1
Année Neuvième.
PRIX D'ABBÓNNKMENT l’Ali AN :
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Pou.r ì'/uiértent' ohe/ MM'.Un
PKBtj3i{r8 «t le» librHire» de
T(>rre l’ell;i(je.
Porir'l’A’^/è»*i>iVKau Iìhitchu d' A.d
N. i4.
6 Avril 1883
Un ou plusiâur& numéros sépa^
rés, demandés avant le ttra^fe ÎÛ cent, chacufl.
Annonces; 2îi centimewp^a«' ligne*
, fiOs «ntJuis^d’arÿirui. sa font par
I ¿ei/re recnmmcni-tiee ou par
ina?ida£s siif le Bureùil de Perosa Argentina,
! iiur la RÉDACTION atlreeser
' ainsi : A la Diréciion du réwdùi,
Pomaretto (Pinerolo) itali«.
l'tiur l’ADMlNISTtlAtlON adreaserainsi; A rAdminUtration du
Témoi«, Pomaretto iPineroio)
Itatie.
1
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ÉCHO DES VALLÉES VAUDOISES
Paraissant chaque Vendredi
VoUf inf serez témoins. Arn'KS 1, S.
Snii>aHl la i>érilé avec Ut 'Cjiarlie. Ee. 1, 1&
6 Avril; —> Comtniiiiicatiuii ofTioiello. —
Doùs puhiicalioiis ilii plus haut intérôt.
— Lo Collège — Loii sop vai a la monlagna ; dia fpria sori la maiigagna. -r ü Ire
iHnosii'tk' la fiia.-3: Une liatto actmitléi!. —
1.0 i-estaini'iil. — Lîii serrot. — Nouvelles
HeligimneK. —^ l'ntvrrlif's — Rtcue poUU.qm. : 'n,:
6 A-vril
Celui-ci qui a ouvert les.'yeux de
l’aveugle ne pouvait-il pas faire
aussi que cet homme ne mourût
/)otni? Jean, xi. 37.
Jésus sàchanl! que les juifs cherchaient H se^saisir de lui, et ne
voulant pas'se livret“’ entre leurs
mains avant que sôn heure ne fût
venue, s’était ietiré sur la rive
gauche du Jourdain , là ofi Jean
avait baptisé. C’e.st là que les sœurs
de LazareULU envoyèrent dire que
celui qu'il armait était malade, et
que bientôt après il annonçait à
ses disciple.s que leur ami commun était mort; en ajoutant qu’il
avait de la joie, à cause d'eux,
de ce qu'il ne s’était pas trouvé
plus tôt à Béthanie. Bien qu’ils
ne comprissent point encore ce
que cela voulait dire : ressusciter
des morts , lorsque Jésus leur an:
nonce qu’il va réveiller Lazare,
ils ont dû s’attendre à le revoir
vivant,, sans s’expliquer çômBienli
cela pouvait se faire.
Mais Iæs juifs gui étaient venus
de Jérusalem pour consoler Marthe
et Marie, n’attendaient rien de
pareil ; aussi lorsqu’ils voient Jésus
pleurer avec les deux sœurs ontils quelque raison de dire entr’eux :
celui-ci qui a ouvert les yeux de
l'aveugle n’aurait-il pas pu faire
aussi que cet homme ne mourût
point?
11 n’y a nul doute qu’il l'aurait
pu, s’il l’avait voulu et si la prolongation indéfinie de cette existence, ou un enlèvement au ciel
pareil à celui du prophète Elle,
eût concouru plus puissamment
à la gloire de Dieu , but suprême
de toute l’activité du Sauveur.
Lorsque dans l’une de ses dernières rencontres avec ses disciples,
au bord du lac de Génézareth,
Pierre demande en parlant de Jean
qui marchait derrière eux': Seigneur, et celui-ci que lui arriverat-il? Jésus lui dit: « si je veux
qu’il demeure jusqu’à ce que je
vienne, que t’importe? » — Par où
'Y
2
_______loe.-,,..
le Prince de la vie et le vainqueur
de la mort aflBrrae son pouvoir
suprême sur cotte mort, suite et
salaire du péché. Toute la question se réduit à savoir s’il était
plus utile pour l’oeuvre que le Fils
de Dieu a.ccoraplissait sur la terre,
que Lazare ne mourût point, ou
bien qu’il fût ramené d’entre les
morts. Or il est évident que l,e.s>
effets salutaires produits par le
miracle, de Jésjqs-Christ justifient
glorieusement le choix qu’il a fait
entre la guérison et la résurrection
de son ami.
Si tu crois, avait-il dit à Marthe,
« tu verras la gloire de Dieu,» etMarthe avait cru. La foi de ses
disciples, que le premier miracle
avait réveillée et que les enseignements et les merveilles de puissance accomplies par leur Maître
bien-aimé avaient nourrie, et développée, au moins chez la plupart d’entr’eux, a dû être affermie
par cette glorieuse résurrection de
leur ami. Il y â bien plus encore,
car St. Jean nous dit que plusieurs
des juifs qui étaient venus vers
Marie et qui avaient vu ce que
Jésus avait fait, crurent en lui.
C’est ainsi que, de toutes manières , la mort de Lazare, suivie de
son retour à la vie, a été pour la
gloire de Dieu et que la conduite
du Sauveur en cette mémorable
circonstance s’est pleinement justifiée aux yeux de ses disciples.
Que de fois, depuis lors, même
les amis du Sauveur n’ont-ils pas
été .ten,té:S de répéter cette question des juifs ; pourquoi celui qui
a guéri tant de malades et rappelé
tant dé morts à la vie, n’a-t-il pas
fait que cet homme, ce père de
famille, ou que cette mère de famille, que ces chrétiens éminents
par leur piété et leurs talents, ne
mourussent pas avant d’avoir atteint Textrême limite de la vie
humaine? Ou bien encore, en modifiant un peu cette question, ne
se dernandè-t-on pas souvent pour
quoi, lorsque l’un est pris et l’autre
laissé, celui qui est laissé est
l’homme inutile dans la société,
comme dans l’Eglise, à charge
aux autres et peut-être à lui-même,
tandis que celui que la mort ravit
à sa famille, à l’Eglise et à la Société semblait être partout indispensable et laisse après lui un vide
que nul n’est capable de comblerl
A toutes ces questions et h d’autrgs pareilles, il p’y^.a qu’une réponse à faire, et ç’ést: quml fait
bien tout ce qu'il fait, (Ma^ç.-vii,
37), non seulement lorsqu’il fait
ouir les sourds et parler les muets,
mais lorsqu’il prend aVec lui dans
son repos ses rachetés que l’on
retiendrait volontiers sur la terre,
ou qu’il y laisse ceux dont le départ serait une délivrance plutôt
qu’une perte. — D’un côté l’on oublie trop souvent que si Dieu se
sert des hommes pour accomplir
son oeuvre sur la terre, aucun
d’eux ne lui est indispensable et
que comme il ne donne pas sa
gloire à un autre, il ne permet
pas que Ton compte sur le meilleur dès chrétiens plus que sur
lui. D’un autre côté si la patience
de Dieu laisse parmi les vivants
des êtres inutiles bu même malfaisants, c’est parceque ses compassions dépassent la me.sure des
compassions humaines autant que
les cieux sont élevés au dessus
de la terre. Il attend pouf faire
grâce, et- tandis qu’iJ attend, il
veut que ses enfants soient ouvriers avec lui pour éclairer ces
ignorants, supplier,,ces;,pécheurs
de se convertir,, et montrer à ces
hommes inutiles — que personne,
peut-être, n’a invités au i travail,
Matth. XX, 7, comment ils pourront, fût-ce à, la dernière heure,
se rendre utiles à eux mêmes et
à d’autres. , „
Si , comme s'exprime 1-apôtre,
nous marchons par la foi et non
par la vue, il nous est bon d’être
en quelque sorte forcés par les dis-
3
1
'Vi
.107,.
péílsations mystérieüses de notre
PèrO celeste de tourner plus constaitinient ilotré regard.vers lui,
d”atténdre de lui seul le secours
et la délivrance dans le besoin,
be qu'il veut nous donner, si seulement nous savons, le prendre
de sa main paternally, est toujours
infinijpent plus ¡ précieux que la
iblen. quel qu’il soit que la mort
( tu : quélque accident, ou la malice
des I hommes nous ont enlevé.
Toujours encore cette parole .se
vérifiera en nous: si tu crois, tu
verras la gloire de Dieu. Mais aussi
•c'ieBtdà le glorieux privilège de
dk fbiJ il.
I l ‘Klllli'
'■| i
Goininunication officielle
CíBCULAmá'sAtjX > PASTEURS
' • ’•»■Honoré Monsieur et cher frère,
‘¡l, ^éux reprises déjà la Table a
organisé, àa sein paroisses , des
yaTléys, une série de seiivices spèciaux
ayant pour but le réveil de la vie
spiyituelie dans nos Églises, Ces services, auxquels vous avez bien voulu
prendre une part active, n’ont peutêtre pas donné tous les résultats visibles que nous en avions espérés;
ipais ils ont été partout bien accueillis
et biéd sentiment. généra!
a été,jdes,.lors, que de pareilles réujrijons organisées de temps à autre,
ayefilq.çpncours des pasteurs, étaient
un,dés movpns: que, Dieu^ niellait à
notre pwtée pour le,, relèvement de
nqti;e chère Église. !
Auési.iÇst-ce .ayec,, une ¡entière ,con.ijance que-nous venons aujourd’hui
vous,[,sqq.meUre ,1e tableau ci-joint
d^une visite à chacune de nos Églises,
persuadés que vous accepterez volontiers’là* part dé tràvàil qui voüs y est
àSs’igiiée ’et qiiè, au sèin de votre
'propre fiàrotsse’, vous prendrez de
conceyt’avéc les’membrés du Consisloi'ré 'ioules leé mesures propres à
rendre'ceS réunions fructueuses.
Laissant à nos frères qui doivent
visiter la même paroisse le soin de
s’entendre avec le pasteur de l’endroit, sur le choix des sujets, nous
désirons que dans toutes nos Eglises
l’attention soit fixée sur les trois que
nous indiquons comme suit, en citant
Suelqiies passages de la pa;role, de
ieu , pour mieux préciser notre pensée :
1° C'est l'heure de nous réveiller du
sommeil... Rom xiiïIî 11'.'¡(Appel
aux indifférents et aux indécis).
2* Fortifie-toi dans la grâce...
Timot. Il, '1 ; 1 Timot. iv, 7. — (Appel
à la jeunesse vaudoise).
3” La vie de l'Eglise... Hébr. x,'24,
25 ; Jean xyiiy 21;’ Actes ii, 41-^47;
ivj^ 32-37. (Ne p#S oublier la vie ecelésiàstiiquei eli iic devoir do chaque
membre, de '.soutenir, par son travail
.0t'’’p»r’ ses dop8’,V.les lœuvres do l’E.glis® iàT.lia.qlieHp ilbapparliont).
cpmnie' noès^ 'lé besoiÀ''de' démàndéi ati'Seigneur qu’il
daigne bénir ces réunions pour le
bien de Soin Eglise dans'nos Vallées.
} ! , La Jabee,,,
rtéunions de prière dans les paroisses
Vaudoiws, Î8S&: ■ ■•r J ■
, ■ ‘ ■ ' .à-.'
liobi, M' D. Gay, junioi^'j Roinano,
avril 15, 16, 17.
La Tour, MM. J. P. Méille; Math, Gay,
avril 15, 16, 17, •
Angfoâïïè,}M\. 11.'Dosio'; Xiii., Gày,
avril ^7. 18, 19 i ■
Pomaret, MM, IL Bosio; J.. P. Poms,
avril 20, 21, 22. , " ' ' , '
Luserne Si. Jea'il, MM. D. Gay,-senior;
J. P. Micol, avril 2^,.,23, 24.
PrarusHn, MM. H. Tron; Ph. Rosian,
avril 29, 30, et P mai.
St. Germain, MM. D, B. Mu.slan; A.
Gay, avril 29, 30, et l'" mai.
Vülar, MM. J: P. Pons';' J. J. R. Tioii,
mai 1, 2, 3. ■ '
Vilksèche, lûi. P. Lanint'cl'; D. G.ay,
junior, mai 4, 5, 6. ' '
jRoni, MM. IL Tron ; Romano, mai
6, 7, 8.
Pramol,.MU J. P. Micol; Ph, Roslan,
mai 8, 9, 10.
4
^..108^
Perrier-ManeÀlle, MM. J. D. Hugon ;
Gardiol, 23, U, 25.
Massel, MM. J. D. Hugon; Gardiol, mai
23, 24, 25.
Bodoret, MM. El, Bonnet; Marauda,
mai 23, 24, 25.
Pral, MM. Et. Bonnet, Marauda, mai
27, 28, 29.
La Tonr, 20 mars 1883. n
n&ttx pablicatiuns û plus haut intérêt
Le Témoin estime qu’il manquerait
à un devoir sacré, vis-à-vis de ses
abonnés, pasteurs et instituteurs surtout, s’il ne portait à leur connais•sance, le projet conçu par la noble
Société des livres religieux de Toulouse,
à la quelle nos Eglises évangéliques
de langue française sont déjà si redevables, d’une réimpression àe. deux
œuvres capitales du protestantisme,
savoir: les Commentaires de Calvin
siir le Nouveau Testament, et VHistoire
des martyrs par F. Crespin.
Une réimpression du premier de
ces ouvrages faite en 1854 par l’inilialive de notre ami et frère M. le
pasteur Pilalte, est depuis longtemps
épuisée.
Le second, étiorme volume in folio,
dont il s’est fait 16 éditions, de 1554
à 1619, date de la dernière, est devenu à peu près introuvable.
C’est donc un immense service que
la Société de Toulouse rend au public
chrétien en lui restituant, en-quelque
sorte, deux œuvres de cette importance, service qui constitue de la part
de ce public un devoir des plus pressants, auquel il ne manquera pas,
nous l’espérons, celui delà soutenir
par son concours dans celle courageuse entreprise. «
Le nombre de souscripteurs absolument indispensable pour que l’impression soit commencée, est de 500
pour les Commentaires de Calvin et
de 850 pour VHistoire des Martyrs.
— Les deux souscriptions seront irrévocablement closes le -30 avril courant.
Qui veut s’abonnera l’une ou à l’autre
de ces publications, ou à toutes les
deux, doit faire connaître son intention à M. le banquier Côurtois^die Viçose
à Toulouse, Haute-Garonne (France),
en donnant exactement sa propre
adresse. ' ‘
Les deux ouvrages seront imprimés
dans le format grand in-8°,"aVec caractères elzévi riens.
Les Commentaires de Calvin formeront 4 volumés d’environ 780 pages
chacun. Le prix de là souscription est
de 40 fr. payables en deux' fois: 20
fr, à la réception des deux premiers
volumes et 20 fr. à la réception'des
deux derniers. . i , r
VHistoire des Martyrs formera 3
volumes d’environ 750 pages chacun.
Le prix de la souscription est de 25
francs payables en deux fois: 13 francs
à la reception du premier volume et
12 à la réception des deux autres.
____________________________________
le Collège
Nous ne nous sortîmes pas trompés
en nous persuadant que l’appel en
faveur de notre'Collége serait enténdu
et que non seulement les paroisses ,
mais aussi till''’bon nombre d’ëntre
les élèves qui ont passé par! cet établissement se hâteraient de'veriir à
son secours, La liste des dons déjà
reçus devait paraître dans'le nù'mél’o
précédent et ce n’èsl pas notrei fable
si elle a été oubliée. Nous avons la
ferme assurance qu’elle né'sera qbo
le commencement d’ùne longue.^uile
de dons. La Table ne manquera certainement pas de' faire ce que lui
.suggère le premier des donateurs
inscrits, savoir de rechercher soignèusement les noms et les adi'esses de
tous les vaudoi.s, ou étrangers quî'ont
profité de l’enseignement donné au
Collège Vaudois. et d’adresser son
appel à chacun d’eux individueîlemenl.
D’un autre côté nous venons de
recevoir de notre compatriote et frère,
M. Ed. Tourn, libraire évangélique à
Marseille, la bonne nouvelle que trois
listes de souscription circulent en ce
moment dans celle ville et qu’il y a
5
•109
lie» . d’attendre, (les vaudois qni les
habitent 0n si grand itof^bre, un bpn
témoignage de POt"’
prósper*íté de notre, chère Ëgtise-^.
""y 01 ci.dïta i n t en fl n t ', Îfl pr em lêre ' lîçie
, MM. M,,]Prochel piisl.. Gènes fr, 30
j, ' A.,Ë. Tron^ eyang. ,, i.,, ,)),,40
■lip 11 lO.v ; »! ■ iid-ii. ■ , « , j.i 11 */I AO
, Ai.À¥ftil?ecker,y Piicie ,,11'-. » AO
Âôg, Meille min., Florence » 20
' P. A. Micot, Pomarel . . i 2
P. LanUrel pasteur , . » 10
P. Lantaret cand, th. . » 10
^ - __________________^
" lliiu snp vai la inaiilagti^,
fiîria’. s«r,l 'ïà ra'i|BgagB,ii'''"
' . 1! m; !i ;i'i 1 . ; ¡;( j \-,j .-iH
i! Le boi'têU)iiTnarche''ihàl‘,àds(>ri 'aise
et' lehtettietïti''‘Malgré:' célàV '11 pdtit
faire bien du chemin, même en des
lieiixi difficiles J‘teily tfu’iP's’èh Iropve
d‘’ordinaii’B dffns"Ies' montagnes. |1
' peijit effectuer sa marche ' ^ans intioovénients, caiv seloh le proverbe italien : chi m ■fiaMff,’'va‘ sano:^Gs\m,
au contraire, 'qui'inarche bu 1}»''travaille avec précipitation, risqué'de
se faire du rndl et mêniede'prendre
uUé 'inmigagnú, 'C’esl^Jà-ldirè ‘maladie qui lé pHvera- penti-êtré pdOr
Odujotirs de la satitéi ilusslî îms"ftldr|taghards diaent'sauvent' A' 'ceux*'qui
travaillent ; 'èMali ‘adastût} d’esl4dirp: plIez-y doucement.
Le travail patient et persévérant soit
de l’esprit, soit du corps, obtient de
meOleurs résiliais que |q J.r^vail |^t
èéràrie pàd neoièy.L' O
Travaillez à quelque ordre qui Vfiia presse
Kt ne vous piquez point d'une folle vitesse.
; '«'tì^tez-vdhs. 'lèlnlenpenl, ^ » ,Cèçî qe
Vèut pas dli'e'sôyez tentó^^qi jta|’esseùîj,
fh|ÿîs trayaille!^ àyec diljgépcç'.d’t rçfl'épôh.i' C’ès^ une, pdnàUipn de succès
dans ibijt ce qüe',;^üs\|àîsàq.4i.1^
prdj'éts de I ceint q’fji ésl,^ diligent aliènent à l’âbondançé, mais iqut hqm
mais elfe, n’ep. a ^qqe J’apDarence.
Aussi elle trompe,'g||è, ypus l^jl. faire
des,,gclipnSi do,pi ,oq ,4aiil se ijepenlir.
,,<( C.eJ,ui qur se précipite' dans ses démarches pèche ». Prov. 19,,2. ,J^pnpnpnçq,,des, ipqyples, jl pi'gpd qés eh)8«geînfi,Çj?„i«i..|f Mgefe^jet,, éq , irpqve
qns;uiie dans de grands etnpnrras., ill
se'. ra e t, fafii l,emen t. e n., ¡çp! êife,,ç t !, ,fa i t
■/wi; ' liisi i. 'It'iii ' II!'
^ï^fi/ung,m |a preotpi.tgOon esAdqnc
u'hè source de||rWi7nÿAÇ||Ou'de|maû,?i,
qu’il, faut éy;itet;.. G’esGpçucq^ ac,quiéijS|,Ja, .éalgesse, 'et '¡.sni;, tçutqf Ips
açquisÎijpnSi,, acqpier^ Pfm'denca ».
-■-!!■ ■■ lu ■!.! •)I.:!VaI.DBîS!
' II! Il
\z==aa=
:-=tf±l±7é=
être pn‘se parfois jppiji,r'djé l,a ditigq'n'pp,
inivüii-| ''il / i.i'.riiiMii 'j .■• l'ni
"’ li tre aiBoor' tle ia’Dia" '
l'ivi'.ij 'Mill I/.I 'ill ii; I i'l l•l!ll •i:i|
.'A I .'tí 'illll
La fiia a ire amour: lou jprim ,
quel dar balesme, i se n’arcoraa pá ;
lou lers, quel dMai.mm’l, i lou vê
pà; lou sero'fciHtì^j^'r iHn giouis, si
sa vardalou; l’ounla I’espeta, si lou
•pe^ii Ml HUM ■iiiiiik.iYaW.
í1ñ=‘*XTTrTffF
tT~ÎT'
.'.i'lij -1
■ I Mu'i '
TT‘^TTi—ih. j , liüirMl I '■iii'rifi'i
"Iti!,’n-i)ii M'iijii;!
ilife’dett« acquitt#'! ‘ ’
il ,''i: • ■•■il -liii-. 1 ■-iii;îi iMli
‘ “ÿoH?MV % ■ V •ii'fi/»
^vjllpI dç: i;,,qtaii,,p\anquGlpm.efffjijif*si-‘’
dans, soii.,' ndp)nj.4i,t’, lQri^q,UjUni,jen,ne
no.rainei^pâfe.^et, au,,yiagg,e, '(dpfau ipar
les éphPiS. ytnti tirnidémpn,l,,,fiAP,per;à
®'^i:PPlAétli Mil 1-Mi /'iir. iu'l
— J ai besoin de secours., ¡dit |e
en.i^Rli;4^TîA lli f"?
,,,,, ,, git,ppo'imnes ,pour,fqj,'diiiO*®fî.‘'
mes éngàgeménls.’ Je' n’a'ùraiS|,g| qèr^.g?é'., iPer?PP,ne M.ffiq?.,, propres
créanciers avàiept,étniP'oncinq|^invgc
moi.,iJ.’gi ,pensé lyenir, vers yops parcequè , vous ,étiçz rua,,.qfis,|pmjs de
mpn père, eLj’ai crUj que,,Youdjpourrez,être' aussi ,leipiienvi. -v<,/
l, , Je. crains de ne pqùyqir,, malgré
m, qn,,Vff, d,&ir,,,ydi|s rendre,,J,e se,ryi(?p
que Vous réç|ame?i;,,fnqis,.ncc,epiez
petit verre et npitèiiyerrons cpla.
— Je ne,,bois,ipi|? dÇii,%uewii
i„i~%rc}„.,)e,ne,fume pg?.
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„110.
• ‘ '^'Vbllè' tie jouez pas ‘hort;’tiln?i'?'''
"'^Nbb rttbnéÏBur;'^"?’'
' "'■i^'Qitel'ê.'ïl dôrtb.Vottié'dél'Eifeiséiperit'?
' ' ' —' ' J e'' ÿil js ' Vilbjftii te« r‘ ' à‘ " l'éb'orè ' d ii
dirtiàicHe-- '
Jè VôtW^teitieitié'iql^glré VèriU Vét|s
■filo'i 1' rëpoiidiL'Iè négdciiint,'qül.' iiVàit
de îa' jJélHb à''tea6het' sc|rt'''^m'6lidh ;
’Vous me fournissez i’bbba'sioii'dfe j)'aYbr
une dette contractée avec vblfè’ peVe
Idrtrfoe 'j’étâ'is 'dabéi là :gène”'cdmme
vbità^Tëteà‘mà'îbteh.‘int'.'’‘
' VotVéMp'éir lne jouait'’pas', d ne'ftlmait ’tiâ's et ne s’énivitiit jamais','et
je Stiîè" Iileilreüx 'db voiV' ijüé'''vbus
suivez:/dignement ses traces. Il m’a
aidé dans le temps à me remettre à
flots, et je suis lieureux de pouvoir
en faiijçijd^jm^pieippjfi- vcjips., ¡Ne dites
pas merci, car je ne fais que payer
une dette. ^ |j
-t-u* ui ; iIjà.Uiu>n.. I 1 II. ^ -1^ i..' -
IS
i;ij JiÎrtt! I i.c'lî . 3 , îlp'l isll
' / M 11 i ! r ^ U * ' fit üi ’ ' Í ^ * *1 * » I ' ' I I ' = n
,, „U teSMmçjil, ,,,.i
In 11 , i. r'IÍI‘ ■ I áti4:fcí=to ! : iH11 i; 1 r; I;. i:<
DéüX'hommes marchaient pài’' le
même chemin, l’un était chrétien et
l’autre était incrédule.
Le cht#ibp!ioherçhqit à foire pénétrer dans l’âme desséchée de l’incrédule les précieuses convictions,, qui
' Îe 1‘èndàiépjt heüVeiix frii-fnême. 'Mais
lé riaálh'éüréú'xidifeéípi’é du màrHèuréù'x
V(iyUàibè‘lVèèlàU' solrij-di'à'"tbuS' ses 'rip'jiidlsV 'el'ayeuglé dii’ bréáerttiéid'é‘'tóritéis
'sëS Idértíobét'ratlbriS. ll 'hé voxilàit pris
prêter foi aux déclarations défe’Sàiniés
‘"'Tôlil’ën- étiferifinariV il^'àliVïWbfit â
'uhô’-.’irrifofehs.y'''tírbpWéié * tííii ' 'bórdált
lit'rôulbf
' 'dJ-' qdi’dbpdftient'élèttè 'ifropHêfé'?
défoànda‘ îb%iétièii’.'.’''''’ '
''■'-i- Â' 'fooji rébàrtlt T'irtbrédiitle ''^''
■' .ii.'Cbmmbnl''ràvèZ-^us àbquise“?
’ ' I Páb ’ lé ' l'éfe tàiWeiit dè ’ nibri fohôlë.
-—Vous cro’ÿéz'dbné àii tëfe'tàiriéWt
déK'blré'Oh'éléi cbrririie à''ü'ri lÎfl’e suffiSaril pbur'Vbüé àfeérireV là béOp'fí'été
d’ê cette iriag’riifiqué 'fèi’ïé’? '''’ '‘c
--'€üi,'feáhfe',dotíty¡.'', , "’"'i
— Láls’stó-'mbí dbnc ’cl'birë aussi au
Testamèht dé' riibn SauVèsur bien aimé,
qui m’assdriè Ià”iioëÈésSlioit ' du salut
éi,cède Vfri'''hbühiJjir ’;'^ibrnéi. ‘ Je! Ti\
'dàhi‘'Ce tbRiiifhetit' (jne jiérsp'nnè 'rie
■ po U vik} nj è ’ 'fr ' ' l’h éi'îta ge (j liè' ^ rtlon
Sauvétir hVà ‘pj’pCilf’é'Vü’^irlk
sang, èl*'bela rèmpÎit'''iiVbn''ârifiéVd’qn
bonheur que je vous .souhai'té 'àusSi
'â-' VOUS."'Mais vOits 'Pé''râuréz ■ ffti’en
'broyant vous 'àUssi''îIit ■ Sauveur, et
*àux disposition^ de son Testament qui
''vous coneertléift tout àutàni'qiie moi.
"■ > .1 ..... li,,,}/ . I,;
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i'n'.lilii'i
nuiFTÍV'i Wir.iiir,.'fSiii: ■ .’i
Un secret
~ijili^Yqi|au<eâti Isicq;/fqebeii.dp me
faire une semonce pour, rti’eng^er à
ne pMà'fWÎI# ÏM’nlroet^è, inîii.v vous
ne savez pas combien la tentation est
fqrlé,, disaitlun jouciun ivrogéoiii un
laml qhréUen, qm, Bispayait .dé. i Je, cor
'CigéV» i|i!" . Iimi'i!! '. ;'il 'l'Ili.i
,, I iTTi (Gela nq ■ seraiit, pas. du.itOHl/difflipile, i?i.j;iVfiUs y mettiéz unt.ipéu de
ponpp y,élonié4! pas .plus, difficile iqu’i 1
né, l’est,d’ouvrir iai maini , . in uii
tT*)Indiquez ,moi cela, et je vous
promets de né; plus renirena, l’auperge. ... ; '^¡i ,r "■
, T7-/^pici, le,,seérel. Lorsque tes camarades yenlent par force le mettre
u,n. verre dans la main, tu n’as «ju’à
djiiyrir cette dernière , avant ¡que la
liqueur enivrafite parvienne ài la bouç,he,.ei l’on ne te',verra plus | ivre, i:
fcticÉib
> li l'I
'ÍÍ¿ui».¿llc'í5' .ii:eliiQ.mràe0
Suisse. — La grande préoccupation
du ‘ foomenl' 'dàhs. ‘èè pays,, 'ést .cèlle
dé' la rióíhiriattóh' qifo le* if*àjî)è Vient
dé faire’ 'dii ’'frôp' iamébx*'.,Mé
co'nime évèdhé de La'dékrinè,, (G'éhi^vèJ.
Lffii ètb^!bm‘és'‘fédéiàles 'sk'Uctiori'fiè'r'ôbï-èifléà‘\'cetté' 'hb’ti'Ènàiibh'.?' ' èP 'lé
Gd'nyéi’ukiilertt' 'de' Gddê'véy' e'n/ pàVtîélljiléé, pirericirà-t-iil', sib'n pà'rlj de ' c,'e
litre doniié à'ThômWe’ qui,' pendant
'qn'’ll'' dtàit'' èriï’é' ’dàhsV 'çe'lle' ville, à
aôrilié''làilt d'é fiï 'à èélô'r'drè àük Ad-
7
.,lU:
loWlés, piii’isas ñiíiciiinalionsii oii scs
intrigues ?iiC’esl ce quel les faits ipe
lardcronli pas à nous iapprendre. n ;i
— L’atóeoííswtí ou là passion d4s
liqiieurs'fol'les;idit le Jmrnal d\i Pt&lestanti&MBf conlirtne à faire dans le
canton de Berne des progrès'èffra^*
yants. Ce ne sont pas Sedlehient des ■
J vrognes de profession qui boirienl, Í’*fc
fernal adhíiapsif ce Sont les hotnttlôS,
les! fehimes’;,'i'tes jetmes g'infâ’^'‘'l%s
enfants !l)Voi|cÎ! ce qpe disait naguèrë
uminspeoleur des écoles fort' atf côü^
rant dei cé'qpii se*passe dans les Villages de l’ancienne partie dit canton :■
«Clidsé' triste à dire,’dans prés’qné.,
toutes les écoles villageoises, le régent'
peut cotistatér qde pluS'féhFs'de Ves
élèves boivent le schnéps à la maispn.,
Tel enfartl enlràpt à l’ecole à six ans, ’
avec d’heurbuseS dispositions et qdi,
tes premiers temps, est un excellehl,
élève, est à peu pt-és idiot à liiiil ou’
neuf ans. Pourquoi? Parce qu’on liii
fait boire du schnaps, et qü’On le
nourrit bnf peu plus mal que le porc
ou la vache ». ' ”
âkgleterre. — La Chambre des
Communes a adopté à une grande
majorité une loi interdisant lé tir aux
pigeons apprivoisés, genre de sport
particulièrement cruel et particulièrement fasliionable ( même pour les
dames) mais auquel la reine et la
princesse de Galles ont eu le bon
goût de déclarer la guerre.
—, ,Û,n nouvel iridicp des progrès
que la cause da la tempérance fait;
actuellement dans la Grande-Bretagne,
a été l’assemblée enthousiaste tepue
le 14' mars àGuiJdhall, sous la présidence du lord-maire ht cité de
Londres; pour èntend'rà le Îemcngnage
de quelque-uns des 27 maires de villes
imporlian|te^ de l’Angletetffie qBÍ,fwa|Í!-'
quenb 'mamleDahl>'Ivfbsimertcë »tôtaÎM
Ces hommes sont pour la plupart de
grands industriels! ou: de grand négociants qui ont conquis leur position
par leur propre travail, qui emploient
beaucoup de commis et d’ouvriers et
qui sont appelés, comme juges, à se
rendre un compte exact des causes
du vice et de la misère. Tous ceux
d’îenire euxiqwi onHprisila parole |e
14 ont déclaré'qu’les üéusfeissaicnl
parfaitement à Sè passer de i .’stimulants. Deux ouMtrois d’onlre eux-ont
ajouté qu’ils avaient! fait disparaître
toute boisson lermenléfe de Ipurs bar»-!
quels.'municipaux et!que lesioonvives '
paraissaient néaqmoinsiis’y cotpplaive
tout auianl' que par île pas.sé.i l 'i i
Une des choses soqvqnt, à déplorer
dans notre Église^c’est la hèle avec
laquelle beaucoup de catéchumènes
dêsircrit en iînir avec 'be l'èriîps'où y
fmit éUiflier ‘ éiicoH- Voici ’ cepeildâtil
une petite exception le paSleiir do
V...pouvait dire dernièrement du haut
de la chaire, qqGI n’y aurait pas celie
année 'PéqiieS d’examèn ni dé réception,' parèequO toüs sès catéehilrnenes, auxquels il avait donné la
faculté de se présenter, avaient^ unénimémenl et de leur bon gré, eîiprimé
le désir de continuer leur instruction
religieuse jusqu’à Pentecôte. — Bon
signe '
Ce sont les parents, bien plus encore qne les catéchiimènes, qdi’ soril
impaliérils de voir aiTiver le jour‘de
la confirmation. Sans de ’ trdp rbres
exceptions, ils estiment que leurs enfants, qui ont appris un peu d’hist
loire bÎD'lrque à réçolè, en savent à
1)611 près assez, et que, comme dans
les vieux temps, où l’on était pourtant aussi bons chrétiens qu’anjoiird’hui, 34 à 30 îççons de' catéçhiSmfe.
siiffit'àient nmplemen'l. Lefi'rS éiifailts
sont-ils très intelligents, on prétend
qu’ils sont as.sez savants; n’ont.-its
à les laisser dans I Ignorance, assurant que, même en trois ou quatre
années * il? n’apprendront rieo-.,'idc
plus. . . ,■ ,, ,.i
La question que i,c ,pasteur s’entend, ,
adresser longtemps à. l|avanee,,e.t par.;
un bon tiers dps,, parents, est don,mrezrVQn^. la camnunioïf à i mo n ,fi Is „,,
ou à, ma. Gfie ?' Nous en, avons ,lollement ;besojn à la maison! Ilj,faut :
qu’il . aille à Marseille , elle doit
8
enlrer en'service;if»iles'iî(j)’usce grand
plaiisiiN ûa dit qiiejgue'i foië , faites* f
nousieelle! cljaritéj! Ils i.sonlnertcore
siiiraresi les Iparents qnili'S’inqaiièlent
sârÎBtisetpeRt det l’âme de leurs en*)
fantsialiMqüi lesllment qu^une Solide
instmelion ieligieuse eslt un : fondement-que rien ¡ne'ipeut remplacer,
comme aussi rien ne- pourrai lei renverser, la «érité est,,descendue de
rintélligerice ’dans le cœur!
•>lC'llPi,i‘i.'>r, > , . . • ■ ,n:,
Tel répand, qui sera augmenté da-;
vanlage.j.et lelireeserre qutre mesure,
qui, n’en ¡aura quBi disette- , ; ,
Le peuple, maudira ¡celui qui relient
le froment; puiis la i bénédiction sera
surja tête de celui que le débile, ,
•'igi*b i l ‘ :' ■ '
Leii riiçfiesses l'ont que l’homme est
iani?onné, , ,
i;mi..in);((! • • ,
Lçp arnis du riche sont en grand
nombre.
lies richesses, assemblent beaucoup
d’amie;;.fbais celui, qui est pauvre e^t
abandunné do son,,ami,
,'•) 'I .S I ~ " . •• . .1' .
Celui, qui augmente, son bien par
usurÇi et par surcroît,]rassemble pour
celpiiqui'iCn.fera des libéralités ¡aux
paiiiVres.■
Celui! qui donne,au pauvre .prête à
rEternél qui lui rendra son bienfait
-rf^=rf=
li lli
îïtiïue pltttqtiç
' ir 'I.
âtffliè. — En' fabsénée dës Chai'h’^i'
bres, il n’y a que peu ou point de faits
polilîqnes ä''sigpi»lei’ Les seuls évéfuimêhls 'dont les'joilrnaü'x‘'sô‘'s'6ierit déb
ciip'^S' ces jours deimiefs soiilr'"Teruptièri' de' l’Elna''qui éobiùmhéé ii se
trandnlIliserV là felê'du 'cëntériaire
dc'Rfphaël, 'téiébcéà |{Jrbin'o','â Roitié'
et'dâns bien d^auiré^' villes éf'lè lan
cement dm vai8.çeâu le LépmtOj dans ‘
le portide Livourne. Le Roi et'la
Reine ont/iprésidé icette cérémonie, "
Les ministres préparent\ de lâ besogne pour ,1e Parlement, et Magliani
s’occupe de réaliser ,la suppréssion
du. qours forcé et, le payement en
monnaie métallique. n ■ ■ "
jifféprélis. malade pendant plusieurs ,
semâmes, est toul-a-fait rétabli.liü
Wi'anw. -T-, Le ministère Ferry
sembleise fiobsolider. Cependant le
ministre de la guerre. Ile général Thi-:
baudin,, homme peu sympathique est î
mal ivn doj plusieursi partis de la
Chambre. --r,La trop fameuse Louise
Michel a été arrêtée. |
^nateierre. — On attribue aux
fénians, anarchistes irlandais,,l’essai
de faire sauter le palais de Westminster pas la dynamite. Une partie,seulement de cel édifice monumental a
été endommagée. Aucun état n’e,sl à
l’abri des attentats des çlynamisteS:;
partout les mêmes,, qu’ils s’appellent
anarcbislés,,’socialistes ou nicbilisles.
SvtiBme.— La Suisse française, et
particulièrement Genève, est en ¡¿moi
à cause de la nominaU’on par jé Yalican de Mennillotl, évêque de itémon,
in parlibiis, h^ la charge, d’évêque de
Laùsanne, po'tti- toute ¡a .Stiispe romhiide, Vaitd , Fnbbui'g , Neucbàtel
et Genève. Le Pape a en mêni,e temps
supprimé le poste d’évêque de Genêyq.,
crée par Pie IX en faveur do cei 'pre,- ■
l.'il,— Genève l'efose jusqu’ici d,e reconnaître Mermillod pour son évêque,
et'menace üe 'lé'chasser,'S’il se|prêsenfe poui^ exércCr ses .fopci'iohs,épis
“P"!'*
L'BISTim.lIBS ItliSI vAtinoisiis:
,li ; uaiuli) I l r. PW '(!■ ■ - >uMU‘al ■ • f
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v^ötw’pjirrriOi’ öMjififj. rfiiicun
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H n .NJiST. U n M.K« 1', lifrii n I. ß( ft m iitli-l rnihi 1
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Piifiii*rol, Imii. (^liiaiilore ^>1 .Mascarelli.