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Soixante-quatorzième année
6 Mai 1938-XVI
N® IS
11
PARAISSANT CHA<Ï0E VENDREDI ^ B.
PRIX D’ABONNEMENT;
Italie et Colonies italiennes . . .
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î^<30STA
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S’adresser pour la Rédaction, a^'Directeur Doct. ALBERTO RICCA, pasteurBobbio Pellice (Torino) pdur l’Administration, au Bureau du journal Via Wlgrapi, 2 - Torre Pellice.
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Tous les changements d’adresse coûtent UNE LIRE, sauf ceux du commencement de Tannée.
00 Le numéro:. 30 centimes oo~
Que toutea les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimable^.., dignes de louange, OTOupent vos pengées (Philip^. IV, 8).
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La similitQde de la Ylgne.
Jmn XV, 1-10.
Le symbole de la vigne était familfor
aux Juifs. L’Ancien Testament l’avait
fréquemment employé pour désignecr te
peuple de . Dieu ettl' 4k>ut dépeindre tes
soins dont CFjI|ui-fti l’entoure., Dans tes synoptiques, Jésus l'idilSse dans le même
s(en,s. Mais ici, ©n s’i'dlentifliant avec 3(a
vraie vigne', il procHame que c’est en lui
qu'est te yéritabte' Israël et que seuîts ceux
qui sont attadiési à lui en font partip.
Ce n’eet même pas' assez dire. Il faut
remarquer que p/ar 1e terme de' vigne le^^
prophètes entendaient généraleiment désigner le vignobtei. D n’est question maintenant que d’un cep unique ; l’image, s’est
comme resserrée pour la révélaiion d'unité
dans l’amour qu’eUa doit transmettre.
La plupart des commentateurs, affaibïïssent tes paroles de Jésus ‘ en tes ^pliquant comme s’il avait "dit : « Je suis J,a
tige de te vigne ». Mais iS; dit : « Je suis
la i4g7he », et l’instance avec teqUieUle il
parte du « sarment qui œt en moi » et
non Pias « attaché à moi » ou « sur moi »
nous oblige à ne rilen minimiser.
Jésus entend ici se dédiarer non seulement uni aux siens, mais un avec,, eux :
il n’est pas seulement la source, de leur
•v'ie, ite ne vivent qu’en étant intégrés .à
son être au point de ne plus faire avec
lui qu’un seul organisme vivant.
On peut dire qu’ici Jésus ne Se considère plus comme un itndividu, mais tomme un « vivant » colectif et cependant
parfaitement un qui comprieffid toute 'îfhumanité régénérée en .tei. C’e^ te correspondant de la doctrine pauPtinienne de
Il’Eglise corps mystique du Christ: pas plus
que te corps et la tête ne font deux,
pas plus Jésus et les siens. Mais lia similitude de te vigne poujsse encoria plus loin
Jfassimiiation :. il ne s’agit .plus, daais te'
« Je suis la vraie vigne », de deux éléments complémientaires, mais d'une seule
personne divine prolongeant son incarnation à partir de fa tige qui; es|t l’homme
Jésus jusque dans les branches, l’unité
vivante du tout formant, Selon la magnifuiue parole de Saint Augustin, le Christ
total, chef et membres. C’est par Jésus
seul que te vigne puise SQS racines jusr
qu’au cœur de te Vie .divinq, 'mjais c’est
vraiment la Vie de Dieu qui se répand
jusciu’au'x extrémités deis sarments tes plus
éloignés. Elle est en Jésus comme dans
sa isource, mais te source ne jaüftit que
pour qu'o.n y puiséi.
Nous avons là une doublé afïirmatior
sur les sarments. En dehors du Christ
dans tequel ilfe doivent s’insérer organiquement ite ne peuvent part)B(r teucujn'
fruit. C’est sous une autre forme, mais
dans la même lumière eucharistique, l'af(îrmation que te Christ avait déjà formulée en disant : « Si vous ne mangez ma
chair et si vous ne buvez mon siang vous
n’avez pas te vie en vous-mêmes».
Mais, d’autre part, s’Ms scait dans Ile
Christ; tes sarments doivent porter du
fruit, sinon ils seront arraché» du efep.
Enté sur te Christ, lé fidèle qui met en
œuvre la grâce que (^tte un,ité vitale lui
apporte est purifié, « émondé» par Dieu,
pour que son fruit abonde toujours davantage; celui, au contraire, qui se fer
me à l’action vivifiante de la sève doit être,
retranché du oep et consumé. •
Bien loin que la sainteté personnelile
des sarments qui procède tout entière de
celle de Jésus, qui est du Christ,
puisas ¡lui porter ombrage;, c’est en elfile
que Dieu est glorifié.' Une fausse conception de la justification, par la; foi qui en
ferait une dispense de sainteté pour tes
fidèles en égaird à te sainteté du Christ
apparaît -dans cette Jbmière comme un
pur non-sens. ,
Les sarments du Christ doivent porter
du fruit, sinon ils sont condamnés au feu.
mais Ib fruit qu’ils portent vient tout de
teiur appiarbenance au Christ et est son
;fruit.
' Et^ quel est ce fruit ? Le fruit de l’unité
organique du Christ et des dirais é’eist
leur union dans l’amour. Tout le but du
Christ en s’incarniant a été d’étftblir les
siens dans son amour, comme dl est dlans
' l'amour du Pèra Et de même que c’est
par l’obéissance qu’di demeure dans l’a-rmour .du Pèrei, c’est par elte aiussi que
ses disciples demeureront dans le. sien. i
, Lome Bouter.
1 Voir bîbI»OOT.phîe. - "f*.
Costume Vau dois.
Réponse d’une paysanne à M. H. Meille sur le « Costume Vaudois bien porté».
Monsieur' le Pasteur,,
Vous êtes bien aimalio d’écrire exprès
pour nou(s, magne et mmimre des Vallées.
Nous vous remercions et nous vous lisons
volontiers. Seulement,, j.e ne suis- pas savante et je me suis Ilongtempé detmandé
ce que pouvant être un arbiter é^gantiarum qfu’il « ©st dangereux de faire cheiz
nous ».
Enfin, un jeune homme qui a fait ses
classes de gymnase et les a même répétées presque toutes, m’a expliqu|ê que
c’;est du latin et que ça veut dire... bref
que c’est quelqu’un qui dit aux autres comment ils doivent s’habiller,; mais, dit ',en
latin, ça fait une toute autre figure.
Ne craignez rien. Monsieur il!e Pasteur,
on ne vous fera pas courir pour ça. Au
contraire, vous avez beaucoup fait pour
nous faire aimer notre costume et on' vous
en sait gré, seulement on se permet de
ne pas être d’accord avec, vous sur tous
les points, à commiencer par l|a chauvine.
Vous avez bien raison de recommauder
les jupes longues et les talons bas. A
mon avis, les talons hauts ne «snt jolis
pour personne; mais .pmaïre, de; viodr
des marîoire en coiflPe montrant iîeurs moiïtete et forcées' par fa hauteur de leurs
taillons à marcher sur Iteurs orteilb, le corps
penché en avant, la fai bele mumpamiffwn,
comme ils disent à te' Baudaine. Mais des
bas blancs et, quand il pteut, des sabots,
ça ne va guère avec lé fichu, de soie. Il
paraît que, dans le vieux, très vieux temps,
on portait les bas btencs pa.rce que c’é^
tait la mode pour tout Ife. monde, mais
ça s’est perdu depuis longtemps. Mieux
vaut lies laisser perdre et portier les bas
Uoirs ou gris, c’est plus joli et plus pratique aussi, car faites excuse., Monsieur
le Pasteur, si je me mettais en route par
un dimanche de pluie, en lias bltancs et
en sabots, je serais sûre d’arriver au Tempte avec mes bas aussi tachetés qn© les
brebis de .Jacob ou de Laban.
Où on est encore mo’;.ns d’accord, c’est
pour ])a robe,. J'ai vu, raremmt, mois enfin j ai vu la jupe d’une couléur et tel
corsage de l’autre — on est bien obligé
quielquefods de porter ce qu’on a —
te vraie robe vaudéise est entière ccim(me
on dit aujourd’hui, sans bord, aivec xin bel
ourlet, la jupe bie;n étoffée attachée au
corsage par de jolies fronces régulHêanes ;
tes manches peuvent être pliâtes, mais te
plus souvent dites sont assez îargesi, fron
cées à î'épau.le et terminées par un petit
poignet, ce qui a ptes de grâce et a l’avantage d’être dans te même genre que la
jupe.
D faut, bien sûr, s’habiMér iseiten ses
imoyiens, mais pour celles qui peuvieint lé
I faire et surtout pour les épouses, rien
. n’est' plus be,aM ni plltis vraiment vatidote
r qu’une robe en vraie soie, noire ou de
ûôuleur^lchàngi^antiè. Ça'co'iüfe, otest Vrai,
mais ça dura toute une vie, au rebours
des robes modernes qui sont toujours démodées.
Il y aurait encore bien des cho^ttes à
dire, mais il vaut mieux que je m’arrête,
sinon on croira que moi au^i je Veux
faire farbiter eVgantiarum ! J’ai même
peur qu’on ne trouve ma llettre. déjà trop
longue. Ce qui mie fait plaisir, c’est de
savoir que lé Rédacteur — il paraît que
c’est comme ça qu’on appelfa celui qui fait
VEdie — tient par .devers Soi une paire
de grands ciseaux. Si quelque cbosia n'est
pas juste ou est' trop long, die ! un coup
de ciseaux et voüâ l’affaire arrangêie. Ce
doit être beau de te voir travailler.
Ce que j’aime te' plus dams ce que vous
nous écrivez, Monlaijeur te Pasteur, c’est Pla
fin, là où vous nous .dites qrfü faut porter le costum.e vaudois comme le portaieint
te mère et lia femme et lés filteis die Janavel. Vous avez, bien raison, ce n’est pas
te costume qui fait îa Vaudoise. Si,, sous
te fichu vaudois ne bat pas un cœur de
vraie femme Vaudoise, honnête, coura^
geux, bon, sS' on, n'est pas fidèle à son
Eglise, ai on ne dit pas te vérité, si on
n’esisaye pas de faire son devoir, si on
n’aime pas Dieu de tout son cœur et son
prochain comme soi-même, on peut porter te plus baie coiffe du monde, on ntest
pas de te vraie souche, on est enté sur
sauvageon. Ainsi que D,ieu nous aidei.
Je' vous salhie bien respectueusement.
Monsieur le Paisteur.
Magna Marion, d'h, Baudaine,
SOCIETÀ DI STUDI VALDESI.
Irma e Silvio Long, in memoria di Margherita Vinçon-Beux L. 50,-^
Dons
Hilda et Aine Rdoca, en ¡souvenir ,de
leur chère tante; pour Je Refuge, L. 50,—
tiiiiwi Je la.
Maisea Vaaiie é Diauiasi!!.
Eûte a eu üeu Je dimanche 1«' inai, à
16 heures, à te Sajlle aynodate..
Le Président du Comité de te Maison
Vaudoi'Se des Diacomesses, M. te prof. Ernesto Comba, modérataur, préside la cérémonie. .
; La Salle est bondé© d'’un public très
distingué, formé notamment de dames. A
1a place d’honneur une vingtiaine de diaconesses dans leur cœtume simpte et 'austèr©. A te droit© du pirésidienit, M. le pastour Paul Béguin, ddreeteûr de te, Maison des Diaconesses ■ de Saint-Loup. A sa
gauche M. te pasteur Robert Niisbet, directeur de te MaiÉton Vaudoise des Diaconesses.
Nous remarquons dans ifassistance plusieurs ex.-diriecfeurs de te Maison Vaudoise
des Dzaconesaee et des personnalités de
nos mbiieux hospitaliers. ..
Le préisiident ouvre la cérèitìónSe en invitant l’assemblée à chanter un cantique.
IJ lit ensuite te parabole du bon Samaritain et quelques versets du chapitre XXV
de Saint-Matthieu.
Après te, prière; il’ s'adresse au publie.
'n'y^à'dahs'TateisLaricei'des personne )3on£
te présenœ parle du passé récent de notre Maison des Diaconeeses. Une maison... pour mieux dire une tente transporté© de-ci die-là par tes difficultés des
temps. D’autres rappellent, par leur présence, l’aide fraterneUe de l’Asite Evangélique de Milan, où ont été préparées
plusieurs de nos diaieonessies. La présence
de M. te pasteur B^udn parte de l'Insti-,
tution des Diaconesses dé Saint-Loup, à
îlaqueite nous ."ommes si redevables.
Cette Institution a étendu au domaine
de te bienfaisance la tradition sécul'aire
d© solida,rité qui unit te Suisse à î’Ifeliss
Vaudoise. Et Sœur AngioMna Santacroce,
diaconesse de Saint-Loup, qui prend te
direction de notre Maison des Diaconesses, est te trait d’union idéal entre notre Institution et yinstiitution de SaintLoup. En effet, Sœur Angiolina est italienne d’origine et auisBesse par sa longue préparation à te Maison de SaintLoup. Nous lui donnons te plus cordiale
bienvenue dans la ceirtitude qu’eMie sera
une directrice modèle de notre Maison. Cette dernière ^ fort modeste comparée à te Maison de Saint-Ix>up, mais
son rôfe n’en est pas moins très important. Le Modérateur rappellle ens.ujîte aux
diaconesses qu’eûtes ne sont pas uniiquement des iiifimiières, qu'eUieis ne soignent
pas seulement des malaxiies mois surtout
des matadles, qu’elles ne, doivent jamais
perdre de vue te noiblesse d© leur tiâclie
et la service du Maître.
La parole est ensuite à M. te pasteur
Paul Béguin. Celui-ci, au nom du Conseil
général, de la Maison de Saint-Loup,
adresse les miailTeurs souhaits à te. Maison Vaudoise d^ Diaconesses.
11 est tout naturel que te grand© sœur
(Maison die Saint-Loup) s’occupe de sa
sœur cadette (Maison Vaudoiseï). Et d'aüleurs il n’y a pas lieu de perdre courage.
Les débuts de la Maison d© Saint-Loup
ont été modestes et maintenant oette Institution compte plus de 400 diaconesses.
L’orateur affirme que Dieu avait pré-
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.L’Echo des
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Ven4rM 6 Mai 1938-XVI
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r paré depufe îongtemps ce qw æ passçi au- j
joiurd'hui ot sje décjteiiref bielujneux q;qf!inn/?
îien de plus s’êtsbJlisae entre Da SuisOe ^
l'Eg^se Vaudoise. S’adressât efnsuite''‘dj- »
rectement à Sceur AngioJliiÈi ii lui'-rap-^
peJlle que c'egt l’arbre qui’^ortte IBa greffa
ët .non pas lie contraire. çto% apporter à ik Maison Vaudoise des biàcanesses
lie meiilleîur de i'Instîtutbn die Saint-Loup )
e3te‘ doit aussi avoir lia précaution de ae
procurer une grande|corbeile, à 1*6X1601plte des fiancées dq Ja Suisse, pour accùieilt
ISr les dons qui seront sans doute nombreux. Lui-même offre à Sœim Angîo'îna
une enveioppe de lia part^de la Mai«in
dte Saint-Loup. M. ^ Béguin termine Son
discours tout empreint d'affection paternéllle, en indiquant aux diaconesses la méthode de la bonne harmonie dlana tous
leurs rapports, ¿Sabord le petit sourire.
Après Je chant d’un cantiquei, M. Rt>bert Nisbet, directeur de la Mateon Vaudoise des Diaconesses, a ik parole. L’FgMse Vaudoise dît-iJ — a un grand
avenir, notamment dans Je diaconat. L’avenir est à nous si nous le regardons à travers un grand idéaj. Et quel idéal pl'u«
grand que oejud du diaconat ? que celui
d’offrir la solutdan du problîlme de la douleur ? Solution que ITEvangilfe donne non
sur le plan'spéculatif, mais sur Je terrs|in praitüque, dans la parabote du bon
Samaritain.
L’avenir est à nous si k jeunesse est
avec nous ; l’idéal du diaconat doit trouver l’adhéaion de la jeunesse. Combien de
jeui^ fOffies vaudoises trouveraient dani
fe diaconat la route qu'eüles chierohent en
vain, le but de leur vie!]
La Maison Vaudoise courte 25 diacone®8S. Il faut doubler ce chiffre.
Le chant d’un cantique termine ’'’émou'vante et suggestive cérémonie.
Une réception offerte à la nouvteffle Maison des Diaconesses réunit une bonne partie de Ifalæisfcançe qui peut ainsi faire la
connaisaaaoe directe de Sœur Angiolîna et
visiter les locaux de la Maison. R,
/<?/« âe Chant
€eoles du dimanche
Val Pérouse.
Toutes nos fêtes de chant se ressemblent et le chroniqueur n'a rien de nouveau à raconter. Comme toujours, les enfants qui bandaient le parteirre du
temple ont chanté avec entrain. Nous
avons reçu «l’jimpression que leurs directeurs ont fait tout iéur possible pour ITamélioration du chant sacré parmi nos ^
vaudois.
Nous ne demandons pas à nos petits
amis des exécutions artistiques 1 Pourvu
tiu dis chantent de toute .leur âme, mais
sans crier ! On pourrait cependant leur
faire laisser à Ha maison la feudlie ou le
recueil. La préparaition des cantiques a
une valeur plus grande que cielk relative
et immédiate de la fêta ElUe doit servir
aussi pour l’avenir, lorsque, ’ dans k vie
fiévreuse de la jeunesse et de tous les
âg^ on aura besoin dfetre guidés, consolés, fortifiés par lels piensées inspirées des
strophes de nos beaux hymnes.
Comme toujours, le régent M. Jahier
a dirigé avec entrain .tes chante d’enjsemble. Comme l’année dernière, M. et M.me
le pasteur doct. Henri Tron ont donné à
tous les «ifanta une bonne briocha II y
en a eu aussîi pour les vieillards de l’Asile,.
te soir , même. Une ovation die joiie et de
gj^tude est.i>artie de l’asaemihlée enfan
/■ l*aii..pour
. H y ^pourtant eu quellques nouveautés.
L’éooJfei-du dimanche de PraruStin, M. Aime en têt®,, .était aPi miieu de nous, après
une absence de deux ans. Nous nous sDmrnes réjouis de ]|a revoir. Pomaret manque encore à i'appeli. Son Pasteur nous a
assuré qu'elle sem présente l’année proehraine. Dieu ..voulant
Le jeudi traditionnai ayant fait placie
au dîmanohe, nous avons eu lie plaisir de
voir Ja galerie du tempjl'e remplie ¡d’un
public synipathique, qui a beaucoup goûté
■les chants qui ont été exécutés. La coltecte faite à l’issue s’est transformée d'une
manière miraouteusemant exacte en un
thé complet offert aux nombreux moniteurs, monitrices et maîtres chantres. ‘
Nous allions oublier tes altocutions des
Pasteurs, qui pennirent aux petite chanteurs de se reposer et* de réiiéehir aux
biienfaite spîrituete de la musique religieuse et à tant d'autres choses bonnes
et amiusantes.
Un message du chev. El|i Long nous est
parvenu le tendemain, trop tard pour
être communiqué pendant la fête. Nou.s
remercions quand même le Président de
la Commissifltn du Chant Sacré au nom
des écojes du dimanche de Pignerol, Pr.arustin, Pramol et Saint-Germ'ain.
G. B.
Va/ pélis.
Pour dos raisons indéiiendanties de la
Volonté des organisateurs, la fête a eu
Meu, cette année i>our la première fois,
sauf erreur, Ole dimanche et non te jeudiOelte circonstance a peut-être facilité le
concours du public. Celui-ci en effet était
assez nombreux — il aurait pu l’être
davantage — dans Ites gatei^ies du templè
de La Tour, l’après-midi du dimanche
1«=^ mai.
La Tempte Neuf est bondé d'enfants ;
de quatre à cinq oenite. Ife représentént
les écoles du dimancha de Bobi, Vilar,
La Tour et Saint-Jean. On regrette l'absence des Angrognins et des Rorencs.
La Pasteur de La Tour ouvre lia fête
par une Içcturè biblique appropriée à
l'occasion ; suivent la prière et quelques
mots de cordiale bienvenue aux chanteurs.
Sous la direction de l’instituteur chev.
Hal'i Long, president de la Commission
du Chant Sacré, Ses écoles réunies chantent d’abord te cantique N, 41 de f«Innario ».
Le public est tout oreljiie.
Ensuite une série de chante exécutés
par les differentes écoles : Saint-Jean, La
Tour (Appiote), Bobi, Vilar, La Tour
(Asie). Les enfants chantant sous la direction expérimentée de leurs respectifs
directeurs : M. Coïæon, M Je E. Coïason,
M.me H. Geymonat, chev. H. Long, M.]le
L. Bert
Encore des chants d’ensembte pour les
écoles réunies. Puis une deuxième série
de chants ptour chacune des écoles suivantes : La Tour (Via UÜva ; directrice : M.&
Reyeï), Saint-Jean, Villar et Bobi.
Nous n’oublions pas lès allocutions substantieUes (trop ? ) des pasteurs Tron et '
Jahiier, dont le but était de reposer les
enfants.
Enfin un dernier cantique d'ensemble
enlevé, comme tous les autres, avec entrain et accord, par la maæe des chan
»
teuîs. Quatorze ou, quinze morceaux en,.,
touti^et' le pqblfic n’a donné aucun signe"
d’impatience \ c’est qu’ilg ont bien chanté
ces ■'chers enfants! ( . -c,' ,
Le chev. Long fait tes. remercîmients
id'usage.
. Pour tes enfants la fête n'est terminée
’^que lorsqu’ils ont reçu la traditjonnelte
briochei, généreusement offerte par l'écoje
du dimanche de La Tour.
';^--Et sur ce, au revoir au pr,internps prochain avec toutes tes éocÆes dû dimanche
du/Val Pélis... si possible! R.
GLANURES
't
France.
Nous avons signale qu une assemblée
des Eglises reformées de France s’était
ouverte à Lyon, ayant pour objet de rendre au prote|tantisme réformé l’unité
qu il n avait pas cessé d'avoir jusqu’au
lendemain de la Révolution et de l’Empire, c est-à-dire de reformer le bloc du
calvinisme français.
Il s agit donc d’un événement d’une
importance considerable dans l'histoirette protestantisme de notre pays qui, à
part certains éléments situés plus particulièrement en Alsace, dans la région
de Montbéliard et à Paris, et rattachés
'à la-Réforme luthérienne, relève, tant
du point de vue de la doctrine que de la
constitution, de l’influence de Calvin.
• Eglise réformée, fondée sur la
confession de la Rochelle, promulguée
en 1559 avait, depuis un siècle environ,
donné naissance à quatre fractions ayant
une organisation distincte, mais collaborant au sein de la fédération protestante de France. Le mouvement avait
commencé dans le midi de la France au
début du dix-neuvième siècle, à la suite
des prédications de John Wesley et ce
fut l’origine de l’Eglise méthodiste de
France. Aux environs de 1848, une minorité de pasteurs et de laïques, s’efforçant de faire admettre le double princioe
de rtdépendance .ótale de l'Egliae^
I egard de 1 Etat et de la profession personnelle de la foi par tous les membres
de l’Eglise, se sépara à son tour et fonda 1 Union des Eglises évangéliques libres.
De profondes divergences doctrinales,
manifestées par le vote du synode national de 1872 qui institua une déclaration
de foi destinée à remplacer la confession
de la Rochelle, engendrèrent des conflits
qui, en 1905, au lendemain de la séparation des Eglises et de 1 Etat, aboutirent
a une nouvelle scission. Les éléments dits
orthodoxes, n’admettant pas la possibilité de demeurer dans une organisation
ecclésiastique où se trouvaient les libéraux, fondèrent l’Union des Eglises réformées évangéliques; ef ceux qui ne
purent y entrer se groupèrent dans l’Union des Eglises réformées de France.
Telles sont les quatre fractions d’importance numérique inégale, mais ayant
chacune ses traditions et sa spiritualité
propre, dont l’assemblée de Lyon doit
décider si elles peuvent, d’un commun
accord, restaurer l’unité de l’Eglise réformée de France.
Cet événement a été préparé, il y a
cinq ans, par l’Union des Eglises réformées de France qui a proposé aux Eglises réformées évangéliques — de beau
La volK du paisé
l’Edi ta MIH!: IrlKl
...La liberté dont nous jouiisisianis depuis
vingt ans a-t'eJte amélioré la conidition matériiele de notre pqpulatjon ?
...Nos gens avec îlauns habitudes routinières ne savent profiter des ressouroes
du pays... la jeunesse prend chaque année
le chemin de îa Franc© pour aJer le plus
souvent remplSri dans les grandes viîtes.
tes pauvres fonctions de garçons de café
ou d’auberge...
L’esprit de laasociation s’esteil développé
parmi nous ? On semble ignorer même
que Funion fait la foroeu. La liberté a-teUe amené une élévation sensibte du niwau moral dans notre peuple ?... Les faits
se chargent de répondre... Pour ne parler que du vülag© die La Tour, on sait
que trente ans passés il comptait au plus
quatre ou cinq auberges et pas un seul
café Aujourd’hui on ne aatrait préciser
le niHnbre de ces étabKssemetits ; car à
peine a-t-on eu te temps de familiariser
.ses yeux à lia vu© d'une enseigne qu’il en
surgit d’autres nouveltes.
Pour nous — nous dit un jour un
aubergiste — il nous faut lies partSieB et tes
du .he ; c’est alors que I|es iEtres courent...
te vendredi et surtout le dimanche sont
nos jouméieis de travail ; les autres jours
nous faisons peu de chose»...
...A cette cause de misère nous devons
en ajouter deux autiras... la consommation
de tabac... et le lûxe surtout,en ce qui
concerne Fhabiliement... Les étoffes con
coup les plus nombreuses — de recher, cher avec elles a quelles conditions pour* rait être restaurée l’unité.
'T^Des conversations se sont fdepuis engagées avec les deux autres fractions;
elles ont eu pour résultat la déclaration
de foi commune de 1936, adoptée par les
: x^ers synodes nationaux.
L assemblée constituante, réunie à
Lyon, a des sa première séance, appelé
à la présidence le pasteur Marc Boegner,
president de la Fédération protestante
de France.
Répondant a 1 allocution de bienvenue prononcée par le pasteur Rivet, président du conseil consistorial de Lyon, le
pasteur Boegner s’est félicité de ce que
les travaux de l’assemblée aient lieu à
Tyon. QU se trouvent réunis cent vingt
délégués.
Après le culte d’ouverture, présidé par
le pasteur GoUnelle, un message des églises d Alsace a été lu par le pasteur
Bartolme, de Strasbourg, président de
l’Eglise réformée d’Alsace et de Lorraine. Cette Eglise, unie à l’Etat par le
lien des articles organiques et par des lois
ultérieures, ne peut entrer euvec les autres
Eglises dans I Eglise réformée de France
reconstituée.
Mais le pasteur Bartolmé est venu affirmer la volonté de son Eglise de marquer nettement par une collaboration
croissante qu elle fait partie de la famille
réformée française. (Le Temps).
Allemagne.
Le Comité Juif américain vient de publier une intéressante statistique des Juifs
en Allemagne.
Depuis 1933, 120.000 Juifs ont quitté
le pays. 40,000 ont été en Palestine,
35.000 dans des pays d’outremer, 25.000
en Europe orientale et 20.000 en Europe
occidentale. Depuis l’avènement d’Hitler, le nombre des Juifs en Allemagne
a diminué de 500.000 à moins de 380.000.
112.000 ont émigré pendant cette période.
55 % de la population juive en Allemagne est au-dessus de 45 ans, 15 % audessous de 20, 30 % entre 20 et 45 ans.
Sur les 1.400 communautés juives en Allemagne, 276 dépendent entièrement de
secours, 12 ont été dissoutes durant les
six derniers mois. Des 6.000 médecins
juifs pratiquant en 1933, 3.0(X) restent.
2.d00 avocats juifs pratiquent actuellement en Allemagne alors qu’en 1933 ils
étaient 6.500. Sur les 2.357 artistes juifs,
acteurs, musiciens, peintres, sculpteurs,
800 ont réussi à trouver un emploi dans
des entreprises culturelles juives depuis
l’avènement d’Hitler. Bien des villes ont
perdu la plus grande partie de leur population juive, alors que d’autres sont
devenues entièrement « Judenfrei ».
81.000 familles juives dépendent de la
charité - plus d un quart de la population
juive allemande. Sur les 42.000 enfants
juifs d’âge scolaire, 22.000 reçoivent
leur éducation dans des écoles juives et
20.(X)0 manquent de possibilités d’éducation adéquates.
S.CE.P.I,
PERSONALIA.
Le 28 avrl, dans l’Eglise Méthodiste
de Ve,rcieilp,i, a eu lieu la bénédiction, par
te pastjetur M. Pietro Maggd, du miajiage
de M. Emüe Tron, professeur, fils du regretté professeur homonyme de fUini’versité de Gênes, avec M.I3ie Atalia GalotU,
institutrice.
Nos meilleurs souhaite accompagnent
tes époux.
fectionnéeis dans la fam®|e sont passées
de mode ; il en faut de plus fines et d'une
plus bedllle apparence qui coûtent te donbte et durent la moitié moins. Combien
d© jeunira filjlles et combien de frejuquets
consacrent à amer teur charpente OBSeuse
tout te fruit de leur travail ! Sd, résdstlant
aiu courant d© la mode, ite employaient
ceg foies déi^nsBs à rendre plus confortables leurs demeures, is feraient par là
preuve die plus de siagesise ët de .plus
d’empire sur eux-mêmes ; is se montreraient plus affranchis du joug de îfopmion
et de la vanité.
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L’Echo des Vallées - Véñdíedi 6 Mai 1938-XVI '
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3
CHRONIQUE VAUD0ÍSE
BOBI. Le vaHon de lia combe des Charbonniers .e^t sans doute un des plus pittoresques de notre rég'ion. Hameaux perchés sur das rochers qui tombant à pic
sur ïe torrent Guichaird, gorges profondes et sauvages, mameïons boisés, pentes
doucement inclinées, couvertes de pâtlurage.s et parsemées de chaDete, oascadiels
nom'weuses, sources excaifentes, paysiage
tou jours varié ;■ voilà la combe des CharIxmniers.
Au fond du vaHlon,, ite magnifique plateau du Pis, C’est là que se trouvé if alpage du même nom. Il fut racheté en 1583
par lia commune de Bobi, des moines de
Statïarda ; cette abbaye l’avait reçu en
don des sdgneurs* de Luseme;, avec les
trois autras alpages du vallfon, moyennant
te Pkayemnent annuel de 40 fromages « neque de maioribuB ñeque de minoi'ibms »*
C’est là aussi que se trouve Je « Rifugio Barbara», construit il y a quelques
années. Le gardien du Refuge est actuellement M. David Pontet, toujours cordial'
et accueillant. Si à sa franche cordiaiBité
l’on ajoute sa longue expéirieince acquise
dans les hôteite de MarseiHle, on comprend
que la direction de ¥Oget ne pouvait choisir un meilleur gardien. Bien que la saison ne soit guère propice aux excursions
de montagne, M. Pontet a ouvert la Refuge depuis Ils commencement de mai.
Pour te moment, il' ne s’y trouvé que ie
samtdi et te dimanche, mais on peut toujours avoir te clê chez lui, à Bobi, Et d’ailleurs, sous peu, te Refuge sera ouvert
toute là semaine. Le « Barbara » va être
agrandi et sera à même d’héberger, à un
prix modique, ceux qui aiment à parcourir nos- be,ltes montagnes,
Ive plateau du Pis est le point tie départ d'asc,epsions fort intéressantes et offre un séjour des plus agréables a,u milieu de Ifair embaumé ‘de mêlièzas. R.
CANNES Jeudi scâr, 21 avril, décédait à Canines (France), M.lte Margmrite
Pellenc, 66 ans, originaire des Benech de
T^iis-rne Saint-Jean, laquelte fut tuée par
une automobiOé ayant fait une fausse maîicBvivre, et albrs qu’elllle sa trouvait isur
un trottoir de cette ville. Edite eut les jambes broyées par l’auto et fut transportée mourante à ‘l’Hôpitall Civil, où eUle
décéda peu .après.
Très humble et laborieuse, brusque
départ a été un véritablte deüsi pour toute
la Colonie Vaudoise qui l’appréciait, let qui
lui a témoigné toute sa sympathie en assistant en maisste à ses obsèques, qui eurent lieu dimanche, 24 avril à 13 h, 45^ et
furent présidées par M. le piasteur Monod,
de l’Eglise Réformée. Eîte repose aujourd’hui dans te cimetière protlestant de
notre ville, entourée des tombes d’un
grand nombre de Vaudoisi, qui Font précédée et qui, par leur nom et leur commune d’origine, nous rappeilJleint leB foyers
que nous avons quittés dans te mirage
d un joyeux retour et que .certains de nous
ne reverront peut-être plus.
La Cottonie r^ercie vivement M. le pas
teur Monod pour toute Ifassastance qu il
a portée,à notre sœur durant son vivant,"
ainsi que pour toutes les démarches qu’il
a faîtes auprès de nos Autorités à Ifoccasion de ses obsèques.
Amédée Stallé.
LA TOUR. Le -.Dimanche de la Mère
sera rappelé dimanche prochain au culte
de 10 h. 30, Discours. de circonstance,
chant exécuté par lés orphelines. Service
en italien. Collecte en faveur de l’Orphelinat. i
★ Nous avons eu te privilège' d'avoir
au milieu de nous M. te Modérateur, qui
a bien voulu accepter If,invitation que
nous lui avons adressée d’occuper la chaire
du Tempte Neuf ce , dimanche derniier.
Que son message — sur ,l’amour qui couvre une multitude de péchés — délivré
avec la force de l’expérience et ^éloquence
de la. conviction produise, avec la bénédiction de Dieu, beaucoup de fruits dans
le cœur de ceux qui l’ont écouté.
★ Dieu a rappelé' de ce monde M.me
Virginie Balmas venive Gochmo, après une
longue et douloureuse mailadîe. EUe avait
74 ans. Notre sœur a passé lia plupart
de sa vie à Prarustin, où son mari était
secrétaire de la commune. Elle faisait do
fréquente séjours à La Tour, chez sa fiillle
M.me 'Valtentine Pteyronel, et c’est chez
élte qu’elllle s’en est allée , vers Dieu. Elle
sentait vi-vement te besoin de vivre en
intimité avec la Seigneur par là méditation et la prière. ESte pensait à son départ, elte en pariait avec ce calme et cette
confiance que donne la certi'tude de la foi
au Christ vivant. Le besoin de vivre en
communion avec le Sauveur lui fit désirer
de célébrer., derniers jours, la Sainte ■
Cène, ce qui fut une de ses dernières
joies spiritue'Ces. Ellfe est morte dans te
Seigneur ; ©lé se repose donc de ses. travaux, dans li Maison du Père.
Que Dieu console et fortifie la famUfe
dans son grand depUi
PARIS. CoUlôcte de la Cotonie des
dois de Paris au 17 février : a) pour là
Semaine de renoncement, L. 125 ; b) pour
l’Orphelliinat, L 125. Tota,li L. 250, somme
qui équivaut à 352 francs français.
POMARET. Mardi, 26 avril, ont eu Meu
les obsèques de notre frère J. Pierre
Jahier, du Teitas de l’Envers Pinache, décédé à l’âge de 66 ans, à l'Hô^itali du
Pomareti, apres ime tongue maladie. A
tous ceux que ce départ laisse dans te
deuil notre sympathie est assurée:.
Dimanche dernier, dans VapHêsmidi, nos Unions des Mères de FEnviors
et du Pomaret ont clôturé teurs séances
par une jolie fête, organisée par notre
Union cadette sous la direction die M. Purpura. Le programme, formé de récitations
et de chants, a vivement égayé les mia^
mans présentes (unie septantaine), preuve
en est les bonnes impressions échangées
sitôt apirès autour d’une bonne tasse de
thé De joJis petits travaux brodés préparés en secret par lies filtetbels ont été offerts comme signe tangible d© reconnaissaïite affection aux mamans.
Nos vifs remerciements à tous ceux qui
se sont prêtés, pour la bonne réussite de
cette fête, ' î.:.
f ★ L’Union juvénile de FEnvers-Pina
ehe aussi a clôturé dimanche soir, ses
séances pour cette année par une soirée
offerte à la i^eine satisfaction des nombreux préjsients.
★ ïi' Dimanche prochain ; « Dimanche de
. là Mère», l|e culte sera célébré en langue italleinne. Les enfants de nos écoles
' du dimanche et leurs mamans y sont tout
particulièrement 'invités.
SAINT-GERMAIN. 3® Mstie des dons
pour VOrgue. Le constructeim ayant rencontré des difficuites pour se procurer osTw
tains matériaux indispensabtesi, il nous a
fallu renvoyer la date de l'inauguration
et prendre patience, Heureuseiment que
les donateurs rie prennent iras patience
et s'empressent de témoigner leur attachement à teur église.
M.me Judith Rochon,, 'Vdllar Pérousie,
L. 30 - Bounouis Henri et familte, Condovci, 30 - M. et M.me Alexis Long, en
souvenir de. leur fillle Hélène, 100; en
souvenir de Barthélemy Beiux;, 50 M.me
Adriana Teresa Lombardini, Turin, 100 Chev. Barth. Monnet, 1®>^ don, 11 • M.Me
'V’allentine Genre!, Chivai^, 100 - Lorris
Emmanuel Pons, Pignerol, 20 - FamiUà
Lévi Long, 10 - M.|lle Mélàniie Jahier, 10
- M.lle Elîsabetli Cardon, 20 - î'amillte,
Beux-Bounous, en souvenir du ipère Barth,
^'ux, 25 - Dans la dernière hste nous
avons oublié de dire que' te don de M.me
A. Bényr-Baiîmas a été fait en souvenir
de Marguerite 'V’inçon-Beux.
★ Le 23 avril a été célébré la mflr,iage
de Jides Comba et Irrm. Martinat, et te
30 avril celui de Jean Gaîlan et Yvonne
Balmas. Nous souhaitonis à ces époux de
fonder des foyers ilHluminés par la joie,
l’amour et Sa crainte de Dieu !
★ Dimanche, 24 avril, deux enfants
ont reçu Je Saint Baptême : Robert Grül
d'Henri et de Germaine Genre, et Ernestine Travers d’Ettore et d'Hélèine Travers. Que le Père Cêteste concède aux parants la force de garder toujours leiurB
engagements à l'égard des créatures qui
leur ont été confiées !
★ Le 8 mai nous fêterons, par un
culte spécial, te Dimanche de la Mèrè. Toutes tes Mamans des enfants de Fécople du
dimanclie sont instamment priées de ne
pas manquer, La collecte sera affectêeiaux
Orphelinats 'Faudois.
“ PRA DEL TORNO „.
Ricondianio ai nostri amici e a quanti
s'interiessajno dellà nostra attività die fra
poco la Società Missionaria « Pra dei
Torno ;» chiuderà il'. suo anno societario
1937-38 ; quindi pregheremo quelli che
ancora non hanno avuto occasione di farci
pervenire là tero oblazione o con tribuziom©
di farlo al più presto, possibilmente entro il 20 maggio p, v. Ci rivolfe-iamo speciialmente ai Membri Onorari. Infine pregheremo i Membri 'Vitalizi di farci pervenire il loro nome ed indirizzo perchè
venga inserito sul «Bollettino» della Società.
Ringraziamo neUfaspettativa.
Per la Società :
Giovanni Petrot, presidente.
Les frères de la .regrettée
■ a'
MARGUERITE PELLENC
remercient tous ceiax qui ont témoigné leur
sympathie à l’occadon de son départ x
tout spêdalemmt MM. le pasteur Monod,
Amédée StaMlâ, Bounous ef toute la 6olarm Vavdcise de Carmes.
Luaeme Saint-Jean, 3. mai 1938.
Abonnamenls payés et dons.
(Le €don» est entre parenthèset).
1938: Lantaret Elìsa, Pomaretto (3) Garrou Alba, Anvers - Peyronel Henriette, Riclaretto - Peyronel Jeànne,
Marseille (3) - Peyronel Adolphe, Vaucluse (2,50) - Perro Adele, Villasecca
$up. - Rostan Jeanne v. Grill, Faetto Villielm Henri, Marseille - Bounotis, famille, Id. - Ferrier Elena, Riclaretto Peyronel Jean, Id., 1937 - Chauvie
Alice, Torre Pellice (3) - Gardiol Bartolomeo, Riclaretto (3) - Bertin Albertina, Londra - Pasquet Mmgherita, San
Secondo (2) - Morglia Vincenzo, Luserna S. Giovanni (3) - Geymonat Paolo,
Id. - Pontet Daniele, Bricherasio - Zanetti Lorenzo, Livorno - Barus Giovanna, Inverso Pinasca (3) - Dott. Godino Sigfrido, Torino (3) - Avv. Bruno
Modesto, Id. - Dott. Mathieu Italo, Pra
Catinai (3) - Tourn Alice, Milano (3) Famiglia Cardon, Torre Pellice - Cardon Jenny, Prarostino - Pastre Maddalena, Id. - Forneron Francesco, Id. Dott. E. Geymonat, Torre Pellice - Frache Marie, Id, (2) - Beux Emanuele, Luserna S. Giovanni (5) - Vigliano Alberto,
Id. (3) - Girardon Pedro, Sant’Isi<^ro Girardon Margherita, Milano (5) - Pons
Ina ved. Koella, Rapallo (3) - Pons Giovanni, Genova - Malanot Madeleine,
Riclaretto - Malanot Jean, New-York,
Maggiore Berselli Oscar, Vercelli - Balmas Vincent, Pomaretto - Genre, Suzemne, Id. - Ribet Andreina, Id. - Tron Michele, Id. - Bleynat Jeanne, Id. - Bernard Arthur, Id. - Marchetti Enrico, Id.
Revel Oreste, Id. - Pons Paolina, Id. G. E. Mathieu, Id. (2) - Serre Enrico,
Villar Porosa (2) - Richard Edouard,
Cairo, Egitto (5) - Stefani Ester, Roma
- Peter Corrado, Porosa Argentina (3) Tron Giovanni, Id. (3) - Bertalot Long
M., Id. (3) - Rihet Enrico, Faure, Pomaretto - Baret G. Daniele, Cerisieri, Id.,
et 1937 - Maurino Letizia, Porosa Argentina et arriérés - Barai Emanuele,
. Marseille, ét 1937 (1) - Barai Alberto,
Fucina, Inverso Pinasca - Martinat Enrichetta, Pomaretto (3) - Durand Jacqueline, Vivian, Inverso Pinasca - Coucourde César, Id., Id. - Balme G. Antonio, Pomaretto (2) - Baret Paolina,
Combevilla, Inverso Pinasca, arriérés Rihet Alberto, Masselli, Pomaretto - Bertetto Emilio, Inverso Pinasca - Leger
Giosuè, Id. - Jahier Albert, Id. - Jahier
Marie, Id. - Long Enrico di Luigi, Id. Long Enrico, Id. - Coucourde Ernest,
Id. - Rihet Ida, Id., et 1937.
(A suiore).
Les livres.
Charles Cellerier: La présence de
*. Dieu - Méditations pour chaque jour
de l'année. Un vol. in 16“, 342 pages.
Ed. Labor, Le Grand Lancy - Genève.
- Frs. s. 3,50.
A l’origine de ce livre, il y a cette préoccupation essentiellement pastorale; mettre l’Ecriture Sainte entre les mains de
tout chrétien afin qu’il y écoute, chaque
jour, chaque matin de préférence, la parole que Dieu a pour lui. C’est bien là
qu’est la difficulté ! Combien de fois,
pasteurs, n’avons-nous pas entendu cette
remarque :
« J’ai bien essayé de lire ma Bible,
mais je parviens si rarement à y trouver quelque chose pour moi ! ».
Le livre du pasteur Cellérier est une
réponse à cette objection. Elle pourrait
s’exprimer ainsi:
« Essayez encore ! Je m’en vais pour
ma part, vous dire comment je fais I ».
Et, à propos de chacun des passages
indiqués (repartis sur les 365 jours de l’année et tenant compte des principales fêtes chrétiennes et de leur préparation),
1 auteur nous dit l’écho qu’ils éveillent
au fond de son âme. Ce sont des notes
brèves, simples, dont la résonnance est
claire, de courtes méditations dont on
peut dire de chacune: elles sont la réflexion, par une âme, de l’Ecriture, tout
comme un miroir reflète la lumière qui
tombe sur sa surface. Elles sont bienfaisantes, dans leur absence d’apprêt et
dans leur langage concret qui en fait mesurer la profondeur. J. C.-P.
★
★ ★
Louis BouYER: Le quatrième Evangile Traduction et commentaire de L’Evangile selon St. Jean, précédés d’une
introduction. I vol. grand in 16” - Edition « Je Sers », Paris - Edition Labor
- Genève - Frs. 3,25.
Ce livre comble une grave lacune: on
ne possédait guère, avant cet ouvrage et
celui de G. Dehn sur l’Evangile de Marc,
paru aux Editions n Je Sers » et Lahor,
de commentaire moderne et facilement
maniable de la Bible qui soit destiné aux
fidèles.
Aujourd’hui il faut se réjouir d’avoir
un ou'suage de lecture aisée qui permet
à tous de bénéficier du travail théologique des exégètes sans épouser leurs discussions souvent ardues. L’auteur s’est
efforcé de transcrire et d’expliquer le témoignage de Jean dans un style actuel
et vivant. Ses notes et ses explications
sur le milieu juif, aident à comprendre
les controverses de Jésus avec les Pharisiens et les nombreuses allusions à 1 Ancien Testament; elles n’atténuent pas le
texte, mais le remettent dans son cadre
et lui rendent tout son relief.
Quel lecteur de Jean n’a été arrêté par
des passages énigmatiques î Ces difficultés ne peuvent que disparaître eh face
des lieux où Jésus a parlé ou des traditions auxquelles il faisait allusion. Mais,
à côté des précisions d’ordre historique,
ce commentaire donne une explication
fouillée du texte lui-même, étudié par
l’auteur avec autant d’érudition que de
foi. On en pourra juger par la page que
nous publions plus haut. J.-J. C.
4
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¡^] ^ L*Echo,. -^Vendredi 6, Mai 1938-XVI
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«Ito Clîlla dû 24 ApHl,e |11« Kagjilo 123MÎI
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“ P^istore: Lorenzo Ri
" l’astore: Alberto Ribet.
' Oreste Peyronel.
Pastore: Luigi Marauda.
’ Pastore: Guido Mathieu.
Lamy Coisson.
~ Pastore: Ermanno Rostan.
Edoardo Alme.
- Cand. Teol. A. Janavel.
RODORBTTO - Cand. Teol. A. Genre.
« Pastore: Enrico Geymet.
CHISONE - Pastore: Gustavo
Oibho Tron.
VILLAR PELLICE - Pastore: Rob. Jahler.
ABBAZIA - « Chiesa di Cristo » - Culto alle
ore 16 - Pastore: Valdo Vlnay, da
Piume.
AOOTA - Chiesa: 11, Via Crolx de Ville Pastore em. Augusto Jahler (da Torino).
BARI - Chiesa Valdese - Da Corato.
BERGAMO - Chiesa: Viale Vittorio Emanuele 4 - Fetore: Arnaldo Comba,
Viale Vittorio Emanuele. 59.
BIELLA - Chiesa: Piazza Funicolare, Palazzo del Consorzio Agrario.
BORDIGHERA - Chiesa: Plani di Vallecrosla - Pastore: Davide Pons, Istituto
Femminile Valdese.
BRESCIA - Chiesa: Via del Mille, 4 - Pastore: Enrico Méynler, Ivi.
BRINDISI - Chiesa Valdese: Via Congregazione - Da Taranto.
CALTANISSETTA - Chiesa: Via Malda, 19
CARUNCHIO “ Chiesa Valdese - Cand. Teol
Liborio Naso, Ivi.
CATANIA - Chiesa: Via Naumachia, 20 Pastore: Teodoro Balma, Ivi.
CERIQNOLA - Chiesa Evangelica - Pastore: Enrico Pascal, Viale Regina Margherita, 17.
COAZZE - Chiesa Evangelica - Da Torre
Pellice.
COMO - Chiesa: Via Riwreonl, 9 - Pastore:
Carlo Lupo.
OORATO - Chiesa Valdese: Corso Mazzini.
^ 27 Pastore: A. Mlscla, Ivi.
FELONICA PO - Chiesa Evangelica - Cand
Teol. Enrico Corsanl.
FIRENZE - Chiesa di Via de’ Serragli, 51 Chiesa di Via Manzoni, 13 - Pastore:
Virgilio Sommanl — Coadiutore: Pastore T. Vlnay.
PIUME - Chiesa: Via Pascoli, 6 - Culto
alle ore 10 - Pastore: Valdo Vlnay,
®^®f- Wlltsch, Via'Bacclch, 5.
FORANO - Chiesa - Pastore: Alfonso Alessio, Forano Sabino (Rieti).
GENOVA - Chiesa: Via Assarotti - Pastore: Emilio Corsanl, Via Curtatone,2T
GROTTE - Chiesa - Grotte (Agrigento) Da Palermo. -
IVREA - Chiesa: Corso Botta, 5 - Pastore:
Arturo Vlnay, Casa Ravero, Piazza
d’ArmI.
LIVORNO - Chiesa: Via G. Verdi, 3 - Pastore: Attillo Arias, Ivi.
LUCCA - Chiesa: Via Galli Tassi, 18.
MANTOVA - Chiesa: Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa: Via Maddalena, 39,
isolato 147 - Pastore: SeiflEredo Colucci, Via C. Battisti, 191, Isolato 217.
MILANO - Chiesa: Piazza Mlssorl, 3 - Pastore Enrico Tron, Via EUrlplde, 9.
NAPOLI - Chiesa: Via Cimbri, 8 - Pastore:
Mariano Moreschlnl, Ivi.
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese 405 West, 41 Street - Culto principale:
3.30 pom. -- Pastore: Pietro Griglio,
21 West, 95‘** Street.
NIZZA - Chiesa: Rue Gloffredo, 50 - Pastore: Alberto Prochet, Ivi.
ORSARA DI PUGLIA - Chiesa Valdese - Da
Cerignola.
PACHINO - Chiesa Evangelica - Cand. Teol.
E. Mlcol.
PALERMO - Chiesa: Via Spezio, 43 - Pastore: V. Subilla, ivi.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore: Davide Pons, Istituto Femminile Valdese.
PIAZZA ARMERINA - Chiesa Valdese - Da
Catania
PIEDICAVALLO - Chiesa: Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa: Via Dema, 15 - Pastore: F.
Peyronel, Via Santa Maria, 85.
REGGIO CALABRIA - Chiesa: Rione San
Marco, Via Possidonla, 4 - Da Messina.
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore Umberto Bert.
RIO MARINA - Chiesa Evangelica - Da Livorno.
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre,
107 - Pastore: Giovanni Bonnet, ivi —
Chiesa di Piazza Cavour - Pastore:
Paolo Boslo, Via Marianna Dionigi, 57.
SAMPIERDARE^A - Chiesa: Via Giosuè
Carducci, 16 - Cand. Teol. P. V. Panasela.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI Chiesa Evangelica - Anziano-Evangelista Scarlnci Giuseppe, ivi.
SANREMO - Chiesa: Via Roma, 8 - Pastore: Ugo Janni, Ivi.
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese: Via S. Domenico, 5.
SUSA - Chiesa: Via Umberto I, 14 - Da
Torre Pellice.
TARANTO - Chiesa: Via Pupino, 16-20 (angolo Via F. D. Palma) - Pastore: G. Castiglione, Via F. D. Palma, 144.
TORINO - Chiesa: Corso Vittorio Emanuele II (angolo Via Principe Tommaso) - Pastore: Alessandro SlmeonI,
Via Pio Quinto, 15 — Coadiutori: Pastori Elio Eynard e Emilio Ravazzlnl.
TRIESTE - Chiesa: Via S. M. Maggiore Pastore: G. Del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA - Chiesa: Palazzo Cavagnls
(S. M. Formosa) - Pastore: Ernesto
Ayassot, ivi.
VERONA - Chiesa: Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Da Brescia.
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore:
Arturo Mlngardi, Via Garibaldi, 60.
ZURIGO - Chiesa Italiana: Waldenserwerk
- Pastore: Alberto Fuhrmann, Idastrasse, 21.
Il culto principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 circa della Domenica.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pellice - Direttrice: Sig.na Adele Arias.
ORFANOTROFIO MASCHILE (IstitutoGould) - Via de’ Serragli, 51, Firenze Direttore: Pastore Virgilio Sommane
ISTITUTO ARTIGIANELLI VALDESI - Torino - Via Berthollet, 34 - Direttore:
Gr, Uff. Paolo Canobbio.
OSPEDALI VALDESI - a Torre Pellice - a
Pomaretto - a Torino: Via Berthollet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede: Torre
Penice (Torino) - Direttore: Pastore
Roberto Nisbet, Angrogna.
RIFUGIO PER INCURABILI «Re CARLO
ALBERTO » - Luserna San GlovannL
ASILO PEI VECCHI - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - San Germano Chisone - Direttore': Pastore emerito Bartolomeo Soulier.
ASILO PEI VECCHI - Vittoria (Sicllia\
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Guido Comba, cassiere - Cand. Teol. Paolo Maraudà, segretario del Moderatore — Via Quattro
Novembre, 107, Roma (101).
FACOLTA’ DI TEOLOGIA - Via Pietro
Cossa, 42, Roma (126) - Professori: Ernesto Comba, Davide Bosio, Giovanni
Miegge.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre
Penice - Preside: Prof. Adolfo Tron.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Prof. Davide Bosio, presidente; Virgilio
Sommani, Giovanni Miegge, Mariano
M OTCSCfttflt
LIBRERIA editrice CLAUDIANA - Torre
PelUce - Direttore: Pastore Paolo Còlsson.
CONVITTO MASCHILE - Torre PelUce - Direttore: Pastore Davide Forneron.
ISTITUTO FEMMINILE VALDESE - Vallecrosla - Direttore: Pastore Davide Pons.
COLONIE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Uruguay.
COLONIA VALDENSE (Dep.to Colonia> Pastore: Ernesto Tron.
COLONIA COSMOPOLITA (Dep.to Colonia
- Via Rosario) - Evangelista: Emilio H.
Ganz.
TARARIRAS E ANNESSI (Dep.to Colonia>
- Pastore: Daniel Breeze.
OMBUES DE LA VALLE (Dep.to Colonia)
Pastore: Carlo Négrln.
COLONIA MIGUELETE (Dep.to Colonia) Pastore: Carlo Negrln, da Ombúes.
SAN-SALVADOR (Dep.to Soriano) - Pastore: Giovanni Tron (residenza: Dolores).
NUEVA VALDENSE (Dep.to Rio-Negro) e
NIN Y SILVA (Dep.to Paysandù) - Visitate periodicamente.
Argentina.
COLONIA BELGRANO (Prov. Santa Fé Estación Wlldermuth F. C. C. A.) Evangelista: Carlo Alberto Grlot.
COLONIA IRIS (Pampa Central) - Pastore:
Silvio Long, Est. Iacinto Aràuz, P. C. S.
COLONIA EL SOMBRERrrO (Prov. Santa
Fé - Est. Paul Groussac F. C. S. F.) Visitata periodicamente.
CALCHAQUI (Pfov. Santa Fé, F. C. 8. F.) Visitata periodicamente.
Ju'lei Tron» directeur-responsable
Torre PeMice - Imprimerie Alpine S. A.