1
■ T. aniié«
3 Décembre 1869
/V.“ 4».
L’ECHO DES VALLEES
FEUILLE HEBDOMADAIRE
Spécialement consacrée aux intérêts matériels et spirituels
de la Famille Vaudoise.
Que toutes les choses qui sont véritables. «ccupent
vos pensées — ( Philippienit., IV. 8.)
PRIX d’abonnement ; ! BDREADX d’abonnement Ì ANNONCES ; 5 rent, la ligne
Italie, k domicile fwn an Fr. 3 \ Torrr.Pei.mcr ; Via Maestra, [ ou pt.rtion de lipne.
Suisse.................. > N. 42. (Agenzia bibliografica) ^ Lettres et envois franco. S' a
France.............• ® 5 Pionerol : J. Chianéore Iinpr. \ dressfr pour l’administration
Allemagne..........* ^ > Turin :J.y. Ti’on, via Lagrange i au Bureau à Torre-Pellice ^
Angleterre, Pays-Bas . » 8 ? prés le N. 22. t ria ^faestra N. 42. — pour la
Un numéro separé: 5 cent î Fî.orbnck : Libreria Evange- I réda«’tion : û. Mr. A. Revel
Un numéro arriéré : 10 cent, s lica. via de'Panzaiii. « Prof, k Torre-Pellice.
SOMMAIRE — De l’examen des candidats au S‘ Ministère. — Le P. Hyacinthe
à New-York.— BitUetin Bibliographique. — Correspondance.—
— Chronique politique. — Souscription pour Usseaux. — Annonces.
DE L’EXÂMEN DES CANDIDATS
auL S‘ IVIinistòre.
/ Suite et fin. — Voyez N. AffJ.
Que dans le pa.ssé de notre propre Eglise, et notamment
dans l’intervalle qui sépare le Synode d’Angrogne (1532)
de la Glorieuse Rentrée (1S96), l’examen des candidats au
S* Ministère différât sensiblement de ce qui a lieu aujourd’hui, c’est-à-dire depuis la date fort récente de 1837 ou-39,
c’est là une vérité à laquelle nos historiens rendent pleinement témoignage.
Transportez-vous par la pensée à l’époque de Léger, antérieurement aux terribles persécutions de 1633; où était,
dites-moi, le « corps ecclésiastique?».
2
— 386 —
Le dernier vendredi de chaque mois s’assemble le colloque
ou Presbytère de la Vallée de Luserne, et le premier vendredi de chaque mois, celui des Vallées de Pérouse ^et^de
S‘ Martin. Là siègent tous les pasteurs de chaque district et
un ou deux anciens de chaque église. Chaque église reçoit ce
colloque à son tour et chaque pasteur y prêche aussi à son
tour; jusqu’à l’année 1630, cette prédication était sujette
à la censure de tous les assistants, puis elle ne le fut plus
qu’à celle des pasteurs et des anciens, et enfin à celle des
pasteurs seulement.
C’est devant ces colloques, ainsi composés de pasteurs et
d'anciens que doivent comparaître les candidats au S* Ministère;
il y subissent un examen rigoureux portant à la fois sur la
vie et sur la doctrine, et qui se répète dans les deux colloques. Quant à l’état de leurs connaissances, il doit résulter
d’un examen préalable en langue latine, et en langue italienne ou française, consistant en deux propositions à rendre
en présence du Synode. Or qui est-ce qui est appelé à
juger de la coriduite et des convictions religieuses des candidats? Ce sont les e//es incfens députés au Colloque;
c’est le colloque ou Presbytère du Val Luserne, et après
lui ou avant lui, selon le cas, le Colloque ou Presbytère
du Val Pérouse. ■
Mais cette organisation si sage a fléchi ; cette participation
directe des églises, par le moyen de leurs anciens, à l’exercice d’une prérogative qui les intéresse au plus haut
degré , a cessé ; le malheur des temps, plus encore que
des tendances cléricales, a amené la disparition des presbytères, ce trait-d’union des églises Vaudoises, cette base
de leur discipline, cette condition nécessaire de leuridéveloppement et de leur consolidation. i . • i
3
:]87 —
Nous avons aujourd’hui un « corps ecclésiastique ; » rien
n’est plus contraire à l’esprit du presbytérianisme.
Si nos lecteurs pouvaient maintenant se transporter en
Ecosse et assister aux réunions mensuelles d’un presbytère
( ou colloque), ils seraient sans doute surpris de voir combien
sa compétence est étendue : l’instruction primaire dans les
limites du district, la procédure relative à l’érection et aux
l éparations des temples et des cures, la procedure judiciaire
concernant les membres des églises ressortissantes, (en un
mot l’exercice de la discipline) l’installation des pasteurs,
et, en première ligne, l’examen des proposants ensuite de
certificats d’étude , — tout cela, pour ne point parler de
menus détails, est du ressort de l’assemblée presbytérienne,
formée de tous les pasteurs et ministres du district et d’un
ancien délégué par chacun des consistoires. Les consistoires
(cours inférieures), au dessus d’eux les presbytères subordonnés à leur tour aux synodes provinciaux, et enfin la cour
suprême, qui est l’as.semblée générale annuelle; on ne saurait
imaginer une organisation plus démocratique, plus puissante
et plus capable d’une extention illimitée. Et savez-vous
quelle est la clef de voûte de cet imposant édifice ? C’est
la charge et la fonction du presbyter ou ancien , que nos
pères appelaient du nom significatif û'Âneien-Régidor et que
nos frères d’Ecosse nomment également ruling elder. Poulie presbytérien il n’y a pas de distinction entre le clergé
et les laïques ; ce seul mot de clergé lui semble « puer le
papisme et l’arrogance ; » et la discipline écossaise déclare
formellement que « le presbytérat est une fonction spirituelle au même titre que le ministère ».
Quand ferons-nous donc un retour à nos vrais principes?
Quand verrons-nous revivre les colloques du Val Luserne
4
— 388 —
et du Val Pérouse, siégeant tantôt au sein d’une église,
tantôt au sein d’une autre, resserrant des liens par trop
relâchés, rendant son lustre et son vrai sens à la fonction
d’ancien-régidor, et replaçant nos églises sur leur vraie
base ?
T ..O r*. Hyacinth© à ISÍ©w-Yorls..
Le grand prédicateur catholique français a voulu entendre le grand prédicateur protestant américain, le Rev. Henry Ward Beeclier, et le dimanche
24 octobre, il s’est rendu à l’église de Phymouth Church.
Il prit place, sans exciter l'attention. Ce ne fut que vers la fin du service
que le Rév. Beecher fut informé de sa présence. Il venait de prêcher sur la
« nécessité de la culture de l’âme dès le premier âge, * et déjà il avait donné
la bénédiction lorsqu’il se fit un.murmure inaccoutumé. L’illustre visiteur venait d’être reconnu, son nom était dans toutes les bouches, et en un instant
l’assistance tout entière, montée sur les bancs, le cou tendu , l’œil animé,
s’agitait comme une houle, et était, en fait, aussi vivement émue que si
Luther en' personne eût apparu dans le temple.
Cependant les deux grands orateurs s’étaient rapprochés et s’étaient cordialement serré la main. Ils traversèrent la foule, ensemble et se rendirent à
la résidence de M' Beecher, où ils passèrent une partie de l’après-midi, causant de sujets généraux, et échangeant leurs vues avec une liberté digne de
ces deux grands esprits.
Une traduction des Sermons et discours du P. Hyacinthe est donnée à NewYork par un pasteur de l’Eglise presbytérienne, le Rév. Léonard W. Bacon
(Brooklyn). Le P. Hyacinthe, en faisant connaître le fait au journal parisien
La Liberté [ M' E. de Girardin ), fait « des vœux pour que la cause de la liberté
triomphe et fructifie en Europe comme elle le fait dans ce noble pays, » l’Amérique du Nord, et communique la lettre adressée par lui au traducteur.
« Je n’ai jamais pensé,» dit-il entr’autres, «que les communions chrétiennes
séparées de Rome fussent déshéritées du Saint-Esprit, et sans une. part dans
1,’œuvre immense de la préparation du roÿaume de Dieu.
» Dans mes relations avec quelques uns des plus pieux et des plus savants
de leurs membres, j’ai expérimenté, à des q>rofondeurs de l’âme oîi l’illusion
n’est plus possible, ce bienfait ineffable de la communion des saints : tout ce
qui divise au dehors, dans l’espace et dans le temp.s, s’abîmant comme un
songe devant ce qui unit au dedans: la grâce d’un même Oieu,tie sang d’uï»
5
- 389
mémo christ, les espéraneos d’une môme éternité ! Quels que soient nos préjugés, nos froideurs ou nos colères, — sous l’au'l do Dieu qui voit ce qui nous
est caché, sous sa main qui nous mène où nous ne voulons pas aller, nous
travaillons tous en commun à l’édification de cette Eglise de l’avenir qui sera
l’Eglise du passé dans sa pureté et sa beauté originelles, mais ayant en plus
la profondeur de ses analyses, la largeur de ses synthèses, l’expérience do
ses ti'avaux, de ses luttes et de ses douleurs peudant la duré dos siècles »....
« Un Dieu, une foi, un baptême ! ».
« Il se fera un seul troupeau et un seul pasteur ! ».
BULLETIN BIBLIOGB.\PHIOLE.
Il vient de paraître, à l’imprimerie de M’’ J. Chiantore, le Second livre de
lecture pour lee écoles Vaudoises, petit volume de 180 pages, dont le prix n’est
que de 45 centimes. Ce livre, depuis longtemps attendu, est destiné è servir
de manuel pour narrations et récitations. Il est divisé en deux parties, dont
la première contient 44 morceaux en prose, et la seconde 25 morceaux en
vers, présentant une couleur plus littéraire que technique.
Nous réservant de l’examiner à loisir, afin d’en mieux apprécier le but et
l'exécution, nous nous bornons pour le moment à annoncer que ce petit volume est eu vente chez Mr le Prof. E. Malan, Moilérateur-.\djoint.
(¡TorreeponbAnce.
Monsieur le Rédacteur,
La Tour P'Iis, le 28 novembre IRfîO.
Je crois qu’il serait très avantageux pour toutes les personnes vouées à
l’enseignement de faire partie de la Société de secours mutuel fondée pour
elles à Turin en 1853, et qui malgré ses tâtonnements et les obstacles qu’elle
rencontra pendant les premières années de son existence, est très flçrissante
aujourd’hui, comptant plus de deux mille membres, et possédant un fonds
de frcs. 722,799 75.
Chaque membre en payant un droit d’entrée fixé à fr. 10 si le postulant a
de 18 à 24 ans ; fr. 11 s’il en a de 24 à 28 ; 12 de 28 à 32 ; 13 de 32 à 36 ; 14
de 36 à 40 et 15 de 40 à 45, et une quote annuelle de 15 francs, soit 5 francs
par quadrimestre, a droit, après trois aus, à un subside en cas de maladie;
et quand il a atteint l’âge de 50 ans, et qu’il a contribué pendant douze ans,
à une pension do retraite dont le montant varie selon l’âge du retraite et le
nombre d’années pendant lesquelles il a contribué.
Bien de personnes déjà ont été empêchées de faire partie de l’association
susmentionée parceque le droit d’admission, joint à la ([uote annuelle, forme
6
— 39() —
une somme qui, sans ótre bien grande, l'est pourtant assez', et même trop ,
eu égard aux honoraires des instituteurs et des institutrices, et surtout des
régents et régentes de quartier.
Je vous serais obligé, M' le Rédacteur, si vous vouliez bien, à ce propos,
porter, par le moyen de votre journal, à la connaissance des personnes vouées
à l'instruction publique dans nos Vallées un acte de bienveillance et de générosité de l’ex-Ministre de l’instruction publique envers les Maîtres et les Maîtresses d’école.
A l’occasion de l’union de la Société des Insegnanti de Naples avec la Société de Turin voici ce qu’il écrivait au directeur de cette dernière ;
Firenze addì 6 ottobre 1869.
Questo Ministero ride con molta soddisfazione come la Società degl'insegnanti
di Napoli siasi per la reciproca assistenza intieramente congiunta con quella
di Torino, e spera che questo esempio sarà imitato da altri insegnanti delle
diverse parti del Regno. E volendo, per quanto è possibile, provvedere affinchè
la povertà in cui molti Maestri trovansi non sia d’ostacolo alla loro inscrizione
nella Società medesima, consente di buon grado di pagare il diritto d’entrata
nella Società per cinquecento nuovi soci, i quali siano insegnanti pubblici e
cittadini Italiani. Occorre adunque che di volta in volta che giungeranno a
codesta Direzione domande di Maestri chiedenti l’inscrizione con dispensa dalla
tassa, la S. V. faccia conoscere a questo Ministero, con note successive, il nome
di ciascuno dei chiedenti, e il sottoscritto darà gli ordini perchè fino alla concorrenza dei 500, sia pagato alla Cassa della Società il diritto d’entrata.
Per il Ministro P. Viilabi.
Pour de (tins amples xiétails el poni'"obteHÌr des modèles d’admission, il
convient de s’adresser aux Délégués maudamentaux (il y en a un dans chaque chef-lieu de mandement) ou au bureau de la Directioü nella R. Università
di Torino.
Je demeure , M'le Rédacteur ,
Votre très humble et dévoué serviteur
Instituteur CHA«BE.\Dn,
Dilégui de la Société
pour le Mandeinont de Ïorre-Pellice.
Chronique politique.
A l’heure oh nous écrivons, le nouveau Ministère n’est pas encore formé.
Les difficultés rencontrées par M’ Lanza paraissent être fort grandes, car
d’un côté il a posé comme condition de son acceptation l’éioignemeut de MM.
Menabrea, Cambray Digny et GualteVio des postes éminents qu’ils occupent à
la Cour, ainsi que une réduction d’au moins 40 millions sur le budget de la
guerre, et de l’autre plusieurs personnages qu’il aurait désiré avoir pour collègues refusent d’assumer avec lui les graves responsabilités du moment. On
assure pourtant que les honorables Correnti et Castagnola'"Ont déjà acèepté
7
- 391
les portefeuilles des travaux publics et de l'intérieur. Selon quelques feuilles,
l’ex-ministre Ribotty coiitiuuerait à garder son poste dans l'adinnistration nouvelle et .M' Coppino serait appelé au dicastére de l’Instruction publique.
Le roi n’attend que la cessation de la crise pour se rendre à Turin. La
Chambre a repris ses travaux après s’fttro ajournée jusqu’à mardi. La Commis■siou pourtrexanieu du budget de l’année prochaine est nommée. Notre député
en est membre.
Itoiixe. La grande cérémonie de roiivertiire du Concile aura lieu le8.de
ce mois, à 8 1|2 h. du matin. Dès 1 h. les membres du Concile se réuniront
dans le vestibule supérieur de S' Pierre où ils recevront le Saint Père et le suivront processionuollement dans la grande salle conciliaire chantant le Vnii
Creator. Le cardinal Patrizi chantera la messe et monseigneur Passavalli prononcera en latin le discours d’ouverture. Après cela, les pères viendront l’un
après l’autre s’agenouiller aux pieds du Pape qui bénira l’assemblée et déclarera .solennellement, après un décret lu et voté à huis clos, que le Concile est
ouvert. Toutes les cloches de Rome et les salves des canons du Chateau
S’ Ange annonceront au loin l’accomplissement de celte cérémonie.
Tuffiviio. Les relations entre la Turquie et l’Egypte dc'viennent de
plus en plus graves et tendues, .\bdul Azis a envoyé sou ultimatam à Ismail
Pacha vice-roi d’Egypte, le sommant de se soumettre dans le délai de dix
jours, sous peine d’être destitué et remplacé par son frère JIustapha-Fazil. Le
Khédivé tient ferme. Nous verrous ce qu’il eu résultera.
Auti-Jolxo. L’Empereur n'aura pas d’entrevue avec le roi d’Italie et
rentrera bientôt dans ses états par Trieste. Par contre, son premier ministre
le comte de Beust se trouve actuellement à Florence.
'Biivior'e. Les dernières élections à la Chambre des représentants ayant
donné une incontestable majorité au parti conservateur, le Ministère a donné
scs démissions.
Kraiic©. L’ouverture, du Corps legislatif a eu lieu le 28 novembre dernier par un nouveau discours de l’Empereur. Le langage du chef de l’Empire
nous paraît très-ferme, en même temps que libéral. Il affirme nettement sou
intention de maintenir l’ordre avec la liberté et fait d’importantes promesses
de réformes intérieures et de décentralisation.
L’Impératrice est encore en Sicile où elle visita naguère les villes de Messine,
Syracuse et Catane. ».
SOUSCRIPTION m F.ÌVKUR D’ÜSSEAUX.
Nous avons reçu de M'' J. Revel Prof. fr.
4
I S.
Mardi,? décembre, à 3 h. de l’après-midi, aura lieu une
réunion de prières à l’occasion de la prochaine ouverture
du Concile oecuménique.
8
— a»3
A. IN IV P C P S
V
On porte à la connaissance de MM. ic* faàeurs qne ta, Bibll^tlxèlxie
ï*astorale s’est augmentée des oavra^ ci-après;
Trench , Synonyme du N. T. ~ E.,Rbüss, Èist. de la Théo). Ckrél. au siècle boost.
3e éd. — E. Reüss, Hist, du Canon des SS. EE. — Fhbppbl, Gratry, Güettée
Lasserre, Réponses à E. Renan'. — Gicpillan, The Sabbath. — Prbssensé, Eludes
Evangéliques. — Bautain, Idées et plans pour ta prédication. — Codlin, Les œuvres
Chrétiennes. - Wallon , Vie de N. ,S. J. C. — Renan, S. Paul. — Kéville, Hist, du
dogme de la divinité de J. C. — I'ozzy. Hist.du dogme de la rédemption. — Goquerei.
Hisl. du Credo. — Palacky, documents pour servir à la biogr. de Jean Huss. — r!
Reüss, La àeslmelion du Protest, en Bohême. — Arboüsset, Tahiti. — Bedé, Vie de
Diodati. — X , César Malan. — Révill , Essais de crit. relig. — Ghairnet,' Vie de
Socrate. — Gaspahin , L Egalité. — Brez La flore des insectophiles i don de M. le
llocteiir R. Hostan ). — Girard. Le sentiment religieux en Grèce. — Bunsen . Dieu
dans l'histoire. Lenormant, Hist, ancienne. — Guizot, Mémoires 8e v. — Id.. Mélanges politiques et historiques.
Kt en tout dernier lieu: — Guizot, Méditations 3« série. — Bois, Evangile et liberté. — Nbarder, La vie chrétienne aux premiers siècles. — Clément, Etude biblique
sur le baptême. — Rambert, Alexandre Vinet. — Biblia sacra, 1492 ( don de M.
rKvanaélisie J. P- Salomon i.
A partir du 1' février prochain, la place de Maîtresse de l’école de
jeunes filles de I'EciLise Evanoélique Vaudoise de FLORENCE sera
vacante — Les personnes qui désireraient se presenter pour l’obtenir
sont priées de faire parvenir, le plus tôt possible, leurs demandes accompagnées de certificats sulïisants de capacité et de moralité , à
Mr. le Docteur J. P. Revel, Via dei Serragli, 51, à Florence.
— Au Bureau de l’Ecno des Vallées (Agenzia Bibliografica di Isacco
Benech , Torre-Pellice , via Maestra , 42) on peut se procurer, sans
augmentation de prix , les abonnements aux journaux ci-après :
I^’lOiçUse llliro (Nice) se publiera en 1870 en numéros hebdomadaires
de 8 pp. in A* à 4 colonnes ; prix pour l’Italie : Ir. 11, 50.
La Kouill© relissloiiso dii Oanton de 'Vand (Lausanne) se
publie en num. bi-me"nsuels (avec suppléments) de 16 pp. 8“ Prix (ut s.) 4 fr.
La Somaln© rellgleu-S© (Genève) se publie en numéros hebdomadaires de 4 pp. 4“ à 2 colonnes. Prix; 8 francs. '
L'Ai>ologlst© (Genève' se publie en numéros [bi-mensuels de 8 pp.
gr. 8" à 2 colonnes. Prix; 6 francs. '
Bulletin dn Monde clmétlen. Echo de l’Alliance Evangélique
(Paris) ; se publie en num. mensuels de ?8 pp. 8°. Prix ; 5 francs.
La Corolle., journal de la vie chrétienne (Paris) ; se publie en numéros hebdomadaires de 8 pp. gr. 8" à deux colonnesi Prix 7 francs. , ,,
L’anxl de la jeunesse et des familles. (Paris) Journal illustré. Se publiera en 1870 en num. hebdomad, de 8 pp. gr. 8” a 2 colonnes.
Les abonnes peuvent choisir entre l’envoi hebdomadaire (7 francs) et l’envoi
mensuel (5 fr. 50 c.).
La Famille, (Lausanne) Journal pour torn, illustré, se publie en num.
bimensuels de 24 pp. 8'. Prix ; 4 fr. 50 cent.
Pignerol, J. Chiantore Impr.
Â. Revel Gérant.