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W:
Soixante-cifiquiême année - Anno VII*.;
;^ì V -r
3 Mai 1929.
N» 18
DES VALLEES
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
PRIN D'ABONNEMENT:
Italie (y compris ies Vallées et Colonies) .
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de l’année.
w Le Noméro; 25 centimes
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables....dignes de louanges, occupent vos pensées (Phil. IV, 8).
\
Le travail une ^ouice de bénédietion^.
Nous avons célébré naguère, avec tout
notre peuple, la fête du travail. Et nous
nous sommes sincèrement réjouis de tous
les résultats encourageants obtenus jusqu’ici par cette ferme volonté de reconstruction qui- se fait sentir chez nous, sous
des formes plus accentuées que chez d’autres peuples, après la terrible dévastation
produite par la guerre.
Cette volonté de progrès doit nécessairement s’afïirmer par le travail, bien organisé et estimé dans tous les domaines
de l’activité matérielle, intellectuelle et
morale de notre peuple. Tout travail honnête accompli de bon cœur, dans une saine
atmosphère morale, pleine d’enthousiasme,
d’amour fraternel et d’un sincère esprit
de solidarité, devient la source des plus
riches bénédictions pour la patrie et
l’humanité.
^ Hî îîi
Pour travailler joyeusement, avec l’âme,
le cœur et la conscience, aussi bien
qu’avec les bras et l’inteUigence, l’homme
doit se délivrer d’un vieux préjugé qui
lui fait parfois considérer le travail comme
une..espèce_ de mystérieuse fatalité, ou
comme une malédiction tombée sur le
genre humain à la suite du i>éché d’Adam.
Le travail bien compris est &u contraire
une sage et providentielle loi divine, qui
associe l’activité de l’homme à l’activité
de Dieu dans le monde et contribue ainsi
à développer toutes le facultés humaines
pour les préparer aux tâches de la vie
supérieure. Le travail de l’homme peut se
combinei sagement avec l’activité créa- •
trice de Dieu et contribuer dans une certaine mesure à l’épanouissement de la vie
üniverselle.
Le travail devient un poids insupportable, un esclavage et une malédiction, lorsque, dénué de tout idéal et souillé par
Tégoïsme et par l’orgueil, il ne vise qu’à
un but purement matériel et se perd dans
des efforts stériles à la recherche du veau
d’of.
En second lieu, pour travailler avec
l’âme sereine et le cœur content, l’homme
doit avoir la garantie morale que son travail, matériel ou intellectuel, humble ou
distingué, est convenablement apprécié
par ses semblables et justement rétribué.
Le travail honnête doit être ijartout honoré et délivré des entraves de l’esclavage, de l’exploitation et de la misère, qpi
avilissent et dégradent Tâme de l’ouvrier,
trop longtemps considéré comme une machine qui doit donner son rendement et
le meilleur profit à ceux qui la mettent
en mouvement. Lorsque tous les hommes
reconnaîtront un frère dans chaque être
humain, et que dans ce frère ils distingueront une âme immortelle destinée à
s’élever vers les splendeurs de la vie éternelle, les haines et les rivalités sociales
s’éteindront et les forces humaines ne seront plus gaspillées. ,
Et finalement le travailleur doit avoir la
conviction qu’aucun travail utile ne le dégrade, même si en apparence il peut sem-^
bler humble et pénible. S’il y a des activités dignes (Je mépris, ce sont bien celles
qui n’ont qu’un but égoïste et cpji visent
au gain déshonnête et sans scrupules '
vis-à-vis de l’intérêt et de la conscience
d’autrui. Ceux qui, pour amasser de l’ar
gent et pour satisfaire leurs passions et
leur orgueil, exploitent, corrompent et
scandalisent leurs semblables, et répandent dans le monde la lèpre du vice et
de la dépravation, sont dignes de blâme
et de mépris, parce qu’ils souillent et prostituent les énergies et l’intelligence que
Dieu leur a accordés pour agir selon les
lois de la justice çt du bien.
Mais tout travail honnête qui vise directement ou indirectement au bien-être
social, au progrès intellectuel, moral et religieux du peuple, correspond à un ordre
divin et doit être honoré et encouragé,
afin que celui qui l’accopiplit se sente soutenu par une opinion publique qui sait
apprécier les bienfaits matériels et spirituels d’une collaboration fraternelle.
Le travail ainsi ^accompli devient la
source intarissable de nombreuses bénédictions pour un peuple.
Les bénédictions qui frappent davantage l’attention des gens qui regardent
surtout à l’utilité pratique de l’activité humaine sont cellœ d’ordre matériel et éco^ nbinique. Pas n^'est Bésinh d’être'dés techniciens de la production ou de savants
économistes pour savoir qu’une population ordonnée, laborieuse et fraternellement unie produit une richesse de
moyens économiques infiniment supérieure
à celle que peut donner une population
dévorée par les luttes intestines et ramollie par le vice et la soif des jouissances.
Dans l’ordre social celui qui consomme et
ne produit pas commet un attentat contre l’organisme vital dont il fait* partie
et contribue peut-être sans s’en rendre
compte à l’appauvrissement de sa patrie.
Aussi, même du point de vue matériel,
le travail est-il une source de bénédictions:
divines, parce qu’il met en valeur les ressourcées naturelles, les forces et les vertus
prodiïctives que la Providence divine a
sagement et généreusement distribuas
dans la terre, dans les eaux, dans l’air,
dans la lumière et la chaleur du soleil.
L'homme devient ainsi l’indispensable collaborateur de Dieu sur la planète que
nous habitons.
Ceijendant l’homme ne vit pas seulement de pain. Il y a des biens d’un ordre
plus élevé qui découlent d’un travail assidu et bien réglé : ce sont les bénédictions
"morales.
Le peuple dit : celui qui travaille prie ;
et noxis ajoutons : celui qpui prie ne pèche point ! Le travail devient vraiment
une prière, lorsqu’il est accompli avec les
sentiments auxquels nous avons fait allusion. L’homme qui exerce ainsi son activité sur la terre unit ses efforts, son intelligence et sa volonté à l’activité providentielle de Dieu, et même lorsqu’il n’est
pas ■ ouvertement religieux, il le devient
en ce moment-là, èt il attire sur lui-même
les bénédictions célestes. Ef si je devais
épumérer ces bénédictions d’ordre moral,
je dirais que le travail honnête développe
les énergies physicfues, donne de la vigueur
au corps, qui est le temple de l’âme, développe et affermit la' volonté, l’intelligence
et toutes les facultés qui en dérivent; il
donne de la joie à l’âme, il disperse et
éteint lès flammés'impures du vice et des
tentations qui se développent d’une façon
monstrueuse dans la paresse, qui est la
mère de tous les vices. Par le travail
- l’homme a donc la possibilité de développer toutes ses facultés et de s’élever graduellement vers des formes supérieures
de, vie, vers une activité plus noble et
/plus joyeuse, dans la liberté du monde
spirituel.
Par cette pensée nous touchons aux bénédictions spirituelles qui jaillissent du
labeur de l’homme.
Du moral au spirituel le pas est court ;
'car je suis convaincu qu’il n’y a pas de
religion sans morale, ni de vraies lois morales sans religion : la ■vie est une dans
l’infinie variété de ses manifestations. Le
fÿaVail donc, s’il est bien compris dans
son vrai but social et humanitaire, rapproche l’homme de Dieu ; parce que, en
développant toutes ses facultés, il le rend
capable de comprendre toujours mieux la
divine beauté de la Création, dans laquelle
iiouilbnne la puissance de la vie divine.
Et d’autre part le travail qui n’abrutit
pas améliore moralement l’homme et lui
donne une idée plus élevée de la dignité
^e la vie et de sa noble destinée, qui est
Îdn rapport avec toutes les forces de l’unifvers. C’œt ainsi ' que le rythme de ses
* énergies spirituelle s’élève ét s’élargit
pour embrasser les réalités du monde invisible, qui renferme dans son sein toute
les possibilités d’un bonheur parfait.
Et ce que nous disons du travail en général et, à plus forte raison, l’apanage
du travail de l’intelligence, lorsque toute les recherche scientifiques et toutes
le activités de la pensée visent au noble
but de connaître la vérité et d’élevër
l’homme vers Dieu. Mais pour obtenir ce
merveilleux résultat il et nécessaire que
l’activité scientifique, littéraire, phylœophique et artistique se développe dans une
saine atmephère de liberté morale et
qu’elle ne soit pas forcée de servir
d’étayage aux préjugés religieux et sociaux.
Si l’activité variée de tout un peuple
s’inspire à ces principe, elle est destinée
à faire jaillir du sein mystérieux de la
nature, de la vie et de ses phénomènes,
ces bénédictions spirituelles qui vivifient,
iUuminent et sanctifient toutes les autresbénédictions d’ordre économique et social.
Mais pour effectuer cette nouvelle économie morale du travail, il faut penser
sérieusement à réformer la conscience de
nos concitoyens' et délivrer les esprits
d’une foule de préjugés sociaux, qui sont
le résidu d’un passé lointain. C!e qui peut
accomplir ce miracle et élever notre nation dans les voies divines de la justice
et de la fraternité, c’est encore la loi
d’amour, la charité vivante, que le Christ
est venu greffer sur la vieille plante de
l’humanité, courbée sous les fardeaux de
l’égoïsme et de l’orgueil. F. Peyronkl.
Le seul remède œntre l’indolence est
le travail ; le seul remède contre l’égoïsme
est le sacrifice ; le seul remède contre l’incrédulité est de suivre les commandements
de Christ ; le seul remède contre la 'timidité est de regarder en face l’objet de sa
crainte. Rutherford.
H! Hî Hî
Séparer l’amour de Dieu de l’amour de
l’humanité,i c’est l’aimer sans aimer ce qu’il
aime, ce qui est impossible.
Ch. Seorétan.
Nos “Fêtes-de Chant,,.
Nos gens aiment le chant; nos Eglises
et nos écoles du dimanche font au chant
une place toujours plus large ; on a le
souci de bien chanter et, en réalité, si
nous n’avons pas encore atteint la perfection, nous devons reconnaître que chaque année marque un nouveau progrès,
surtout pour ce qui a trait aux écoles du
dimanche.
La dernière huitaine a vu trois fêtes
de chant, dont deux au Val Pélis, auxquelles nous avons eu l’avantage d’assister, et
que nous allons résumer très brièvement.
I - La Fête de Chant
des Ëcoles du dimanche dn Val Pélis,
la première en date, eut lieu jeudi, 25
avril, au Temple Neuf de La Tour, par
une fort belle journée et réunit les enfants des écoles du dimanche d’Angrogne,
Bobi, La Tour, Saint-Jean et Villar ; quelques centaines d’enfants (3 ou 4?) donc,,
accompagnés de leur pasteur, directeur,
moniteurs et mo>nitrices, bien entendu.
Public sympathique et mains ouvertes
pour applaudir les petits chanteurs.
La « fête » œt présidée par le Pasteur
de La Tour qui lit d’abord un Psaume de
circonstance en guise d’introduction, lecture suivie d’une petite allocution de
bienvenue et de remercîment aux directeurs de chant des écoles, du président
de la Commission du Chant, le prof. A.
Tron ; et nous voici au déroulement du
vaste programme de cantiques des recueils
des deux langues, auxquels s’ajoutent
deux ou trois petits chœurs, très gentiment exécutés par les écoles disposant de
voix plus formées et plus ■ cultivées. Chaque école chante deux, trois ou même quatre cantiijues du programme ; les écoles
de Saint-Jean, d’Angrogne et probablement une ou deux autres encore (nous
n’étions plus là), tirées au sort chantent,
d’après ce que la Commission avait établi, un hymne précédemment choisi dans
le programme. En outre, on a une bonne
demi-douzaine de chants d’ensemble,, dirigés par le prof. Tron, d’un fort bel effet
(dommage que trop de garçonnets demeurent bouche close ! Il faudra y veiller
à l’avenir).
Et nous n’allons pas oublier les allocutions pratiques et enjouées adressée aux
enfants, dans les intervalles, par les pas- ,
teurs MM. P. Chauvie et H. Emüe Tron.
S’il fallait maintenant émettre un jugement, nous ne dirions pas que toutes les
écoles ont également bien chanté, mais
toutes ont bien chanté, même avec un certain souci des nuances et nous n’avons
par relevé un seul accroc. Honneur donc
aux enfants et surtout à leurs directeurs
et directrices : Prof. A. Tron (Ecole de
Sainte-Marguerite) ; M.me Ida JaUa (Ecole
de Via Oliva) ; M.lle Joséphine Arrundet
(Saint-Jean) ; M.Ue Hélène Chauvie (Angrogne) ; M. Josué Geymonat (Bobi), On
a vivement regretté l’absence de M. Héli
Long, du Villar, retenu chez lui pour des
raisons de santé.
A la sortie, chaque enfant reçoit une
belle brioche — offerte par les écoles de
La Tour — et la grignote en se rendant
à labour du Collège où a lieu la deuxième
partie de la fête. Vous savez laquelle, tou-
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jours la même, mais, pour les enfants du
moins, plus intéressante peut-être que la
premiere. •
Il - Fête des Chorales do Val Pélis.
La « fête des Chorales » est toujours un
petit événement pa,rmi nous, attendu avec
une légitime impatience. Aussi, rien d’étonnant que, malgré le temps pluvieux, un
très nombreux public soit accouru à SiJean, dimanche dernier, pour goûter de
bonne musique religieuse vocale et applaudir nos chanteurs.
Ont pris part à la «fête» les'Chorarales de : La Toûr (directrice M.me
Balma) ; Saint-Jean (directeur prof. A.
Tron) ; Angrogne (égâlement dirigée par
le prof. Tron) ; Rorà (directrice M.me
Pascal). La fête, qui commence à 3 h.
précises de l’après-midi, pst présidée par
le pasteur de la paroisse M. H. Emile Tron
et débute par la prière suivie de TaUocution de bienvenue de rigueur du président dé la Commission du Chant, M. le
prof. A, Tron. Et nous voici au développement du beau programme de chants
de nos deux recueils, annoncé à deux reprisés déjà dans cette feuille et que nous
n’allons plus répéter ; nous soulignons,
par contre, l’heureuse modification apportée cette année dans son exécution. Les
Chorales étaient invitées à préparer soigneusement tous les chantiques du programme, et averties que chaque Chorale
en paticulier serait tenue de chanter
l’hymne qui lui serait assigné par le sort.
Voilà pourquoi nous eûmes une préparation particulièrement soignée.
Après que les Chorales réunies eurent
exécuté le N. 102 du Eecueil français, on
entendit , successivement lès Chorales :
à’Angrogne dans le cantiqüe N. 249 du
. Recueil français ; Rorà dans le N. 298 du
même recueil; La Tour dans le N. 243
de l’«Innario»; ^aint-Jean dans le N. 72
de T« lnnario». Tous ces chants, indiqués
par le sort, sont repris au fur et à mesure par les Chorales réunies, sous la baguette du prof. Tron, enlevés avec un accord, une fusion de voix, un souci des
nuances parfaits et sont d’un effet grandiose, saisissant. Songez que nous avions là
une masse chorale de 150 à 200 personnes
et que, nous venons de le dire, la préparation ne laissait rien à désirer.
Et ce fut le clou de la fête. A côté
et dans les intervalles, chaque Chorale
chanta un chœur de son choix, quelquesunes, celle de La Tour entre autres, même
deux ; le tout exécuté d’après les moyens
dont chacune d’elles pouvait disposer,
mais tous goûtés ; tels d’entre eux auraient même été vivement applaudis n’eût
'été la solennité du lieu, le Temple. 11 se
peut que, dans la hâte, nous omettions
certains détails importants et nous nous
en excusons, en ajoutant cependant que
la fête, dans son ensemble, fut des mieux
réussies et que le public fut particulièrement heureux de constater que nos Chorales s’appliquent toujours plus à la bonne.
à Iq parfaite exéqution des chants de nos
Recueils.
Après quelques mots de remercîments
du chef de District, M. Marauda, aux Chorales, à Içurs Directeurs et au Président
de la Commission du Chant, les chanteurs
et...-quelques amis du chant sont invités
à se rendre à la Maison Vaudoise pour la
deuxième partie. Et là, la Chorale de StJean offrit à ses sœurs un de ces « thés
•garnis » des plus choisis comme des plus '
copieux, et devant lequel toutes les figures des jeunes' pleins d’appétit s’épanouirent. Et l’on y fit honneur, je ne vous dis
que ça. Et les langues d’aller ! Et la gaîté
exubérante de toute cette belle jeunesse !
Ensuite l’on eut ce que le Pasteur de StJean dénomme la troisième partie : deux
monologues fort amusants de M. Carlo Turin, l'excellente exécution de deux chœurs
hors programme de la Chorale de La Tour
et un de celle d’Angrogne, sous la direction de M.Ue Hélène Chauvie ; le tout
applaudi à tour de bras. Enfin, on entonne tous ensemble notre chant du départ : Poichè giunto è ornai listante, et l’on
se sépare le cœur plein de reconnaissance
pour la bonne journée et de vive gratitude envers la Chorale et l’Eglise de StJean pour leur généreuse et délicate
hospitalité. 3- c.
Ill - La Fête des Écoles du dimanche
du Val Clnson.
Notre paroisse a eu l’honneur, jeudi 25
avril, de donner la bienvenue aux écoles
du dimanche de Pignerol-St-Second, Prarustin et Pramol, qui, avec celle de StGermain, nous ont procuré une très belle
Fête de Chant. C’était magnifique de
voir cette masse d’enfants remplissant
presque entièrement le temple et qui,
pendant plus d’une heure, nous ont réjouis en chantant les beaux cantiques des
recueils français et italien que la Commission du Chant Sacré lœ avait invités à
exercer. Nous tenons à féliciter les instructeurs MM. L. Marauda (Pignerol-StSecond), H. Peyronel, régent (Prarustin),
H. Jahier, régent (Saint-Germain), M.me
Genre (Pramol), pour les bons résultats
obtenus et pour le beau travail accompli
Entre un cantique et l’autre MM. les pasteurs L. Marauda, qui présidait, H. JaAier, D. Bosio, H. Genre, ont eu la bonté
d’adresser de bonnes exhortations aux
enfants.
•Le temps a favorisé notre fête et a
permis aux participants, après l’audition
dans le temple, de consumer leurs provisions et de jouer en plein air le long
du RusiUard, et ce n'est qu’à regret que,
vers les 5 h., les différents groupes ont
dû reprendre le chemin du retour, en se
promettant de revenir, s’il plaît à Dieu,
tout aussi nombreux l’année prochaine.
— On nous prie de bien vouloir remercier les maîtresses d’écples, les moniteurs
et monitrices de Saint-Germain, qui ont eu
l’amabilité d’offrir le thé à leurs collègues
des écoles du dimanche, à la Fête de Chant
du 25 avril. Rép.
CORRESPONDANCE;
Colonia Valdense, 2 avrü 1929.
^ Cher frère en Christ,
Je désire vous, envoyer deux motssur
la Convention que nous avons eue pendant
trois jours à Tarariras.
Elle a cornmencé par un acte solennel-;
la consécration de l’évangéliste Diego
Nimmo, à laquelle ont pris part 12 pasteurs. Il y a longtemps oue le cher frère
Nimmo est converti et qu’il travaille pour
le Seigneur, et il avait exprimé le désir
de recevoir l’imposition des mains, ce qui
lui a été accordé sans difficulté. Plus de
400 personnes ont assisté à cet acte, et
à toute la Convention, presque sans discontinuer. Avec les autos, maintenant on
va très loin, vite et commodémerit. Dieu,
nous a aussi favorisés par un temps
splendide. <
Après le culte, la réception de bienvenue ; puis l’évangéliste J. P. Gönnet a
traité le sujet ; « Le do3)oir de léglise »,
qu’il a conclu 'àinsi ; sauver les âmes.
Le second jour, après la réunion de
prière, M. Ugon a parlé sur les anciens
(pasteurs ou évêques), exposant avec
clarté ce que dit le Nouveau Testament.
Nous avons ainsi pu voir que nous sommes un peu éloignés de la méthode apostolique. Comme exemple d’ancien il a cité
David Geymonat, des Champs (Bobi).
Dans l’après-midi, les hommes et les
femmes, séparés en deux groupes, ont
étudié en toute liberté : notre devoir envers la Bible. Réunis de nouveau à 4 h.,
dans le temple, le pasteur Beux a insisté
avec force sur la Bible comme étant
toute la Parole de Dieu, qui communique
la vie. Un autre a traité ensuite : « Jésus
et la Bible », et l’a résumé par ces mots ;
Jésus s’est fait, pour ainsi dire, l'éditeur
responsable de la Bible.
Les soirées étaient consacrées à l’oèuvre
missionnaire et nous avons eu le privilège
d’entendre les ouvriers d’autres églises ;
BaUoch, de Montevideo, Talion, de BuenosAyres, Varetto, de La Plata, Schmitt, d«
Campana, Galland, Prichard, etc., qui ont
aussi pris part aux différentes réunions.
Le troisième jour, après la réunion de
prière, M. E. Tron a traité le sujet de la
réception des catéchumènes dans l’église,
sujet qui préoccupe tous les pasteurs, et
qui est aussi assez éloigné de la pratique
apostolique : réception par fournées, à
âge fixe, et sans qu’on exige la conversion.
Il a mis le doigt sur la plaie. La solution
à ce gïave problème a été clairement indiquée par le pasteur H. Tron, du Villar.
Jésus a. dit : Je bâtirai mon église et il
a établi comme point de départ la repentance et la conversion. Et les enfants des
chrétiens, de même que les autres, doivent
naître de nouveau pour faire partie de
l’église. Tout autre système nous mène
. aux résultats que tous ceux qui veulent
voir, voient.
Le sujet de la conversion a été traité
dans l’après-midi, puis la Convention fut
close par un culte avec Sainte-Cène.
Le soir a eu*lieu, dan^ le théâtre de la
ville de Colonia,. une conférence du pasteur ^iVaretto quL^a exposé, pendant plus
d'une heure, l’Evangile dans toute sa simplicité, et pur^eté. Un nombreux public,
tout le temps très attentif, remplissait
non seulement . Je théâtre, mais les couloirs et les dehors jusqu’à la rue.
Nous bénissons Dieu pour cette Convention qui s’est occupée exclusivement de la
vie spirituelle: Les résultats ? Nous espérons : une augmentation de vie et une
plus grande consécration à Christ.,
Un Argentin me disait : « Je m’en vais
plus chrétien que quand je suis venu »,
1A souligner l'image employée par M. Va.retto, en traitant de l’évangélisation : les
chrétiens qui reçoivent toujours sans rien
donner sont comme la Mer Morte. Les au
m .
très sont comme la Mer de Galilée, claire,
limpide, pleine de vie. ’
^La plus grande partie des assistants a
la Convention étaient des yaudois. Nous
en avons eu cependant des Eglises : Méthodiste, Baptiste, ^Disciples de Christ,
Union Evangélique, etc. C’est la première
Convention. Pour les prochaines il y aura
sans doute des progrès à fairej à ajouter ;
ainsi des réunions d’appels aux inconvertis, des décisions, etc.
Mais celle-ci a été tout un succès à la
gloire de Dieu ! Nous espérons nous réunir de nouveau l’année prochaine, si le
Seigneur ne revient avant,
— Décès : Marie Caffarél, de Bobi, mariée à Daniel Geymonat, de 68 ans, à
Colonia. — Magdeleine Roman, de Rocheplate, 83 ans, mariée à Paul Forneron, à
Rosario Tala. Les deux laissent de nombreuses famiUes d’enfants et de petitsenfants.
Agréez mes salutations fraternelles.
L. J.
“ Inconvénients de la cnnuetterle
ji'
Nous trouvons sous ce titre, dans les
journaux de Tuiiii, une liistui ¡ette yuft
chroniqueurs ont tâghé de rendre piquante, mais qui se prêterait plutôt à des
réflexions on ne peut plus sérieuses.
Il s’agit d’une jeune fille, honnête et
comme il faut, à ce qu’on affirme, mais
outrageusement maquillée, très... légèrement habillée, à l’attitude et au regard
provocants (peut-être inconsciemment),
que les agents de police ont arrêtée à l’entrée d’un cinématographe où eUe attendait son bon ami. Ces agents des mœurs,
qui font parfois, pas toujours, du zèle,' la
prirent pour une femme de mœurs faciles et l’amenèrent au poste,-malgré ses
protestations, et l’y retinrent trois jours,
c’est à dire jusqu’au moment où elle comparut devant le préteur pour y être jugée. Le magistrat, se laissant convaincre
par les justifications et 1^ protestations
indignées de la prévenue, la relâcha aussitôt et l’affaire n'eut pas d’autres suites.
Il œt à croire que la demoiselle en question va réfléchir sur sa désagréable aven
FEUILLETON
DERNIÈRES PAROLES
de quelques personnages célèbres
{Suite - Voir numéro précédent)
II. Personnages bibliques.
ABIMELEC, fils de Gédéon, roi de Sichem pendant trois ans (1238-1231 av.
J.-C.), blessé à mort pendant qu’il s’approchait .de la forteresse de Tébets, par
une pièce de meule lancée du haut de la
tour par une femme, dit au jeune homme
qui portait ses armes : Tire ton épée et
me tue, de peur qu’dn ne dise de moi:
Vite femme l’a tué. L’écuyer obéit et le
transperça (Juges IX, 50-54).
SAMSON (XII™» siècle av. J.-C.), douzième juge d’Israël, céiièbre par sa force
prodigieuse, voulant se venger des Philistins qui l'avaient aveuglé, se fit^ conduire, un jour de fête, près des colonnes
qui soutenaient le temple de Dagon, à
G^a. Il fit à Dieu cette requête ; Seigneur
Eternel ! je te prie, souviens-toi de nj/ioi ;
ô Dieu! donne-moi de la force seulement
cette fois, et que je me venge des Philistins pour la perte de mes deux yeux.
Puis ü ajouta : Que je meure avec les Philistins! Et ramassant toutes ses forces,
il saisit de ses deux bras les colonnes et
les ébranla; le temple tomba et fit trois
mille victimes (Juges XVI, 26-30).
SAUL (1080 t 1049 av. J.-C.), roi d’Israël, pour avoir désobéi à Dieu, fut défait
par les Philistins sur la montagne de Guüboab. Dangereusement blessé par les archers ennemis, il dit à son écuyer : Tire
ton épée et m’en transperce, de peur que
ces incirconcis ne viennent, ne nie transpercent et ne me fassent des outrages.
Mais, comme Técuyer ne voulait point mettre la main sur l'oint du Seigneur, Saül
prit son épée et s’y jeta dessus (1 Sam.
XXXI, 1-4).
Pendant les six heures de son agonie
sur la croix du Calvaire, JESUS prononça
sept paroles. Tandis qu’on le crucifiait, il
dit : Père, ’pardonne-leur, car ils ne savent
ce qu’üs font (Luc XXIII, 34). — Au
malfaiteur repentant qui lui adressa cette
prière : Souviens-toi de moi. Seigneur,
quand tu viendras dans ton royaume ! »,
il. répondit ; En vérité, je te le dis, au
jourd’hui tu seras avec moi dans le paradis (Luc XXIII, 43) . — Voyant sa mère
au pied de Ik croix et, près d’eUe, le disciple qu’U aimait, Jésus dit à Marie :
Femme, voilà ton fils! et à Jean : Voilà ta
mère! (Jean XIX, 25-27). — Vers trois
heures de l’après-midi, il s'écria d’une voix
forte : Eli, Eli, lamma sabachtani ? c’est
à dire : Mon Dieu, ^non Dieu, pourquoi
m’as-tu abandonné? (Matth. XXVII, 46).
— Dévoré par une fièvre ardente, ü s’écria:
J’ai soif! (Jean XIX, 28).. — Et quand il
eut pris le vinaigre que ses bourreaux approchèrent de ses lèvres, Jésus dit : Tout
est accom.pli ! (Jean XIX, 30). Puis,
ayant poussé un grand cri, il expira en disant : Père, je remets mon esprit entre
tes mains! (Luc XXIII, 46).
ETIENNE,’ l’un des sept diacres de
l'égUse primitive de Jérusalem, arrêté et
amené devant les membres du Sanhédrin,
auxquels il reprocha courageusement
d’avoir été les meurtriers du Juste, fut
entraîné hors de la ville et lapidé, pendant
qu’il priait et disait : Seigneur Jésus! reçois mon esprit ! Puis, s’étant mis à genoux, il cria à haute voix ; Seigneur ! ne
leur impute point ce péché ! Et quand il
eut dit cela, il s'endormit (Actes VII, 5460). C’était l’àn 33 de l’ère chrétienne.
III. Martyrs.
POLYCARPE, évêque de Smirne, au proconsul romain qui lui disait : « Maudis le
Christ, et je te rendrai la liberté », répondit sans hésiter : Il y a quatre-vingt-six
ans que je le sers, et il ne m’a jamais fait
que du bien; comment pourrais-je maudire mon Roi qui m’a sauvé ? Monté
le bûcher, il fit cette prière : O Dieu toutpuissant, Père de ton Fils bien-aimé JésusChrist, par lequel nous avons appris à te
connaître, je te bénis de ce que tu m'as
jugé digne, en ce jour et en cette heure,
de prendre place dams les rangs des martyrs et de boire à la coupe de ton Christ,
pour la résurrection à la vie éternelle de
mon corps et de mon âme. Puisse ûon sacrifice t’être agréable! Je te loue, je te
bénis, je te glorifie pour tout ce qui m’arrive. C’était Tan 167 ap. J.-Ç.
CYPRIEN, évêque de Carthage, s’écria
au moment où on le décapitait (an 258 ap.
J.-C.): Le Seigneur soit loué!
(A suivre)*
M
:-â
3
f.
í’ I ture et sur les causes qui l’ont provoquée,
et va jurer «qu’on ne l’y reprendra
f- plus » : elle n’a pour cela qu’à s’habiller
y convenablement et à garder, en public
f; eomme en famille, l’attitude et le maintien
des jeunes personnes comme il faut. Si
nous avioi^s des velléités de morigéner
notre jeunesse élégante féminine sur ce
chapitre, le sujet serait tout trouvé et
il y aurait long à dire. Mais cela a été
^^fait à. maintes reprises, dans cette feuille
, même, et ne doit pas avoir eu beaucoup
)• d’effet... à en juger par ce qu’on voit tous
les jours et dans tous les milieux. ■ —
«Vous autres hommes, vous n’y compret nez rien », vous disent ces évaporées - esclaves le la mode et tant soit peu plus
coquettes qu’H ne faudrait - lorsque vous
essayez de leur rappeler les règles de la
bienséance ! ,
Qui sait ? Elles ont peut-être raison.
Nous avons cru, dans notre naïveté, qu’il
y avait ^deux modes : celle des femmes
et jeunes filles légères et celle des femmes et jeunes filles sérieuses. Nous- nous
trompions évidemment, puisque quantité
de jeunes personnes de conduite irréprochable s’habillent et se maquillent.,, comme
les autres, la plupart ignorant très vraisemblablement que les modes les plus excentriques, les plus provocantes, sont toujours lancées par des femmes que .vous
n’imiteriez jamais, d’aucune autre façon !
Et alors il peut arriver, comme à la de"moiselle peinturlurée et... déshabillée de
Turin, qu’on vous juge mal, voire même
qu’on vous prenne pour ce que vous n’êtes
pas. Quelle horreur !
Concluez, et foin de la mode, de certaines modes, du moins ! j. c.
fD favüDt de le Sotiété dlMe Vaedolse.
Nous publions, en guise de reçu, la 2™'
liste des collectes du 17 février, en faveur
de la Société d’Histoire Vaudoise, avec nos
plus vifs remerciements aux Eglises.
Riomarina, L. 30 - Pise, 30 - Luccà, 8 Livourne, 50 Vittoria, liO - Brlndlsi, 16
- Prali, 25 - Kgnerol, 75 - Pramol, 30 Ivrée, 32,80 - Carema, 8,35 - Pomaret, 70
r Perrier, 15 - Rodoret, 31 - Catane, 35 Prarustin, 50 - Messine, 30.
Quelques Eglises n’ont pas encore répondu à l’appel. Nous les attendons avec
pleine confiance.
Le Président : David Jahter.
CHRONIOUF VAUDOISE
Ponr le lit à la mémoire de M. B.
LÉGER, à l'Hôpital da Pomaret.
Listes précédentes L. 14.414,66
M.mes et M.rs:
Ant. et Alph. Grill >>’**’ 25,—
Gaspare Gandini, Milan » 50,—
Pascal Henri feu Henri, exancien des Fontaines » 25,—
Total L. 14.514.66
LA TABLE
se réunit actuellement, dans la totalité de
ses membres, à la Maison Vaudoise, pou(î;.
, ses séances du printemps.
■ * S: *
. LA TOUR. Notre Collège a envoyé à
i Rome une squadra di avanguardisti au
^ concours de gymnastique « Dux », qui a
^ eu lieu du 20 au 26 avril.’Nos jeunes étuI diants se sont distingués. On les a classi' fiés de première catégorie.
Inutije de dire qu’ils nous sont revenus pleins d’enthousiasme pour la capitale, qu’ils visitaient pour la première fois,
et en même temps pleins de reconnaissance pour l’accueil bienveillant qu’ils y
ont reçu, soit de la part des leurs supérieurs hiérarchiques, soit de la part de la
colonie vaudoise de cette ville. M. le Modérateur leur offrit un lunch amical, qui
couronna dignement leur concours.
— Quelques élèves du Lycée,, avec la
collaboration de quatre^ demoiselles, ont
donné, à l’Aula Magna, une jolie soirée
récréative. On nous a régalé d’une jolie
' comédie de Goldoni : GU Innamoratif et
les applaudissements prolongés du nombreux public témoignent du succès de
tous nos artistes. Les robœ à panier, les
blanches perruques encadrant les jolis
minois des demoiselles, et les fraîches figures de nos étudiants, ont contribué aussi
au succès de la soirée.
Et* enfin, pour terminer, une exhilarante saynète : Tredici a tavola, très bien
exécutée.
Nous remercions fort tous les artistes,
que nous ne nommons pas pour ne pas
ternir leur modestie, et souhaitons à nos
étudiants de reprendre leurs études avec
le même zèle qu’ils ont mis à apprendre
leurs rôles. l
— Le 30 avril, un long cortège accompagnait au champ du repos la dépouille
mortelle d’Amalia Malan, élève de l’Orphelinat, décédée à l’Hôpital, à l’âge de
14 ans, aprœ une semaine d’atroces souffrances. Aimable, diligente, ordonnée, elle
avait su s’attacher ses institutrices et ses
condisciples, tant à l’Orphelinat qu’à
l’école, où elle était la première de sa
classe. C’est le témoignage. qu’a tenu à
lui rendre sa maîtresse, M.lle I, Malan,
entourée de tous ses élèves, saisis par une
émotion profonde.
La Direction de l’Orphelinat remercie
les diaconesses^ et les novices de l’Hôpital
pour les soins assidus et affœtueux par
lequels elles se sont effojgcées d’alléger ses
souffrances, ainsi que le nombreux public qui a tenu à témoigner son intérêt
pour cette jeune existence tronquée dans
sa fleur. j.
MASSEL. Le Bazar annuel de la paroisse aura lieu, D. V., le jour de l’Ascension. Espérons une belle journée. Et au
revoir à tous les amis.
SAINT-GERMAIN. Nous avons eu la joie,
dernièrement, d’invoquer la bénédiction divine sur le mariage de M. Silvio Bounous
et de M.Ue Ilda Rostan de César, ainsi que
sur celui de M. Carlo Rossi, de Ventimiglia,
et de M.lle Céline Balmas, des Rouncs. Nœ
meilfeurs^ vœux aux chers époux, dont les
premiers vont s’établir à Paris et les der- '
niers à Ventimiglia.
— Notre sœm_ Jenny Balmas, âgée de
49 ans, nous a quittés après une longue
et pénible maladie qu’éUe a supportée vaillamment avec l’aide de Dieu. Un grand
nombre de personnes venant de tous côtés
a* tenu à donner un témoignage émouvant
de sympathie en participant à l’ensevelissement de notre sœur qui a eu lieu mercredi dernier. Que Dieu console les affligés.
Rép.
SAINT-JEiAN. Asile des Vieillards. Dons
reçus: Sophie Servettaz, par M. Gardiol,
L. 200 - Giulia Puppo-Malanot, en souvenir de son mari Paolo Puppo, par M. V.
Morglia, 25 - Vola Edoardo, 5 - Vola Adele,
5 - Loveno Pietro, 5 - Malanot Frédéric,
3 - Malan Susette, 2 - Ricca Jean, 6 Lunghi Fortunâto, 3 - Besson Ernesto, 5
- BeUion Henri, 5 - Catherine Malan-Malanot, 10 - Lina Vola, 10 - Pierre Gay, 5
- Alfred Peyrot, 10 - Le Comité de Couture de Luserne Saint-Jean, en souvenir
de M.mes Marie Gay-Morglia et Rina Turin, 50 - Fratelli Turati, 100 .. Susanne
et Pauline Robert, 10 - Famille Jon Scotta,
100 - Joséphine Primo, en souvenir de ses /
vénérés parents, 100 - Immovilli Francesco,*
Reggio Emilia (ep deux fois),, 50 - Prof.
Johannson, Goteborg, par M. Gardiol, 500
- Eli Bertalot, Donneloye, 15 - Giulio et
Valentina Comba, 40 - En souvenir de
M. me Amélie Pellegrini, familles Goss et
Operti, 300 - Fernando Pellegrini, 1..000 Clémentine Maggiore, 50 - Georges et Ida |
Maggiore, 50 - Lucie Bourchadt, 100 Marta Sebes, 100 - Lisa Noerbel, 100 Carlo et Valentina Salvadori-Paleotti, 200
- Massimo et Ghita Pellegrini, 500 - Lily
et Henry Peyrot, 200 - Henry Peyrot, en
souvenir dü vénéré modérateur Barthélemy Léger, 50.
VALDESE va bientôt avoir son hôpital ;
non pas comme propriété de la ville, mais
comme propriété privée du doct. M. F.
Bc^le qui a déjà acheté le terrain et com
mencé une bâtisse devant coûter 10.000
dollars.
Ce sera, il est vrai, un simple emer-,
• '0
gency hospital, un hôpital de prompt secoure, et devant servir pour les malades
qui n’ont paS besoin de soins spéciaux.
Le doct. Boyle sera assisté par une infirmière qui y ^^nsacrera tout son temps
et tous ses soins.
Ainsi, sauf pour les cas graves, nos colaftis ne seront plus obligés de transporter
bien loin leurs malades et pourront les
faire soigner près d’eux et les visiter sans
faire un voyage plus ou moins long et
coûteux. pKg.
Faite divars»
Le nouvel emblème de l’Italie. Un décret de la Gazette Officielle fixe le nouvel
emblème de l’Etat, en remplacement de
celui qui fut en vigueur jusqu’ici. Ce nouvel emblème consiste en un écureon représentant les armes de la Maison de Savoie, flanqué de deux faisceaux ornés d’un
ruban bleu, sur lequel se détache le monogramme de la Maison Royale : « Fert ».
w » »
'^La balance commerciale du mois de
mars accuse L. 1.998.708.154 pour les
importations, c’est à dire pour ce
que nous achetons à l’étranger, contre
L. 1.184.493.923 pour les exportations.
* S: *
Un gratteciel monstre est actuellement
en construction à New-York, au centre de
la viUe, dans le quartier plus spécialement
réservé aux édifices pour bûreaui?. Ce sera
la construction habitable la plus élevée du
monde. " Une plateforme-observatoire au
65“® étage (!) offrira une vue de NëwY(frk et environs sur un rayon de
100 milles. L’édifice coûtera la bagatelle de
14.000.000 et sera achevé dans le courant
de Tannée prochaine,
* * *
Pour la « prohibition ». Le pasteur vaudois, M. Paolo Bosio, en mission temporaire aux Etats-Unis, epvoie à La Luce
dè savoureuses chroniques, dans la dernière
lesquelles nous trouvons des remarques
ou plutôt constatations au sujet du « prohibitionnisme », qu’il vaut la peine de
reproduire.
« ...Dans nos voyages, ça et là, à travers
plusieurs des Etats américains, nous avons
eu l’opportunité d’interroger bon nombre
de personnes, les unes contraires, d’autres
favorables ' au prohibitionnisme. Nous
avons remporté, de ces conversations, l’impression que la grande masse de la population saine (c’est nous qui soulignons.
Red.) est favorable au prohibitionnisme,
parce qu’elle en voit les bons effets et
sait que l’avenir démontrera toujours
mieux la nécessité de cette mesure. Lorsque, dans nos conversations avec les adversaires du prohibitionnisme, nous les
avons pressés par des questions précises
et auxquelles nous ne leur permettions
pas d’échapper, touchant les fruits pratiques actuels de cette loi ; tout en mentionnant certains inconvénients qui naissent (ou semblent naître) du prohibitionnisme, ils ont été obligés de reconnaître ;
a) que l’intempérance et Tivrognerie, des
plaiœ de l’époque antérieure aux lois restrictives, ont beaucoup diminué, surtout
dans la classe ouvrière qui économise beaucoup plus ; b) que la nouvelle génération
grandit dans un milieu non empesté par
les exhalaisons alcooliques comme il Tétait
ayant, et prépare donc une population qui
n est plus infectée par le vice dégradant
de 1 alcoolisme. Voilà des faits indéniables ».
» * *
L émigration en énorme diminution.
Chacun savait que l’émigration des Italiens. grâce à la politique anti-émigratoire
du « Régime », est en diminution constante.
Nous sommes aujourd’hui' fort loin du
maximum atteint dans le triennium 191113, dépassant les 700.000. Les émigrés
n’ont plus été que de 389.957 en 1923;
364.614 en 1924 ; 280j000 en 1925 ; environ 264.000 en 1926 et 228.000 en 1927.
Le premier trimestre du 1928, le seul sur
lequel on ait jusqu’ici des données complètes, n'eut guère plus de 36.000 émigrants, ce qui, dans les mêmes proportions, donnerait pour Tannée un peu moins
de 150.000 personnes.
BONNE A TOUT PAIRE ayant déjà
sprvi, sachant la cuisine, bonnes références, est recherchée par petite famiMe.
— EcHre : V. R. - Via Cesar,e Melloni, 3
- Milano.
_________Jean Coisson* din&eteur-responsable____
__________Torre Pellice - Imprimerle Alpin«"
Liceo-Ginnasio Valdese Pareggiato
Torre Pellice.
Veduto il R. D. 6 Maggio 1923, N. 1054, relativo airordinamento della Istruzione media
e dei Convitti nazionali ;
Veduto il R. D. G Giugno 192:5, N. 1084, relativo al Regolamento per gli Istituti privati e
„ pareggiati di Istruizione media, ecc., eco. ;
Visto il Regolamento approvato con R. D.
9 Dicembre 1926, N. 2480 ;
Veduta la delilxrazione della Tavola Valdese, in data 5 Febbraio 1929-VII ;
E’ BANDITO
il concorso per titoli e per esami, nel LiceoGinnasio Valdese Pareggiato di Torre Pellice,
a una cattedra di materie letterarie nel Ginnasio Inferiore.
Lo stiijendio annuo lordo inerente al posto
S dì L. 5.500, senza diritto ad aumenti; sarà
inoltre corrLsiiosta, fino a contraria deliberazione, una indennità annua • caroviTCri di
L. 1.000. Stipendio e indennità verranno pagati in dodicesimi posticipati. Il trattamento
di quiescènza non sarà inferiore a quello corrisposto agli impiegati dipendenti dalla Tavola Valdese.
Le domande devono essere inviate al Moderatore della Tavola Valdese, in Torre Fellice,
redatte in. carta legale da L. 2, entro le ore
18 del giorno 31 Luglio 1929, con l’indicazione
precisa di nome, cognome, paternità, nonché
dimora dei candidati per le comunicazioni che
del caso.
Alla domanda devono essere allegati i seguenti documenti :
а) Atto dì nascita, da cui risulti che il
candidato non ha superato il quarantesimo
anno di età, fatta eccezione per chi è 'già insognante di« ruolo in scuola gpvernativa o pareggiata o dipendente da questa Amministrazione. o il qnarantacinqnesimo, se ha prestato
servizio militai-'e durante la guerra 1915-18 ;
б) Certificato di cittadinanza italiana ;
c) Certificato 'generale del .^casellario
giudiziale ;
d) Oertiflcate di moralità rilasciato dal
Podestà del Comune ove il candidato ha il suo
domicilio o la sua- abituale residenza ;
c) Certificato di costituzione sana ed esente
da imperfezioni fisiche tali da impedire l’adem]3Ìmento dei doveri d’ufflcio, rilasciato da tin
medico provinciale o militare o condotto o da
un ufficiale sanitario;
f) Certificato di av'er ottemperato alle disposizioni delle leggi .sul reiclutamontn ;
g) Titolo legale dì studìo.o di abilitazione
(in originale o in copia autentica) per cui è
liandiio il concorso ;
11) Titolo di abilitazione nlTinsegnamento
medio, secondo le indicazioni contemitp nella
1.abella annessa al Regvilamonto 9 Dicembre
1926, N. 2480;
i) Certificato attestante i punti o le qualifiche riportate nelTesamc finale per il conseguimento del titolo di studio o di abilitazione,
se non risultino da questo ;
3) Cenno ri.Tssunth'o, iti carta liTiera, degli studi fatti e della cawlera didattica
percorsa ;
i) Elenco in carta lilvera, ili doppio esemplare, dei documénti e dei titoli o delle pubblicazioni presentate ;
m) Attestato di idoneità personale, castituito da tessera personale di riconoscimento,
o da fotografia debitamente legalizzata ;
n) Valgila postale di L. 50,15 aU’indirizzo
del Moderatore della Tavola Valdese, in Tbrre
Pellice.
I documenti .sopraspeciflcàtì con le lettere
da a) ad i) debbono essere legalizzati ; ed i
certificati di dui alle lettere h), e), d), e), debIxino essere di data non anteriore di tre mesi
a quella del bando.
Ai documenti predetti i concorrenti possono
unire tutti gU altri tìtoli che ritengono opportuno presentare nel loro interesse e le loro
pubblicazioni. •
Sono escluse le opere manoscritte o dattilografate. Qualunque certificato, rilasciato da
4
^ '
.. ■ l'i. ’
Autorità Scolstótiche, che non sia il E. Provveditore agli Studi, dev’essere legalizzato.
Sono dispensati dal presentare i documenti
di cui alle lettere a), ib), c), d), e), f), md
ed 11) 1 concorrenti già in ruolo negli Istituti
di (juesta Amministrazione.
Si ricorda che, non avendo i concorsi nelle
Scuole Pareggiate valore di esame di Stato,
per l’ammissione al concorso è requisito inderogabile il possesso dello specifico titolo di
abUltazione prescritto dalla tabella annessa al
R. D. 9 Dicembre 1926, N. 2480.
Gli esami avranno luogo in Torre PeUlce,
entro la prima decade di Agosto. Il luogo ed
i giorni delle prove verranno tempestivamente
comunicati ai concorrenti. •
La nomina 'verrà fatta dalla Tavola Valdese,
in conformità del Regolamento 6 Giugno 1925,
N. 1084, e decorrerà dal 15 Settembre 1929.
L’eletto dovrà dare atto, per lettera raccomandata, della accettazione della sUa nomina entro
8 giorni dalla partecipaziotìe che gliene verrà
fatta daU’Amministrazione ed occupare il
posto col 15 Settembre 1929, sotto pena, di
decadenza.
Torre Vellice, 30 Aprile 1929-F//.
Il Moderatore
firmato: V. A. Gostabel.
Nulla osta.
Torino, 29 Aprile 1929-Vfi.
Il R. Provveditore agli Studi del Piemonte
firmato ; Umberto Renda.
Abonnements payés et Dons.
(Le «don» est entre parenthèses).
1929 ; Miss Marie Ribet, New-York (20)
- Geymonat Pauline, Villar PeUice, 1927,
1928 et 1929 - Vola-Miani Casilde, Torino
- FamiUe Lecureux, Maroggia (manque 4
lires) - Pons J. Jacques, Rodoretto (2) Pascal J. Pierre, Salza - Geymonat Paul
d’Etienne, ‘Bobbio Pedice - Buffa David,
Gazanpuy (5,20), - Frojo Silvio, Verona
(2) - Clôt Adele, Riclaretto (2) - PeyroP
Lydie, Faetto - Pierre Tron, Summit,
New-York, 2“,sem. 1929 et 1930 (1,20) Gaydou Jean, New-York, 2® sem. 1928 et
1929 (1,20). (A suivre).
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ANGROGNA - Pastore ; Davide Pons.
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MASSELLO - Pastore : Giovanni Mìegge.
PERRERO - Pastore: Luigi Micol.
PINEROLO - Pastore : Luigi Marauda.
POMARETTO - Pastore : Guido Comba.
PRALI - Pastore : Alberto Fuhrmann.
PRAMOLLO - Pastore ; Ermanno Genre.
PRAROSTINO - Pastore : Augusto Jahier.
RICLARETTO - Pastore : Guido Miegge.
RODORETTO - Cand. teol. Lorenzo Rivoira.
RORA’ - 'Pastore : Enrico Pascal.
S. GERSL CHISONE - Pastore: EnMco Tron, J.
TORRE 'PELLICE - Pastore : Giulio Tron.
VILLAR PELLICE - Pastore : Pietro Chauvie.
PRA DEL TORNO - Evangelista D. Gaydou.
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da Fiume.
AOSTA - Chiesa : Rue Croix de Ville, 3.
BARI - Chiesa - Pastore : G. Moggia, Piazza
Garibaldi, 63.
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del Consorzio Agrario - Evangelista Diodiato Rosati, Casa Fiorina, Via Mirabello.
BORDIGHERA - Chiesa : Hani di Vallecrosia
- Pastore: Arnaldo Comba.
BORRELLO - Chiesa Evangelica.
BRESCIA - Chiesa : Via dei Mille, 4 - Pastore :
Francesco Peyronel, ivi.
BRINDISI - Chiesa: Via Congregazione, Casa
Zaccaro - Pastore : G. D. Maurin, ivi.
CALTANISSE'ITA - Chiesa : Via Maida, 15 Pastore : C. Bonavia, ivi.
CASALE MONFERRATO - Chiesa; Piazza
Giardini Pubblici.
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 22 - Pastore ; Eugenio Revel, ivi.
OHIETI - Chiesa Evangelica - Evangelista G.
Scarincì, Largo Vezio, 19.
COAZZE - Sig. Carlo Lupo, da Tarino.
COMO - Chiesa : Via Rusconi, 9 - Pastore :
D. Revel, ivi.
CORATO - Chiesa Evangelica : Via Garibaldi ^
Cand. teoL Alfonso Alessio, Via Garibaldi.
COURMAYEUR - Chiesa Evangelica.
FELONICA PO - Chiesa Evangelica - Anzianoevangelista Pietro Varvelli.
FIRENZE - Chiesa di Via de’ Seorragli, 51 Pastore : V. Somnxani, ivi. — Chiesa di Via
Manzoni, 13 - Pastore E. Meynier, ivi.
FIUME - Chiesa : Via Sem BeneUi, 6 - Pastore : Corrado Jalla, Salita Planatica,
Casa Benco al Calvario.
FORANO - Chiesa Evangelica - Evangelista
Antonio Cornelio.
GENOVA - Chiesa ; Via Assarotti - Pastore ;
A. Simeoni, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa Evangelica - Evangelista
G. B. AzzareUi.
IVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 - Pastore ;
Arturo Vinay, Casa Ravero, Piazza d’Armi.
LA (MADDALENA - Chiesa Evangelica.
LIVORNO - Chiesa : Via G. Verdi, 3 - Pastore :
Attilio Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa : Via Galli Tassi, 18.
LUGANO - Pastore : Giovanni GrilU, Viale
Franscini, 11.
MANTOVA - CMesa : Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa : Via Maddalena, 112 - Pastore : Seiffredo Colucci.
MILANO - Chiesa di S. Giovanni in Conca Pastore : B. Celli, Piazza Missori, 3 —
Chiesa di Via Fabbri, 9 - Pastore : Luigi
Rostagno, Via Stradivari, 1.
NAPOLI - Chiesa : Piazzetta Tagliavia, 25 Pastore : Giuseppe Fasulo, ivi.
NIZZA - Chiesa : Rue Gioffredo, SO - Pastore :
Alberto Prochet, ivi.
ORSARA DI PUGLIA - Cand.'teol. Elio Eynard.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Cand. teol.
Enrico iGeymet.
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 41 - Pastore : Emilio Corsani, ivi.
PESCOLANCIANO - Chiesa Evangelica - Evangelista Amato Billour.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore: Arnaldo Comba, Istituto Femminile Valdese.
PIEDIOAVALLO - Chiesa : Via Carlo Alberto.
SANREMO - Chiesa : Via Roma - Pastore :
Ugo Janni, ivi.
SCHIAVI D’ABRUZZO - Cliiesa Evangelica.
SIEN A - Chiesa ; Viale Curtatone, 5 - Pastore ;
Giovanni Petrai, ivi.
SIRACUSA - Via Cavour - Culto il Martedì,
alle ore 18. - Cand. teol. Enrico Gèymet, da
Pachino.
SUSA - Clilesa : Via Umberto I, 14 - Evangelista Gustavo Bert, ivi.
TARANTO - Chiesa : Via Di Palma, 13 - Pastore : Antonio Miscia, Via Principe Amedeo, 250.
TORINO - Chiesa : Corso Vittorio Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore ;
Bartolomeo Soulier, Via Pio Quinto, 15. —
Per la Diaspora : Sig. Carlo Lupo, Corso
Vinzaglio, 73.
TRIESTE - Chiesa: Via S. M. Maggiore - Pastore: G. Del Pesco,, Vi®' Scorcola, 15.
VENEZIA •• Chiesa ; Palazzo Cavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Giov. Bertinatti, ivi.
VERONA - Chiesa : Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Pastore : P. Peyronel, da Brescia.
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Evangelista
Enrico Corsani.
ORFANOTROFIO MASCHILE (Istituto Gould)- Via. Serragli, 51, Firenze - Direttore;
Pastore V. Sommani.
OSPEDALI VALDESI - A Torre Pellice, a Pomaretto a Torino (Via Berthollet, 36).
CASA DELLE DIACONESSE - Sede : Luserna'
San Giovanni (Torino) - Direttore: Pastore
Davide Forneron, Torre' Pellice.
RIFUGIO PER INCURABILI «RE CARLO'
ALBERTO» - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VE'OCHl - Luserna S. Giovanni.
ASILO PEI VECOHI - S. Germano Chisone..
SCUOLE ELEMENTARI, oltre a quelle nelle
Valli Valdesi : Carema, Dovadola, Grotte,,,.
Pachino, Palermo, Riesi, Rio Marina, Salie;.
Sanremo, Vallecrosia, 'Vittoria.
CHIESE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUO.
'A
ii
Il evito principale si celebra in tutte te
Chiese alle ore 11 circa della Domenica.
PISA - Chiesa : Via Eterna, 15 - Pastore : Rinaldo Malan, Via Derna, 17.
REGGIO CALABRIA - Chiesa: Piazza San
(Marco, 4 - Pastore: ,S. Cciucci, da Messina — Culto la Domenica alle ore 16.
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore; Arturo
Mingardi.
RIO MARINA - Chiesa Evangelica - Pastore :
Roberto Jahier.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre, 107'
- Pastore; Giovanni Bonnet,"m. — Chiesa
di Piazza Oavour - Pastore : Paolo Bosio,
Via Marianna Dionigi, 57.
SAMPIÉRDARENA - Chiesa ; Via Giosuè CarduccL 16 - Pastore ; Alessio Balmas, ivi.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Pastore V. Alberto Costabel,
moderatore - Pastore Antonio Rostan, segretario-cassiere - Via Quattro Novembre,
107, Roma (1).
FACOLTÀ’ DI TEOLOGIA - Via Pietro Cessa,
42, Roma (26) - Professori: O. Rostagno,
Em. Comba, T. Longo.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pellice - Preside: Prof. D. Jahier.
SCUOLA LATINA - Pomaretto - Direttore;
Pastore Luigi Micol, Perrero.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Davide Bosio, presidente; E. Meynier, Ernesto Comba, Teodoro Longo, Paolo Bosio.
CONVITTO MASCHILE - 'Torre PeUice - Direttore : 'Pastore F. Grill.
CONVITTO MASCHILE - Pomaretto - Direttrice : Sig.na Sofia Rostan.
CONVITTO FEMMINILE - Torre Felice - Direttrice : Sig.na A. Vinc-on.
ISTITUTO FEMMINILE VALDESE - Vallecrosia - Direttore : Pastore Arnaldo Comba.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice : Sig.nà Adele Arias.
COLONIA VALDENSE (Departamento de Colonia - Rep. O. del Uruguay) - Pastore :
Ernesto Tron - Pastore emerito : D. Armand-Ugon.
COLONIA COSMOPOLITA (Departamento deColonia - Rep. O. del Uruguay) - Pastore :
Enrico Beux - Pastore emerito : Pietro
Bounous.
COLONIA ARTILLEROS - Pastore; EnricoBeux.
TARARIRAS (Departamento de Colonid? - Rep.
0. del Uruguay) - 'Pastore: Guido Rivoira ,
COLONIE RIACHUELO-S. PEDRO - Pastore :.
Guido Rivoir.
OM'BUES DE LAVABLE (Departamento deCqlonia - Rep. 0. del Uruguay) - Evangelista Daniel Breeze.
COLONIA MIGUELETE - Evangelista Daniek
Breeze.
SAN SALVADOR (Cañada de Nieto - Dolores
- Rep. O. del Uruguay) - EvangeUsta
G. E. Gönnet.
COLONIA IRIS (Jacinto Arauz - Pampa Central - Rep. Argentina) - Pastore : Silvio' Long. '
COLONIA BEDGRANO (Est. WUdermuth, F.
C. C. A. - Prov. S. Fè - Rep. Argentina) Pastore ; Levi Tron.
Colonia del Sacramento, Colonia De Nin Y SUva,.
Colonia Nuova Vaidense e altre Colonie non,
hanno un Pastore a posto fìsso e sono visitate periodicamente.