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Année XV®
PEIX D’ABONNEMENT PAR AN
ftalie , . . '. .LS
yoni») ÌB8 ^'l’üïÎlloniiVq 1 f» j J ■■
poste , . ^
Airitjiîlfi[uèid'i •*jiil |
On s'abonne:
Au bufeaif d*Arimîtiistratinn ;. ^
iffîn). 'leSHl?àfeÉ^iis ; i''(l < î ‘)f )
Chez M.rjli'nest Robert f Pignerol) ^
'<’ > 'èÿ -À.' Îa*ÎjI'btii5^fe'Cliiau‘tidréiôt ^
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rj'abonnemeut part du !■ .iaiivier |,
et 80 paie d'avance.
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! Annonces: 20 centimes par'ligDe
ipoui;-unp! ¡^ujÿ
times de 2 à. 5 fois <et 10. penj.timws pViîr
^_28 Juin 1889
S^Aiîreîséôr! la Béi^dètÌ^on!?ét
f J Jl’ A,d 111 inistralion, à M., le P»»' ' téilr n.-Boulb 4^i4'ftlí'ní‘t?l5íirtírtíílî■
¿7/Mson ^Plnerolo ) Italie.
Tout, chang^enienfc d',adrosea ast
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t.l/! . iiin-i'n-*iSOïi;'iM?imi"<ii‘iiiiifiîf .jur
Les faMilWs vanslw^ cS’.Tîïpnij/Sresi|,|,-jt
.fournal de i’o|:;p,4^,HpO|Pi?^ ,P/>uI R(itiap;din.
■- l^n ,e,pp/?ipi jpvi^jblp.^^-J,p^,afsasp;e^’jAriif)a(^h’.^j—.liIpjiijY^lles -r-' flÉiivre
'des bâiDS'ilç mer ’ j-i-.i-’
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Chroriiqne Vaudoiàe.
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!■ Une/Qwiparpjsen ,en,trp.,le^,p9iîis jie.s
familles vaiidoises existant aiiXj,yal,lé,03
avant les flésaslres ,(ip,,,168{}|,91,1,ceux
qui se sont conservésjusqu’p^ji|ujoiird’,llpi,„Qqitoup,l.!iii qiqiqs,j|isjj|^’aÿ’ês
la Repitrée, serait sans douté
téressante.
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L’qn des termes de la comparaison
esi Î *ïimW‘‘^pi/rié ■SÎLs b’'ésisàVls de
nos égli^j,Cqp^'9jps|!j^i,p,|le|j.,noras des
familles qui onf éçhanpé au naufrage,
dès l’année 'peu s’en faut.
jLe r^ecsfi|59,ni90j.|qui se faj^.cetle appée
fournira n&tns.,dps fijqp^iquY.pqt
cotilinnéf,jusqu’il aiyQim’id’h.U'i.<,i>
' /Il est' bétfnèoup^plas/difficile d’'aTdîr
fés li'stês* dés hofris'¿(tii''exîétaiëht aVatii,
I' iU|i ( urmit 'Mi’ic,(| If.. ¡>1 , r.Mi
1685.: i (Lies i imoi feras I c'a dàs t r es, 1 es i liiv nés
d'hisloinev quèlque£oisl:les:li8le«idâ!pí’o^
séisiptionnoonsetP/éeSi a«x lAircjiives dé
Turinv'ijenii-founniraienf Dbnei / bonne
parfidj • mais moins•:d6ulonsi:-fo;Füi!q,&ç
l’on puisse parvenir à des résiillals
¿'èlpipl'el.4V'’La''So(;iéTé d’Hiatdirëuaïrivfei’a' pëni'êwë* iinfrfOiii", aü'tfï'o^éè'idn
recherches patientes, h nous: fôùr’Hir
ce' - tabl eau' ■ cofnp'a ràli f ' pdn r dd tt tés' 1 es
pai’bîs^esl’'-''dU/ ,m;vd/.
En attendant, iti'ous’avôiis vgu-Ilî' 1MpntiiÎlei'''9UelffuèS' li.sld.é* cobtfertHttiflfes
lioitis '¿es fàrtarlles' yxfetlthtl^ail' iVill’SFlPé I i S’■ ' éé t W1 ës ■'à HWéfeë'4 666 ifet'16741
fteiïx * dé' 'Cës' 'fistëy 1 îrtllnyitëtt'i 1 lfeS''peHsëi'îiliesl'ifiii dbtl'fë'îéi qü'èiq'ù^e'iseeWfffe
eWTa'i’'^eriÉ'''poii'é^ lèë ' dédb'rttHia'gë’ë • 'dé
la grêle, ou pdUHyÿ^Âidëfl&'é^adqtlîtfei'
d’i di'pbifs'* ëi¥iferé«l''‘Î!à''p'femfêfë’donne
drl'Tèii/l 'dë'’l'17’ÿet'!t68efcdtldë^ dëH'168
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¥ibdë''dë‘*la ’Gbàpé'lle''(’Pé*éoiise')"!poüé
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La dernière liste a'‘êl'é’ ïliitfe'â'Polîi
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chaux pour crépir « le temple i
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comme ce document parle l’indication
Religionarii, nous croyons qu’il s'agit
du temple Vaudois, et que les familles
indiquées ont dû appartenir à l’église
du Villar. Le total des personnes atteint le chiffre de 1389.
Même en tenant, compte du fait que
pHitsieurs de ces noms de famille ne
sont que des diminutifs d’un nom plus
simplej on est frappé du nombre considérable (nous n’en avons pas compté
moins de 178) des familles qui avaient
des représentants, dans une seule paroisse. Ceux qui ont survécu ne forment qu’un «petit reste», attestant
d’un côté la grandeur du naufrage
matériel (et en partie moral) qui a
englouti tant de familles vandoises, il
y a déux-cenls ans, et d’un autre côté,
les compassions de Dieu qui a voulu
se servir de ce petit reste pour replanter son église dans nos vallées.
Nous donnons les noms dans l’ordre
alphabétique et dans leur forme ordinaire:
Albareav Arnaud, Ayassol, Armand,
Alezan, Allio, Alliet, Arduin, Audrit,
Anus, Avien, Assoul.
‘Brun^rol, Brunerol-Bastian, Bals,
Brunerol-Meinet, Boissa, Bailo, Bonnet,
Bert. Berlin, Bertori, Bei linal, BerlinalMairet, Bertin-Maghit, Barneod, Barol,
Brez, Bouvier, Baridon, Bol, Bec,
Bastían, Boër, Barral-Reissent, Berger,
Bérard, Bellin* Beltram.
Comba, Combel, Comba-Revei,
Comba-Volat, Comba-Magna ou Magnol,
Charbonnier, Cania, Cheirnis, Conslans, Chalmis, Chambón, Chabriol,
Calier et Calieris, Cordiii, Charlin,
Crespin, Caffarel, Chaitvie, Causse ou
Cauzza, Cougn, Cougn-Reymondel,
Chabrol, Cairus.
Dalmas, Davit, Durand, Daniel,
Doher.
Eygonel.
Fontana, Forneron, Ferrand, Fi'ache,
Felician, Fanlin, Favai, Frat^Palconer,
Fournier.
Geimonat, Geimel, Giaime, Gallian,
Gras, Gay, Garnier, Germanel, Garcin,
Garrou, Giraudin, Grill, Granier-Marinét, Gonel.
Janavel, Jourdan, Jouvenal, Julian,
Jacolin.
Lanlarel, Liei, Louison.
Maossa et Maossat, Martin, Marlinenc, Marin, Marinel, Miquelol,
Mincnc, Mehà, Mu.sset, Mondon, Mondon-Fraita, Maghil, Marghei', Morglia,
Mergeru, de Motines, Maria, de Maria,
Mariel, Magnet, Meinel, Marquet, Monin, Moninat, Michelin, Morienne, Molinier, Meinier, Minana (?) Magno.
Negrin, Nicolel-Meinenc.
Perrin, Perrin-MiquèlOl, Peirel, Peyrot, Pellegrin, Pavarin, Phillipon, Perrachon, Pellenc, Pecou|,Peillon,Pelons,
Pollol, Pellanchon, Pollin, Pagliazza.
’ Ronc, Rossel, Roussenc, Roux-Frassinenc, Roslagnol, Rostan-Barol, Rivoire, Rambaiid, Revel, Revelin, Roet,
Richard, Reimond §l Reimondel, Roi,
Real.
Simonet, Slaliat, Sibilia, Stevena et
Steveiiot.
Talmon, Tholozan.
Ugonei. ^
Violin, Vasserot, Volai, Villon; Vial,
Vincent. h. b.
mmi n cKxrËom»^
par PtutI Kéjiiaadin
(Suite).
Nous partîmes le lendemain pour
aller aux Prals, et étant arrivés sur le
haut de la colline, nous nous séparâmes en deux bandes dont l’une prit
le travers des montagnes et l’autre le
3
-201,
bas de la vallée, afin de découvrir plus
facilement s’il y avait des soldats. Nous
ne trouvâmes personne que quelques
savoyards que nous tuâmes; et fîmes
brûler une chapelle.
Etant venus aux Frais, Dieu nous
fit la grâce d‘entendrc sa parole par
la bouche" d’uu de nos Pasteurs, dans
un de nos lempies qu’on n’avait point
démoli (1) et où Dieu nous fera la
grâce que nous l’adorerons selon sa
sainte volonté.
Le lendemain jeudi 29"“* d’août nous
nous assemblâmes tous de bon matin
pour passer le Col de Julien Comme
donc nous approchions de la montagne,
nous regardions attentivement s'il y
avait des soldats, et en ayant a perçu avec#
de très grands bastions qu’ils y avaient
faits, nous fîmes un peu halte pour
savoir comment nous les attaquerions,
ainsi nous nous Séparâmes en trois
bandes, dont la première et plus nombreuse attaquerait la pointe et les deux
autres les lianes, prenant les uns à
droite et les autres à gauche. Les ennemis nous ayant aperçus, se préparèrent pour nous résister vigoureusement, croyant que nous n’irions
attaquer que le devaiit, mais ils furent
bien trompés; la bande qui tenait la
droite ayant atteint ta hauteur des
bois se reposa et sur ces enti'efaites,
vit une sentinelle des ennemis qui les
découvrit, ce qui fut cause qu’on s’avança promptement et que prenant
les premiers la hauteur, nous vînmes
tout proche des ennemis, sans qu’ils
nous aperçussent à cause des grands
nuages qui nous empêchèrent de les
saisir tous.
Eux, entendant notre approche, se
mirent à crier: Nous avons pris le
poste et sommes ici plus de trois mille;
venez Barbets du diable; à quoi ils
ajoutaient ; Dites à Mr. le chevalier
qu’il tienne bien son poste, croyant par
là de nous bien épouvanter. Cependant
nous nous approchions et nous postions à noire aise et comme ils nous
(t) Le temple des Guigou, dont on avait
« fait une chapelle remptio de toutes sortes
d’images que nous ftines passer plutôt par
les fenêtres que par la porte, à cause que
cela nou.s était plus commode». /"Relation;.
eurent aperçus, ils s’écrièrent: Qui
vive! je tire, je tire, car la peur les
saisit de plus en plus et nous étant
postés, à notre fantaisie, commençâmes
à leur tirer dessus et à les ballre dans
leurs bastions où ils croyaient d’être
en sûreté; ainsi se voyant pris de tous
côtés, ils abandonnèrent promptement
leur poste et quittèrent leurs vivres,
avec les babils du capitaine et en qn
mot, tout ce qu’ils avaient avec eux.
Il y eut un des nôtres blessé et iin qui
mourut peu après, un des leurs tué
sur le lieu et plusieurs antres qui
s’étaient perdus furent aussi tilés, ayant
laissé leurs chevaux par le chemin;
et, sans les nuages très obscurs, il y
a apparence que nous n’en aurions
pas laissé échapper un seul; mais Dieu
le voulut ainsi.
Ayant donc gagné le dit col, nous
en rendîmes grâces à Dieu et vînmes
coucher auprésde l'Escah'eraprès avoir
donné la chasse à quelques soldats qui
s’élaicnl perdus. Cette nuit-là la pluie
nous incommoda quelque peu.
Mais le lendemain le temps se remit
au beau qui était le 30'"" du mois,
et un vendredi. Les soldats qui gardaient le Col de'Julien furent tellement
épouvantés par la perte de ce poste
qu’ils croyaient imprenable qu’ils ne
s’arrêtèrent point jusqu’au Couvent du
Villars, et n’en donnèrent pas les nouvelles à ceux qui gardaient le Serre
de l'Eguilk.
Le soir quelques-uns des nôtres
allèrent au lieu du dit Serre, et les
soldats les ayant aperçus, donnèrent
quelques coups de lambour et se retirèrent ain.si sans s’allnrmer davantage.
Le malin venu, nous nous séparâmes
en detix bandes; l’une desquelles prit
le haut de la montagne H la dernière
le flanc. D’abord quelques sentinelles
nous aperçurent, et se relirèrenl devers les autres, ce qui nou.s fil connaître qu’i s voulaient gagner au pied,
c’est pourquoi nousavaueâmes promplemenl devani qu’ils fussent tout sauvés; ils nous lii'èrenl quelques coiîps
de fusil pai'ceque ce leur eût été un
très grand deshonueui que de s’en
aller sans le faire; cependant ils se
sauvaieril à foules jambes, et nous ieç.
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^áh^us,a'á’’b’i/lYnér èt î'sacüa^ar.la ,vitl'é'
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Ü'é' fe%cVier"'jèV'*ôri IH’ cac'|iii'|dan's ’’ùn
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iliinq-iiiimyanî,, 2|?f, d,ç, sep,tftctt*,
b’ÎÇ^ijMOTs .deS)(;í^|id;t^p;i.|tou.s,idans,..le^:
prfp do.Botji, Ô4flpr.çs,^yftiu.fîn4,pjeiv
nqps’.flpu?,,,afihç|TfijpârTiqs tp,iis.dP:iCplô;
d,u,,,YiJ!^f,ç ppuf jij'iuuqtjpp..¡Nqu&;dop9,
séparâmes donc en deux IjKindfiSj,, l’unp
PVil.iie !bil«bide^s; vkjj.os, le
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qpjçtqUiQs foJdf^ts..,É^Qnobstan!.,LQiu p.çil.iîv
nous' entvânicS;,iai(Ssitôb:dedân pour,
pp|jij in)eUrp(,à'| CQdyert dp grand ;fbu
qq;9,q tapsaujiisur npps du, CQpspr^,;
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q f ¡ . P P U s,, P ri rp ps. id(?^ gra n d es ç! i vçs
4ueHpo,u§ .limes.j;oiiJer,:,devant pous,
aftn je,,nopsi,popyipv, fil;p,oiu; /tpprop
qhçtç,dPv'dil.cp,nyen|d:ç!Ù,op,liraj|,.,sans
d.essp's ¡omis q'piv de inQ-lre.oéié)
ibi^^Îpris,! apssj.,bi?fl PPfre^devoir, ,par
nous gagnâmes ibul le toupidp\d(t,
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çnqr|LilleS',d’0,ù ;noUi¥¡)[)9tlípns,.ap$si,ips;
eppeip,i,ï,U)en. i,ejjQ,|S.ortp./fiíe,,quQÍqup
l9^,,,e.i;nbr,asúr,í^ii fi)S¥8n.t( ,Îqi;1 . .pQljtpSj,;
n.ptvs t pâqrqSiP I wsip urs d^a leu t]¥i,;cdi;i uïïe,
diMQVPid’pntrieux Q.n.i,,aiiqsié<i Rt un,,iîéYpMé.-QH-;l i‘,’,çqj utes. qp e nôuis : P ri m,es ,Qo ps,
a, ,as¥iur,é, qpp., sqpsilfiSiiaLiiire?;révpiltési
qu»! ,él9iiejit .d%PS::le ¡epuyept, , ilisii nq
se, ISP raient pqs'faii uj,arpbande,i,', maisi
qQe, pefi(Cai?,a¡l,ieSijsaGhantbieií qu,<? s’ils
tqflnii)|;tjqpl,.,en.,noPi;tpalns/ii nij|,auiiaiii
ppipt ide,'.qiJftrtier,.pour! éuxtrftveq ji'ai-,
sdq>.i qYaienl, nrippx:ab.ij,¿usouienj,.r jiiiSri
qqeSrà V!e,\lréqiilé,,i’,lii ii.,n -i;
ml ‘U'i liVi 'il''! 'r ' 'li,Iri : 'i.ij Ir ii! ‘ib
"111,;Loi' djifi'i,nchç ^ oui ||ea Iq ’sermènf, de
s4>ouc|^,qqe,,àèyn|udii) .souj^jisijoncé^i.
Oli ne sait pourquoi. '■
: v;0nir 4'ç Î’aitUi’e,q^té dg U, i'jYièrq,qnq,
quaitlité- de,,m.q)els,.'çhargés av,ec,,u.ne,
compagnie de soldais; no,q5,.riqùs.,dpp, lâmQSid’,abord qpe|p|éj.aii,li9 pO;p.ypi,.du
; Qqpyent,;,ainsi nqu? lesi,l,aiS)S4ai.eiîjve'pi,v,
visrànyiiS dp,\la\,vii(e,,,après.quQj|ii,piti,s,
rsoriimQs.iiUpe. ¡clnquau.tajpq. pquj
: atTéier.,|,i)l,ab.ordi,qq’il¥.,)iiO))S_.,vïrep,l;,,
4Uvs’a,t#,i^,r9niL. ,v,int sQj,.i! ,p0urje,t!,ni.u'.'S
aypflt ,copnirs„, J ,i is., prirpnt;, lq;.| hantquif,
e,l„,i,a|is^èràfit|i4qu'?fti inu)p!-f qup, noUfS!
pr î m'es, ,a,vfipf le. pa i jp eli 1 ft y .In» .pi u si p iv;s.
soldats,ét. lQHl.aiinbauL’,.al,ea|:,ufl nvQt„tqul,9e.que |’o,n;,,V:Qi4ait porter aUiÇq^T!
yqntr .be ¡pajn,,fu(l ,parUgPipai?,.cbaqu,ei
I pompagnip, uqiaisi.pousnpiéi'dirnesi ilfiS'
I rpu i eis, P v.e,q; .ie, .ta qi bopir,, ,1 e. I ende mai n
pai|.',l,a| négligpRCÆj deiÇpUiX qqj,,le.s4er:
vaii.en,t,iga,i'derr,•:‘i( -¡iiDii üioq lu-.viij.
'ilewxuqui igardaipntiilei'dit* conventi,eP qui étaieint en grande nécessitè die-'
vivres,'Ovoyantiqu«! le conyoî > n’étaitJ
pafr pour eux, ifîrent'iijfnebwigoirrewsè'
sorliéi'pQui' seconvir ileiïrsugensr mais!
l-esi nôtres! qu b les tbnaiiienit dpiprèsiletnp
■ firent une grande'décbnrge qnbies bl,'
rewtreiq danS' lè'couvent,lulemt aysrtt
tiïéi'un' oi8c‘ior"qUi'!ièstlff)rt:iregrielté
pifrmi eux.’ Ge'joUiv^làrdousIperdîni'eB'
, dfeffX 'OU tl'ois;ïîoldâts''et eûmes|quatre!
, ou! cifiqbbles«és;’"et; to^ÿ! pipjur'stôive
j trop approchés du dit couvenll nese'
[ sachant 'puspeoiivrrr.ini.t'imin'i ,/i!.''l
''\AvbWt f{f'fê'!âin's'i"lÎ!'.corliibi, lioùë’èéfe*simie^ ''èbtìéi'eòlElàt''
sames '6'titìè'r‘em:etìi"dè''"tìfèii
coü\rétii,i' néais ibôus'pôsâdiës'^^ cb'i'bè'
dé''è'siraë pour’qardeipiès avértüfe!^ pU’’
PbHi''dtè‘'ildsp’ài'i,' ët''Àiitbtë''sé' ib\’
bO’’boiit'’dé'’;id'viïïè'tfii''«6iibd(J
Bo&l "éW'Vdhd ‘Wè'''dlïdll 'ics"tféfeiépi'
d'ô'Séredt df yô'Hir hi tilbr'iqÀéqii'èiqné?
is„4¡pef)x.,qu;’i|? vqyajieat.,
r, p'a r, ; la.. jcapipagneii ; ■,, i i.,i'-.,
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venir, par
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sting Cfü'iriii'snebès '■d'nii'il!' vîenPî''rt)a|î4'
il-'snfïî'tl pOill^t’asgom'mei’toi'-rriêrtie'P'ü'
tOB'-iJTOChainyiljà oiron en'ifait usâîrtnt'
tU'‘a's'''aiftiiVé'?i' «n 'bnrietiti con'fPé' le's;
11061161?'diiqUël' tu es sans-'défëiisti';'
car'tfi né degivôis’ pas. Il fàut Cepén-'
dant'qn^ii ÿinit^rm'éommenceméMi, un
pcemiWr mutifynieh ne!, se 'Ib'rVtip 'de'
rair.>''^'Sioi'i;*qO'il-y ai l'quei'qtipJctibVéy
mais que d’exagérations s’y ajoutent!
L ' sU P po s iilô ns ' cii l is tnn'ie d sesv^c liépniitîfeBt,'i!'acçiraissehî'cérntné''uri géant
à • rtiesuéé t|u’’élle.g' vdy,vgent' pln'a
et' 'èlèst * it'ifiiii ’ iquë' Ibs' 'ÎaUt'éfl de h'6!l.i%
prochain bri Viertnent*' à êlhe 'éJipoÿe'és'
d'Aiflg laMuitVière hi pins vUer'MI'fcortm
b'i'é n d e pé i riêb. "Qolm b i en d é 1 o l't's ! u ’à-1 - i l
pals' déj&"pt'dd'iïiV, 'éy'jpétit'mPt'rtwbiIiitiptondneb gang charrié et sarig'réfïêVionî
■’ 'Malheut'eiiseuienlg’Songné rapptriH;'
nbUi' somUids' ibrtelnent enc'l.iùs "à' fa
crédulité','"voyant bdaucoüp pite' faéi-lement la paille dansl’ceil du prochain
qwe‘'là'‘pdlitre dans notre pi-'opre oeil.
Mtiis nUe dît’ 'là''charité fc'hrêtiénfié'T
(i flatTO atte'c' tHndpro'éhàin' 'lUi-mêrtié
dé’!gfeS''faotég et,''danfe'te,g prières*,''parles-.en'à'tdn Dieu.’Shis leng à' cdôîr'e
te’-m'ai'; ' qne;' tés peïiséés'"S’at'rêtènî
pldtôt"SUir'ce'ifui'est bon'i.'
•il .j. .l'i
rv'. ■iiii;.:!'.'. iri;(.in.|i‘iU ri
Le désastre d’Armagh
psl'i eh anTïïo: asL .e':7ii3C
Les lonrnatix anglais contiennent de
détails navrants STÎr ie désastre d’Aimpg,h>(4?^pde)i{ji,i-i,p’efU eapw^irnl.pas
à,iîQhipal'iéiriïuiiiiravages iàceopipli$ pain
li’eau ftt p,afîite ifeui dan^ là PfensiyJivanic
(Etals Unis). .ll■.|!■.ln nli >. ».iirn!
-,4(i Armagh, JeiiSiioonranii, «ni'tniilI ¡léi;,;dft li.qyftu^uan-ianIs, d<^s iécoJfts hdw
dirnaaehiei pairIaieröt.,pQUii'nun® Cxeui>
siTin,',i4à|f};$l;uni train ,gpéciàl-icomposé
qe irciza-vvagpns. ArinvésiAwe l’a'ippe,'
âi:dft|üxj ni|iWe& déniai .viilejncn,,tjfauvia
oye,;.)avmàchine.;n’avaiti pasi la. Îorca
C; jfoU'ft I mPAUui I lonàittes iwagens. ■ Lés
sept .d'Ç.rfliiers.lurent détachés ed arrêtés, au moyen de pierres, sur la
î
Ê:
J '(A \'i •'\Vï\i',u>n’. 'r.n iftiij Ki'in'i'jZ'i'l là
votei.iiil;i pàFaU.que,ces.,picrresf|Ont,é,téi
épar|lée.s.,pa,if lie ,ppjds,,dp.s wagpnt?, dti
qpqnçeuxy.ci, ^e,,spnt 'prftcipilésîen qpr..
riéiilìippur a|jei'||Seîiheurler à,,ii,p.U’aiq
oi(dinqire,.'qqi ..sjavançàjl sur laHypifi-^
P!n,s,(de SiOixaiHterdiil de ■ ces,ienfante
ont été tués eiungraad nombre blessés.
Le, ’üi pe c ta de, p ta'i t. d ,\h o rxih lev qu V' n
homme accpu rp sprielieuidaqa.l’aprês
midi, . en m,0m;ul.spbiterapnl. Un pèiic,
2ui Îpli,l,rouv,é -ayefi.ses idpuxMpeti;tc.S|
lie,,ôleiidueS:jpvè.«|,de , luilonspu’on
te.souleva.,pour panser, .une gi’aiîe,-.bles.i
■sure,T^u’jiayai,t.rçç,ueiâ!:te:itê;ie!, stecrià
en iimJiq.u.ant ses iillep :,«|Fa.iies oe.qpe.
voua.poppe? pour elles,,.; sans,y.ou?,,oc«
cupePn’de rnqi;.)j. Ce, l.pirent.sps..daipje'Kî
mots; l’instant d’npxès il était mort.
lArmqgh ia„étA...qbaflgén.ten,,u,ne,vilte
dei deuil,:,Le,é,.messages.id.fi la. symeav,
(h i cfthyétien peiu i ¡son l,a,rri.v As de. Iflu Wà
paris; I .puuSuRiÇi] jpeu],, ppp L.ayoii;, jdÈn;
qçrnme.pouFnde,,p,a,i!eÙl.eiS, plaies,; y |j
La,mort,-flit ,ìjKef/iÌt/„,^-^sÌ
jamais si terrible que lorsqujèite,. afleint .(je, ,cetie> manj.ére r,cafaiice,j, la
saisissant, souda in ,fiçunmp . Ip- feipii ,)à
den,tV,d’u,q ligrie,,,i;., ,,,!
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^V~Tr~TI;-H-tert
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>¡1 •^lil.iüi.
.:iMadone„ prvlé.slanis\ ’Onû’sait
que'îles I Lausannois!s’,èaeupeiUiidepiuis
nombren d’an,n|^ées ,de lan,resta,uration
dft’.iteuri, cai,hiéDrate et),qu(ei tes plans cte
cô ttivxva i'I) jon l, é lé lar rôlAsj par U n e Conoii
mission ^ipêciaieipiiesqiue,i;exolusiveq
me o;li bom'posée ¡d’iatchi içclets*. die s,eu I pP
teurs. Ct id’archéologués), .¡eni partie
c a-t h O ! i q U , ■ el où i 16. |S y n 0 d,e I n a ti O n a 1
pTOlesta'nlcfi'fic cpmiptp nucuHi réprèsentant ! Or, celte commiaaiion.ia'.'.déK
cidé de placer au-dessus du portail
dpi ,lai‘icalte0drate):,i\ijàdisnCOîi«ar,réfe à
¡HotrerDamejiiunc imagc\ide teiAiàrgfi
qiuiin’y la ¡iamai,à!figUiréL,,. Ge singulier
projet» iqu| doit ayoir été! irispiréiipaié
q pelqu 6i ' ht) n n eU épi s cop d I à i ' ea t lè ifa meuseiiCamniiisiion, fususciliéiune »ire
émotion dains teimondeipïolestehlrdq
canton I ,'dei ,V aü d -, U ne ; cam pagne i éh er,+
giqae de »pr oies latiom est ouvéi'te i co»+
tre cette idée plus qu’inconvenante,
6
eOi
et l’excellent journal Evangile et Liberté publie dans son dernier numéro
un bon et vigoureux article sur ce
sujet. Placer sur lu façade d’un temple
protésiant le symbole de l’idolâtrie
romaine, est rei'les une idée qui ne
serait pas venue à loul le monde!
Les Missiom dans la Vallée du NU.
— D Alexandrie jusqu’à la pi emière
cataracte, dans lu Vallée du Nil, l’on
rencontre 79 stations missionnaires
avec 70 écoles du dimanebe fréquentées
par i.O'î? élèves. Les écoles sur semaine donnent l'instiuciion à 5.200
enfants. L’année dernière iLs’est vendu
9.651 Bibles, 8.933 livres religieux et
19.179 livres en usage dans les écoles.
L’œuvre des Missions en Chine et au
Japon. — A la fin de l’an dernier, les
39 sociétés évangéliques travaillant en
Chine occupaient 548 missionnaires.
Il y avait 160 pasteurs indigènes, 257
ouvriers non consacrés et 35.122 communiants.
Au Japon 28 agences diverses e'mploienl177 missionnaires évangéliques;
on compte 142 pasteurs indigènes,
257 ouvriers non. consacrés cl 23.544
membres communiants de l’Eglise La
Mission Evangélique en Chine date de
1842 et celle du Japon de 1868.
: i Une Evangéliste intéressant. —' L’Evangéli^le Sam Jones a entrepris l’automne dernier une campagne missionnaire dans la Caroline du Nord, (Etals
Unis) 'Ses prédications- ont excité,
parait-il, un tel intérêt dans la ville
de Durham, qu’à l’heure où elles avaient lieu, on pouvait voir des bureaux sur les portes desquels éiait
collé cel avis: fermé pendant le service
de Sam Jones.
Un singulier plagiai. On vient, dit
le Témoignage, de découvrir un cas
singulier de plagiat. Un savant indou,
Raghunaih Ras, appelé à publier un
catéchisme de la Religion Védique, a
loul simplement traduit un manuel
prolestanl Irè.s-connu dans les pays
de langue anglaise, le Petit Catéchisme de Westminster, en seiconlcntant
de supprimer toute la partie qui a
trait à Jésus Christ. I/irsque le plagiai a élé découverl, le .savant indou
u’a .uiillemeM. élé embarrassé.
Il y a-expliqu,é qu’il voulait publier
un manuel qui pût être accepté àja
fois par les chrétiens et par les indous et que le.s vérités générales
en.seignées dans le Petit Catéchisme
étaient en réalité coimnnnes aux doux
religions. Ce petit fait piouve mieux
que tout autre à quel point loiihéisme
bibliqpe a déjà influencé les classes
instruiles de la population ■ indoue.
he Synode annuel des Wesleyeos d’Italie (District Nord ) s’est tenu ¡à Bologne dans la seconde moitié de mai, sous
la présidence du Rev. Piggott. Quatorze ministres y assistaient. Les représenianU des églises ont pris part
à quelques séances. Les 12 églises du
Nord comptent 800 communiants, 63
catéchumènes. Les ouvriers, ont. été
laissés à leurs postes pour line autre
année. On a Iraitédes meilleursnioyens
d’évangéli.salion,.des contributions etc.
Les rnéihodi.stes épi.«copaiix ont tepu
aussi à Milan leur Conférence aiintielle
sous la présidence de l’évêque Fowler
et inauguré, à celle occasion, un nouveau local de culte, où ont eu lieu
tous les soirs des services d’évangélisation. Une école de théologie établie
à Florence, en Janvier dernier, pour
la dénomination, compte six élèves.
Œuvre des Bains de Mer
La Squadra de jeunes filles partira D. V., de Turin pour Finalmarina,
le vendredi 5 juillet prochain à 9,3()
heures du matin.
Celles qui viennent des vallées doivent partir par le premier train arrivant à Turin à 7,32 a. m., et se rendre immédialernenl à la llhapelle 15,
via Pio Quinto, avec leur bagage (y
compris un costume complet pour
bains), et six francs pour leur voyage,
aller et retour, deTurinà Finalmarina.
W. Meillé.
7
.205^
sÎFIirontque fflauboiee
Dimanche dernier ont en lien deux
visites d'église, à Bobi et à Angroo-ne.
Celle dernière n'a rien présenté d’extraordinaire, quoique l’entretien sesoil
prolongé jnsques vers deux heures de
î’iiprès-midi. Un nombre irop restreint
de membres de l’église y ont pris une
part aclive; mais l’assemblée s’est arrêtée pendant les delix tiers de la
visite.
Les cultes à Pra du Tour, Serre et
Si. Laurent sont bien fréquentés. Les
réunions nombreuses. Deux salles de
lecture sont ouvertes,snrtoul en hiver,
à ceux qui désirent passer utilement
leur soirée. Lit bibliothèque paroissiale
est un peu négligée. Les 8' écoles du
dimanche ouvertes pendant une partie
de l’année réunissent 350 enfants. Plus
de 50 moniteurs ou monitrices, jeunes
ou vieux, prêtent leur concours en
faisant réciter les enfants tandisque
les directeurs, parmi lesquels deux étudiants du Collège, sont appelés à leur
donner l’instruction. •
Les 16 écoles sur semaine réunissent jusqp’à 460 et même 480 enfants.
Environ 90 catéchumènes sont inslniils
soit à Pra du Tour, soit au Serre et
à St. Laurent. On espère voir se développer l’Union Evangélique, dont les
lecteurs du Témoin connaissent la fondation récente. Le nombre des procès
tend à diminuer.
Comme souvenir du Bicentenaire
une horloge a été placée au clocher
du Serre, grâces â la libéralité de
Mr. le pasteur D.. Peyrol, et une collecte est en train de se faire pour former le petit capital qui devra donner
les ressources vouliie.s pour conserver
en bon état cet utile cadeau.
Ecfue )>oltttque
itaUe. La Chambre continue
l’examen des bilans. Parmi les discours
les plus importants qui ont été pro
noncés notons celui du Président du
Ministère à |)ropos de nos écoles en
pays étrangers, en réponse au député
Cbimirri qui déplore la conduite du
Gouveniemenl vis-à-vis des Missionnaires-insliluleurs italiens
Un autre discours digne d’être signalé a été celui du Ministre Giolilti
en réponse à la desci'iplion, plutôt
pessimiste de notre situation financière, faite par les hon. Plebano e
Luzzatli.
Le Sénat a consacré, de son côté,
quelques séances à la discussion de la
situation financière, des douanes et
tarifs; l.’ex-ministre Magliani a été un
des orateurs les plus écoulés.
La famille des princes de Casa Savoia compte un membre de plus;
Samedi 22 c. la princesse Letizia,
donnait le jour à son l"’ né qui portera les noms de Umberto, Vittorio,
Amedeo, Giuseppe, Maria; son titi'è
nobiriaire será probablement celui de
duc de Caserta.
Crispí el Farini sont venus à Turin
pour dresser et signer Pacte de nais*
sance,
La. Gazzetta Vaiale publie le décret
royal qui exempte de tout examen
d’ad(já¡ssion: aux Inslilnls techniques,
les éiéves-licenciés des écoles techniques, et moyennant un examen supplémentaire, les licenciés du gymnase
inFérieur et les instituteurs pourvus du brevet de grade inférieui*; —
a la 2'”* cla.s.se des Instilui.« techniques, en les dispensant des examens
d’italien et d’histoire, les licenciés du
Gymnase supérieur; à la l’“ classe
normale, sans examen, les élèves promus en 3"*® technique; à la 2'"» classe
normale, moyennant l’examen de pédagogie, les licenciés des écoles techniques.
Dimanche 23 c. dans l’enceinte du
Giardino Reale de Turin ont eu lieu
les fêle.s-exposilion de la Croce Rossa,
le jour après, à Tuiin aussi, an nom
du'Congrès des Sociétés Militaires, et
à Solferino et S. Martino, siirloul, la
8
sm
Díkmmétífi&V'aíioni des de.wx!(gloi;fe«.ses
balailles'ipar,tanti c& nom. /, i 'h-üÍR
'' * Là' ' pe'i ite Vi 11 é' de' i^a.l u cés 'vi én l a'ijsisi
d'inaètìi'rbr.’ des‘'fèVé!3 s'piéciàles éji
LHtìnhètif'dà cénteilàire ’d'é'ifòri'citóyèti
l’illustre SilVib'Pel'lico,'l’à(i('èiïi' deSMè
de Ip francese,a.da Bitumi,
L’influenee ;croissantél queiI lai Russie exercé ’ depuis
quelqufei'teniips'ien Roumahie' et eti
Serbie inquiéte un peu l’AutriioheinJ^^
L'cniperedr, dans un discou rs' àdreissé
abx!délégations Aulricbiiennes 'etsHonH
jgroisesv - tob t sîd ' expr’i ma nt i’ es po i r que
!la paixi'soit rtifiiHlenlwîpaffirme qiiU da
silualio.ir'-politiqueiqst ihcfirtmne;■ rap!-*
pelle à. ja ,Serbie les sérieux dangers
qùi/|à'''ibert'aceni''ël.‘ dé'inande' d'e nón
velles''sdmrïies pmié'Va Blîfehsy'tie l’bliipiisej' dn ‘cas ¡dénlpesóin;) ib
ia/> "Vit.
J J Í ■' /i* d Í * < » f ^ li , . .
M ! [ f
........:j,^ptçi/j||d^)d!ir.i;,api|è^' rèViedàtU
sur' le'; nÎèm'e sufel, déclaré à sôii,'.l'ÿ(iT
qùé' fà sitii'aiioii 'p'iimïiq'uy’dei.l’Éiii'o'j^iî
peut facikmenl se m«<it/îe)\''el iiVet'IÎt
la iSérbie’que tonMi iteiiua-tive d’pgrandiisenwfitidiU' pelHiroyaume pourrait
déchaîner coriire elle' le coloss.ei;de
Vienne. Jl assure, en quire, que tonies
îèS 'mki-ftarmik'S■eii'i'&pèmnÉk]'^ la'''Rq^ie
ïiuitsi ;?),,çbî?r/'ei‘ineMiéiî'l décidée^' à'em^
pêÿf^r''^td hiplüi'e'de'la paix.
■''Un i - “Oj {"inii'i-.;:, ■ -w’lp'«
pi’piip^,,d,e,,ra)|jance
Ijb^ne,, .jltßsi; irppq'ria.nt dei,polep.| ces
paV/i>|es■ ■■ tix.liqfl(tes, dq.,disçpu r,s,‘‘rtunf^7
lê.rifttj;,,(C|l,’J|l,aliq pour poiis^ pou^popr
rU^lj^, ,soniÊPjf^s des.;alUée pari'aitRfn^nt .js^%lps,|qns,eçyçrs.,les
tlféS®i',ll'njl •.■li ,M ili/l .hl'h I'i ii'f'li.li'ii
9hàia$è,. '-ij- 'Le ndhsëiL'NatiAffa'î'et
I ë 'ôp'îiSi’ 11'Féfl éràl ' b bï ; d écîd és ■ '(te * co n ‘
fractal' ijn''érnprUUt' dé'î6.000.000 I'I’b.
pobi-la'' fdb’ricaii0W''db' ftiS’ils'’A'M^
cd libre"*'et pour fi üA'i tiens ÿ rAfâmséi;
;iji!
Altemftffne. .■ La.famille impélaidë**ii’fêfé,' té |4 'c.;'les'noces'du
prince Léopold'’Be 'PHiss'é et''tìé"'ià
pn'hèksse'LòuiBe;di Seiilerwi'li'HolBìein,
^èeur de'l’impéça'fi'lcè re'grtttnie.
î:> , -.'i'iii,;. ; ,-',j¡ ’ v,v:,. ■ ;'(>
-iU’.U'Ui- It. oni i'd!-'-. '
. .A Kfeoonoes
f? Í ii îj f. P f n 01 îR7
AVVISO DI CONCORSO
ÇOMÜNE DI IV!Äß«ELL0
:i!.r Air-ii':':' . ' ‘, 'i imi : ii !' i'i î
■l'E .vacante dli questa rÇonuinità ipei^
l’ainnb-’scoi astici ^'1889’-'9O,iíiilep0sto dí
m'íiestrbeleménia'ré di 3^ cl'asderdi'ald,’
a’j' q^àle 'ílssjégnáti^ 'iltretal
ed il’.sussi'dio’ 'deila Tavoïa'Vaí'd
s,tipen4io, .íjtp.nup]di,iñ'e,t 7.0,0u,Ragal|)iii
a. bim'ealci.¡maturali. !(h., hí tmí.í í <
'! 1 ’oéncoprerlíi .dovsranírn< presentare
a’'quBs'f’ 0ffi'6io''Co'rtiÜftálé; è'ntrd ftìgliò
■i’Séii' ili" rispéïlïya''.''db'ri'àridd’ (/bi 'doT
ci?,meptJ,.', pre>spj-iii!; dají.ar|,, J4,7. de,(
Rególamenlorpei’iiislí'H¿ii0.r¡ie élenaenh
tari iôiîfébbiaib !l388iiíué! ,1'
'»¿i-góiré',-'ir'S3u6ittgnd'ïadW*''«
'<■' =’■!'!.I f,-,! ;,i iié ft símtó
-.'r'll) ijM 1) i|
TORREiPELLIÓE'’';
pour l’'oCò'asiqti diV Bictítiietiaife'a
oiíverl, ' ine éídcViiíl'^dal'é'.'pifii ligo
■■•I iO'-i', "UV'' ■('■uv'/i;', íuí.u'r
-.»Vit .uuv,n>-.. iUF.tr
monis, ,a des ,pi:i,x Ires.^.i^o.Bi^rés.,,^ ,
Pension, chambre.ttompjris.ejià .ijrancfi
par joui’. Appaiilome;iM.Si peuiF
famillej!' ni. un. /mi' .n.(!n..:
1 l.i; •.I'. V '.qoi l.id 'i/ii!
■d) .. i î! !; r'iil I ! !,i i. nil
en \ Vient- de\pafmb'kif,i\ n! . q/
I ‘di.
çoiqpii.ate daETOUÎ0Cifnba,,pr,ofes,soi‘e
qella Scuola.iValdese di. Eirertzeil .-rv
1. — Periado degli ApostoH. — i vol.
in 8“ de 83 pages; Firenze, Tipog,
ciaïutiqjp 11 i 10 ^ 1 11 rr £f
Prix IV. 2. — S’adresser a l’auteur.
' ERWkM‘'ft'ÔBEiir..ürmèi*’’’’'' ■
4-m+;i .aJ—i i 1. ■ 1 .m; 11 i i î; U. i i.'. i u /. y, ' i - !
riliign'ei*oH:;t mpi.,.iChia(Uore~Ma6carélU-e