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|.«ABONNlMBHT M «A^B D'AVAHC«.
'■i'- S'èdreiMT : po|ir la Ridacttaa, à M. le Prof.'Louis Micoi. - TonePeiUu peut
' PAéinlalitratlAa, |ni/Rareaa du Journal, Via 2-- Torn Petike.
J* '; '’ Pour toutes les abamicM s’adresser, au Bureau du journal. .
Tous les chângciaents d’adresae eoûtenf 90 emltoua» sauf ceiix du coiMneii>
cement de l'année. ^
II* BunlM: «O
<i» oceniptiB^ tob penaéeB Uw* IV, 8).
Jésws._ Beaucoup d’hommesii hélas :
1 testent contre la voipnté' ^e'. P,iey, W f voulant pas
1 i A ■ • ^ A a» 'T\f ^ • %kI . . A II...
pour la vm iaiérieure
PIE
les unes et les autres doivent être-observées si l’on veut éviter des conséquences
fatales. Dans le monde spirituel, il y a
des lois auxqueiles nous devons nous
conformer si nous voulons: entrer. ; dMS
le plan de Dieu, surtout lorsqu’il s’âgjt
de Noël qui est la vie de Dieu qui nOns
pénètre pour nous faire monter plus haut.
Si nous voulons connaître les choses de
Dieu, il nous faut obéir à ces lois, ainsi
que l’affirmait Jésus-Christ lui-même lorsqu’il disait; «Si quelqu’un veut faire la
volonté de Dieu, il connaîtra si ma doctrine est de Didu, oü %‘ je parle de mon
chef ^ <Saint^an yilv ■
Notre text«nôMi^Îïpèîteun'ë|ièrsi6Mte,
la jeune vierge de Nazareth, Marie, qui,
s’étant soumise à telles de ces lois, a pu
devenir entre les mains de Dieu un instrument de bénédiction pour Hiumanité.
Quelles sont les lois auxquelles s’est
soumise Marie ? En d’autres termes
quelles sont les conditions psychologiques et spirituelles qu’elle a dû réaliser
afin de pouvoir répondre à l’ange Gabriel: «Qu’il me soit fait selon ta parole * ?
Ce qui nous frappe tout d’abord dans
la fiancée de Joseph, c’est une confiance
touchante. Dieu lui a fait annoncer des
choses inouïes, incroyables, tjui doivent
lui sembler absolument impossibles dans
ses circonstances actuelles ; et cependant
elle accepte, elle croit au messager divin '
qui lui dit : « ...tu as trouvé grâce devant
Dieu » ; « ...le Saint Enfant qui naîtra
de toi sera appelé le Fils de Dieu ». ,
Cette confiance tpuchante vient de ce
que Marie est sûre que Dieu ne pept la
tromper ; elle croit avec une simpHçité
profonde ; elle s’abandonne confiante à
Celui qu’elle a appris à connaître, dès
spn jeupe âge, pm,me un Dieu dont <les
paroles sofii, if|riiables»i(2 è|àra..vyUIi 28)
et qui «.garp. jia fidélité à, toujours »
(Psaïune CXE^, 6), o > ^ ^
Avoir confiance en.Dieu, est une de
ces lois de i’ësprit que les hommes arriYftnt difficilement à réaliser, parce qu’ils
préfèrent., avoir confiance en eux-mêmes,
dans leurs forces, dans leurs richesses,
dans ce qui se voit, et bien difficilement
ils parviennent à s’abandonner entre les
bras du Dieu qui « a choisi les choses
faibles du monde pour confondre les fortes » et qui fait que «'toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu *.
C’est parœ qu’ils manquent de confiance en Dieu que tant d’hommes se
scandalisent en présence de la crèche de
Bethléhem, comme en présence de la croix
dU‘ Calvaire, ne pouvant croire au Dieu
qui s’abaiSse ets’humiHe, ni au Dieu qui
Sè donne'pour le salut de l’humanité
dans le plus noble des sacrifices, dans
la plus angoissante des agonies. ^ ^
«Marie dit: Je suis la servante du
Seigneur; qu’il me sojt fait selon ta
parole ». Luc /, 38.
II y a des lois dans lé mondé spirituel,
comme il y en a dans le monde matériel ;
Ah ! si nous avions toujours pJùs de
I confiance en Dieu, en ce Dieu' « dont
^ les paroles sont véritables », que de vicV tOireS nous parviendrions à remporter
; dans notre vie privée, comme individus,
; et dans notre vie collective, comme Eglise !
! : Un autre fait que nous po:|ivops çons
i tater en lisant le récit de Saint-Luc, et
notamment le cantique de Marié, c'est
l’humilité profonde de cette dernière ; elle
parle du Dieu qui « a jeté les yeux sur
la bassesse de sa servante », du ToutPuissant qui «a élevé les humbles » et
qui * s’est souvenu de sa miséricorde ».
Par son humilité Marie réalise une autre
de ces 1 lois de l’esprit nécessaires à l’épanquissement de la foi. L’intelUien<;e
humaîtie croff trOp %ouvént, hélas ! de
tout savoir ; la raiSon- s’érige 'alors en
juge et du haut de son piédestal, fait
d’orgufeil et de vanité, elle prétend trancher les problèmes les plus ardus. Mais
l’homme de science qui sait qu’il y a une
quantité ' de mystères constituant des
obstacles à sa connaissance, sait aussi
que dans l’étude de la nature, à mesure
que l’on avance, on doit constater sa
petitesse ; l’homme de science, qui est
vraiment tel, est généralement humble :
voilà pourquoi, réalisant cette condition
indispensable à la foi, les plus grands
hommes de science croient généralement
en Dieu. Devant la crèche de Bethléhem
pour aider notre raison à se soumettre
l’inexpliquable, nous devons nous sentir plus que jamais petits, nous dépouiller de tout orgueil et réaliser cette loi
de l’esprit, l’humilité.
Mais la confiance, qui est J’abandon
de la créature entre les bras du Créateur,
et l’humilité, qui est le fruit du renoncement à notre « moi », ne constituent que
le côté passif de rattitude s réalisée pat
Mariet,;;au côté passif tfsfautjajouter celui
actif, lipic nous trouvons 4ans J a soumission d» fa '^une vierges de Nazareth, v A
l’objection que l’on poumit'/nous faire
que la soumission n’est pas une’attitiï^
active de l’être, nous répondrons’ xjiu’il y
a soumission et soumission. ;I1 y a cia
soumission mercenaire, par laquelle on
subit un joug en vue d’une récompense
à venir; il y a la soumission de résignation qui ne saurait être ni active, ni libre,
ni volontaire. La soumission dont , nous
parlons est spontanée ; elle est le fruit
et le triomphe de l’énergie humaine. Telle
est la soumission de Marie: elle aurait
pu réagir, se révolter; elle ne l’a pas
fait ; elle s’est soumise librement, volontairement.
Jésus-Christ lui aussi s’est soumis à
la volonté du Père en venant au monde.
Les bergers ont obéi à la voix de l’ange
en gravissant la colline de Bethléhem.
Les mages se sont soumis à toute sorte
de difficultés pour venir adorer l’Enfant
lieu de rechercher en Dieu léuf paix, ils
fuient Jésus; ils résistent à l’Eternel j ils
en nient même l'existence ! Et pependânt,
dite8-moi,._où trouveront-ils |_a paix, s’ils
aban;d^nept la crèche de Béthlëheiji et
si, loiftide se ‘soumejtfe à Dieu, ils cherchent Mir bonheur dans une indépendance coupable ?
« Noël nous offre encore unp fois l’occasion de nous insérer dans le plan de>
si nous^’en sommes restés isolés
jusqu’ici, et'jj'pim Lui demander, en tout'
das, de fàiré coulei'-à nouveau en nous
la vie divine qui jaillit à Bethléhem.
■ Faisons-le sans tarder, en réalisant les
lois de-l’esprit dont nous avons parlé ;
la coHfiâncè,' l’àutnilfté et la soumission.
’ ; David Pons.
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^«¡L;i
Mmirw lliDil
• ■. Í
Notre prochain numéro paraîtra le
8 Janvier.,
1
La
TIPOGRAFIA ALPINA S..A.
V... Torre Penice,
augura Buone Feste
alla sud onorata Clientela.
m
Espéred! espérez ! espérez, [misérables !
Pas de deuil infini, pas de maux incurables,
Pas d'epfisr étemel ! . \
L'heure approche. Espérez. Rallumez l’âme éteinte!'
Aimez-vous ! Car c’est la douleur sainte,
C’est le feu du vrai jour.
Dieu, c’est le grand aimant;
Et les globes, ouvrant leur sinistre prunelle,
Vers les immensités de l’aurore éternelle
Se tournent lentement.
Oh! comme vont chanter toutes les harmonies.
Comme rayonneront dans les sphères bénies.
Les faces de clarté...
Quel éblouissement au fond des deux sublimes !
Quel surcroît de clarté que l’ombre des abîmes
S’écriant : Sois béni !
fout sera dit. Le mal expirera; les larmes
Tariront; plus de fers, plus de deuils, plus d’alarmes;
L'afireux gouffre incîément
Cessera'd’être soiird, et bégaiera: Qu’entends-je ?
Les douleurs finiront dans toute l’ombre ; un ange
Criera : Commencement /
(VICTOR Hugo ;
demption universelle).
Les Contemplations - La Ré
I
GoimissioHe Moziaria
(Ottava Lista}.
PRO EMBRITAZIONE.
Signóre © Signori :
Augnsito Jahiór e Signora, Torino (*) . L
SóreUe Lena, La Maddalena
Giovanni e Alma L'Abbate,
Firenze, in memoriià’dèlia
:*nonna Laùidice Mariani
Giovanni Mantdli, Roma (**)
Enrichetta Carboni Zucchi,
S. Remo,'in nMnoria di Augusto e Ezào Carbóni
3fX),
25,
200,—
1.000,—
1.000,
Sejffredo CoJucci e Signora, Messina, 2° versamento L. lOOi— l’.'
Carolina Decker-Boringhieri, Torino (■*> » 5.000,— ;
Elga e Rodolfo Rcdiier, Torre Pellice (*) » L000.T- ' ■ - - t'
Jahieir Alice, Id. » 25,—
F'amiglia, A. Grill, Pinerolo » 25,- ,
E. Berton, Id., in memoiia di G; Petrai » 100,— '■".k
E. M. B., Id » 200,—
Fenouil Suzanne, Lusema San Giovanni » 30,— ' '
Marauda Luigi, Pinerolo » 300,—
Enrico Meynier, Brescia (*) » 200,—
Lily e Augusto Ccnsson, Torre ^ •
Pellice (*) » 1.000,— ■■ . iîi
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Ii^Echo des
ÇarteBezai Corama. 'Çorffio §P^'
Fiundg'litt Minetti, IcL* -, ■ ^ 5#Î'
41ys Flanta-De J^ifUFfieK, />
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i^uido Gay, Miüano ^ V »
Bobeatto Turin e Dais^, \^çrÎBO, 1“ ■versamento
PRO COLLEGIO.
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^LUtfUsto JaMét e Stertoibai Tiÿ- ' '
Tinó,(*) L.
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■"iJiin s
» 1.000,
gcpiette‘ tienia, «La > AfaâdBleH«
^erfesa M’erutta-Arezîao, *
1° vensetnénto • " '
In mefeoBadam- ^a ‘ meszo
, gnont^ ^ CMa- MotrandÂni,
Tbatè jE^Ëüiiks^ '
Baknas dott Vittorio, Fanca
gabier 'Tor««'FelIic&
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E. M. B., Id
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Pimw^lja ]^n^, Torino
Gltidó C^, Mfaiiiitf ' ’ ■
100k—.
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100,—
1.000,—
300,—
jV,£(. Le Offerte contrassegnabe eoii asteinsco
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È WSCiTO IL '
tirisduit 01«
fiiwaaHtrt
ed^ dalla Bottega deUa Çsuta
1 Torre Pellice " ■ ^
Rimangono poche copie di^sppnibili. Chi desidera ricevernj^ iiD.v,ii;
va^ia di L. 5,70. — C. C. Postale
ZÎ^ 2Ì1386S.
«H
VOICI
Parmi les nomibreiux chanta de üoëi qpi
réjomreint notre enfance et qui; année
ai»%s airtnée, reviennent pour ainsi dire
d'eipc-mêmee sur nos lèvres, le plus aimé
et le plus 'émouvant commence par ces
mptp :
' Void Noël! ô douce vftdtih
iqpû connaît l'origine die cç#ie
kxjie pénétrée dxt charme bienfaisant de
Noa?
Dans un petit village des environs de
SaJzboin^, en Auitiriche, vivait, iau conanenoeinént du siècle passlé, un single maître
d'école et organiste, du nom de François
Gipbèr. Dians le courant de Taînriée 181S,*
il eut la douleur de perdre stai unique enfant Lé coup fut terrible pour lui, inaâB'
plui^ particuMèremeait encore pour sa femmç, qui he put supporter cette épreuve et
finît par tomber dans une profonde niélanoolie, rendant inisupportable la . vie du
ménage. ■
Le soir de Noël, Gruber, rentrant chez
lui, apr^ le sarvi<ie divin à l'%lisife trouv*.
sa'f^n^ plus accablée^eneorq qUé'idfMsqutw \m im. de plus, il essaya de la
co^SjOli^^J msis leâ paroles leS plhs atfec-'
trii^uses Vinrent Se briser contre ce coeur
fr^’ oomme la mort.
T.^n)dis que, diésespéré du peu de succès
de ses^.éffo^, le pajuyre m^tre d’école se
demandait ■vainement- où' fi trouverait le
secours, son regj^çd : «itrvêta. W lé pfe»
ouvqit» I Comiffle pQïffrX, chüÿçchér et
consolation, Gr^b!9íR,« mst ^ l'4^^
et emar» de, se plonger par ït fûjuaiqîÉ
dans la ooinitenifiii|ti.on dU grapd; xnyst^e
de NéSt
Toutnà'coup!, il se souvint d/un texte
composé par-un d)éæs amU, te poète Jo*
seph Mohr, et, inspiré A k fois par la dour
leur, et-par la joie de Noël, il improvua
sur ce teacte l’inoubliable ndêlodie. Le char-»
me op^ aussitôt La pauvr» femme se
mît k écouta", dès tes premièTes'mesures,
comme ai el!e sortait d'un rêve. Puis, tot^
jounT plus saisie, e|b éclata en pteurs, et
enfin, kiasant ttoi coaur s'ouvm tout en
ivaiptf .p^tmbre mem
tiej;^ ^ se ^hargea sqr )e Dteu^'aitbour
du ^ ravaijglIpû^ientiK Sl, ditfi
nç-pÎ8^ofP^-ti|
inf^lfllt, je
e
enfi
Hveç
Oh conipifend Wt|t>îp'‘de GfUb^‘ la joÌ€g|
tte ces de|(ï5c coeuri^^t
dait la paix de Nq^r'Àusi^^bl«ntôt^ Çje}\
.iWit qv|.s’i|ni^^r
W à les.tóaì': \ *
» V V ^
Sims’lequiW, dans t j
't
nos fêtes d'enfawt» ■ « Noëlk ft'eafc pa» Noëli »,
% été traidiqêit en français, *'<|Ì
Madame Mélanie Mdley, à iLaiiEanheì
Si tu, voiUais remercier.
tes^ lesJ^i qi^R donijç, ü ^ *
ratt phis de,tempe p(mr ]|ç, ^,. /^,
' T. ’ '
Aimer c’est se ckmr^'oÿuie a^tnq»,)|pi.scj ‘
dédadier de soi. ^ ,A. oe Ga^pamn. ,, •
II. GÇOJdETRA • 7
Paolo Rostagno
VIA WIGRAM, 6s • XORRE PELyCE .
AUGURA
SU^ PN,QRa,TÂ cintela |j,
BUQÎÎÎÇ FE^TÇ liATétÈ. F0.RMÜLANÇG I ^ÏGaokl Vom PER
VN/FEyep'AIÌINÒ-Îÿ^W "■" ■ '■
'i’ ■ >'■" '■.X ■ : jllNjliJri ■■sidii ■un..
1^
iiiBiiiiirituiikftP'
{Suite -• Voir mtmér'o précèdent) .
D^^.mpi% sur répiso<de.4c Châtelaine.:
Le 29 juin 1590, le prince Amédée, frère
du duc, vint s’embusquer^vlc 1500 soldats et" 500" jravalim'derrièriÇKjJss pentes
de Châtèlaine. LNie yingtaine de eayaUers
s’avancèrj^ jusqu’à, la Servette et Lem-;menèrent quelques pièces de bétail. ,
ron 300 Genevois, se précip,it^çeni.,|))n^,rj ;
punir cette insolenœ. Ç'était up piège,,. |
L'infanterie fonça sur-les pauyres ,hquji|-!;^ !
geois qni, mal’armés, attaqués à rimpro-.|';
viste et clairsemés, firent preuve de bea«- , ;
coup de courage. Mais vainement. Çin^ -!
quante d’entre eux, et» dfes plus estirnéç,,;^
perdirent' la vie, parmi lesquels une
dizaine d^Itafiens ; Gifoiamo Farûone, m
Mantoue ; Teodoro- Cambiago, de Çréipope ; un antre Çcfftibiagç (probablement
spn frère) dçu,3^ frères Fossa, de Crémone, égalenipni deux frères Guerra, de^
Monte Àciito, dans les Pouilles; uq.^
nommé Sage,dt Pignerol ; Claude Galois; \
Qburle^ PqgpM,
La, pluparf des noihs/ ayant éjé frapa,
cisés, il est, probable que des reç^jierchçSji
ultérieures permettront d’allonger çetije
liste. ,1 -F
Lq cas. de la faipillç Cambiago çsti,
particqlièremept ,intéressant. Le ’ père^,;
Jules, arrivé de ÇréitiQne en 1558, .fqLi
reçu, bourgepis .l’année, suivante qt |l,f
siégeait en. 1575 parmj les ÇC, Peux,dl®b
ses enfants, Théodore et un ,au(re, qvife
s’appelait probablement Jules,< prou vèreoLi
par le sacrifice de leur vie leur iattacllément à, lètu"'noruvelle patrie. Théodore,i»!
qui n’avait que viôgtrans, périt à Châ-i^
telaine pour s’être lancé avec beaucoupii
d'autres au secaurs. des Qeneyois.tombé» ■
dans l’embuscade.
Nous, retrouvonstle nqm.de cette, noble s
familjfi cfenénwjBëipiq-iqi : lè^ljRq# sqnt
gravés sur le mur de la rue des Corj»“^
Sajnts. î
C'est de CTé®s>ue ^«Jernent "quêtaient 1
originaires les deux frères. Fossa, tués:^
au combat de Çhâtelaine, füs du noble)
Joseph, reçu gratuitement bourgeois en^l
l555„et membre dp CQ en, 158Ò. Qu^nth
aux deux frères. Q,gfprp, préhomiSf’
étaient Tomms$q;eLTÌ[qiqteo»,,et il» ve*’
naieqt .de Monte Acute^^danSde royauiW'’
de Nazies. ; . i
En ces année»;, de grave» cHfftealtés?
pour la république, deux mentbres de ia *
•, //A
poh F'nous fo
'Àf. ‘ T\a ‘trFAra '"W/i»- virnetrètç d*,
iWj '4 ' fit n"'"i
fous un an'^ de bienveillance,
T'ji'"
M' "tJif-i i’*'
i^iîce^ide prqgrès, d*amour\ de délivrance,'
' Quji noire édivanf les appels de Jésus.^
ÇdÛfe aux''^!^i“ple la croix^ la paig: de des.^fiu§.
, ^ }h3‘ jodr^-sm^ m fes medns, n<s^'course est bornéerf- '
•JC.F*« ■'••y. ¿-À i '-i *- * ' • î-J V . 4*4 ■. .,., >4+, G , V "f... .
^iusieuts nè verront p/Us une nouvelle année;
^ , V^llhm^ne et pelons; «f s’il-faut déloger,. r '■ .■ t.-> -i. :•
H, feij® il* '*& . . ,, . ‘ i j t 'h ■■’' 4
Jious irons, pleins d espoir, auprès du bon ^erger., ; .^
fâmifle JÇtf/bUŸÉÎ'méHteUf’^^d^élfre'signalés
eux ausSK'Arrigo et 'Mahffediv! i îh.» ‘
'Banni de* la république de' Lucqueà,
Arrîgo' Balbaini se réfugia à Genève, avec
sâHçmmjè'Maria Mieheli, en 1585. Ayant
réussi éan S'se »entre prises commerciales,'
U jNtt apporter son aide à la république
qui l’avait aectteiLlj, en lui procurant*
poudre et munifions (RC, 25 février 1:590)
à l’occasion de la guerre. Plus tard, aé
cours d'années; m,pins ai^itées, mais encore
difficiles powr Genève, il traita des accôrds. commetciaux, et des aJUances se-'
cfè'tes a,yec les. rois de France et d’Angleterre (RÇ, 1595). Voici une lettre
du roi' de France aux Seigneurs de
Genève; « Très, chers et bons amis, j’ai
donné charge au Sieur Henri. Bâlbani
vous assurer dé la continuation de ma
bonne, volonté et du d,ésir que j’ai de
vous assister et spnlager plus que jamais
en, vos affaires i*.
Ce sont des services du même genre
que rendit à. Genève Manfredi Balbani.
La place nous manque pour tracer ici,
i| même brièvemeoL un, portrait de ce per-sonnage romauesquejl à qui la Seigneurie
confia également ses affaires commèrciaies
et économiques'» h’étranger (RC, 1580)*,
Son second mariage avec )a veuve du
comte, Thiène, qui était de sept ans plus
âgée que iuL donna- lieu A un conflit
singulier entre le Conseil et le Consis-4
toire. Car .celui-ci, fort des Ordonnances
ec,clésiastique.5> fit d’abord opposition.
ALaiSjil. céda, finalement aux considérations. d’ordre politique invoquées par le
Conseil, Manfredi prêta des sommes très
importantes à, la .Seigneurie, au moment
oü. le budg,et de celluTCi était très alourdi
par suite de la peste et surtout de la
guerre,, Les services rendus à la république â Iq. veille de l'Escalade auprès.des
princes. d^Aliemagne et. des Etats-Géné,raux, dè Hollande, afin d’en sojliciter des
secours, furent plus efficaces que ceux
qu’il aurait, pu rendre en qualité de lieutenant de la compagnie Sarazin, dont il
faisait partie. Ce fut un autre Italien, le'
capitaine. Blandano, qui le remplaça au.
moment de l’attaque (RC, 22 déc. 1602).
0{ suivre). t; R. Castiglione. <
iÜa première Gonvèiitîon mensueüe d’étudesi retigiiowes des Unions Chrétiennes
Vajodoises, àrmanch© passé,; hêvtnit à k Maison Uuiéniute de La Tour preequie une centaiïtei'd^itmioniiisfites des dofférentes pairoi®'
9ag<>de te: vallée. L’enfiretien sur te sujets
choi» : « L'esprit révoJutàManaire du ChriSf (
tianispe», fut) introduit' d'une’façon très
intéoressante paf. M. Mat#untiL qui exiposantes- mcyens'et le» éltoieats par tesn
quete:.l’Evan£ite du Christ opère s» révoh
liution spiritiueite, avant tout dang l'indif
vidu, ensuite, par aon inetrument, dans la
société qui, l'entoura Son. eixp.osition, sirh"pte et profonde, fut commentèq pip, un
échange d'idÉes» basée, surtout sur l’ëxpérièhce personinielle. L’entretim fût suivi
avec, une attention très soutenue par
tout* Fassembléé, qui exprisna ainsi abn
cësÎT'que ce® réunions sodeut régulièra)
ment répétées. Nous. adressons une expresseksr de reconnaitssaitice à Wnien locate^
pour l'accueil cordial • avec lequel -elle a
reçu te» partbipants. ,
■ . *■* * ...................
La deuxième Convention aura, lieu le
troisième dimanche du mois prochain
(17 janvier), avec la discussion du sujet
suivant ; ,ii0 sahiit. Le® Unions, sont pniées'
de le préparer dans une réunion, spériate
et de déléguer des. représentants qui portent à te. Convention l’exprlessicn de leur
point de vue.
« « «
Le Convégno d’hiver des Unions Chrétiennes aura lieu à te Vachère, niercredii
B janvier prochain, avec le programme
suivant ; 10’ heures - Concours de sky, em
différenfees catégoiries ; Î4 h. 30 - Culte;
HUaeurs prix seront offerts aux metgfeurs
concurrents. Un bon dîner, à ,un prix ■très’
réduit, aeaa préparé.
Note invitons très chaudement les UnSong
à envoyer de nombrem représentants h
ce « COnvegno », iqui a un caractère traditionnel, et, qui est ’ toujours attendu par
nOtié jeunesse 'avec g'ràiài"pll&^8rr-'‘’' ■
■ '■ ' ■' "■ ''A.j:
CHRDN'KJÜE 7AÜDQISE
BOBI; Baptême. Jeanne Bertimt Jean
David et de Madeleine.Bostagnol. Voeux!
★ Décès. Le 16 et la 18 décembre, a eu
lieu l’ieosevriissement respectivement de
Jem Dwtml Navache, diu Pidon, âgé, de
67 aOB, et de Suzanne Rolcmd, de te VdiUe,
âgée de 38 ans.
Notire sympathie aux affligés.
★ Le culte, du 20 courant a été présidé
par notre vaütent eoHaborateuir, M, le pas-,
tour émérite Piierre Chauvie. Merci
LA TOUR. Le Ccxnsiatoire a voulu, pax
une réception, exprimer, à M.me BaJmaVan Aalst te,vive reconnaissiance dé toute
la paroisse pour ses services dévoués et fidëlës pendant quinze ans, comme directrice
de la Chorale. 'Toute te Chorale était présente, et a exprimé ,eUé-teême, sa, profèndé
reconnaissance à M.me Balma, par lé. don
d’un souvenir, et' par un chant d’occasion,
joyiçus^pjent. enlevé. . Le p,a,?teur ME
Tron, M, te prof; A. JaIte,M.'iEugênLe)Eèfcf;5
vei, directeur actuel de te CSwraite, onit'dÎt
à M.inie BaÉtna les’ scmrimentiS' trèB vifo eit
affeotueuxî de tou» tes prêsoatS; et la- trace
profonde que son œuvre efficace a liais^Se
dam te Ghorale )et dana>i te’ paroisse.
— La.Cbovaite,; pour soidigner sa'-reccai*.
natesance ài Mimer Balma, a versé à sont
nona, au Cuoaistâire, L 40 poux l'Asïte’
d’Enfiafâ«©. .
★ Smée,de l’Ai G. Di G, A.l'Aute-.M&ii
gns. du. Coiüège, atwa IdeUi te sâmei^ fti jant'
vi,«r, une soirée rôMéative; orglnisitei iter
l’A. C, D. G. Au programme : gdèdtxt'Cih
bmbo, de Adufmi,' une pièc^ bwlqnte et;,
amusaate,, qqe nos. braves jeqs^ «eos sau ront jouer avec rbabiteté qtu. leur- esticoac.
nu» Tout te monde y est.çoïdiatemeiit:inT"
vité> Les hUtets d’entrést ; dten^ prix-trèa
bas seront mis. en .vente au plu&.tôt, Deux
heures de bonne humeur nous seront of- '
fertes ; personne ne doit manquer.
I
i
.V
'. 'iî
3
X»’Scbo des VaUé«i >
■ ».i.«■**■<«» I Un .1 ■^...li . II.-- »I -• - —jV^ ' A^p 1 I..;, I j fruii i
3.
, ià" étfHfttiè^e dé
'llaneBfe ate^ ottmjfe à deux reparfeefe,. à la
(jjstance láe quelques jours. La preHiSère-*Ip, pcwy xecewoîr la déponiflile morteljeî
<le Lcndae Pons née Miad, décédée"" à lal^aîase, a i'âge de 59 ans. EOe anuffrait
depuis très longtemps,^ surtout dams la sai^ froide,, et urne attaque plua jforte que
«OiatótUíte. JTa emportlée jeudi, 17 courant.
■- Dimanahe. demieir, a eu lieu l’-miiiâixe-.
de S^amm» Mostm, de 48^ ana^ 1^fàoHieaADt. à la pamsse die Pralsi,. nwS)
Habitant au CJos du Zors avec sa sœur.
Aux familles éprouvées, noua yeoqqve' >
Ifains toute nntre sympathie cbrêtienne.
Dimanche, 15 novembre, à eu
B|fcu le baptême de Renato Siimusan d'Æ" is etcFEltoie Lo^, des Pleacs. Nous conf
ms oet enfant à là garde de Dîm et au¿
îns des paments. afin' qu'il devietnne un
ciroyaJit.
fwfc La^fétoi.'de'î'feël funir les eafantfe aureiF
5eui ijD.>w, dimanche procbaiîa, 25 dêcen»'
ftrej à 14 heuTBS, dans, te temple. Nous y
inntoUB.aussi las grandes personnes. suiV'
tout Ifes parents, que nous espérons voiip
nombreux. i
•k fdlQafiés. à oe journal sont priés
de bien vnuîtHr' œnou'nelBr, te plus tôt possible,' teur abonnement, et d'én verser -Ife
montant dans lois mains dut Pasteur. i '
'PBEABirSZXK' Nous avons isrésanfià' atl’
SeigiTeur deux enfantsi.'^ üflMafÎnût Flor
nMa Stefümài Rbbert, de Bœumié^ et MiIbna ^rgptsñte Bom^. dé là Cômba. Nous
demandons à Me«, dfe les bénir.
★ Deux jeunes' gens de la patnoisse se
sont unis en mariage : Î%dm Grñl, du Cam^
pas, et Àleom du Bric. Nos sou
Kajts dê" vie heureuse soUs le regard du
Seigneur.
SAINT-JEAN. Le 27 noviembre, a été
béni, dans notre temple, le mardage d'^
fred Combe -et Marguerite Avomâeb. Aux
époux, nos meilleurs vœu®
★ Nous avons appris avec douileur le départ; de notre frère M. penri Long, décédé
subitorHBntï à :Turitn, où ü sTétait rendu
pour Tine.q(»nrte,visite, à râ®e,de 72 ans.
Aux parents en deuil, notre profonde sympathie.
TURIN; Samedis 12 décembre, un nombreux i groupe! dfUnionistes de toutes les
héfunes, d^uiis 1894 à ce jaür, se réunissait dans les beaux locaux de rUnion Ghré- tienne! des Jeunes Mlles,, pour entourer
M.l!ie Elise Meynier, qui, après quarantedeux ans drún travai toujours assidu et
plus que dévoué, abandonnait sa charge de
aèc rétaire de-l’U. G. D. G.
Lè secret de la réufnion avait été très
bien gardé, ainsi que le prouva l’émotiwi'
intense de cette chère amie, en se voyant
aceuesPlfel à OTU' dtïtrlfe, liat tés plûs^ chaléurèux applaudissements.
Les.paroies qui lui (furent» ensuite adressées, d^abord par la présidente nationale,
M.me Noélie Malan; et (ensuite- par plusieurs > autres membres, parmi lesquels
lÆnte Simeonii qùiï lui apportait les remerclhten.toHrè& vifs dé l’Eèlfe peuvent se
rlfeumeer ainm ; « Bèg?rets dauloHreux de là
voir nmis quitter comme secSrétaire, et'imenterlsè gratitude pour toiite son œuvré sî
éêiaiïée, si persévérante malgré les diffîcîûtosf ét l«ï>'dBb0irfes8, sa bièfldaiaaiirté et. té
Môdététe í**ía-te' (*S¡ Ttéf 'pïüs préK Î
ctéuséS(béinéiàirtic«te':»i . .
'I|i)é» toute Htaife, de' la France, dè' te
Siisséi de très nombreu» messages pour
eilte'étaient» artivés, dont tffi donna en pàrtiie Jèrtüre; puis après ufte peti'to scèné
ëé-i«ë par M.ine AJààiMèilé; rappelant^W
qti’a fàit pour la jeune filte te chriátiánJsme par rUnion, <»i présenta à la dièré
M^lte Meynier un tangifeite somenir daf*
féction.
Les paroles émues dp remercîmeiit et!
dlàffëctién de notre árme, furent aùrtoiut*
ai^eesées aux ! jeunto Unionistes, auxqufiïl^
tes ellé recommanilatde' ne jamais se te»
ser, fii se laisser cÜStsourager par lés difflctéteèi, danSiléur tfaVail unionista
. Une Uniâtdste.
t- i'r , **) fl*
M conadénce húnudm a besoiñ'MIHeu,,
ett eS» amra hien lé smm rmigré Ves^toh
pif^tea'qwi n’m parimi’ pom le dérober. JiM JAttEÊS.
% i
, .¡I
AUX ENFANVl
Bonjour, chers enfants de l’Echo. Boni
jour ef un' Beau’Nc^r'toüs'T''-"*^ 7'-'^“'’
î-Ojàiimpn messagie*iVqaaiP'arvieiitérait'il*?’
Dans un pçcésibytèrfe de .-montagne. ftéteU;^
semqut hMtté sous? SÉ|fti.oi«anÎeau ,dSi-iiiDesiga
dang/qtjdtepto'vilte (Siï9oteifiité>^
ridionaite ou à l’«jé!branger», où i'Echo- est,
lù avec un si vif emprestément ? ^ ; <
Gar, si Ielle n’est pas* très nombreuse;
notre famille de l’Echo, on peut dire d’eJIe; s
qu’elie s’étend « de.l'Occident à fOriept ei.
du Septontoiaia» afli('ltetéi-»\ Et æhaïus fait
liensOB aiiX" jeunes IfeotoursP autéeltt -des
mers,, en, Afràïuiî ou. phw' lipa dans,
les dewic Amériques' mais q^d ilsifiS-ont
ces lignes, les cSechés dh Nbël ne fferont
plus enitKmdre' quiim-sB«* déjà* tei|ìt»itt..i <.
Que dfer perganniesi VC^, te poéKarent
avoc am«uï7. as'.Biatì.’ NbsT qur jè vous désire. Monsdisasr te Pasteur, -ssos «ioniteursJ <te héecté dix*.(hiflsmehe;. lés; dienes
et deitilatelteff-iteltepmibijSBèf toutténïonde
y travaillé en grand’ sécffet. Et' a la maison ! Pères, mères, grands-parents, tanteset marraines, c'est à qui fera le plus pour
vous rendre bieuitoux. - ■ - • - - -j ^
En ce jour-là, les petits pauvres eux-mê-mes.aurCttiit leur part.de bonheurc danS'
les mansardes, dans les hôpdtaïux, dans tes
orphelinats; des- femmes 'au doux visage et
au cœur maternel irlânt porter de jolip cadeaux et allumer l’arbre aux brillantes cOïKleurs. Noël, c’est te fête de l’enfance, et il'
ne faut pas qu’un seul'petit soit ottWié.
Car, en ce jourJà, il y a de'cela bîenitôt 2000- ans, Dieu qui a tant aimé lé'
Monde envoya pour te sauver son FilÈ uni*<
que':'Br l'envoya noîn comme un roi toutpuisisant, miaiiis sous la forme d'un tout pe* '
tit enfant. ■.
Que dé fois, dans l'inefRable deuxième
chapitre dé Saint Luc, vous avez lu le divin récit du premier Noël Re&ez-le afehdè mieux comiprendbe comment le cher En--. ■
fantf Jésus, par s<m>Kumblé naissance, par
sa vie de jeune garçon à la fois si modeste
et si noble, si doux et si rempli de sagesse
a aanetiflê* toute l'Enfanee. Oui, il a cou-i
ronnné vos jeunes fronts de tendresse etl
de r^ecti En piesnsant à Lui, on vcruditiit- '
qué ce jour de Noël fût pour vous te piud ‘
beau de toute l’année. • :î3
Et'vous I? , ' ’ j
Un bon dîner, un arbre ôtîricetet’de lumières, dés habits neufs : peufeéfere,-tcté»
suffit-il à vos cœurs ?
Ah J Hoiï. Si, comme je le ordïs; vous êtes
de graves'- tofknts,'* de' 'j’éunes Chrétièihs,
vous accepterez 'joyeusemèat tout' ce que
lW,vous a* prépiaré avec tant d’affection, ’
maiscvou®'aussi, vous voudrez ijONNER; ,i'j
— Donner/? !... mais nous ne possédons
rien ou presque.;
A3i ! quiè si. Regardez a'Ultoûir dè vpus,tout près d© vous, à te maison, à l'écde, ,
dans te rue, et vew fePouverez partout desi
occâèiohs d'être aîmablès, dé vous rendre
utîte, dè vOrisMoWrier wits-mêmcs et toutl,
cete, gentément; témplàmentî stàffl cWereMer
à vous faire rwnaa-quer et saate‘désir de
récompense.
Et;, en ce jour de Noël, n'oubliezr paei les/.
animaux, si!vous êtes hieureux- d,téni
avoir... Si voustéemeurez «len campagne»,
daiis' une dte ce» petites fermes caraetéris-*
tiiques dès VaÜêes Vaudoisess si, vous aroz'
une étable, des brebis et des vadiee, un t
âne probahlemmt, sofavenez-vofus que l’iBtifamt^SluveUir est' né dàns une étalfe et!
qta^'&1he’''l|5iuvne pfeitite brebd® à ^u l’imràtéièfe Wtoiteté" dé'îtfi'fôürèir^sôii' piremief ‘
lerceai£’^té'!i^èk 'd%diiî-'été 'témW ^ '
la crèché'*ér‘llatabte de BethlehErtii eh a^éM
tout'ïDuntéûi&e ! Âtem; en' souvenir de'te
petite 'brehte dû premier Noël, Ufie Bdàine
parole aux hôtes de Tétabte, Une ration üh
peu meiliteufpi« qj»«- d’hàfoîtuda* un peu (te
bonté «nyes» bob humblefS comparons' de
I Ah ! ' (ktenèZ ! ' Enfants; vêtis ' avez' tant
! Vous êtes si heureux d^n» votre-èé- '
cpritlé tandis qi^ dans d’autres pays, des
teffliers d’^nfapis pleurent parce {¡p’ild
nfont.pWui/pamitsj ni !'Dλinez de
vptre' aitefctiorp, de votre cœur, ctffréz te '
sèrvi(ja de vos 'petites mains ehterè inhabiles, mais pleines, de bonne volonté, pens%' aux autoes,' tém'ez, aidez. Et en faisant cela. Vous serez les jeunes disciptes
cfinjeher Bitfaîit Jé^ qui cnâtéait en sa-g^^ê, lètl staitui*è'dt'en grâce'devant'Èifeu'.
et devant tes hommes.
Eva- LeoAmte.
3'ïSq ,S-',, I ,
doB üf'c i j
üNïiiSâ'' 'sS^ioris d'àpprendria (ïue'MJIè Sü'oia'Mùnim'Bef'taloi, fiüe du-pasteur M. Eli*
Bartalot, qüii étiÉit 'déjà- èni“p«fiaee»ten du*'
diplôiïie de ’maitn&ssô d^iki^ ‘Enfantine'“
(liéthociè Mbn'tèsë0iMli();,aU'GiMito de Vaud,.
vdéüt d’obtonïr, avec sbccêS; te diplâme’
(Fhàbîliitàttein’ Itensedgneinent des Ecoteècib Jardins- diBifaneeijl/
d'Îte.Îté.à rEcolè Magistrate de méthode de
Tftriii. N&cts' ekpjrifiïofis à BElté Bertofet
nos vives flêMcitationa
(^e lisez-voïïs’?
On se préoccupe toujours de nouveau d©
la cufibâité intellectuelle et de te noçii>
ritüre spirituelle de nos. contemporains.
Que lîsenit-ils ? Et même : liaent-ilsi encore ?! Puisque la question éstVÏEJOBê»,' c’esb
que là' bé'ponse n’est ni iniMteütàblfe,* ni'
très ffatite.
Parmi les reproches que Î’oh âdrts^^a
te foUite, aux jeunes en p^artfeulier, c’est
de Iirfe''trop!(|dè journaux, i^wtotis : surtout tîiDp d’hebdomadaires. J’entends èeé
hebdoüiiada'iTes prétendus liltéirairés et'pdlitiquèsj où Tort trouve souvent'des choses
d'uné ! immoralité certaine et- qui, même
sans obscénité, sont une nourriture frelatée ^ et-trop légère.
Et te ^presse quotidienne ou locale et
les iUnartilÊs ? Que dè nouvelles fausses ou
sans Vaileur, insigrafiantes, oubliées avant
d’êtresjües en entier. Dans une pMstite r»
vue strisse, M; Ghartes Baudouin faisait
récemment les réflexions gbi't'nntes, q|ui ilé
sont ptés déyiaéées ici : '
« Hlmt dur' de serrer que teï soit l'aliment (hi peimle, et <jue l’instructieni gm*-tuite et obligatoire ait abouti à cette leœ
ture-lï«,;. Jadis, on savait peu lire;, et l’on
n’enteiudait qué te Bible èt fAihteïlâcîi;
Le « tétéle dès lumières » est venu ; on ne
lit plujl^te Bible, mais tes hoirrildes détaUs
du (teMier (irïme,'oü, qui pis est, àu dennieor liiâtch. Le siècle des lumières pensa,
non sahs raison apparemment, <3u'iî était
bon déc^mettee danœ Ite^rit-dW’peupté à
côté dés noos» des évaA^itétéi et! dee»
saintsii du caténdrier, ceux des «grands
hommis», auxquels te «Patrie reconnai»
santo » ouvrait »n Panthéon. Mate te dia-‘
tée s'en est mêlé, cèrittne il- fait de tout.'
Et le léeuKat, e'est'qaë le ine«té*é ne? mit
pteer ni tes saint». Ai lë» gmiâa bôlmSttâi
mate rtïuféèaœWt tes titacëim ét tes Védêffceé
dë & dièrifièrè saison ».
Un Èt enco^ Î'AImanaiBh-posv »a'veitp.'ie
temps qu’ü ee qui n^èst ÿnà fefie
sage» Nom né pite qftteh’ éé étéi
tehte (té cètljé feeture. hfe diî he lîf iÆùs
guèafe- te Bible, c’est-à-dire comme Usaient
les huguenots traqtfes, comme lai lisaient
no&. ancêtnea Car lânes c’eBt’ «à
méditoBf. La te rmn Ù 'ci^
ont 'bteé te eit te
no'tne génération. Or, îl n^y aura -p^ de
rdèuetfteàt' Itot^ai té téfctéï'^ Rjpa.té
stéhc^ aa*touÿ té iioî et roéÿteÛ*
lemeïif tous le negar(i
iV V R0(5]EE Bôiùÿj^^T
.... ,i*!T
■I ,»■ (
Les ^ devoirs peuvtéit à
qui' les retapItetoàS; sévèè
avec amoufl-, des charges (Îûîj pàrfois'i
sont bien lourdes .à.poritéi.! Matété'ïgétiité
rài tes homimœ ne l’entj^^pjt .piS& :«insi.
Après miSSjp (atéuté* lin atéhltwi; lÜiie’ (terne
disait,'en sortant du culte“ 4l'La-pi^iiiation aurait été exoeUÎènte, si te pasteur
ni avait-rpaa»eGiii^ par des coBsidltéalüèjfiS.!
ojæeuses sur les devoirs!»-. ^ •; »il
' Etre libre ne Unifie piaS :¡ Pouvoir- ffeiié; j
cè qtlé'l*on;^té^rtlit,' rii^ dfe' voütéir, cell
(jhe l^té’doit faire I '!
i.- Í '6
%• . *■
l^enâÉaàà Cdo psm ;
I Un pauVfe chemineatii ' àraîivadife dkwfa li
tée petite bourgade;» sterrêite' pnelî
i^son fermée, où aÿrèé al^teib
la porte, il demandé ifflfe'aumône,..Qcwni^j
ptersonne rie rëponïtei:^ riS' té - ]i»ügêait'|
dans la TtîiBfltori, 'SI'jpôbiète>'tétéemérit'"^
piorte et entra, il SB' trèttve en face d'une
pauvre fgmm4'Jtétede,.^iquh
était veuve et n'avait rièn (eHiemême.
Alors il. s»elEi alla. , - ,, , r
EïiviitJ«- dm heuhto; ¿Kw, tkrd,- si Mdr
rtit Ba*! femme, em te .íferié :
«iMon Dieii, que puià-je;f^iw! ?.- je rie po»'’
sède rien, je stiis malàdè eSt? jg tdiT té
te charité que xne npr Ed
jëüne homme rtéondît, comme se pdtéant
à lui-même :,« C’est juéteBient pour (itia».
Pâte gentiment et ateteblèiiïfent, il; Vaplîritehà té tet' taftftè, sUri ItéPtille 1 ^otéi
qutéques» mqîtmux té pain (ïu'il téait
rassemblas pendant son absence, ainté^que
cfu^ues pièces de menue monnaie, d^out
ceci est pour vous, ma pauvre fetrijie »,
et ceci dit, i| s’en alla en tirant
irierft-'te tévte 'dérríitéig hii.
M'fOEdfflïïeilt d’ë l’EtatL
AU’oicfeasioir d*tteè a^tomblèe 'dè paatéurs
et de maîtiMÉdid*écc(te; (ÿ^' élit lieu àt'Berlin; ,,âl y á dfe ciéte'itite té ciriquantè ans,
l’empereur Guiliteume le*" annonça ÉIP visite aA(Et£' (tÏBlgrestétéfeSi, ce quî provoqua
ptorii: edx déè nîa'nif'estâtions d’erithou.siasme et té contentomenti' Les mot» que
Feifaptéeur lièttr aidrtsssâ fúltéit tes suivants • « Vtétó et* rWóá’ ntéfà* travaillqilí# au
même édiite»; rnate* cèpemliéit avee une différenoa C’est vous qui pteto*.lté'ifon-.»
déments’ sur l^uels je pourrai édicté Je
bîétt^re 'dflf téüpte. Et ces fbntéàiènts .
tohtlte flrf ette (riàinte dè Dîeu sel(i|n tes
enseignemente té Sa Parole. Là o4*^ces
féritémento'CM 'é^'iplacés, là té.seuteltént ‘
là Itésatt'torités'pèuwont' agii^ i^mr liÿbien
public, car là où tes fóridté(»mtá;Ísont
absents, 1*9* ato'toritës .bàtitéent s|^ du
sabte»'w . .
SaÈ&^
. tW UW€S
O pdèfifê... pdese... pccese, pter Ada MéiÎxe.
Publié' à 12 llrièà, .ce' gwa vbliuiiiiei té
poéités tét màinteiï'ant' yendù à 6 lires.
Rrofltez-ien pour en faire ' un (sadealï té
Noël. . .
\
Henri Lassï»!®: Les Grimpes d’OxforS et
Ut crim wiondiafe, in-8",. 38 pBgté. —* Editiortsr « Ifebor »., Gehéva — Prix : #&ncs
siïiiates*o,8u;'
, Quoiqu’on penar des Griotqito dUSÉSÉÎ^i
4
^ U
li' •
,;!*i v: ‘i'Ii’Echo'Ä Wm
-^1%
'è 19E6-XV
■fi''-'’. V/:
C I. , •ÌiiiV.Aj',i«‘Xl,
|.,V'
4"
d^n^ ipart, et des idées de M. Lasserré,’ '
d'Autie pio^ l’actualité et l'intérêt de son f.
t*”Avij|il réiiñdieint daiis la netteté avec laq^effle il associe les choses .de l’âme, avec
ïes ql^oseB du- monde pour aboutir, à une
-concii^siioin pratique. lit c’est ' cela qué
nous 'avona' besoin d’appreiidre.'On lira
' donq 'àvec un dOÙWe profit intellectuel et
. les deductions solidien^nt étayées
et f^^ement conduites d'un homme dont.
' ^ compétence et la loyaiuté sont év;i^ntes.
; ji,' * . AIJB. s. '.V
LÉoifiARD ïUgw;; .Messap^’d’ww ChrétÎ0f>»,}
, in^^, 64 pa^ — Editions « Je .Seiis
„ P^TÏ^ ’r Edations «^bôr », 'G6nève; —
Prix : "francs suisses 0,7^. > , .
de paysans grisons et pasf'
teur de montagnards, cet -intellectnel qui
pre<^à à la cathédrale de Bâle et fut professésÈr à rUrïiye^té de Zurich, est xine ^
e rare de .iefeprit ,supi®- pséàsétré
uflle chr^ien le plus authisn^ue,
ssant qu’à sa conscience, il a pu ronivec "ides ’ mstátutáoins respectées* efe
p^rè d’isojé dans tm- mbndie 'A l'état
J? n’en' a que plus
daufimte et les cnid études qui composent,
œt Muscule portent le sceau d’une adinirahlei^oi aoc^e et religieuse; Pages à lire
et à;^paridfé. q
TEftBAmS Efe MEUTE
. Dans le'centre de La Tour; u'né^ mai>
son de paie iîlèces’' one aÙTre ¿^ison
de quatfe cfeàmbres et cave. Pr^usUn
’(Allamanda) i dne WàtSonetté'.^ une
’journée et demie cfe'tier rain, — ^ Rb rà
(Ciò Bruera) : Châl^ rustique aved petite
étendue dç te;,rrain;et cj»«. de pierre,
aménagé poiir, le séiauF d’éfé. j '
Pour' informations s'adresser à; M.r
Baud — Adminisó-ation du journal — '
avec un timbre posté pour la réponse.
>P£ÏR0I
Mi torre i>eujce
I’§pi|jit0 — ogni ntorno feriale
ore 1« tlle’ lifcf
I l'i . ' .li II, lll■.ill.)) ui.ri.>.iiliii Ii'r ‘Il
: " GEOMETRA ^
PAOLO ROSIAlno
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Giovanni Lazzi - Adombra delle Sue ali
Ugo Janni - Ultra *- Problemi relativi alla vita dopo
la morte . .
Ernesto Comba - Storta dei Valdesi - Edizione’1935
migliorata (rilegatò alla bodoniana, L. 12> brochure
^Hco Meynier ■■ Storta dei Papi ________________________
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(I) Festivo dal 12 Luglio ai 6 Settembre — (2) Sabato (Mercato a Pinerolo)
(3) Festivo Uno all’ll Luglio e dal 7 Settembre ih poi — lÀ) Festivo fino all’ll Luglio e dal 6 Settembre in poi
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• “ (1) Prosegue fino S Ptaìy soltanto ne! giorni festivi dai 12 Luglio al 6 Settembtt —(2) Ptosegue ptt- Pr«y
soltanto nei giorni precedenti i festivi dall’tl Luglio al 5 Settembre (3) Proviene da Praly nei giorni festivi dal
12 Luglio al 6 Settembre. — Il servizio fra Perrero e Praly si effettua dal 28 Giugno al 6 Settembre.