent .presque tous les blés, du i
Périer en, bas.,. . ,i . i,
Lfi.isoir nous fîmes un détachement
afin de les chasser mais ils s’en é-.
taisn.t .déjà allés, de sorte que nous ne
trouvâpaes'personne. ........
(La. nuU du .l-i a,u 15, c’est à dire
du lundi ati mardi, ceux des nôtres,
qui sont du côté de Bobi aiiaquèrent
iiq ou plusieurs corjis de gardepù il y
avait 60 soldats au lieu nomméSibaud;
il y en. eut un qui porta la bouche de
son fusil loul-contre la sentinelle sans:
qu.’etle s’en aperçût et la tua et ensuite ils entrèrent et prirent le corps
de garde d’assaut, luèrent 14 soldais, '
prirent tous leurs mousquets et une
Irenlaine de pèles et piques, et peu;
.s'en fallut qu’ils ne chassas.senl tout ■
ce qui était à Bobi; ce qui fut cause
3ue la cavalerie y vint camper' te len-'t
eraain ; nous n’eûmes aucun mal sinon
uri légèrement blessé à la jambe.
Le lundi 14 de c'e mois les ennemis
ont encore brûlé quelques maisons du i
côté du. Clerèl,'mats le camp vólanlr
,.220------
t.'iV
qui était près d’eux les empêcha, de
ppursiiiVt-e leü'r désséin. '. " *’! . ' '
Le' 17 qui' était le Jeudi une vingtaine, dès nôtres eScarrnouc'bèrefilassei'
longtemps ët tuècent trois’pü quatre'
soldats;• ’ "I ;•
C’est monsieur de Blégnac qui a pris
cette relation à VAigùule le 13 nô-'
vembre .1689. '. i' ‘ ■
■' ' ' ' FIN.
Situscriplion d'actions dç grâces
pttnr l'p,'Biíéht'éüalre de la''Glorieuse''Re'BtiéB
:|M . I., ,' ' i;—^^ Í. I" I Ht > '. ■
Eglise de Luserne S. Jean (2* liste).
¡Quartier dës' JaÜa:
M.lle Marie Monaslier, Frs, 100,;
Alexis,Jalla, ancien;/'5; É. Jean Ga'y
etfamille, 50; Pierre Gay, géomètre, 50;,
Plavan David, 2; M. Monnet J. Daniel, 1;
Revel Paul et fairlille, 100; CoSlabel
A ! cTti s, b', Jalla Alt guste, 2 ^ ' Jal la' J '
quès Besson Jean' Barlhélémi, '2;'
MaJan M'àdël'elnei/1 Fonta'iiè Jeatí', 1';
Tbu'rn J:'Daniel,'5'. ' '' '
Blonais:
Gay Antoine pasteur et famille, 200;
Gay Daniel, ancien, 20; Gay Etienne, S;,
BasUe Baptiste, 5; Bastie Jean.,-5;
Albàrin-Malari Marguerite. 2; 'AjDariti
Daniel, 1 ; Baslié Jacqueis, 1 j Monnet
Barlhélémi, 10; Mohnel-Cañarel Vif--"
ginie,'10';’Girlardin Pierfej-;2','Beiné(ài
Daniel, 'iinsliluteur, ÎO;"Gay' Pierre,’
instituteur; 10; îBêlliott Bafthélerrtip
25;i'Tufi'n- Matan Cafolitliei-, 3;'Monnet
Pierrei 5; Vofle-Titfin GaiheHné, 5
Pàrise Barlhélémi,I 1 ; CharbônnierO
Paul, 3; N; N., 50; Beft Calheribe, 2;''
Muslôn Baflh,, paslenf ôrbérilè', I'50p'
Ml’'«* AdèleetEmilieMuston, 50; Robfert
P fa n çoi sy5 ; Ma r li na l Jaéq \ ibs, 2 ; Dà'ritiê'^
Jacques, 2; Gougn Jean’ Dftrtiel, idiaa-'
cre, 100; Jalla» Adèle, 100'; Jalla Ánilá''»
100; Gaffarèli-Gay'Olympe, 20'; Joui’*-;
dan Henri, 2,50;» SebOlô-BaStiè Modelai ne, f 3 ; ’ ' Pa rander Jea ri Ja qü es, 'paff-’
teur-'émérite; 40.'’ '-'' b«« "ir.'-i ai:"
Carteraï
Ml et M.'rrioBéràfd Caffarel du MoniOlivet,’1000; Fenouil Ahita, '2;''‘StíLi
-'I l< : Í , M tf -
5
bifia-Baslie Marie, 2; Revel Rachelirië;'2; Pt'assuii Jean àribièn, 10;'Slall'é'
ChWslop'hte, '’5';' CàlPirlel-M'àlaribl;l;Dalmas Elienriè, i ; Besson PieVre, 2;
Bèlliòri Matlhiéu, 2; Bianqiii' David
fei) Paul,’'!; Bastie JeaH,''2j"Pistón'
Pien-b, 2. ‘ ’’■ ■■ ' ■ '
t^udrliér des Lanlaret:
Revel Barthélemi, 2;‘ Ranlarel Marguerilé, 5; Revel Jean, ancien; 15/,
Odin Danie-I, 1 : Menusan Pierre, 2;
Bertin-Bouiai'd Marie, 2; Frache Jean,
1; Pasqnel Daniel, 1; Ppris Rarlhélemi, 1,50; Pavoni Etienne, 5,: Jalla
Daniel, 5,; Lanlaret Marianne, !.; FracÌie-Siniond Madelaine, 1 ; Parise Daniel de David,! ; Frache Bar llrélemi, 1 ;
Revel Barlhélemi, 15; Fenouil,Pierre,
diacre, 10.
Malanot.
Malan Guillaume, docleur, frs. 150;
VolJè David,Sienne; 20; Malanol David,
5; Malanol Annelte, Auguste et Paul,
10. ...... : ■ :
Fond de St, Jean.
Titrin Paul;' ancien, 100; Fenouil
Barihélemii "5'; Bessón Ba'plislej' !•;
Fenouil Henri, 1; Prochel Paul, 1;
Gay Adèle, 10; Bencch Paul, 5; Bertin
Jean, 2; Bastie Pierre, 3; Rivoire Jean,
BubiaiièV Rievlèl, PfòOhet' Mtfèj^iièrité,
25;' Risch Jha’n, ld; Richai*d‘‘Pietre,’*
5; Egli Ermiriio, '10; ' Breiishei’’ Rédolpliè,' 2; Rivoìré Jacques, 1; Hugort
SUfeélte, 2. '< ’‘f ■>'' ■' ' ‘
'vignes et Mourcious.
P^yarin Louis,'ancVen, 5; Pfivarin
Jacques, 3; Pellègrin Henri, 2; Revel:
Henri, 2;, Réymond Barihélemi, 4;
Tourn.Einmanuel, 1 ; Tonrn Jean Jac
ÍUCS, 1 : Dnrànd Alexis, S; PavarinQurn Madelaine, !; Rivoire Dànièl,.
3; Ciperi Etjenne, 2; Tourn Daniel,
0,50; Goss Barlhélemi, 1 ; Tourn Julie,
2;,CóiSlabel Philmpe, insUluteur, 20,;
Ga'rdipl Jean,'2;.Malan Barlhél.emij 3';
Malan Jean, 2;,Ìijvoire Bartbélenrii, 1
Go,ss Frédér,ip, ,2,; M.ala'n David,.. 2;
Malan Louisi 2; BènecH Barlhélemi, 1;
o Pe-yrot ’...............
To.tal deux’prem. lióles frs. 4544,50..
221
1
MM. Thomas Bianchi (Sheffield) fr.l 0.
■' i' "Bafli'Snppé'eir^ngti'iutéuf'-'s'i ò.'’
Mi G.-pSt. Gèttrraih)'''.i‘» ■ 5: '
Missions
Les lecteurs dll Tmom apprendront.
San's'ddlHé;'avec'inléPêl que mons'idur
Addlpl^e’'Jallà a etiTiri pu quitter Efltlbérlèy Ite 7 jtrini après de longs délais
et des'' retpfds'indépèndanis de sa v6lOnlé, aussi bi'eh que' de**hélle de ses
coibpagrions de rouie, L’Afrique est le,
pays de Patiente, 'él'so'uveht’de P'al-'
tente passive qui estW'plus fatigante.
«Ici; lotit volisidit: Viën 'né’presSe 'et
é presse
suélduL' pas' de zèle ¿. ' Mr: Mi'isson,
l’E ■■ ..........
chef de l’Expédition, son sédrélairéj e t
Mr. Middleton un de ses agents, escorteront M. Jalfa jusqu’au Zambèze.
Reconnaissant envers Iç Seigneur
q U i 10 i 'a fai t, i ré o v di’ I ’ h os pi ta | tlè'. fe
la demeure’de Mr. Ashton, missionnaire au service de la Société de Londres, et 'comptant ’toujours’sur l’aide
de'son Dieu, et sur les*prières'de'àeS
frères, 'Mr. Jalla' co'ntiuue son voyage;'
hâtant-dé"ses vœuü et de ses èifdi'ts
lé 'moment où il aueindra le terme''
fixé.'-’'' ' ' ' "" '■
Eglises des Vallées, familles chrétiennes; vous tous q'ùi vouléz que'le'
règUé de Dfèù 'Vïenhè,'n’oübfie^ 'pas
d ’ i n le I céd e r ' po ii I' ' ceii i' ' q U î' Ir a va i 11 ehl' ’
et sèmeril eh wiré*»il»i dans îâ'loih'
tainô' Ainqué.
' (I Í) .fl ■ I
'■) O'
11-,
A. S.
Évangélisation
Gênes. — Le Rapport du Conseil
d’église présenté à l'stssemblée dimanche dqriiier,. porte il 267 Je nombre:
actuel des membres de l’Eglise de
Gênes. Dix-sept nouveaux membres
ont été reçus à la suite de certificats
d’admission. Le culte e'st fréquenté par
une moyenne de 160 personnes le di-n
manche malin, et de 100 le soir. Les
conlribuiipn.s ordinaires, malgré, les
colle'étes pouf dbjéik'dlyers,' ■oni''ére
en ‘àugrhentalion' è(ii’‘'les Adhées
tédéîlteS 103 sùu'scriplebl's '6‘nrdohtiié''i
pour Wais de 'Cpl’iè’u.'‘''2®3'/4S’'ét‘J
Cdnsèil ;a--'Jjd»MlWé¥^L:3'1700'’'à la
caisse' ébrtirâié.
! U' ' eu
\
6
: t-W
,222
Aux jeunes fumeurs
. N,ou4’lisons, dans \a .GazzeUa Piemon'ififie (^m \a Société contre l’abus
du tabac a Paris a pris l’initiative pour
obtenir une loi qui défende aux enfants de fiimei*, Cette société s’appuie
sur une longue série d'observations
faites ' dans . ce but'. Sur 38 jeunes
furnfurs do 9 à J5. ans il a été' conslàté„qiie 26 étaient sujets à un malaisé'général et que l2 étaient sérieusemeul àitQÎnts de graves maladies.
. , ' - E. B.
J.,..,
"'frt-'?“
i f ; ^ 1
^otioeUes l%cUqteu0C0
I I /V
■ fj'Allemagne et le ■Iraficdes.spirilueuæ
ew4/i'*iquef■—¡Vers le milieu du mois
de mai, la Diète de l'empire Allemand
a adqplé à la presque unanimité des.
voix, ,¡me motion de iMr., le pasteur
Stoecker invitant les gouvernements
confédérés à étudier de nouveau |a
question de savoir si et comment le
trafic pernicieux des liqueurs dans les
colonies allemandes, par une interdiction absolue, ou par une limitation
partielle, pourrait être contrecarré.
Les députés allemands ont donc
presque loussenli que c’était une honte
pour un pays chrétien que de permettre à des irafiquanlasans scrupules
de réaliseT* des gains sordides au prix
de la ruine morale de tout un peuple
de noirs. Ils mérilerit d’être félicités.
Mffiis ctesl surtout M. Stoecker qui doit
êtrelbeureux du succès marqué qu’il a
obtenu au Reichstag, précisément au
naordêfit où toutes les gazettes de l’Euro|ié venaient de répéter sur tous les
tofis.que son influencé était à jamais
ruinée.
< 'J .'illi "Inl';.,:_
L'égalé des Eglises dans le pays de
Gfl^Wes. -LeÎSmai dernier un député du
paysde Galles (Angleterre) Mr. Dillwyn,
a de. nouveau présènté à la Cbainbce
des Communes“ une .motion qu’Ü avait
d éj à so II mi s 0 en 'Í886,' et, qu i . ten d. à
bure leiifi'r dans le pays dé Galles,
il l’Egli.sc angliciinc, les privilèges et
les revenus i officiels, dont elle jouit
d'une manière exclusive, bien que l’im- ■
mense majorité des habitants de; la
principauté so rattachent résolument
à des cointniinai)lés nou-conformistes.-!
et snrlout à l’église méthodiste. Tous j
les habitants y doivent payer rigoureusement l.a dîme en'faveur de T^glise anglicane, même 'avec,7a /'orce
militaire, si cela est nécessaire! Mr.
Dillwyn et ses partisans n’ont,certes
pas eu de peine à démontrer combjéri
une telle mesure est"contràife aux
principes de la liberté' et à l’équilé.'
- Cependant la proposition a été rejetée par 284 voix cdnii'e, 231, c’est
à dire que cette motion 'à reunij Cette
année '18 voix de plus qu’il y,n irois
ans; de sorte que ce résultat a grandement réjoui les non-conformislés qui
voient s’approcher le temps si désiré
de la séparation de l’Eglise d’avec l’État
au moins dans le p.àys de Galles,'’et
en Ecosse. M, Gladstone s’est prononcé’
dernièrement, d’une manière plus favorable que précédemment, au désétablissement des églises d.ans ces deux ’
pays. ' ui ■
Processions religieuses et troubles, -rDes troubles ont éclaté à Kledno,! en
Bohême, à l’occasion de la procession
de. la. fêle-^Dieu. Un rnfneun, ayant é|è;,
arrêté par un agent de police,: la foiile
a réclamé sa mise en liberté: il, ¡a
fallu céder..Encouragés, par ce succès
les mineurs se sont portés â l’H'ôteij
de Ville, à la direction des mine^iêt;
chez le bourgmestre. Les trois maisons'
ont été saccagées’ et presque démolies. '
La gendarmerie a éleaccueil|ieàcoups
de pierre; le sous-préfet qui, marchait *
à la télé des gendarmes a été gravement blessé par un pavé, ( Lps g6n-'j
darmes ont ftit feu', et,dêux enfants,”
ont été tués. Un bataillon est .arrivé,^
de ,Prague eta rétabli l’ordre. 'Plusieurs,'
magistrats spntégalemenl arrivés pour.';
commencer unè enquête. . ‘,’j
Ne serait-il pas temps d’en finir avec
ces processions publiques cléricdies
qui ne sont autre chose ¡que des provocations à l’adresse de tousjçeqx qui
ne. peuvent pas reçtrnnaîlre, dans le
7
223.
morceau de pâte qui y est adoré,JésusChrisl U ,Sau»èUD?l< ; 0>Xilt.
• Horribles çaiasiropheSf^ jD’après
des renséi^neménls qui paraissent dignes de foi, le nombre des victimes
de I ’ in and.a t¡ pn de J oh n wn ( Pe nsy I
vaniè )^'serai'l 3e, .-46,OÔ0. Les détails
donnés par les journaux sur celte catastrophe sont éfjouvantables.
( >— On télégraphie au Standard qu'un
violent, incendie a détruit plus de la
moitié de la ville de Lut-Chéou,dans la
province de Széchuen; 1^00 personnes
auraient péri dans les flammes; 40000
faiM'Hes'sè Iroïivent sans abri.
Olî;;).. ' ■ ■■ I ■ ;i!;' ; .
- !)La flei),MCAréiÎ0H.»e de Juillet con^
tjçnl entr’aulres un arliçle de Mr.D, H.
Meyer sur le ConimewiaiVr de Mr. Godet
sflr''fà '4^‘‘ âiix Corinthiens et une correspondance de M. le prof. Gomba sur
La Fêle de Giobdamo BrunoI
'():î
diront que CHiiubotse
On nous écrit; «Mr. MauriceTalmon,
après de brillantes études à l’Académie
navale de Livourriej vient d’être nommé (avec le üls aîné du Duc d’Aoaie)
Guardia marina. L'Esercito dit qii’ii
s’embarquera te 25 courant. J’ignôre
si et quand les vaudois ont eu d’anlrès
officiers dans la rnarîne/niLitairei.
niO'l .' i(.~r
Nos abonnés voudront bien corriger
ÇeiTeur gui a pié commise dans le
numérotage du TéMoin du 28 juin
dernier. Au lieu de N.“ 25, On doit
iire-'N.o'26. ■ ‘ ■
Marseille. — Le Bulletin de l'Eglise Réf. de Marseille conlieRl nn
article très sympathique de Mr. le pasleur Ph. Mouline surja Glorieuse RenIrèe. M. le pasteur M.Îcol, lisons-nous,
rëviVre éfes êmbuvanls souvenirs
dans une conférence'qu’il a donnée, le
47Juin, au temple de la rué Grignan...
Au souvenir de toutes ces épreuves
et de toutes ces grâces, unissons nos
coeurs et nos prières pour demander
au Dieu de nos pères de faire revivre,
dans leurs enfants celte crainte de Dieu,
celte fidélité à l’Evangile, ¡oèicourage
à confesser le nom de Christ, cèt esprit
d’amour et de sacrifice dont ces héros
de îa foi nous ont laissé de si admi-râbles exemples»! ■ ■ '
Parmi les catéchumènes reçus le
30 mai dernier dans l’Eglise-réformée
de Marseille, il ne s’en trouve pas
moins de26, dont8garçons et48 jeunes
filles, qui portent des noms vaUdois.
C'est plus de la ùinquiéme partie''du
total des Catéchumènes reçus.'’ 'î''
. h;-- ; f > 'i
IKcüue!
.(Kl
ilatie. — Tandis que le Sénat discute encore les libuvelles lois'.yoté^es
par la Ghàrabré des' dépuléi5(''celle-ç'i
est en vacances, La dernière , séapcéi
de lundi,8 c. A é.iié Cpiisa'çrée en,grande
partie aux deux injerpéllaliohs’ des
ho n. ' Pa i s e l Ca va 110 lli, la' pré fn i èf e ' a 11
sujet de l'étal éconorriiqUé dé'jrîle dé‘
Sardaigne, la 2™ relalive aux incidéhÎS
de Trieste, Tretuo, Riva, et de la TuV*
nisie.
s;l
Grispi a répondu au fqugueùx.oéputé
radical que le commanaaht^du bateau
autrichien qui avajl bombardé yddg,'¡i
été destitué, que les, aiUori.les d,e,G,iva
avaient empêché le débarquement3es'
touristes italiens càuse_de gitelqu
cris de nature séditieuse.
Quant aux faits'regrettables quise
sont passés à Gabos sur leseóles de
la Tunisie., une enquête a éjé ordonnée
mais lé Ministère en ignore le résultat.
D’après les dernières nouvelles, .ce
dernier incident, selon les aulorîiés
Françaises efc.Tunisiennes, se réduirait
à bien peu de chosel •.inn.i
La reine et 'le prince'héritier sont
à Venise pour les bains. ,
S. M. doit se rendre prochainement
à Livourne à,,,l’oecasioi]; de l’érection
de la statue de Garibaldi,; eti ensuite
à Bari et à Lecce : . ; :.;,í„kTí .;d: i
ü D’accord i avec le Ministère^ il ai re*’
fusé toute'espèce le ' fêtés coûteuses
AJ iV.îi('r
8
pour célébrer son arrivée dans ces
deux villes. ^ i- : : . r
, Les journaux, la nou
vfillef.tVseî^saito» .émise par l'ûsserwtore Romano du probable ,dépari de
Léon Xni panr les îles Baléares ou
popr l’Espagmç.., = , i,., j.
-I Dans le icas d’une guerre où fut impliquée Tllalieji le départ, au,dire du
journal, clérical,, serait certain. Bon
voyage’sans retour I
Des désordres se sont vérifiés à TorreAnnunziata, près de Naples, provoqués
par la tentative de débarquement d’une
société cléricale-légilimiste de îjaples;
la SociélI» ouvrière Léon X1Ì1 et le
Circolo federativo napoletano ont été
dissous. , ^
Swiage. — Les conférences de Berne
ont été ajournées pour don.ner le temps
aux d'épuiés italiens .de^s’entendre avec
le Ministère .toucha n't,l,é ’débouçlié,. spr
lérritoiréilnlien, du tunnel du Simplon.
.» u hr..- Cl'r'’ . ï ri ■ ‘ '
i-r- Le scpah dc-rprse
est arrivé à Londres et a reçu un chaleureux, accueil, dans le but„,pro|)A7
bieinenitj <1*^® bn avait
fait le czar de Dussie.
., êfrt^ue. ■— Le 2 courant, le qoIbnèl Woodhoiise a battu les Derviche?
orés de Wadi-HaÎfa. 70 égyptiens^,et
OO derviches ont été tués, et l.é cdm(nqndanl dés trqupes anglaisés s’est emparé de 2 çannorisi. .
l
' Annonoes
COMUNE DI èOBBIO-PKLLICE
\
Avviso di Concorso. .
È aperto il concorsoi al posto di
maestra di questa . scuòla elemeplaré
femminile di Sgelasse rurale. Stipendio
legale ed alloggio, Le domande, ,cor
A louer pour la saison d’éle un appartement de à 4 pièces dans le beau
local de l’Ecole Vandoisé S. Second.
S’adresser, pour,, renseigneaienls. soit
à . l’uDi, des Pasteurs de, Prarustin et
Pignerol, soit à Mr Alexis Roslan de
§, Second.
AVVISO DI CONCORSO
COMUNE tir MASSttLO
È vacarne in,Comunità per
l’ànnp scolastico 18ÌÌ9-90, il poslo di
maestro elementare, di 3,^, piasse rurale,
al quale va. assegnato,, oltre l’alloggio
ed il sussidio della Tavola Valdese, lo
stipendio annqo di lire 700, pagabili
a hi'iifiesln ma^upati.
I conqoi;ren|,i Opyranno presenUire
a quest’ ufficio Comunale, entro luglio
1889, la rispettiva domanda coi documenti brescriiti dall’arl. 147 dej
Regolamento per l’istruzione elementare ,10 febbraio 1888.
Massella, il 23 Giugao 1889., , i
li Sindaco
Tron.
TORRE-PELLIGE
DilBERGO & PENSION
pour l’occasion, du Bicentenaire, a
ouvert une succursale pour,,logement?, à, des prix très niodçrés., .
Pension, eOambre comprise, à francs
4,50 par jour. Appartements pour
famille.
Les personnes gui désireraient .s’assurer un logernentj pour là durée,ejes
Fêtes, sont priées d’écrire à l’avance
à Mr. Pasquet.
.............. -à* ■ ,
Lezioni di storia della Chiesa
corri|)!lalé da Emilio Cornea, professore
nella Scuola Valdese di Firegie, ,—
i, -TT Rçripdo dogli Apost/oli: — 1 voj.
in 8°, de 83 pages; Firenze, Tipog.
Claudiana. '
Prix fr. 2. — S’adresser à l’aiitéur.
Ernest Robert , tìéravl.
Pignerol, Imp. Chiantore-Mascarelli.