1
X Pr90*o L» G
S'î-Anno LXXV'IÎ - N, 15
V ■ » - .
< TORRE PELLICE, 18 Aprile 1947
ifXv ...
R A
"sçfttt
La paròla di Dio non è
incatenata
(Il Timoteo 2: 9]
VALDESI
CHIESA VALDESE
i
“ Lève-toi, car cette affaire
te regarde...,, Esdras x, 4
V Cette parole est adressée à Esdras,
qui étaît revenu de capMvité en Palestine pour s’occuper de ta reconstruction de Jéruiialejn. Ce Scribe était
nversé dans ta loi de Moïse, il avait
appliqué son coeur à étudier et à
mettre en pratique la loi de l Eternels. A son retour dans son pays il
^g’était trouvé devant une question
assez délicate: par leur mariage avec
des jeunes filles étrangères les Isrdélites avaient, mêlé la race sainte aux
peuples d’autres /jays H c’est devant
cette grave question qu’un Israélite,
comprenant qu’Esdras avait seul une
autorité sujfisante pour la résoudre,
lui dit: «Lève toi, car cette affaire te
regarde».
Cette parole n’est-eMe pas celle que
nous avons besoin d’entendre aujourd’hui? Nous nous occupons sans
doute d’affaires très diverses et très
Utiles, et parfois de celles qui ne nous
regardent pas, ce qui est bien une
cause de mal entendus et de brou$les. Mais il y a une affaire regarde chacun de nous, dont nous avons
notre part de responsabilité et U nous
~ '^appartient de la rappeler ici à ceux
qui veulent bien nous lire: «C’est
l’affaire dbnt toute l’Eglise s’occupe,
qui est la raison d’être de sa vie, son
travail et ses combats. C’est la cause
de Dieu et de son royaume. Cette affaire n’est rien moins que le sahit de
notre âme, notre réconciliation avec
Dieu, notre vie présente, et celle qui
est à venir. Ce n’est pas une petite
affaire!
Cette affaire te regarde: elle ne regarde pas seulement ton pasteur, ton
voisin, ta femme ou tes enfants. Il
faut que tu y penses toi-même et t’en
occupes sérieusement, il faut que tu
donnes une solution, sans la remettre
toujours au lendemdin, et cette solution comporte de grandes conséquences dans une vie, elle met son
empreinte sur toute la vie. Sans doute
Dieu a adressé aux hommes, par sa
Parole et en Jésus-Christ, des appels
moins personnels : Cherchez VEternel pendant qu’il se trouve, invoquez-le tandis qu’il est près, — Vouez à moi. — Demeurez en moi —
en face desquels nous pouvons ne pas
nouls sentir atteints nous-mêmes.
Mais U y a des moments où son ap
pel s’adresse directement àunhomme
et le : - Toi, suis-moi -, de Jésus, a
retenti peut-être, à une heure décisive, à notre conscience et notre
coeur.
Ils sont nombreux, même dans nos
é'Jpses, ceux qui n’ont pas encore
compris à quel point cette affaire les
regarde, ceux qui n’ont pas pris conscience de la vocation que Dieu leur
adresse en Jésus-Christ ; appel à une
consécration totale, à une vie véritablement chrétienne, vocation particulière peut-être (nous, avons tant besoin en ce moment même de pasteurs
de missionnaires, de colporteurs, de
diaconesses).
"^CET fN TE'^
PRIERE
pour le printemps
Si vous êtes jeune encore et pensez à l’avenir qui s’ouvre devant vous
à ce que vous pourriez bien faipe
de votre vie, de vos forces et de»
dons qui vous ont été départis, y avez-vous jamais pensp sérieusement
devant Dieu? Avez-vous cherché, non
ce qui vous serait le plus agréable et ,
le plus avantageux, mais ce que Dieu
t ous demande ce que vous pourriez
faire à son service? Avei^^vous compris qu’il vous demande de lui donner votre lie, qu’il vous veut comme
pasteur de son Eglise, ou comme outvrière de notre Société dési Missions?
Léve-toi, disait à Esdras son interlocuteur, prends courage et agis»C’est peut-être pour vous l’heure où
il faut vous lever et agir pour répon- ,
dre à ce que Dieu vous demande pour
le sacrifice, dont vous savez bien qu’il
est nécessaire, mais devant lequel
vous avez reculé jusqu’ici,, pour la
tâche particulière, si petite soit-ellk
aux yeux des hommes, qu’il veut vous
confier, parce que vous pourrez la
faire,' parce que vous avez les dons
nécessaires... ou parce qu’il vous les
donnera. Quel que Dieu vous adres
se, la it\ature de l’affaire qui vous regarde plus spécialement, il faut vous
lever, c’est-ta-dire commencer, faite
lès premiers pas sur le chemin étroit
qui mène à la vie et conduit au but
que Dieu seul peut vous révéler. Il
faut vous lever, ce qui se traduit par
une attitude intérieure nouvelle, un
élan de l’âme par lequel qud.que chose de nouveau naîtra en vous et donnera la joie, la paix que rien d’autre ne
saurait vous donner.
«Cette affaire te ragarde...». Adressée à celui qui cherche, à celui qui
prend ta lâe au sérieux, cette parole est vraiment une - parole de vie
-. Puisse-t-elle être cela pour nos lecteurs.
André Boegrner
(Le Christianisme au XX siècle).
Dieu de honte, à cette époque de
l’année où pour la nature tout entière commence un renouveau de
vie, réveille ceux qui sont abandonnés à un sommeil spirituel: de même que ces jours-:ci un grand nombre d’être sortent de leur léthargie,
que cela soit aussi pour les âmes
dont la foi semblait s’être endormie.
Maintenenat que la douce tiédeur de
ton soleil ravive toute la création
et fait monter vers le ciel mille senteurs, üispire nos frèr^ qui t’avaient oublié à t’offrir la fleur la
plus parfumée et la plus éclatante
de leur coeur et de lepr esprit.
Et de même que la fleur est la
‘promesse du fruit, ainsi nous te prions de poser particulièrement ton
regard sur les enfants, qui sont la
fleur et la promesse de nos communautés. *
Apporte toi-même la guérison à
ceux qui ont souffert pendant les
rigueurs die l’hiver, et avec la santé
du corps accorde-leur les délivrances de l’esprit.
De même que les oiseaux font
monter vers toi leur ramage pour exprimer leur joie, fais en sorte que
tes enfants élèvent de leurs coeurs
l’iiymnie de louange et die reconnaisSiince à ton saint nom et à l’oeuvre
merveilleuse de tes mains.
O Seigneur, fais que fa renaissance de la nature soit l’image de
notre renouvellement spirituel; guide par ta sagesse le cours des pluies
et des vents, et couronne de fruits
bénis l’honnête labeur de ceux qui
travaillent pour nous procurer > noire pain quotidien.
Bénis notre patrie et toutes les nations de la terre, et au nom de l’amour de Jésus, hâte le jour où la
vraie paix —) ta Paix — régnera icibas pour toute l’humanité, que tu
ne créée pour la gloire immortelle!
Amen.
Aboliamo la tradizione?
L’articolo «XVII Febbraio» di L.
Bertolè sul n. 10 di questo giornale
ha interessato, suppongo, molti lettori del nostro giornale: e siccome
penso che mirasse a sollecitare su
queste colonne uno scambio di idee
in proposito, ecco alcune semplici, riflessioni sui valori della tradizione
nella vita religiosa della nostra Chiesa: poiché l’articolo in questione, pur
limitandosi a parlare del XVII febbraio, riguarda evidentemente tutte
le tradizioni della Chiesa Valdese ed
j giudizi pronunciati da Bertolé sulla
festa dell’ Emancipazione valgono
per il XV agosto, per il costume valdese, ecci.,
La tradizione
non è dogma
Non ci sarebbe neppure bisogno di
dirlo: un carattere distintivo del protestantesimo è di aver eliminato dalla propria dottrina tutto quanto non
era contenuto nella ‘Bibbia, mentre,
come ognuno sa, la Chiesa cattolica
ha attribuito ed attribuisce attualmente grande importanza alla tradizione
Iramandata dalla Chiesa primitiva:
alcuni suoi dogmi e pratiche di culto
si spiegano soltanto con la tradizione.
D’altra piirte notiamo come anche
alcune cerimonie o feste adottate dal
protestantesimo, pur avendo un valore tradizionale e simbolico, rivestono
poi nella prassi delle nostre Chiese
un significato del tutto particolare.
vivificato dal messaggio cristiano.
Ma c’è bisogno di dirlo, perchè effettivamente certe tradizioni (e limitiamo ora l’orizzonte al nostro ambiente Valdese) rischiano di diventar^ dei
dogmi: sono delle tradizioni laiche,
con un certo accento religioso che nello spirito laico che investe tutte le sfere della vita odiìerna, e da parte dei
laici stessi, possono un giorno essere
interpretate male e vedersi attribuito un valore Irascendeitte che non
hanno. Ma non ci consta che finora
mai nessuno dei nostri pastori e nessuno dei nostri catechismi dia a tali
tradizioni un valore cristiano.
Ma essa esiste ■ss
Una visione della vita cristiana, per
quanto rivoluzionària voglia essere,
non può ignorare i fattori dbll’am
biente in cui essa è destinata adì effettuarsi.
Nelle nostre valli, in modo particolare,, la tradizione ha un posto preponderante nella vita quotidiana, sia
essa quella dei campi o dell’officina,
sìa essa quella delle manifestazioni
religiose: essa non può essere cancellata di punto in bianco, e ne potrebbero parlare a lungo e con esempi probanti dei pastori che vollero
portare in gualche parrocchia delle
innovazioni e videro per tale ragione
comjnome^so addirittura il loro ministerio.
Può anche darsi che sia soltanto a
metà per bisogno spirituale e a me^
tà per tradizione che la nostra gente si reca al culto la domenica o alle riunioni di quartiere, come può
dai^si che le giovinette si meitt,àno
la cuffia solo per soddisfare a un gusto tradaz'ionale senza HfleWere all’impegno che prendono: e facciamo
l’ipotesi che solo per tradizione, e in
tutti i campi, dalla lettura della Bibbia aH’offerta per la chiesa, i Vaidesi diano l’impressione di essere una Chiesa vivente: vorremmo perciò
buttare a mare anche ;qued valuri
che possano subito servire ad un richiamo all’Evangelo? Jo non penso
che nessuno sarebbe talmente folle.
C’è di più: io credo che la tradizione è taleaforma mentis» delle nostre popolazioni che le manifestazioni
dì vita spirituale si treisformano in un
accentramento di quelle che sono le
tradizioni nostre: ragione per ;cili
contesto la validità dell’affermazione
di Bertolè: «Il 17 febbraio sembra
ben avviato a ridiventare la classica
festa del paese, con relativo culto e
pranzò finale». Non è faciloneria la,
mia. ma persuasione: e sia pur confinio anche Bertolè che il giorno in
cui vedesse tutte le parrocchie Vaidesi esagerare nei pranzi e nelle reci"
te del XVII, questo proverrebbe in
massima parte da uno spirito più
profondo di coscienza cristiana e di
vocazione missionaria. (Lasciamo naturalmente al nostro egregio collaboratore la responsabilità di ques^ei
sue interessami affermazioni, n.d.r.)
...valorizziamola quindi,
non disprezziamola
Coscienza cristiana e vocazione missionaria: i due argomenti tradizionali sfoderati dai vari, pastori proprio
nelle occasioni che si ripetoào solo
una vplta ull’anno, come il XVII febbraio ed il XV agosto e che, come ii
seme della parabola, cadono in buona
e in cattiva terra, vanno al cuore
apertp di chi ha la consapevolezza di
quel momento e, che quindi poteva
anche stare .a casa se non aveva bisogno della tradizione, e vanno al cuole pure aperto di chi è venuto solo
per tradirione e forse tornerà in seguito per consapevolezza.
Questo mi pare il modo migliore
anzi unico, perchè la tradizione abbia in sè «gitegli elementi e quelle
forze che la rendono attuale^, come
dice Bertele, e : « dunque sarà
meglio lasciar appassire in quelche vecchio cassetto il ricordo
del XVTI febbraio»? No, valorizziamolo, anche se dovesse essere soltanto un semplice richiamo alla fede
dei padri; forse sarebbe bastato questo richiamo a quelche giovanotta valdese, per non profanare la sua candida cuffia: confe può bastare ad uno di noi il ricordo di Castelluzzo o
la visione di un vecchio tempio delle
Valli o la figura di un vecchio pastore o qualsiasi elemento tradizionale
per metterci sulla via della riflessione, del pentimento e della fede.
Augrustò Hugfon
Canto Sacro
FESTE DI CANTO
, Le tradizionali Feste di Canto delle
Corali e delle Scuole Domenicali avranno
luogo D. V. !
DOMENICA 4 MAGGIO, or©
15 : Festa di Canio delle Corali della Val SanlSIMariino
nel Tempio di Pomaretto.
DOMENICA 11 MAGGIO, ore
15 : Festa di Canto delle Co. rali della Valle del Pellice
nelJTempio di S. Giovanni.
N.B. - Le Corali sono vivamentepre/
^ gate di trovarsi, alle ore Ì4 nei locali
\già usati alVuopo gli anni scorsi onde
procedere alle prove degli inni da canr
tare tutti insieme»
DOMENICA 18 MAGGIO, ore
15: Festa di Canio delle
Scuole Domenicali (iellci Val
Sari Martino nel Tempio di
S. Germano.
DOMÉNICA 18 MAGGIO, ore
15 : Festa di Canio delle
Scuole Domenicali dello Val
Pellice nel Tempio di Torre
Penice.
Il pubblico è cordialmente invitato a
partecipare numeroso a queste Feste di
Canto., Le collette saranno devolute alla
Commissione Canto Sacro.
LA COMMISSIONE CANTO SACRO
UN REFERENDUM
In previsione di una eventuale futura revisione dell’Innario Cristiano in uso attualmente preæo la quasi totalità delle Cliiese Evangeliche
in Italia la Commissione del Canto
fcacio alle Valli ritiene niecefssario
fin da ora che il problema sia contemplato e discusiso a fondo dalle
singole Comunità e da tutti coloro
che hanno a cuore l’incremento ed
il miglioramento del càuto nelle nostre Chiese.
In generale l’opinione comune si
dimostra favorevole ad una revisione fondamentale del materiale innografico contenuto nell’Innario attualmente in uso nelle Chiese.
Prossimamente la Commissione invierà a tutti i Pastori delle Valli
una circolare con la richieìSita di alcuni dati molto importanti riguardo
alla conoscenza degli inni italiani.
Tuttavia, sin da ora, la Commissione desidera, raccogliere tutto il
materiale che possa rappresentane
una utile base per questo lavoro di
revisione dell’Innario che .sarà a
s>Uo tempo intrapreso da una appesita Commissione (nominata dal Sinodo per la Chiesa Valdese) e che
sarà composta probabilmente da elementi di tutte lo denominazioni
che attualmente si servono dell’Innario suddétto.
Perciò invitiamo tutti coloro cui
questo problema interessa, di voler
segnalare alla Commissione Canto
Sacro tutti i loro suggerimenti, le
loro critiche, i loro consigli, le loro proposte.
Tutto questo materiale, raccolto
scrupolosamente, sarà, a suo . tempo messo a disposizione della Commissione ^interdeuominazionale chè
si occuperà della revisione propriamente detta.
Tutte le osservazioni e proposte di
carattere tecnico-musicale, di carat-
2
»lîF-;
•í?
L'MflQ QK.LE VALU YALPBil
tere J^ttèrario, liturgico, o dii qualsivoglia altra natura riguardo all’attuale Innario ed in vista idi un nuovo Innario vengano perciò consuuicate al Fresìdente la Commisaioae :
Pastore Edoardo Arnie - Serre 4i
' Angrogna (Torino).
Limitiamo pw ora questo referendum alle Valli Valdesi. La sua riuscita o meno ci dirà se sarà il caso
di estenderlo a tutte le nostre Cinese Valdesi in Italia.
Per ora, una t^la raccomandazione: che le proposte che ci saranno
fatte, siano il più possibile concre
te e non solo di oarattràe gena-'
tale.
La Commissione Canto Sacro.
F. I).
y:
sééâz
Il pastore
CORRADO JALLA
Ci è giunta notizia della morte del
Pastore Valdese Doti. CORRADO JALLA avvenuta il 2 aprile nell’ospedale
di Saraaden (Engadina).
Esprimiamo sin d'ora alla famiglia
colpita dal lutto la nostra cristiana simpatia e ci riserviamo di rievocare, nel
prossimo numero del giornale, la figura dì (mesto nostro collega e fratello
nell’opera del Signore; caduto sulla
breccia. (Redj
Nos principes :
miroir de notre responsabilité
paps une conversation amicale cpii
a eu lieu, naturellement, ayant la votation de l’artiicle 7 (probablement les
deux nouveaux alliés ne permettraient
plus une conversation amicale aujourd’hui) un protestant gui exposait à un
commim'ste les exigences de notre liberté chrétienne, s’entendit répondre:
«en Matière relio icuse nous ,'hm^V£¿
abstinente ».
C’est à peu prés comme dire (pie en
matière d’eau on est abstinents quand
il pleut à torrents.
Cependant le communiste avait raison parce que il constatait une vérité non seulement pour son parti politique mais pour la très grande majo-'
rité de nos concitoyens: - ils sont
abstinents en religion parce que ils
laissent à un intermédiaire le soin de
boire pour leur compte.
Nous. attirons l’attention sur ce fait '
parce qxie dans le monde entier où la
politique avait fait l’effort (le rapprocher sans distinction ceux cpii se disent chrétiens pour les opposer àux
anti-chrétiens, on se rend compte de la
nécessité de distinguer. Voici pouripioi
1 ictus reproduisons les passages suivants d’un article qui vient de para tre
dans «Foi et Vie» : ‘
« Ríen ne gêne plus aujourd’hui (jue
« la rigueur car nous sommes arrivé?
« au point où cette rigueur s’exerce
H tfoirément à contre-courant, c’est à
« dire en remontant les lignes de plus
« grande pente. Or tout ce qui résL
H ste est (jèvenu suspect. L’éx>oque e« xige (pie l’on s’abandonne à elle, et
« qu’on lui fasse le sacriifice de ce qui
« vous tient le plus à coeur: dignité,
« exigences, etc. Comment ée serait
« pas insupportable à un tel monde une
« morale (pii se fonde précisément sur
« ces vertus, une religion qui a suppri« mé tous les intermédiaires, donc tou
« tes les excuses, (pii ignore l’abso« Intion des péchés, parce qu’elle re« pousse la confession auriculaire,
<• et dont le mérite plus éclatant est
« de donner naissance à des hommes
« pour qui le mot scrupule est le si« gne du savoir le plus dévorant.
« Il n’est que trop évident qu’en Fran« ce, pays du catholicisme, du théâ« tre et de la rhétoçipie, où les vé« ritables titres à la qualité d’honnê« te homme sont le sens de la gastro« nomie, l’art de raconter les histoires,.
■ « un caractère expansif, pas fier.
« franc du collier, le coeur sur la
« main, et fout et tout-joù l’on faii
K figure de surnois si l’on refuse de
« se confesser à son voisin de chemin
« de fer. et de puritaioi si .l’on n’a,
« pas pour les choses de la chair ce
« sourire égrillard, vie pariisieime, qui
(( n’est pas moins odieux que la lour« deur scientifique de la «sexologie»
« allemande; où l’art de bien vivre, la
« grande couture et le champagne
« restent les seules valeurs que l’é
■ U tranger veut 'bien nous envier, et en
« échange desquelles il nous a long« temps concédé, cadeau significatif,
« l’honneur de voir la langue fran
■ <c çalse utilisée dans les conversations
« diplomatiques; dont l’art classilque,
• « enfin, fait appel à la fois au naturel
« et à la rhétorique, comme la religion
« officielle joue avec bonheur entre une
« foi réduite à la plus siinple des bon« nés volontés et un rituel qui est de« venu une habitude, en ignorant que
« l’essentiel de l’art, comme de la re« ligior, n’est pas la sincérité mais
« la rigueur, pas l’obéissance à des
« règles, mais à des exigences; il
« n’est donc (pie trop évident que le
« protestantisme fait tache, comme fe« raiJt tache toute morale résolvant
« ses conflits autrement que dans la
« parole, toute éducation qui fait ap« pel à la conscïence, c’est à dire à
« l’in(piiétude, toute démarche intel<1 lectuelle à la recherche d’un abso« lu dont elle a commencé par détrui«f re les intercesseurs. Il y a assez
« peu de chance, il faut l’avouer, (pie
<< le protestantisme devienne jamais
« la religion des Français, mais peut« être serait-il un jour la' dernière
« religion chrétienne. Un communiste
■< me disait en effet: « Ah, s’il n'y a« vait que tes catholiques » On voit
;< asse ; bien ce nue signifie ce soupir.
« Que voulez-vous, ils iront au rap« port comme ils allaient à la messe,
« apprendront leur manifeste comme
« ils récitaient leur catéchisme et le
« dimanche, ils continueront d’aller à
« la pêche, car la sagesse de ces EqU« ses est de ne pas exiger trop, et de
« l'âme ne soit tentée, de se poser trop
« comprendre qu’il faut ocihiper les
« mains et les lèvres pour éniter sue
« de questions.»
Nous rendons hommage à la sévérité de notre corréligionaire françaiè
qui dénonce avec tant d’énergile les
faiblesses de ces concitoyens en même
temps que la force des principes de notre foi Mais nous le faisons uniquemerU pour nous humilier et pour déclarer combien nous sentons notre responsabilité d’avoi^ des principes
aussi solidement chrétiens et d’être si
tristement incapables de vivre en nous
y conformant.
Mais ce sévère examen que nous venons de citer contient aussi un encouragement; c’est le suivant: sous le
fascisme nous avions la tentation continuelle de renier notre foi en nous
.< conformant » à l’époque, nous avons cru un moment sortir de cette
situation, mais voici (pie nous sommes
exposés de deux côtés a un doubles con.
f(>rmisme. D’une part celui de la religion catholique de l’Etat - pour nous
assurer la faveur des puissants - de
l’autre celui qui prétend se servir du
catholicisme d’Etat pour nous libérer
des mieères materielles et des injustices sociales dont nous souffrons et
(pie nous condamnons.
L’article de Foi et Vie nous rappelle
que notre vocation de protestants est
encore une fois de marcher à contre
courant.
E. R.
Campo Giovanile
. di Borgio Veremxi
In risposta alla richiesta dei giovani delle Valli Valdm di aver cosi
pure un campo e non in montagna,
come è ormai tradizione, ma, per
quanto possibile, al mare, la FUV
ha organizzato (lai 23 al 30 marzo
u. s. un campo riservato ai... montanari, nei locali della Pensione
Balneare di Borgio Varezzi gentilmente concessa. ‘
E’ la prima volta che giovani delle varie Chiese delle Valli sentono
la necessità di ritrovarsi tutti uniti
nello stadio e nella meditatone,
})cr cercare, di comune acoordp, di
vivere in comunione dS affetti e di
spirito.
Questo primo esperimento è stato
per molti una rivelazione poiché i
disifattisiti i'.vevano l.predéittj che
nessuna famiglia di contadini avrebbe lasciato i suoi figli a divertirsi per una settimana mentre nei
campi c’è bisogno’ di tanto lavoro.
Invece è con grande tommozione di cuore che abbiamo visto venire questi giovani e giovinette che
per primi hanno compreso quanto
bene avrebbe fatto loro di approfondire la propria conoscenza biblica,
di allargare il proprio orizzonte spirituale e dS godere di tiftti i beni
che la coniuiiità raccolta inloruo al ■
la parola di Dio riceve.
E sulle famiglie che forse hanno
fatto un sacrificio per lasciarli venire, ricadrà la benedizione del bene
che essi hanno avuto e del nuovo
impulso di vita che portano con sè. ’
giorno, dopo la tradizionale
colazione di latte e fiocchi d’avena,
v’era una meditazione che volgeva
su fatti della Settimana Santa, dall’ingresso di Gesù in Gerusalemme,
al tradimento di Pietro e Giuda,
dalla preghiera sacerdotale afla crocifissione. Dopo la meditazione venivano poste alcune domande sull’argomento e queste erano discusse
in quattro gruppi di studio, che sarebbe meglio chiamare famiglie per
Io spirito di semplice sinc:erit8 e
schiettezza che vi regnava.
Al pomeriggio una pas^ggiata e,
in luogo adatto, il breve studio biblico.
Così, colla vista .deH’immenso mare diavanti agli’occhi e nella pace
della natura le parole acquistavano
im fascino maggiore ed erano se<guite dai cuori ripieni dì gioia e di
slancio.
La serata è stata sempre oggetto di
allegria sana e comunicativa. Giochi, trasmissioni radio, canti. Molte
novità per i giochi, molte amicizie
e molto benessere per tutti.
Venerdì 28, una giornata splendida ^ Genova e il giro del porto tìu
un vaporetto. Alla sera una fraterna riunione a Sampierdarena. Molta
gioia, molto affiatamento, felicità di
cuori e di menti, nuova euergià per
la vita di ognuno. Ecco cosa ha dato
il campo di Borgio Verezzi
E più ancora, la Parola di Dio
posta veramente al centro della nostra vita e vissuta nella comunione
con fratelli amati per cui essa è ve^
ramente la « perla di gran prezzo »
che si. deve cercare di possedere
quanto più possibile, con ogni nostra forza anche a costo di sacrifici
jixatcrlali. Amina Bosio
Direzione: Via dei Mille» 1 - Pinerolo
Amministrazione: Via Carlo Alberto,
1 bis - Torre Pellice
Dir. Resp, Ermanno Rostan
ARTI GRAFICHE "^ALPINA,,
Torre Pellice
CRONACA VALDESE
ANGROGNA SERRE
Domenica 30 marzo sono stati amniessi quali nuovi memori di Chiesa i
seguenii catecumeni: Agli Irene l,i3agnau; ; Benech trmina (Chiogauiie};
lidiia Namiy (Adrech) ; Rivoira Udetta
i<-iampas); tii.voira tiorina (Eygardoj;
r rascnia Hita (Kivoires); Gioruaii lima (Adrech) ; Monnet Edmina (Sarsa) ; Besson Giulio (Ruadaval) ; Buffa
italo (Odins); Chiavia Silvio (Cacet);
Kivoira Luigi (Buonanotte) ; Roman Anlato (Ruadaval).
11 Signore che li ha chiamati a far
parte della Sua Chiesa li fortifichi nella Sua grazia dando loro di essere
sempre fedeli alle promesse che essi
hanno fatto.
— I nostri Culli di Pasqua sono stati
ben frequentati sia nel Tempio di Pradeltorno che In quello del Serre. Buona
la partecipazione alla Santa Cena.
Ringrazi.amo la Corale per la sua molto apprezzata partecipazione a queste
celebrazioni. Il Signore voglia far penetrare nei nostri cuori e trasformare
in potenza di vita rinnovala le precìicazioni che nel Suo Nome ci sono state
rivolte. e. a.
E0Ö510 PELLICE
Al l! UTUHGIGI DEL MESE DI
iVlAlt/iU 1347
B.^’I’TESlMi: Buy Pietro di Daniele
e ui Beruiiat Madualena — .Kostagnoi
Bieuo uaviue di Giuseppe & di PaoiasSÜ iVlauuulena — Gönnet Stetaniiia üi
Aieiano e di Pontet Susaima —i Pontet
Giovanni Carlo di Giovanni e di Gras
Murgiierita Negrin Graziella di Stelano e ui Negrin Maria — Negrin Fer1 UCCIO id. id.
SEPOLTURE: Baridon Giuseppe
;Couiba Carboneri), deceduto all’Ospedale Valdese, di anni 53 — Garnier Timoteo (Campi), di armi 73 (la di cui
Uuiiiglia ringrazia quanti le hanno dimostrato simpatia fraterna) — Pontet
Giovanni Pietro (Eissart), di anni -43 —
(.harbonnier Anna (Giournà) di anni
69.
Iddio benedica e santifichi quelli che
sono nella gioia, e benedica e consoli
quelli che sono nel dolore.
— La Settimana Santa ha fatto accorrere ogni sera, per le adunanze
quartierali, molti fedeli La mattina
del Venerdì Santo una numerosa assemblea assisteva commossa alla Confermazione di 21 C.at6cumeni. A Pasqua la Chiesa erg gBémita, ed un numero straordinario di comunicanti si
avvicinava alla Sacra Mensa. In queste due solennità, la Corale eseguiva
in modo molto lodevole due bei cori
sotto Tesperta direzione dell’instancabile signora Elena Geymonat.
— Molto gradita la visita.' dei pastori
Tullic» 'Vinay e Paolo Marauda, i quali
hanno rivolto ai giovani dei vibranti
ed efficaci appelE che certamente Iddio
benedirà. Le varie sezioni della FUV
hanno offerto al pubblico delle serate
molto .apprezzate. La .gioventù sempre
attende agli studi biblici che sono la
parte principale delle sedute unioniste.
— Molto riuscita la «festa dei barn’biui» organizzata con grande zelo dalla signora Armanda Ricca. Festa seguita da una vendita di beneficenza
con relativo «Buffet».
— Inviamo al Pastore titolare, dott.
Alberto Ricca, un cordiale saluto, coll’augurio di abbondanti benedizioni
per la missione ch’egli è stato chiamato a svolgere fra i nostri fratelli del
Sud-America.
G. Bertinatti.
LUSERNA S. GIOVANNI
I Culti 'della Settimana Santa hanno
lasciato in tutti un ottimo ricor do, e a
'Ulti hanno fatto sentire quanta potenza di benedizione potrebbe essere ractliiusa nei nostri culti, se, sempre, raccuglies^ro deile assemblee compatte e
ferventi, come quelli, della domenica
delie Palme o (li Pasqua,
— La Corale, che con la sua partecipazione ha arricchito i culti della
Settimana Santa, si è recata al Rifugio il pomeriggio di Pasqua, rallegrando immensamente i rmoverati con
il canto degli inni. E’ purè stata celebiata la Santa Cena a cui hanno partecipato tutti gli ammalati.
— Sono stati battezzati, al culto di
Pasqua, i bambini Mourglia Adriana,
Rivoiro Walter e Comba Luciana.
II 31 marzo abbiamo accompagnato
alla sua ultima dimora terrena la salma di Ayassot Virginia ved. Pittavino, deceduta improvvisamente iit età
di 80 anni ai Bellonatti. — Al Rifugio
il 3 córrente si è serenamente addormentata Platano Amalia ved. Rolando,
da pochi giorni giunta da Torre Peliice, dove aveva passata tutta la sua
vita. Esprimiamo ai parenti colpiti da
questi lutti la nostra simpatia cristiana.
— Preghiamo chi ancora non lo avesse fatto di ritirare presso gli anziani copia della relazione/Sinodale che
verrà discussa nell’assemblea' di Chiesa deU’ultima domenica di questo mt!
MASSELLO
Con lusinghiera votazione sono stati
eletti a Diacono della Chiesa MEYTRE
ORESTE, del Milan, e ad Anziani
GAYDOU ENIRICO, per il (juairtilere
del Chabers. TRON EMILIO per quello del Grangedidier, e PONS ERNESTO per il Campolasalza.
Ci congratuliamo vivamente coi neoeletti e facciamo voti che il loro ministerio sia in benedizione alla Chiesa
tutta.
PINEROLO
Il Pastoie di Pinerolo terrà la settiimana prossima due confereiiz# nel
Teatro Sociale delia città sui seguenti
argomenti :
23 Aprile - ore 21
JVé angelo nè bestia
24 Aprile - ore 21
Verso un ordine veramente
nuovo
L’assemblea di Chiesa è convocata
Per domenica 27 Aprile, alle ore 15,
con il seguente programma:
.Hctaz%ne mi problema dell'autonomia ecclesiastica e sull'ordinaménto dei distretti.
Elezione dei delegali alla Conferènza Distrettuale e al Sinodo.
Varie.
attendiamo dai membri di chiesa una
partecipazione aU’Asaiemblea che sia
l’indice della vita e dell’iute resse della comunità per questi ijmpnrtanti
problemi.
POMARETTO
La domenica delle Palme sono stati
Coufenriati nella alleanza del loro battesimo ; Baret Ìlda di Paolo (Inverso
Piriasca). Ghambon Mirella di Guido
(Iti.), Gardiol Iside di Paolo (id.), Laetsch Giovanna di Giovanni (Perosa),
Long Liliana di Davide (Inverso Pinasca), Maurino Natalina di Luigi (Pinasca). Maurino Simona di Alessajidro (Pelosa), Ribet Adelina di Giacomo (Inverso Pinasca), Ribet Giannina
di Umberto (Clot Boul.), Rostagno Jo,landa di Fernando (Inverso Pinasca),
Troll Emma fu Eli (Pomaretto). Baret
Attilio di Enrico (Inv, Pinasca), Castagna Silvio di Giulio (id.).Coucourde
Nino di Umberto (id.). Giraud Guido
di Enrico (Pomaretto). Long Amato di
Giulio (Inv. Pinasca), Long Renato di
Davide (id.), Pastre Filiberto di Filiberto (Puy di, Pomaretto), Serre Luigi
(Inverso Pinasca) e Tron Hermon fu
Eli (Pomaretto).
La cerimonia, come sempre commovente, .è stata resa più suggestiva da
un coro di voci femminili adatto alla
circostanza. — C#ri catecumeni avete
scelto la via della fedeltà: seguitele
tino alla fine coli l’aiuto del Signore.
— Domenica sera. 23 marzo u. s.. il
dott. ALDO RIBET ha tenuto davanti
ad un pubblico numeroso ed attento
una interessantissima conferenza sul
tema in quel momento molto attuàit ;
«Lo Stato repubblicano italiana .sarà
laico?».
Ringraziamo molto sentitamente il
0 )11 Ribet per la gradita visita esprinu ì dci il desiderio di riudirlo su argoiii -nti che sono di tua particolare coml)Cicnza.
-- Ricordiamo eh© | membri di Chiesa sono convocati in Assemolea per
domenica 13 corr. alle ore 14,30 in un
salone a pianterreno del Convitto
di Pomaretto.
- /RORA’
LA DIPARTENZA DELLA POETESSA DI RORA’, -» li Signore ha richiamato a sè la noscra sorella lourn
Boncoeur Gabriiella nel suo 80.mo anno di età. La sua morte è stata edificante,’'Finché lia potuto parlare ha rivolto a coloro che la visitavano parole
di fede e di speranza e quandi), a poche ore dalla fine, (incapace ormai idi
articolare una parola. 11 Pastori le domandava se malgrado le sue sbfleren/.e potesse ancora pregare e sentire
il suo Signore vicino a sè, agltand,osi
tutta come se quella estrema testimonianza avesse per lei molta importanza, faceva ripetutamente cenno dd si e
gìungevà le mani in atto di preghiera.
Magna Gabriella era invero uria figura caratteristica e tipicamente Valdese. Dal pio pastore G. D. A. Hugop
era stata condotta alla conversione e
ad una fede pietistica- da madre natura avea egreditato la capacità di scriver versi con notevole versatilità. Lapoesia fu il suo talento e la sua m ssàone.
La sua poesia non era certo perfetta
e tradiva ad ogni passo la mancania
dì cultura, ma aveva cpiesta bella, costante caratteristica di cantare in ogni sUa strofa la gloria di. Dio e la
proclamazione della Buona Novella.
Ora essa gode quel riposo così spesso invocato. L’abbiamo salutata distesa nella sua piccola bara, tutta circondata di fiori e col volto sereno cinto dalla candida cuffia valdese come
da uba aureola, ì suoi' canti di
lode a Dio e i suoi appelli appassionati restano come ufi buon profumo delTopera sua e porteranno ancora dei,
frutti,
Le estreme, onoranze alla salma della estinta ebbero luogo il 19 marzo u.
•.
Abbiamo salutato la dipartenza di
un'altro dei nostri vecchi II Signore
ha richiamato a Sè il 24 marzo u. s.
il nostro venerato fratello TOURN
Giovanni bartolomeo dì anm 83.
Padre del nostro diacono delle Fucine, era stato egli stesso anziano di
(fiiel quartiere per quasi venti anni.
Era stato chiamato a quel postd( di responsabilità. che da ben 26 anni era
vacante, il 14 maggio 1915 in Un momento particolarmente difficile per la
Chiesa è lo aveva tenuto fedelWeirte,
anno dopo anno, fino al 1933, quando
aveva dovuto dimettersi per ragioni di
salute. T.Tomo umile, mite e buono, era
spesso chiamato per fare da mediatore
là dove qualche contesa aveva turbato
la pace delle famiglie e dei vicini.
Una numerosa schiera di parenti e
di arnici tributò le estreme onoranze alle sue spoglie e diede ai figli aCaitti nn.a dimostrazione di solidarietà e di
.affetto fraterno che riuscì loro grandemente benefica. '
La Chiesa ricorda sulla sua tomba
la parola di Gesù: Beati i facitori di
pace perchè saranno chiamati figliuoli
di Dio.
Centro Evangelico di Cultura
di Torre Pellice
Per iniziativa del Centro Evangelico
di Cultura, domenica 20 corrente alle
ore 21 .nella Sala di Piazza della Libertà avrà luogo una conferenza, tenuta dal prof. Attilio Jalla, sulTargomento: UN TRAGICO PROBLEMA
DELLA VITA ITALIANA: LA QlllS'I’IONE MERIDIONALE, impressioni
ed esperienze d’un viaggio recente. Il
pubblico vi è cotoialment Invitato.
— Domenica scorsa, nella stessa sala, il pastore Dott. Ernesto Ayassot
lià svolto in modo molto interessante
e vivace il tema: Può il pjiondo moderno essere cristiano^ Dopo aVer esaminato i pareri espressi prò e contro
da pensatori moderni, l’oratore, con eloqiienza calda di convinzione, ha dimostrato come la potenza del cristianesimo può in qualche modo penetrare
nel mondo moderno e portarvi efficaci
elementi; di vita nuova. — Il puliblico
con nutriti applausi espresse il suo
ni auso riconoscente per la bella conferenza.
Si è spenta all'Aia (Olanda) nel suo
7 ’annoi
Maria Maddalana Rlweira
Ne danno il triste annunzio il fratello, i nipoti ed i parenti tutti,
«Ho terminato la corsa, ho serbato la fede». (2 Tim. IV, 7)
Mìlano-Brescia, marzo 1947.
La famiglia Romano commossa per
la dimostrazione di stima tributata alla indimenticabile mamma
Romana Canarina nata Radino
ringrazia sentitamente tutte le persone che presero parte, ai funeiiili, coloro ì Quali prestarono il loro aiuto nei
mom^ento del bisogno e che in qtuiMàsì modo si unirono ad essa nel dolore
r nel conforto
S. Secondo di Pinerolo, 4 aprile 1947
JHHHNHNNNHHNHNNlHr
0RfCCHI-NAS0“G0LA
Il dr. DANIILf ROCHRT visita tutti I
VENiRDi dailR IO allo 12
presso il Dott. QardioI viale Fuhrmamv, 1 - Tolofono 77 - Torre Pàllieo