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ANNO LXXVI
Torre Peilioe, 18*'ottobre 1946
Sp-tí, Società Studi Valdesi
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N. 41
Nulla sia più forte della vostra fede! •
(Gianavello)' SETTIMAHAtE DELLA
ABBONAMENTO
Italia : Annuale
Estero : »
. . . . L. 150,— Semestrale L. 100,—
. . , . . » 300,— » » 175,—
Ogni cambiamento d’indirizzo costa Lire Cinque — La copia Lire 4,—
^ ^ ___■_ Riguardate alla roccia onde foste tagliati
CHIEEAVALOESE ,, isaia Li: 1.
REDAZIONE : Via Sibaud, 7 - Bobbio Pellice
AMMINISTRAZIONE : Via Carlo Alberto, 1 bis - Torre, Pellice
Q.
f
H
“La Parole de Dieu n’est pas liée,,
(Il Tim. 2, 9)
Nous venons d’avoir le privilège de vivre
pendant huit jours au milieu du peuple de la
Parole de Dieu ; les Vaudois du Piémont.
Nous avons pris part à leur Synode annuel,
assisté à leurs délibératioins, échangé des
conversations privées, visité quelques unes
de leurs paroisses.
Et nous avons reçu une leçon de foi et de
fidélité à la Parole de Dieu toujours libre et
vivante. Cette leçon nous nous sentons pressés de vous la transmettre.
Aujourd’hui, comme dans le passé, comme au temps de l’apôtre les hommes peuvent
tenter d’empêcher la libre proclamation de
l'Evangile, de lier la Parole de Dieu, mais
ils n’y parviennent pas, car il y a en elle une
puissance invisible : * « La Parole de Dieu
n’est pas liée ".
La deuxième epître à Timothée est un des
éprits les plus récents, du Nouveau Testament. Selon toute probabilité elle date du début du Ile Siècle. Après une période obscure, l’Eglise chrétienne s’est établie sur tout
le pourtour de la jVléditerranée et elle s’est
affirmée. A cette époque régnait dans l’Empire romain un synchrétisme religieux. Les
religions et les mystères orientaux ont fait
de nombreux adeptes. Le padthéon romain
s'est ouvert largement à tous les dieux éirangers... à une condition; admettre le cube
de l'empereur divinisé. C'est la religion de
l'Etat totalitaire.
Or la première Eglise chrétienne s’est
montrée intransigeante sur ce point. Fidèle
à la Parole de Dieu elle n’admettiait qu’un
seul Dieu, celui qui est dans les deux et sur
la terre. Alors la persécution est venue de la
part des Juifs d'abord, puis des Romains et
des pouvoirs publics.
Cette Eglise méprisée possède une puissance étrange, elle porte le flambeau de la
parole divine. Elle se dresse devant l’intelligence grecque, devant le fanatisme juif et
devant la puissance totalitaire de l’état romain.
L'apôtre, chargé de chaînes, est jeté en
prison. De là il annonce à son serviteur Timothée qu'un même sort l’attend. 11 ne kû
cache pas la réalité. Car il y a un antagonisme foncier entre l’homme naturel, égo'iste,
amoureux de la force et de la gloire humaines et l’Evangile d’amour et d’oubli -de soi et
c’est pourquoi l’homme veut lier la Parole
de Dieu qui l’accuse. Mais il y a en elle la
réponse aux aspirations profondes de l’homme aux problèmes qui le tourmentent et c’est
pourquoi elle reste éternelle .Sa puissance
se rit de la colère des hommes.
Au fond de sa prison, l’apôtre ne se lamente pas*, ne supplie pas, ne se livre pas
au découragement, mais son regard de prophète se tourne vers l’avenir. Il voit les civilisations èt les régimes se succéder, monter à leur apogée et s’incliner vers leur déclin. Il voit Satan lancer les hommes les uns
contre les autres dans une lutte fratricide,
élever des bûchers, brûler les témoins d© la
Parole de Dieu, tenter de lier le message
chrétien. En vain, oàr «la parole de Dieu
n’est pas liée ».
* * *
iCette vérlténlà vient de nous -apparaître à
nouveau pendant ces huits jours que nous avons passé aux Vallées Vaudois*es. Ce peuple vient d’être lié. Les pans de murs noircis de ses maisons, les petites plaques ap
posées contre les murs marquant l’emplacement de la mort des martyrs nous l’ont redit à leur façon.
La libération est venue, mais, hélasi la
lutte pour la liberté de conscience reprend
plus ardente que jamais. On veut museler la
prédication de l’Evangile. On veut lier la
parole de Dieu. Les subsides accordés pour
la reconstruction des églises sont refusés aux
Vaudois. Le cléricalisme tout-puissant relève
la tête.
— Mais la parole de Dieu n’est pas liée.
Nous avons trouvé une Eglise vibrante, prête
à témoigner de sa foi. Il y a là-bas des âmes
tourmentées qui ne se contentent plus du
dogmatisme rigide de l’Eglise établie. Dans
cette Italie blessée à mort, déchirée entre de
nombreux partis, déçue, parfois désespérée
s’ouvrent des perspectives magnifiques pour
la proclamation de l’Evangile. Une poignée
de témoins résolus se lève et apporte la parole de Dieu qui ne peut être liée. Ces frères sont conscients de leurs responsablliités,
ils ont refait l’expérience de leurs pères, ¡"s
sont revenus aux sources; la Parole divine.
Pendant l’occupation, furieux de la résistance rencontrée, les Allemands out brulé la
maison d’un hameau, après en avoir chassé
le couple de vieillante qui l’habitait. Le pasteur est monté vers eux, il les a trouvés,
contemplant la ruine de toute leur vie. Mais
là, sur une chaise contre le mur, il y a la
Bible des pères qu’ils ont sauvée du feu.
Ceci est un symibole, ceci est une image :
la Parole de Dieu passe intacte au trav^
du feu. « Le ciel et la terre passeront, mais
ses paroles ne passeront pas», a dit Jésus.
Maurice Gardiol
pasteur de l’Eglise Nationale
du Canton de Vaud.
(Extrait d’un sermon prêché à l’Eglise de
St. François à Lausanne) .
Ai Giovani di buona Volontà
L’ora attuale è grave per tutti coloro che
considerano con qualche serietà la crisi immane che travaglia la nostra civiltà; ma è
grave sopratutto per i giovani che si sono appena affacciati sulla scena di questo mondo
fisico e si trovano di fronte ad una nuova
esperienza di vita.
Questa esperienza piena di mcognite ha per
loro, come per noi, un significato personale,
in quanto determina il loro futuro orientamento nella vita, ed un significato sociale,
perchè su loro gravano l’eredità del passato e
incombono le responsabilità deH’avvenire.
La nostra gioventù soffre moralmente ed è
disorientata spiritualmente. Il malessere che
l’agita e la travaglia non è dovuto unicamente aH’ingratitudine, alla sete di godimene,
alla leggerezza d’animo, alla posa puerile dell’età ; ma ha cause più profonde nel marasma
generale che ha colpito alle sue radici l’albero deH'umanità e si manifesta con fenomeni preoccupanti nel campo sociale, econo. mica e politico.
Lo scetticismo dissolvente, il realismo freddo e duro, la vita fittizia che dissipa beni ed
energie, il disprezzo della coscienza e della
dignità umana costituiscono un malsano ambiente pedagogico, In cui si deformano i caratteri e periscono gli ideali. La pianta umana non vi può pros*perare; essa vi è condannata a pietose privazioni materiali e spirituali, che si ripercuotono sui suoi futuri sviluppi. L’esistenza anormale che meniamo da parecchi anni ha prodotto un abbassamento della vitalità umana e della.sana gioia di vivere
per progredire.
L’educazione che si impartisce alla gioventù è spesso pretenziosa e complicata, ma
rischiara poco il sentiero della vita e non
tempra le coscienze per le lotte dell’esistenza, in vista di una mèta chiara ed eccelsa
che giustifichi questo patire terrestre. L’insegnamento dispensato dalle istituzioni umane
in generale : religioni, scuole, università, ,
riempie spesso la testa dei giovani di molte
cose superflue od anche dannose; ma si rivela inadeguato ai bisogni dello spirito, incapace di gettare le basi solide di una sapienza
spirituale ohe abbia « le promesse della vita presente e della vita futura». Coloro cui
incombe la grave responsabilità di illuminare
e guidare l’anima umana sembrano ignorarne
la natura e gli alti destini.
Dopo tanti secoli di ricerche e di costruzioni pretenziose, le dottrine ufficiali proiettano ancora una luce incerta sul mistero della
vita e della morte. Ed è precisamente a questa carenza di luce spirituale che bisogna attribuire gran parte dei mali del nostro tempo ■
rincoerenza delle idee, il disordine delle coscienze, l’anarchia morale e sociale.
« I padri han mangiato l’agresfo, e i denti
dei figliuoli si sono allegati ». L’antico detto
ricordato da Geremia si avvera ancora nell’esperienza di questo tempo. In ogni società
la gioventù costituisce il banco di prova della massa perchè ne riflette tutte le virtù c
tutti i vizi. Una società non si trasforma con
delle leggi e degli ordinamenti esterni; perchè le leggi e le isiituzioni umane valgono
ben poco, se non si accompagnano con un
rinnovamento più profondo delle coscienze, '
in un clima di schietta libertà spirituale.
Perciò il problema della, rieducazione della
gioventù, per preparare le basi etiche di una
migliore società, si risolve nella necessità
di un rinnovamento del pensiero religioso nelle nuove generaziioni. La massa dei tiepidi,
degli indifferenti e degli agnostici va aumentando in proporzione diretta con l’irrigidimento dommatico delle chiese e con l’azione
corrosiva delle dottrine materialistiche ed utilitarie. Fra i giovani che si occupano seriamente di problemi religiosi, si delineano tre
correnti ; gli uni, troppo timidi per slanciarsi
in alto mare, sono diffidenti verso il pensiero
moderno, e si trincerano prudentemente nelle tradizioni delle rispettive chiese, formando, le forze della reazione; gli altri, appagandosi delle negazioni di una critica
superficiaie! rivolta specialmente óo>itro le
degenerazioni clericali del pensiero religioso,
deviano verso lo scetticismo, ed il dubbio,
disperando di poter salvare qualche cosa della fede tradizionale; altri finalmente non
si perdono d’animo in mezzo al caos della
presente crisi, ma cercano di aprirsi un sentiero verso le vette di una nuova certezza di
fede, dove l’erediità del passato si combina
con le conquiste e le aspirazioni della presente età.
Le nostre speranze per l’avvenire si appuntano risolutamente su questa minoranza di
spiriti vigili e coraggiosi, che abitano ora in
corpi giovani, e pieni di slancio fiducioso ; perchè è precisamente mediante questo manipolo d’avanguardia, volontariamente sottomesso
ad una severa disciplina interiore, innamorato della verità e della giustizia, che si sta
compiendo l’evoluzione più interessante di
questo tempo, da cui uscirà il pensiero religioso di domani che cambierà la figura della
nostra civiltà.
4* li* ÜI
Giovani che per caso, forse distrattamente
ascoltate questa voce fraterna, domandatevi
con quali forze volete affrontare le formidabili incognite di un avvenire gravido di fatti.
Sarà con le formule del passato, logorate
dalEuso e dagli avvenimenti di questo tragico periodo storico ? Badate di non legarvi ai
feticci e alle mummie venerande. O sarà con
le formule nuove, dalle quali sperate miracoli e palingenesi meravigliose? Non vi illudete, le formule aggiornate non possono cam
biare la faccia di questo mondo se non sono
vivificate e potenziate da forze spirituali che
solo le vostre coscienze possono elaborare
sotto la guida deirEterno.
Non affrontate neppure l’iavvenire con l’amarezza, il disinganno, il cruccio ed il pessi-.
mismo. Le forze negative non costruiscono,
ma demoliscono.; rindifferenza e lo scetticismo non sono stati d’animo propizi al progresso in alcun campo., La vostra istintiva
protesta contro rimbastardimento del Cristianesimo storico non vi conduca ad accettare ad occhi chiusi la pregiudiziale dell’ateismo e del materialismo pratico, ma vi sospinga a porvi molto più seriamente il problema religioso della vostra esistenza, e domandatevi : Donde vengo, che cosa sono, dove vado?...
Se volete avere una ragione di vivère e di
sperare, prestate ascolto alla voce dell’antico savio: (( O giovale, ricordalti del tuo
Creatore nei giorni della tua giovinezza, prima che vengano i cattivi giorni e giungano
gli anni dei quali dirai ; Io non ci ho più
alcun piacere».
Forse taluno di voi dirà : Chi è il mio
Creatore? — Il tuo Creatore non è un idolo
od un feticcio, davanti al quale tu possa piegare il ginocchio e recitare delle preghiere
inutili ; non è neppure un « dio » antropomorfo, simile ad un sovrano seduto, in qualche
località dei cieli, sopra un trono immaginario,
e di cui tu possa implorare le grazie ed i favori, con sottile egoismo. Il tuo Creatore non
è in un luogo particolare, perchè il suo Essere abbraccia contemporaneameinte i cieli
dei cieli e la piccola terra dove ti trovi, l’astro e Eatomo, ri.nfinito e reternità : Egli
vive in te, e tu vivi in Lui, perchè tutte le cose e tutti, gli esseri una Sua manifestazione. Egli è la Vita e la Legge della vita.
Nell’Universo visibile tu contemipli un lembo
della sua veste .fisica ; ma se lo vuoi tiovare
e conoscere, rientra in te stesso ed ascolta
in silenzio la Sua Voce nell’intimo santuario
della tua coscienza.
Allora scoprirai la sacralità della vita, e
troverai il sentiero che conduce alla conquista della libertà e della giustizia. E su quel
sentiero troverai il Cristo, la divina Guida che
ti additerà la vetta :*( Perfetto come il Padre
celesto è perfetto ». Tale è la mèta! In questa
divina follia del Vangelo, v’è qualcosa di
grande, di austero e di audace, di forte e di
amorevole, ohe s’addice ali’anima dei giovani. Certe religioni sono buone per ricoverare i vecchi egoismi, il bigottismo senile, le
puerili superstizioni, o ancora per sottrarre
ai rumori del mondo i cuori disillusi, o ancora per addormentare dolcemente le coscienze;
e le intelligenze. La vera religione del Orti.
sto proietta la tua esistenza nella realtà eter.^’
na deiriddio-Spirito, ti spinge all’azione, 'tP
rende energico, vinile e giulivo, anche in
mezzo alla tempesta.
Ricordati dunque del tuo Creatore, negli
anni generosi della tua giovinezza; non sciupare i talenti che Egli ,ti ha affidato, ma mettili in valore per il tuo bene, che non può
andare disgiunto dal bene dei tuoi fratelli.
Oggi, se odii la Sua Voce, non indurire il
tuo cuore!
FRANCESCO PEYRONEL
‘‘LE MIE MEMORIE
DI GIOV. RCSTAGNO'
99
I
Nel nostro piccolo mondo valdese sono rari
i libri di genere autobiografico ; se non andiamo
errati ve ne sono soltanto due : « I ricordi di un
bisnonno » di Amedeo Bert ed il lavoro recentemente pubblioato che qui vogliamo presentare dei
Prof. G, Rostagno (1).
In ambedue i casi gli autori sono stati uomini
che occuparono posti importanti nel nostro Movimento, che vissero in mezzo a circostanze molto
interessainti e ohe erano dotati di speciali doni
di narratori, onde siamo al essi riconoscenti per
i loro scritti. Una autobiografia infatti non solo
rivela 1 indole, il pensiero, l’anima di un uomo
meglio degli altri suoi scritti, ma fa rivivere dinnanzi ai lettori, con particolare vivezza, M periodo storico in cui egli visse e le vicende ohe lo
caratterizzarono
In questi brevi cenni sul libro «Le mie memorie» del Prof. Rostagno il quale fu pastore fe
dele nella nostra Chiesa e per 32 anni insegnò
nella nostra Facoltà di Teologia ed il quale ebbe
doni veramente straordinari quale oratore sacro
e scrittore, vogliamo acoetimare ad alcuni fatti
che jl libro in modo particolare illustra.
E prima di tutto 1« formazione spiritUBle di
Giovanni Rostagno. Vlen narrata in molte pagine
di cui racoomanidiamo specialmente la lettura ai
nostri fratelli delle Valli.
Iniziando il suo racconto, il prof. Rostagno,
parla dei suoi avi provenienti per la linea patema
da Frali e per quella materna da Bobbio. Salde
figure di montanari valdesi di cui alcuni preziosi
elementi di carattere rivivranno nel giovanetto,
ricercatore appassionato della Verità e scrupoloso
nel seguire la voce della Coscienza.
A lungo poi l’A. paria di suo padre che per
alcuni armi, prima di essere immaturamente rapito dalla morte, fu pastore della nostra Chiesa
a Guastalla, Verona e Livorno e che d ha ia-
2
L’ECO delle VALU VALDESI
sciato una preziosa espressione dedk sua fede nel
ben noto inno Oh beati su nel cielo...
Rimasto orfano in età di tre anni, G. Rostagno
fu allevato dalla maidre e dalle zie a Torre Pellice ;
nelle pagine de Le mie Memorie abbiamo una descrizimie viva e quanto mai preziosa dell’ambiente
di quella cittadina negli anni che vanno dal 1875
al 1890 : un ambiente in cui, co} Pastore, collaboravano ail bene spirituale della popolazione molte altre persone, professori nel Collegio, maestri,
signore, tutti animati da vivo zelo; un ambiente
in cui i giovani si seotivanò circondati di affetto
e spinti quasi inconsdamente verso l’Opera del
Signore.
Nella sua Torre Pellice, il giovane Rostagno
udì la voce del Signore che lo chiamava a servirLo nel ministero e prontamente rispose all’appello; perciò nel suo cuore il ricordo delle Valli
sarà sempre strettamente unito a quello della
sua vocazione. E per quanto le circostanze lo abbiano poi obbligato a vivere lontano da esse,
egli rimarrà sempre il figlio dei suoi monti, profondamente conscio del posto speciale che i Monti
Valdesi occupano nella Storia religiosa della nostra Patria.
Questo sentimento che fu in lui molto vivo
come lo sanno tutti coloro che goderono dei privilegio della sua amicizia e della sua conversazione, egli esprime a pag. 296 del suo libro in
un modo che non si potrebbe desiderare più limpido ;
«Noi saoriifiohiamo troppo spesso il nostro nome di Chiesa Valdese suiraltare di una Alleanza evangelica maile intesa e pe^io praticata. Siamo fraterni con tutti, coltiviamo nei nostri rapporti colle altre Chiese o Denominazioni in Italia uno spirito di comunione sempre più intima...
ma facciamolo conservando il nostro carattere, le
nostre tradizioni, i nostri metodi. Quel carattere
si denota con un nome ; il nome di Valdesi ; e di
quel nome non abbiamo il diritto di disfarei còme
di cosa vecchia e disutile, sopratutto se pensiamo
che quando i nostri padri lo ricevettero, il battesimo venne fatto coll’aspersione di un sangue
versato per Gesù Cristo e per la libertà. L’esperienza ci dimostra che oggi a Roma il nome Valdese è tenuto in simpatia ed onore, presso i nostri concittadini intelligenti e spregiudicati, che
esso è garanzia di costanza, d’amor fraterno, di
carità di patria, di fede e di serietà religiosa. Ricordiamoci che in tutte le nostre opere dobbiamo
servirci dei mezzi umani che Dio mette a nostra
disposizione. Il nome, ohe per la sua grazia è
stato a traverso i secoli corservato puro come la
neve dei nostri monti, è uno di quei mezzi. E
potremo servircene a fronte alta quando sapremo
dimosU'are che se i padri sono stati degli eroi i
figli non sono degeneri».
* ♦ *
Questo carattere fortemente valdese del prof.
Rostagno non significa però che egli soffrisse di
spirito regionalistico nè che rimanesse chiuso nell’ambiente delle Valli. Pochi uomini nativi delle
Valli hanno anzi saputo fondersi come lui cogli
altri abitanti della Penisola.
Lo «ffmostra per esempio la mirabile conoscenza ch’egli aveva della lingua italiana. Prima di
andare a studiare Teologia a Firenze egli aveva
seguito all’Università dì Torino i Corsi di Arturo Or^ ; più tardi a Firenze segui qu^li di
Guido Mazzoni ; e da questi contatti con letterati
di prim’ordine ed a mezzo di studio assiduo, egli
giunse a possedere quel suo stile cosi puro e
scorrevole che era uno dei grandi pr^i della
sua predicazione e che ritroviamo in tutti i suoi
scritti. Si sforzò poi costantemente di avvicinarsi ali'anima dei suoi connazionali studiandone
la storia, i monumenti, le manifestazioni religiose; specialmente studiò le manifestazioni del
Cristtanesimo in Italia nei tempi più antichi e
tutto questo perchè egli sentiva la necessità di
parlare agli uomini del suo tempo un linguaggio
che essi potessero comprendere, che li afferrasse e li conducesse aH’Evangelo eterno. Rifuggi
sempre da quel frasario e da quelle forme di
pensiero che tradivano la loro origine forestiera.
Tutto questo, unito a quel senso di viva simpatia umana ohe era in lui così abbondante ed
al bisogno di aiutare gli altri, specialmente quando essi eran maggiormente bisognosi di aiuto, fece si ohe egli potesse entrare in relazione con
un gran numero di persone non appartenenti alle
nostre chiese e recar loro la sua parola di conforto c di incoraggiamento.
Molte di queste sue preziose esperienze cgl
racconta nelle Memorie ed esse ci fan del bene
e ci aiutano a vedere sempre meglio quale sia la
nostra vocazione di cristiani. La stessa open di
conforto e di aiuto spirituale il prof. Rostagno
la compie poi largamente a mezzo dei suoi libri
di cui, il Più presso a Te Signori è probabilmente letto più fuori del nostro ambiente che in
esso,
* * *
Della sua opera di predicatore e di formatore
di predicatori il prof. Rostagno non potè .’a dare
un giudizio perchè in tal materia son giudici gli
uditori „anziché quelli che parlano. Ma egli ha
fatto una cosa molto utile in queste sue Memorie : egli Ci dice come preparava i suoi discorsi :
ci lascia comprendere da quale sforzo di pensiero, da yuaJe intensità di preghiera essi sgorgassero e ci mostra cosi quanto sbaglino qael'i che
ccmsider'ni il predicare cosa facile eh: non esige salda freparazione e continuo lavoro.
Simile ad uno scienziato ii quale, non contento di esporre ai suoi studenti i risudafi deile sue
ricerche, li conduce con sè nel suo laboratorio
per far Itro vedere minutamente tufi i processi
a t:ave-so ai quali egli è £,iu.nt< alle sue conclu?” ni. ti pTff. Rcetagno m questo libro ci con.titcc
nel labwatorio ove M pastore si prepara, ci most:a le tue ansie, il suo travaglio spirituale che
di rado il pubblico ctwnprenfc il peso della tesponsab;i,ta, il senso della propri i debolezza di
'yh:- ■ ' ' '--iK'.
,i¿*roiiic ai è' necessità délTopera. Tutto questo pary ticolarmente sentiamo nelle pagine in cui egli
^ ci parla del suo lavoro pastorale a Messina ed a
.à-- Roma e del suo insegnamento di leoiogia pratica ; le nostre chiese nella suà limpida descrizione, ci appaiono quali esse sempre dovrebbero essere ; dei centri di vita spirituale in cui, è 'noito
ìaènitito il bìsoglio diella testimlónianaa e 'dove
nessuno è pago delle posizioni raggiunte, quei
centri di vita spirituale di cui la Patria mostra
ogni giorno più di aver sommo bisogno, in mezzo a tanti smarrimenti di pensiero e di sentimento.
Per queste chi«e visse intensamente il prof.
Rostagno e perciò ce le fa amare e rafforza in
noi la decisione di esser sempre più fedeli all’ideale al quale siamo stati chiamati. Per questo
incitamento all’azione zelante Le mie memorie
sono un libro ohe fa dei bene, che fa riflettere,
che chiama ognuno a rientrare' in se stesso.
Perciò auguriamo che esso sia molto letto e diffuso. Sia esso presente in ogni biblioteca di
Chiesa ; sia esso presente in molte e molte case ;
Io leggeranno con interesse e profitto j giovani
perchè esso racconta pagine di storia ad essi quasi sempre sconosciuta e darà loro un’idea più alta della loro Chiesa e delila sua missione, ma lo
leggeranno con altrettanto interesse le persone
più avanti negli anni che hanno conosciute molte delle cose ivi raccontate; vi troveranno il soffio dei loro giovanili entusiasmi e l’espressione
di molte loro esperienze.
Alcuni hanno osservato che il prezzo del libro
è alto ; nessuno però crederà che si sia potuto
fare una speculazione : quel prezzo è dovuto al
fatto ohe il libro è stato stampato in questo anno
in cui tutto è caro. Vuol dire che quest'anno
anziché comprare un maggior numero di libri,
faremo uno sforzo per comprare soltanto i libri
veramente buoni ed utili. Val la pena di fare un
sacrificio quando esso ritorna a noi in benedizione e la lettura di un libro quale quello che
raccomandiamo sarà certamente una benedizione
per molti. DAVIDE BOSIO
(1) Giovanni Rostagno - Lo Mìe Memorie Pag. 507 - Claudiana - Torre Pellice - 1946 Prezzo Lire 400.
SOCIETÀ’ DI STUDI VALDESI
Il nuovo Bollettino, molto intere^nte, sarà
pubblicato entro il mese corrente. Sarà regolarmente inviato soltanto a coloro che saranno in regola col pagamento della quota per Tanno corrente (L. 80) ed arretrati. Coloro quindi che non
sd trovano in regola con tali pagamenti sono pregati di farlo al più presto, presso il sig. Emilio
Benech, cassiere, (Luserna S. Giovanni), o presso il prof. Teofllo Pons (Torre Pellice), altrimenti sarà impossibile inviare il loro Bollettino, a
causa dell’alto costo della pubblicazione.
Centro evangelico di Cnitnra
Per iniziativa della Società di Studi Valdesi, è
stata formata una Commissione in vista d’organizzare in Torre Pellice un Centro Evangelico di
Cultura, secondo le direttive indicate dal prof.
Giovanni Miegge in un comunicato pubblicato ne!
n. 39 dell’Eco delle Valli. La Commissione è compeuta dai proff. Giovanni Miegge, presidente,
Francesco Lo Bue, Attilio Jalla, pastore Ernesto
Ayassot, Roberto Malan e dalla Sig.na Marina
Gersone. Colrvro che intendono aderire a questa
iniziativa culturale sono pregati d’iscriversi presso uno dei membri della Commissione stessa. Gli
aderenti saranno opportunamente convocati per
costituire regolarmente il Gruppo e stabilirne le
condizioni ed il programma d’attività.
CRONACA VALDESC
CANTO SACRO
La Commissione del Canto Sacro propone allo
studio delle Società Corali e delle Scuole Domenicali i seguenti inni :
Società Corali: Innario Italiano: N. 10: le tre
strofe (metronomo : 80) ; N. 84 : le due strofe
(metronomo: 80); N. 145: le tre strofe (metronomo : 70).
Psaumes et Cantiques -. N. 56 (1, 2, 3, strofa)
N. 212 (1, 2, 3, strofa) ; N. 243 (1, 2, 3, strofa).
Scuole Domenicali : Innario italiano : N. 80 :
strofe 1, 2, 3, (metronomo: 76); N. 322: strofe 1, 2 (metronomo: 50); N. 3i : le tre strofe
(metronomo : 84).
Psaumes et Canf.iques : N. 225 (1, 2, 3, strofa);
N. 261 (1, 2, 3, strofa); N. 266 (le tre stroife).
Nella designazione degli inni proposti la Commissione si è ispirata al criterio seguente : mantenere come punto centrale deile feste di canto la
esecuzione degli inni cantati insieme da tutte le
Corali. E’ necessario che lo studio di toli inni
sia quindi particolarmente curato. Tenuto tuttavia conto che le Corali sono spesso impegnate
nella preparazione di cori di circostanza in varie
occasioni nelle singole Comunità, anziché diminuir© da 6 a 4 gli inni da cantare insieme si sono proposti accanto ad inni non contisciuti, inni
più noti o la cui preparazio,ne non richiede un forte dispendio di tempo.
La Commissione cercherà, nel lintite del possibile, di effettuare visite alle Corali più isolate.
Sarebbe desiderabile che si effettuassero là dove
possibili^ riuritioni comuni di canto tra due o più
corali allo scopo di raggiungere una mag^ore fusione di voci.
Al Direttori ed alle Corali Taugurio di un buon
lavoro sotto lo sguardo di Dio.
La Commissione Canto Sacro
La nostra Comunità, ed in particolare il quartiere di Pradeltorno, desidera esprimere alla Signorina Ester Goss che da 19 anni a questa parte
ha svolto una fedele e consacrata attività quale
insegnante delle scuole elementari in Pradeltorno
e che ha ottenuto ultimamente il trasferimento
in altra sede, la sua viva riconoscenza per Topera prestata e formula i suoi più affettuosi auguri in vista di una attività abbondantemente benedetta dal Signore.
— Ringraziamo il Candidato in Teologia sig.
Aldo Comba per la sua predicazione del 13 corr.
e. a.
Usiner«»!«»
La nostra comunità è stata ultimamente visitata dal Pastore Guido Comba il quale ha illustrato
con delle chiare e felici proiezioni luminose il
suo viaggio in America e la sua permanenza
in mezzo ai nostri fratelli nord americani di Valdese.
Il pubblico intervenuto alla serata ha dimostrato
di seguire con vivo interesse il messaggio de!
pastore Comba e lo ha ringraziato di cuore per la
sua gradita visita.
— Due fratelli in fede oi hanno lasciati in queste ultime settimane per rispondere alla suprema
chiamata ; Pasquet Caterina, all’età di 73 anni,' e
Pons Attilio, all’età di 50 anni.
Per quanto in circostanze diverse, tutti e due
questi nostri fratelli hanno conosciuto negli ultimi tempi il peso della sofferenza; essi hanno
anche conosciuto, per grazia di Dio, la consolazione della fede in Cristo e serenamente sono
morti nel Signore »,
« lo, dice Gesù, sono la risurrezione e la vita!)-,
— La comunità si è raccolta numerosa, rispondendo alTinvdto del Concistoro, in otxtasdone dei
nostri ultimi culti domenicali.
II 29 settembre dopo la predicazione del sermone, essa ha ascoltato la relazione del delegato
al Sinodo anziano Ing. Luigi Serafino, e la Parola dei Pastore sul significato dell’assemblea di
chiesa e su alcuni argomenti riguardanti la vita
della comunità. Il 6 ottobre, con un culto di S.
Cena frequentato in modo confortante, essa ha
segnato la ripresa delle attività ecclesiastiche. Il
13 ottobre essa ha circondato i ragazzi della scuola domenicale e dei corsi di catechismo, riuniti
per la riapertura delle loro classi.
Dio ha benedetto questi nostri culti e noi, come già è stato fatto nel passato, dobbiamo edificarci ogni giorno nell’amore, per essere veramente « una casa spirituale >i, «i7 corpo di Cristo»
di cui Egli è il Capo.
11 culto del 20 ottobre sarà un culto per la
gioventù di tutta ìa chiesa. La comunità non lo
dimentichi ed esorti i giovani ad intervenirvi,
— Il battesimo è stato amministrato a Long
Remo di Ernesto e di Bouvier Cesarina.
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Il programma di attività di cui abbiamo dato
notizia nei brevi appunti di cronaca qualche settimana fa è entrato in fase di attuazione :
CULTI SPECIALI : Domenica 20 alle ore 9
un Culto speciale per la apertura dei Corsi di
Istruzione Religiosa, un Culto per gli alunni delle
Scuole e dei Corsi di Catechismo di tutta la
Parrocchia.
Preannunciamo sin da adesso per il 1“ novembre alle ore 17 un Culto liturgico di commemorazione.
Le Conferenze della Domenica sera alle 8,30
nella Scuola di Santa Margherita hanno avuto )nizio domenica scorsa con una interessantissima
conferenza del prof. Giovanni Miegge sul tema
« Il cristiano ed i problemi di oggi ». Assai incoraggiante l’uditorio numeroso ed attento. La
prossima conferenza sarà tenuta domenica 20 dal
prof. Attilio Jalla sul tema : « Problemi di oggi
al Sinodo Valdese 1946».
LE RIUNIONI di Quartiere sono iniziate in tutti i quatrieri con ottime adunanze che hanno ovunque gremito le varie Scuole quartierali. Assai
promettente pure la ripresa delle Unioni di Quartiere.
I preannunciati CORSI DI COLLABORAZIONE LAICA saranno tenuti quindicinalmente dal
Pastore, nella Cappella degli Appiotti dopo la
riunione di quartiere. Si può partecipare 'bile lezioni sia come allievi ohe come semplici uditori.
La prima lezione è fissata per VENERDÌ’ 18 corr.
dopo la riunione ohe sarà anch'essa presieduta
dal pastore. Prevediamo le lezioni seguenti per i
venerdì 1, 15, 29 novembre. Per partecipare al
corso non è necessario alcuna iscrizione particolare, ma si fa viva preghiera a quelli ohe intendono seguire il corso di voler partecipare con
regolarità alle lezioni.
L’Unione Valdes© del Centro ha eletto un nuovo seggio sotto la presidenza dei Pastore ed ha
un programma -denso di attività. Avremo prossimamente sabato 19 uno studio del Pastore sul tema : Perchè leggiamo l’Antico Testamento?
Domenica 20 al pomeriggio una gita unionista
(tempi) pèrmettendo) e domenica 27 adunata generale della Gioventù della Parrocchia con prgramma : Breve culto, Recite, discussione del
programma comune di lavoro, giuochi.
— Nell© ultime settimane abbiamo accolto nella greggia del Buon Pastore j pìccoli : Martino
Rollier, AWer Bounous, Carlo Alberto Arnoulet;
ai battezzati ed alle loro famiglie rivolftamo ancora Tauigurio di molte benedizioni dall’Alto.
— Hanno risposto aiM’appello del Signore e ci
hanno hanno lasciati per le rly© eterne : Clementina Turin- ved. Maggiore., Albino Pevel, Giovanni Giuseppe Cougn. Alle famìglie duramente
provate negli affetti più cari espritoiamo ancóra
tutta la stopatia-della Cotmuiità invocando su
di loro le consolazioni di Colui ohe ha parole di
vita ©terna.
L’Esercito della Salvezza che ha intrapreso una
riuscita campagna evangeistica nel Teatro Trento ci ha invitati a parteciparvi. Il Pastore © buon
numero di valdesi hanno dato più volte la loro
testimonianza di parola o di presenza alle riunioni. Particolarmente ricordiamo la serata di mercoledì 2 alla cui riuscita ha partecipato la Corale.
Da varie voci raccolte abbiamo tratto la convinzione che radunanza sia stata particolarmente apprezzata negli ambienti più diversi per cui per
gentile invito delle Dirigenti delTE. d. S, avremo
una seconda serata di slmile testimonianza MERCOLEDÌ’ p. 28 corr. La Corale canterà alcuni cantici che il pastore Ayassot illustrerà con breve
commento. Venite ed invitate gli amici a venire,
speriamo ottenere di nuovo un <( tutto pieno »
malgrado Tampìezza del teatro.
I Corsi di Catechismo e le Scuole Domenicali riprenderanno regolarmente subito dopo la Domenica 20 che darà il via a tutte queste attività
di istruzione religiosa con ¡1 Culto di apertura
snannunciato.
Nella ipersona della signorina Ione Garlon abbiamo trovato una generosa e fedele collaboratrice
per il lavoro di segreteria, nel quale altre gentili
signorine sono anche di aiuto. Questo ci permette
d, annunciare che per tutte le pratiche, informazioni, ecc... che non concernino personalmente
il Pastore, gli uffici di Segreteria sono aperti al
pubblico ogni .giorno feriale dalle 10 alle 12.
E stato eletto Anziatlo per il quartiere delI It,verso il Si,g. Eynard Cobalto Adriano, che
sarà installato nella sua carica al Culto di Domenica 27; che il Signore ne prepari e benedica il
lav,jro.
■ Grazie a generoso aiuto ed allo sforzo de'le
famìglie interessate abbiamo riaperto la Scuoia
dell’Inverso. Gratitudine vada a chi ci ha aiutato ed all’Insegnante Signora Lina Bert Varese
che ha nuovamente accettato di insegnarvi.
E. A.
Un solo funerale in tre mesi, ma una grande prova per la famiglia Fraschia dei Gondini
che ha perso il suo capo quando ancora i nove
figli, tutti in piccola età, ne avevano gran bisogno. Alla vedova in modo particolare la nostra
simpatìa.
- Battesimi : Gqllian Jole e Valdo di Giovan
ni e di Balmas Ivona, dei Bert - Comba Nello di
Roberto e di De Giovanni Elena, dei Martinat Beux Dario di Emilio e di Avondet Elvira dei
Gaydou - Gallian Ugo di Luigi e di Pons Irma dei
Chiabrandi - Bouchard Violetta e Ebe di Edmondo © di Fabiola Secondina, dei Ronchi - Ciarrié
Elsa e Silvio di Attilio e di Comba Caterina, dei
Saret dei Martinat. ’
Che Dio benedica questi bimbi e ie loro famiglie!
Matrimoni : il 25 luglio Orticola Gelindo e
Bertalot Livietta ; il 2 settembre: Di Gregorio
A Itilio e Blanc Uda ; il 30 settembre : Pons Emilio e Long Albertina: il 5 ottobre : Griglio Mario e Forneron Wilma^
Dio voglia che queste case siano fondate sulla
roccia !
- - Alla memoria del marinaio Vinçon Guido
perito in un’azione nel Mediterraneo è stata concessa la medaglia d'oro al valore. Rivive dinanzi
ai nostri occhi la figura di questo .giovane, figlio
esemplare.
- Domenca 27 corr. avrà luogo alle 10,30 il
culto della Beneficenza e alle ore 15, 30 il primo
Convegno interquartierale di tutta la gioventù della parrocchia.
Nella settiniana fra, il 27 ottobre e il 3 novembre tutte le famiglie della parrocchia sono invitate a dare qualcosa in denaro o in natura per
i nostri Istituti, <(Vi è più gioia ne! dare che nel
ricevere».
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