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Soìxante-onzième année
17 Mai I935.xm
N® 20
loteoa VaMése
TOSILE PELUGE
PARAISSANT CHA<^ VENDREDI
___^_____Kl -- tPxrr.--------------
PRIX D'ABONNEMENT:
Italie et Colonies italiennes .
Etranger . ....................
Plusieurs abonnements à la même adresse
Par ant
L. 10,» 24,—
» 22,
Poar 6 moia
12,
On s'abonne: à TorrePellice, au Bureau d’Administrationde r£cAo.(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
L'ABONNBMENT SB PAVli D'AVANCE.
S’adresser: pour la RédacUon, à M. le Prof.-Loüis Micol - TorrePeltiee — pour
l’Administration, au Bureau du Journal, Via Wigram, N® 2 - Torre Pellice.
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Tous les changements d’adresses coûtent fo centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
O Ia niimèro: 90 eentimes <y
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimableSü.j dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
Confirme d< District.
La XXIX^ Conférence du District des
Vallées s’ouvrira, D. v., dans le temple de
Saint-Oerrmin, le 20 juin, à 9 hmres du
matin, par un culte présidé par M. R.
Jahier, pastem au VUlar.
Les travaux de la Conférence seront
ceux dont parle l’art. 54 des Règlements.
MM. les Présidents des Consistoires sont
priés d’adresser — pas plus tard que le '
13 juin — les Rapports annuds au‘Président et leurs « résumés » au Secrétaire de
la Commission.
Pignerol, le 9 mai 1935.
La Commission de District:
L. Marauda, président
Prof. G. CosTABEL, vice-président
Albert RicaA, secrétaire.
Mort ou transition?
(1)
« Le Seigneur est réellement ressuscité ». Luc XXIV, 34.
(Fragment .de prédication : Pâques 1935).
...Le Seigneur est ressuscité, il est réellement ressuæité ! N’hésitons pas à le dire
et à le redire après les disciples, et avec
qu’eux.
Car cet événement, un des plus glorieux
de l’Evangile, a, pour nous, une portée immense., N’iestd! pas le gage de notre propre immortalité ? Le fait est que nous ne
mourons pas, au sens absolu du mot. Au
moment où se produit, pour nous, cette
crise que nous appelons la mort, loin de
sombrer dans le néant, selon l’expression
courante (expraæion bien mal choisie puisque tout iest plénitude de vie dans l’univers), loin de disparaître dans le grand
tout, nous nous affermissons !
PAS DE SOMMEIL DES ÂMES.
Et cela tout de suite. 11 n’y a pas d’intervalle entre notre existence terrestre et
celle qui la suit. La doctrine d’après laquelle, à l’acte de la « mort », les âmes
s’endorment pour ne plus se réveüler jusqu’au jugement universel, est absolument
à rejeter, La psychologie, ainsi qu'une observation attentive des| faits, la condamnent. L’âme, c’est-à^ire l’esprit, l’esprit
humain ne saurait — pas plus que l’Bsr
prit infini, dont il est une émanation •—
s’endormir, ni s’assoupir. 11 est constamment actif ; peut-être plus actif pendant
le sommeil et le repos du corps que lorsque ce dernier travaiüe et s’agite. Ce n’est
pas pour rien que l’on dit : La nuit porte
conseil C’e^ de nuit, durant le sommeil,
que les hommes de Dieu les plus connus
ont reçu leurs meilleures inspirations.
C’est pendant que leur corps se reposait
que des visions; parfois sublimes, parfois
tragiques, toujours instructives, leur ont
été accordées.
Parlons donc de transition au sujet de
la mort, mais non de sommeil s’emparant
de l’esprit, non de cessation, même temporaire, d’activité.
(1) Nous publions cette étude de notre zélé
coUaberateur de New-York, M. le pasteur Pietro Griglio, quoique une méditation sur le
même sujet ait paru pour Pâques-: le lecteur
qui voudra les comparer l’une avec l’autre
conviendra, du reste, qu’il ne s’agit pas d’un
duplicata. Rëd.
PAS D'ESPRITS SANS CORPS.
Ce qui n’est pas moins important à savoir, c’est que nous ne serons pas de purs
esprits, au lendemain de la mort. Notre
corps actuel nous aura quittés, c’est
vrai, ou, plutôt, c’est nous qui l’aurons
quitté, mais non pas pour continuer notre
course « dépouillés » et « nus », si voœ voulez bien me passer l’expression. EUe est
de SainLPaul, du reste. . j
Il n’y a pas d’esprit sans corps. Et cela
se comprend. Le corps n’est pas seulement,
pour l’esprit, un moyen d’activité et de
communilcation. Il est aussi ce qui le distingue des autres esprits ; il est aussi ce
qui fait de lui une individualité. Le golfe
serait-il encore le golfe sans les contours
rocheux ou riches en végétation, qui l’encadrent et, par là même, en déterminent
les dimensions et la forme ? Non, n’esLce
pas ? II se confondrait avec l’océan.
Ainsi en est^il de l’esprit qui est en
nous, et qui est nous^-mêmes. Dans l’audelà, pas moins qu’ici, il sera pourvu d’un
corps, d’un corps nouveau en formation,
ou déjà formé dans l’ancien, et qui en
aura pris la pl^ à l’instant même où
nous aurons fermé les yeux à la lumière
du jour.
SaintTPaul’ nous aide à comprendre ce
phénxDmène par la comparaison de la graine
ét dé^' plante qui doit en sortir. D'après
lui, le nouveau cotps dont nous parlions
ne sera pas le rassemblement de tous les
éléments de l’ancien corps, pas plus que
la plante n’œt le rassemblement de toutes
las molécules de la graine. IMais^ d’autre
part, il ne se produira pas non plus comme
quelque chose venant du dehors et n’ayant
eu aucune relation avec le corps précédent.
Bien au contraire, intimement lié à celui-ci (quoique invisible aux yeux de la
chair, même sans le plus puissant microscope) c’est grâce à la rupture du corps
extérieur, matériel qu’il poutra venir à la
surface pour servir d'organe à notre esprit dans d’ajutres sphères.
Qu’test-ce à dire ? Sinon que, dans cies
autres sphères, le corps servant d’enveloppe à notre esprit sera nouveau quant
à Sa manifestation, mais non quant à son
essence. En lubmême il pourra être tout
aussi âigé que son confrère qui vient de
s’affaisser pour n'être plus, bientôt, qu’une
poignée de poussière.
LE CORPS SPIRITUEL.
Nous pouvons ajouter avec Saint-Paulsans crainte de nous tromper, qu’il sera
« spirituel » ; c’est-à-dire formé d’une substance très fine, fluidique, éthérée, comme
celui du Sauveur, après la résurrection,
qui lui permettait de se transporter d’un
endroit à l’autre avec la plus grande rapidité, et d’apparaître tout à coup au milieu de ses disciples, dans une chambre
fermée à clef et barricadée par crainte
des aultorités juives.
Cela non plus, le fait d’un corps spiri.-'
tuel n’est difficile à comprendre.
Voyez plutôt : Est-ce que, en examinant
notre être physique, nous ne rencontrons
pas, d'abord, un corps particulièrement
matériel celui qui est formé par la partie osseuse de notre organisme ? Puis viennent les muscles, constituant im corps
déjà plus souple, plus flexible et plus vivant aussi. Puis le système nerveux, extrêmement déheat et sensible. Puis les globules sanguins, siège d’une vie encore
plus intense, et circiüant par toute la
personne.
^^t-ce là tout ? Non, intenogez un phyi^ien et il vous dira qu’à la base des éléments que je viens d’énutnérer (ainsi qu’à
la base de runivens matérüc-l tout entier),
,0 y a, il faut Fadmettre, une subStanqe
il immatérielle et qui échappe à l’observation; une substance qui est la source et
le soutien de toutes lés autres.
Appelez cette substance « éther », « énergie « électricité », enfin du nom que
voiis voudrez, mais convenez qu’elle ne
leurrait mieux justifier la théorie du
corps spirituel' qui occupe en ce moment
notre attention.
r
NOUS RECONNAITRONS-NOUS
DANS L'AU-DELÀ ?
Nous pouvons aller plus loin et dire r Si
notre cori)s d’à présent nous identifie aul. près de nos parents et de nos amis, même,
sans que nous leur parlions, s’il nous fait
ieaonnaitre en tout lieu, en toute circonstance, il ne devra guère en être autre*ment de notre corps futur. Il pr^ntera
- certaiinement quelquesr-uns de nos traits
f'distinotdfs d’aujourd’hui, quelque chango!ment ces traits puissent avoir subi. Le
tegard, par exemple, qui exprime si éloquemment — même parfois contre notre
|désir — ce qui se pa^e dans notre
iârae, il ne pourra pas s’être entièrement
effacé. Le ciel ne perdrait-il pas'un* de
ses plus puissants attraits si nous} ne devions y reconnaître nos bien-aimés qui
nous y auront précédés ? Nous disons que
l’amour, Famour véritable, désintéresséi,
fidèle est étemel Et nous avons raison.
Mais, le serait-il si les personnes que nous
avons aimées et qui nous ont aimés d’un
amour pareil en cette vie, n’éfcaiènt pas
susceptibles d’être, par nous, reconnues
dans la vie à venir ?
Au resta ici non plus, nous ne sommes
pas livrés à de simples conjectures. Nous
avoiœ Fexemple du Sauveur. Il œt là
pour nous instruire sur ce point comme
en toutes choses ; et non seulement pour
nous instruire, mais pour nous réconforter et nous réjouir. Est-ce que Jésus n’a
pas été reconniu des siens, après sa résurrection ? Est-ce que, par moments, et
à un certain'point de vue, il n’a pas repris avec eux les relations d’auparavant ?...
QUE SERA POUR NOUS
LA VIE A VENIR ?
Que de choœs ne voudrais-je pas vous
dire encore, m’inspirant de l’affirmation de
notre texte : « Le Seigneur est réellement
ressuscité ! ». iMais il faut que je termine.
Je ne le ferai pas, .toutefois, sans que
nous nous soyons posé une question dont
l’importance ne peut échapper à personne :
Que sera pour nous, pour chacun de nous,
la vie à venir? Le fait d’avoir changé
d’entourage, de nous trouver dans de nouvelles conditions d’existence et, en particulier, d’être maintenant revêtus d’un
corps immatériel ce faîLlà, tout extérieur,
ne nous aura pas rendus nécessairement
meilleurs ni plus heiueux.
Que sera, pour nous, la résurrection ?
La réponse noua l’avons dans cette parole de l’apôtre, jamais trop rappelée : « Ce
que l’homme aura sané, il le moissonnera
aussi ».
L’avertissement, vous en conviendrez,
est solennel II nous crie, une fois de plus,
que ce qui importe, avant tout, c'est de
nous donner à Christ, « le chemin, la vérité, la vis » : de rechercher, jour après
jour, sa divine communion ; de lui être fidèles dans les petits comme dans les
grands détails de l’existence ; et, sans sortir de notre vocation particulière, de travailler avec ardeur à Favancement de sa
sainte catise parmi les hommes.
Oh ! miœ amis ! ressuscités avec Christ,
affranchis de notre vaine manière de vivre, cherchons les chosœ qtü sont en
haut, affectionnons-nous à ces choses, et
quand Christ, notre vie, paraîtra, alors
nous paraîtrons aussi avec lui dans la
gloire (cfr. Col III, 1-4).
Pierre Giaeuo.
L'Eglise, l'Etat et la Société
Une Contonce Universelle des Eglises.'
En présence de la situation troublée, qui
est actuellement celle du monde, le Conseil
Œcuménique du Christianisme Pratique a
invité les Eglises à se réunir en 1937 en
Conférence mondiale ; en approfondissant
le sujet général : l’Etat, l’Eglise et la Société, il cherche à indiquer la voie de sdutions véritables aux problèmes et aux conflits actuels.
Les exigences toujours plus totalitai-res des états modernes, qiû ste manifestent ouvertement dans certains pays, mais
qui existent dans d’autres à un degré plus
ou moins grand, rendent nécessaire une
étude nouvelle de la conception chrétienne de l’Etat. L’ïfelise du Christ, c’est
évident, est engagée dans une lutte à
mort. Cette lutte n’est pas engagée avec
FEtat lui-même, mais plutôt avec un paganisme moderne, et particulièrement avec
la tentative d’imposer à la collectivité entière, au nom de l’autorité suprême de
FEtat, une philosophie de la vie totalement, ou dans une large mesure, en opposition complète avec la conception chré^
tienne de la vie humaine et de son but.
Cette lutte doit être menée non pas contre FEtat, mais plutôt pour le salut même
de l’Etat, afin que cedud'-ci subsiste comme
gardien de la véritable vie collective,
La question des fonctions de l'Etat et
de son autorité, soulève une sérié de proiblèmes vitaux relatifs à la conception de
la liberté pour l’individu et pour la nation; le sort de millions d’êtres humains
peut dépendre des solutions adoptées,
C’^ pourquoi les préparatifs du Conseil
Œcuménique tournent actuellement autour de la Conférence Œcxunénique d’études sur « Les exigences totalitaires de
l’Etat moderne et la conception chrétienne de la liberté » (Hemmen, Pays-Bas,
4-8 mai 1935). Les sujets à traiter à la
Conférence de 1937 y seront élaborés plus
à fond.
Outre les raisons données ci-dessns, il y
a, dans les divers pays, des malentendus
profondément enracinés, relativement au
caractère distinctif d’un peuple particulier. Supprimer ces malentendus, ouvrirait
: immédia,tement de nouvelles possibilités de
compréhension et de collaboration entre
les peuples, au moment des grandes transformations qui s’effectuent. Une discussion approfondie des relations entre l’Etat
et la Société, p'érmettra de définir nette-'
ment les responsabilités de l’Eglise pour
la vie de la nation à laquelle sa propre vie
est inséparablement liée, et aussi par conséquent ses responsabilités pour les relations entre les nations. Dans la grande
2
If
L’ücho des Vallées - Vendredi 17 Mai 1935-XIII
crise sociale et économique que nous trar
versons, ü ^ à peine besoin de dire que
cette responsabilité de l'Eg'lise vis-à-vis de
la nation, lui fait un devoir de coÜaborer
pleinemient à la reconstruction idéologique
de l’ordre social, qui soulève d’un autre
point de vue les questions du sens et du
but de la vie humaine. ,
Une question capitale émerge au mihèu
des autres: ceBe des rdations entre
l’Eglise, l’Etat et l’Education, qtii pose le
problème de tout le conflit entre le chriBtianisme; et la vague de laïcisme isans précédent qui déferle. La question cruciale
dans cette grande lutte spirituelle est de
savoir si toute la vie nationale sera déterminée par des points de vue chrétiens ou
païens, qui jouent un rôle décisif dans le
développement de l’homme et spéciales
ment de la jeunesse Ekans la formation
de la jeunesse l’exigence totalitaire de
l’Etat modenie se manifeste conscièmmient. ou inconacii^nment, secrètement ou
ouvertement. **■ • '
Les tâches immenses qui se posent aux
Eglises, dans'cette dfeeussion œcuiném'que
mondiate, ne peuvent être indiquées ici
qu’à grands traits. Une analyse vivante
de ces problièmi^ se trouve dans la bro-'
churejpubliée par le président de la Commission des recherches du Conseil Œcxuné^
nique, M. J. H. Oldham, intitulée « Churdk,
State avd Commwùty » (l’Eglise, l’Etat et
la Société), En un commun effort, des penseurs chrétiens de njarque, théolc^iens ou
laïques travaillent dans le monde entier
pour résoudre ces problèmes brûlants.'
L’enjeu en est de sàvjoir si, dans la crise
mondiale actuelle, TEglise chrétienne a
unej^éritable .réponse à donner à ces questions vitales, xme réponse qu’on ' puisse
nettement distinguer de toute te doctrL
nés-politiques qui exigent la foi passionnée et le-dévouement absolu des hommes,
liipis une réponse qui indique la voie d’une
solution duraMe.
, H. Schôiîfeld;
directmr de la Section *de Re-,, cherches du Comeü Œcuméniqwe
w>>- du Christianisme Praticpie. . ,
(S: Œ. P. I.),-'
nnnnnnnnnggnannnnn
‘ Le Programme,
du Pèlerroage Vaudois.
Le deuxième Pèlerinage Vaudois visitera les centres du Protestantisme français de la France Méridionale, c’est-ànlire
les lieux qui virent au XIII^. siècle la per^
sécution des Albigeois, d’où te premiers
Vaudois émigrèrmt aux Vallées; et qui,
depuis le XVI® siècle, furent le centre le
plus irnpprtant des luttes, des résistances,
de la fidélité héroïque des Huguenots. C’est
une région très intéreæante, riche en mo
numents et en beautés naturelte ; mais
pour nous, Vaudois, c’est •suntout.Ie pays
de la résistance victorieuse de la foi protestante ; et dans ces petite villes, dans
ces bourgs et villages, dans ces montar
gnes, nous trouverons l’expression même
de l’ârne de notre histoire et de notre vie.
Nous publions un résumé du programme.
24 juillet : Voyage en train jusqu’à Nice.
Brève visite de la ville. Dans l’après-midi,
parcours en automobile de la magnifique
Côte d'Azur, de Nice à ¡Marseille, —.
25 juillet ; Voyage en automobile de Marseille à Avignon. Visite d’Aix, la vieillie
capitale de la Provence, et de IMérindol,
le centre de la région habitée par te émigrés Vaudois des Vallées au XVI« siècle
(le nom de IMérindol' vient de Miradob ;
et sur la, colline, près du village actuel,
existent encore les ruines du vieux viL
lagie vaudois détruit dans la persécution
de 1545). Le .soir, arrivée à Nîmes. —
26 juMet : Le tnartiln, visite des monuments
de Nîmes; Eapr^midi, excursion en automobile à Aigues-Mortes (visite de la
Tour de Constance) et au Grau du Roi
(bain de nier); le soir, grande réunion de
bienvenue au Petit Temple de Nîmes. —
■27. juMlet; Excursion en automobile aux
vallées des Cévennes ét à la pointe du
Mont Aigoual (m. 1567), avec panorama
magnifique. — Dimanbhe È8 juillet ; Excuregon en automobile au cœur du pays
des Camisards, avec visite aux vieilles villes huguenote d’Andine, Alès, Uzès, au
grandiose Pont du Gard ; visite au Musée
du Désert et solennelle Assemblée du Dé>^
sert, sous les châtaigniers, avec la popu-=
lation protestante. Le soir, grande soirée
d’adieux. — 29 jmUet ; Visäe à Marseille,
avec la collaboration de l’Union Vaudoise
de cette vüle. ■— 30 juillet ; Retour,
Le prix du Pèlerina;^ (y compris le
voyage en train, les automobiies, te re. pas, les. bgémàits, te pourboires, etc.),
est de L. 310, outre L. 10 d’inscription et
L. 10 pour le passe-port -coHéctif. A l’acte
de fhiseription il faut payer; outre la cotisation dè L. 10, un acompte de L. 100.
à M. Attiüo Jalla (Torre Pellioe), auquel
il faut demander le programme complet
et tous renseignements nécessaires. Les
inscriptions étant limitées, les dernières
en date devront être éventueUement
exclues.
UMUO NM MBTO.
Col 16 del prossimo Giugno avranno
principio gli ^ami di ammissione e di
idoneità aUe varie classi deh’Istituto.
Le domande ’dei candidati devono presentarsi alla Presidenza entro il 31 Maggio, correntei in carta bollata da L. 4, debitamente controfiirmata dal genitore o da
chi per esso.
Le domande dei candidati all’aramissione
alla I® classe ginnasiale devono essere corredate dai documenti seguènti :
1° Ceritificatò di nascita in carta legale ;
2® Certificato di rivaccinazione o di sofferto vaiolo, in carta libera ;
3» Attetato di identità» se il candidato
non sia personalmente conosciuto dal
Preside;
4® Ricevuta del pagamento della tassa
d’esame in L. 80,10, rilasciata dal Preside,
r cui la tassa deve pagarsi.
Il diario degli esami verrà pubblicato
neU’atrio dell’Istituto non appena sarà'^pubblicato per la Provincia dal R. Provveditore,
Per informazioni scolastiche rivolgersi al
grès réels déjà accœnplis, nous permet. tent de bien espérer pour l’avenir.
Les Sociéte Chorales : dé SainWean, dirigée par iM. G. Albarin ; de Barà, dirigée
par M., le-pasteur H. Geymet; d’Angnogne, érigée par M.me Armand-Bosc-iBertalot ; de La Tour, dirigée par M.rae Balmè
ont exécuté un chœur de leur choix, selon toute les règles de l’art. La différence
des moyens.., vocaux n’a fait que mieux
.ressortir l’indiscutable sens de l’art dont
sont animés les dirigeants de nos Sociétés
•Chorales, et l’enthousiasme des chanteurs.
H:
^ R
I
i'
Pfesidè.
COMUNE DI TORRE PELLICE.
STATO CIÎÏLE dal 6 al 12 Maggio 1935-XllI.
Nascite N® 2 — Decessi N® 2
CHRONIQUE VAUDOISE
de chant.
Une belle journée et\ne bonne aprèsmidi de -communion fraternelle, dimanche
dernier, dans le temple et dans k Salle
Alharin de Saint-Jiean. M. le vicefUiodêrateur L. Marauda préside la «Fêlte», lit
quelques paæages du Psaume XXVII, pro- ‘
nonce une prière et adresse aux présents
les remercîmefits de l’Eglise entière qui
apprécie à sa juste valeur tous les efforts
qui s’accomplissent dans nosi paroisses, par
le nioyen de nos Sociétés Chorale^ pour
une améhoràtion du chant d’église.
Le chant est un moyen puissant de collaboration en vue du perfectionnemenit du
culte public, un témoignage éloquent dè
notre foi chrétienne, une expres^on sincère de* nos sentiments les plus intimes ;
M. le pasteur prof. H. Tron nous lè rappelle, au nom de la Commission du chant
sacré.
IM. le pasteur L. Rivoire souhaite la bienvenue . aux chanteurs et s’inspire des
«Psaumes du pèlerinage» pour leur rappeler l’Espérance étemelle.
Le programme s’est déroulé r^ulière^
ment, sous la direction éner^que et précise de M. le chev. E. Long. Les différents
cantiques ont été exécutés assez btei, en
général. Nous n’oserions pas affirmer catégoriquement qu’Us aient été l'objet d’une
étude minutieuse ; mais ils sont arrivé
à bon port, ce qui est Fimportant ! Evidemment nos chaSîtieurs n’appréctet pas
encore assez la réelle beauté artistique de
plusieurs de nos cantiques et leur éloquence protestante, êiinsi que le faisait
justement ressortir iM. le chev. E. Long,
dans ses observations finales. Mais les pro
Dans la SaUe Albarin, toute cette jeunesse s’est reposée de ses fatigues, selon
les habitudes traditionnelles de l’hospitalité vaudoise, offerte, d’une façon sympathique, par les Sengianins, qui ont sn satisfaire les exigences des yeux et, pourquoi pas ?..., de la bouche ! !
N’oublions pas les regrets nostalgiques
de la montagne, chantés par Saint-Jean,
à laquellè s’unissent les échos des forêts
d’Angrogne ■; les salutations que le Pasteur de Saint-Jean envoie à nos jeùn^
frères sous, les armes ; et la présence sympathique d’un beau groupe de nos Alpins.
0. l.
sî * *
ÉCOLES DU DIMANCHE.
On chante malgré la pluie, quoiqu’on
soit peut-être un peu moins gai ! Il a plu
le dimanche 5 mai, lors de la fête de chant
des Chorales, à Pignerol, ét la pluie n’a
pas manqué non plus le jeudi 9 mai, jour
du rendez-vous des élèves du Val Pélis.
Le temple de La Tour était presque
bondé, malgré le mauvais temps ; probablement aurait-il été insuffisant si un
beau soleil avait brillé dès le matin. Le
public n’était pas nombreux, mais il a
' suivi avec attention et avec sympatliie te
petits chanteurs,
La fête commence à 10 heures, sous la
présidence de M. Jules Tron, pasteur de
La Tour, qui lit quelques passages appropriés de l’Ecriture Sainte, élève à. Dieu
une f ervente prière èt donne la bienvenue
à tout Ce monde qui n’a pas craint le mauvais t^ps et est accouru de près et de
loin.
Le programme se déroule pendant deux
heurœ environ avec une vingtaine de numénos, s’il vous plaît, entre chants et
discours !:
On entèrid la masse des chanteurs ensemble ou chaque école séparément : les
différente écoles de La Tour, celles du
Villlar, de Bobi, de Saint-Jean... des cantiques du recueil français.ou italien...
Les entriactes, si nous pouvons nous exprimer ainsi, ont été remplis par des discours de circonstance.
iM. lé prof. Jean JaUa, toujours historien, rappeUe que c’est -la 26® année que
l’on célèbre cette fête (on regrette qu’il
n’y ait pas plus longtemps !) et explique
que chez tous les peupte, dans toute les
religions, les premières manifestations de
reconnaissance envers la-divinité, ont pris
la forme du chant, «on a, prié en chantant ». Questionnant les élèves, il passe en
revue les principaux chants bibliques, insistant, d’une façon spéciale, sur les Psaumes, que nos pères chantaient et dans lesquels ils trouvaienit la force, dont ils
avaient besoin.
Il exprime le regret que les Psaumes
ne soient plus chantés, comme par le passé,
et il invite les enfants à chanter en tenant compte des paroles et de la pensée.
M. L. Rivoire, pasteur de. Saint-Jean,
s’inspirant de la parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits enfants... »,
adresse, à son tour, d’utiles exhortations.
Le pasteur du ViUar, M. R Jahier, appelle l’attention des enfants en leur parlant, avec beaucoup de verve, de quelques
merveilleuses inventions; dont il se sert
pour rendrp plus clair et compréhensible
json message, qui se conclut par l’appel à
tous, à se laisser guider par le grand pilote, Jésus-Christ.
M. le chev. Héli Long, institeur au Villar, au nom de la Commission du chant sacré, remercie F%lise de La Tour pour son
aimable accueil ; il se réjouit des progte
réels que Fon peut constater.
IM. Jules Tron, avant de terminer par
b bénédiction, communique que son Consistoire offre à tous les élèves une brioche, qui a certes été bien accueillie et qui
a fait ouvrir la bouche même à ceux qui
la tiennent fermée pour... chanter !
A midi, tout ce monde quitte le temple
et va consommer sœ provisions. L’aprèsmidi, la pluie ayant cessé de tomber, on
a pu s’ébattre dans la cour du CoUêge, et
M. Jean Jalla a bien voulu faire visiter le
Musée Vaudois, en accompagnant les enfants par groupes de, 20-25 à la fois.
Somme toute, bonne et bienfaisante
journée, malgré le temps pluvieux, et dont
il faut être reconnaissant aux organisateurs et surtout aux instituteurs et institutrices qui, avec tant de patience, ont
préparé tous ces chants.
« « «
ANGROGNE. L’orage, qui a éclaté dimanche passé sur notre paroisse, a faiUi
faire des victimes humaines. Vers 9 heures du soir, la foudre est tombée à Prassuit, sur la maison de M. Barthélemy Malan, a tué un chien, puis s’est introduite
dans la cuisine, où toute là famille, com« posée de trois adultes et de trois enfants,
était réunie, et avec un terrifiant éclat
8-ést déchargée dans une poutre du pbfond, et en a brisé une partie. Presque au
même instant la foudre tombait aussi au
Vemet, et entrant, par la cheminée, dans
la cuisine de M. Louis Bertin, se déchargeait dans le poêle, sans: toucher personne
de la famille.
« Alors ils ont crié vers l’Eternel dans
leur détresse, et il les a délivrés de leurs
angoisses. Il fait succéder le cahne à la
tempête ». « Mon âme, bénis l’Eternel ! »
(Ps. cvir, 28 : cm, 1),.
R. N.
LA TOUR. Dimanche dernier, 12 cou' rant, jour de la mère, à FAula Magna,
tout à fait bondée, les jeimes membres
, de l’Union Cadette, sous b direction expérimentée de M.lles Anita Mathieu et
Adelina ’rheiler, ont ^touté m très joli
programme devant les mères de la paroisse, qui avaient bien voulu répondre à
leur aimable invitation. Récitations, chants,
musique (piano et violon) entremêlés
d’ime saynète : Les Repasseuses et d’un
touchant dialogue chanté : La Canzone
délia Nonna, ont délecté les auditrices,
émues et reconnaissantes.
Les jeuin^ artistes se sont distinguées
et ont fait honneur à celles qui les avaient
préparées, avec beaucoup (fe patience et
« con intelletto d’amore » !
Les mères, à leur tour, ont exprimé
leur admiration et leur gratitude et formé
les meilleurs vœux pour que cette bienfaisante activité qu’est l’Union Cadette
puisse atteindre un nombre toujours plus
grand de fillettes de notre paroisse, car
eles s’y feront du bien.
Une mère,
★ Un très 'grave accident a porté le
deuil dans b famille de notre paroissa Samedi soir, vers 8 heures, un jeune homme,
Riccardo Jalla, fils de l’ancien du quartier
des Chabriols, descendant vers La Tour
sur une bicyclette conduite par un compagnon, a violemment heurté contre ime automobile qui montait vers Bobi, se blessant
très grièvement. Quoique le conducteur de
l’automobile, qui se tenait régulièrement à
sa droite, ait fait tout le possible pour éviter le choc, se jetant contre le talus et
renversant la machine, le malheur n’a, pas
pu être évité. Le pauvre Jalla, porté de
suite à l’Hôpital Vaudois, est décédé une
heure après, sans avoir repris connais!sance. Son compagnon et les deux voyageurs de l’automobile n’ont heureusement
eu que quelques légères blessures.
Notre paroisse a été profondément
émue par cet accident. Le jeune Riccardo
JaUa était très favorablement connu pour
la bonté du cœur, la douceur du caractère,
l’amour du travail, b cordblité des traits,
l’affectueux sourire qui illuminait son visage ; aussi était-il entouré de l’affection
de tout son quartier, de ses compagnons de
"b Chorale" et de l’Union duêtienne.
■ Une grande foule, formée surtout de
jeunes, a assisté à son ensevelissement,
. r'v \ •
3
L’Echo des VaUées - Vendredi 17 Mai 1935-XIII
3
pendant lequel la Chorale Fa encore sidué
par le chanit d’un hymne d’ei^rance chrétienne, et le pasteur ÎM J, Tron a rappelé^
dans des termes très émouvants, l’apaour
de Dieu, qui se manifœte même dans ces
circonstances tragiques.
Aux parents affligés, aux speurs, au
beau-frère, M. Ernest Ayassot, candidat
en théologie, à tous les parents, nous exprimons notre très vive sympathie..
A. j.
PERRIBR-MANEILLE, Trois enfants
ont été présentés au sacreanent du Eaptême : Pascal Clêmentiime de Edmond et
de Pons Aida (Chabrans), Bar us Luc&ino
de Amédée et de Artus Adèle (Crouzet),
et Peyrot Irma de Jacques et de Poët
Emma (Crouzet).
★ Sept catéchumènes ont été confirmés, le Dimanche des Earaeaux. Que Dieu
les aide à maintenir fidèlement leurs
promesses !
★ L’Union Juvénile: du Perrier a fait
cadeau, à l’église, d’une magnifique coupe
en argent pour la célébration de la SaintesCène.
Dimanche, 5 mai, une cinquantaine de
personnes de tout âge se sont rendues à
Rorà, en autobus, pour une visite à l’élise
locale. Malgré la pluie et les émotions a-ux
tournants de la route de Rorà, la promenade a eu un magnifique succfe, grâce à
l’excellent accueil de l’église locale; accueil qui s’est roanif^té d’üne manière
bien tangible, Tant le culte, du matin que
la réunion de l’après-midi ont donné le ton
spirituel et édifiant à cette promenade q-ue
personne n’oubliera.
Au retour, une courte visite à l’église
de Pignerol, où M. Marauda nous donna
des renseignements historiques sur le magnifique temple.
POMARET. Samedi, 4 mai, nous avons
uni en mariage M. ZaneUo Louis, résidant
à La Pérouse, avec M.He Baret Elise de
Jacques, de l’Envers-Pinache (CombeviHe),
Nous invoquons sur ce nouveau foyer
qui vient de se fonder les bénédictions
divines.
----★-EHmanche demieT ont été pr^ntés
au Saint-iBaptême Ribet Brunan de Jean
et de Averano Andréine, et Jahier Etda
Emestme de Emile et de Cántele Marie.
Que Dieu bénisse toujours ces chers
enfants.
★ Dimanche après-midi, dans la grande
salle de l’Ecole Latine, exceptionnellement
bondée de mamans, les jeunes membres de
î Union Cadette ont déroulé tout un programme de chants, de rondes et de récitations, qui ont vivement égayé les pré^
sents. Des fleurs et de petits travaux brodés par des mains encore quelque peu inexpertes, mais guidées par la joie de faire
une « agréable surprise à maman ont
été ensuite offerts.
Nous sommes très reconnai^ants aux
Demoiselles qui, avec patience et dévouement, ont préparé et instruit les enfants
pour nous offrir une si belle fêta
PRAMOL. Les cultes de la Semaine
Sainte ont été fréquentés par de bonnes
assemblées, telles que nous les désirerions
bien plus souvent, en vue d’une plus
grande fidélité à Dieu. Le jour du Vendredi-Saint, douze catéchumènes ont été
admis dans l’égli^ après avoir pris des
• engagements pour le maintien desquels
nous demandons au Seigneur qu’il soutienne et qu’il garde ces nouvelles recrues ; car sans Lui nous ne pouvons rien
fp-ire. La Chorale a participé avec des
chœurs de circonstance, tant au culte du
Vendredi-Saint, qu’à celui de Pâques.
★ Samedi, 20 avril, ont été célébrés,
dans le temple, les deux mariages ' suivants : Long Jetan, des Plencs, avec Long
Ilda., des Tournims; Pons Lévy, de SaintGermain, avec PeyroneL Hélène, des Maisons Neuves des Plencs.
A ces époux, nos bons souhaits pour une
vie heureuse et bénie par Dieu.
★ Dimanche, 5 mai, le petit enfant Ribeft Robert d’Amédée et de Long Marie,
des Bouchards, a été présenté à Dieu, par
le rite du baptême.
Que la grâce de Dieu le guide pendant
toute sa vie et le rende fidèle à son
Sauveur.
RORÀ. Dinudiche, 5 courant, nous avons
eu joie de recevoir la visite de ohvi
quante Unionisttes du Perrier. Quoique le
temps ne fût pas très beau, tout sie déroula très bien quand même; On ne s’aperçut presq-ue pas qu’il pleuvait, car chacun
portait un beau ciel bleu dans ses yeux
et dans son cœur. TJn bon nombre de Rorengs passa foute la journée dans les quartiers de Féglise pour jouir de la ccanpagnie aimable et gaie des hôtes. La communion fraternelle, interprétée pratiquement, alla en augmentant d’heure en
heure, tandis que se déroulait le modeste
programme de la journée, et ce fut avec
regret que Fon entendit tout-à-coup le
chauffeur venir annoncer qu’il ne pouvait
plus consentir à retarder le départ, p¿
même de dix minutes, car la nuit approchait et il ne voulait pas courir le risque de dégringoler avec sa machine dans
les ravins qui longent le chemin
Merci encore mille fois, aux chers Unionistes du Perrier, pour leur bonne visite.
★ Notre bonne vieille sœur Magna Cécüa (Cécile Morel) n’est plug. Le Seigneur
l’a rappelée à Lui, le 8 courant, et nous
avons accompagné son cercueil au cimetière, le 9. Elle souffrait depuis plus de
vingt ans, et depuis de longues années
était immobilisée dans son lit, mais elle
sut endurer son épreuve avec une soumission admirable.
Tout lé monde la rappelle avec sympathie, et ses anciens éLèves se souviennent
avec reconnaissance de leur ancienne maîtresse d’école.
SAINT-GERMAIN. Mardi, un long cortège de parents et d’amis accompagnait
au champ du repos Jean Bleynat, des
Roncs, ancien facteur de l’Envers-Portes.
Une lonigue et pénible maladie le minait
depuis longtemps ; le Seigneur Fa appelé à
36 ans. Il laisse un petit orphelin, pour
lequel nous invoquons Faide de Dieu.
★ Chiuruto Liliana dé Giovanni et Susanna, du Villar Pérouse, a été baptisée
dans notre temple.
Que Dieu bénisse les parents et l’enfant.
TURIN. Le culte du dimanche 26 mai,
dans le temple de Corso Vittorio Emanuele, sera présidé par M. le pasteur A.
Jahier, qui prêchera en français.
Société Missionnaire «Pra del Torno».
Nous rappdcm à tous nos chers amis de
la Société «Pra del Tomo-» que, devant
dore les comptes, nous leur serions très
reconnaissants s’ils voulaient bien verser
leur contribution de membres honoraires
à un membre de la Société ou au caissier
Giorgio CottaÆorandinL
Nos CoDcoors instructifs (nu passe-temps).
Les résultats de notre premier trio de ■
concours sont encourageants — ce qui ne
signifie pas qu’à l’avenir, nos concurrents
ne puissent se mtdtiplier ; il faut espérer
qu’ils deviendront plus nombreux dès que
nos lecteurs sauront que d’autres ont répondu. Ces f^ésultats. les vmd:
Concours 1: Le cantique le plus beau.
Ce qui a préoccupé nos concurrents — et
nous en sommes bien aise — n’a pas
été de nous parler de théorie musicale ou
de versification, mais de nous dire ce que
tel ou tel autre chant excitait dans leur
âme. C’est ce que nous demandions ■—
c’est là surtout le but de tout chant sacré. Une bonne réponse mérite d’être tnentionnée en entier : ceUe de s., auquel nous
assignons un prix, qui préfère le cantique N° 256, Je veux t’aimer, pour les raisons suivantes : 1® ce cantique est adapté
pour toutes les circonstances de la vie:
joie, douleur, peine, triomphe ; 2° c’est
une invocation ardente, chaleureuse, pleine
de foi, d’amour et d’entrain. C'est un chant
de réveü ; 3® c’est un hymne adapté à tous
■ les âges. Je le connais dès mon enfance et
c’est peutnêtre là un des plus pmissants
motifs de ma prédilection-; 4° c'est un
chant de parfaite consécration.
Deux avives bons envois sont odui de
Maddeine Planchón (du ViUar), qui préfère le N° 164, Oui, selon ta promesse.
« parce que fm ai fait Vexpérience. Dieu
est fidèle, et ses promesses sont véritables.
R m’a attirée à Lui par la souffrance et
changé mon deuü en joie » — et celui de
Paolo Melli (La Tour), qui mentionne le
Nf 254, « le cantique de la reconnaissance
envers cebd qui nous a sauvés ».
Concours H : Nos vieilles Hbles. Pas de
Pfix décerné. Nous reproduisons la réde s.: T avoue n’avoir jamais pensé
à les utiliser. En tout cas, s’ü m’arrimera
pouzmr le faire, je ne mettrai puis des
feuillets de la Parole de Dieu en lambeaux
dans les mains d’autrui. J’en découperai
leS 'îmnrceaMx ou les versets pouvant vraiment faire du bien. Où les mettrai-je ?
P'artout où notre prochain pourra les lire :
sur un banc public, dans une boîte aux lettres, sur une table d’hôtel. Partout on
peut trouver une « terre bien prréparée ».
D’autres nous racontent d’avoir donné
leurs vieilles Bibles à des müitmres, ou
nem fiisent qu’üs les conservent pieuse-.
ment comme le plus grand trésor que nos
¡yères nous aient transmis. Une réponse
nous est même parvenue d’Angleterre ; on
l^eub (découper plusieurs textes sur un
>nôme sujet, les cdler sur un carnet et les
faire suivre de nos remarques pmrsonndImf— tme pmtite concordance de poche
(R. Ebdéll Hall, Southborough) .
^Dçluxiurs III : Le paragraphe inconnu se
h^’dans «La Ginevra Italiana», d’Edmondo De Amids. Plusieurs solutions exactes. Le sort a favorisé P. Melli, auquel
'imts envoyons « Lo Scopo dell’Esistenza »,
P# G. Ifteggio.
Nous publions, hors concours, cette bette
pége d’Eva Lecomte ; « Qm d’embettisse^
monts ü trouverait... Les petites boutiques
replacées pmr des magasins, les rues
éémtes élargies, la route de France goudt^gnnée, la vétuste Poste à chevam disparue pour faire place à un rapide serd’automobile ; ü cherdherait en vain
eîi mns doute avec regret son vieü Hôtel
âw l’Ours et les cèdres séculaires de l’andm Penskmnat, mais ü verrait un Cin^na, un « Conmtto » monumental, deux
, sÊatues de bronze et, ce à quoi ü ne s’attendrait guère, il pourrait contempler son
propre buste dans un endroit discret, aux
abords de la gare... Ne trouveraitÆ que
Mes embellissements ? Pomrait-il chanter,
comme autrefois, l’attachement du peuple
1 audois a là foi de ae® pères, sa simplicité, son absence de toute mondamté, en
un Tnot son cachet si spécial de puritanisme modéré et tolérant?... Oui, ü le
pourrait ?... AUons, tant imeux ; mais j’ai
en une bette peur.., »,
LE SPHINX VÀUDOI&
Nota. Dernier délai pour les concours
D’, V, VI, publiés dans notre numéro du
26 avrü dernier ; æaioard’hvà.
lia G. P. ii
Stralciamo del Piccolo Messaggero di
Tonno;
, Speriamo di poter inviare anche quest’anno, come gli anni precedenti, alia
nostra Colonia di Borgio Verezzi, i nostri
bambini poveri bisognosi di cura marina.
Dico speriamo.
Abbiamo fatto con gravi sacrifici e facciamo quanto è in nostro potere per uniformarci alle numerose disposizioni emanate daìl’Ente Opere Assistenziali a cui
spetta ia suprema direzione e sorveglianza
sopra tutte le Colonie di cura montane
e marine, compi’ese quelle di iniziativa
privata, come la nostra.
L’E. O. A. che conosce bene la nostra
Colonia e il suo funzionamento, non ci
ha mai finora negato il suo consenso,
nè messo delle difficoltà non facilmente
superabili. Speriamo che le cose continuino come per il passato. Intanto avvertiamo che sono aperte le inscrizioni,
alle condizioni dell’anno scorso, e cioè:
1° - Nessun bambino può essere accettato se al momento della partenza per
il mare non porta con sè un regolare
certificato di sùbite vaccinazioni antidifteriche e antivaiolose. Non si ammettono
assolutamente eccezioni su questo punto.
Il® - Ogni bimbo deve portare con
se il costume di Balilla, -e ogni bimba
quello di Piccola Italiana. Inoltre, i bimbi
'devono avere due magliette bianche, e
le bimbe due grembiulini bianchi, con
cappello da spiaggia.
HI® - Non saranno accettate le domande di bimbi che avranno già compiuto. consecutivamente un triennio di
cura, ofll^he saranno inferiori ai sei anni
0 superiori ai quattordici.
IV® - Non saranno ammessi i bimbi
per i quali, a giudizio del sanitario dell’Opera, la cura marina non sarà giudicata assolutamente indispensabile.
V® - Le domande devono essere inviate il più presto possibile al Pastore
A. Simeoni, Via Pio V, 15, Torino - possibilmente pel tramite del Pastore, della
Parrocchia cui appartiene il richiedente.
Al momento opportuno saranno comunicate ulteriori disposizioni per la visita
medica, per le accettazioni definitive, per
1 turni, per il giorno, l’ora e le modalità
della partenza.
Torino, 1® Maggio 1935-Xni.
Il Presidente : A. SiMEONl.
DÉMONTREZ-LE !
J’ai lu quelque part (je r^rette d'avoir
noté, sur un feuillet de rencontre, seulement la phrase, sans en indiquer- la source)
que « le Christianisme regarde lés femmes
comme le plus grand danger de l’homme ».
Voilà une de oes sentences, bonnes pour
le feuilleton d’un petit journal de province, qui démontrent avec quelle légèreté on parle du Christianisme.
J’espère que quelque lecteur (ou quelque
lectrice) va protester contre une affirma-tîon semblable, et démontrer par des pas^ges appropriés que le Christianisme assigne à, la femme un rôle plus élevé et
moins pernicieux.
La fanWle JALLA, profondément émue,
pour les témoignages d’affection reçus à
l’occasion de la mort tragique de leur cher
RICCARDO
remercient toutes les peréormes qid ont
pris part à leur deud et spécialement ceux
qui se sont prêtés de toutes inanières dans
la triste drconstance.
D’une façon particulière remercie M. Jules Tron, 'M. Quattrini, les Sœurs de VHÔpital, la famille Pasquet, le Fascio de
La Tour, l’Union des Chabriols, les voisins et les amis,
La Tour, le 14 mai 1935-XIH.
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VALLI VALDESI.
ANGROGNA - Pastore : Roberto Nisbet. ^
BOBBIO PELLICE - Pastore ; Enrico Tron, s!,
Bosio, Via Marianna Dionigi, 57.
LUSERNA S. GIOV. - Pastore : Lorenzo Rivoira.
MASSELLO - Pastore : Alberto Ricca.
PERRERO - Pastore : Oreste Peyronel.
PINEROLO - Pastore : Luigi Marauda. v
POMARETTO - Pastore : Guido Mathieu.
PRALI - Cand. Ted. Lamy Coisson. 4
PRAMOLLO - Pastore : Ermanno Rostan.
PRAROSTINO - Pastore : Guido Rivoir.
RICLARETTO - Cand. Teol. A. Janavel.
RODOREITO - Cand. Teol. A. Peyronel.
RORA’ - Paistore : Enrico Geymet.
S.GERM.CHISONE - Pastore: EnricoTron, J.
TORRE PELLICE - Pastore.: Giulio Tron.
VILLAR PELLICE - Pastore : Roberto Jahìer..^
_____________ -f
ABBAZIA - « Chiesa di Cristo ». Culto stlie
ore 16 - Pastore : Valdo Vinay, da Pinhie.
AOSTA - Chiesa : 3, Rue Croix de ViRe - Pastore : Giovanni Miegge, Ivi.
BARI - Chiesa - Pastore : G. Moggia, Piazza
Garibaldi, 63.
BERGAMO - Chiesa : Viale Vittorio Emanuele, 4
- Pastore: Arnaldo Comba, Viale Roma'6.
BIELLA - Chiesa : Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario - Evangelista Diodato Rosati, Via Piave dei Balilia, Casa
Fiorina, Rione S. Paolo.
BORDIGHERA - Chiesa : Piani di VallecroBia
- Pastore : Davide Pons, Istituto Pemminlle
Valdese.
BORRELLO - Chiesa Evangèlica.
BRESCIA - Oiiesa : Via dei Mille, 4 - Pastore :
Enrico Meynier, ivL
BRINDISI - Chiesa : Via Congregazione, Casa
Zaccaro - Pastore : Antonio Misela.
CALTANISSETTA - Chiesa: Via Maida, |5:.Pastore : C. Bonavia, ivi.
CASALE MONFERRATO - Chiesa: Via Filippo Mellana, 3.
CASTELVENERE - Chiesa Evangelica.
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 20 - Pastore : Teodoro Salma, ivi.
GERIGNOLA - Chièsa Evangelica - Da Orsara.
CHIETI - Cliiesa Evangelica.
CQ’AZZE - Chiesa Evangelica - Da Terre PeUice.
&MO - Cliiasa : Via Rusconi, 9 - Pastore:
“ Rinaldo Malan, ivi.
CORATO - Ciiiesa Valdese : Corso Mazzini, 27 Pastore : Giuseppe Castiglione, ivi.
COURMAYEUR - Chièsa Evangelica - Da Aosta.
CUNEO - Chiesa.: Via Alba, 47.
TELONIGA PO - Chiesa Evangelica - Cand.
^ TeoL Beniamino VarveUi.
ÌTRENZE - Cliiesa di Via de’ Serragli, 51
" Cliiesa di Via Manzoni, 13 - Pastore : VirgUio Sommani - Coadiutore : Pastore T.
Vinay.
FIUME - Cliiesa: Via Pascoli, 6. Culto aPe
ore 10 - Pastore ; Valdo Vinay, Via Anglieben, 10.
Forano - Qiiesa - Pastore : Paolo Coisson,
Forano Sabino (Rieti).
GENOVA - Cliiesa : Via Assarotti - Pastore :
Emilio Corsani, Via Curtatone, 2.
grotte - Cliiesa - Grotte (Agrigento) - Da
Caltanissetfa.
IVREA - Chiesa : Corso Rotta, 5 - Pastore :
Arturo Vinay, Casa Ravero, Piazza d’Armi.
LA MADDALENA - Chiesa Evangelica.
LIVORNO - Cliiesa : Via G, Verdi, 3 - Pastore :
Attilio Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa : Via Galli Tassi, 18.
LUGANO - Pastore : Giovanni Grilli, Viale
Franscini, 11.
MANTOVA - Qiiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Clilesa : Via Maddalena, 57,
isolato 147 - Pastore : SeifCredo Colucci,
Via C. Battisti 191, isolato 217.
MILANO - Cliiesa di S. Giovanni in Conca :
Piazza Miasori, 3 - Pastore : Luigi Rostagno. Via Stradivari, 1 — Chiesa di Via Edmondo De Amicis, 4 - Pastore : Francesco
Peyronel, Piazzale Libia, 5.
NAPOLI - Qiiesa - Pastore : Mariano Moreschini, Corso Vittorio Emanuele, 42.
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese-405 West,
41 Street - Culto principale : 4 P. M. — Pastore Pietro Griglio : 18 West - 123 Street.
NIZZA - Chiesa : Rue Gioffredo, 50 - Pastore :
Alberto Prochet, ivi.
ORSARA DI PUGLIA - Pastore : Alberto Ribet.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Pastore : Alfonso Alessio.
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 41 - Pastore :
Elio Eynard, ivi.
PEiSCXDLANCIANO - Chiesa Evangelica.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore : ■ Davide
Pons, Istituto FemminUe Valdese.
PIEDICAVALLO - Chiesa : Via Carlo Alberto.
PISA - Cliiesa : Via Derna, 15 - Pastore: Alberto Fuhrmann, Via Derna, 17.
REGGIO CALABRIA - Chiesa Rione S. Marco :
Via Possidonia, 4 - Pastore : Enrico Pascal,
Via Possidonia, Casa Medici.
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore : Um,berte Beri.
RIO MARINA - Chiesa Evangelica.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre, 107 Pastore : Giovanni Bonnet, ivi - Coadiutore : Cand. Teol. Ernesto Ayassot •—
Chiesa di Piazza Cavour - Pastore : Paolo
SAMPIERDARENA - Chiesa : Via Giosuè Carducci, 16 - Pastore : Carlo Lupo.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
EvangeUca - Anziano-Evangelista Scarinci
Giuseppe, ivi.
SANREMO - Chiesa : Via Roma, 8 - Pastore :
Ugo Janni, ivi.
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese : Via S. Domenico, 5
- Pastore : Eugenio ReveI, ivi.
SUSA - Chiesa : Via Umberto I, 14 - AnzianoEvangelista Pietro Varvelli, ivi.
TARANTO - Chiesa: Via Pupino, 16-20 (angolo
Via F. Di Palma - Pastore : Gustavo Bertin. Corso Umberto, 76.
TORINO - Chiesa : Corso Vittorio Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore ;
Alessandro Simeoni, Via Pio Quinto, 15 Coadiutori : Pastore emerito Augusto Jahier e Pastore AchiRe Deodato, ivi.
TRIESTE - Gli lesa : Via S. M. Maggiore - Pastore G. del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA - Cliiesa : Palazzo Cavagnis (S. MFormosa) - Pastore : Giov. Bertinatti, ivL
VERONA - Chiesa : Via Duomo (angolo Vìa
Pigna) - Da Brescia.
VI'TTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore : Arturo Mingardi, Via Garibaldi, 60.
Il evito principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 della Domenica.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Antonio Rostan, cassiere
Pastore Guido Comba, segretario - Via
Quattro Novembre, 107 - Roma (101).
A. W. A. S. - Segreatrio Generale : Pastore
Guido Miegge - Room 1005, 156 Fifth Av. - .
New-York City.
FACOLTÀ’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cossa,
42, Roma (126) - Professori ; G. Rostagno,
Ernesto Comba, Davide Bosio.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pellice - Preside : Prof. D. Jahicr.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Davide Bosio, presid,ente ; Enrico Meynier,
Silvio Pons, Giovanni Bonnet, Mariano.
Moreschini.
CONVITTO MASCHILE - Torre Peiiiee - Direttore ; Pastctt’e Davide Pornerou.
ISTITUTO FEMMINILE VALDESE - VaileCTosia - Direttoi’e : Pastore Davide Pons.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice : Sig.na Adele Arias.
ORPANO’mOFIO MASCHILE (Istituto Gould)
- Via SeiTagli, 51, Firenze - Direttore r
Pastore V. Sommani.
ISTITUTO ARTIGIANELLI VALDESI - Torino.
- Via BerthoUet, 34 - Direttore : Gr. UffPaolo Canobbio.
OSPEDALI VALDESI - a Torre PeUice - a
Pomaretto - a Torino, Via BerthoUet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede: Pomaretto (Torino) - Direttore : Pastore Luigi
Marauda, Piiierolo.
RIFUGIO PER INCURABILI «RE CARLO,
ALBERTO » - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - San Germano Cliisoiie.
ASILO PEI VECCHI - Vittoria (SicUia).
COLONIE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Uruguay
COLONIA VAJ.DENSE JDep.to de Colonia)
Pastore: Ernesto Tron. '
COLONIA COSMOPOLITA-ARTILLEROS (Departamento de Colonia) Pastore : Enrica
Beux — 'Pastore emerito ; Pietro Bounous.
TARARIRAS-RIACFIUELO-SAN PEDRO Y COLONIA (Dop.to de Colonia) - Pastore : Da■ niel Breeze, Estación Tarariras.
OMBUES DE LAVALLE-COLONIA MIGUELETE (Dep.to de Colonia) - Pastore : Carlo
Negrin, Ombues de LavaUe.
ROSARIO-BARKER-COLLA-POLONIA (,Dep.to
de Colonia) - Evangelista ; Emilio Ganz,
Colonia Vaidense.
DOLORES e S. SALVADOR - Pastore ; Giovanni Tron.
COLONIA NUEVA VALDENSE (Dep.to de
. Rio Negro) - Pastore : da destinarsi.
COLONIA NINY SILVA (Dep.to de Paysandù)>
- Pastore : da destinarsi.
Argentiiia.
COLONIA IRIS (Pampa C'iitral) - Pastore : Silvio Long, Estación Jacinto Arauz, F. C. S.*
COLONIA BELGRANO (Provincia de Santas
Fè) - Evangelista Carlo Alberto Griot,
Estación Wlldennutli, F. G.C. A.
COLONIA EL SOMBRERITO (Provincia deSanta Fé) - Visitata periodicamente.
SAN GUSTAVO (Provincia de Entre Rios) -■
Visitata periodicamente.
Jales Tron* directeur-rcsponsable
Torre PeUice - Inirrtmerie Alpine S« A*
TONICO
DlGE^TI\/0
COCHÁC BRÂHCÀ
MEDICIN
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