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Torre Penice, ottobre 1946
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N. 40
VALDESI
Nulla sla più forte della vostra fedel
(Gianavello)
SETTIHÀNÀLÈ DELLA
ABBONAMENTO
Italia ; Annuale
Estero : »
• * • • L- 150,— Semestrale L. 100,—
■ ■ • . » 300,— » » 175,—
Ogni cambiamento d’indirir.zo costa Lire Cinque — La copia Lire 4,—
€ HI Ê E A WAL DES E
Riguardate alla roccia onde foste tagliati
* Isaia LI: 1.
REDAZIONE : Via Sibaud, 7 - Bobbio Pellice
AMMINISTRAZIONE : Via Carlo Alberto, 1 bis - Torre Pellice
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crhvefienne!
L’enfant prodigue
Nous sommes habituées à nommer «enfant
prodigue» l’enfant qui «a mal tourné » et
qui, comme celui de fa parabole évangélique,
s’est engagé dans les sentiers de la honte et
de la dissipation. Mais, si nous nous donnions
la peine d’interroger nombre de mères phré
tiennes, nous saurions combien de fois un
fils, une fille, peut-être déjà à l’âge de raison^
represeniient néam moins poür leurs parents
une amére déception et une constante préoccupation.
li’éducation chrétienne peut-elle, par ellemême, amener nos enfants à être un jour de
vrais chfétiens? Nous ne saurions l’affirmer :
toute éducation, si élevée soit-elle, se ressent
inévitablement des imperfections humaines,
et ne répond pas parfaitement aux exigences
du but que l’on s'etait proiposé. D’autre part,
le péché ser toujours le plus grand obstacle
à la vie chrétienne, et ce péché, encraoiné
en tout être humain dès l’enfance, ne pourra
être écarté que par le don de la grâce de Dieu.
Toutefois l’educaiion chrétienne consiste
précisément en ceci ; préparer l’éveil de la
foi, donner à l’enfant ce besoin d’harmonie
avec Dieu qui lui fera rechercher le don de la
grâce comme seul bien véritable. Or, il est
évident qu'une tâche aussi noble ne pourra être accomplie qu’à une seule condition : vivre
soi-même une vie chrétienne qui plonge ses
racines dans une foi oontinuellemeint renouvelée.
* * Üe
L eveil de ,1a conscience s’opère, chez l’enfant, dès son bas âge. Son point de repère,
toutefois, n’est pas la loi de Dieu, notion encore trop vague pour lui. C’est plutôt d’après
ce que sa mère approuve ou desapprouve, de
son sourire ou de ses sourcils fronoés que le
petit enfant se faiit une idee de ce qui est bien
et de ce qui est mal. Et -cela est d’autant plus
évident, que nous le. voyons séloigner et se
cache-é s’il lui vient le désir de faire une chose qu il sait que sa mère n’approuverait pas.
Plus tard seulement, lorsque l’éducatioihi religieuse lui aura ouvert le coeur aux choses
d’en-haut, il comprendra que sa mère, pour
le juger, obéit à son tour à la voix de sa conscience qui doit avoir comme mobile la loi de
Dieu. De là, quelle effrayante responsabilité
pour les mères! Gardons-nous donc de désapprouver et de défendre à nos petits uniquement, ce qui nous gêne ou nous entrave dans
1 accomplissement de notre tâche quotidienne.
Gardons-nous, d’autre part, de sourire avec
ccmplaisance d’une espièglerie qui ne manque peut-être pas de saveur ou même d’intelligence, mais qui peut aussi représenter un
danger sérieux pour la conduite à venir de
nos enfants.
Tel gosse est si drôle, parfois! Les parents
s en amusent. « Il .faudra pourtant bien commencer à le gronder un peu! » se disent-ils.
Mais la gronderie ne vient jamais. N’aurontils pas à se repentir, plus tard, de leur négligence inconsidérée? Ne risquent-ils pas de
fausser la conscience de leur petit?
Certaines natures d’enfants se révèlent facilement à nous. Elles sont comme ces petits
ruisseaux limpides qui nous laissent voir tous
les cailloux de leur -lit. D’autres, et ce ne sont
point les moins profondes, semblent à dessein
se dérober à notre regard investigateur. Que
de mères connaissent peut ou mal leurs enfants, et, de là, que de fautes involontaires!
C’est évidemment pour cette rais*on que plus
d un éminent pédagogue a conseillé de surveiller l’enfiant toutes les fois qu’il ne se sait
pas •observé. Sans toutefois lui donner l’ihipres^n d’être épié, regardons-le jouer avec
ses camarades. Cela nous apprendra à le
mieux connaître et nous aurons peut-être la
chance de pouvoir intervenir à temps, si nous
en voyons la nécessité. D’un regard sévère
et attriste à la fois l’enfant çoniiprendra qu’il a
commis une faute. Cette surveillance ne devra cependant pas .peser sur lui comme une
tyrannie, car nous risquerions alors d’exaspérer îon désir de liberté. Ce sera plutôt, de
notre part, une sollicitude continuelle dont
l’enfant ne s’apercevra même pas, mais dont
nous n aurons pas le droit de nous écarter,
* • *
Le problème du mal se présente d’une fa
çon plus inquiétante à mesure que l’enfant
grandit. L’influence maternelle, fi précieuse
dans toutes les phases de la vie, l’es*t suritout
à 1 epoque de 1 adolescence et c’est justement
alors qu’il arrive trop souvent qu’elle perde
graduellement son pouvoir.
Trop de mères ne se préoccupent pas assez
de cette période pertieuHèrement dangereuse.
Car, même sans arriver à toucher les basfonds de la corruption, il -existe toute une
gamme de mauvais penchants, de défauts
connus ou cachés qui peuvent entraîner nos
tout jeunes vers une vie qui est loin de représenter l’idéal chrétien. I! s’agit donc pour la
mère de gagner en clairvoyance, en tact sourtout. II s agira, quelquefois, de lire les livres
qui leur tombent sous la main, non pas pour
les leur défendre d’un ’ton pérentoire s’ils ne
sont pas de notre goût, mais pour potuvoir en
parler et en discuter avec eux en connaissance de cause. Il nous faudra surtout savoir entretenir avec eux de ces conversations intimes où l’on parle de tout : compagnons, lectures, cinéma, etc. Ces gosses de 12 à 14
ans que les mamans expédient au cinéma,
sans savoir ce que l’on y donne,.dans le seul
but d’avoir quelques heures de tranquillité
pour elle-mêmes, sont à leur insu, exposés
aux pires tentations de la vie.
Il est toutefois nécessaire dé nous expliquer : se rapprocher ainsi de nos enfants ne
signifie pas les harceler de demandes toutes
les fois qu’ils rentrent à la maison. Cela leur
donnerait rimpression d’êtr-e comme des coupables en face de leur juge, et bien vite ils
trouveraient moyen de s’éclipser pour ne pa-s
rencontrer leur mère avec ses questions! Non,
se rapprocher d’eux, ce sera leur faire confiance, pour miériter on détour leur confiance.
Ce sera, peut-être, savoir se taire au lieu de
parler, pour créer -cette douce intimité qui les
accompagnera jusqu’à l'âge de la maturité,
comme une inspiration et une sauvegarde.
Mais tous nos efforts seront vains si le moment critique de la pré-jeunesse ne sera pas
aussi celui merveilleux de l’éveil de la foi.
Si l’enfant y a été amené par une éducation
non seulement morale, mais aussi religieuse,
il éprouvera le besoin d’élever ses regards
vers Dieu. Il saura qu’aprés de Lui il peut
trouver le pardon pour ses fautes, et les forces -nécessaires pour ne plus- recommencer.
Et, dans cette lutte sérieuse qu'il est appelé
à connaître, soutenons-le par nos ardentes
prières, expression, naturelle de notre foi vigilante.
* * «
Nous ne pouvons toutefois l’ignorer, il existe des- natures qui semblent prédisposées au
mal. II existe des mères qui, après avoir faiit
de leur mieux, voient néammoins leurs efforts sombrer dans la plus cruelle des défaites. Bien loin de nous détorner d’elles avec
mépris, disons-leur notre sympathie. Ellessouffrent dans ce qu’elles ont de plus précieux au monde ; leur amour maternel. Elles savent, ces pauvres mères dont l’enfant
s’éloigne qu’il n’y a point en elles de force
assez grande pour le retenir. Mais qu’elles ne
1 se laisse-nit pas aller au découragement ; que
elles dépoisent leur fardeau de tristesse et de
amertume aux pieds du l’ère. Qu’elles veillent, qu’elles prient, encore, toujours, sans
jamais se lasiser car « Dieu aime nos enfants
prodigues qui traînent au loin leurs haillons».
Je me souviens avoir vu une gravure, touchante_ entre toutes, représentant une mère,
penchée à sa fenêtre par une nuit d,’orage, une lampe à la main, s’efforçant de percer les
ténèbres de son regard anxieux. Voilà bien ^
l’image symbolique de toute mère dont l’enfant chéri est devenu un enfant prodigue. Elle ne s’éloigne pas des ténèbres, mais elle y
tient une lampe allumée. Tout son être, tout
son coeur est dans cette attente, silencieuse,
patiente, toujours vigilante.
Heureuse mère, après tout, si, du sein mê
me des ténèbres, reconduit par -la main toutepuissante du Père qui ,a entendu ses prières
elle distinguera finalement l’enfant bien-aim-é qui revient au foyer! Fidèle à son ministère, ayant eu part aux souffrances du
Christ, elle aura eu sa croix et sa couronne.
Délia Bert
VITA LITURGICA
Era inevitabile che il rininovamento liturgico in atto nelle chiese anglicane e luterane da
lungo tempo non si estendesse anche alle comunità riformate, dove le tendenze an-tinoma
nistè, antiformaliste e antimistiche erano pfù
accentuate. Il libro del Thurian (1) è ispirato
a questa « penetrazione» della valorizzazione
della liturgia nel campo riformato.
Una chiesa cosciente della sua unità deve
curare tutti gli elementi che vi possono contribuire e fra quelli più efficaci si trova, senza
i ' possibilità di obbiezione alcuna, -la vivificazione del culto. Se per « liturgia » s’intende l’insieme di parole ed atti fissi e spontanei, che
concorirono a raccoglierci intorno al Signore
'• presente, è naturale che rattenzi-one del pastore e dei membri vi sia 'concentrata e che
la frequenza deirat-to liturgico-ne sia intensificata e resa anche giornaliera. Chi partecipa
al culto deve rendersi conto che il Siignore coti i
suoi angeli è presente secondo la sua promes; sa e che tutta la chiesa universale gli fa da
I corona : le parole del -pastore n'on saranno -soi! tanto soggettive, ma espressione della fede di
tutta la comunità ©d il culto sarà ispirato dalla
riconoscenza espressa nella -be-Mezza delle forme, nella toro semplicità e dalla gioia intensa del ritrovamento del Signore. Si avrà cura
, ad evitare Festetismo e 'Io psicologismo, superando il simbolo per arrivare alla realtà sim
boleggj-ata.
L’autore ammette il principio riformato che
I 11 culto debba trovare il suo modello nella ■
chiesa primitiva, ma osserva che quel culto
era molto più -ricco e vivo di quanto lo abbia mo ridotto con la nostra estrem-à razionalizzazione dei fattori -religioe-i. Nella chiesa primitiva la essenza comunitaria della chiesa si
accentua nell’assiduità al temp-io, alle ore di
preghiera, alla celebrazione serale dell’Eucarestia. Fin d-al principio si noitan'O -le forme di
comunità dirette dove il culto è celebrato
più sovente e dove Faga-pe ricorda alla famiglia (monastica avant la lettre) il prossimo ritorno di Gesù, e la forma parrocchiale, dove
gli atti -liturgici sono il centro del raccogli ■
mento dei fedeli.
La missione cristiana in terra pagana perde
il centro del tempio, e la preoccupazione evangelisti'ca accentua il valore della predica
zi'One sulle piazze e nelle case, ma -la vita liturgica è densa come si può notare dalle formule di saluto, di benedizione ed infine daFa '
descrizione del -culto 'finale delFApocaiiSic.
Ovunque ,ne, primi teinp= si sen.e che il
culto è una festa delFaniima ispirata alia comunione col Signore e con la chiesa. In un
analisi interessante dei concetti fondamentali
delFFvangelo di Giovanni l’auto'e ricerca costantemente il parallelo fra l’incarnazione deili Farola in Cr's.o nella Chiesa, -ma la ricerca "Ctce um'aterale perchè vie.;,' confusa
'il preoccupai cne delFevangelista di non cadere in una vita -spirituale astratta, incorporeo
COI' la ei'niinazione deila distanza ira 'a ui'ca
autentica incairnazione della parola e la testimonianza a quella unica incarnazione che è il
compito, la promessa ed il limite della chiesa.
II culto non sarà la prosecuzione dell’incamazione ma Fatto di spontanea riconoscenza e di
partecipazione al Cristo attraverso la Parola
e i sacramenti, restando strumento vigile lo
Spiri'to Santo. E su questo punto non^ crediamo che la posizione riformata forse tendenzialmente inestoriana non sia dovuta a una conoscenza profonda deh anima uman i, dcbn’e
e facilmente portata a lnnfondc'-e l'adorazio
ne del solo Dio con l’eccessiva vaiu.azione degli strumenti sempre deboli, di cui si serve :
il tesoro è sempre racchiuso in vasi di terra ;
e nonostante il suo splendore la chiesa medesima resta vaso in confronto al Crisito, che è
il teso.ro unico ed insostituibile.
Ci sentiam invece pienamente consenzienti
con la affermazione del Thurian che il culto
non deve essere sentito soltanto come una
raccolta di riserve e di forze intime per Fazione, centro unicamente essenziale della vita umana, ma deve essere un atto in sè e per
sè, I atto più bello che possa essere compiuto
dalla creatura di Dio : lodare il Signore! cosi
come fece Maria di Befania ungendo splendidamente i piedi del Signore col vaso di nardo
schietto! E come non approvare che la Chiesa deve riacquistare una coscienza sacramentale? La Santa Cena non è appendiioe del culto, ma ne è parte essenziale!
Nella seconda parte del suo scritto il Thurian esamina la via .liturgica di oggi e considera in vista della sua intensificazione la cura
de! luogo di loulto, degli oggetti liturgici e delFann© ecclesiastico. E’ frutto soltanto di una
antica tradizione ri'fonmata se restiamo spesso
perplessi dinanzi alle riforme proposte? Se
infatti l’adozione del lezionarto e della distinzione dei tempi .fra le grandi .feste del Natale,
della Pasqua e della Pentecoste presenta degli indiscussi vantaggi per Feddficazione della
chiesa, non abbandonata alFarbitr-io dei testi
de.l predicatore, Faccentuazione del Crocifisso
implica delle 'concessioni teologiche, non facilmente superabili'. Nè ci si può fermare al1 affermazione ¡che molte anime ne sono state
consolate e'd edificate, perchè si potrebbe anche -riconoscere come di dovere ohe per mol
te anime le varie figure del Cristo sono un
ostacolo per arrivare al Signore, ohe, se abbiamo conosciuto secondo la carne, ora no.i
conosciamo più così (2 Cor. 5: 16).
Quale figura di Cristo può sostituire o anche solo simboleggiare la figura unica del
Signore delle Sacre Scritture ? E che diremmo della proposta ohe il collegio degli anziani
porti anch’esso una -particolare veste, ad indicare la varietà dei doni? Non sarebbe il
culto-, anziché elevato verso un livelto superiore di spiritualità, ingombrato ed appesantito da una serie di simboli, candeliere, luce
fterpetua, fiori, colori, vestiti liturgici ? Dove
sarebbe il limine fra .la semplicità e J’artìficialità ? Dinanzi ad un culto celebrato secondo
tante regole e momenti, non si sprigionerebbe
più viva che mai la nostalgia verso il culto .
I riformato quale viene oggi celebrato, nella
ricerca di una seria sobrietà che ci ricordi
che ritroviamo il Signore, che parla con la
Sua Parola alle coscienze vivificate dallo Spirito, oppure siamo soli, disp'eratamente soli,
itant-o .che .nessun palliativo potrebbe coprire la
nostra solitudine ? E d’altro lato quale allegrezza intensa quando il Signore parla e
perchè non accettare la possibilità di non essere legalmente legati semipre ad un mode’lo
esclusivo, ma di potere seguire la voce dello
Spirito, che s<trari'pa dalle -forme consuete
spingendo una .Mania di Beitania a spargere
ai piedi di Cristo il vaso di nardo schietto
non come un -atto liturgico ohe ritorna, ma com.‘ espressione libera e spontanea? Perchè
non dovrebbe essere ascoltata al culto
la parola ispirata di un fratello? Perchè
non sapremo con semplicità -ripetere i.1 gesto
di un Gioachino da Fio.re, che, dopo i.l temporale e il ritorn.0 del sole oonduic-e il suo gregge fuori dalla chiesa fra i campi -ed i fiori,
per cantare le lod'i del Creatore ? .Ma per giungere a tanta libertà dai tempi e dai luoghi di
culto non è sufficiente la regolare reintroduzione di atti ed oggetti simbolici antichi!
Infine la forma liturgica : la predicazione
della Parola e Fam-mi-nistrazione dei sacramenti. n sacramento sta .fra la Parola ed il
Kegno: è contemplazione della realtà celeste
attraverso un segno -terrestre: è quindi il
punto culminante del culto cristiano. Mentre
la predicazione richiede la intelligenza delle
lettere, il sacramento è più universale, perchè
medesimo per tutti e rivolto ad ognuno.
'L’autore contesta i.l significato restrittivo."
dato al sacramento dalla teologia riformata,
in modo che due soli sono i sacramenti autorizzati : la definizione proposta « i sacramenti sono i segni liturgici materiali della presenza di Dio che si’incarna, di cui il Nuovo Testamento ci riporta l’uso» si apre alFaccettazi'One della consacrazione dei 'pastori e anziani, deil’unzione dei malati e dalla confl.rmazione. Ricordiamo che Calvino non era alieno dalFacoettare come sacramento la consacrazione 'per imposizione delle mani, in cui
un gesto sostituirebbe l’acqua o il pane. Non
esiste peraltro una esplicita definizione neotestamentaria del sacramento.
Oltre ad una maggiore partecipazione dei
fedeli alla celebrazione dei «servizi» mediante il canto e l’antifona, il Thurian raccomanda la -reintrod-uzione dell’« uffizio quotidiano » : un breve culto di meditazione giornaliero celebrato dalla comunità. E questo ajppare infatti come uno dei migliori rimedi alla
disintegrazione dello spirito comunitario nel
protestantesimo : il culto isolato domeniciale
non è certo la perfezione liturgica predicata
2
, í;>
-í.>^^Q,,íÍtíle VALU VALDESI
, dagli apostoli e dai rifooimàtori e la chiesa
, chiusa durante tutta, la seiftim^-non trova
“ alcuna scusa'ieolbgià che la ^^iustìfìchi. Saremmo noi più maturi degli apostoli, ohe si
recavano tutti i ^orni al tempio per le preghiere? '
« Joie du oiel sur la terre » è un buon titor lo indicatore della comunione fratenna dnten ^^siRcata àA una regolare partecipazione al oul'■^to (predicazione e sacramenti) ; dove potrebbe essere trovata una allegrezza più bella e
pura di chi adora ed ascolta il Signore con i
suoi fratelli ? Ma nicordiamoci (e avremmo
desiderato venisse maggiormente accentuata
t]uesta nota) ohe siamo dei pellegrini, che
vanno verso il Regno e dove ¡1 tempio non
sarà più, perchè il « Signore Iddio, rOnnipotente e l’Agnello sono il suo, tèmpio » (Apoc.
2f :'22). Anche la predica2Ìone*^e i sacramenti 'sono ’provvisori, pércbè verrà il tempo in
cui le realtà da loro mdicate si apriranno in
tutta la lóro gloria definitiva alla visione di
chi avrà creduto. ■ C. G
Max Thunaiì — Joie du ciel sur la fierre — Introduction à la vie liturgique — DelaChaux et
Niestlé - 1946.
Fra le ’ innumerevoli vìttime della Revoca
deirEditto di Nantes in Val Pragelato, dobbianiò ri<»rdarè Daniele Martin, nato a Balboutetnei 1634, dal cap. Pietro.
Probàbilnieintte dopo i suoi studi teologici
a Ginfeyra venne itrviato alle Valli come maestro; lo troviariió infatti come tale ad Angrogna, a Ferosàr in vai S. Martino, fra il 1653
eJ ‘il 1661. In quest’ultimo anno e durante
il 1662 egli sostituisce nella sua chiesa di
S. Giovanifii il pastoie Giovanni Léger, inviato in missione in Svizzera, dopo la sua oonrrtorté «per lesa maestà» e dopo i
vari'tentativi fatti contro la sua vita.
3 anni dòpo lo troviamo a Mentoulles, conduttore' di quella importante Chiesa che egli
dirigerà per 24 anni consecutivi, fino al fatele
1685.’'In tale anno, il 20 aprile, egli perdette te stia giovane mo^ie, vittima innocente
de: dragóni di' Luigi XIV, i quali molto per
tempo erano stati inviati in Val Pragelato, come tii’altre località della Francia, per la forzata Cteiversiòne di quegli abitanti, sul capo
dei'qoali'^non tarderà a piombare micidiale la
spAia reale," mossa dalla revoca dell’Editto
di'?Nantes, che un suo illustre predecessore
aveva solennemente dichiarato irrevocabile.
Il pastore Martin, coi suoi parrocchiani in
massa misóirà ad emigrare in Svizzera prima,
in Germania’poi : infatti nel 1687, secondo
quanto ci dice il Gay, egli si trova ad Amburgo ove fonda, coi numerosi correligionari
e convalligiani, a 6 Km. dalla città, la colonia di Friedrichdorf, nel 1686, quella di
Charlottemborg nel 1687. di Ranchemberg
e di Schttvobendorf, nel 1688.
Ma con l’occupazione del Palatlnato da
Iterte delle truppe francesi nel 1688, egli si
ritirò con 125 dei suoi coloni, a Marbourg,
nell’Assia. Dal 5 ottobre 1688 egli funge come ;«atore di Ranchemberg e l’anno successivo a Schwabendorf, dove chiuse la sua carriera terrestre il 24 novembre 1704.
Fu attivisamo come pastore e si adoprò
con tutta la sua energia per ospitare nelle
nuove colonie d'oltre alpe sempre nuovi esiliati. E la sua operosità indefessa lo fece cadere ammalato nel 1688 per qualche mese ;
ma poi egK riprese con lena instancabile l’opera sua di organizzatore e di ministro, fino
ai suoi ultimi giorni.
Dei numerosi figli che gli diede la moglie
Susanna Pastre, figlia del cap. Giovanni, 3
erano in vite nel 1687 : uno dei quali, Giovanni, come il padre, diventò anoh’egH pastore e professore di storia ecclraiiastica in Vestfalia, e succedette al padre come j>astore di
Schwabendorf, ove fu pastore dal 1" ottobre 1705 fino ai settembre del 1712. Morì
nel 1730 a Cbarlottemburg, il 6 febbraio.
Ma forse il più .popolare fra noi ed il più
cono^iuito dei pastori di Va] Pragelato è stato Giacùnw o Giacobbe Moutoux, originario
delle Traverse.
Nel 1676 egli era docente in filosofia e
teologìa a Ginevra; ma già prima di tato
anno lo troviamo a Mentoulles, verosimilmente come aiuto e coadiutore del pastore loca
le. Fra il 1682 ed il 1685 lo troviamo pastore al Chambon, cerne aiuto dei ministro
delia ^iesa molto importante di Mentoulles
Uscito verso la fine di queU’anno tragico,
cotre ¡ suoi colleghi, dalla valle di Pragda10, nel settembre si f rma a Berna col pastore della Chiesa francese locale, E. de Saussure, pòi si trattiene a Coira, nei Griginnì.
con 100 rifugiati, quale loro pastore.
Ma quando r r! fatidico 168y s; prepara il
Rimpalflo, efeli’ itoh vuòto essere assente e
ne prende parte in qxialità di cappellano, assieme ài Bntteo Amaud. Ed il 1-11 settembre di queU’araio lo vediamo predicatore ef
flcaoe a Sibaud, ove i ; Valdesi. teriutoalo il
sermóne del iMontona, fecero, quel ^i^lerme
giuramento che pcora oggi ha il j^tere di
: i, fai* fremere di sante emozione i nos^i„cuori.
Ma il giorno do^, o l’indomani forse, egli
‘ è fatto prigiomeró dai soldati ducali e condótto nelle carceri di Torino, donde potrà uscire
soltanto 9 mesi dopo, quando il Duca abbandonerà la Francia per allearsi coi Idi lui nèmici. Nella campagna di guerra del 169Òt91,
egli segue come cappelfanq le truppe valdesi
che combattono coi ducali contro i francesi,
c< consolant les maJades et dormaint des rèmèdes aux plus bleseés ».
Nel riordinamento generale della Chiesa
Valdese che si attua nel Sinodo del 1692, il
Moutoux (è destinato come pastore deirimportante parrocchia di Villasecca, ma ooU’incari
co anche di funzionare, per qualche annoj come ministro di tutta la valle S. Martino, aiutato dal giovane collega Davide Javel.
Le sue tribolazioni però non erano ancora
finite : e nel 1698, come già iil Olément,
l’Amaud ed altri, è anch’egli costretto, come
straniero ad uscire dagli stati del Duca e a
prendere con la moglie Margherita Pastre e
con tre figli, la via dell’esilio.
Dall’Olanda ove si era diretto, è rinviato
nell ’ AssIa-iDarmstadt come pastore défilé colonie valdesi ivi stabiliitesi, fra le quali continua con lo stesso ardore e con sempre rinnovato zelo, a fungere da ministro in varie
località : a Wembach, Ahan, Waldonf, Rohrbach : quivi muore il 17 dicembre 1738;
è coadiuvato negli ultimi anni da suo figlio
Giacomo, pastore come lui, e che più tardi
succedette ad Enrico Arnaud nella Chiesa di
Shönemberg, nel Württemberg.
Per le sue qualità morali ed intellettuali
e per la sua varia e lunga esperienza pastorale, egli era stato scelto nel 1716 dai suoi oolieghi per recarsi quale loro delegato in Inghilterra, a chiedere il ristabilimento della
pensione reale a 7 pastori valdesi, esiliati ne]
1698, pastori nelle nostre colonie di Germania, pensione che era sospesa alla morte della regina Anna. La sua missione fu fortunata e la pensione reale venne ristebilit.
(continua) j. G. PoNS.
NB. Il presente articolo era stato scritto per illustrare, con qualche nome, l’opuscolo del XVII
febbraio di quest’anno.
iÌ.R.1. • E.N.D.S.I.
Un certo numero di nostri agricoltori ed
allevatori di bestiame hanno fatto conoscenza con queste sigle : ma esse meritano di
essere maggiormente conosciute fra noi.
A. R. I significa ; American Relief for
Italy = Aiuto Americano airitalia. E’ un
ente che raccoglie in America dei doni di ogni
genere per venire in aiuto all’Italia.
E. N. D. S. I. significa : Ente Nazionale
Distribuzione Soccorsi in Italia. E questo non
occorre tradurlo.
Per mezzo di questi due enti sono state
ultimamente portate e distribuite in Italia be.n
350 mucche di razza americana.
Esse sono state regalate principalmente
dalla K Churc of thè Brethren » (Chiesa dei
Fratelli) e da cooperative miste di protestanti
e cattolici.
L’Ente distributore ne ha mandate in Calabria, nel Lazio, in Toscana, nel Veneto. Ed
una quota è stata desitinata anche ai Valdesi delle Valli Valdesi del Piemonte.
Per le loro caratteristiche e per disposizioni prese in precedenza esse sono state destinate al fondo Valle, nei centri di Torre Pelli-^, Lusema S. Giovanni. San Secondo di
I*!narolo, Germano Chisone e Inverso
P'nasca, Pomaretto.
Vengono assegnate in fida e g'i asisegnatol'i hanno robbligo di costituirsi in Cooperativa per mantenere una stazione di mo.nta taurina e devono sottostare a diverse e svariate
condizioni, tra cui la restituzione di 50 vitelle.
Lo scopo di queste disposizioni è di diffondere queste razza di mucche e di restaurare il patrimonio zootecnico italiano. Ma anche di diffondere la pratica della cooperazione
e dell’aiuto reciproco.
Come i fratelli americani (han.no aiutato gli
assegnatari, dando loro le mucche in fida
(che non si possono nè vendere nè comperare' così gli assegnatari devono aiutarsi gli
uni gli altri a restituire le 50 vitelle. E poi
a loro volta devono aiutare i loro fratelli :
le mucche non sono state date per soddisfare
appetiti egoìstici, ma per insegnare praticatnente l’amor del prossimo.
E gli Istituti Ospitalieri Valdesi sono stati
chiaramente indicati come il tramite attraverso il quale gli assepiatari manifesteranno i
loro sentimenti di riconoscenza e di solidarietà.
Siamo profondamente grati ai nostri fratelli d’America per il loro dono e per il significato spirituale ohe essi hanno voluto dar«l’ A. C.
Rivolgia®«) anche un grato perasieeo all’Ingegnere Vieentinited al Dott. Petìde-Lay del
Comitato Gentratotdell’ENDSI che hanno seguito con particolare intte-esse e di .persona
l’assegaiffliione>dL cui sopra. A. C.
iS- €5i€»>^nni
Domenica scorsa una buona assemblea ha dato
i! suo cordiale saluto al suo nuovo conduttore
spirituale, il pastore A. Deodato. 11 vice-Moderatore ha presieduto il culto, rivolgendo, nello spirito dell’Evangelo paro.le di fraterna esortazione
e simpatia alla parrocchia che si strìngeva attorno
ai suo pastore. Era quindi il Signor A. Deodato
t^e Mliya sul pulpito ed esponeva il suo pro■ attività pastorale; programma che vo
lutittiente non scendeva nei particolari, ma enuociava principi informatori, ispirandosi all’umile
ferinézza di una fedeltà assoluta, pur nei limiti
alla vocazione dall’Alto.
La corale, diretta dal Signor G. Albarin, ha
contribuito alla comune edificazione con il canto
di un inno di benvenuto. Numerosi parrocchiani
si sono quindi stretti intorno al nuovo pastore ed
alla sua signora, per dir loro, nella semplice
strétta di mano, il loro cordiale saluto. Sappiamo
cìHè ssi si sono messi all’opera, sotto lo sguairdo
del Signore, con un entusiasmo che ci auguriamo
possa trovare le vie di tutti i cuori.
Dopo parecchi anni di fedele collaborazione, il
maestro F. Rivoire, nostro organista, ha dovuto
lasciarci. Gli esprimiamo la riconoscenza di tutta
la comunità.
Durante i mesi estivi abbiamo avuto il nostro
culto pomeridiano nel tempio del Ciabas. Ringraziamo 1 nostri collaboratori per i messaggi che ci
hanno rivolto nel nome del Signore.- i pastori
E. Ayassot. G. Bertin, A, Comba, E. Corsan!
ed i professori Emilio ed Emanuele Tron.
— Domenica 29 settembre nel nostro tempio
sono stati celebrati i matrimoni del sig. Alfonso
De Rósa con la sig.na Angela Rostagno e del sig.
Francesco Gallo con la sig.na Dora Constantìn_ Il
Signore benedica e guidi questi sposi felici.
Il 28 settembre ha avuto luogo il funerale
della Sig.ra Tere^ Downie Rochat, spentasi serenamente, alla Villa Primula, all’età di 86 anni.
Alla famiglia aflflitta respressione della nostra
profonda simpatia.
Il 1* ottobre ha avuto luogo il funerale delia
signora Luigia Benech ved. Favout, deceduta ai
Malan, dopo lunghe e dolorose sofferenze, all’età
di 67 anni. Al figlio, alla sorella le nostre sentite condoglianze.
Numerosi fratelli e sorelle nel corso di questi
due ultimi mesi c3 hanno lasciato per la Patria oeieste. ELifei sono : Pons Alessandro fui Pietro
(Deirine del Podio) in età di 75 anni; Genre
Maria (Pomaretto) di anni 88, originaria delle Fontane dì Rodoretto, Poet Adele ved. Peyran (Brancate di Perosa), originaria di Perrero; Colìet Cesarina (Clot Ciaudin) di anni 48; Grill Enrico fu
Giacomo (Masselli di Pomaretto) di anni 85, Leger Armandina (Anfous di Pomaretto) di anni 34,
Ribèl Umber\>.o (Pomaretto) di anni 66, Costantino
Armando di Ferdinando (Faure del Podio) di anni
38. A tutte le famiglie afflitte da questi lutti rinnoviamo respressione della nostra simpatia cristiana.
Dopo due mesi di ministerio in mezzo a noi
il pastore Alfredo Janavel ci lascia per un nuovo
campo di lavoro. Lo ringraziamo per il servigio
compiuto e Io accompagnamo con i nostri voti
fraterni.
— Con il r ottobre il pastore titolare ha ripreso servizio. Voglia il Signore porre fin d’ora
ii suggello della sua benedizione sull’opera che
egli si accinge a compiere nella misura delle sue
forze e con l’aiuto da Alto.
San HÉama
Domenica 29 settembre, il nostro amato Pastore sig. Giovanni Bonnet ha celebrato il suo ultimo Culto nel nostro Tempio. Egli è stato emeri,tato per avere raggiunto i limiti di età e la Comunità di qui si separa da lui con vivissimo dolore. Egli è stato per molti anni un vero padre e
fratello per tutti. Il suo sermone di commiato ci
ha commossi profondamente e le parole generose
e piene di fede ed affetto ch’egli ha- pronunciato,
rimarrano per sempre in noi come una dolce speranza ed un indimenticabile ricordo.
La più sincera gratitudine vada a lui e alla sua
buona Signora, che lo ha sempre coadiuvato con
devozione e amore.
Che il Signore accoidi loro un sereno avvenire,
pieno dì letizie.
1 fratelli di Chiesa di Sanremo e diaspora, oltre
ad altri doni, gli hanno offerto un’artistica pergamena, opera pregevoile della sorella sig.na prof, M.
T. Serra, che reca la seguente dedica :
uAl benamato Pastore sig. Giovanni Bonnet,
guida amorevole durante molti anni, nell’ora amara del distacco, questo attestato di commossa,
imperitura devozione ed affetto, offrono i fratelli
e sorelle di Chiesa ed amici ».
Al Sinòdo hanno detto che il ministero del sig.
Bonnet è stato fedele e benedetto e noi aggiungiamo le parole della Santa Scrittura :
« Questi uomini son servitori dell'Iddio altissimo, e vi anunziano la via della salvezza ».
L. M.
»Ilii
L’Associazione Cristiana dei Giovani ha ripreso
la sua attività la sera di martedì 1“ ottobre, alla
presenza d’un discreto numero di soci. Ad un
interessante relazione del presidente prof. Ar
mand Hùgotv, s6|^ uito scamfeio d’idee suFprogrartiBia'paasato e futuro. Il pastore sig. Ayassot
<-■-espresse all’Assiéc^azione il cordiale saluto della
■-parrocchia valdese e la piena'fiducia d'una cordiale-coVabefazione''reciproca. Nella successiva
seduta dell’8 ottóbre fu fórmato il programma generale da svolgersi nell’anno iprossimo. Pel fnese
corrente avremo : il 15, varie brevi relazioni' e
informazioni sul movimento unionista mondiale
e specialmente sul campo di Vaumarcus ; il 22,
uno studio biblico difetto dal pastore sulla Genesi; il 29, una conferenza di Luciano Sibille sul
prof. Buonaiuti.
— In seguito ad un cordiale invito della Direzione Generale della Radio Italiana, il 16 corr,
alle ore 19, le stazioni Radio dell’Italia del Nord
emetteranno un’esposizione sulle finalità e sull’azione delle Associazioni Cristiane dei Giovani
in Italia. Il presidente del Comitato Nazionale,
prof. .Attilio Jalk, vi parlerà sull’argomento : L’opera delle Y. M, C. A. - Associazioni Cristiane
dei Giovani - liella ricostruzl<^te nazionale.
SOCIETÀ’ DI STUDI VALDESI
Quote Sociali. Secondo la deliberazione
presa neH’assemblea annua, la quota sociale
annua per l’anno corrente 1946-47 è stata
fissata in Lire 80, comprendendovi i contributi supplettivi per le pubblicazioni usuali
(Bollettini ed opuscolo del 17 febbraio). La
quote per nuovi soci vitalizi è sfata poi fissata
in Lire 1000, e la tassa d’entrata in Lire 20.
I soci vitalizi attuali sono invitati ad inviare
il oontributo di L. 50 per le pubblicazioni delI anno corrente. Considerando le urgenti necessità della Società per lo svolgimento del
proprio programma, j soci sono vivamente
pregati di versare al più presto la quote o il
contributo delFanno in corso, inviandoli, al
cassiere sig. Ernesto Benech (Luserna San
Giovanni) C. C. postale n. 2-26959).
SOCIETÀ’
PEDAGOGICA VALDESE
Confernuamo il Convegno autunnale dei maestri
valdesi per ^hato 12 ottobre a Pinerolo nei locali del Tempio Valdese. E’ preparato un programma del più aito interesse.
A ■mezzogiorno verrà offerta una modesta colazione agli intervenuti.
imiEÉ cuDDiini - rolli! poio
Per l’istruzione religiosa dei fanciulli :
EDOARDO ATME
STA SCRITTO
Introduzione allo studio della Bibbia
Questo breve manuale, di 195 p., formato tascabile abbraccia, in una serie di brevi, dense, pensose lezioni, l'intero contenuto dell'Antico e del
Nihovo Testamento. E’ particolarmente adatto per
le classi preparatorie del Catechismo.
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S M AR R/MENTO
Sul treno per Torre Pellice in partenza da
tonno alle ore 13,25 è stata smarrita il giorno
y torrente (mercoledì), una BORSA DA 'VIAGGIO in cuoio giallo chiaro a tre scomparti. Si
pregano i rinvenitori di voler ben cortesemente
restituire i documenti commerciali contenntivi
c e, di nessun interesse per gli stessi, rivestono
mna particolare importanza per lo smarritòre,
rappresentando per lui la possibilità di continuare li lavoro.
Mancia competente verrà rimessa a coloro ebe
restiteiranno i documenti in parola, o ebe común<j«e forvtÌFanno notizie atte a favorire il loro rerimettendo ai seguenti indirizzi :
Alberto Traversi Luserna S. Giovanni frazione
Kossengbi - Torino via Carlo Vidna 17 (telef.
71-036) - oppure presso la Macelleria MOLLEA
o la Pasticceria SAVIO in Torre Pellice.
Alberto Ricca ; Direttore
Autofùzaiione N. P 356 dell’A.prB.
Arti Grafiche L'ALPINA » Torre Pellice
La famiglia del compianto
Armando Costantino
ringrazia quanti presero viva parte al su© doloft, le furono larghi di aiuto nella tragica circostanza e testimoniarono in maniera tangibile con
offerte la loro simpatia.
Paure, di Pomaretto, 20 settembre 1946,
G(on. H. GardioI
STUDIO TSCNI C O
Via Piume, 6
Albergo Nazionale
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Via Pramollo
LABORATORIO AUTORIZZATO
Pascholio Bruno
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