1
Soixante-dixìème année - Anno XII®.
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9 ISOLars 1934
N® 10
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CHAQUE VENDEEDI
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Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables...» dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8),
dai'
PODR U VIE MÉRIEPRB
Paroles de magistrat.
Nous lUtous faisons un devoir de publier
ce fragment du discours, prononcé récem.^
ment à Lausanne, par iVI. le président de
la Contfédéraltion helvétique, Pilet-(jolaz, à
l’occasion de la cérémonie qu,î eut lieu à
la cathédrale de Lausanine, sous la- présidence de M. le profesæur Chamorel, viceprésident de la Commission synodale. Ces
.lobles paroles méritent d'être lues et méditées; eles font honneur à l’homme qui
les a prononcées.
• « ...Les forces spirituelles demeurent et
resteront les maîtresses du monde. Notre
civilîaation à nous, oette civilisation qui
pourrait être si grande, si hele, si lumineuse, cette civilisation dont nous nous
sommes enorgueillis et qui risque de nous
perdre par une folle présomption, repose
entière, non sur la technique utile et
inerte, mais sur le christianisme rédempteur. Or, le christianisme, quel qu’il soit,
a pour essence l’aimour. Dieu est amour.
Détournons-nous donc de la contrainte, de
la violence et de la haine. Revenons au
respect ,du prochain. C'est le commencement de la sagesse. Rejetons Fégoïsme qui
»«us a fait confondre personnalité et individu, jouissance et bonheur, richesse et
épianouissement. Vomiissons le matérialisme, poîa>n‘ de notre époque, il ne nous conduirait qu’à la béatitude mortelle de la
fourmilière. Aspirons à large poumon les
forces morales. EUes sont simples, elles
sont sûres, elles sont bienfaisantes.
« Si l’humanité est châtiée aujourd'hui,
c’est qu’elle a cessé d’être honnête ; les
Etats d’abord, les individus ensuite. Elle
a voulu être habile, maligne, débrouillarde.
Elle est devenue méfiante, retorse et ma“
ladroite. Croyez-moi : la grande finesse de
la vie, c’est la droiture.
« Mais qui dit honnêteté, dit conscience
juridique. Admettre les droits d’autrui,
c’est reconnaître sels propres obligations.
Pour ne plus nous soumettre aii devoir,
nous avons nié le droit. Or, le droit est la
condition pi-emièrie de l’ordre et l’ordre
la source de toute prospérité durable. Désireux d’agir à notre guise, de n'obéir qu’à
notre bon plaisir, nous avons secoué l'ordre : et le désordre nous menaic© ou de sa
folie, l’anarchie, ou de sa camisole de force,
la dictature.
« L’ordre ne va point d’aiHeurs sans l’autorité. Elfe procède idé l’exemple, magnétisme tout-puissant. 'Mais l'exemiple, l’avonsnous donné, voulons-nous encore le donner ? Nous célébrons la patrie, nous honorons la famille. Sommes-nous en fait de
bons patriotes, de bons pères, de bons
miaris, de bonnes mères et de bonnes épouses ? Tout ieSt là, ceipeandant. Ne cherchons
pas aiHeurs. Notre force est en nous. C’est
par rintérieur qu'on agit au dehors... Honnêteté, droit, ordre, autorité, justice, désintéressement ; voilà les apôtres véritables d’un redreagement salutaire. Vous
exigez trop, pirotesteront d’aucuns. Vous
demandez l’impossiblie ; l’homme ne peut
se hauæier jusqu'à "votre idéal C'est ce'
qui trcanpe. A cet égard, je suis d’un op^
timiisme indéfectibla On me reproche souvent de voir tropi en noir, d'être pessimfete. Sur oe point je îi’hésite pas à m’exposer au grief contraire. J© suis chaque
jour stupéfait de idécouvrir des qualités,
des vertus, des courages nouveaux. Ils
abondent dans le peuple, dans le peuple
surtout qui n'a" pias été gâté par la vie.
La grande masse œt resté© saine. Vous
ne vous doutez pas, ou plus justement convenez avec moi des trésors de travail,
d'économie, de bonté, de droiture, de dé
vouement qu’ele prodigue encore».
M. Pilet-Golaz.
{Le Chùstiardsme au ZZ® siècle).
Tn gerag heufeui^...
C’est un document inédit, sauf erreur
ancien, dû^ moins je l’espère ! Son aispect
est vénérable, jauni, à demi-brûlé, sentant
la fumée, le moisi, le renfermé. C’est-àdire qu’il présente tous les caractères consacrés des histoires véridiques. Il eist ancien, et son style n’est pas précisément
celui d’un bon français ; même, un compétent, pourrait, grâce à lui, découvrir
le nom' de l’aiuteur et le lieu d’origine.
Donc, ...lîsons-le ensemble, en partie du
moins.
« Je viens d’assister à la première séance
du club des « censeurs ». Afin que mes
descendants, s’ils liront jamais ces quelques notes biographiques, sachent de quoi
il s’agit, je rappederai encore, en passant,
que notre gracieuse ipietilte vüfe de... {le
rmti est effacé) a le privilège de compter,
en son sein, à côté d’ihnombrables sociétés
plus ou moins philanthropiques, un club
de censeurs, c’est-à-dire de philosoipihes,
c’est-à-dire de critiques. Bref, ü s’agit de
personnes qui ont pour devise : Cherchez,
et vous trouverez toujours le mal; eles
se réunissent régulièrement chaque mois,
pour le moment, et discutent avec une
parfaite sérénité sur la nature de l’homme, sur les conséquences de cette nature,
et considèrent le pessiraÎBme comme la véritable sagesse. C’est du reste un pjessimisme relatif, car s’il est vrai qu’eles répètent continuielfemeint qu’il ne faJut se fier
de personne, parce que tous les hommes
sont mtureUement non sincères, eles ont
soin d’ajouter que, elesi, natwrell&merd
sont sincères ! Leurs séances, leurs études
ont pour but d’examiner la vie, les actes
des hommes, petits* et grands, pour étayer
leur thèse : rien dé bon, rien de bfen,
rien de beau ; tout est mal fait, tout est
inspiré par l’égoïsme, tout fait pressentir
la corruption.
« Donc, hier, piremdère séance de ces braves gens... Le dernier dies orateurs s’est
enfin levé pour résumer la longue discussion et présenter une sorte de... décaloguie,
que voici :
1“ « Cherche toujours le mal dans ton
prochain.
2” « Ne te fie pas aux apparences bonnes de ton prochain.
3“ « Trouve toujouirB un but égoïste à
toutes les actions généreuses de ton
prochain.
4° « Lorsque tu ne trouves pas d’intérêt
personnel dans la vie de tai prochain, proclame que le désintéressement est la forme la plus raffinée de savoir faire ses propres intérêts.
5“ «Si l'on te raconte im épisode charitable de ton prochailn, prête une oreile
distraite, et laiisse comprendre à ton interlocuteur que l’exagériation s’entend à
embelir des actes que probablement les
circonstances avaient imposés.
6" « Si l’on te raconte un épisode qui
ne fait pas honneur à ton prochain, prête
une oreille attentive, et laisse' comprendre
à ton interlocuteur qu’ü ne faut pas
s’étonner pour si peu de choses, car pour
^ scandale dénoncéi, il y en a miUe de
çachés.
^7° «Si aucun doute me peut surgir, souris..., et hausse les épaulés !
^8" « N’exprime aucun jugement positif,
mais déclare toujours : Attendez voir ce
qui arrivera de tant de bonté !
,'|9“ «Pense que tu est seul, sihcère, et
que les autres sont... légion!
10“ « ...Et tu seras heureux ! ! ».
■ Ici mon document devient absolument
ii^chiffrabfe ; je le regrette, car cette
dernière affirmation m’a étourdi.
' Tu seras heureux lorsque tu seras convaincu que l'eau 1« plus pure est un monde
d'impureté ? ! Tu seras heureux lorsque
tu verras avant tout l’aiguiUon de
rabeiUe ? ! Tu seras heureux lorsque tu
penseras que les dents du chien sont les
armes d’un ennemi qui n’est fidèle à l’homme que parce que celui^ii le nourrit ? !
Tu seras heureux ? ! Noni ! cent fois non !
doit y avoir une faute dans mon maLuscrit ; il faut lire, à la fin : tu seras
malheureux. Car, ouvrons un peu les
yeux; là, à deux ¡pas de moi, il y avait,
quelque dix minutes paiæées, une flaque
d’eau sale, de la houe... ; et maintenant,
c’est presque uini prodige de couleurs ; un
rayon de soleil l’a frappée, l’a transformée ; ma pauvre flaque est comme recouverte di’une surface irisée !
Et d’autre part il est bien vrai que
l’eau pure n’est toujours précisément
pur© ! Pourtant, je veux qu’elle soit pure ;
donc, elle le sera !
Et toi, méchante abeille qui m’a piqué,
irai-je te maudire ? Serai-je comme le garçonnet qui gifle la table contre laquelle
il a heurté violemment sa tête, par étourderie ? Ou bien aurai-je le courage de
comprendre qu’il y a des lois mystérieuses
qui poussent toutes les abeiUes à ipd|quer
les grosses têtes inconnues qu’elles heurtent par mégarde ? ;!
Quant aux chieins, avec tout le respect
que je dois à un ancien manuscrit, je ne
peux leur .attribuer auc,une mauvaise pensée. Sont-ils fidèles simplement parce que
leurs maîtres les nourrissent ? Je n’en
sais rien. Mais je préfère avoir à faire à
un chien fidèle, plutôt qu’à un homme qui
n’est heureux qu’en supposant que je n’ainie moni chien (et mon prochain !) que
parce qu’il m’est utile!
**ii>
« Cherche le bien dans ton prochain ;
tu en trouveras toudours un peu, sous les
apparences les plus contradictoires. Une
mine rogue peut cacher une âme qui voudrait un rayon de sofeil pour s’épanouir,
et craipt de le confesser, et masque ses
sentimetnts d’un voile qui ne doit pas
être impénétrable ippur toi ! Cherche, ; et
l’égoïste révéleira lui aussi une petite fleur
qu’il n’ose même pas s’avouer! Cherche;
et sous le tissu dé médisances, de calomnies, tu trouveras plus de suaves parfums
de bonté ignorée que n'en peut contenir...
un manuscrit ! Tu trouveras le bien dans
ton prochain ; tu deviendras meilleur ; tu
seras heureux». Cl.
Seete ou Réveil ?
Toutes les églises chrétiennes ont traversé, lau cours de leur histoire, des périodes de relâchement, de sommeil spiritlueL Auæi< fe'christianisme a-t-il maintenu
sa vitalité grâce aux grands mouvements
de Réveil, qui sont venus donner une nouvelle force aux principes fondamentaux de
la foi. Le grand évangéliste américain, Finney, écrit : « UlU' réveil religieux s^Iplpose
qu’il y a eu déclin ipour la piété. Presque
tout ce qu’il y a de religion dans le monde
a été produit par des réveils» {Discours
sur les Réveils religieux, éd. franç., 1927,
page 27), En ce sens on peut dire que la
, Réforme du XVI® siècle a été un réveil..
Nous ne voulons pas prétendre que tout
soit toujours iparfait dans ces mouvements.
Ils cwit rencontré de tous temps, et parmi
les chrétiens de longue date eux-mêmes,
des opposiants. Le danger dès réveils que
nous vouions loyalement souligner ici, c’est
l’esprit de secte. Quand l’enthousiasme religieux saisît des hommes qui ont vécu
jusque-là, soit en dehors des églises, soit
dans des églises plus ou moins froides ou
formalistes, quele tentation pour eux de
faire han,de à part et de se croire meih
leurs que les autres! 'Ainsi risquent de se
former, à côté des églises fortement et régulièrement organisées, des groupes de
purs, de convertis, d’intransigeants. L’orgueil les guette. Ils accuseront les ministres du culte ide mettre la lampe sous le
bdisseau ; parfois iis iront jusqu’à supprimer au milieu d’eux tout ministère pastoral. Petits groupes fermés', ils perdent
vite leur puissance d’attaque pour attirer
à eux de nouvelles âmes; teur étroitesse
rebute. Ils garderont une piété chaude,
peut-être, mais 'qui deviendra le fait de
quelques familles repliées sur eïïfes-mêmes.
Le grapd fleuve du réveil est alors perdu
dans les sables de la dissidence, de la secte.
Quelques personnes ipensent que le résultat est inévitable : d’où leur condamnation des réveilsL Tel n’est pas le moins
dû mondé notre point de vue. Le réveil
et la secte sont, à notre sens, deux faits
religieux complètement distincts. Ils peuvent à certains moments de Thistoire se
ressembler, ainsi que nous venons de le
remarquer. Mais c'est là un accident dû
à la faibl^se humaine. La secte tue le
réveil ; mais il n’y a aucune raison pour
que te réveil enfante la secte. Bien au
contraire le réveil est, en lui-même, tout
l’opposé de la secte. C’est oe que nous montrerons aisément en comparant quelques
traits distincts de l’un et de l’autre.
« *
1“ Le réveê est uan mouvement de
l’Eglise et pour l’Eglise ; la secte est un
mouvement hors de l’Eglise et contre
l’Eglise.
Les grands hommes de réveü, de Luther et Calvin à Evan Roberts, en passanitl par Zinzendorf, Wesley, Finney, et
tous les autres, ont été passionnés par l’édifioajtion de TEgliseï Ils ont été des hommes
d’Eglise, il faut peut-être dire des apôtres. Ce dernier titre nous aiderait à voir
que tes hommes de réveil sont aü fond les
continuateurs des grands saints missionnaires du Moyen-âge, des Pèr^ de l’Eglise
et des apôtres eux-mêmi^. Le premier
réveil est celTii de la Pentecôte, dix jours
après l’ascension de Jésus-Christ, et le premier homme de réveil fut l’apôtre Pierre.
2
li
Ainsi les hommes ide rév!^ sont |»ort^ piar
un grand coiunaiit ; ils ahercihent à rsdoœü^
nier à l’Eglise, malgré Fusure du temps,
BCtti élan pirimltif. Les horamef de secte;
au coffiitraire, ont désespéré de l’Eglise et
se sont dressiês contre elle. Qu’il noiK sxiffise ide citer, pour Fépoque antiquei, ïtertuffien à la fin de sa vie, et pour l’époque
moderne, Darby.
2® Le r^veü remet en.lumière les doctrines fondamentales de l’Eglise; la secte
se cristallise mtcmr d’nm point spécial de
doctrine.
■. Les réveils authentiques ont toujours
été produits par un retour à la Parole de
Dieu, Es ont glorifié son message central,
Jésus-Christ, vénu en chair, crucifié, et ressuscité pour ]© salut du monde. Le messaige du réveil est clair, simple, direct. La
secte au contrair© brandit comme drapeau
un- point' partiouMer de doctrine. Elle met
fur le même plain^ le secondaire et l’es^
eentiel. Par exemple, l’adventisme se sépare
, de l’Eglise sur la questicm de l’observation
du repos du sabbat (siaimedi).
Certes, chaque réveil historique a pu
mettre plus spécialement en lumière un
aispeict particulier de la vérité fondamentale de Jésus. Par exempte, la Réforme
insiste avant tout sur la justification par
la foi, Westey sur la sanctifii^tion des convertis, William Booth 'sur l’amour des déshérités. Par sfutite te réveil riscfue de tourner à la secte, s’il obscurcit le message de
Jésus au :p(rofit de ce côté particulier de
la vérité. Inverserait la secte ^ son utilité pour rappeler à l’Eglise tel point
qu’elle laissait trop dans l’ombre ; Darby
a beaucoup contribué au renouveau de
l’importante doctrine du retour de JésusChrist.
Néanmoins, la distinction demeure ;
dans un réveil; on ne veut pas savoir autre
chose cfue Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié ; dans une secte on met sur le même
plan tantôt d^ vérités phis abstraites,
tantôt des doctrines secondaires.
3“ Le réveil- produit normalement un
courant d’amour dms la chrétienté ; la
secte OM contraire.
Retrouvant d’une manière vivante le
.salut qui est en Jésus seul, tes chrétiens
de réveil sont portés à aimer tous ceux
qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ
d’un amour inaitérabla Le Saint-E^rit
pfroduit en eux des fruits dfamour et de
joie... Un vif sentiment du païdoh qui est
‘ en Christ porte le chrétien à pardonner
aux autres hommes. Après tout vrai réveil, on peut dire ce que dit le texte sacré
aiù sujet du travail de l’évangéliste Philippe à Samarie : « H y ©ut mue grainde
joie dans cette vflte ». On ne peut malheureusement pas en dire autant des mouvements sectaires. Les personnes qui les suivent peuvent avoir leur cœiur excitent,
la secte en elle-même n'en a pas moins
toujours quelque chose de dur. Elle juge
les autres. Mlle se repjie sur élle-même.
EUe voue facilement à la condamnation de
Dieu tous ceux qu’élle-même condamne,
pairce qu’ils n’aximettent pas son point de
vue ^rticuMer.
On nous dira que tels réveils ont manqué d’amour : soyez sûrs, dans ce cas, que •
Fésprit de secte s’y était mis, et que le
mouvement ne méritait plus le nom de
réveil
(Tire <Î0 la brochure D’aplomb sur la
Parole de Dieu, par Louis Dàllière).
nannannnnnnnannnDDPnatj^
« SETTIMANA 01 RINUNZIA
*'■ í ni‘Usta:
Chiesa di Torino L. 12.000,—
» » Goazze » 125,-‘Santino Vincèftiffio » 5.—
Bosi Rino ^ » 5.—
Tedeschi Michiéle / ‘ » 10,—
Lorenz Zwilling-Besson Rag. Levi Rostagno e sua .» 5,madre » 20,—
César Pastre » 36,75
Coniugi Salvaranr » 20,—
Bartolomeo Balmas » SO,—
Prof. Eugenio Da'vyt » 100,—
Chiesa di San Remo » 1.400,—
Stazione di Biella » 270,—
» » Piedicavallo » 65,—
» » Reggio Calabria » 200,—
Chiesa di Roma, Piazza Cavour » 4.305,20
TOURNEE MISSIONNAIRE.
Le missionnaire M. CSiaries Vernier’ de<
la Mission de Paris, provenant de l’îte de'
Tahiti, fera dans les Vallées une tournée
de conférences' missionnaires très intéressantes, dont nous ^pjubjibns ici le programme : dimanche 11 raatrs, à 10 h. 30, culte
aiu tempe jde La Tour; te soir, salle de
la 'Maison Vaudoise de Saint-Jean; lundi
12 mars, salle de Sainte-iMarguerite, à La
Tour ; 13 mains, telmpite du VîHar ; 14 mairs,
à Bobi ; 15 mars, à Rorà ; 16 mars, temple
d’Angrogne; idimanche 18 mars, à 10 h.,f
temple de Pignerol Les réunions du soir
auront lieu à 20 heures.
La semaine suivante la tournée se poursuivra dians lai Vallée de Saint-Martin et
à Turin.
Nous ^Humes sûrs que te public vaudois
voudra démontrer son grand intérêt pour
l’œuvre missionnaiire, en accourant nombreux à ces conférences.
S3 PR ^8 «â SK SK *
mmm
CHRONI^EJ/AUDOISE
COMUNE DI TORRE PELLICE.
STATO GITILE dal 26 Febbraio al 4 Marzo
Nascite N® 1 — Decessi N® 1
BOBI. Deuils. La famille d’Henri Durand-Caïuton, du Payant, a été douloureusement frappée pat la mort de son cher
petit Henri. Nous voulons dire aux parents aflSigés : Votre toésor est maintenant dans les bras du meilleu'r ami des
petits; c’est lui qui iprendrai soin de lui.
Soyez sans cfainte ! % .
— Soirées. Les de(ux soirées récréatives,
que les Unions de Jeunes Filles et de Jeunes Gens ont offertes en commun, ont eu
un bon succès soit pour l’exécution de
quelques chœurs à deux voïx chantés avecbrio par les Jeunes Filles, soit par les diverses pièces dites vivacité par les
Unionistes d® deux sexes. Tout le monde
a fait de son mieux, et nous remercions
tous, sans distinction. ^ ^
— Visites. Jeudi, 22 février, tes Unions
des Mènes et de Jeunes Fûtes recevaient
la visite de M.He E. Meynier, secrétaii®
générale. Les 90 personnes qui eurent p
privilège d’esntendre son lalloeution sur le
devoir qu’a toute femme d’accomplir les
petites choses comme ayant un grand pr^
aux yeux de Dieu, l’en remercient de
cœur.
— Mardi, 6 courant, nous avons
l’agréable visite du surintendant de notfe
District, M. R. Malan, qui nous a donné
une très întéressainte conférence sur notre
œuvre d’évangélisation en Italié, sur sto
difficultés, ses promesses, ses encouragements. La paroisse désire lui. en témoigner
sa vive reconnaissance.
— Nous rappelons que mercredi pro
chain, 14 courant, à 8 heures précises du
soir, M. Charles Vernier, missionnaire aiix
îles Tahiti, nous parlera de l’œuvre ^des
Missions. E. T; '^
LA TOUR. On nous annonce la visite
de M. Vernier, missionnaire à Tahiti. Il
présidera te cuite de idimanche mattoi U
courant, à 10 h. 3Q, et tiendra une conférence avec projections lumineiusies lundi,
12 courant, à 20 heures, dans la saHe àe
Sainte-'Marguerite.
— Nous avons eu la visite d’église faite
par le surinteïiidant du District, M. R,
Mailan.
Samedi soir il a parlé à une nombreuse
« Jeunesse » qui remplirait l’Aula
faisant dès appels pressants à çultiver la
vraie force, qui est un besoin naturel dan«
les jeunes, sains d’âme et de corps. M. R^
MaJan a bien voulu passer ,une bonne piartie de la soirée au milieu de notre joyeuse
et bruyante jeunesse. Le Président du Comité de Groupe des A. C. D. G. a raoHité
« un voyage à Prali », à l’occaision du dernier « Convegno » unioniste.
Dimanche matin, M. IMalan visita les
écoles du dimanche de Sainte-Margueirite
et id© Via lliva, où il ©ut l’occasion de
« causer » quelque peu avec les «ifants
de nos écoles, bien peuplées.
A 10 h. 30, te Surintendant mo"j.tadt en
chaire et devant un auditoire que lui-mêine qualifia de «magnifique», développa
d’une mianière pratique et efficace les parojes bien connues : « Toutes chc«es concourent ensemble au bien die ceux qui ai. ment Dieu ». Immédiialtement après le culte
eut lieu la « visite d’église » ; M. Malan
enifanetint l’auditoire sur la fréquentation
des cultes, la libéralité chrétienne et la
vie spirituelte. Il se réjouit des progrès
de la paroisse, mais exhorte à tendre constamment vers te but qui est loin d’être
atteint.
Le Pa$teur titulaire remercie le Surintendiant de ses paroles encourageantes et
de ses conseils.
A 15 heures, M. Malan eut l’occasion
de s’adresær aux « mères », qui avaient
ce jour-là leur réunion mensuelle et qui
écoutèrent avec plaisir te message préparé
pour elles.
Le soir, à 20 heures, la salle de SainteMarguerite était bondée ; ppblic attentif
et désireux de connaître quelques nouvelles de notre œuvre d’évangélisation.
L’attente ne fut pas déçue, car M. Malan
raconta des faits qui intéressèrent, édifièrent, et nous en sommies convaincus, suscitèrent un plus grand intérêt pour l’œuvre par excellence ide notre Eglise.
Nous ne voulons pas oublier une réunion du Consistoire, dans laquelle le Surintendant nous entretint de maints sujets
desquels il est bon que soient mis au courant ceux qui ont la responsabilité des
paroisses;
La «visite» du Surintendant a été
courte, mais bien remplie ; nous avons
lieu de croire qu’elle lai^ra des impressions durables. Nous renouvelons ici à
M. Malan notre vive reconnaissance de
nous avoir donné un peu de son temps
précieux.
— Dimanche dernier nous avons accompagné au champ du repos la dépouille
die notre frère M. Barthélemy Chanforan,
déc^ aux Ghabriols supérieurs. Il était
un des membres les plus âgés de la paroisse,
étant né en, l’an 1847. Nous renouvelons
à la famille en deuil notre vive sympathie
chrétienne.
— La Chorale Vaqdoise donnera une
soirée œrtistiqiue à FAula Magna du Collège, te 17 courant, à 20 h. 30, au bénéfice des œuvres d’éducation et d’instruction de la paroisse.
Le programme en est très intéressant ;
il a comme sujet général : Les chants de
lhistoire vaudoise; le chajnit de la promesse - le chant de lia Tésistanœ - le chant
(des Vallées persécutée - le chant de la
prison - te chant de l’exil - te chant de
la rentrée - le chant d© la victoire. Ces
chants seront introduits et ülustrés pair
de brèves explicatibns.
On représentera aussi une pièce vaudoise en un acte, inédite, se rapportant
aux Pâques Piémontaises.
Les billets d’invitation à cette intéressante soirée peuvent être retirés au Presbytère et chez M. te prof. Attilio Jalla.
NEW-YORK. Première Eglise. Dans te
rapport financier pour 1933,. qui vient de
paraître, nous ipuisons les données que
voici :
« En cette quatrième année de crise économique mondiale nos recettes ($ 3.467,02)
hélas ! ont subi une nouvelle dinxinution.
Cependaiat, par rapport à 1932, la différence n’est, aporès tout, que d’une centaine de dollars.
« Nos dépenses ayant aussi diminué,
nous avons, cette année encore, ..u clôturer notre exercice sans déficit. C’est dire
que iTK)tre fonds de réservei, celui de l’Eglise
(car vous savez que les compites de la
« Maison » forment un rapport à part),
demeure intact ($ 3.961,10). Et, ce qui
n’est pas moins importaWt, notre congrégation, qui n’est pas nombreuse — 200
membres très disséminés — a colleoté parmi ses adeptes, pour des œuvres missionwaires et de bienfaisance, c’est-à-dire dans
im but altruiste, plus de 400 dolters.
« Nous bénissons Dieu pour ce résultat ;
et bien sincèrement nous remercions tous
ceux qui, directement ou par le moyen
du Bazar ou par d'autres voies, y ont
concouru ». Rep.
NICE. Près de 200 personnes se pressaient, le soiir idu 22 février, dans la sale
paroissiale, pour fêter le XVII. Particulièremept remarqué^,, dans un coin, trois
jolies coiffes desquelles s’échappaient des
touffès de cheveux blancs. Un écrivain a
dit que « les cheveux blancs sont comme
l’écume qui couvre les flots après la tempête ». Quelle douce paix rayonnait sur te
visage ide ces vénérables et authentiques
« magne » vaudoises !
Après le chant du Retour de l’exil, le
Pasteur commémora brièvement la date
du « XVII », chère' au cœur de tout Vaudois et (demanda à Dieu que notre peuple
soit toujours le peuple de. la Bible et que
chaque Vaudois soit toujours et en toutes
ciroonstanoes ;un vrai témoin de la vérité,
à la vie pure et intègre, sans défaillances
ni sacrifices au « monde » et à la morale
du siècle. Bien des Vaudois, hélas ! se sentent tels se'ulement dans les grandies circonstances (Noël, Pâques, etc.), ou quand
il s’agit, te XVII, de faire flotter un drapeau à leur fenêtre!
Il y eut ensuite un court programme
ide poésies et de chants.
Après le chant du Serment de Sibaud —
la Marseillaise des Vaudois — et une bonne
tasse de chocolat, on se sépara en se
sant « arwfsse » à l’année prochaine.
H. C.
PBRRIER-MANEILLE. Samedi., 24 février, nous avons accompagné au champ
du repos la dépouille mortelle de Peyrot
Philippe, des Pkincio, âgé de 86 ans. Il
était bien connu sous le nom de « Barbo
Pin », et ,un nombreux cortège lui a les .honneurs extrêmes.
A tous ses parents, spécialement à sa
file Madeleine, est assurée toute notre
sympathie.
— M. Ernest Tron, étudiant à La Tour,
a tenu les deux cultes du dimanche 25
février, comme représentant de la Société
« Pra del Tomo ». Nous te remercions
vivement.
PRAMOL. Nous avons oublié, la semaine
passée, d’annoncer ajux lecteurs dû journal
le décès de notre sœur Long Caroline née
Revel, des Clots, entrée dans son repos
le 11 février 1934, à l'âge de 80 ans.
La sépulture ayant eu lieu à Saint-Germain (AKÜe des Vieillards), M. te pasteur
Henri Tron a présidé 1e service funèbre.
Nous exprimons à l’ancîeni du quartier
et aux familles frappées par ce deuil notre
sympathie émue.
RICLARET. Jeudi, 1®’’ mars, ont eu
lieu les obsèques du petit Rostan Süvio,
de Joël et de Bounous Hélène, décédé à
l’âge de trois mois, au Fort Louis.
Aux parente nous renouvelons notre
profonde sympathie chrétienne.
SAINT-GERMAIN. Asile des Vieillards.
Nos vieillards n’ont pas été oubliés, le 17
février, grâce au Comité des Dames, qui
depuis longtemps à pris à cœur de tes
entourer en leur offrant des rairaicliiasements. Nous les remercions de grand ca-nr.
— Un ide ces derniers jours, notre sœur
Caroline Revel veuve Long, originaire de
Saint-Jean, est partie pour une patrie
meilleure.
Nous avons reçu, avec reconnaissance,
les dons suivants : Eglise de Bobi, par
M. H. Tron, L. 50 - Suzanne Beux, 20 M.me Leidheuser, 150 - François Poët, ©n
souvenir de sa femme Marguerite Fermier, 40 - Société « Talco et Grafite », Pignerol, 300 - Joseph Long, en souvenir de
son ami Barthélemy Long, 20 - Elise veuve
Vinçon-, en souvenir de son mari, 10 - Mathilde Ferrahino, 10 - Joseph Vidossich, 50
- M.Ue Novarese, 50 - M.lte Thérèse Genicoud, 25 - FalmiHes Be(ux et Bounous, en ^
souvenir de Barthélemy Long, instituteur,.
20 - Alexandrin© Tron-Godino, en souvenir"
die ses bien-aimés, 50 - Long Jean Pierre, .!
fils de Caroline Reviel, en souvenir de sa |
mère, 102 - M.me EHise Farina, 10 - M.me||
BoJdrini, pour M.me Pranidi, 25 - Notaire)|
Pellissone, don de L. 154 - M.me Fornercai'|
Marguerite veuve Rostagno, Prarustin, 10.»|
C. A. Tron.
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SAINT-JEAN. M.me Poidine Foiîâj dont
iee obsèques se sont déroulées mardi aprèsmidi,, était inée à Maaieille en 1853, où son
père, M. Jean Dajniel Rivoir, était piasteur. Mariée en 1873 à M. Charles VoUla,
elle habita' d’abord à Paris où naquirent
trois de ses enfants, dont deuix furent
missionnaires au Zambèze. Plus tard eMe
s’établit à Turin et enfin à Saint-Jean, où
elle et sa file, M.me Fuhrmann, laissent
de si précieiux souivelnirs de leux activité.
Son père s’étant retnailté s’établit à
Saint-Jean et devint chapelain du Refuge,
■oeuvre à laquelle M.me Vola s’est toujours beaucoup intéressée. Elle n’a pas
manqué de faire du bien autour d’ele,
quoique d’une façon très discrète.
Ebranlée par la moirt de sa file, M.nie
Fuhrmann, eEe alla vivre chez son fils
OeorgeS, à Caluire près de Lyon ; c’est
là que Dieu fa napipelée à Lui.
Ses restes mortels ont été transportés
aux Vallées, qu'ele aimait tedlement.
Nous exprimons à ses enfants et à tous
ses parents notre sympathie chrétienne.
' , RÉd.
TURIN. Dernièrement on a eu, au Foyer,
une fête toult intime pour rappeler les
services de Mlle Lina Bonnet, qui a dirigé cette belle insti'tution pendant un
quart de siècle.
La célébration a très bien réussi et
a été une démonstration de grande reconnaissance.
La sale de l’Union offrait un magnifique coup d’œil : un progriainme préparé
pour la circonstance a ému bien des cœurs
en faisant revivre un passé de dévouement, dont la Directrice fidèle a toujours
donné un si bel exemple.
— Les hirondelles (on désigne sous ce
nom les jeunes filles vaudoises qui vont
en service pendant fhiver seulemient) ont
chaque dimanche, à 15 heures, leur réunion. Les plus zélées font un bon travail
de recherche et s’efforcent d’amener leurs
compagnes à ces réunions, où eles; se
trouvent à leur aise et où des reçoivent
une bîentfaisante influence. '
Celles qui sont libres vont ensuite au
culte de 17 heures, qui a été retardé pour
qu’l leur fût possible d’y assister.
VALDESE. Nous lisons dans le NewsHerald, de Morganton, un bon article sur
la fête du XVII février dans notre florissante Colonie de la Caroline du Nord
(U. S. A.).
Nos frères vaudois, auxquels se sont
unis quelques amis américains, ont célébré
le XVII par un banquet d’environ 175
personnes.
Le prof. Jean Pons, qui présidait, décrivît en quelques traits le 17 février
1848, en insistant sur Fimportance de ce
fait dans l’histoire du peuple vaudois.
Le syndic ‘de Valdese, M. W. E. Butler,
mit en relief l’esprit qui animait les révolutionnaires américains et celui des Vaudois et fit ressortir que les deux mouvements ont été l’œuvre de pionniers.
Le rév. J. H. Cafligan, pasteur actuel
de l’Eglise Vaudoiseï, prit ensuite la parole pour exhorter leis uns et tes autres
à retremper leur foi dans la foi de nos
pères.
MM. Benfield et Fox de Hickory, ainsi
que M. Cote Savage, co-éditeur du journal, ajoutèrent aussi queilques mots pour
exprimer leur sympathie et leurs souhaits.
Ensuite, fhon. François Garrou remercia d abord tes Américains pour la constante laimitié idont ils ont entouré nœ colons dès leur arrivée jusqu’à ne« jours,
et se datera fier d'être Vaudois et fier
aussi d’être américain.
M. Jean P. Rostan dit que la jeunesse
devrait étudier davantage l’histoire des
anciens Vaudois et faire toujours de nouveaux progrès dans cette direction comme
elle en a fait dans d'autres.
M. Jean H. Pascal, qui s’exprime d’abord
en anglais, pfuis en patois, ajouta que, ai
les Américains de la Révolution ont comibattu pour leurs ,droite, civils, tes Vaudois
ont combattu pour ceux-là ainsi que pour
leurs droite religieux.
M. Laiur^t Rivoire dît encore quelques
mote en français sur F origine des Vaudois.
^ Un pasteur italien, M. Vincent Seiscenti,
fut invité à parler en italien ; mais, par
égard ipour les Américains qui ne connaissent pas lia langue, il préféra dire, en peu
de mots, son message en amgliais et conclut en apurant que tes Vaudois sont aujourd’hui respectés et estimés sur tout te
sol de ritahe.
Suit un programme d’amus^nents.
—. Je lis une autre nouvelle qui, me
semble-t-il, n’elst ipas sans importance.
Nous sommes devant te tribunal, je crois
de Morganton. Le président du Corps des
Jurés, M. Philippe Guigou, prit la parole
pour remercier te juge Ogtesby pour
l’avoir appelé à cet office et pour te bien
qu’il a cru bon de dire à l’adresse des
Vamiois de Valdesa « Eh bien ! répondit
te Juge : J’occupe cette place depuis neuf
ans et M. Guigou est la première personne
qui ait jamais su dire : Merci ! ».
phg.
A cen gui aimt Its Missions.
M. et M.:me CeDi-Bcgioni, qui se préparent à partir comme missionnaires indépendants pour Madagascar, où Madame a
déjà été, désireraient savoir s’il y a parmi
les jeunes gens et jeunes files évang^ques quelqu’un _qui, se sentant une réele
vocation missionnaire, voudrait partir avec
eux pour travailer à l’évangélisation de
la jeunesse malgache.
Pour tous ren,seignements, s’adresser à
M. et M.me Célli-Bogoni - Gorso Cavoux,
21 - Verona.
LA REPUBLIQUE ESPAGNOLE
ET LES PROTESTANTS.
Au cours die l’année écoulée, tel protestantisme esi«,:gnol a fait des progrès intéressante, dus à la liberté dont fl jouit.
L’heure est propice ixmr évangéliser des
'populations, religteiuses dans F âme, mais
qui ont secoué le joug de la religion,
p,arce qu’elles' ont perdu confiance dans
leurs prêtres, parce que tes abus commis
par les moines les ont révoltées.
Plusieurs œuvres di’évangélisation ont
été nouvellement inaugurées en divers
lieux. Autrefois, il falait se cacher pour
assister aux cultes protestants, s’exposer
à des préjudices matériels si on quittait
l’église ; subir même dés persécutions ;
oin se sentait surveilé, menacé p|ar quelque mystérieuse puissance occulte ; maintenant, les cultes sont libres, ouvertement
fréquentés ; les salles d’évangélisation s’ouvrent sur 1^ rues et sur tes places.
Les piaisteurs ont compiis qu’il fallait
vaincre l’ignorance du peuple et que la
meilleure méthode était d’ouvrir des écîoleS ; ils Font fait où ils ont pu ; autrefois avec idie grandes difficultés ; aujourd’hui plus facilement ; les ressources seules
teur font défaut pqur donner à cette partie de teur activité sons plein développer
ment. Récemment a eu lieu à Jaca l’inauguration d’im- Collège d’études supérieures.
Il y a quelques années, te colportage |de
la Bible était interdit ou rendu très difficile ; souvent, tes colporteurs subissaient
des persécutions dans tes villages, soulevés
par te fanatisme des prêtres ; les annales
du protestantisme espagnol ont gardé les
récite de faits caractéristiques à cet égard.
Maintenant la Société Biblique de Londres fait circuler sur les routes de l'Espagm©» et pénétrer dâns les viUagels reculés,
une voiture automobite pour l’évan.gtaisar
tion du peuple. On vend ou on distribue
des Bibles, des portions de l’Evangile ou
des traités apologétiques ; la semence est
répandue à profusîon, puissie-t-eille prodtiire une grande moisson. Toute la seihence ne tombera pas te bng du chemin
ou dans tes haies, elte trouvera plutôt le
bon terrain où elte germera.
Au XVI® siècle, l’Inquisition avait réussi
à étouffer la Réforme, elte brûlait les Bibles et les chrétiens, mais elte n'a pas pu
brûler la Vérité, réduire l'Evangile ctl
cendres; car le voici, vivant et victorieiax,
ae faisant un chemin royal, en dépit des
obstacles, et apportant aux âmes affamées
te Pain de Vie qui est descendu du cidi.
BffisrjAisiiN ArbousSet.
(Le Christimdsme au XX® siède).
' [Hgiffii litmioialt di innalili
> Nell'autunno p. v. avrà luc^o, a Budaipest, un Oongresso initemazianale di moralità sociale, indetto da un certo numero
di Assocdazioini internazionali, allo scopo
di studiare le cause dei’immoiralità che penetra subdolamente nello spirito ddla gioventù, e ricercare il' modo di arginarne te
canaeguenze.
Il Gomitato organizzatore è composto
deia sig.na Andrée Kurz (della Federa^
zione Intemazionaile Amiche della Giovarne), presidente; del sig. J. D. Reelfs
- («yia Federazione Abolizionista Internar
zionaie), segretario, e dela dottoressa M.
Schatzel, tesoriera.
^ Spendo come questi problemi così importanti e gravi stiano a cuore a tutti i
ber^.pensanti, crediamo opportuno ^egna^•
|axe al pubblico il Gongresso in parola, e
avvertiamo che tanto te singole persone,
quanto te Associazioni che si interessano
a tali'qu^ioni, poæono rivolgersi direttamente al Gomitato organizzatore - Rue
Hôtel de Ville, 8 - Ginevra, il quale sarà
lieto di formire tutti i ragguagli del caso.
laititntions Hospitalières Vaadoises.
©ems reçus pendant le mois de février 1934.
HOPITAUX.
ÇÉn souvenir de Madeleine Bounoiis, La Tour,
Dfcioo - Henri Pascal, pasteur émérite, Turin,
3® - Prof'. Thi. Pona La Tour, 16.
.. REFUGE,
^^of. Tlik Pons, La Tour, L. 15 - Marie Ribet,
4. 40. .
# ORPHEMNiAT.
SHenri Pasoal, pasteur émérite, Turin, L. 30
*Prof. d’h. Pons, La Tour, 20 - Marie Ribet,
'ancienne orpheline, 70 - Rachel veuve Bastia,
in memioriani, ÔO' - Les frères condltionnaiistes, 50,
VARIÉTÉ
Quelques pensées du poète huguenot
Agrippa d’Aubigné :
Servir Dieu c’est régner; ce règne est
pur et domx.
Ceux-là régnent vraiment, ceux-là sont
de vrais rois
Qui sur leurs passions établissent dies lois.
Crains-toi plus qm nul autre emrnni
inconnu.
La, gloire gm’autrm dorme, est par autrui
rame.
Celle qu'on prend de soi vit plus loin que
la vie.
Que ta demeure soit plutôt saine que belle.
Qu’elle ait renom par toi et non toi par
elle.
Quand Diem frappe l’oreiUe, et l’oreîUe
ni est prête
D’aller toucher au cœur. Dieu nous
frappe la tête.
...Ma vie n’a peint pour mère la science
Et la vertu n’est point fQle de l’ignorOsnce.
(Les Tragiques). P. R.
(Le Témoignage).
« » * '■
Un contraste. 1® En semaine, pair ce
temps d’hiver brumeux et glacial, ou bien
humide et boueux, M. X..., couvert d’xui
bon imperméable, se rend bravement à
son travail, cependant que cette bra've
M.me Y... envoie à Fécale son petit giançon
et sa i)etite file emimitouifflés ai leurs pèlerines. « Tiens, il pleut », dit M.me Z...,
et la voilà qui/ tire son parapluie et part
toute guüterette faire des courses et des
visites.
2“ Le dimanche, par ce même temps de
chien, M. X... a planté là son imperinéable
et ne va pas a'U culte : « Ah ! non, alors,
pas par ce temps-là ! ». M.me Y..., comme
par hasard, n'emmittouffie pas ses enfants,
ils n’iront pas à l'écde., «; Je ne veux
, ■ • '‘d ••
pas que vous sortiez par ce tempe-lla, pfaur
vxes .trésors, vous auriez tes pieds mouillés». Et voilà que le parapluie de Mme
Z... est remis dans l'armoire.» M.me Z...
' n'ira pas non phis'au cuite: «PensezvouSi ma drère, on ira quand il fera beau ».
Allons, il faudra modifier les Comman*
demists, pour tes adapter aux besoins de
notre époque ; il faudra fedre dire à Moïse:
« Tu dbseñmKis le jiwax du repos pour le
sanctifier, s’Û fait beau tempe seulement ».
(Pasteur Cieespot,
Le Lien, àéUasnreim).
Abonnements payés et Dons.
{Le €don* est entre parenthèses).
1934 : Corsani Ernesto, Genova - Genre François, Campo del Clot, Rodorette - Benjamin
Tron, Id. - Tron (Adielei, Pra Caitinat ' (10) Bounous Silvia, Id, Martinat, Paris (8) Micol Ndly, MasseRo - Meytre-Pons ■ Adele,
Chanforan, Salza - .Giraud Alesaiidre, Gros
Passèt, Massel - Rostan Suzanne, Chicago, II.
- Rostan Maria, Toit© iPëUice - Negrin Marguerite, ^Id., et 1933 - Long-Richaa:! Alice, Bex,
Vaud (2) - Cécile Durand, Plneroio (2) - Garrou Louis, New-York - Bonin Anna, S. Germano Chisone - Martinat Henriette, Inverso
Porte fi2) - Rostan François; Ribbe, Frali Rostan J. Etienne, Pommier, Id. - Rostan Jean,
Guigou, Id., 1933 - Cordln Etienne, Vilar Pelllce (2) - Zecca Louise, Nice (2) - Madeleine
Micol, Valdese (3,50) - Oostabel Aldo, Miaño
- Stalé J., Bougival (6) - Micol Louis, Campo
la-salza, Massello (|2). {A suivre).
Les familles VOLLA et RIVOIR remercient du fond du cœwr toutes les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie à l’occasion de la perte de leur biencâïYÙê'&
PAULINE VOUA née RIVOIR.
Lffi veuve du regretté
DANIEL PASGHETTO
remercie tondes les armab^s personms qui
ont bien voulu témoigner leur sympathie
à l’occasion dm deuil qui l’a frappée, et
d!wm façon particulière M. le pasteur
Louis (Marauda et M. le docteur AMano.
S. Secondo di Pinerolo (BaÿlS), 5-3-1934.
L’AwoDaio Stefano feYrot
ora residente in TORRE PELLICE,
riceve ivi (Via Roma, 9) ogni giorno
feriale dalle ore IO alle ore 12.
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VALLI VALDESI.
ANGROGNA - Pastore : Roberto Nisbet.
BOBBIO PELLICE - Pastore : Enrico Tron, S.
LUSERNA S. GIOV. - Pastore : Lorenzo Rivoira.
MASSELLO - Pastore : Alberto Ricca.
PERREìRO - Pastore ; Oreste PeyroneL
PINEROLO - Pastore : Luigi Marauda.
POMARETTO - Pastore : Guido Comba.
FRALI - Cand. Teol. Lamy Coisson.
PRAMOLLO - Pastore : Ermanno Rostaji.
PRAROSTINO - Pastore : Guido Rivoir.
RICLARETTO - Pastore : Guido Mathien.
RODORETTO - Pastore : Giovanni Tron.
RORA’ - Cand. Teol. Arturo Rostagno.
S. GERM. CHISONE - Pastore : Enrico Tron, J.
TORRE PELLICE - Pastore ; Giulio Tron.
VILLAR PELLICE - Pastone : Roberto Jahier.
ABBAZIA - * Chiesa di Cristo >. Culto alle
ore 16 - Pastore ; Valdo vlnay, da Fiume.
AOSTA - Chiesa: 3, Rue Croix de ViRe - Pastore : Giovanni Mlegge.
BARI - Chiesa - Pastore : G. Moggia, Piazza
Garibaldi, 63.
BIELIiA - Chiesa: Piazza Punicòlare, Palazzo
del Consorzio Agrario - Evangelista Diodato Rosati, Casa Fiorina, Via Mirabello.
BORDIGHERA - Chiesa : Piani di VaRecrosia
- Pastore : Davide Pons.
BORRELLO - Chiesa Evangelica.
BRESCIA - Chiesa : Via del MiRe, 4 - Pastore :
Arnaldo Comba, ivi.
BRINDISI - Chiesa : Via Oongregazione, Casa
Zaccaro - Pastore : Antonio Miscia.
CALTANISSET)M. - C3iiesa : Via Maida, 15 Pastore ; C. Bonavla, ivi.
CASALE MONFERRATO - Chiesa: Via Filippo MeRana, 3.
OASTELVENERE - Chiesa EvangeRca.
CATANIA - Chiesa: Via Naumachia, 20 - Pastore : Teodoro Balma, ivi.
CERIGNOLA - Pastore: Alfonso Alessio, Via
G. Tortora, 13.
CHIETI - Chleéa Eva,ngelica.
00AZZE - Chiesa Evangelica - Da Torre PelUce.
COMO - Chiesa ; Via Rusconi, 9 - Pastore :
Rinaldo Malan.
CORATO - Chiesa Valdese : Via Garibaldi Pastore: Giuseppe CastigUone.
COURMAYEUR - Chiesa EvangeRca - Da Aosta.
CUNEO - Chiesa : Vìa Alba, 47.
FELONICA PO - Chiesa Evangelica - Pastoie :
Enrico Geymet.
FIRENZE - Chiesa di Via de’ SerragR, 51 •
Pastore : V. Sommani, ivi. — Chiesa di Via
Manzoni, 13 - Pastore : E. Meynier, ivi.
FIUME - Chiesa : Via PascoU, 6. Culto aÙe
ore 10 - Pastore : Valdo Vinay, Via Angheben, 10.
FORANÒ - Chiesa Evangelica - Pastoie : Paolo
Coisson.
GENOVA - Chiesa : Via Assaiotti - Pastoie :
EmRlo Coisani, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa EvangeRca - Da Caltanisetta.
IVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 - Pastore :
Arturo Vinay, Oisa Ravero, Piazza d’Arml.
LA MADDALENA - Chiesa EvangeRca.
LIVORNO - Chiesa : Via G. Verdi, 3 - Pastore :
AttUio Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa : Via G«Ri Tassi, 18.
LUGANO - Pastore : Giovanni GrUR, Viale
Franscini, 11.
MANTOVA - Chiesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa : Via Maddalena, llà - Pastore : Seiffredo Ooluccl, Via Risorgimento
isol. 122.
MILANO - Chiesa di S. Giovanni in Conca :
Piazza Missori, 3 - Pastore : Luigi Rosta^
gno, Via Stradivari, 1 - Coadiutore : CajQd.
Teol. TùRio Vinay. — Chiesa di Via Edmondo De Amlcis, 4 - Pastore : Francesco
Peyronel, Piazzale Libia, 5.
NAPOLI - (ihiesa - Pastore ; Mariano Moi^
schini. Corso Vittorio Emanuele, 42.
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese - Pastore :
Pietro Griglio, 18 West - 123 nl étTèet.
NIZZA - Chiesa : Rue Gloffredo, 50 - Pa^re :
Alberto Prochet, ivi.
ORSARA.Dl PUGLIA - Pastore : Alberto Rlbet.
PACHINO - Chiesa Evangelica,
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 43 - Pastore :
Elio Eynard, ivi.
PESCOLANCIANO - Chiesa Evangelica - Evangelista C. 'A. Arnoulet.
PIANI DI VALLECROSM - Pastore: Davide
Pons, Istituto FemminRe Valdese.
PIEDIOAVALLO - Chiesa: Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa: Via Derna, 15 - Pastore: Alberto Puhrmann, Via Derna, 17.
REGGIO CALABRIA - Chiesa : Piazza San
Marco, 4 - Pastore: Enrico Pascal, Casa
di Nava, Via Demetrio Tripepl, 149.
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ILCflPPELLO
DELL'UOMO
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FU LAZZAROaC
FABBRICA ITALIANA CAPPEUl
ALE SSÀNORIA, «IXALM
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore : Umberto Bert.
Rio marina - chiesa EvangeRca - Evangelista dott. Amato BiRour.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre, 107
- Pastore : Giovanni Bonnet, ivi. •— Chiesa
di Piazza Cavour - Pastore : Paolo Bosio,
Via Marianna Dionigi, 57.
SAMPIERDARENA - Chiesa : Vìa Giosuè Carducci, 16 - Pastore : Carlo Lupo.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
Evangelica - Anziano-Evangelista Scarinci
Giuseppe, ivi.
SANREMO - Chiesa: Via Roma, 8 - Pastore:
Ugo Janpi, ivi.
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese : Via S. Domenico, 5
- Pastore : Eugenio Revel, ivi.
SUSA - Chiesa: Via Umberto I, 14 - AnzianoEvangelista Pietro VarveRi, ivi.
TARANTO - Chiesa - Pastore : Gustavo Bertin, Corso Umberto, 76.
TORINO - Chiesa: Corso Vittorio Emanuele II
(angolo Vìa Principe Tommaso) - Pastore:
Alessandro Simeonl, Via Pio Quinto, 15 Coadiutori: Pastore emerito Augusto Jahier e Cand. Teol. AchiUe Deodato, ivi.
TRIESTE - Chiesa : Via S. M. Maggiore - Pastore ; G. del Pesco, Piazza deRa Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa: Palazzo Cavagnls (S. M.
Formosa) - Pastore ; Giov. Bertinatti, ivi.
VERONA - Chiesa : Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Pastore : Arnaldo Comba, da
Brescia.
VIGORIA - Chiesa EvangeRca - Pastore: Arturo MingardI, Vìa Garibaldi, 60.
Il culto principale si crebra in tutte le
Chiese alle ore II circa della Domenica.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Pastore V. Alberto Costabel,
moderatore - Pastore Antonio Rostan, segretario-cassiere - Via Quattro Novembre,
107, Roma (JOl).
FACOLTÀ’ DI TEOLOGIA Via Pietro Cessa,
42, Roma (126) - Professori : G. Rostagno,
Ernesto Comba, Davide Bosio.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pelllce - Preside : Prof. 2>. Jahier.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Ernesto Coioba, presidente ; Davide Bosio,
Enrico Meynier, Antonio Rostan, Professore Edoardo Longo.
CONVITTO MASCHILE - Torre PeUice - Direttore : Pastore Davide Forneron.
ISTITUTO FEMMINILE VALDESE - VaRe-,
crosia - Direttore : Pastore Davide Pons.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice : Sigma Adele Arias.
ORFANOTROFIO MASCHILE (Istituto Gould>
- Via Serragli, 51, Firenze - Direttore :
Pastore V. Sommani.
OSPEDALI VALDESI - a Torre PeRice - a
Pomaretto - a Torino, Via BerthoRet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede: Pomaretto (Torino) - Direttore : Pastore Luigi
Marauda, Pinerólo.
RIFUGIO PER INCURABILI «RE CARLO
ALBERTO » - Lusema San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - San Germano (hìsone.
ASILO PEI VECCHI - Vittoria (RicRia),
ARTIGIANELLI VALDESI - Tbrino - Via BerthoRet, 34.
CHIESE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Uruguay.
COLONIA VALDENSE (Dep.to de Colonia) -1;
Pastore Ernesto Tron.
COLONIA COSMOPOLITA-ARTILLEROS (Departamento de Colonia) - Pastore Enrico ;
Beux — Pastore emerito Pietro Bounous.
TARARIRAS-RIACHUELO SAN PEDRO (Departamento de Colonia) - Evangelista Emilio Ganz.
OMBUES DB LAVALLE-COLONIA MIGUBLETE (Dep.to de Colonia) - Pastore Carlo
Negrin, Ombues de Lavalle.
COLONIA DEL SACRAMENTO (Dep.to de Colonia) - Evangelista Diego Nimmo.
ROSARIO (Dep.to de Colonia) - EvangeUst»
Giovanni Pietro Gönnet.
SAN SALVADOR (Dep.to de Soriane).
COLONIA NUEVA V.ALDENSE (Dep.to de:
Rio Negro) - Visitée périodiquement.
COLONIA NIN Y SILVA (Dep.to de Paysandù)
- Visitée périodiquement
Argentina.
COLONIA IRIS (Pampa Central) - Pastore SU*
vio Long, Estación Jacinto <Arauz, P. C.
COLONIA BELGRANO (Provincia de SantaFé) - Evangelista Eraldo Lageard, Està*]
cicn WUdermuth, P. C. C. A.
COLONIA EL SOMBRERITO (Provincia de]
Santa Fé).