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N. 29
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i PRIX lyABONNEMENT;
VaUées Vaudoiaes . . ; . . . "
Italie .... rri. 4,— 2,—
Etranger ’ ' ! ! ! : \
Plnsicntra abons«»ientÉ*à la m€mte adresse > 6—
AUwagçe. AaW«he-Hongrie, Belgique. BrésU, Danemark
Bgypte. Hollande SuMe. Suisse, par ûbonnemnt Postal
selon Accord dt Vienne, par an; Pr. 4,50.
f“ bureau d'administration et à
p^***M*”* '^^***‘ toutes l«i paroisses, chez MM. les
Pour toutes les annonces, s'adresser à l'Imprimerie Alpine,
concessionnaire. .
S'adresser ^ur la Réduction à M. C-A. Tbon, past., IForre Pellice
et pour l'Administration à M. J. CoISSON.prof., ¡Torre Pellice. ^
Tout changement d'adresse coûte tf centimes, sauf ceux du
commencement! de d'année. •
I.ea changements non accompagnés de la somme de t$ centimes,
ne seront pas pris én considération.
^Qor^^^Te^hoses vraies, honnêtes, fastes, pares, aimaÎblés^l.. dUgnes de loaange, occWent vos pensées. (Phil. IV, 8).
SOMMAIRE; Soyons équitables — Synode
National des Eglises Réformées Evangéliques —■* Ee Synode de la paix —
Un Vaudois qui honore son Eglise —
Courrier Ajjglo-Américain — Nos Vaudois à Rome — Chronique vaudoise
— Nouvelles politiques.
SOYONS EQUITABLES.
Ce peuple, est sans pitié; l’idole d’aujourd’hui, ! demain est déjà brisée-.-Allez
vous fier aux * masses, comptez sur eiieset... vous ne’tarderez pas à faire certaines réflexionp bien amères. Ce n’ést pas
, seulement-à J^usalem qu’on «entendait
les foules entonner l’hosanna.quq jbientôt, était suivi par le crucifie. C’est ce
que nous constatons encore, chez nous
à l’égard de ceux qui, appelés à porter
un lourd fardeau ont bien voulu l’accepter, mais ont été indi^trément récompensés! Orlando et Sonnino, deux hommes éminents, un avocat charmeur des
foules et un financier taciturne ont pàssé
près dé six mois à Paris comme membres
de la fameuse Coriférence. IIs^représentaiént l’Italie, quantité’ négligeable aux
yeux des colosses des Etats-Unis, de - Angleterré et cte la lErancesri ite fepré~3iS©ntaien.ilîl’Italie, ,1a nationj des -beàuxarts, laijeUne arrivée, qui avait;àHssi son-,
idéal, Ison plan, ses petites ambitions,
qui avait aussi 1 contribué, pour quelque
. chose à la grande victoire finale, ¡qui...
avait engagé;sa fortune ;et ses hommes;
ces délégués, ; celtes, n’ontr rien épargné
'.pourféWabliriîtærtains droits, pour réclamer, ce qui paraissait) iéquitable,J «lime '
. aux yeux des : plus fanatiques, mais ils
n’étaient pas de taille à lutter contre ces
colosses qui avaient déjà tracé leur plan, ^
qui brutalement mirent de côté\ cette*
importjine laquelle avait cru bon de réfléchir avant de se prononcer, et le fait
que les trois colosses, pendant l’absence
des délégués italiens prirent les'décisions
néfastes connues, trop connues, et qui'
resteront comme le résultat de la plus"
haute tyrannie du fort envers le faible,'
qui né seront jamais oubliées par les Italiens qui ont à cœur leur dignité, tout
cela qui à pesé sur la délégation italienne, ''
' laquellè a passé par des heures sombres,
' par la sohffrance, par le désespoir, tout
cela paraît être oublié par les Italiens
" qui blâment ces Messieurs qui n’ont pas
* encore èü ^occasion de nous faire con-"
naître certaines manœuvres qui pour-*
raient bien nbàs “étonner. Orlando et
Sonnino peuvent avoir des torts; dans*
‘ tous les cas'ils ont eu tort de cacher aux .
Italiens cè qui sé trouvait en haut lieu; •
• ils Ont laissé trop traîner nos intérêts n
sans arriver à une'décision favorable^ou, :
non, ils ont trop concentré leur atten- .;
tion sur un point, négligeant d’autres î;
- points plus qu’importants, mais à part ci
» cela; nous croyons qu’ils ont été des Üa- -1
liens dignes de leur peuple, que nous devons reconnaître le travail long et pénible qui a été fait, et que nous n’avons
pas le droit de faire retomber sur eux
la,grande faute, de n’avoir pas pu obtenir ce qui était le désir de chaque Italien.
Non, nous n’avons pas le droit d’écraser, de condamner, même quand on ne
réussit pas. Qui aurait mieux fait à leur
“place? Nous avons maintenant à Paris
deux personnalités de marque: Tittoni
et Marconi: nous apporteront-ils ce que
nous attendions? Il paraît bien que non
et quand ces lignes paraîtront, probablement l’Italie sera fixée sur son sort. Quel
qu’il soit, elle l’acceptera aveC dignité,
elle sera reconnaissante envers céux qui
ont fait tout ce qui dépendait d’eux pour
le triomphe de notre idéal, mais encore
une fois, soyons équitables envers tous.
Ce que nous disons de notre délégation
à Paris, nous Voudrions aussi le dire de
nos hommes qui sont au pouvoir en ce
moment. Nous ne les connaissons pas
encore assez pour les juger, attendonslés dans la pratique, acceptons avec con-«
Proclamant à nouveau, le devoir pri- ’
nioidiâ! dè l’Eglise qui, pour rester fidèle
à'sa ' mission, doit tendre à devenir de.
jour en jour plus agissante et- plus con- ■
quérante, •
Et convaincu que ce devoir s’affirme
plus impérieux que jamais dans lés temps
actuels, au sein de notre Patrie bienaiaiée,
Donné mandat à la Commission d’Evàngéli'ation, qui sera désormais «Commission d’Evangélisation ‘ et d’activité
chrétienne»:
jà ¿e veiller à l’organisation et au dé-véloppement des activités laïques, teon-foMéinent- aux suggestions de la Corn-’
mîiSîOn d’initiative et de propagande et “>
aux propositions des Synodes régionaux,
avèè-le souci d’orientèr résolument l’E-“;
gliSe'vers l’application sociale du Chris- ’
tianisme, l’Evangélisation et l’Action <■
missionnaire; i .
2° d’instituer un « office de munitions » .
chargéüe fournir aux Eglises et Commis- •
siCBtiS' régionales, dans les meilleures côn- î
dirions, toutes publications propres à
fiance leurs declarations, “ admirons le-’-Tàvoriser leur'effort flîVres saints,^! bro
bori désir et la louable énergie qui se
manifestent, et alors seulement nous
pourrons juger avec connaissance de
oouse. Spectator.
SYNODE NATIONAL
iêhures,'tfaités, journaux; affiches de pro‘pagandeïétCi). . . .-ï
3° de Mtér la réalisation du programme tracé par les représentants les plus
directs ét les plus autorisés des Eglises,
________ en provoquant, dès l’automne prochain,
DES ÉGLISES RÉFORMÉES ÉVANGÉLIQUES ‘ dans toutes les paroisses, une vigoureuse
1 ^campagne pour rappeler aux Eglises leur
^Nôus avons lu avec t lé pkté-imf ïn/éréf 9ui est leur raison d’être, eties
' pnmnta-ranii,, „«’'«’....„J- aidcr à mettre en œuvre saiis retdrd
*"1R)utes les bonnes volontés réveillées et
fortifiées; ■ t -, . V
le compte-rendu de ce"'Synode qui s'est
tenu à Neuillg. Plus que jamais nous nous
sentons unis à nos frères protestants de ¡ .
France, et nous sentons que nous avons ' 4° dé pottrSuíVré Sáiis trê'vë, avéc une
la même mission à remplir, eux en France, ‘“^•’deur renouvelée, l’œuvre d’évangélisaet nous en Italie. u lion proprement dite qu’avant la guerre •
Nous ne pouvons pas reproduire tout ce' avait entreprise en collaboration
que nous lisons dans le Christianisme,Commissions régionales
mais nous tenons à relever l’ordre du /our Sociétés d!évangélisation exis
adressé aux Eglises et Varticle: Le Synode *'*®ntes; ‘ .
de la paix. — La vieille Faculté de Mont- ‘ s’employer, comme par le passé, ^
tauban, forteresse de la pure doctrine évan- ^ esprit de prudence et de fldé- ^
géltque, a été transférée à Montpellier ep'*ddé, à la préparation des futurs Ouvriers .
non pas à Paris, comme plusieurs ^ 'd® l’évangélisation, et de rechercher les ^
raient désiré. inmeilleurs moyens de former, pour le ser
Que Dieü bénisse nos frères de France, de l’Eglise, des colporteurs qualifiés.
Le Synode, ’ ’ ' . ' ' ' ‘
Vu les délibérations des Synodes ré-/' LE SYNODE DE LA PAIX^ *
gionaux sur les questions de l’activité Le dernier Synode National s’était ¡
laïque, de l’action conquérante et de ' tenu à la veille de l’armistice, à l’aurore *
1 évangélisation, soumises à leur examen « de la victoire. La session de Neullly s’est
par les décisions antérieures du Synode . ouverte à la veille de la signature de la”
national (Amiens 1914, Crest 1915, Pâris ü'paix, dans la joie du triomphe si chère-”
aient obtenu, à l’aube des temps nou- ’
'Heureux et reconnaissant de l’unani- “ Veaux de justice et de liberté. Aussi estmité qui s’est manifestée en faveur de ce avec raison qu’on lui a donné le nom •
,If organisation, dans lou/es les Eglises, ide 0 de Synode de la Paix. ' ri
toutes les activités laïques, et du désir " Il le mérite aussi à d’autres titres,
non moins unanimement exprimé de faire , . Ou peut dire que les discussions, mal- t
concourir au réveil de la foi toutes les 0« gré l’ardeur qui les a caractérisées spé-t
forces vives du Protestantisme évangé- cialement dans la question si importante a
¡|/du¡ transfèrement de la Faculté dç Mon
tauban, y ont été toujours empreintes
d’affectueuse confiancé, car l’on sentait
chez tous les orateurs, malgré la diversité de leurs opinions, un amour égal
poùr r Eglise, une même foi en son divin
Chef. Et le désir dé concorde s’est manifesté dans les paroles très nettes par lesquelles plusieurs des partisans du transfèrement ou du statu quo ont déclaré s’incliner devant une décision qui ne répondait pas à leurs vœux propres.
Tout parlait de paix aussi dans ce joli
'temple, entouré de grands arbres, paré à
d’intérieur dè plantes vertes, én cette coquette et semi-ehampêtre ville de Neuilly
àvec Ses calmes avenues, a deux pas du
Paris si bruyant et si affairé.
I L’Eglise de Neuilly, son Conseil et ses
Paroissiens, le pasteur, M. Ch. Merle
d^Aubigné et sa famille ont assuré aux
méiubreS''du Syilode une hospitalité
pleine d’affabilité et de charme.
Les séances de l’après-midi étaient
coUpées'par le thé servi très aimablement
par des dames et dés jeunes filles de l’Eglise, en une belle salle annexé où la revue Foi et Vie avait eu l’heureuse idée
-d’installer; pour la commodité des mem
«bres du Synode, Un, service temporaire
de librairie.
Dès le début, le Synode avait décidé
que ses séances seraient publiques. Aussi
y remarquait-on beaucoup de pasteurs
de Paris et ides environs, appartenant à
des dénominations très diverses, ainsi
qife de nombreux laïques» messieurs ou
dames, dévoués à nos Eglises. Dans plusieurs de ces séances, on entendit des
délégués britanniques et américains. On
se sentait en des jours d® fête, on respirait une atmosphère cordiale et frater,A^d«®»«dans Ip joie de,pe„retrouver après
de longues et dures épreuves aux jours
de 4aj jaix? èpfiii revenue, ,
On sentait enfin et par dessus tout
que la souffrance avait trempé les âmes,
on communiait dans lé deuil de la patrie
victorieuse mais meurtrie, on venait
mettre en commun les élans renouvelés
de consécration au service de Dieu et
de Jésus-Christ dans notre chère France
et dans notre Eglise bien-aimée.
•¡•/Et sans aucun doute le Synode aura
fait du bien, non seulement à ses membres, mais par eux à toutes nos Eglises
qui en retireront une salutaire impulsion.
II aüra été bienfaisant encore à l’Eglise
qui le recevait, par les réunions de prière
et le service de Sainte-Cène du matin, par
les beaux'services du soir qui ont attiré
des auditoires très nombreux.
Au service d’ouverture, dont la partie
liturgique fut célébrée, selon la règle, par
le modérateur du Synode, M. le pasteur
Larroche insista avec puissance et originalité sur lé devoir, pour l’Elglise et pour
chaque chrétien de confesser avec fermeté et netteté sa foi.
Au service du jeudi; isoir,, ouvert par
2
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t'ì ‘tfí!¡u,l é;t
i(ÍUl.>iíí4
atmmnaÉBrná
iXiCi
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ÿÊÊÊm
une prière de M. de Witt-Guizot qui pré*
' sidait, trois |^^oi|itei|w’^artíci^remen%^
J qualifiés pour lévclq^r ce^ raéme si
{riche, inontréi^%t quelles aspáis de 1Í
Hache d’aprés-goérre ; MIÍ. PÍérfé*Maur^í
, le nouveau secrétaire général de la Fé»
I dération des Etudiants chrétiens ; F|
I Durrleman, Tardent évangéliste, direc*
I teur-adjoint de la Société Centralej dont
F'— L’influenza sévit de nouveau d’qne
maniée iir|pre8siohn|pte à Sidr^;
parali que li^hombre i|s morts est
|—?%L,’E\^ue d’Q^rd ayant
si énàl le iifocteur ^re reprend .
berté d’action comme écrivain.
Uff,
4j¿Áve(^€f^erni«r dimadcÎ^ de_§ia^ous^
^ns série des îiSuà|ons <j|gs l^au
tant à 4onner une place d’honneur à la
anii (ians la
toseignants et’fit un
P®rent|. ^Rivoir ajouta quel
ies
reme i^üt le Consistoire et
es %é|Éantes à Roi^#êt
filles ont répondu en grand nombre à
— A New-YoGt, M: Moore «teltsôûii «»tfe derrière ^yitation. »
célèbre comme croyant à la guérison par Cette fois, après avoir chanté, une
la foi et l’imposition des mains, ayant Amie nous a intéressées par une cérémonie était ter
j on^ n^’a pas oublié la féconde activité corn; réussi Jl ^ 8^^ cause le Dr. Mao voyage au front du Trentino, dé- jjjinée,
ime aumônier de la Flotte; E. AÛégretj ming,.recteur de Trinity Church, la plus privant la désolation des pays ravagés | q. , |
J aumônier militaire, de retour du C53,çie«;..nÇ^® paroisse des Etats-Unis, il’y a guerre: Asiàgo, Arsiero, détruits n, ^ ^ chaire a té oècupée
donnant quelques conseils aux enfants.
Les prix, au nombre de 67, furent ^suite
distribués aux heureux du jour, i^n une
¡roun où il est allé sauver au nom'des véritable procession à la porte du temple.
I protestants^ français, une œuvre de mis- En un jour^ 167 personnes ont reçu Tiui"
j Sion évangélique, et qui va désormais . position des mains. M. Hickson déclare
i consacrer entiêreihent, comme directeur- . qu’il découvrit cette puissance bien jetthe
«adjoint, toutes ses forces à la cause des encore, un jour qu’il imposa les mains à
et abandonnés et les merveilleux travaux POSt§:Uî'v..Rinaldo ..Malan, de
accomplis par nos soldats dans les mon-; ;^'^®*Îi.^"®
tagnes qui ont été converties en vraies W®W?; -s : x i â^.. , |
forteresses. Le.¡10: juillet, .à Tarinv con pi^/ifl»o/i
Une table bien garnie de verdure et de ‘ àssoliiti eiodeflQ lieùtériant'i4/iicr/ Sgbille
¡Missions qu’il sert depuis sa jeunesse; un de ses cousins malade d^ névralgies pâtisseries nous attendait et on s’y est »obtenu son diplôme de professfur en
Î firent entendre à leur auditoire des ubu» .r,« ♦■ÂïiU H,. fiaîment a«.tjiRes PTt-eniifinTif 'Hes timhtiniTiea'■ lioHos lottres'.tNoussfélicitons notreHeune
vellés ' éncdurageànfès,* de “chaleùreuj
X oco x^vuDiiiD. uiaiauc uf* iicvicu^icj * ------------- ---------- J uni *
'sè' pfopoàe de faire'le tôdir'du mondé gaîment assises ert'éausant dés prochaines ■ lettres; tbiousJéMcitons notre jeune
Ht espère se trouver en Palestine Tafl ' vacances et des privilégiées qui pour- J?9rpissi.éa»,qwi, après, .avoir servi èa pa
appels, de solennels avertissements. Le
chœur de l’Eglise apporta à, ces deux
soirées son concours exercé et appréciév
L’Eglise de l’Etoile a voulu de son
côté témoigner au Synode et à sa voisine
l’Eglise de Neuillÿ, sa fraternelle affec
tion, en offrant le mercredi soir,, dans
sa grande et belle salle des catéchismes
une réception au Synode et à ses visiteurs de.,T étranger ou des Eglises-sœurs,
Dans cette soirée, honorée de la présence
de dames et agrémentée par le talent de
l’organiste de T Etoile, M. Cellier, le Mo.dérateur du Synode, M. le pasteur Mclines, après quelques paroles de bienvenue de M, le pasteur Picard, président
du conseil presbytéral de l’Eglise de
l’Etoile, a offert la parole à MM. les pas: reur Marchand, représentant du Synode
général luthérien, et Parker, représentant
de l’Eglise méthodiste; aux Révérends
G. Donald, de l’Eglise presbytérienne
d’Ecosse, aumônier militaire et D. C.
Mac Gregor, de l’Eglise presb3rtérienne
d’Angleterre. Puis il leur a aimablement
et fraternellement répondu.
Le Synode natioanl de Neuillyest clos
et ses membres, aujourd’hui dispersés,
sont rentrés dans leurs Eglises où. ils
mettront les fidèles en face des grandes
tâches de Théure présente, selon la consigne qui leur a été donnée.
Puissent ses travaux avoir contribué
efficacement au progrès de la vié intérieure et extérieure de l’Eglise tout entièrè et à Tavènement du règne de Dieu
dans notre patrie I C’est là Une des prières
qui ont été le plus souvent formulées
durant cette brève mais laborieuse session. Dieu Veuille l’exaucer pour Sa plus
grande gloire I ' A. V;
1921.
— La fille de Tex président Taft vient
d’être nommée présidente de Bryn M»wr
College.
— Un richissime américain vient de
léguer 25 millions aux œuvres d’art et
surtout pour le développement de la
musique.
— Il y a 48 ans seulement que le
Japon commença sa transformation en
imitant les nations civilisées. Aujourd’hui
ront aller retrouver leurs parents aux
Vallées. On s’est promis de reprendre,
D. V., ces réunions l’automne prochain.
Nous avons l’impression d’avoir fait
du bien et du plaisir à nos jeunes sœurs
dans ces réunions où nous avons tâché de
les, intéresser par des chants et même
car un bref résumé d’histoire vaudoise
si peu connue de nos jours, et nous prions
toutes les jeunes filles des Vallées qui
ont à Rome ou qui auront l’occasion de
avec ses 60 millions d’habitants elle est,s’y r^iidre l’hiver prochain, de faire con
devenue une puissance de premier ordre,
ayant la troisième place quant à la flott:
et ses marchés s’étendent dans le monde
¡ entier. Son appétit comme nation ¡est
formidable, et la Chine et la Corée en
savent quelque chose.
— L’église anglicane a perdu 100 pasteurs pendant la guerre, 178 ont été
blessés.
— Le congrès anglican évangélique.)
qui s’est tenu à Cheltenham s’est prononcé pour une plus étroite union avec
les non-conformistes; le temps des discours platoniques doit disparaître pour
faire place à quelque chose de concret,
— Une nombreuse délégation anglaise
composée de représentants de toutes les
dénominations est partie pour la France
dans le but de visiter les Eglises protes
naître leur adresse à M.me Nadine Prochet - Piazza Sallustio, 24 - ou à M. Pasquet, concierge de l’Eglise vaudoise de
trie sous les drapeaux, se prépare à se
dbnner à‘èlléi en iinstruisant la jeunesse,
laquelle est appelée à la rendre forte et
prospère.
— Les enfants de l’école de TEnvers
s’unissent à leurs parents pour témoigner
leur reconnaissance à leur chère maîtresse M.lle Gras et tiennent à la remerViVem^t |>0|ip son |èiè,30|i déyouefflefir, 'éd uà niôt po’ur tbutès ÎeV Bontés
qu’elle a eu à leur égard.
Nous désirons vivement qu’elle demeure parmi nous un bon nombre d’années. Pour tous Jean Maurin.
— M: le ptqf. Jean Maggiore a été élu
Piazza Cavour; ainsi il nous sera plus- je Collègé des professeurs commedéfacile de les inviter pour nos fetes de pntê au Synode. H a aussi été désigné
Noël et nos réunions du dernier diman- p,, ^^^p^ professoral comme
che de chaque mois. 'présidé du Collège.
Nous avons compté plus de 50 vau
doises à Rome cet hiver et à ma grande
joie, je dois déclarer que leur conduite
a été exemplaire, leur tenue très' correcte
et qu’elles ont fait honneur au nom
vaudois 1
Cela est pour nous line grande satisfaction et nous ne cessons de prier pour
elles, afin que leur bon exemple soit un
témoignage vivant de la supériorité morale que doit produire l’Evangile.
Vivons la religion que nous professons
tantes et se rendre compte de leurs be- rappelions-nous les devoirs que nous
soins.
— Le gouvernement anglais vient de
nommer deux nouveaux évêques, le Dr
Burge pour Oxford, et le Dr Paget pour
Chester. i,
impose nptrç glorieuse origine 1
' ' . ■ ' ' ' Nadine,
■ ■ H;î;:î • ,/'l < f;. î > ';i
CHRONIQUE VAUDOISE.
COURRIER ANGLO-AMÉRICAIN.
On a fixé le premier dimanche d’août '
pour remercier Dieu d’une manière solennelle d’avoir accordé la paix; le peuple, cependant, n’a pas attendu cette'
date, et le dernier dimanche de juin a
vu des foules énormes se presser dans
les temples.
— On a organisé une société ayant
pour but de donner une pension aux mères et aux veuves qui ont souffert de la
guerre, afin qu’elles puissent continuer
leur mission dans la famille.
— Le relâchement des mœurs et sur^
»
tout du mariage est chose visible en Angleterre, aussi on a jeté un cri d’alarme
bien justifié.
— Environ 10.000 Françaises ou Belges qui se sont fiancées ou mariées à des
Américains, se trouvent actuellement à
Brest, prêtes au départ. En attendant;
sous la surveillance des secrétaires des
Y. W. C. A., elles apprennent l’anglais
, qui est du pays d’adoption;
ire son
Nous avons eu çes derniers temps un
certain nombre de Vaudois qui ont tenu
à manifester leur libéralité chrétienne,
et les souscriptions en cours en sont une
preuve frappante. Un autre Vaudois
vient de nous donner un exemple louable que nous tenons à signaler afin qu’il
puisse avoir de nombreux imitateurs. II
S’agit de M. Albert Rostan, originaire de
St-Germain, établi à Turin. Dieu l’ayant
béni dans son commerce, notre ami vient
de nous remettre, en souvenir de sa chère
compagne, Mme Catherine Rjosine Rostan née Ricca, la, somme' deH5.0®0 francs
destinés comme suit:
J LA TOUR. Jeudi dernier, le 10 juillet,
pendant que nos deux Ecoles du diman- '
che centrales se procuraient une délicieuse promenade au Teynaud, à TAsiZe
avait lieu la petite fête annuelle qui,
comme toujours, a fort bien réussi. Notre jardin d’enfance a enregistré 40 enfants pendant Tannée, et 29 se trouvaient
présents au saggio final.
En 35 minutes ils nous montrèrent le.
résultat du travail de toute une année.
Chants, poésies, jeux, tout cela s’est suivi
avec une précision admirable et on n’a
pas marchandé les applaudissements à
ces petits qui font le premier, pas dans
le monde. Le pasteur ne manqua pas de
— Le trésorier de la Table, M. A. Rostan, est arrivé avec sa famille (le Rome.
— L^ famille Schûtz de Turin, en villégiature à La Tour, nous a fait parvenir
francs 450 pour, TAsile des Vieillards de
St-Germain, et nous lui en. exprimons
notre vive reconnaissance, ainsi qu’à, M.
et M.me Crichton, qui ont versé pour le
même, objet francs 100,
Uarrîvo in Torre Pellice dello specialista comm. Massimiliano Neaschâleri Annunziamo ai nostri lettori che
11 valente specialista di diottrica-oculistica comm. Massimiliano Neuschiiler, di
Torino; non potendo trattenersi fra noi
durante la stagione estiva; per aderire
alle richieste della sua clientela, riceverà
soltanto nei giorni di Venerdì l' e Sabato 2 Agosto, per la correzione dei
difetti e debolezza di vista, col suo particolare sistema di lenti, dalle ore 10 alle
12 ant. e dalle 2 alle 5 pom., ali’Hôtel
de l’Ours. i >.(
PRARUSTIN. MedÌaglia d’argento:
Gag Manfredo, da Prarostino, capitano
di fanteria,: « In più giornate successive
di aspra lotta, fii di incitamento ai suoi
conia viva parola e col mirabile esempio
del suo sprezzo del pericolo. Benché ferito, rimase ai suo posto di combattimento e non lo abbandonò che quando
Venne una, seconda volta e gravemente
colpito ». r- Gorizia, 10 e 12 agosto 1916,
,ilever le fall réjouis.a„t que l’AsUe est., _ Le paeteur M. Ornado Jaita, doc
Institut de Vallecrosia
Institut Gould, Rome
Lit Amédée Rostan
Hôpital du Pomaret
Hôpital de La Tour
Orphelinat de La Tour
Institut Comandi
Asile des Vieillards, Sicile
Pasteurs émérités, vèuves et
orphelins
L.
»
»
»
»
»
»
»
2.500
1.500
1.000
8.000
6.000
6.000
1.000
1.000
un ornement pour La Tour et que nous
devons l’entourer par notre sympathie
et*nos encouragements. Il remercia M.lle
Arias qui se dévoue à cette œuvre qui
donne de si beaux résultats.
— Dimanche matin, à 8 heures et de
teuri en droit et licencié en théologie, a
obtenu le 9 juillet, à l’Université de Turin, le diplôme de « docteur es Lettres
Il a présenté un travail historique sur le
sujet,: Aperçu de l’histoire du Concile de
Trente sous Pie IV (1561-63) refaite sur
mi, dans le temple, e eu lieu la fête des .¡les documents contemporains; travail
» 18.000
Total frs. 45.000
Nous remercions sincèrement notre
ami au nom des différentes œuvres,
C, A, TROîft
promotions de Bible. Nos enfants étaient
très nombreux,, les enseignants à peu
près au grand complet, mais les parents,
sauf de louables exceptions, brillaient
par leur absence. Le pasteur s’adressa >
aux enfants en les mettant en garde con1 la paresse et l’inattention, les exhor
qui a été très apprécié, et dont le professeur d’histoire moderne, qui a discuté
la thèse, a conseillé la publication.
Nos plus cordiales félicitations au nouveau professeur. ,
—• La paroisse a versé à la Vénérable Table, sans compter la collecta
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pour Ies Orphelins de guerre qui a été Sig.na Margherita Rivoire
très réjouissante, 800 frs. pour la Caissp Bufïetta (Id.) i, , L.
Centrale, 50 Jrfi. pour^l’iEvangélîsation üSifc.G. Benech, Chiotas, (Id.) »
et 180 1rs.,offerte paj les Sociétés fémi- Sig, P, Benech, Cacet (|d.) »
nines pour la^ Caisse d’éméritation.'■ii **Sig.ra A.^TBenech, Jouves (Id.)»
»peu près *150 fis,» ont'■été envoyés aux ‘ Sig. F, Bourde, Martel (Id.) »
‘Missions par le moyen de la Société « Pra «Sig.na M, Chauvie, Jouve (Id.)»‘
del Torno» ou directement à la Société
'‘dè‘ Paris.Í-! - ü'y-iid
— Le Soldat Luigi Pdschétto de lDavid,“‘
de la bourgade Ruata Cornera, retourné
malade de l’Autriche, est décédé après*
une année de cruelles Souffrances. C’était
un des plus jeunes de nos militaires OtI i
fils unique. Aux parents, qui ont adouci
de toute manière le martyre de ce jeune „ Ut Doct.Chev. Amëdée Rostan.
irere, 1 expression de notre plus vive namo r;»#.. ^ c
'o’vmrïQV^;.. «V j'"'*''‘T ' • (lo.me Liste de Souscriptions^
»ympathe et de „0 re reconnausance. s¡,. Alberto Hoslan, in ri- l
C est le 47^e paroissien que la guerre [ ' ^ ^ rlmplanta
a emporté. Avec lui pous espérons que | ^moglie . » L 1000
Sig.na Onorina Rivoire,' San
Lorenzo (Id.) > r * »
iSig. E, Revel, pastore (Id.) »
Società Corale‘(Id.) - »
L. 273,50
Listes précédentes » 29.546,45
' ’ ' Total L. 2£Î.819,95
la liste Soit close pour toiijours.
SAINT-JEAN. Ën réponse à l’appel
en faveur de notre Asile des Vieillards
adressé sut ces colonnes à nos Vàudols
de St-Jean établis hors de la Paroisse,
M-lIe Louise Girardon vient de nous envoyer lè montant d’une souscription faite
à Rome par un groupe de jeunes Sangiovantiiné et qui â~produit la jolie sômmn
de L. 150.
En remerciant bien de cœur ces chères
jeunes amies pour leUI* affectueux» ^avenir, ainsi que tpiis les frères el sœurs
qui onfc, concouru 'avec elle daiis cètte
souscription généreuse, nous simulons
ce bel exemple à leurs compatriotes des
autres villes d’Italie et de l’étranger dans
l’espoir assuré qu’elles auront bientôt
de nombreux imitateurs et imitatrices.
Notre Asile en a un si grand et urgent
besoinl ■ ■
®* Noui exprimons'en?mlmei;emps’nôtre
vive reconnaissance aux chers amis qiû
ont précédemment répondu à notre appel et nous ont fait parvenir leurs dons :
Elise Revel (G^s)^^; iO ^JulibijChpp.
bonnier (La Tour), 25 — Pauline Roman (Id.),i5« — M.^M-ime et Barthélemy ,
Goss (Turin), 150 —• Brigadier Bounous
Frédéric (Alagna), 10 — M.me Henri
Tron (Pignerol), 5 — Louis Ferrerò (Turin), 25 — Roberto Falchi (Id.), 50 —
N.« N. (Zona di guerra),' 25 — Louise Gar-,|
diol et ses enfants, en souvenir de M.me ^
CatherineiAlbarin (Bobi), 250.
* h >i i Jean Bonnet, pasteur,
" ' ^ ikStlTuflONS
HOSPiTAtlÊRES VAUDOISES.
„ï, 50.me Liste de Souscrivons.
Famiglia Gander, in ricordo
del defunto sig. Giacomo
Gandter, Pinerolo (Rifugio) L
Scuola Domenicale di Via
Manzoni, Firenze (Id.) »
Sigg. Edoardo e Rosa Vidos^
sich (|d.) ^ »
% I méde^mi (Ospedali) ' »
I I med^imi (Orfanotrofio) »
Concistoro Bobbio Pellice
(Rifugio) »
Sig.ra Elisabetta Rivoire
(Ospedali) ^ »
Società’Corale (Id.) »
Sig.na Elisa betta. Rivoire (Orfanotrofio) »
» Sig.ra Clotilde Besson (Id.) »
Sig, Bpurdé,? Martel (Id.), »
' Sig.ra M. Bertin, Vernet (Id.)»
i Sig.na M. Chauvie, Jouve (Id.)»
Sig.na M. Odin, Ruffa (Id.) »
Sig. G. D, Rivoirè, Zuart (Id.)»
Sig. L. Rivoire, Picassuit (Id,)»
Sig. Eugenio ReVél. past. (Id.)»
I Società Corale (Id.)^ ”
. Borsa dei poveri Valdei4,(Id.)»
* Sig.na Elisabetta Rivoire (Ri- fugio) . . »
Listes précédentes » 6.462,^
, Total L. 7.462,—
SOTTOSCRIZIONE
in onore dei nostri caduti
é per i‘'nostri orfani di guerra
29® Lista.
Somme ■precedenti L. 155.075,67
500,—
5.—
5.-8,2.000,—
5.—
50,—
100,—
Enrico Malan-Monett
N. N., Bobbio Pellice »
, Antonio Beux, Sàn Gfevanni »
' Adele Jourdan, Torre P. 1(128) »
Ditta Jenny, Perosa Àrgent. »
Italia Senesi, Pisa »
Alba e G. Bertìnatti, pastore: »
Prof. E. Grill, Firenze (129) »
N. N., Napoli, per mezzo di
G. D. Buffa »
Emilio Rivoir, Nizaa »
A, C. D. G., Venezia , »f ,
Enrico e Serafina Gay, Pra
Ligure (130) »
Mario Molino, Aosta »
ZtccariagGheney, Id. »
Alice e A.Rostan,Pinasca(i3i)»
Edmondo, Rostan,, Id. (131), »
Sebastiano Caruso, Pachino »
Argia Ferreri, Vicobellignano,
2® offerta (38) »
Costant. Peranzoni, Valona(3)»
Alberto e Augusta Fuhrmann,
cappellano »
Totale L, .160.625,67 4
"me et avec discipline pouf restaurer l’éco1,—‘ nomie nationale.f (pliant à la question de
1, -r '"»là paix et’ la soiùfioh des problèmes adria
2, — tiques le gouvernement n’a donné que
1>— des indications très vagues. M. Tittoni,
4, — revenu de Paris, n’a pas parlé plus clai10,—rèment. Les^difficultés restent les mêmes
et toute l’habileté du chef de notre Dé2,— » légation n’a. encore pu les résoudre: il a
5, pourtant annoncé une solution procha?
20,— chaine. Le gouVeniement promet aussi
la’réforme électorale, une rapide démobilisation, ie prompt rétablissement des
pays envahis et des mesures en faveur
des combattants et de tous ceux qui ont
souffert par la guerre,
i* Lé ministre du trésor, M. Schanzer,
fait l’exposé de notre situation financière.
Nous avons une dette publique de plus
de 77 milliards. Les frais^de guerre mont
tent à 90 milliards. L’augmentation
énorme des charges^ dé l’Etat fait prévoir de gros déficits pour l’avenir si des
mesures énergiques ne seront pas appliquées dans lé plus bref délai. Il faut travaillér et produire davantage, éviter les
dépenses de luxe, établir un impôt extraordinaire et progressif sur le capital.
* Le ministère Nitti a obtenu le vote de
confiance de la Chambre par 257 voix
contre 111,
=5 —Les vifs incidents qui s’étaient produits dans beaucoup de villes d’Italie à
cause de la vie chère ont cessé presque
jïartput. Il n’y a plus eu 4e pillages de
magasins, ni de grèves. Il est vrai que
les négociants ont réduit jusqu’à 50 pour
cent lè prix de leurs marchandises. Les
décrets fixant les prix maxima (calmieri)
l’institution des commissions municipales dans le but d’établir ces prix, ont
donné satisfaction à la population qui
est redevenue calme.
— L’idée d’une grève générale internationale pour le 21 courant continue à
être agitée dans les milieux ouvriers. Elle
serait provoquée plutôt par des raisons
politiques que par des raisons économiques. Üii’ certain nombre d’organisation
ouvrières n’adhère pas à ce mouvement,
— La fête nationale française a été
une apothéose de la Victoire. Des trottpès
de toutes les nations alliées ont défilé
triomphalement sous l'arc de l’Etoile aU
milieu des acclamations de millions de
personnes. Nos alpins ont été très ap*
plaudis et ont reçU les compliments du
maréchal Foch et des généraux alliés.
Le calme règne maintenant à Fin
2.500,—
50,—
-Í 50,—
100,—
S.—
'3,-^r
20,—
25.—
10,—f
10,—
*N
4’“':
ÎOO,—
50,—
20.
5.
5.
5.
(3) In memotia del englno Guido Quattrini.
(38) Nel primo anniversario della morte di sua Agili*
Èva, Invece di AoH. " '
(laS) In memoria di Giulio Urneato Peyrot.
(lag) « Nel primo anniversario della morte dell'adorata
fratello, sergente maggiore mitragliere. Beniamino France*. UIC. LeS funérailles deS SOldatS français
iCô, caduto sul MonteUo il 18 Gtógrfo igrS,. .
(130) .Riconoscenti per la costante protesione divina sul Pendant leS douloureux inCldentS
loro Agli combattenu ». ; » qu’ils avaient provoqués par leur atti
ca.) in memoria dei cari nipoU Carlo ed Enrico . tude insultante Contre les sentiments
|italiens de la population, pnt eu lieu
êsans incidents. Le Comité interallié de
séjour à la mer. Paris a nommé une Commission de qua
Les dames, demoiselles et petits ¿ni * ' pour chacune des na
fants'’^qui voudraient jouir d’un mois de, alliées, pour faire une enquête ri*
séjour à la mer d partir du l.r août, pour sur les causes et les responsa
une cure de bains et de soleil, dans la " =' »
NOUVELLES ET lAITS DIVERS:
VALAIS. Le protestantisme en Valais,
A l’occasion de la prochaine collecte nationale dë la Fête de la Réformation,
collecte dont le produit sera destiné,
cette année, à la paroisse réformée du
Haut-Valais, le Semeur vaudois retrace
sommairement l’histoire du protestantisme valaisan.
De 1838 à 1842, un vénérable vieillard
venu de Gessenay, M. Zumstein, qui
s’était fixé à Si on, à la Croix-Blanche,
instruisit les enfants des Bernois et des
Vaudois. Puis vint l’instituteur Jacobs
En 1858 parut un pasteur, M. Emmanuel
Schiess, un Saint-Gallois, qui avait étudié à Genève et possédait les deux langues; pendant son^ ministère, le chiffre
de ses paroissiens passa de 260 à 700g
Suivit en 1866 M. de Quervain. Puis M.
Alfred Lasserre, de Genève, qui développa le pensionnat de Sion, créé en
1869, inaugura le temple en 1876 et mourut déjà en 1877, regretté de toute la
ville. Après lui, d’autres pasteurs, pendant le ministère desquels la communauté se partagea en deux paroisses, celle
du Haut et celle du Bas. Monthey eut
un pasteur en 1902 et une église en 1904
Saxon obtint une école en 1891 et une
église en 1917. Sierre vit s’ériger une
chapelle en 1905 et une école en 1918g
Et maintenant c’est-Brigue qui va posséder un temple.
Le but de l’œuvre de la Diaspora est
de conserver chez les protestants l’héritage des pères plutôt que de faire des
*j»rosélytes parmi les catholiques. C’est
l’immigration accélérée des Bernois et
' des Vaudois qui* ne cesse de fournir de
nouveaux paroissiens atiX pasteurs ; c’est
aussi la floraison de familles définitivement installées dans les centres industriels et commerciaux. Dans le Bas-Va»
lais, la liste des paroissiens comprend des
; Matile, des Piguet, des Guidoux, des Jac'card, des Boldffley, des Bonjour, des
Jaton, des Girardet, des Reymond, des
Cousin. Mais ces fils du pays de Viret
sont moins nombreux que les Schüpbach,
les Stuckÿ, les Stauffer, les Ziegler et
autres colons venus des cantons aléma*
niques;^
' Abi payés et iioa adittancés.
Loüis Jourdan, 'Coloniâ Valdense, solde
31 déc. 1920 — Perd. Ribet, Envers Pinache, solde 2.e sem. 1919 — Marie Bon*
chard, Pramol, solde 2.* sem. 1919.
C.-A. Tron, Directeur-Responsable,
dtttl al fronte.
25,
10,
20,
10,—
1.-.
4. -I
L
5,
1 50
5.
5,^:
20,
20,
10.
maison admirablement située sur la plage
que la paroisse de Turin possède à Borgio
Verezzi, et qui seraient disposées à dor~
mir dans les dortoirs en commun, sont
priées d’adresser leurs demandes à
M.r Valeriano Perazzi - 62, Via Mazj zini - Turin, qui se fera un devoir d’in’ diquer les* conditions d’acceptation et
de pension.
IVoayelles politiqaes.
Le nouveau ministère s’est présenté
)pux Chambres et a déjà remporté sa première victoire. M. Nitti a exposé le programme du gouvernement promettant
de maintenir l’ordre à tout prix et invitant tout le monde à travailler avec (3il- *
bilités du conflit. Le conseil national de
Fiume, avant ces incidents avait adressé
au commandant du corps d’occupation
une protestation réclamant l’éloigne*
ment des Français.
— L’Assemblée de Weimar a ratifié
le traité de paix signé à Versailles par les
plénipotentiaires allemands. Il faut maintenant que ce traité soit ratifié au moins
par trois des grandes puissances alliées,
pour qu’il devienne exécutif. Le blocus
contre l’Allemagne a été suspendu, les
relations politiques et commerciales seront reprises avec les ennemis de hier
qui, de leur côté, vont travailler avec
énergie et persévérance à réparer les ruines de la guerre et de la défaite.
Un coup .d’Etat a eu lieu au Pérou.
Des régiments se sont emparés du président en charge et l’ont remplacé par
un chef proviscfire. E. L.
‘ Torte Penice - Imprimetie Alpine.
famiglia americana cerca CUOCA,
per lavorare 6 mesi in Italia e poi
Seguire per l’America. Occorre che
sia abile, pulita e che parli francese.
Indirizzare le domande; Villa Fraschia
- Luserna S. Giovanni.
BANCO DI ROMA.
La Direzione del BANCO DI ROMA
(Agenzia di Pinerolo) avvisa la Spettabile Clientale che in attesa dell’apertura
delle due nuove Filiali di Luserna San
Giovanni e Torre Pellice, ritardata causa
della sistemazione dei locali, potrà rivolgersi fin da ora al suo funzionario sig,
Federico Margaría (Villa propria in
Torre Pellice), il quale è autorizzato di
assumere qualunque operazione di banca,
di cambio e di compra-vendita Titoli per
conto del Banco stesso.
Pinerolo, 10 Giugno 1919.
Il Direttore
GiysBPPB Piacentini^
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Une insertion . * . - U. 0,30 la.ligne
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sul bulbo dei capelli e della barba
fornendone 11 nutrimento necessario
T e cioè ridonando loro il colore
primitivo, favorendone lo sviluppo
g rendendoli flessibili, morbidi ed
arrestandone la caduta. Inoltre pulisce prontamente la cotenna e fa rparire la'forfora. —^ '
UNA SOLA BOTTI6LIA BASTA PER COi»EQUIRB UN EFFETTO SORPRENDENTE.
ATTP*:»TrA*rO : S/jnor/ MIGONE <St C. - Milano.
Finalmente tio potuto trovare una preparazione ohe mi ridonaase ai capelli ed alla bai'w il colore primitivo, la
freachezza e la bellezza della gioventù senza avere il minimo disturfio nell’appHcazione.
Una soia bottiglia della vostra Anticanizie mi baatò, ed ora non ho alcun pelo bianco. Sono pienamente convinto
che questa vostra specialità non à una tintura, ma un’acqua che non macchia nè la bianclieria, nè la nelle ed agisce
.sulla cute e sui bulbi del peli facendo scomparire totalmente le pellicole e rinforzando le radici del capelli, tanto
che ora eisi non cadono più, mentre corsi il pericolo di diventare calvo. PEIRANI EMRIÒO.
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