1
Année Sixième.
30 Avril 1880
N. 18
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eCHO DES VALLÉES VAUDOISES
i-i.-i 1: Uiiiïw'i
Vou» me serex témoins. Actes 1'> 8.
Ih ,,j, P^aissant chaque Vendredi
Stórta«* !(t iiiftie avec la charité. Îîi'.!l,.15. ‘
èi4=:=titi±3±ifc
?LÍiÍjñi¡fe!g.i
PRik ©’'ABBioNHËMENT PÀB ANI
KA'jpjtC'lii; îitoH i.ioljVíí^'?¡j
Tous les pays de PUniou
' dé p6»t« \ i'/■ r',’'**’.!' é
AméBiqu»" ÍM 'ì.Ì)i;r, . : 9
Onp’Hboppe^: ' ,
Pour rJtKórí^tw' ob^ lAS
> pMèiiW et les-libraires de'
Torre Pell-ioei ■•,
Pour l'Éœiérieur au Bureau d'Adujiuîstratidn.
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mandats sur. le Bureau de Pe’ nbso! ÂTgmiiha., . u 1 ! i ! i i ¡ i
'Pour'fa RÉDACTION'adresser ainsi'ï A la. Direction du réniofa , Pomâretfo; ¡Rinrirold) ¡Italie. i l
¡pour 1;aDMÏNI,STRA?CION a,difesBp<r,ainsi :.A,l'Administration du. Td»HO»«i.,F,n.PM.r^tty, / PiueroloJ litplifi, j,,
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ill'- .ili.
Corvesr
i, ; . ■■ .i,il;;ti ,. :i
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Le Synode VAUdpis de 1848;
pondanca. —¡Uq, témoin. -¡-.péP* .médailles,
— Révisipiif de.l?; Bible lAngiaisq. Une
amandel — Pené&s.. Retkè'poïüitlue.^
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■íí'ú'í itorT'-iÜ-^í/I ,ol) 'iríñíí
Y ^«iíe ^4,;/ín«f«í>p'sffo^í ít,;.j
iiVotei'.paí'iiiidix ipareia^es
quittée.„(délibiejié k Ttafelenet
demanddipar sa rqquéitejidu,
novembre^' 1847.,: jJ.ifutij æcprdé
par let très« > pâtenttesi .d u -|71 awü : e t
ne a’ousrriit que le nl(T;,8iOÎ^1ibl848i
Ge quî 4. ! outre les duttëa fqui) l’ont;
prdoédé, n distin.guficai i : ee| nSÿnode
dè .itoute i aljtne assftrqWéfljbttntér.
rimte, 1 o-est d’abordKqiie 4es' patentes. q,ùi7li autorisent aottttsignées
BoHiiiiplus ¡pér i ie iHoi' hdharles'
Albert'ii tnaisupar lè iPrîopeiBiUgènei
de ISavoie jGarignanii, pieutenant
géttéral.idtifi'RejiaurneiÎilttfRiQi 1 ui-i
mditoe; étaitfalorsiiaiiec : seS' filsuà
lia .tête fl de > fila iïaîllatoi(;petite. ar.-i
mée 41 remportait, les 8; '9 et lÔs
trois ivictoires suocessivesi à»iîoito,i
Monzambanoîo Vial^ggio 4©t forçait
le passagetidu Mincioi iPa se
condéi circonstancé,' partioi^liAre/à
ce .Synode, 'c’.ékït^qu’ij'.fut>i;japrèa
la.'.piîîèr» pronAttede upsIr ,1e ¡Modé-i
rateur,' ¡ouvert pàr ! ün.ei allocuitioïi
du délégué royal i très-hienyoUj-i
lante; et très -hiottorable! pour las
lit! s>>wi
• hAprèSii.avoir.; déûlaré. .(quUluisei
trouvait au. ise'i:M»de• oettoi assem-.*
b lée. [ synodale, /t^^uco,u p ; .m oîn s
comme uepréséutaff^u Gouvernei
nient, vu. què; èfiiClip oroyailif
rémancipalion, ¡déa.jJaudoi#.; ileurj
avait, conféré le di^ de sa rléunir
en toute libertai^^ueicommeilraur
ami ; qu’en apprenant;¡à .lesüçonn
naître ,11 avait apprisuàtilesiesti!mer,, le Comte Gayi idl. ¡QuaFlj.'
ajoutait! en substanae;;:ii)e l'sqia¡ferh
mement persuadé que. les.Vaudoisv
appelés par lanmagnaminjtéidu.
Roi CharloS'Albert àlprendire pnfin
leur placé dansi.la; grande! famill'è'
italienne, sauront ipfouver tiquf’iJsb
en Iiétaient' dignes-i, ,eib/ "quSiliSR isé
maintiendroQt . OonetammjentTèiViâ
hauteur de leups/ttouvéaux i^Voica
et de leurs inoU'VieauaidFoit8ii''J—
Comme l?an n’avait ;pas été'.afei
cDutunié à un pareil langage.,
2
l’assemblée témoigna par ses ap*
plaudiSsemenW d'abord, ptils par
quelquéè paroles de son président,
de sa très Vive reconnâïs^iice
envers le Roi émancipateur et
envers son noble répféseritanl.
Comme il fallait s’y attendre,
l’assemblée exclut de la nouvelle
administration la majorité de l’ancienne Table. M' J. P. R.ével
pasteur à Bobi est nommé Modérateur et avec deux années d’interruption, il sera maintenu à ce
poste pour lequel il avait une
aptitude incontestable et dans lequel il a rendu à l’Eglise vaudoise
d’éminents services. On lui ddrina
pour coliégâes MM'. P. Lantdret
pasteur à Pomaret', comme ViceModéralèur. H. Rollier pasteur à
Rorâ comme Sécrétairei JosepH'
Malan et Isniaël Mibol' pour membres laïques. — La Table dëvàifi
fonctionner poub la dernière fois
comme buteau irSynode,! car au^
§ 41 des iic<esJ^ssemblé adopta!
pour l’aven#^Tfe Règlement’ em
vigueur aùjifijSd^ni, sauf l’adjonctidn poltórièure d’un vicé'-l
président et cw^euk seferétairesi
C’était le prét8ktë' dès frais ’synodaux , jusqu’alors à là charge
de Communes',' qui avait servi'
d'excuseiidans deux paroisses au
moine i' à' ceux qui avaient roté
contre la'convocation de ce Synode
extraordinaire, aussi sen premier
acte, après la noibinatiop de la
Table, fûtdl conçu dans les termes
suivants: « dorénavant les membres du Synode ne set-ont plus
défrayés par les Communes ( bien
entendu sur le régistre vàudois'}* J
L’honoraire des pastedrs de
Massel et Rodoret avait été jusqu’alors de mille francs seulement.
En revanche les pasteurs de quelques paroisses pré’levaieii®'', (en
Vértu d'un arrangément 'auquel
leë autres n’avaijphtf. paS^été conviés) sur les subsides anglais, et
soüs lé titfé de M0i^oriié d'église, une somme totale de francs
625! Le Synode décida que cette
somme serait désormais partagée
entre les pasteurs de Massel et
Rodorét, lesquels fourniraient à
l’avénir leur quotépârl pbiir frais
dé modérature , éméritation etc.
Après avoir, eu conformité du
rapport de la Commission examinatrice, exprimé un blâme sévère
au sujet dff retard apporté à la
tenue du Synode, l’aséOtriblée décidé q'ilié ôérui dés' déOx candidats
qüi a donné'.lieu a’iix" débaîts’’né'
sera pas admis à l’examen de foi ,
tandis qu’elle désapprouve la cond am de^ tti :P<W.Tàfeîe
à l’égard de M' B. Tron, l’autre
candidat. Nodsà'vonS soùi^éiltpensé
depuis lors : que < dans çeUé' éirdonstânce comme dàris thnt d^àuÎtés ,1 Dieu qui' ne veut< pas'Tinjus'tibe ¿ avait dirigé,'du' fait tfaurner
à l'avantage'de li’église, cellé qui'
akàït 'éüé combisé envoVs ce dernier cSndidSt. Si- notré'amf avait'
réçu'1'’îbposition' des miàins l’année
précédent^!, selon qubben avait lé
droit; commé il' n’y avait.'ffllior®
aucun' poste Tacant' aiik Vallées,
il aurait du accepter l’mi ouil'autre
de ceux qui i'ui étaient offert®! â
l’étranger i et qd sait s’il aérait'
pov ou voulu-, nous revenir plus
tard. Nous aurions donc pro-ba"
blemeht perdu un hobme qui
depuis 32 ans occupe! ' à i notre
Collée la place que toat le monde
Sait. Il est trop! ■dé nos'abie pouf
que nous osioDsdifeué motdeplus.
3
^39
C’ej^t le Synode de 1848 qui.
aux autfes'àUfîijutions de la Table,
a ajoutë celle d’administrer l’hôpital en conformj^t^é du règl^çoent
qui venait d’êti^è adopté. C'èst ce
Synodq âussi' qui est entré Msolutnànt' dahs diie voie dù 'lés ,sbi
; t iL'i hi '-U'i uííi.J "j
V|a,u^31 -ÇW. PldS'id ,fli^f(|04g¡4epap8e.
@,t qui eoDsisite. à,. rmmy¿r, A ta
Table, avec ou sans recommundatioil, to.tttès les.questions et tous
'^es, ’^ecours^ i^gihables'^
jé^taieqt ,adre?s^s 'et don¡t’ i( pe pou>?ait o,q ;fte, iVjOiríait pas ,s’occuper !
.luihtüêfne. ‘ ;i
'Aiâsi'les quatres paroisses de
la muntagne'jreprés^^^ qu’è' le
,,eatjSí,„ra.)¡i}ime qu peu^aui :
ipasijles ástreindre àdetneucer toute
l^anuée >daiïs la' paroisse , ce qni,
en 'dàs d’absënce du pasteur, peut
ay,9ir,d,e gr,9Xfis tpco.pyeniepdM®p.?l|Coi?iSPa.^ Ji
póse par l'organ® de ses de'pqt#
que lei presbytère, est dans un ^état ;
de complet délabrement ;ices deux ;
la Tqble. Í
ie,jrapppr;|;; de l.e, Tia»)§ Jujjt,
de d’étàbl iasameiit de , iac ul tés ,de
die phileuophie el'i de théologie
'boür forniér, convenal^leDiéüt djss
i:jsee|p.hlée fPfpPftP)';
fljdéjraÆipuioet liwportant obiet. le
ireoommanàe à la sollicitude de la ;
nourejle admjrtistrâtion , ' qui dès
'Î*apq,^^;:9üiy^n^e ré^-lis^ la pred®. .P® ,ycpa,
iqftlelk »’a.ipn réaliser lajecoude
que huit ans plus tard.] ;
''■ Ndus vóuíqbs transonra encore
.r^rt. atlês. _ '^e ; c'e ';8j5'node
q%'',^pe:'(i^u¿,.4qpoa|^ec)^
s«.!jètsqp.’?ci„/MKhP? %f*
faires .ecclésiastiques de ce temps
là, n’.aiHent pas s’imaginer que
laiTable qui, ¡a adminiatré notre
Eglise ide 1844 à 1848 n’a mérité
que les reproches et le-blâme. Si
l’homme qui,la présidait avait été
doué d'autant de fermeté et d’indépendance qu’il avait de bienveillance et de désir de bien faire,
il se serait épargné à lui-mièmJ
beahcoup de soucis et ,de regrets,
en même temps que les divisions
qui se sont produites au sein , de
la 'l’able et du Corps des pasteurs
auraient certainement été évitées. Nous. ajoutons volontiers ,
que, selon notre intime conviction
le Modérateur M' J. J. Bonjour
avait fini par $e persuader qu’il
agissait dans la plénitude de ses
.attributions dont il était très jaloux
et des droits de la Table qu’il se
sentait obligé de. sauvegarder. Voici
maintenant l’acte synodal qui exprime le jugement de il’assemblée
sur lia gestiotii. de la Table .sortante: « si l’assemblée. sur plus
it d’un point, n’a pu approuver
.» la gestion de Ja »Table,. elle se
plait d’un autre jôié à, rendre
;f témoignage au ,zèle avec lequel
t elle a .administ|;é * à t d’autres
« égards, lejS intérêts de, l’Eglise
.t .yaudoise- Elle doit,qji( partioulier
,» Bfeptionner ses efFprlS pour ac» ti ver les relations avec les Eglises,
t étrangères* pour la création d’une
» nouvelle place de Becteur au
,» Collège -de Ea’Tour , ,et l’éinan,t cipation. des Va,U;dois, sur ¡quoi
,»,a.e tait le J rapport, dj la,.,i!Com
» missjou. t.
,Si le Synode avait été autorisé
au moment où la première guerre
de rindépendance italienne se poursuivait avec de continuels succès,
4
-MO
les choses ævaiiqrtt bien chaDgéîaii
moment de ses séances; qu’on en
/juge parce fragment!,d’une lettre
»adresséetquelques' taois eprès aii
fchéri' lét vénérable (docteur i Gilly
par/!'un -meinbre de' la Table.
i]l ¿'était plaint,'ét avec! raison, de
ce que son nom n’éjtait ruême pas
. meritionné dans les idcfes du Syîiiodei il'* L’oubli'dontI vous vous
P'iaigneb, lui [fut-if répondu, a
îïirété fbcounu par nous le leiideJ main du Synàde,, mais il était
» trop tard pour le répareil Nous
» nous en étions'd’ailleurs rendus
» coupables non seulement'à votre
» égatd , mais ' aussi envers le
»■ Cemîté Wallon, et la Société
• Gustave Adolphe, ito'us fes indi*' vidü8 et toutes les'sôGiétés dont
« notre Eglise a réçü denombrétix
» bienfaits! Le général Beekwith
• lu'i-méme, je vous l’^issûre, n’aurfifait-pas été mention né'1 s'i'<par
» tiasard il nejs’étaiL: pas trouvé
« présent à laiclôtune-du Synode,
«• et pourtant; s’il en avait-iété'ainsi
'■'je pôdse 'que ce généreux àmi
» aurait été injiiste en nous accu» saut d’ingratitude. Vous iverrez
» par nosi^ctés que le'Synode a
» duré'' trois jours. La nouvelle
» de'la retraite précipitée de nos
» troupes; jusqu’alors victorieuses,
• nous était'ârrivée le second jour
• « et avait rendu très grande l'im
» patience 1 du’ délégué "royabj' In»'tendant dé la Province; aû'point
• qu’il nous suppliait de terminer
• aussi vite que possible" C’est
» sous' l’impression des mauvaises
» nouvelles de la guerre, de la
«'■fatigue et des■ instances du dé» légué que se termina la 'troi*
» sième et dernière Séance »! "
( • ..... lo 12 avril.
Monsieur le pirecleur , : , , • *
Vous, savez .ppurqu,oij,je me jprivais
dû plaisir, Ipie vpuSj efpvoyer, d|6, lemps
éii temps iibé petiLe ' édrrespondance ;
je craignais par la libellé avec laquelle
j’ai la coulume- de parler sur tous les
sujets ¡que je comprends un peujs de
meeoptenier quelques upsjde yo^ lec*
leurs, .çorarne.Pfl, prétendait qup celia
élairdéjà arrivé. Mais il me semble
que si on'ne proteste pas co rtire ’ lés
correspondances de X, Y et de je ne Sais
plus quelle autre lettre de l’alphabel,
la mienne que je, ,trouve ¡ biep; plus
douce etipplîensivp, ne peut,plqs soulever les mêmes répulsions. , ;
Voilà pourquoi, si VÓUS nie |é pérmenez, je vous enverrai de temps à
autre une¡cour(e lettre à piublier quand
vous p’aure^ U’ieu de' mieux }, mémé
sjil vou^ arrivait d’êlrq.j k court d,e
matière, écrivez-moi u n ' mot et . vous
recévi;éz, par Je reiôurVdu cóui;r'ÍéV',
un peu dé; , ,(a''pt'ÔViSion ' qui ÿàLjpu
faire. ' • ' ' ' '■■'■■■' ' -, i
Je m’intéresseï à la prospérité matéiièlle dé nos chèr.éb yallées., ..aux
progrès de r¡nstrgc,tjop,pÍua¡.qq’,4eiux
de, rágricíillure, et j)ar déssus ibùl.a.iix
prôgfêâ* de' la piété et à’ í’áváncéiiiient
du’règne dé 'Dieu. Je màrchè* hiôiraême si lentement dans la voie éiroüe
que j’en suis hpinilié<! ¡maia i je sais
que j’y iparohe, c’psi m'a consolation
eCma joie dah^ meképreuvesyou^
savez què'je U’eft suis pas èSémpi.'ue
qui nie nriariquè 'un peii c^ést d’Silb
encouragé et soutenu plus que jie me
le suis par lés condueteu’ra¡quei (Dieu
m’a donnés,.;que je respecte|.et|,que
l’aime quoique je n’en reçoive,!pas
toujours la nourriture* 'spirituelle dont
rtibu âmé a besoîn.'Gecîést très 'délî'cat et demande une explication bien
positive; jé la donne., ¡ j! ¡
Grâce ¿ Dieu, je n’ai plus, depuis
longtemps entendu, ailleurs que sur le
cimetière, prêcher le salut par lés
bonneà* oeuvres^ bu par les soUffrancés
de l’homme lui>méme; tandis quMl
5
-141
m’est isoliVent arrivé d’entendre ex poseí' dëvàiu les assemblées ordinaitès
si nonrrbfeüses dans la plupart de nos ;
temples une doctrine que ie ne crois
ni biblique ni propre a édifier et que
je puis exprimer ainsi: vous êtes tous,
à l’exception des péclieurs scandaleux,
s’il y en a: ïiarmiimotf^ ïbus êtes tous ;
chrétiens; mais _yous avez beaucoup .
de progrès à faire ,, un long chemin
'pal’cburir ,' tifie lutte prolongée à
soüienir, avant tf’arfWer' aU' but de '
sgisfr 1 a ' cobrôfi'né,' I Or' si tout cëla ' est
P'a^faîtetnefit pour ceux qui sóni ;
neS' 'de' ifouveaü ,*'qui' sbfif*' devtefius
enfants dé Biéu .''qui ont ébnnii lés
sairités'dofiteérs ‘delfi repeniartce et
la 'trisiéséé sélon'''Dieu, celà' né peut
en' aübébé '[fianié/’ë- s’appÜrjiJéfi- aiix
àlitrés';''t’eist-ài-dirë'^''à çefix' 'qui 'fie
cfinnâissenb qüe 'lé'WjltêiTie' 'd’eaii ' ët
la côn'fîvifi'atibh dû vœo'dè cé b'apiêfiié.
Avant de‘tfiai'cher, défaire des pfbgré’s
d’Kvancer'dans la'^anclîficatiôfi,'il'faiit
fidîtré dé fibbVèàù', dit j'EbHturé;’être
réSEéiseilés avèfc OhriSt; le parà!;ÿliqlife
‘h^à piV'se ’mou.voir'’ei empoi'fei’ 'éon
lit gn’aprês avoir été giiéri pai' fin
'iféle'de Idifiirissande divine èt 'dé la
charité du sauvefif,''uo i
''jp sàîi'giië'Vfih *feîV'Ü'n :i|'ès'" gi’'3.nd
:mftf'iaüx¡'*inconvérlÍ^^ ^ lés' iralispi
ço'rh'ibé d^s, ch^'étij^^ éncbre laiblès,
tandis qu’ils fie le, sont é auqufi'degré.
Ce yesl pías que j’éû sois jamáis arrivé’ à (Jo^leij proprp'ffii, rfiais
il é^t cèVtàiij que je suis sefiefisé^^^
Iroubjé lorsque j’etiiéndé adresser, à
dés morts îles paróles qué des vivafu's
squl? peuvent ¡entendre, Et k ¡répefiipnpe, convér^pb fjfiè d|eViw^ •
elles |‘él,que,1 est ÎéjUr'' usâgey 'Jlsi-cé
sur, )é,chemifi’/je;,la vie et à la suite
de. ,b'éç|ucqup',' tié 'progrès qu'ofi les
rencofili-erg^',,; ', , î, V;
i. Après avoir beaucpup pense à cés
cliosps siijimporlanles et si sérieuses,
j’ai ¡çru„puisque vous yquiez, bien m’en
accorder, le moyen, qu’il était de mon
devoir de les dire à d’auireSi
Votre toujours dévoué
ni ;h- I:
Jacques.
il' ii 11
Un témoin
i Si nous nouslsenlions 'toujours en
k présence de quelque témoin';' nos
notions seraient meilleuies,-' nos péchés
moins nombreux et moins grèves, paroeque '.'la présence 'd’aülruii'sei’àil fin
fiein pour nous. ' ; n i
!ii Que d’iniquiliés ôt que d’abofiiinutions nei se comihôlHl pas i dans les
ténèbres I Pourquoimous imposer lani
de réserve quand'- nous sommes .en
la présence dé nos setnbkbles
nous laisser aller à des faulfes '»Si
graves quand i nous sommes ' seuls ?
Gîést que ■ la présence de lémoifisi ennuyé et dérange le pécheur , cortimè
la lumière dérange les larrons. G^est
que dans les ténèbres il ne'croit'pas
être' aperçu', et il pèche'impiinément.
Disohs'inofis i bien que : i |ms< ano dé
nos aciionsd pas une'de nos' parolés
èt pas même les pensées lès'plus secrètes de nos cœurs ne sont slàaë lémoifisi Chez nous comme fifix champs,
au fond des forêts comme au loin sur
la mer , pendant le jour Comme'pendant la nuit,'partout et toujours, nos
actions ont- dès lémoiriSi' 'ii''i i- q
> 'Avant' de oôfnmetti’O'ison " crime* le
malfaiteur i^garde' àuioiir de ’l«ii, *11
marbhe avec grande précaution à k
faveur dès ténèbres, afin' qu’aucun témoin i né''le voie," et nè puisse lui reprocher ses actions. Mais'iP ne pense
pas que près'dé lui y et’en lu il même,
est un témoin' dkinanu plus à'mindre
qu’il est invisibléi" ' ' n'oti v
' il marche et k témoin marche autàni’ que lui, il se cache'et dans sa
eaéheitelé témoin ne rabahdbbne pas,
il "retient la 'respiration'pour ne'pùs
être entendu', maïs le témoin beniend ;
le voit et connaît ses pensées les plus
secrètes. • "
;'Ge’ témoin invisible c’est la consciéneè. ■ ' ■ ' " l'i' in-'iliM ’
G’est Dieu "qui voit toute chose et
connail nos actions les plus cachées ,
mais il est Juge et nous parlons' du
témoin, c’est-à-dire de la codsciénce.
Un témoin doit être connu, parceque
s'il né l'était' pascle tribunal ne'ëaurait pâs s'il mérite sa eOfiflance'él jus-
6
A42
qu’à quel degré ¡1. la mérile. 11 faiil i;
que l’on puraSe “ lire sûr que le té- |
tnoin dira la vérité , toute la vérité et ;
iseulemAiiUda ^énilé^ ^Lajcoins.eîencé'.est j
11«! l,émoin‘aonn|i.en|)tunl quflison .fxisi- j
4MGà[ JïQU§ ;.ml lèiiseigijéfii idans'iiles ;
,Siai(ijU,w./ )b<i|‘iUH!ea, el. âénlflntiiéeiipar i
diesgpérknü&ijdâ; Dhaquer joqjUilQtiiipse-1
rail dire qu’il ne la coaRâil ipasi, puis- |
. q.iià I itq 11 a ■ Il on i j? Qu’ eâü-ioû. iquî »v oiis;/a i i
rougir ,lid’QÙj siéntidBiîpeùrj d^où vienl
il«i,honte,pour,le.malfaiimii*? I>loù!v,ieni
,1e (Mdlroe!^'^la.sftl■iïn¡i4¡^pqllr .ceûiii qui
ifait, Isdhiorti^MNe iÆ£int.tce', pas les relimordB.|i(ouf<,tes,-méchanig et îles Jtious i
’.létoioignages:HOUrîles iidôles qui'iuévé•iBntxJîéXiisienfie dft iln 'icqnatieaee et an
-ronlHW Mntûift'.j^oanti;^;
:. ,|,»a c0nacii8îice.iauFant’eHe , jlfesiieopn,^ '
pj;i|sirfiHdii«e ¡pourifojilïïlioRinei'iCtnTitqe
Jninotti)îÎMjjeiU‘il3*inatin(’ac.c(epi0tia-.ii pas
Ife témoigiKigeiîd’enfeills ifcrop ijeuflés ,
^jîuPiWfso.(jnes:.priiyées ;iie leuitsi feeuliés '
ioleUeciiielle«jO« ;dpS' >dpoillîiCi¥Mf. 11
e'sji dolkroeal vtiai ique la ; ccfnsoience j
a;,|8g,;iqualiiéaiîivo«liie3,.ipQii)i:jdépoRer :
nUienileisj'.flnciensM diBaienU; ;!»• :con- i
siçiepoflmefit ûasçrnè îmille'^l^rpoins », '
laa .léropins : oiiüiîftir^s ,djéposentij,les i
paroles enleodnesv 'les;4‘ftii$■ jobser,v'és,
#<i a i» ! 1a CO nscj eo oe.iva upltis ■ ,1 oi n ■ e npo re
fto ,iiiiiii!t iqw’eJJoHtétnaigiiâgc qponliiflMtt ;
pests^qg,déï(:p1ii^ Bfeeoetsseiiiauÿijtléiins
Jes iplttSirc^ltiéi« .Uqkkw^ ^dl.i fiiewr:, :
qp’aiwQujie, nre-jl) pipa j n ein’it, j ajqjq is 1
■vntéipas! riiiiêineiHeiteMqiqi; piM^èdei,
! iuÎOflid i i id U ■, oœiyl 1 qslj !>d v.pi,ji à,, 1/1
«eteptepqp iqqijifiaitüMoiiSndtf'a ipo qui
,s’y Iroiive. Ne croy-apS: ipas jle ifqij’e
jwnnéeafttpiiitiMaûd jwotjt« tFfliAonp dans
l’piftfens flu.qp;e-,nons!ÿ miédilQqs qtjiteli- _
,q4*e «aéfoiJiîjiJfti CPnspiiefliiee; wpu.?i'ÿ[i?od!
«t Jesi qhwpB„rfi)teîr|^nrorei|lïlejf'eropl ;
ppftclijéesi fipi-iiiifls. itQjiaH Agissons, tqpp i
Jmij'3;jjqwtBiejfln; ,M> ’.piiésencq, (in iSei:-,
gneur. .hm-Vi ■ , '
-,jjua eonsi:.ience,i9fet:Pftilésppiinifj'autpnl
meilleur qu’elle est invisible,
pbapi i^§ ciwtte lins iiépiQiijsfôn-ciiair
e l, ^i|«i,ilw i Bpifl,, fflidS) i lil, ) HP
PBul.fin!Pa(iflie,Çfni laHQpsqjepçp ipvisi,b(p
quiiill^cfipqippgnp ppiifiont, lU’y:;«pngp
lH)^HPiiP|a?nunOM ii'iJù liiî!, ’ i' î
-nQ)t’iA ll.P(n89n''ipHne«,,( q|tç|v lecteur ,
qqq ÎH ;PS; flOnfililH>ÎWqb) ofefeiWié iPPC
un ..téfnqin seqrqt qqi ,peql pu.jmqnienL
,(Îqpn^:r|ê,vélér ¡es, peqvresi, lqs,pproles
et ; les pensées lés ¡pips seçrèies, f’qi.Spqs dpnc'des,,frqils; cqnyeq}djj.es la
.fepeptapçe,
■> IJ
Deux méilai|Ji|S
1J : r ■)' ' .... • r i . ■ ■ . ‘ i> : ‘.:i 1 j 11 ' n '
.L’apejiiAes peiiîsécpiîpns lies : plus.,vio.ientes.,',,qq;aii 'dâ.isqpit’iil’eglise^.çîiie|l.tçqqe,, 'na.Üp iqui,H_qlilie|ii;SO.\i:sJes
élHpéreurs ,GaléjUi4
.çqfpmen^, à Nj(^riieflie;,,;qn l’éq aï«,
..é,l s’eLeadit , .bieplôï ¡ci^qs ,,tipn,.iés,;iilies
iPrûv'iqçies .|tiu granii ■efljp;U’p;:''q,tpaJin.
iLeS|Chi;étiepa,ne jiqiiqrepi. d’;qxi.,peq ¡le
Wd dîlHfi i(n .fiîioLfiiifi'finnM)
,qu );fcnij,il,;Gonslanpq..,U>p.^' qpipioyé,,lanL._40jPr«au|è.^qt, iiq.;,pé;:s,q(yp.rppqq ^ans, qe,li;é ne|îseçqtiiqn,.®jje„l’qn
..Ci’qSflU aypir- Bbqli ,lç .pqqi. çleipli^itiéfi^i DeiA'*ïiP.i'iWP :Ai’!:6iil,,3Cig4Sieqi!is*
.pagne, çomnie ,nfon.uqven)5 dfs
.(¡é iéette pei;séc[Hjiqp, uji.se lJ’0,uiÿ?il Jilf
el |a,^axj,weq;IJ^rculiiis. f^s^ps
.Augustes, ppur avoir élendu l’emoife
roi^aiti à ranénl' ;ql ,lT,fôîntieni,
pq.qr ayob'anéaqii le Honi des ciii’éÎleiiV,,' qui '‘meAàleÜÎ M'èwpjre af' sa
Îei'stfeq’‘i^;: ¿Hrisï..., t
fr'àpp6i‘’'ûné médliii^e qui é^l pàèébiiie
pfe: ¿¡"W là»’qn''iÎL
ïéy^fti'éifï* jypMtîpjcAfïsltoé&ife' ’de
pifèS ,Us'’;pfoiiwes ' de to'iSi'iihcë'. Ï1
;ès t' 1 d P oss r pl e' ' Ü’ in li iftntel''^ ' i e; l'noin Bl/é
4'récis' dés fldgdcdol'S od’*ppfâtpé',
qui furçnl victimes de la hailie''^ii’ép’isïé.
tjii en ïjdiid le flo'rûbée à'plus' dé.éenl
.iiiîiib; -La iu^è étéïi'leiiqoqiie tirêine
■dés 'edfiiÂt’s'>ÎÎaînaieftt ârikt 'i'iyière' d’'â'ùtirés ehfantsJÔftd’épargtlait'pei'sqone,
pas même'des ‘femmes- enceintes, 'tés
cheveux se dressent aqr :|a ,|ièie ,,j,éen
qu’à y penser , et cependant, chose
plus hOiiriblé encore, il se trouva quelqu’un pour faire frapper une médaille.
7
eïi l'hirihëW de' dét hèüt'éüi{'évèftë‘-v
nient. '
Lë [lapé Gt*égdlfe XlII'y' Irôiïvâ ce
lëasiëCrë si béaii', tJuMi se reildiT ëii
pôhlpê k l’églisè et y chanta le
Dé\im: Gtand DiéHndns te'bériîsfe'orts...
Kl il fil faii'^'iitië''iiié'd'aî(lë t[u’ôti'voi'l
encore aujptiTd’hdi ; et qui', d’un côté'
a la lôlë-rfe GrêgPîre XtlÎ'eiiÎeil’au'ti^,
UTi' ati^ë' exiërmiiiiiiëïit qiii' fitqipe' les
Hûgiïéltols, a^ôc deuit IndlS d’e«i‘
plidafiob : Siï’rtÿè C^ôMPiohtWt î' Masi-^'
saWe" des'Gitgtiënot'k'.''-' ■
lie pajië ©Késibii^ô Xlll bien' qu'il;
ait été'’à" KëgliSé'èt''ÿ'q'i't.chanté'ü'rt'
des pliis^ beâ'ü’x "ëartlîqiiës 'cli'rélienS';'
péui lendta la maiin à PétTipëreti»''païëH'
Dibcléli'énli Et' lèS HugUdnôlS'pVotëSii'
lanis' peuvébi së ëbnèblieq'd^a'voliri été'
les'iCértlinuatéttilS deë' véaiS'WitfiWS'. '
Soÿons de' fldèlés d'fscipièë de lèstts'-;'
Christ, c’esl-à-dire, non des chréUëhk
d& nofni, mài'S' 'ëhrélieiW*(IÎS’'fSl,
pati 'dhë' tërflJô' 'jsei^v^i'afic’é dans'lia'
pairoie d0" dbltë SàuvéUbi' dl''iltitiië^
n otri) *iiè sera fibîht' èffdéé,' d d ' CÈqÿttaii'b','
il^ sPià’ loiiidnrs*;'ptqk gtofiteuii;,' èl' îl' Sé'
tifoWera^ écrit da&klëMlM^ dé' (/téV ’
/viiiuu-qij i;Î,,;iii-.xnii; iQMlu-j.^
ir.‘i :• ‘
f dé' là‘
mière version à'élS fiVlè, indiquer eu
d'y fsie faire pu,rèlenir aucuft chan
P‘W;<rs.,
paragraphes, paroles tlahques et ponctuation. ■ I , I
■Le Dri'Sqhaff tle‘db'ce
travail'ihir^riynV;eH[i;e''tH(i's': tiJ’1'6visîôn ' tessëiïibI e rà‘ yi ' 'blë ri'' èi la*
acÉÜëllei gué' lit rttâSke dës’‘*ièctëf]rs''ci
des-hMiteurs apercevra à peine'fii'dSiférepp^n lantlisqq’iqne.çqiqpjuiftisoqjiraite
avéè| SQÏqj iqonlrèra ,de; légërqs, raqiéliq-.
râlions'dans cfiaque cliapil're", presque'
dans chaque verset.».
i!US
: u }\i..
; ; f. ; ;
I.
' / lM| 1^11 111 \.r^r. ( 1 JJ , • • >*111 il I' lui il ' V ^
rqyisipn ,de,^polre.Biblq Ç’qj'
4g|>ip:ÿdqi,^
pënl-elre l Allemagne pieuse en.naqniq
temps que savante à l’égard de la Bible
! V! ni-i I -j-f
Ah^lâtsé! "V,
• K'tiu ■' !’ ■iîi.rî'
DéWtfïs'dit 'gris üHë çéritiàiriy tfriUri’ébi
1 Ogiëp'k ' ' dé' ■ Grahtië'-'Bi'dt'àl^'e ' ' e‘É " des'
EiaW ' 'Urilts, "Sppgrt’ëri'àWt à“ ' l'ôrilek ' lleri’
déWdidihaiiotly êi^driiélIqheS", sd" si?Wt
occiibé^'fqdëlquës ùnisl sont rtilpritgl'rij
kddèppént' fehcdW de fA' i^''lislbn dyig
Bit)1è''éïi^lriisq; Lè' Nbdyégti’ TëSiia'rÜfehl
est terminé’ él Vd Ôlire'puHliéi; rA’ricî'éH
Téyiaiinlëlüi'iië'lé .sétï^ ^ue'; dÀiiS . deu?!
du’ 'U’Ofi''â'riik'' Vdicf qbèiqbës_^ iing‘‘d'q!S
principes jsuivis dans celle réVfsiqn. '
¿V, ainlVbdiii’ré drins
yersipri' cHriogqméril.s
iri‘disperi^SBi,e‘k,fl’;^ ,,,. . IJ.
;. ,it), I LéiPIqs ;,possible,. ejipriro er , ces
cltangeriien|s dans la langue de la pré:
cédenle yerkqn. ¡, ■. [.■■ ■■ • -i!-)-:
c) Que le texteigrec ài-adopter sèiit
celui en faveur du quel les preuves
sont prépbridêran'fès, él lorsque ce
texte diffère de celuiisur lequel la pren
.hmm r/iiiuii uv liii>ni
ç! -i!i l'j a-J'lO'in'pi
xnntih amende
Un journal de New-York f'dfew-For/c
lyîÎHéïJ^gipÎÎi'id^qu’ilfc'ltfcfti^ d’affaires possédant de'is richesses considèbabres e'i» deégeatids'' ieventW'ïM'altiré pAr i leslntibël-gisiés 'èt 'Üëvittf 'uh
ivtrogné.’-)f fïei<dlit bidtiteil Ses tlehëièfeS
et son commerce fut complètëtttWit
ruiïiéi' ' ' 'll '.'iiKiiAi'il nuil;‘!i)].i )■:'.< ¡1
La femme' de ¿ëi'WiaUiénrteidk’^’riViba
d’înipnler kiri' prbëèsi'tidx ianbél-glsitéA
qui!'lêiaîé'ni" là' céusei'!dôi la ifuine *dë
la' foriurie';' !des afftibeé'j ‘dëf' la skhilé
et de la i’éputatibA"d'è sbH'tdadi.'Hiiil
aobergisiês>'frirerii''plfés dbyaHiilenirlu
bbnali'dei Jéwa' (Etals'l5kis)i 'Sept ’#ëfi4
tr’euxi s'etiitiiidfettV eri'pu'yàhi' rind'jdlie
so:mme dlargenl-à titte-'iijfe'jcotbpimwifei
Le hurt]ème ' lu t) ' cbïïdâfnwé pa*>' le ',t Hii
buna! à payer' tÎl','009'dollars-^ëtlViiiiloti
SOjOOO frBnceili"poLir'ddttl'itetlgeS'et'înlérêis' ! et ' -3,'060 au ireS' idiytlii r*® .d 10jOOD
frsiV'ài'diw d'ambhddi '''"'m,
• ; I Liaia be tf Iké- ¡s’en '' dnpë là', ri m giie ' les
tribunaux 'supôriëùh':cdnfirmôttenf' (il
sentence.
if<i
U;i
M |!(
8
144
Pensées
.•¡■.-I':
D’incrédules pròprement dii.s, qui
sc‘ rehdéhl cpriipie de leur incréduliié,
iV' h’y èn à' petü-êire ¡pàs béaucoun,
pàt'nii'*b'oiis j ‘ mais il y a' parmi' npiié
beaucoup de ’ pérsònii’es dont respHl
croit èf dóni'le coétir est incrédule.
, ,1#^ ptnpaj;l, de^ chrétiens ìont jcorpmencé crqjfe qn Jésus-Ghrisiiparcequ’pn, leuq, a .parlé; de lui, et plus
lard ,ils ohi crii parceque J. G. Iqui’
ì;; ,i,’';Vll!lET.>
Mìì'm|
»J_L
" •Plds'’h6irë'‘,‘gbêissàincë eki stricte' ,
plus son impeCfectiOH est rtiab'ffesté.
I''; l'I.j ,'l w___ 'I':.:' , ..M ,l!|. :
,, . - ;. i ■ -ihK 'i i ■■ II: :
H vaut mieux avoir un sentiment
calme de sa misère, qt recourir ,hunibleidétii ‘à ' la gr^ce sanctifiaAté" de
uièw , v'dhe''idé parler b'èaucOup 'ét de
pîkrâîti'ie une Personne disLihgnée en
rèligioC ^
■i!'. -!) ’ '>:i_ -•:|Uiw l
Il faut que toutes les roues duichar
soient en mouvement, si l’on veut
remporter le prix de la course.
Henri Martyn.
\é J»:: '• ■
> fi
La Chambre des députés
auCOfliinpé! à s’occuper de la défense
nationale, à propos du budget!deda
guerre.’,i.jiiM.', k,, i«,., i-.
Il est question toujours de crise dinisiérieHe ),i ,ec)se, totale, crise pariielle.
Deprétisiest tout occupé né /conjurer
cet éidteic., iCrispi »nNicolera et .Zanardelll semblent s’âtre emendusnpour
livrer/bataille, pieut-être, à l’occaeioin
d’une nouvelle demande d’ejcercice pCoc
visojrejw .à oeilc de l’examen du 'bud.4
get derVinitérieui'. En attendapi le/vrai
i n térêtj du pays est ce i ',qu i ¡préoccupe
leu moins,4 'semblftitTili tù nosi hommes
politiques à;!ia!iGham'bre. ).,| C inri
En aitendantnla,Commission générale
du »budget I propose: à l’assemblée',un
ordre cfii jour de blâme.conçu,en ces
termes : la Chambre y déplorant que le
Gouverneroentaitdû préaenterunnulre
projet de loi pour proroger l’exercice
proviso!re, des bu(^els, passe,à l’ordre
du jour. — Le ministère repousse cet
ordre du jour qui sera développé par
Crispí et probabiefnenl, adopte par la
Droite,, et par Nicoléra et. son parti.
Si le Ministère est battn »nous avons
une crise ¡ministérielle,dont on ne prévoit pas ilesi içonséquences. .,,,,
Le roi Humbert y arrivé à Turin sa-,
medi, dernier, reçu par les acclamations lès plus enthousiastes par la
population et onrtoul par les étudiants
de Turin et de Gênes et par »Íes sociétés
ouvrières ,i a ; poveri rexposilion des
beaux-prls , dimanphe matin à dix ben,res.jSa Majesté, ¡tt’a»,eu .queii de» g va ^
lipBs pendanli tout Iq temps;de» son
bref séjou/v daps sa ville nalalqi Gain
rojíi président du Gonseil, Villa,et,Miceli
accompagna ient ,Sa Mqjesté'ji.ainsi que
des députations de la Chambre,et,du
Sépate;,- ■' ■ .! :ill:
jpraiM». ,,t4- .La Chambre des députés a donné,, un , triste 1 spectacle,
sUiPiQul la droite, à:l’occaaionide, finterpelliation de M.iiGodello »sur i’admi-,
Bîstçaiion lido l’AlBirie,HiGambeiita,i a
prononcé conire,» GodellenTcxpuleioni
temporaire de la Chambre.
Anffteterfe. — La reine Victoria,
fidèle, .cottstitutiobi, anappeM à
Wiriasdr bour le cKargér dé la formation du Ministère Whig, d’abord
lord Harljngton,, ,ppjs .Iprd GrqinviM? .
et ¡sur je Conseil dqjqes;dcuxt,hommes
d’IÉtat, Iqrd;. Gladsione., 17- Le Minia-/
1ère anglais,, est %Ó»é Aé,,i01|qdstone
irésidept. et minisire des ,,fin.anpes ,
ordì, Hartington „;,pour „l'-Indq,,, jqrd
rqnvdle ippur jqs /apures éirangèreSii
hildçrs .poui'Jà',,giJPf,rc filOnii!'/ i..t .■
,,,Lq général Sievyqrt ajrqmppiHq,,un.e
dernière viqtoii‘e,sur. les Afeaos près
de .Cbazni,
, ÆjtteÊ»u$0nfe. -t Dismark ;Sqmble
moins disposé qué janiâîs é Sacrifier
lék déofts' dé. >àpii,''|fê{j^'é>|bds: du
Vatican, üné ‘CébdpCîliktion eniré TÉgtise *çM;hblique ;1'^qríipíí'é Allemand
n’aura lieu qoé 'stir lè forideriiehi de
la reconnaissance, de la part dé l’Eglise ,1 des! lois de il,’Elat;<i ■ / • i't* I,'
ÈRiì'ÈSr Robírt, Ckant eiÀdmiliisÎrahenr'.
■ ■ ' , r 1 ?, 1 • ' ( ? : i I ; ' ; • ■ , 1 M < 1
Pigaerol, lmp. Chiantore et Mascare Iti.