1
Année XIV
FBIÏ D'ABONNEMEST PAU AN
rtalie . .
Tous les pays de Vünion de
poste . .
Amérique du Sud . » 9
- ?1) li'niiirfi— , U‘>lO '.h
On a’aboune:
hf^riBaii â’AflMtti»tV-Titlon,;■ .■■i
Cii.Gz MBr, les pasteurs; , i
OtealM. ii^ïnieat Ho.b<srt f Plgtcorc^lj I
, et à la LOiralvie Chiantore'et,,
■ ^ ) I (Mdseàrelll ( PfghèW^ ). {; 11
[j'iiboiiKeftiiiif'l>art' k\i l*'-! JànViiBf ij|(P
' et 80 plie, d’avance. '
N. 25.
n 1888
Numéros séparés demandés avant
le drape 10 centlraes ehaeun.
[ Annonces : fiO centimes par ligna
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ridministradon à M, le Pas>
leur H, Boaio —ffiî'waî’»Cîmon (’PineroloJ Ttal’-o.
Tout changement d' .adresse est
payé 0,25 centimes.
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■ lîn aVanlil—:[æS sBirnts, j— 'Nüciiülo'gie.
ïlfiisftnf. f«e Poinl
(Jq tgfiO.tlarmes. |Yf,fî]ani(ri^s, -, .^ouvullps reliaieusâs ol faits divers. — Ctironique vaufloy^e. - Revue nolilique, — Annonces.
-.iiir- : A iü ¡û:
•''■'■'"i'>!■ Bn'avant!'' -- -■•
t'I . '"i'i ‘Kl . ___■ ilü'. |i
hn hdinnié' qui voudi’ait' allei- à
Pi^nei;b( él j^ni'’''maVctieraii 0'endant
uiie''liqjiiy dariè; la ilii'èclîon de celle
yillë'et, pendant urte’ablre hèure^dans
le s,ensjoppoè,é,^^ aV'rivërait-iI au
cfie(-lièù qè‘'nol't'ç'artbhtlïssëiTiéhl?
Y'— JaVnaiâ! ; Y' * ' '
lHJ'Et ¿ëf'tiï ’qül dîlns le ëfïè'mih dë
la'H'')'é' niy,Héherriil''iili'''j6ÏÏi''' en'''av^ili£
véi’s* lé ci'èl JodYen‘*ai¥i^l'e'vér^
l’ë**'iîibnâ'é',' à'irivërâU - il ,faynà1s'"iiti’
¿Èjoin''’dà hienKêliiWx? ’
(/rie iélle pièrsô'n'në'hé serait-elfë
pà^^yiiépféinfe''HÎ. ''yiNtîonhaire V ■ ''i’
' î^ort',''rb'qbYô’nii','"rt'iil n'*osl siaiVô'biiâM'é'â’an's'l'éybhbsbs spiritoelies,
(jéliii' qui né'va; p'a'Î ën avant vers
r,'reibiitiie' en arrière vers
r-4.'
P”**
CO
le déhion, 'Célu'i qui n’ësl pas avec mot
la veréfe /ïitîî ta chniflté. Eph. iv, 15.
est contre moi, et celui qui n’assemble pas avec moi disperse (Mattii.
xir>, 30).
Nous ne pouvons pas servir deux
maîtres; ou nous marchons vers le
ciel avec Jésus ou vers l’enfer avec
Saian.
Si donc nous ne remarquons pas
en nous des progrès constants dans
la vie spirituelle, ne nous endormons point, ne disons pas paix,
paix, car il ne saurait y avoir de
paix; ne nous donnons aucun repos
que DOU.S n'ayons repris noire marche
en avant, Celui qui s’arrêterait sur
le chemin étroit qui mène à la vie,
ne fût-ce qu’un instant, il a cessé
de marcher en avant vers le ciel , il
marchande avec l’ennemi qui cherche
à Je séduire et il est déjà en roule
pour irelomber en arrière avec lui.
La tëmme de Lot n’avait encore fait
aucun pas pour retourner en arrière
vers- Sodome, elle avait seulement
cessé de marcher en avant. Elle ne
serait pas devenue une statue de sel,
un monument de la justice de Dieu,
s’il n’y avait pas eu en elle quelque
faute grave. Elle s’était arrêléd -elle
2
"H/, '''¡i'iu!
elail devenue stationnaire, elle ne
marchait plus en avant vers Zoar,
ses regards et ses pensées se reportaient en arrière vers Sodome ; elle
s’attardait sur le chemin du salut.
Hâte-toi, nous dit l’ange comme
il le disait à Lot; Sauve la vie, ne
regarde point derrière loi, et ne
t’arrête en aucun endroit de la plaine,
sauve-toi sur la montagne 4e peur
que lu lié périjssesJ ¡>1
Demaïldons à'Diel deínoití ^rder
du tentateur qui nous invite, ñon
pas â rebrousser, chemin, il est trop
rusé pour cela, maisr.seulement à
nous asseoir un instant, i> nous reposer un peu, à regarder un moment
le beauispeptacle qu’oirre le monde,
à savourer pendantiquelques minutes
les plaisii's qu’offre le sièclci 'Après
cela , ajoute t-ilv vous reprendrez le
chemin, du ciel, et vous marcherez
plus vite pour racheter le temps perdu.
N’en fais rien, mon frère. Après
ce moment d’arrêt ,i tu pouvraig avoir
perdu le zèle pour aller en avant',
tu aimerais t’arifêler fencorei, enfin tu
rebrousserais chemin -vers le monde»
tu serais perdu. Si.le méchant veut
te séduire, n'y consens point,.— Arrière de moi, Satan.. Décide-toi résolument pour le iSeigaeur. Demande
luirde te so!Htenir,f de s-e tenir bien
près .de toi, dei te !reDdre|iidèle,el de
te maintenir tel ijusqu’à la ;mor,ti et
alors tu auras; la icourofliue.ide itie, ;n
lAppuie-loi sur sa main toute puissante,, et en avant, loujours.en. avanl.^
jusqu’à CO que tu soisiarfivéiau port
où il n’y a plus de tempête*
■i!'.;-.'. : !..,/■ -il! . . iitÎLhB. p.l ■/
■ i ) IM, ' :. 11. '( 'i! l'I ! !. 1) ! '.il 'i--, ■ ■ l'r
■■ . i. -'.I !l. ' ■ .!,•!' MIK . / ,i, .'¡,1 j l!i: l'i
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'■Im; . * ' ■ ;¡''I
' I I > ' IV ,
Les saints
■I I I
;i|j0s enfants de Dieu, nourris des
Saintes Ecritures, savent très bien de
qui il s’agit, quand elles parlent de
saints. Mais il y a parmi le peuple
qui ,ne se soucie pas de . sonder les
Ecritures, une grande ignorance à
QÇl èg_erd. |*a rier, pjj^r PIi*® P'*'®'’
pour tous'les saintç.pela éloine. Le^s
^ints ^l-ils besoin ||e nos ||rièreg?
Cet èfonnement vièAl d^tmf double
^en-epr,; c’est queji|'9p^»*oit que les
saints sont des pèrsonhês qui n’ont
point de péché, ou bien des personiîes
qui ne sont plus sur cette terre, niai.s
dans le paradis. Or ce n’esl pas là
ce que nous érisèîghe la Bible.
S.' Pierre a écrit dans sa 2*' ép. :
Lès Wiwis'hommes de Dieu ont parlé'j
or que disent d’éuk-rtièmes cès Sà'intsŸ
Voiçi^Je ^lernbignag^j^fie'jièu^' d’êtitr^
les plus purs; Esaïé s^ëst écrié : «Malheur à moi! je suis perdu, pareeque
je suis un hpmmP; SOdjliù de lèvres».
Daniel en confessant son péché, et
le., péché; de,, son peu pie,,,,a ,^i t ;. ^ nous
^yons, pécljé, ,pou|ÿ,avons pommii l’i^
piquité,, noifs ayqnsjail tj^'méph^
ap,tipns,,, .nous, , éli I >;ebelles. »
première condition? —,«vouS( étiez
q[jpVJs„dftqs„vos,,p|écj^éf, ,d,anf lesquels
ypp?i,avp? véçtf au,l|-,efpiSf,,,|)?pu,s éljpns
n^tureUçiinprui, dp9,,pn^f^qt,s de çoléy,e5
9pmm,e aqlr^..,,,»,,,.|Ej
de la ville de
é^iezjfiu,ii'efqÎs
qui é)iez,s,ij,s,^çi^i,,qfnis pa|*,y,o^jpqnséf3^
®i,iP'"'j ''",-1 ''O“®
a. ,mia,i,u,t,ep,|nt ré<^jici,Ué^, j,
l.e,,corp¥,,d,é se chair, par, f,?,, ri)prt,
pour yqus,,faire pftr.aître deyep,t,di)j
saipis...,.» L,es apôtres,de,Jésus,,Pi,eijre,,
3
105
Paul sont au nombre des
sfïfnts, îeependant Rienie a dit à Jésus:
jiSeignenr, ,retiiie-tQÎ de moi. par Je
Sitiivs irai borarue fpéeheun. ,Et Paul qui
se>dit êlre le moindre des sainlSj s’ap*petie lui même f ile premier des pé^
oheurs»; Les saints ne somt donc pas
dps .hommes qui n’onljarnais péché,
D’après les citations que nous venioils, d«i faire; JJ est déjà assez évident
que t’Eerijipre ¡appel le saints ,pq,p pas
seulemqnl ji dpsj personnes qui sont
dans le,ciel» rnais desjpersonnes qui
sonl ipi-bps en chair et eq os,¡pomme
seulement quelques autres faits.
Le roi Dq.yid léprivait:. i C’est dans
les saints qui sont sur la terre... que
je prends tout mon plaisir >. Daniel
annonc8,de terribles persécutions con^r,eles pinlSi,,^ I lerre a visite les
saints qui, demeuraient à'Lydde! Saul
de .Tarse a .mis en prison plmsieurs
des .saints, .mais, devenu saint ui
r,_i/ m;ii|-.fii.-'iùi. i' " '- 'i,;- -,
memo..,i a écrit:,« Prenez part aux
I ••iUlO.'il Mil ! .
nécessites des saints, n et il à luimême fait une collecte pour les saints,
et il à'efê'à JérusaJeni'pour y porter
désyau|™’6^è'8 saints! Rom i'5. II
aàrÀeV qup ’l'’'ôh inscrive au Vôle déS
veuves ia'l'fernmé' 'qui ■'ettlt’c àulfes
cboses , î à '/àvè lé's pieds des skints'ii)'!
 'ia' fîh 'dé''sé.s''îejlrés ¡'Ji' éèfit qUel-J
quefôï's : "«' Saluez '’tou^''''lés ''Saints' jî
* lous les saints vous saluent «. Les
sain'is'né'*'soh‘t ' ¿o'nc "pas sbuléWénl
âans"lé, cièl'"*iïi,ai's il,s éiii^iytii sur là
terre/ avaiil d’en'irér'dah^ iè fépôS dé
iJUii'ei'.ils Vont' siij'éWcôliamé'"l'es
autres nommes et même plus que lès
1111)11'. -•Aliii ■(; ijjcn ',n|a ;i: -, fiJIi..
autres , àux souiirancei de toutes sor
,!) î I !'i |j 11-<1. 'il, .1-. ih.i'.i'lï,- . î-ii
les, et sorloul aux pérséculions. 1 ■
M'i lu f . n .ji;
Ppi .prit dbnc ces' saiiUsJ, Ce|^sont
des pécheurs à qui Dieu à fait la
grâce de se voir tels, et qu’il a at
■tirés à Jésus-Christ, de aorte qu’ils
se sont .sép.'irés d’un monde plongé
dans le mal i et ont été mis à part
pour le,service du Seigneur. No.us
avons tout pleinement en Christ, par
conséquent aussi la sainteté, Comme
S. Paul dit: « Vous êtes morts... faites
donc mourir vos membres qui sont
sur la, terre, * il dit;aiissi: Vous êtes
saints en Christ... sanictifiez-vous. Car
ceuxique l’Ecriture appelle saints,
ne sont,pas ¡encore parvenus à la perfection, ) mais -, ils sont en très dans te
chemin qui, ,y,, mène. Mettez-vous
bien dans Eespi'il que vous êle.s morts
aU| péché, cl que vous vivez à Dieu,
en Jés.us-Chrisl notre Seigneur, Que
le péché ne règne donc point dans
votre corps morte! Paul appelle
le.s chrétiens de Corinthe, des saints,
et ensuite il, les exhorte à ee .«éparer
des infidèles, et â achever lein-sanctification dans la crainte de Dieu.
Les membres des églises de Philippes,
d’Ephése, de! Colosses... sont saints
en iChrist; l’apôtre prie pour eiir,
afin qu’ils soient remplis de la connaissance de la volonté de Dieu, et
qiu’ils marchent d’une manière digne
du! Seigneur.
Si quelqu’un est en Christ, qu’il
sache,donc qu’il est saint, et qu’il
aiiliiconscience de Texeellence de la
position qui lüi est faite en Christ,
afiniqne, mis â part pour servir Le
.Sainliel le,Juste, i.l se conduise d’une
manièreidigne du Maître qui l’a racheté.
iiii.
! au
: / ). ,i
Nécrologie
Noire cher Docteur cliev. Vola et
sa famille viennent d’être profondément éprouvés dans leur affection par
la mort de
r ■ r. ■. ■
Madame Mery Vola née Gay
4
piirvenue à Lnloiir, le 16 dn niois dc
juin, après une'courte maladie.
Madame Vola avait, 63 ans; elle‘a
eu le bonhetir d’élre eulourée* siir
son lil de mort et soutenue par'l'itffeclinn de ses deux filles, les seules
.survivantes de ses enfants: madame
Giordano et madame Qiiattrini accourue exprès de Livourne'pour lui
prodiguer-ses fferniers-soinsi'‘ '‘""'
Nous exprimons ii fa Tafn'ilie'entiètC'!
mais surtout à celui tjWi pitrifubnè^
galion et le dévouement mon très’d'a'ftè
sa longue carrière médicalë'i’es’F ¿t'igé
un momiment d'affection et de re-*connaissance dans lé cœur des'Vaüdois du Val Lusèrne, notre sympîilliie
chrétienne. ' ti. é.
■ ! 5 ;
MADAMR MBRY VOLA néîs GAY
Le 18 juin dès 8 1(9 un. immense
convoi funèbre sé’ formait à Torres
Peilico dev.ani la maison bien connue
de monsieur le chev. ,1. E. Vola, docteur en médecine, u
Les parents, la Société ouvrière de
coûlure avec son drapeau chargé de
crêpe, les ofphelines et un grand
nombre d’autres amis venus de toute
la Vallée se pressaient pour apporter
le tribut de leur-sympaihie et de leur
atfeclion sincère fl ce’ bienfaiteur dn
peuple qui pleurait la douce et affeblucLise compagne de sa vie et'uiux
,antres membres de sa famille.
Mr.de pasteur H. Meille a-présidé
1e culte dans la maison en mettant
devant nous les paroles de la vie et
les consolations que le Seigneur seul
peut donner. ,
Au cimetière Mr. le past. ,1. Roninno
a parlé de la résuri'ection des en fan is
de Dieu en celui qui a dit: «Je suis
la résurrection et la vie; celui qui
bré il* én ' ‘ m o# * v iV t*a% * quà h'd ' noi ô ni«» ‘dl
sefáii fbó'éii)’; té"píi.s'EMÍr''E»'*B. d'Atagj'ogiie a-préserilé aii^Jsi'quétfjueS’f'é^
fléxi’ô'fi-sl éiir ce&"'pia'r'íiléí*''dé'd|tApOéír!lypses Wéitrettk 'Sdni'*'rt6áf' ft'-pèékeïit
les nnoris qui '*metiren'i'*tíü'’Sieigiidii!'|
oui, dif l’Esprit',' &ài‘"ils -sd i%posont
de'ledrR"t'éá‘vaúti ’él iéiirS’WiWels dds
suivent-'' ap aill'itllîi'i :;'d
Qu’’il plarsedajt *Sei^nétffi'dél' béirir
aitò ñd am rtìfeii t lé' ■ pit dé! a lA'aU ô'ti’l d é' ' Isa
PÜi’olé"Ib Vid'pdiVéiclrtítídné 'ffei'A'iiaes
itbrrio'rtbHes 'lqni*’ l’éh'í' eíilbtid(ié''»(itj
'q'à'i"rdnt'"f!Rfe'r' pi''’
'■ntiia =“(iipl-itqt Jii'inéilctií
■I!¡ , - ‘.'Tli !,i ilí() elílua-, vd
Ñoú.-i lisóns''(1kijs',‘|e^
li^l l_|!
r,p n d re s ‘ q íié Te s ‘ p.6,1 yga'rn e s' M'ó'f'iíí^'¿ttÜ
vedi
sóut, ppgrsúi.vi.s ' éti justr¿|i'daiis' lét
propre .piiys.*' Seize d'ènti'’'eiiill'oni''ëté
condamWs‘'a' 'sii' rfi5i.s*“de’' péi^t
à 2500 trs 'd5i^éndé poiir' a^•d¡r
avec plus d’iine femiiié, cóntraiéé
I ..-íiiic U --H'. .-.n
ment aux lois.
' • f‘. '»Jir’ilí 'líj \ In,! '(M ,’fíi!
. Quelques de Agents ont
nussi; parcpnm’re^rament
pagnes dans le bul d eayoler le? gens
r'r , • î I ¡ lu iiù" riPnUi;
simp es qui voudraient embrasser les
-f ’ , -Tj" i'»;» liiuii-ij j:.., i-'.avHav
idées,,de américaine. Mais ces
.¡11!' - '^lîi 'H'-.f; "■'¿î ‘Wt::
n;Qp)fe)iuy,-^ a,pôtres, son Ij i'elpiirn^'
gros,.Jean comme idevan't.Xes V airtÎois
P --.l'o! ;».i()lonii
dçila vieille roche ne se laissent pas
; ■ , ■I.'iu.i;; -.Iivv A»pu--' 'V>r -iioT *
séduire par l’pr de Calirornie, qui du
’ - ‘Il'r :.i[ 'Jiicti fililí ■■l’i tJiMtii
reste,, cpfnmepCQ, ,a manqu^r,,^el .moinp^
epccq:e,pgr les jd^o^dre^ <^e .la.
gaimj.ç. ,E,t en
^ »j|, ce qir.e^
seigiiü noire bobtié vieille Bifcle'nQiis
■ r "niMu; ;'i •‘KunnuT iviliio
sufiit, sans rOue nous allions courir
apres les,|éyé!ations de .fos^^^
ni apres, des agents poligames’d'ii
■' '■cir <0 ' bi'ip lidl
crvplogarnes. , . , »v- b. p,
>■1 ‘i'' ir.dl lllp li i.‘ll-l'jl!;,'iq i'jfi
t,Jiil_aiov ôa 'di iY'Éiv,
5
lv^.
l-il
*97
'tiini'-im‘bqù'etirji,';v -.i!i'i >
'•l'ütfihortrme ilraitailld'.de.lion nmieits
liiin au.U'éi.homrtie: quiivitidahs J’oisiiWé irouvenàüfiedke à lÎpliVrajfei -d«
I pi'emieirî'if ên ifaiiljressoiUii'lés déftiutsî
'il irioiivelqidil >n?ji anîieii de bien, fait
dl iheéilmoqüç'ide'.loiiibni l'i 'i!'
- N’esil^ce pas là une mauMaiée
'Tctionflit )).".'>
— Oui, tout comme celle de qui
se moqueraiL d’un boiteux qui,passe,
(i un vieillard infirme oti a un aveugle.
Ne son.l ils pas , tfes créatures de
lïi'éiiij''n .V a-l-ii r),){s''en''eïik' iitte'^âW
.inainqrjqllq’ qu^>i,,hespin d?
ipqix.,et deib«riheu|v?,,jEt ,Sji i,u,,ii]oq;ves
inèodVehan t'de té ifh(w![ueu de If ouivitage
d’ivn hbmdie, 'çoàn'M.im’IphïS' ¿¿ùpablé
imi
. n ' I i
inarebe
qui ,;ne
sera celiii'i qiii'|.'sfe yéràii" Vn'or/nél'œWfi'lieMi................
Heureux l’homiTie
pornt; 'sutv»nl.''fe coilseil ide.s mécliante
et'qiii lié'‘'s'arrête 'jibihl dahls ia'vàiô
des pécheurs éï!'*qüï'Wc‘¿’assied p'oiri.i
¡1,11,banç ,des moque^urs. (Psaume i.v.1).
■’ ' E. B. p. •
.!!. .wi?.qint.>!(Îi9'„gçindàmbs
* ■ Lé 'viHage de Bo'gari i daris’lé Sulti
hnPFànd^hirèip jouit d’firte* paix que
hbirs idnh-aittirt^'I Iqus'Mes'imimeiânx
ué nb's.i Vallées. Irtiâginez qiie pendarit
'bèrtn'éS' awné'es cé villa|ie n'’a''p'àis
Viï 'en à’Àn'Sein Poüti'bre de’ gêndarrhes.
IP rrVn'>irvait''pa.s ■ bfesbiff' piiisqrieîi le
éi'ime'i'ifesC I généràlehienl;' iincbnwnl.*
' A 'qriô( p'en^ez-voiis! qu'il ÎaÜle
’7UribWéir cês heiiiié!n« (résiiliais? - 'b
lil fait qùfl;da'n.s Ic'vil
hiije'dé' R'dgart k 'n’yivpàside'gufgoUeJ
ta' gai'grillë' n'esf-elle pas’souvent l’é"îule du crime, ta mine des famitles,'
le rèrtdeà Vous de ceux qui apprennent
it malfaire?
I. ''Leq adminislrateiirs.qur unoiiSvi idêlivreraifent' de c&si plaiés félide.s conh
tribueraiant;ilr«s ilaFgqmem au,, bienêliie irà lUi pfospérilél et au bonbawi’
dei leuits-admitiislréîk b’on pourrait
aiors ! ren voyer-, 1 es • gen dar■ reritufS'
■tèS"piùsôms 'i ei,'. danwer ;des<iiyac?in<^s
piusriongites.wanx ,tribun,aiîix.i 'f n.u
-qo i, , ici'.; .;!E.' B.l-pisfl
III fl
iiii I ''il ; iiir. - '.nr.li
ni'c'i Giànüres.'io iummi/.
il'Mif.' i-'-tatiSie'd " '«il '«"'iili r,
Uakpia','l ùn'ciu'i'e^sübn'iÎantdii CbéeliAh
< .p9^'|pi,,pU^sjeurs ,ms.(ilp(rlç^^^^^^
sauve, des eBf3nlSjau,pef'il,qp
l,eqf ,vie, .qiîqs ifUinpie, ,(î(«ewn.(
pii r i i eu I i èreiq UU t,, d iif t i q guqe, i paf,. ,so/f
s,a(ig.-l'|i;pid ,0,1,1,iou ,(io.u,rage. Elle, aV,ail
t|7eize .qni'a,qM .?vec,p,lJe,,,lqfsqu^llé,f,V
peiiçii i, ,q U e, .li .leni péj^q ap,p,rqchafi;pap/dement; .|a maiion.,dieeole,,,éta(t .pqù
solide,aussi, liillail-if ^bsQljJin'^i «
nonçer, à y jtrouvpr qq abri^ ,Mj,ss
Greémah ,,pri,t,nn,e|polote;,de bcellpqiP
se iroiivail souq.s.a rnain, allacbà lés
.......sp,n ||:|i;^st
l,)éjà pofles et, l’anélres volaiienf eh
gelais et, le loit allail s’eifqndfer sou^
la violence de l’ouragan(,l’]nstijlqli:jcq
sortit iinmédialenienl avec' sa i «'*'''»
eqfaqls ,les..ufls,flux,,,a.i,Ur,oS;,’
l’px.trôiq.itè de,J^j,(îcè||e , si
ba,nde,.,........ !i.-,;;uii,i ) -..l "
. Elle porlail dans ses brasiihqJilleiUe:,
la plus ,jeune deXenJanis, eiencouror
genil lèéaiiires de laivoix ; la,maison la
pbis'i pi ochei!.était l à» l('eis iquaotsi de
mtlloj atî il falluU(de i-grands ..p'Iforls
pourl’a.tleindffè. Enfinilousamivèrent
■sains et'isaufs à dexIjiriaMan, non:.sans
grande fatigue poui' la païUvi'È mai*
liesse; qui reçut dèsi loi » plusieurs
letlres de'félicilatiaiis »et .v.hneuf de,T
mandes'en mariagel, U ipaiiail q-t’iliy
ai des igens, qiii estiimeqti qwe,(le song
froid ei le devouementine Sont pas de
irop (dans; lu vie conjugale^ En ¡Ions
cas,' rnijis: Greenian aura eu du ehoix
et aitra pii seiiinonliier difficile »,, , ,
■ill'iii):.)». r,l iiqi Mil I,
;’'.ili;qi;»iî’ti'»i
6
SY«Oi»E,bE'l]'EGLtSKMHB&>DU’CilNTOÎt
Blü iVA't/fa. ‘*J* ‘V liriis^odBj dé »l’Egflise
libfè* "Si »iéjïè dù.iiafti 24'iméi Ô
Môintré nxi< ' ' 1111 n 4Ét-é ! oHwrl ( ipa r ■: woe
piiSdicBlion- !de »Mjiif;. Niæf «bi-pii^sitié
pnr M. J. ' Favrej i piwieiir à J/ie-vey. At|
débUl'¡dé'!la session, celui-ci a rappelé les noms de quelques membres
décédés dans le cours de l’année; M,
Armand NicalfJiMiiJsiflj Faure, qui
a laissé de si léiiiùmes retfrets chez
i espiié.'et 'Eéi, 'Çiiéhoi','’ « qiVl jadis eut
‘Î’ïiônijiépr ’^'é'cportiÎJagn^ U !.'0W^
mond pèéci' reconduit paillés
'd,ti i ni é é ' Cfov^hené sii 'èb m nrt «‘ri èe t
PJ
' »' le l'appbét d;e la bomdiisisibn lytïo
da 1 e, ■ praseh lé jJa i' son pi’és i de rtt' ' M
A'ii‘gust'é‘ ’Bé’ddbi'd'i'î'b'rtcren ‘ pasteur i
édlistaié qiré lés'réceilbls dol^T'èn'l
été dé 159,376 fl’.’l' laissbrH"un soldé
éb T,aîfse' dé' 5S55'îr.“Lè*bùdge'f‘Wé'ti‘i'
1889;é’ ;éiê!fi^é'’à’‘d35;850'irr:'‘‘''' '''li)
‘'»'iie‘'k^nodë ‘à* îidopŸé'' péb'57 ‘Vo'f<
éOhire'7 nnç'proposiliob de M. Gueb-^
lïérUl 'poi'léhl îi^'dOO irMe lOâftelïrfeni
d'és ^aStéüés et'h'fOKJOO fr.‘!a';ibrtiOic
mise 'à' IH'dl^poSilîbir dé lé coinmrsâiéii
slvncidâlé ''poué''siipplémcinis de irai-l
térhëhié.' 'U
» Le conseil de la mission rom'îiridel
dôiW uMi'i' Iei pl-ofess®iiir iReneyier test
prés'i’dbni*; a 'signnlé iPétHiuprogitqssif
afe'toeiieucfiuvre.' 'Lés Idens is’étèvent ^
Sb-WO ‘fianet|i dépbséainl de'^44100ifi'j
lésudépenees.i De3‘'dé4iaiJs ouifieuxdoim
éié'ifb(imisi‘'st]P(lesl sfFdrts desl inàs^j
sionwaires d'Afriqfuei'et gui; leSiiésultirlé'ofblCfiMi. id "i"'| ■
dte mifSBio'ninaif’0 Greupi, présciiU
a'd> Èynode, ' a "ifaifeC'-ismi'-touili ee squi
Ibiiohie il«en'yrèl de:;l'E|ifcei;librei'VSHJf+
doise en Afrique''«m if8?’ ifltéressàtnfc
ci'très isobsianiielueiepoèé. : t i !n"(;
Lai ! quéstiobi ' 'de fa ipa rlicfpat^ion
dcsilferriraies à iit’élecl'ioni des" pasteurs
a été db nfaiiveau-débatlu-e.iiLe isyiiiode
a décidé que la constitution actuelle
de l’Eglise libre n’autorise pas celle
participation.
Kinl
» Plusieurs jfjâléguéiid’Eglises élra''r
gères se sont fait entendre; M. Olivief
Bégiifin i 'ide ’ Néiicbâtel ; uM. uCL léf
Fftiy«., de »Ge-nèivp ; uMoi Gâche,«« , de I®
péi l de t'Eglisie iwissionnaiKe' ibelge*!
leii rév. Fischer, iponiifrl’Eglieeiéoofr
gafee^ iiélîilW. iPhilippeiiBridelv de! I*
pari de l’Unioin idesbEglipestilibrés de
■P'iîanoeiiK. '.mi t'il .-(irj 'v,
( Gaz. de. Lausaiine.jV'>
"Il 'in; I i;‘>Ti
d!è Cincinnati signalé la' présence |
WMliéihson ‘(''Eéfiiuky^ii Eihlsiüfiîs!!
d'un^éurtè prédicateur de é«te Uns qéj
sc 'fmili appeler de Ifiév. Pascal Porter
dcj,Madiseo i^In4iAb|!!i!). C’est,iiin,{ beat!
gprçpn il, l’oeil vif cl clair qui posséd®
une hiémoirè oierveilleiiie. ÏÎ prêché
chaque soir sur un bbirVeaP stijel'él
aiifire desi'fomUs considêralilesi' IE)es
naiinistres qilii ontuvieilli i%u serviicede
l.’EgilifSe deipeuroPjl suépendus à,,seS
lèvres et s’en vont loin l'avis de sop
■ ■ ' Ì ”•! ' i: I! , :;i' r, ni'iii . u,
éloquence. '
Cet ^ehfànl-préd'ical.éilé ' '¿xiálé'-k-ÍÍ
réellerrient?
La Ville des Société&. — C’est Bâle,
rpb^ufâHoÀ^'d’envi ron
qn
40 000 habitants, ne compte pas moins
àfi 6i^ Smét^.t ,Sor ,ce .appiibre,, 1
onf dé(s,( lendaioco$„,parlmn(iôréWe6*
palrioiliquesiou,,pol;iUquçft;i ,16 SbbI
desi wcjétés piliiairnstji;,, iO
d,’éiu.diia'ntfiy,49 (Onfuitiiiiii ca,i('gptê(rn .fi??
senlielleiinen.ii,religieuj! ,.,20
dances, MScjeriiUfjqt)ps,,;56|,s’,qcbupfinil
d’mstruiétioji .étiidfi fitijib re popi4a,ÌFfi*
461 de musique elyde, l^nuit]ai'jls ,.^25
des forces .iphygiques.;,! 48 , sp,tttti dfi?
sboiélés id’ttgréiperU,} 62|fO,i!ij. d|s hu'®
leehniqups fit. éeÓBOrpiqiU(^;j4íd’MO0.l^
pub liquoiy. 53, 4® bíeaJaisa nce, .et¡ ;en lì d
65 caisses .de.-sfioour?. , ni, ,!'n
-----V'•■ii(,Îir,'ii r
■iinttsdmítómc rMs*eji +rfi(ille préfet
de 'polibeildfe Mofeçou' iviéntiuda ri'cd^
7
íi'ft' luo ! diéorei ' 1 mix ' iêrmes tíucpiel
¡pus Ies juifs «résidaniH à-i Moscou,! à'
•HîxcBpltOiï des marchandand« la J"«
jlasse, devront, qniller la ville dans
Idiirsj 'Plus Ide deux- èents 'familles
J'iivéí sdril déjà parlies; elles se ren<ieni'^'iix*Etals-Unis.
uiiK « B • tmw •'
, Timdisfjué: Veihpiré' du ^Bl’ésH viénl
'^l-'doh/ier Ih*' libérlé'á 'pliis d’ün'ü'émi
'•líflión d’esclavés ; la jiajié des nègres
^oniintiç sur la côléôrfenialè du cónWbéni àfrièilid’'Jie'’ci*ôiseiit‘, an'g'laîs,
ie'GflWiei,' à’'dïl s'oüiéiiîr" dei'niêHey
lieffl lin vériUible cornbal cotiiré un
^lissea’rr négrier dont dit pas
;'ealbeuredsèmehli ih rtaÉidtihliié. VainjCus dans le lutte, -tes malelols du
NgiieKIe jetèneot'iàHda ïher.'-'^rf’
Ragner l»]i«0|BifIf9iif|ÍSi<!Unjj,r¿iiíw|t,, à
^’emparer de la majoi ilé des ['ugitil's;
40 riggrés ît’ nioiilé "hiViVlS* 'de soif
fuVen l d eb vjjési d'è ’ I éii i‘s, fe rs ; Cîn à’tii ( l'tí
ná'ídré pon/’siiivi ,p'a'r ’bi Qttrnel'j,''
<*a,vanï de ‘gligner ;lë' laègé’, 'fiit" reir-i
'’ëï-sé' pà'è ün'tíóu'p' dé '’vent' fei‘*'èiv/
800 esclaves qu’il emniehaiti'daqs' Ka
calé,b8 seiileménl '‘piii'eul,’être ,rc
pêchés! , , ,
I''' . ' !t¡ 'iiurirj'rf-J f.t
;ii¡ u:< T
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Inalili.
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•.|,PaiiABRT(.if.-f77 biiqmiciiê. ,soir ,ji7
Çourqnt, -goe atp.mbrpuse, iassemblée
réupiswU.gîtns, in grande éçoie d»
uoq1î^lfe^|,pou,r efgeniJrg Iq t'épi,l | 4®-!p
Wjodpiiipn s tjps., ijj.?,sj;pg|S I^prniiqs ■,ap
bnorador, .failjipagiiip, des| ,V{]enn|),re4
bqnpraireis. de,la .sqpigig,pii,sf,tognair|ç
P?T« de/,,for>îp,yOi Ipn.jfpp ,.ngtp, ,pii
: qqe Ip >prgqii«i; çhfimpioin de, pe,Ue
: Sipniejiae; iWi^sipn fîpan-phi;^^^^ Ebt;,-;
i '‘a,rdi, dut:fièe|)pr.<^p'n!,lf-inpignàg0 avgc
^9q,sa,qg, fisr'.ilrmqurii.t'jfiveç ,6 pde
.cpptpagnap^,rra,p.pé. (jselon;|oi|l8
'H'parence) par la main des Esquidiaui
,p,pg .de l’endroit où
s élève niainlenàni la station de Hof'^ëruhai!'"''"'''V;'''- -''"a i
La collecle faite à l’issue du service
P*'r le Docteur Lanlaret en personne
'^onna la bélle'somme de fr. 16, 'qué le
soussignéra ivemia iau Président de là
Sociéié PraifeiiForwo pour les tuiçsipuai
el dônlfdl ihemeroie eordmleigent les
dPnaleiU'S.’ rl ; ii!' :. D, .Phyrot. ■ <
i,Vt, ,.tr
!/■.
(iii ]ii;
po
I”! ’ ll'Vl' . :|!i I ;:;l
Déni empereurs descendus .dans,,Ja
lûpnbe, dans l’espgpe,de 8 mois! Ijeiix
fois, dans le mêfpie espace.de temps,
une'^puissiinte. nidlgn el,.l’ÈgropÌ3 .entière, avec,'élig. pÏQijjiée,jdans''i.{| '^ÎJefill
et.lif ns,lerggtiçnl^,
[ Api’ies, Je mclorieifip e,mpereu,r, J enj,|
pereùr martyr et à leùr,'pJacg sii'r .I,e
trône glorieifx, des Hohenzpllèrn,- laiidls 'ùiié léi icl'|iihles dé 1’à gu'erPe 'çpnl
I pi h, méVi'é d,f ¿s! é'é's lì ù'J e ftii'è' Edi pereW é
san*s"gi'‘andè exHèlletite et d’^lVù'nVélül
PIU tl ' béI d II .^'e.'toiJ à' ’lé " iti0n’dé p,o
fi'iiqué'!"’'’ ....: f.: I
.Couronné le 9 mars de cèité iiHnêe',
à'pTè's''99 jôiii's ‘fie règne, âgé'"seulernérlt 'dé!'57''ansj' FbêdérÎé 'll|■’’s’éiei‘
gdai'C/'SgnS^ agortié',' le T5, Cl ' vel’S ibs
ll"h!* dù rtialin. ^ '• ■
llliislre gériériill iUiqiiel l’Allefè'aghb'
éjait redevable, en grande' (yariié, de
s‘e^' 'bi^llahis et ' rafiideS triomphés! dfe’
î866'ét*dë '187Î947i efeependéii! grttrid
àibi de* là’'tiiùxl plWÎeeteiïi’' flUifniTlé
des'''Sôk'ilt'es et dès arts,1 péiHéè libéral
et populaiie partout ôù'Sén’aiôrtl'était
connu, sa mort, quoique atlendiie avec
anxiété, depuis plusjoFirs: mo.is /amélé
aoeùeil'lte avec d’Ouletrr pins crtcoreque
cell'È 'de' son' glorieux pére.'i ' ""m
éptièré pbrié'.l'' 'à'Véé PJ|îlèr
magné, le deuil sur ce gr'àiijd''|\'p,pf
iiarquü qu’elle poiiy.a.ü, aussi bien que
son aimé souverain Umberto 1, ap
têtes couronnées.
Il y a nn litre de gloire qui ppur
nous lé M’éhatissé' bliis 'énc'oré' dans
tìottte'estlni’è, c’fesi rbéroisme ¿Hrétieiii
dblif'il q'su donner de H/'dniiiàblès
pirbdvéfe' bendéni fe'iôtigfieél ei'.cVliélles'yôùffran'ce^'''" •
’ GravémenPWiiâlàldeîâ S^."Rè'Wè', idéjà,
quoique 'la' c'Ptiiè'ribtì" gloHèu'se ’dbni
iP'cfeigitail ‘soh'ifrdnl- Ife ^ 9 Ùihrsi''ail
été' “iine'l’éHtablIè rrvuróttiie rt’-épines'y
une tVoix ,"il l’à portée jusqu'à ia fin
8
2»
aved' un ¿akiné! et’uno='pési'gnalion sublime,"dubliawiiSBS souÉPraot^s ¡boHÍ*^
e n co u i'fcgei^ ' e i no ns« I er ssa fn rh i 11 e Ib ! o ^
réei l'Unjbutls soumis à la voionlé'.dé'
Dieu, riiériSant à tous égards l’éloge
que lui adressait un journal Allemande
* il a'i suj^pBO^I’té',sês sonffran<c|| avec
une constance admirable et liñe foi
éheí’tfíqué'Rd' Dién *1
.nè' ci'ôÿbbs. pas *'qli’ij ÿ'^i'l’
aucVidè vaptcijîe' d‘àn'sl''cé's rbots qU’il
traçai t' qüélqUds 'jpih's ayilrtt sa rtiorf';
fàit céd}ui'élait'en'lhon pouyOi'r
pour accomplir mori'deVolf ébVerS DjeVt
cl' éhvèi's’ ' la'pâll’i'é.V.'.'' l;t volonté' de
bie^i''so'jt:, fai le''.■"'''’'j
, bar oV<ir!e^,exprés àu'dlrunl. lés fiVfi'àra il l,e,i^, q upi qu e é x | rapid jhairemeqtimppspniçsj'se-sctpi pijles; saqs^pbrnpé;
tei} sppvqrains, à|fiéf!,,pin' paretiié
il la nimillé impérialeayarii elé inviléîl
A.,y„ppr!içipe!|. .......... "
,be nonjfel eijipereiir tViiillaume H a
reçu, ;ienjjnremiébt'l des,,irpupes
adressé ses .piroclames à la, niUion!<j)r
lemande , à l’armée ¡.et, à |ai flpilet
Qn q i que i jl-1 soj l, ,çqn n q, pour son, : h li meuriigueiTière;, ces,divers pr,ocl:unes
respirent, pourtant avec une grande
piété, iine.sincèife espérqpceidans le
maintien de la paix. L’Ëqi'ppe avait
.besoin dlunoi parole impériale pour se
ritseuricri à|,eei,
■.!. 'P,: r l'I
TTr
'ERftATA'CORRitlR i‘-i— Notre corréspon"
liant Cl A. Trou nous prie d'ajouter.laux
noms des Riigenls-Evangiiisles, doiU parle
5.H cerrcsp.pild.'tncii ipsérfie'.pims ](jj|difntier
N, du ,'rràm«, colui de Ab IV .reÿrol’de
IVaiise'rta,' ' ' '‘U "
'¡1. . I un; , ' aiü '.im;;
i'olrffliié ili "San'fief 111 lido (üiisiiílé. ¡
. -.'ritlI'íi iHll-l -■ll'll
"fwí uij. '! i.ijd,. '•dr ')iiii ‘'un t;, / 11 j.
óR;-'RqMn,.íl „.<'fíl]cq!'ím.,;a!,,pq#lq,„di
■»!?.'» I'tít 'UI-- t;n-, jr’iT r li'Tlí
'í'dt'tíli'b per?«
r.i,iji;Hl«!j^Jiiicj iurjc; .iij,,.ijjicsip' Coiimnje
óo||p,slipébdio ilegiile,, pagijibile a biy
ineslri posticipali, oltrq l’,al|pggio.,.J
,É;l4i domande dQyrab,B:0|.essei;e!;-Gerrpdale dai docnmenli presci(i!lir;dali’ar¡
licolpi|9, del negoiamoiiio íipprovatb
con ;Ilegio Decreio 11 .ottobre ,1885
3496 ( Serie 3® ) e. saranno dirette
di. SindacoisoUoseeiüOí'noblipiii. lard)/
del.iS agtí,st® proasinio.. i!n¡ <->í : mi'I
La nomind íiseguiiiú a.litermipe dij
legge. ■: iIV r.l Ir.riv.il, ■"'''''j
S. German®-Chisone‘i!l4 gibgno l3Sei
i ';¡',IL ¡SiNDAGOIiM;
..•.ii)M-,-,i.,RÓ3TAN¡.ird'
,Un Ut fill ,liîiViPP,W', lì .¡frs:!,,.,, r.
la||douiíaih.e.:;í6ppri la de,mif,
d.ouza,me i longiieiir mètres ifliil
g;eur mètres,,1,,25; ¡ i".,,- ■■Mujoo-!
^’adresser.,â|,la,D!itec|ipn,.d,e |,i.Qrn'
plieiinalj.Vaqdpi.s de ,f,pr,re' ,rpll}eç.,,3■
K il -I l I lA
“r
lîi. ii.iiî ;'.J—r^ünl i; ifici' H'.'.*
Avviso di COIiCOI*8Ó!^—Costriâ'
'■ zlone di mi fhtibi’icfttoi
y,,$í' rende, nq.to cii'e e, apéi^íó^íí'popf
corso , pprj' la ' CQs;iriiiziqné,., ip '',t.oi;r<
Peliicqj(é iq faepiq, al, ,Cpj'(cgiq), pq
fa b b ri Cil 10 d e n 9 n i i 11 al 0 ( '-a s» , v a,Îq oseDèlio concor.so snrà,,djvisp i'n tre dj,
slinli a^alti,:,,,,^^ ijj
.... iq,Oper,e.anorarre,,per,,,-í 'oipoïie
di L. 35000; ' „y,
2“ Opere da falegname per rimporlo di L. 8500;
3° Ferramenta per l’imporlo f*'
L. 5'iO01 l'imariéndò ii carifeci ifêfbAmmislraziorie la costruzione ad eco
nomia di altre opere.
Il còncoiA'ó fir lefi'à medifinlc'séhéde
ségrele, che verranno , cdirtscghaié‘"'ii
iriarii" de.l ’Cfiv. ’ evv.''‘Ó'ids(iè''VoN 'è.
aceómpiignafc d/i'f'debOs'i'tloi'dì 'L'.;5flq
(Jèr. Itì'Op'éi'e miifaHe e di'L'’'300'p'er
qué i I e ' ' tì a fii l'ég bài nei ' i 1 f 'le m p ó "■ ii'ii 1^
per 1íi''6re¿'eniaei0ne 'di fieffè' séhedi?
e;fissii|o"a IUtlóbiP28 éOerènle;' dovèbdo'sì’ ir'jHdi'rio' di"védërdi 29' sdè'
cé.s'sivo' jirocédèi'é preVì'A'adè'rl'brà dellj|
sc'hedé' 'a IbàgèiddiC'azloHe 'deì“làvorì'-",
‘Il 'pròj/étio 'è bàpUòlàW sèhó vièi'
bl li' dr'é^sò I geòmetra ' AVASsOl"',
''"TOiVéjeéílicc,' )!**ft'g’ii(i;nò Ifess.' '1.1 " '• è,
f^ér ‘M"Tdiló¡ta fàìdese'‘ .
• l.iH 'll) tuiih'.i.' 1,1 iurii'.iim IH,
Tron, SegrelanOj.^nn'ij
a ' Ea'ifiiìsr OVi'itfji/'.iì'' ''J
■ i- ■‘f -M-ntfi
>1 Pipefol, Itnp. Gtiianlore-Matì(iareHi..ial’'