1
Soixante-treizième année
Si:
16 Jwillet 1937-XV
./ a- N°24.
'VÎ^:'
rf
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
=^-.- ..—- B
PRIX p'ABONNBMBNTl '
Italie et Colonies italiennes ....
Etranger................................
Plusieurs abonnements à la même adresse .
On ■'■bonne: à TorrePellice, au Bureau d’Administration de l’Ec/io(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables...,
f .^of. Luigi mÉoI
';Xï^6b
S’adresser: pour la'RÎaîcMoiSTlrtWTlrMîxnTr^^ jprrePellice — pour
rAdmlntatratlon, au Bureau du journal, Via Wigram, ii^T^lirre Pellice,
Pour toutes les annenecs s’adresser au Bureau du journal.
d’adresse coûtent fo ccatim
Le niunéio: 25 eentimes
Tous les changements d’adresse coûtent fo centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
CO
s
COMUNICATO OFFICIALE.
L’adunanza del CORPO PASTORALE è convocata per GIOVEDÌ’
19 AGOSTO, alle ore 9.30 nella Casa
Valdesedi TorrePelHce con il seguente
Ordine del Giorno:
1 - nomina ilelle [ommissioni Esamlnatiicl
2 - Esame di fede di aiioni Eandidati al l Ministeio
3 - [omuniiazioni e proposte varie.
I membri laici della prossima Assemblea Sinodale che desiderano prender
parte alla nomina delle Commissioni
Esaminatrici dovranno presentarsi, al
momento dell’apertura della seduta,
muniti del loro mandato.
Torre Pellice, 9 luglio 1937-XV.
Il Moderatore :
ERNESTO COMBA.
AVIS.
Pendant les mois d’été le Bureau
de la Table est transféré de Rome à
TORRE PELLICE - Casa Valdese.
Ht * *
Pendant l’été, tout ce qui concerne
la rédaction doit être adressé impersonnellement :
Rédaction de « L’Écho des Vallées »
Tipografia Alpina S. A.
Torre Pellice (Torino).
pour la vie inférieure
Savoir pardonner.
« ]’ardüiiiie-)ioiTS... comme nous aussi
nous piii’donnons »,
Matthieu VI, 12.
L’Evangile, qui est pour nbus une
puissance de salut aussi bien que la règle fondamentale de notre Vie chrétienne, insiste fréquemment sur la nécessité du pardon réciproque, accordé
non seulement aux amis, mais même
aux ennemis. Et Jésus, qui en a donné
l’exemple parfait tofut le long de son
ministère jusque sur la croix, en a aussi
renfermé l’enseignement dans une des
demandes de l’oraison dominicale, à la
fois si connue et si ignorée des hommes. Peut-être ne sera-t-il pas vain de
le rappeler, encore aujourd’hui, aux
chrétiens, afin de comprendre, tout
d’abord, pour notre compte et ep vue
de notre sanctification, ce que nous disons lorsque nous nous adressons à notre Père céleste en ces mots : « Pardonne-nous nos offenses, comme nous
aussi nous pardonnons à ceux qui nous
ont offensés ».
w # »
Ces mots expriment un des besoins
les plus profonds et les plus universels
de l’âme humaine, sensible à la douleur
et au poids de son péché : le besoin àu
pardon de Dieu. « O Dieu, aie pitié de
Moi, selon ta miséricorde ! », s’écriait
le psalmiste, tandis qu’un penseur chrétien de nos jours, faisant allusion à
cette aspiration fondamentale de l’âme,
a pu dire : « Nous ne vivons que de ce
que nos péchés sont pardonnes ». Mais
le pardon de Dieu n’est pas séparé du
gardon mutuel, entre les fils d’un même Père.
Quand donc nous prions ainsi : « Pardonne-nous... comme nous aussi nous
pardonnons.,. », est-ce que cela veut dire
que nous devenons, d’après notre attitude fraternelle à l’égard du prochain,
la cause du pardon divin ? que nous en
sommes, si je puis ainsii m’exprimer,
les auteurs ? que nous disposons, enfin,
à notre aise, de la miséricorde de Dieu ?
Je ne le crois pas ; car cela serait de
l’orgueil. Ce pardon de nos offenses dépend, tout d’abord, de la grâce souveraine de Dieu, de Son immense amour,
/lu sacrifice de Christ sur le Calvaire.
C’est Dieu, le premier, qui nous pardonne ; c’est Lui qui, le premier, prouve
son amour envers nous, « en ce que,
lorsque nous étions encore dos pécheurs.
Christ est mort pour nous » (Rom. V, 8) ;
c’est Lui qui, en Christ, « a réconcilié
le monde avec Lui-même en n’imputant
point aux hommes leurs offenses »
(2 Cor, V, 19). A Lui seùl soit la gloire !
* *
Pardonne-nous... comme nous pardonnons !. Cela ne signifie pas non pUfis
que Dieu nous pardonne de la même
mesuire que nous. Nous serions, sans
doute, très à plaindre ! Mais le pardon
de Dieu est plus grand que le nôtre.
Tout d’abord, parce que Dieu est Saint ;
notre dette envers Lui étant donc immense, Son pardon l’est aussi. Ensuite,
parce que trop rarement notre pardon
est complet comme celui de Dieu ; nous
lui fixons, parfois, des limites et dee restrictions qui finissent par lui arracher
sa valeur. Nous disons, en effet:; Je lui
pardonne, mais je ne le reverrai jamais
de m,a vie! Je lui pardonne, mais je
n’aurai plus rien à faire avec lui ! Je
lui pardonne, mais je n’oublierai jamais
ce qu’il m’a fait !
Ecoutez, par contre comment Dieu
parle de Son pardon, par la bouche du
prophète Esaïe : « C’est moi qui efface
tes transgressions pour l’amour de moi,
et je ne me souviendrai plus de tes péchés» (Xmi, 25). Quelle grandeur,
quelle paix, quel amour dans ce véritable, pardon ! Jésus disait tout simplement, sans aucun mais et pourtant aux
créatures les plus coupables : « Mon enr
fant, tes péchés te sont pardonnés ».
H! H!
Quand même, malgré nos imperfections et nos faiblesses, noius devons
prier ainsi : « Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons
à ceux quii nous ont offensés », Parce
que le pardon réciproque est une absolue condition pour obtenir le pardon
- de Dieu. Quoi qu’en dise le monde, nous
devons pardonner ; c’est notre devoir
de chrétiens ; et la prière est là pour
nous rappeler de quelle affection nous
devons être animés à. l’égard de nos
frères, lorsque nous implorons pour
nous le pardon de Dieu.* Nous devons
pardonner; «si notre cœur est resté
fermé à l’amour fraternel, s’il est plein
d’animosité et de haine, il est encore
impénitent, et Dieu ne peut pas avoir
pitié de nous, si nous n’avons pas pitié
des autres ». « Si donc tu présentes ton
offrande à f autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose
contre toi, laisse-là ton offrande devant
, l’autel, et va d’abord te réconcilier avec
tim frère » (Matthieu V, 23) ; « si vous
^rdonnez aux hommes leurs offenses,
votre Père céleste vous pardonnera
aussi » (Matthieu VI, 14).
Des voix ,se lèvent et disent; n’est-il
pas trop difficile et au-delà de nos forces de pardonner ? Bien sûr qqe cela
est difficile ; cela est même impossible
à l’homme naturel ; car, lorsque nous
Sommes atteints par les fautes des autres, le pardon devient véritablement un
sftortifice ; il ne peut y avoir de pardon
sans un acte de sacrifice, sans renoncer à notre orgueil, à notre propre justice, enfin à notre « moi » si impérieux.
Mais ce sacrifice n’est pas impossible
quand l’amour de Dieu rayonne dans
pos cœurs, quand l’Esprit de JésusChrist les anime, les réchauffe et les régénère ! Non, il ne doit pas être impossible de pardonner, quand nous sentons
d^avoir été, à nptre tour, aimés et pardonnés par Dieu ! Au contraire, pardonner doit devonir notre joie. Que si nous
n’aimons que ceux qui nous aiment,
quelle récompense en avons-nous ? Et si
nous ne saluons que nos frères, que faisons-nous d’extraordinaire?
C’est pourquoi, jeunes'et vieux, par
rents et amis, chrétiens qui appartenez
a une même* famille et à une même
église et qui n’avez pas de reliaition amicale entre vous; vous à qui on a fait
du tort et de la peine et qui voudriez
vous venger ou ne pas oublier ; vous qui
aimez à retourner le fer dans une plaie
qui devrait être depuis longtemps guérie et oubliée ; et vous qui n’avez pas
} le courage de faire le p.remier pas vers
i la réconciliation, pardonnez, et dites ensuite .; « Pardonne-nous nos offenses,
comme nous ausssi nous pardonnons à
ceux qui nous ont offensés ! ».
Et par Ta grâce, ô Dieu, transforme
notre cœur souvent dur et impitoyable,
pour qu’il puisse donner une imitation
lointaine, mais encore reconnaissable,
de Ton splendide et divin pardon !
E. Rostin.
Leoparili et la Suisse.
Le monde des lettres commémore le
centenaire de Giacomo Leopardi, Tandis que des manifestations nationales se
déroulent en Italie, diveirs pays européens rendent hommage à la mémoire
du grand et mialheureux poète.
En raison du pessimisme de ses
Canti, Leopardi, écrivain classique par
excellence, parvint à la célébrité européenne vers 1830, lorsque le sentimentalisme romantique s’imposait partout.
Ce ne fut pas seulement l’empreinte de
la douleur et de la noblesse, qu’il portait
sur son front, qui lui permit de gravir
l’Olympe des poètes immortels, mais
aussi la préparation spirituelle, grâce à
laquelle il put se rallia au courant de
la littérature européenne du XIX” siècle.
Jusqu’à Recânati lui parvint, de Genève, l’écho des deux noms qui attiraient, à cette époque, l’attention desesprits éclairés ; Rousseau et Madame
de Staël. Ceux-ci exercèrent une grande
influence sur l’évolution de sa pensée.
Au fur et à mesure qu’il s’assimile l’esprit des auteurs du Contrat social et
de Corinne, il laisse se relâcher ses attaches provinciales et s’apprête à'devenir citoyen du monde. L’influence de
Madame de Staël, dont il luit les œuvres entre 1820-22, lorsqu’il avait vingttrois ans, est indéniable, car elle contribua à la formation de son eispriL cosmopolite, ou, comme on dirait aujourd’hui, européen. L’influence de Rousr
seau, tout en demeurant considérable,
ne fut pas définitive. Le génie puiseï à
d’autres sources, mais il marque d’une
empreinte^ personnelle tout ce qu’il crée.
A l’occasion du centenaire de celui
qui, parmi les grands écrivains italiens,
est peut-être le moins connu à Gienève,
il est opportun d’évoquer les noms de
deux personnalités suisses, contepnpœ
raines de Leopardi, qui ont joué un rôle
très important dans sa vie : le Genevois
Jean-Pierre Vieusseux et le Bernois
L. de Sinner.
S’étant fixé à Florence, Vieusseux
participa à toutes les eaitreprises littéraires qui illustrèrent TItalie du Risor. gimento ; aussi peut-on d,ire que l’histoire de sa vie se confond avec celle de
VAntologia et de VArchivio Storico Italicmo, les premières revues indépendantes et nationales de la péninsule. Ce fut
précisément dans VAntologia que parurent pour lia première fois les essais des
Operette momli dans lesquels Leopardi
exposait son scepticisme philosophique.
Le 21 juin 1827 — il y a donc cent dix
ans — le poète rencontra pour la première fois J.-P. Vieusseux dans son cabinet littéraire. C’est là qu’il fit la connaissance, au cours de ce même été, de
Manzoni qui, venant à peine de publier
les Promessi Sposi, était accueilli à Florence de la façon la plus chaleureuse
par tout le monde intellectuel. Grâce à
Vieusseux donc, le plus grand prosateur
et le plus grand poète du siècle se rencontrèrent et s’estimèrent.
Giacomo se lia d’affection avec Vieusseux. Celui-ci qui, pourtant, était une
nature réservée, « modèle d’équilibre et
d’harmonie», lui écrivait tout son regret de le voir s’éloigner : « Ne plus
vous voir apparaître chez moi, le soir,
me cause un chagrin véritable; il me
manque quelque chose et toujours je
pense à vous. Vous êtes un des rares
hommes avec qui j’aurais pu vivre et
faire ménage » (sic).
Dans lesi moments les plus difficiles
de sa vie, Giacomo se confiait à JeanPierre. En mars 1829, il lui écrivait:
«Dites-moi, en toute sincérité, si vous
croyez qu’à Florence je pourrais trouver de quoi vivoter en donnant des leçons... de n’importe quel genre, même
de langues, de grammaire, etc...». Le
poète put se rendre à Florence, et
s’étant remis à fréquenter le cabinet
littéraire, Vieusseux lui présenta un autre Suisse, Louis de Sinner, qui devint,
dès lors, son meilleur ami. Tandis qu’il
s’étonnait de l’érudition de Giacomo, cé
dernier était enchanté d’avoir enfin
trouvé un sàvant qui le comprît. Il lui
confia tous ses « manuscrits philologiques, commentaires, notes, etc,.. », que
de Sinner lui promit de faire imprimer
en Allemagne. «Il m’en promet de l’argent et un grand nom », écrivait-il à sa
sœur Paolina.
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i 16 Juillet 1937-XV
A
Ce fut une autare déception, ■ car 1©
Bernois ne put tenir la promesaië ’de lui
piracurer un succès éclatant j nmis, qitei.
qu’il en soiti, c’est à lui que l’on est re
0“* • • ^ '
A devable de lia première renomméede
l'écrivain italien hors de l’Italie.
Les manuscrits restèrent _ entre les
mains de Sinner jusqu’en 1856. Comme3
a sentait s’approcher - la mort, " ils
. ' confia à J, P. VieussOux : « Acceptez*
vous mon cadeau avec bienveillance ? »?
lui écrivait-U de Berna «Un Suisse qui
n’a jamais été tedeseo (sic) doit rendre
à un si excellent compatriote comme
vous, ce don, etc. ».
Ainsi les deux amis suisses du poète
demeurèrent fidèles à sa mémoire et se
consacrèrent à alimenter la flamme de
sa gloire. Ce faisant, ils ont bien rempli le rôle que s’eet assigné la Suisse au
XVII® et: au XVIII® siècles.* faciliter
les échanges intellectuels et propager
en Europe la connaissance des conquêtes de l’art et de la pensée dans les différents pays. En effet, si le jeune érudit de Recanati put entrer en contact
avec l’esprit européen par l’intermédiaire de Rousseau et de Madame de
Staël, l’Europe, à son tour, en vertu des
efforts louables d'un Genevois et d’un
Bernois, connut l’un des plus grands
poètes de l’humanité.
Parmi ceux qui, après la mort de Leopardi, ont vivement ressenti le charme
de sa poésie, et ont initié les étrangers
à sa beauté, il ne faut pas oublier L. F.
Amiel. L’auteur du Journal Intime présente une affinité profonde avec le poète
du désespoir, car, durant toute sa vie,
il s’ast penché sur lui-même pour écouter la voix de sa douleur.
Il traduisit deux des Idilli, qui sont
parmi les plus beaux ; Le soir d’un,
jour de fête et L’Infird.
Il n’est, malheureusement, pas possible de toucher à des œuvres d’une telle
perfection sans que le charme s’évanouisse. Ainsi, dans la traduction d’Amiel, le dernier vers de L’Infim : « Et
dans cet Océan le naufrage mo plaît»
ne rend guère l’abandon et la lassitude
que l’on sent dans le rythme de l’original :
B il naufragar m’è ddlce in questo mare.
Que l’on i)ense aux quinze vers du
poème où 1© poète nous inspire, par des
moyens absolument simples, la frayeur
en même temps que la douxjeur de se
sentir sombrer dans l’Univers, pour
comprendre combien difficile est la tâche du traducteur !
Si l’on admet que l’essence de la réligion est non seulement dans le besoin
de communier avec la Création universelle, mais aussi dans le sentiment de
la vanité de toutes choses, comment
peut-on nier l’inspiration religieuse de
la poésie léopardienne ? Leopardi : le
Job moderne ! T. R^ Castiguone.
(Journal de Genève).
GomnÉsione Maniiaria
t
PRO EMERITAZIONE
j (Ventesima Lista).
Signore e Signori ,v : .
Gay Dante e Letizia, To> riño n L. 200,y
"Gay Giulio,'Id. C") ^ » 100,—
Mr. Carter, Boston, a mezzo
Socci . » 100,—
Paolina Sala, Chiasso, in memoria di Eli Jahier, a
mezzo Giovanni Miegge » 30,—
Enrico e Arturo Pascal, in
memoria della mamma » 812,50
I nipoti Genre, Long, Bianconi, in memoria della zio
Eli Jahier » 75,—
^ PRO COLLEGIO.
(Ventesima Lista). , .
Signore e Signori :
Bleynat Alberto, S. Germano
Chisone - L.
Bouchard Giovanni, Id. »
Prof. Emanuele Griset, Torino »
Anita Turin, Luserna San
Giovanni »
H
Gite con treni popoiari
del 18 Luglio 1937.
Andata-Ritorno - Terza Classe. Toerino-Roma, L. 44 - Tarino-Venezia, L. 32
- Torinp-Viareggio, L. 26 - TorinorUmone, L. 12 - Torino-Varalk), L. 12 - Torino-Savona, L. 13 - Torino-Alassio,
L. 18 - Torino-Genova, L. 15 - TorinoBardonecchia, L. 9 - Torino-Torre Pellice, L. 6.
CHRONIQUE VAUDOISE
BOBI. Nous rappelons à tous les
amis de la paroisse, notre Bazar qui
aura lieu dimanche, 18 courant. Une
quantité d’objets artistiques et pratiques ont été confectionnés : ils n’attendent que les acheteurs. Le service de
buffet s’anonce très riche et satisfera
même les palais les plus délicats !
Que personne ne se prive de la joie
d’une course â Bobi, l’iaprès-mîdi du
18 courant R.
IiTON. Notre groupe vaudois a eu,
le dimanche 27 juin, sa dernière réunion avant les vacances d’été. Nous
avons dû r^retter l’absence de plusieurs de nos membres et surtout celle
de notre vice-président M. Bonneit
dont l’état de santé a empiré dernièrement.
Notre réunion commence par le chant
d’un cantique suivi d’une prière de
MJlie Bqrt. Ensuite» noitre Préeidientei
donne lecture de deux messages: celai
de M. Bonnet et celui de Mj Bert et
recommande à tous les présents de prier
pour ces deux frères éprouvés.
Puis, M. Sibille prend la parole, et
aprte avoir lu quelques versets au char
pitre XVIII des Actes des Apôtres, il
nous fait remarquer que l’indifférence
religieuse dont Gallion, proconsul d'Achaïe avait fait preuve, est malheureusement un des plus grands maux qui
affligent aujourd’hui notre humanité.
Et même parmi nous, Vaudois, descendants d’un peuple martyr pour sa foi,
il y en a aussi, hélas, de ceux qui, oubliant la vie héroïque et le précieux héritage spirituel de nos ancêtres, se laissent entraîner par le courant du maitérialisme, de l’égoïsme et de l’indifférence pour tout ce qui concerne l’avancement du Règne de Dieu. M. Sibille
termine son excéHent message en exprimant son espoir que notre groupe
vaudois puisse par la vigilance, le zèle
30,—
50,— ;
500,— '
500,—,
NB. Le oiTei te contrassegnate da asterisco ("')
sono in titoli dello Stato.
In memoriam.
Enrico e Arturo Pascal, a ricordo della loro mamma :
Per TEmeritazione L. 812,50
Per Asilo Vecchi di San
Giovanni » 1000,—
Per Istituto di Vallecrosia » 500,—
PERSONALIA.
Nos sincères félicitations à M. Oreste
Peyronel, pasteur de Perrier-Maneille, :
qui vient d’obtenir, à la R. Université
de Turin, à «pieni voti», la laurea de
docteur en droit, en y soutenant une
thèse sur « Il Ministro di evito evangelico nella Costituzione della Chiesa Valdese e nelVordinamento giuridico italiano ».
et la fidélité de ses membres, être préservé ^ des douloureuses conséqüèncea
qu’entraîne riu'différence religieuse.
Après l’allocution de M. Sibille, un
de nos enfants vaudois lit une belle poésie intitulée ; « Mon pays »,. Puis, tous
entonnent le chant vaudois « Oh, mon
oays, où la voix de nos pères... »..
Avant de teaminer notre réunion,,
M.lle Bert nous donne un compte-rendu
de la deuxième année d’existence de notre groupe. Nous sommes heureux de
constater que le nombre des membres
a .augmenté sensiblement ainsi que celui de nos réunions. D’autre, part, nous
regrettons vivement que l’assiduité aux
réunions ainsi que les contributions en
faveur du fonds de notre groupe laissent à désirer. Nous espérons, cependant, qu’à l’avenir, tous nos membres
s’efforceront de contribuer plus largement à la vie et au développement de
n.otre groupe, sôit par leur présence à
nos rencontres, soit par leur participation aux programmes de nos différentes
manifestations, et soit enfin par leur
aide pécuniaire.
Nous tenons à remercier M. Bert,
père de notre Présidente, pour 1© bien
spirituel qu’il a tâché de faire à notre
groupe pendant son récent séjour à
Lyon. En outre, très peinés par l’accident dont M. Bert a été victime, nous
lui exprimons nos vœux les meilleurs
pour son complet rétablissement.
MASSEL. Dimanche, 27 juin, ont eu
lieu les obsèques de M. Alexandre Micol, de Brolacombe. Notre frère n’a pasété longtemps malade, mais quand on
aurait pu espérer que sa fibre robuste
lui aurait permis de surmonter le mal,
la maladie l’a terrassé. Sa mort a ©té
calme, comme celle de ceux qui ont vécu
dans le travail, sous le regard de Dieu,
et qui ont trouvé la certitude de la vie
étemelle en Christ leur Sauveur.
Nous pensons avec sympathie à sa
fille M.lle Lydie, pour laquelle la maison paraîtra,, idésormiais, certainement
bien vide, et à M. le prof. Micol, qui a
pu accourir au chevet de son père et
l’a veillé dans ses dernières heures.
Le même jour, un autre deuil
plongeait dans la douleur une autre famille de notre paroisse. M. Barthélemy
Tron, après avoir travaillé toute la jourruée dans son champ, a éité emporté
par la mort en quelques heures. Dans
sa grande douleur, la famille trouvera
certainement la consolation et la force
nécessaire dans la certitude de l’infinie
bonté divine.
Aux deux familles affligées nous envoyons l’expression de notre sympathie
chrétienne.
★ « FLEURS » en souvenir de M.me
Suzanne Gay veuve du pasteur Hewi
Pascal, pour les réparations du temple
de Masse! : Cléanthe et Emmanuel Rivoiro, L, 150.
POHABBT. Jeudi, 8 juillet, avec l’assistance d’un bon nombre de parents et
d’amis, ont eu lieu les obsèques de notre frère Jean David Ribet, des Aymars, entré dans son repos à l’âge de
69 ans, après huit jours de maladie. Il
laisse dans le deuil sa compagne et huit
enfants, dont quelques-uns mariés en
France et en Amérique. A chacun d’eux
nous renouvelons l’expressioin de notre
sympathie émue.
★ Dernièrement, un groupe de mamans, auquel furent heureux de s’ajouter quelques autres membres de la paroisse, s’est rendu à Coazze pour jouir
d’une courte en autobus et rendre visite à la communaute vaudoise de l’endroit. La tournée n’a pas manqué à son
but et la joie que nous en avons éprouvée a été des plus profondes, grâce à
l’accueil outre mesure chaleureux des
frères et sœurs de Coazze, envers lesquels nous nous’ sentons redevables de
la plus grande reconnaissance. Puissent
ces heures, passées dans une fraternité
si franche, avoir contribué à resserrer
les liens qui doivent unir les disciples
du Christ, après nous avoir fait goûter
combien il est agréable et doux pour
des frères de demeurer ensembla
★ Un violent incendie vient de dé
- V ' M
truirq ^ graude partie la récolte de
Îqjn ët de blé de notre frère Emej^t Caucmjrd^ ,du Clôt de rEnvers-Pinacha
Nous sympathisom avec lui et avec sa
famille dans ce malheur^ qui, comme
tout autre épreuve, doit être acceptée
avec résignation, avec confiance et avec
bon cour age. , ,
BODORBT. Dernièrement, nous avons
baptisé Walther Valot. et Jean Pons,
des Armands, et Aldo Ricedi, du
Champ-^du-Clot. Que la grâce de Dieu
repose sur ces enfants.
★ Les réparations au temple sont
commencées. Nous invitons donc nos
amis et tous les Rodorins d’ici et de
l’étranger à vouloir, dans cette, occasion, démontrer d’une manière tout à
fait pratique leur attachement et leur
intérêt pour cette Eglise. Tous les dons
seront reçus avec joie et reconnaissance.
★ Dans l’après-midi de dimanche dernier, 11 courant, les jeunes de nos deux
Unions ont fait une belle promenade
au Col de Serveil. La réunion en plein
air, le chanit de nos beaux cantiques et
enfin les jeux, ont bien rempli ces quelques heures trop vite écoulées.
★ Tandis que nous donnons la cordiale bienvenue à M. et M.me Henri Pascal, pasteur de Reggio Calabria, qui
sont montés aux Fontaines pour y passer leurs vacances, nous remercions
M. Pascal pour le message qu’il a promis de nous adresser dans le culte de
dimanche prochain, 18 courant.
★ Dès à présent nous rappelons notre
petit bazar qui, D. v., aura lieu au Col
des Fontaines, à l’occasion de la réunion traditionnelle, le 22 août. Tout le
monde y est cordialement invité.
SAINT-JEAN. Les cultes au temple
du Ciabas commenceront le 18 courant
et seront célébrés régulièrement tous les
dimanches, à 4 heures de l’après-midi,
jusqu’à la fin du mois de septembre.
VILLAB. Départ tragique. Notre
paisible population a été douloureusement saisie par la nouvelle de l’horrible crime qui, à l’aube de jeudi, 8 courant, a tragiquement enlevé à l’affection de sa famille notre ami M. Michèle Massimelli, du Teynaud, à l’âge
de 50 ans.
Aux obsèques, présidées par le Pasteur, une foule nombreuse et émue a
voulu exprimer, en même temps que sa
profonde sympathie à la veuve, son exécration pour l’acte barbare. j.
7ILLESÈ0HE. Le 26 juin, nous
avons béni le mariage de M. Henri
Humbert Poët, de Traverse, avec M.lle
Irma Grill, de Combe Crose, ancienne
monitrice de notre école du dimanche;
et le 10 juillet, nous avons béni l’union
de M;. Benjamin Peyronel avec M.lle
Marie Marguerite Peyronel, de Riclaret.’
★ Après quelques jours de maladie, le
8 juillet, est décédé au Linsard, Pierre
Eefo'urn, âgé de 50 ans. Aux parents,
et d’une manière particulière aux sœurs,
nous exprimons. notre sympathie.
★ Plusieurs membres dé notre paroisse résidant à l’étranger, en Amérique et en France, sont revenu.s pour
nasser quelque temps aux Vallées. En
leur donnant la bienvenue, nous leur
souhaitons un agréable- séjour au milieu
de n/ous.
★ Comme par le passé, nous tenons
à remercier vivement notre fidèle
groupe de Marseillais, qui, cette année
encore, nous a fait parvenir, pa,r le
moyen de M. H. Villielm et M. .1. Clôt,
une jolie somme d’argent en faveur de
notre Eglise. C’est pour nous un témoignage touchant de fidélité et d’intérêt
Dour les œuvres de la paroisse ; nous
leur en sommes profondément reconnaissants.
Nascite N“ 2 — Decessi N® 2
«a
fa
M
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COMUNE DI TORRE PELLICE.
Stato CiYlle flal 5 all’ll Luglio 1937-XV. «
Le lieutenant Feyles remercie et salue *.
les chers amis de la Vallée, qui l’ont si
fidèlement rappelé, et leur envoie un cor- ^
dial «au revoir en août».
Pensione TRON - Massello
:: Altitudine m. ¡200 ::
Panorama incantevole - Camere con
acqua corrente - Bagno - Ottima cucina
Prezzi modici.
3
M:
L’^bo des Vallées, -'s
16 Juillet 1937-XV ;
X ,% ; ?r>‘'* ■‘jÉs/^t ^ -Í-J J’-f.st’ ^
^Jf}: J ^ ^
Centenaire
de la Ulte Mil MÉe (Hit»).
Samedi dernier avait lieu, à Lau^
®anne, la célébration du centenaire de
la Société d’Histoire de la Suisse ro^
mande. La Société d’Etudes Vaudoisea
■de La Tour avait été invitée à cetite impiortante commémoration, et j’avais été
chargé, avec le prof. Castiglione, de retprésenter notre petite Société à cette
manifestation.
La séance ofRcieUe, qui eut lieu au
Palais de Rumine, comprenait un intéressant rapport du président, le prof.
Gilliard, puis une conférence avec projectiians lumineuses de Monseigneur Besson, évêque de Lausanne et Fribourg,
qui fit passer sur l’écran une série de
manuels scolaires de la fin du XV®
siècle.
Ces précieux incunables dont la plupart constituent des chefs-d’œuvre de
l’art typographique à ses débuts, furent commentés avec compétence par
le distingué conférencier. Puis lé prof.
Piaget fit une charmante causerie sur
le château de Champovent, un des
mieux conservés du Canton de Vaud.
Après cette intéressante séance, les
autocars nous transportèrent sur la Riviera suisse, par cette route merveilleuse qui longe le bleu Léman.
Ce fut au Grand Hôtel de Territet
qu’eut lieu le banquet officiel, puis on
fit une rapide visite au Château de
Chillon, — construit par Pierre de Sa;
voie, le petit Charlemagne — où un
groupe de charmantes vaudoises en costume du pays accueillit les délégués par
des chants patriotiques.
Après une réception dans le parc de
la magnifique demeure du docteur Châtelanat, les cars nous emportèrent vers
J.ausanne.
Malgré la présence de nombreuses
personnalités venues non seulement de
Suisse, mais de France et d’Italie', la
participation des délégués des Vallées
n’a pas passé inaperçue, et le Président
. exprima sa joie de voir les représentants de la Société d’Etudes Vaudoises.
Je voudrais, en terminant, recommander à tous les Vaudois qui voyagent,
surtout à rétranger, de ne pas oublier
do mettre à leur boutonnière le petit
insigne des Vallées.
Le petit « Lux lucet » que je portais
excita la curiosité de beaucoup de personnes. Un délégué italien m’aborda en
me disant qu’il avait reconnu l’emblèino qui orne l’Eglise Vaudoise de Milan ; un autre me parla de rhistorien
vaudois, le prof. Pierre Rivoire; à un
autre, la vue du chandelier et des étoiles rappela un séjour qu’il fit aux Vallées. J’eus ainsi l’occasion de répondre
à do nombreuses questions sur les Vallées et sur les Vaudois.
Emile Benech - Genève.
socieU biblica britannica e forestiera.
ÿ Nouvelles du travail biblique.
! EN ESPAGNE.
Malgré la situation difficile créée par la
. guerre civile, il est réjouissant d'appren■ dre que le dépôt biblique de Madrid est
toujours ouvert ; même un colporteur a
recommencé à circuler par la ville,
f A Barcelone, où se trouve un autre déï pôt de Saintes-Ecritures, le Comité de
la Fête du Livre a permis qu'on exposât
aussi des Bibles sur la principale place de
'i la ville. Devant la porte du dépôt, un
Stand offrit pendant trois jours les Saintes-Ecritures, et 180 Bibles, en plus de
211 Testaments et Portions furent venf due.s.
AU PORTUGAL.
La Fête du Livre, à Lisbonne, ouvrit
aussi ses portes pendant vingt jours à la
Société Biblique, dont le Stand fut accessible tous les jours, de 4 heures du mar
tin à minuit. Cela permit de vendre plus
de 13.000 livres en 21 langues de l’Iinpire Portugais. Un haut fonctionnaire
8
voulut, exprimer à la Société Biblique la
reconnaissance de tous ceux qui, au Portugal, s’intéressent des questions coloniales. La Société Biblique a en effet rendu
accessibles, par ses traductions, plusieurs
des langues les moins connues; c'est un
service rendu à la civilisation auitant qu'à
la religion.
Notre Société vient de terminer la ^
vision de l’ancienne traduction de la Bible par le Rév. Père Antonio Perreire De
Figueiredo, selon les nouvelles règles de
l’ortographe portugaise récemment adoptées aussi au Brésil. Cette révision aura
certainement un grand succès partout où
la langue portugaise est parlée.
fait$ et ffooVetUs.
Pays-Bas. Pour la paix. La Ligue, des
Femmes néerlandaises pour la Paix, et
la Ligue internationale des Femmes poTir
la Paix et la Liberté, ont organisé, le
18 mai, journée do la Bonne volonté, une
procession silencieuse, qui s’est déroulée
dans la ville d'Utrecht. Des milliers de
femmes néerlandaises y ont pafticipé, ainsi
qu’un grand nombre de déléguées de l'étranger. Un message fut envoyé à la
Reine des Pays-Bas et au Président de la
Cour permanente de Justice internationale à La Haye, tandis qu'au « Palais dé
la Paix», une couronnio fut déposée au
pied de la statue du « Christ des Andes ».
Dans ce message, les femmes des PaysBas expriment leur confiance dans la victoire du droit ; elles, insistenit pour que
des efforts plus nombreux et plus puissants soient faits pour régler les différends
entre les peuples par une collaboration
internationale, basée sur une Société des
Nations plus forte.
(S. CE. P. 7.,.Genève).
» «t »
- Le doct. John R. Mott et la gie&rre^. Rentrant d’un voyage de six mois en Europe,
dans le Proche-Orient et les Indes,- M. John
R. Mott, président de l’Alliance Universelle des Unions Chrétiennes de Jqunes
Gens, déclare qu’aucune nouvelle conflagration mondiale n’est à redouter, les peuples de la terre étant devenus trop conscients des dangers et des graves répercussions de la guerre. Il prévoit égadement que les peuples de l’Orient participeront d® plus en plus à la vie internationale.
Il croit que si nous voulons établir la
paix, nous devons modifier notre présente
attitude. Alors que de tous côtés on reconnaît pleinement les maux qu’entraîne
la guerre, on parle très peu des causas
mêmes de la guerre. «Si j’en avais la
possibilité », ajoute M. Mott, « je dissoudrais plusieurs des organisations pacifis'tes existant actuellement, en fédérerais
d’autres, changerais le nom d,ei certaines
d’entre elles, et je fixerais uniquement
mon attention sur les causes de guerre ».
{S. Œ.~P. J., Genève).
» if: *
' Beloique. Le dimanche 20 juin, l'Eglise
chrétienne missionnaire belge a célébré
le centenaire de sa fondation. ; le matin,
par un service solennel, à Bruxeles, dans
l’immense Salle des fêtes de Heysel ; à
midi, par une agape -fraternélle réunissant 1.200 convives ; l’après-midi, par une
autre cérémonie des plus impressives.
Les Eglises protestantes d’Europe n’ont
pas manqué de s’associer à la vie de l’Eglise chrétienne missionnaire .belge, et
plusieurs délégués sont accourus de divers
pays.
Le lundi et le mardi a siégé le Synode.
Nous participons nous aussi à la joie
d'une église sœur, dont la mission est la
même que la nôtre.
Hi «I «
P’rajîce. m. Gaston Doumergue, premier président de la France de religion
protestante, est mort à Aigues-Vives, son
pays natal, le 18 juin, à l’âge de 74 ans.
Il était issu de l’une des familles les
plus estimées et les plus notables du Midi
protestant.
Un journal écrit de lui : « Parmi les anciens hommes d’Etat, il conservait ime
place de choix. C’est qu'en lui la France
avait reconnu les qualités qu'elle préfère :
rintelligence nuancée de bonhomie, le
sens de la mesure, l’autorité souriante ».
* * *
République Argentine. Le gouvernement de la République Argentine a alloué une subvention de 3.50.000 dollars
(environ 1.050.000 francs suisse) à l'Union chrétienne de jeunes gens pour l'édifice que celle-ci compte inaugurer dans
quelques semaines à Buenos-Ayres, et dont
le coût total s'élèvera, à un million de
doUarsL (S. p. p.).
■N H: *
'■^Effiises ouvertes. A Genève, à l’intérieur
4e la cathédrale de Saint-Pierre, la chapelle dite de Nassau a été consacrée comWe lieu de recueillement, accessible tou?
jours et protégé par un ample rideau
, centre le dérangement causé par les vi' siteurs. Læ droit d’entrée réclamé de ces
(ferniers sera suppriipé pour ceux) qui
viendront se recueillir dans cette chapelle. Il leur suffira de présenter une
C|p4:e permanente, qui leur sera délivrée
gratuitement à la conciergerie.
Aux Etats-Unis bn fait actuellement une
expérience semblable. Le Doyen de l’Eglise
St-Jean à New-York déclare à ce propos
que rien n’est plUs beau dans la vie d’une
ville qu’une église ouverte dans laquelle
chacun peut pénétrer pour échapper àu
bruit de la rue et pour renouveler ses forces spirituella“'. (S. p. p.).
* * »
Un grand chrétien et h, Conférence
(ÎOxford, 1937. Le doct. J. R. Mott, présîdiecit du Conseil International des Missions et du-Comité Universel des Unions
Chrétiennes de Jeunes Gens, vient de faire
un long voyage de six mois en Extrême
et Proche-Orient. H rapporte de cejite randonnée une impression optimiste, qu'il a
motiveq a un correspondant de la façon
suivante ;
«Si j’estimais que les organismes religieux et les autres forces à l’œuvre
avaient fait tous leurs efforts pour conjurer les périls actuels, je serais pessimiste quant à la situation présente. Mais
j,q ne me suis jamais rendu compte’ aussi
clairement du fait qu’aucun d’eux n’a fait
ju^u’ici le dixième des efforts qU’il aurait dû accomplir; c’est là la raison de
ipon optimiisme. J’ai trouVé les. chefs de
fife de ces mouvements, vigilants, attentifs, conscients des dangers aètuels. Je
crois que dans une dÍ2:aine' d’années, nous
considérerons la période actuelle comme
une époque de transition, durant laquelle
les hommes auront recherché et expérimenté de nouvelles voies pour l'humanité ».
Le doct Mott attend beaucoup de la^ Conférence œcuménique d’Oxford, en juillet
prochain, sur « L’Eglise, la Nation et l’Etat ». H présidera lui-même le Comité adniinistratif do cette Conférence, qui, a-Lil
ajouté, « a un double but : Premièrment,
, définir les problèmes qui doivent retenir
1 attjention commune des chefs chrétiens ;
secondement, permettre la concentration
des forces positives do la chrétienté on vue
de la solution de oes problèmes. Si ne® esprits doivent êtiie stimulés, nos pensées
seront dirigées vers un|e compréhension
mutuelle des efforts à tenter à l’heure actuelle »,
Nous aurons avant tout », continua le
doct, Mott, « à apprendre à nous écouter
ies uns les autres. Ceci semble une vérité
banale, mais n'en est pourtant pas une.
Noua sommes, en réalité, tellement absorbés par ne® propres problèmes, que nous
oublions ceux des autres. Nous découvrirons ainsi ce que, nous avons à apprendre les uns d^ autr^. La Imnière surgira d’un côté inattendu. Nous parviendrons à comprendre véritablement les buts
et les aspirations 4^ uns des autres, ce
qui contribuera à créer une atmosphère
bienfaisante, d’une valeur inappréciable».
« Nous nous libérerons de notre nationalisme et die notre dénominationalisme
pour réaliser que des chrétiens de diverses dénominations^ de milieux difiPérents et
d’expériences variées sont nécessaires les
|Uns aux autres».
grand espoir de la Conférence d’Oxford, c’est d’arriver à plus de compréhension et d’unité, pour pouvoir ensuite lutter d’un commun accord contre nos ennemis communs. Nous sortirons ainsi d’une
situation inipo^ble — humainemleint parlant, il s'agit bien, en effet, d*Uiné situation inextricable — conscients de rempKr
ainsi notre mission».
Le doct. Mott souhaite particidièrement
la présence de nombreux laïques à Oxford.
« Les laïques », dit-il, « sont plus pratiques que les ecclésiastiques. Aussi fidèle-,
ment que les ecclésiastiques puissent in'■ terpréter et faire connaître les résultats
de la Conférence d’Oxford, le but de ceitte
dernière ne pourra être atteint, si les laïques ne sont pas suffisamment nombreux
pour faire pénétrer et mettre en pratique dans la vie quotidienne les résolutions
adoptées ».
Comme nos, communiqués précédents
sur la préparation de la Conférence d'Oxford ï’oht relevé à plusieurs reprises, la
participation des laïques est garantie par
le travail intense qu’ont fourni des juristes, des socioli^uQS, des pédagogues et des
V ~ .J*
experts émânent»'dans les groupes d'études préparant k Conférence. De plus, on
compte sur la presence à la Conférence
d’Oxford d'un grand nombre de laïques
parmi lee cents délégué clmisis par le Gonseil Œcuménique du Christianisme Pratique (m dehors des "’délégués officiels, des
Eglise), {S, CE. P. L, Genève).” f
• •a
Un Nouveau Testament avec le sôeau
bolchevique. Après la mort du pasfteiub
balte- Oscar Schabert, bien connu pour son
couragiq, la Société biblique du Wurtemberg a reçu, en souvenir de lui; son petit
Nouveau Testament qu’il portait toujours
sur lui et qu’il avait d’aiUeurs promis de
laisser à la dite Société pour ses archives.
Ce petit Nouveau Testament porte un signe bien original : isur la page de titre
figure l’étoile soviétique avec cette. inscription en letton : « IProîétarien® de tous
[es pays, unissez-vous. République tettone,
pri^n gouvernementale de Riga ». Ce
sqaau bolchévique a été apposé sur le petit livre en l’annlée 1919,' lorsque le pa»i
teur Schabert fut envoyé en prison avec
beaucoup d’autres pasteurs et membres
de l’Eglise. Au cours d’une scandaleuse visite dje corps, on mit la main sur ce Nouveau Testament, le pasteur Schabert
était prêt à tout livrer, sauf ce livre.
Après bien des luttes on finit par le lui
jeter en lui disant ; « Tiens, prends cette
saleté ». Mais Schabert insista pour qu'on
y mît le sceau de la prison, afin qUe les
giSrdîens ne“puS3ent pas le lui reprendre.
C’est ainsi crue le sceau boJebiévique a été
■ apposé sur la page de titre et sur plusieurs autres pages de ce Nouveau Testar
mjent qui a servi à la consolation et au réconfort de nombreux prisonniers.
(S. p. p.).
Les Llwrch
Pourquoi je crois à la Divinité de . JésusChrist.
Etude donnée à la XVII® Assemblée Générale de rUnion des Chrétiens Evang^ques (Saint-Hyppolyte-du-Fort, 23-^ avril
1937), par le pasteur B. DecœvÈt.
La Mort expiatoire et la Résurrection du
Christ, par J. M. Nicoiæ, professeur
à l’Institut Biblique de Ni^entrBurMarne.
Etude donnée là ilp. même 'Afesemlblée
Générale.
L^Ascension et le Retour du Seigneur, par
Ip pasteur Paul Bordeüil.
Etude donnée à la même AsssemHée
Générale.
^ Chaque bntMhur© coûté 2 francs - Editions de l’Union des Chrétiens Evangéliques - FrancescaS (Lmt-et-Garonne).
Le Grand CEuvre de Dieu, par Pierre
Maury. — Editions « Je Sers » - Paris — Editions « Labor » - Genève. —
Prix ; francs suisses 3,40.
« ik Ht
Un Héros Cévenol, par M.me VmcentAusset. — Nouvelle Société d’Editions de Toulouse.
Ht Hi Hi
Anonyme : Livre de prière, adopté par
la Communauté des Veilleurs. Un volume, in-16", de 356 p^es, sous couverture illustrée. — Edition « Labor »
- Le Grand lancy - Genève. — Prix :
francs suisses 3,70,
Fixeir sa pensée sur les réalités éternelles, en Dieu. Communier, en état
d’oraison, avec le Christ médiateur,
avec le Père lui-même. Prier peur soi,
intercéder pour autrui, ^ur que vive,
de la vie ardente et divine, sa propre
âme et celle des autres, pour que le Règne de Dieu s’étende et s’affermisse en
ce monde; tel est le rôle dévolu à la
prière.
Afin de le préserver dés redites ou
de la platitude, pour l’élever toujours,
un cadre (semblable à un guide), est
d’une utilité certaine.
C’^t ce qu’a fort bien compris et
conçu l’Auteur. Le lÂvre de Prière qu’il
nous offre est le fruit d’un persévérant
labeur. L’idée directrice est que «l'étât
d’âme de l’adorateur varie avec rheure
du jour,, avec la saison du calendrier,
avec le câdre ecclésiastique des fêtes
chrétiennes ».
Chaque jour, et par trois fois, le Livre de Prière conduit le chrétien par
le chemin des textes bibliques jusqu’aux
inspirations les plus hautes. Des oraisons célèbres — nommées viatiques
terminent cet ouvrage, qui constitue un
précieux enrichissement pour le mystique évangélique.
Tout chrétien, soucieux des progrès de
sa vie intérieure, sera reoemnaissant à
l’Auteur inspiré, de ce beau bréviaire
protestant. . ' En, D,
4
»ai; I»“' ' -.9- J®, ' v ,r>».. •¥■•...... . •■
>?-Â -, :ï;
;:s;;„i^iuM;7i7r‘"r'^"~. .r.."i . ' V'’ : n '-n^' '.n,: ■■ f-' ^
;777-iÁ'.'' •'7--«’‘''*• ■'! <• '
• 5Î($.
L’Echo des Vallées'- Vendredi 16 Juillet 1937-XV
fi» :
^y
;“Mniitdiiii Mtaniin Vaniolie:. .
REFUGE ROI CHARLES^ALBERT/
- Rivoire Elisabetta, Stringats, Angrogue^
L. 10 r,Rivoire Pietro, Rivoires, Id., 5
Bonjour, Giovami e Signora, Pianta, Id..
10 - Long Marey, Roma, 25 - Ing. Giüitio
Goes e Signora, Lusema S, Giovanni, 50
Letizia Zotti, I(L, 5 - Graire Or^ne. Ponaaretto, 10.
Ccmnes: M.Ue Weber, frs. français 100
- E. Wemery, 50 > C. Chambon, 50 - E. J.
Wagner, 20 - B. Poron, 25 - Elise Baer,
10 - Anonyme, 100 - L. L. Bertin, 15 C. Sauvan, 20 - Verine, 20 - B. Bounous,
25 - Fani. E. Malan, 20 - Serra Bertin, 5
- M.mes JaRa, 30 - Pierrisnard, 50 - Salles Landry, 10 - F. Winter, 1Ò - Lusin, 10
- Pasteur Donzé, 20 - M.me Peyrondl, 25
M. et Mane Pezzuto, 25 - Frédéric et
S. Long, 30 - Dupont Jouve, 'lO - Odin
Lina et Jean, 10 - Albertine Fomeron, 10
- M.me Garavagno, 15 - F. Bertalot, 25 Meunierj 10 - C. Ercone Malan, 10 - Méry
Malan, 10 - M. Giottoli Monnet, 16 - Miss
Hate White, 25 - H. Mazza, 30 - T. Roggia, 30 - Mme Roux Mazza, 15 - Mme
Jouve, 20 - L. Mortz, 20 - Henriette Bianchi, 25 - Aline Ribet, 10 - M.me Guiral, 20
Amédée StaUé, en souvenir de J. Daniel
Staile, 50 - Pasteur Bonnefon, 10 - M. P„
10 - A. Rey, 5 - Madeleine Coïsson, 50
M. me Carota, 5 Cauda, 10 - Marie Meyer,
20 - M. et M.me Genre, 15 - Ferrerò Judith, 5 - Pastre H., 20 - Ferrerò Henri, 5.
- Total francs français 1185.
Les Dames de la Société de Couture de
l’Eglise Vaudoise de Gênes, L. 150 Eglise Vaudoise, PraJi, 20 - Emilia Boünous Jahier, S. Germano Chisone, 10 - Catherine Léger, Torino, 50 - Edouard Stephens, Londres, 50 - Eglise Vaudoise de
Bobbio Pedice, 15 - Id. de PramoUo, 50 Meta Galliàn-Bauer, La Tour, 500 - Jean
Charbonnier, Id., 10 - A. Bride!!, Lausanne, 10 - Doet. E. Winzêler, Lugano,
431,70 - Coniugi ImmoviHi, Reggio Emilia, 25 - Lega Femiminile Valdese di Milano, 250 - Chiesa Evangelica Valdœe di
Roma (Piazza Cavour), 100 - Chiesa Evangelica V^lHese di S. Germano Chisone, 50
- Coucourde Giulio, famiglia, PÌnerdo, 10
- Gardiol Lidia, vedova, S. Secondo di Pinerolo, 25 - Long-Rivoire Fanny, Pinerolo,
20 - Salma maestro Enrico, Id., 25 - Bahna
prof. Ausonia, Id. 25.
HOPITAUX.
Rivoire Elisabetta, Stringats, Angrogna, L. 10 - Coïsson Bart., Jourdans, Id.,
10 - Buffa Daniel, Sonaillettes, Id., 5 Bonjour Giovanni e Signora, Pianta, Id.,
10 - A. C. D, G. dei Simondi, 20 - Ghigo
Alessandro, Pomaret, 10 - Rostan Margherita ved. Peyrot, Id., 10 - Peyrot Lidia, Id., 10 - Griot Clemente, Id., 15 Eglise Vaudoise de Prali, 30 - Id. de Bobbio Pedice, 20 - Id. de PraimoUo, 40 - M.Ue
Weber, Cannes, frs. français 50 - Anonyme, Id., 100 - Madeleine Coïsson, 30 Meta GaUian Bauer, La Tour, 500 - Coniugi Peyronel Federico, Valdese (North
Carolina), 94 - Pascal Giovanni, IcL, 04
Gaydou Teofilo, Massaio, 6 - Costantino
Giuseppina, Inverso P., 50 - Bernard Giacomo, Pomaretto, 10 - Eugenia GeymetCabella, 50 - Avv. Alfr. Messina, Perosa
Argentina, 10 - Bertalot Susanna, Id., 5
- Louis Jourdan, Cobnia Vaidense, 100 Coucourde Giuh'o, famiglia, Pinerolo, 20 Coïsson Alice, Id., 5 - Salma maestro Enrico, Id., 25 - Suor Rina Rosa-Brusin, Id.,
25 - Ricca-Meynier Seiina, Id., 25 - LongRivoire Fanny, Id., 20 - Salma prof. Ausonia, Id., 25.
ORPHELINAT.
Eglise Vaudoise de S. Germano Chisone
(dimanche de la Mère, L. 70 - Rivoire Elisabetta, Stringats, Angrogna, 10 - Buffa
Daniel, Sonaillettes, Id., 5 - Rivoire Pietro, Rivoires, Id., 5 - Bonjour Giovanni e
Signora, Piantà, Id., 10 - Elda Bertalot,
Jourdans, in occasione sua ammissione in
Chiesa, 10 - Les Dames de la Société de
Couture de l’Eglise Vaudoise de Bergamo.
400 - FamiUe Long, Bobbio PeUice, 100 A, C. D. G. dei Simondi, 20 - Elisa Lan^taret, Pomaret, 20 - Peyronel Marina, Perrero, 10 - Eglise Vaudoise de Perrero-Maniglia, 40 - Ecole du dimanche, Perrero,
10 - Albertine Buffa, Villar Pdlice, 10
Ernest Buffa, Id., 10 - Eglise Vaiidoise,
Id., 50 - Bonnet Matilde, Torre PeUice, 100
Borsa Poveri Vaildesi, Pomaretto, 30 - Les
Dames de la Société de Couture de l'Eglise
Vaudoise de Siena, 25 - Eglise Vaudoise
de Prali, 25 - Id. de PraanoUo, 50,
Cannes : M.lle Weber, frs. français S) Serra Bertin, 5 - Méry Malan, 10 - Anonyme, 100 - Madeleine Coïsson, 50. —
Total frs. français 215.
Eglise Vaudoise de Turin (dimanche de
la Mère), L. 425 - Ecoles du dimanche de
l’Eglise Vaudoise de Turin, 175 - Consda-F
toire de l'Eglise Vaudoise de Tiìrin, 200.,
- Marguerite E. Bienz, Genève, 50 - Commune de Terre Peilice (1937), 100 - Meta
Galliari ^auer. Torre Peilice, 500 - Doct.
Alfredo Quattrini, Id., 50 - Chiesa Valdese,
Aosta, 50 - ‘ Coniugi Peyronel Federico,
Valdese (North Carolina), 94 - Pascal Gio-'
vanni, Id., 94 - Eugenia Geymet et EUsa
Cabella, Rorà, 50 - Coniugi ImmoviUi,
Reggio Emilia, 25 - Chiesa Evangelica Valdese di Pisa, 50 - Chiesa Evangelica Valdese di Prali, 25 - Miss HoUings Chalbm-y,
10 - Lega Femminile Valdese di Milano,
250 - Chiesa Valdese di Colonia Iris, 130
- Chiesa Eh'angelica Valdese di S. Germano Chisone, 100 - Bertalot Leontina,
Pinerolo, 40 - Gardiol ved. Lidia, S. Secondo di Pinerolo, 50 - Ricca-Meynier Seiina, Pinerolo, .25 - Godino Delio, Id., ricordando la sua prima comunione), 10 Balma prof. Ausonia, 25 - Colletta Domenica della Madre, Chiesa di Pinerolo, 126
- Goss Stefano, Torre Pedice, 4 - Cou, courde Giulio, famiglia, Pinerolp, 10
Balma maestro Enrico, Id., 30 - Coasson
Alice, Id., 5 - Long-Rivoire Fanny, Id., 20
- Scuole domenicali, Id., 30 - Bertalot Giovanni, Torre Pedice, 10 - Bleynat Lamy,
Id., 2.
« FLEURS A LA MEMOIRE ».
Pour le Refuge ;
50,—
1000,—
5000,—
Catherine Léger, Turin, en souvenir du comm. Leopoldo Bounous L.
Enrico et Arturo Pascal, Torino, en souvenir de leur
chère maman »
Les enfants de M.me Mathilde
Ribet, en souvenir de leur
mère »
Les familles Geymet, GugÜelmone. Lina Talmone in Gönnet, Maddalena Monfrino,
Tina Rivoira, Emma Charbonnier, Michele Molino (Torino e ‘Bellosguardo di Lusema S. Giovanni), à la mémoire de M.me Math. Ribet » 115,
Sig.ra Gily' Camerlata, à la mémoire du frère Alberto »
Id., à la mémoire du fils Walter »
A. et L., Pinerolo, à la mémoire de Long Bona »
25.
25,
10,
Pour Hôpitaux :
Commune du Perrier, à la mémoire du regretté comm. Pietro Vida
Bessone, famiglia, Pinerolo, à
la mémoire de Pons Enrico
Bertalot-Beux Maddalena, Id.,
à la mémoire de son mari
100,
50,
30,
60,—
500,
100,
20,
» 2U,—
Pour l'Hôpital dti Pomaret :
Les amis, Saint-Germain (Chenevières), à la mémoire de
Paul Alexandre Constantin
Pour l’Orphelinat :
Enrico et Arturo. Pascal, Torino, en souvenir de leur
•chère maman
La famüle, St-Germain (Chenevières), en souvenir de
Paul Alexandre Constantin
Emma Crooetti-Decker, Torino,
en souvenir de M.me Mathilde Ribet
Les enfants de M.me Mathilde
Ribet, en souvenir de leur
mère
A. et L., Pinerolo, à la mémoire de Long Bona
Gardiol-Gay Attilia, Id., à la
mémoire de son mari
N. N., Prali, ne souvenir de
leurs bien-aimés
Errata Corrige. F. P., Torino
(et non E. P.), «in memoriam », pour l’Orphelinat de
La Tour
Avec des remerciements sincères.
Pour l'Administration ;
Le Président : Aw. Stefano Peyrot.
» 3000,—
10.50,20,
ìi
» 2U,—
» 500,—
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TORRE PELLICE ----
Tutti 1 lavori tecnici relativi alla professione
Agisce da intermediario per la compravendita
di stabili di qualunque natura
ed accetta le relative commissioni
Denunzie di successione
fatte con criterio razionale
TERRAINS EN VENTE
Prarustin (Allamanda) : une maisonnette:
avec une journée et demie de terrain. (Billia) : maison avec 5 journées de terrain. — Rorà (Ciò Bruera) ; Châlet rustique avec petite étendue de terrain et cave
de pierre, aménagé pour le séjour d’été.
— Bobi : deux magnifiques Villas, avec:
toutes commodités modernes, garage,,
nombreux arbres à fruits.
Pour* informations s’adresser à M.r
Baud — Administration du journal —
avec un timbre poste pour la réponse.
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Terrains pour bâtir, en positions magnifiques, à Torre Peilice et Liiserna S. Giovanni. — S’adresser au journal.
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dalle ore 148 alle I*.
Studio Tecnico-Amministrativo
LMH:
Progetti: costruzioni rurali^ civili, stradali, idrauliche,
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Amministrazioni : immobili, consegne e riconsegne, inventari, bilanci fondi rustici.
Compra-Vendita immobili. — Successioni — Divisioni.
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Germano Chisone - Via Gorge, 12
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S.A. HELVETIA-VARESE.
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