1
Cinqnante-haitième année.
22 Décembre 1922
N° 51
L ErjïlO DES VALLEES
Pt
■^dS-'
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
iRlEMENTi
5, —
6, —
Vallées Vandoises ...........
Italie (en dehors des Vallées) et Colonies .
Etranger ................ ...
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w J.e Numéro I !XO centimes .w
Que tontes les choses vraies, honnêtes, justes, pares, aimables.4{«f dignes de lonange, occupent vos pensées. (PMI. iV, 8).
Pour tous ceux qui ont choisi la bonne
part et qui comprennent le but de la vie,
les derniers jours de l’année sont tout particulièrement solennels. C’est un temps de
recueillement où nous devons jeter un regard en arriéré sur l’année que les fêtes
de Noël terminent si bien, et nous préparer sérieusement à un avenir inconnu. Il
s’agit aussi de noms examiner nous-mêmes
en nous adressant cette question : « Qu’aije emporté du temps écoulé ? Quel bien
mon cœur a-t-il retiré de la naissance de
mon Sauveur ? Qu’est-ce qui me reste, me
manque pour aller en avant? Qu’est-ce que
je vais prendre ou trouver dans cet avenir ? ». L’homme du monde emporte des
jours qui ne sont plus, bien des choses qui
lui sont un pesant fardeau, parfois une
malédiction ; souvent tout son travail ne
lui a procuré que la nourriture et de passagères jouissances, rien pour l’éternité !
Et pourtant, lorsque vient Noël, nous
voyons apparaître dans son ineffable douceur la figure de Jésus qui nous dit: « Mon
enfant, donne-moi ton cœur ! Si tu veux
te donner à moi et te laisser conduire sur
mon chemin, je t’enlèverai ton fardeau ».
Chers lecteurs, ce langage a-t-il pénétré
votre âme ? Votre cœur va-t-il à la rencontre de Celui qui vous fait une offre si
charitable ?
Parmi ceux qui entendent aujourd’hui
cette divine invitation, il ne devrait y
avoir qu’un sentiment; tous devraient préférer le Fils de l’homme, son salut, son
amour, à ce monde qui passe avec sa convoitise. Tons devraient dire du fond du
cœur : « Nous avons trouvé le Seigneur »
et nous sommes à Lui. Mais les chrétiens
les plus avancés ne peuvent pas encore le
dire avec assez de vérité, jamais ils ne
sentiront assez ce qu’est pour eux Celui
qui pourtant est leur tout ; cependant,
plus ils s’approchent de Lui, plus ils sont
résolus à ne jamais s’en séparer. Chaque
jour devient de plus en plus pour eux une
fête de Noël, où lè Christ vient habiter
en eux. - - Mais vous, dans le cœur desquels Jésus-Christ n’est pas encore descendu, et qui ne connaissez pas la joie de
Noël, où allez-vous ? où aboutira votre vie
si vous vous excluez vous-mêmes des fêtes
du Royaume des cieux ? Jésus-Christ n’est
lié à aucun temps ; il peut venir à nous
aujourd’hui aussi bien qu’hier, mais viendra-t-il demain ? vous qui le renvoyez de
jour en jour, viendra-t-il sur votre lit de
mort ? demandez-le à Celui qui a déclaré
que plusieurs heurteront à la porte après
que le père de famille l’aura fermée !
Qu’il n’en soit pas ainsi, mais plutôt comme les bergers de Béthléhem, dès qu’ils
eurent entendu le message des anges,
cherchons le Fils de Dieu, et nous le trouverons.
I^es paroles qui attirèrent les bej:gers
au Sauveur, à sa naissance, nous ont-été
adressées bien des fois ; en sera-t-il comme si vous ne les aviez pas entendues?
poursuivez-vous toujours « la vaine conduite que vous avez héritée de vos pères,
et ces convoitises charndiies qui font la
guerre à l’âme», malgré le message céleste, malgré la naissance du Sauveur qui
nous invite à de meilleures choses ? —
Quand un cœur sincère cherche véritablement le salut, il ne lui faut pas des invitations si répétées ; il ne remet pas de
jour en jour d’aUer à Jésus-Christ, et ne
prend pas conseil de la chair et du sang,
qui n’hériteront point le Royaume des
cieux. Dès que les bergers eurent entendu
le message de l’ange, « ils s’en allèrent en
grande hâte ». — Quand il s’agit de trouver le Royaume de Dieu, le Sauveur,
quand il s’agit d’entrer dans le chemin qui
mène à Lui, il vaut la peine de se hâter,
de se décider promptement, d’agir avec
vigueur. — Celui qui cherche ce que Dieu
l’invite à chercher trouvera, et plus qu’il
n’espère. Les bergers « trouvèrent Marie
et Joseph, et le petit enfant» qui apportait le salut au monde.
Tous les mouvements et toutes les pensées du cœur de l’homme sont à chercher
quelque chose qui lui manque, si abondants
que puissent être ses biens terrestres. Depuis l’enfance jusqu’à la vieillesse il cherche et désire toujours. Mais qu’ils sont
rares ceux qui peuvent dire que leur cœur
est satisfait, qu’ils ont trouvé dans le
monde ce qui leur manquait ! — Ceux qui
cherchent le Seigneur au contraire « courent, mais non sans savoir comment »,
cherchent, mais non à l’aventure ; les directions de Dieu les guident, la fidélité de
Dieu les garde, la gloire que Dieu leur
destine les attend. Ce qu’ils trouvent n'est
pas un bien passager qui bientôt fuit de
devant les yeux et s’efface de la pensée ;
c’est xme vie pour le cœur, une nourriture pour Fâme, un feu qui réchauffe l’esprit ; c’est une xne que la vertu de Dieu
renouvelle de jour en jour, tandis que
« l’homme extérieur se détruit ». Car Celui que nous cherchons et que nous trouvons à Bethléhem, c’est Jésus, la réalisation de nos désirs et de nos espérances,
Jésus la délivrance de nos fardeaux. Conduits par sa main, nous marchons toujours en avant ; soutenus par Lui, nous
ne saurions retomber sous la puissance du
mal ; dans sa communion, le péché perd
son aiguillon ; et avec sa justice la joie du
salut augmente dans nos âmes comme la
lumière du jour. — En le trouvant, nous'
trouvon.s toutes choses ; et prosternés devant la crèche de Bethléhem, nous célébrons une heureuse fête de Noël, et nous
entrons avec confiance dans une année de
grâce. Bartu. Soulier.
M. CHARLES DECKER.
Rappelons-le avec reconnaissance. C’est
un bon Vaudois que nous avons perdu, un
Vaudois de la vieille roche. Son nom rappelle bien l’origine étrangère de sa famille ; mais sa mère était Vaudoise, d’une
ancienne famille de La Tour, dont le père
avait été pasteur ; et il était, lui, tout ce
quTl y a de plus Vaudois. Un vrai fils des
Vallées.
V II naquit le 4 Janvier 1864, à Turin, où
ipn grand-père s’était établi depuis longtemps. Il passa cependant ses jeunes années à La Tour, où son père infirme avait
tfansporté sa famille. Il fréquenta le Colli|ge pendant quelques années, jusqu’en
I^étorique ; puis, ne sê sentant pas taillé
ïfiur les études classiques, il les abandonna
éins regret, pour se donner au commerce.
C’était bien là sa voie. Il était né commerçant. Aussi sut-il faire son chemin. Et
ii n’était pas aisé, tout d’abord, car il dut
ifartir du premier échelon. Il commença
giar être commis de magasin. Mais son inlèlligence naturelle, son activité incessante
et son honnêteté sans défaillances le firent
aller de l’avant. Bref, en peu d’années il
fut à la tête d’une bonne Maison de cornnierce à Turin, où il put, à son aise, braSdu travail et faire de bonnes affaires.
, D’autres ont eu le même avantage ;
(fautres ont su, par leur travail inteUi^nt et honnête, se faire une bonne positon au soleil. Ce qui le distinguait parmi
bSus c’est ce qui manque à beaucoup d’autres : le sentiment de la responsabilité du
lîche. La richesse est un dépôt que Dieu
confie à rhomme ; un dépôt dont il devra
Mi rendre compte.
Charlea Decker était un homme de
cœur à tous égards. Son dévouement filial,
envers sa mère, affligée d’un long veuvage,
a édifié tous ceux qui l’ont connu ; ses actes de bonté, au sein de sa famille, de près
et de loin, sont sans nombre. Mais sa générosité ne connut pas de bornes. Nous ne
connaissons pas d’œuvres de bienfaisance
et de relèvement social, au milieu de nous,
qui n’ait eu son puissant concours. Il
payait souvent de sa personne, toujours
de ses moyens financiers, avec libéralité.
Les Vallées cependant avaient pour lui
un attrait singulier, qui sembla s’intensifier encore avec l’âge. Tout ce qui concernait le peuple et l’Eglise des Vallées,
tant au spirituel qu’au temporel, lui était
fort à cœur. Il en vivait, ces dernières
années. Aussi le Synode eut-il une bonne
inspiration, lorsqu’il le nomma, en 1910,
membre laïque de la Table Vaudoise. 11
fut, pour cette Administration, une précieuse acquisition ; car il y apporta, avec
toute son expérience, remarquable d’homme d’affaires, son activité sans réserve —
fut-ce même en négligeant ses propres intérêts — et une fidélité à toute épreuve.
Les douze années qu’il fut administrateur
de la Table constituent pour lui un titre
à la reconnaissance de l’Eglise entière.
11 était en outre, depuis quelques années, conseiller communal de La Tour. Là
aussi son cœur de bon citoyen le poussait
à agir, dans le sens de soutenir toute
bonne œuvre, de procurer le bien-être général, de favoriser tout progrès. Il était
à ses débuts. On s’attendait encore beaucoup de lui, comme administrateur de la
Commune : de son expérience, de son activité, de son dévouement à l’intérêt public. Et certes il aurait pu lui consacrer
ses dernières années de repos, lorsqu’il se
serait retiré des affaires, au sein de sa famille, dans sa chère Torre Peilice, si Dieu
n’en avait décidé autrement.
11 est tombé sur la brèche, quoiqu’en
un moment de repos, en pays étranger.
lorsqu’il se préparait à reprendre sa tâche
au milieu de nous !
Il nous laisse un nom béni et un exemple à suivre. David Jahier.
L’Echo des Vallées s’associe, sans réserves, ail témoignage d’admiration et de reconnaissance émue qu’un ami intime du
défunt vient de rendre à la mémoire de
M. Charles Decker. Qux>iqu’une grande
partie des libéralités de ce bon Vaudois
ne soient connues que des intéressés, notre
feuille a enregistré, au cours de ces dix
dernières années, des dons considérables
à côté du nom de celui que nous pleurons
aujourd’hui ; et cela chaque fois qu’un appel venait de l’Eglise ou du peuple Vaudois. M. Decker donnait largement et se
donnait sans compter, aussi sa mémoire
bénie vivra-t-elle longtemps au milieu de
nous.
Nous renouvelons à M.me Decker, à ses
chers enfants, à tous les parents l’expression de notre profonde et sincère sympathie.
Le schisme Tchéco-Stoqne.
Depuis quelques années, le clergé tchécoslov.aque avait envoyé à Rome une délégation auprès -d« Vatican pour réclamer
des réformes urgentes, entre autres l’abolition du célibat des prêtres. Benoît XV
se montra d’une intransigeance absolue et
envoya à Pi;ague une Commission d’enquête. Malgré toute l’habileté des négociateurs de paix, l’opposition à Rome s’accentua d’une manière saisissante. On forma une ligue et on proclama la fondation
d’une Eglise nationale, indépendante de
Rome, gardant cependant l’organisation
épiscopale. On trouva un évêque bulgare
qui se prêta à consacrer les prêtres, et on
alla de l’avant avec courage.
Rome, voyant qu'elle ne pouvait plus enj-ayer le mouvement, donna quinze jours
de temps pour rentrer dans l’ordre, mais
on fit la sourde oreille et le Saint-Office,
le 9 novembre, lança l’excommunication
majeure contre l’Eglise Nationale Tchécoslovaque.
Le Corriere délia Sera, organe eléricolibéral, croit bon d’atténuer l’importance
du schisme, en déclarant qu’il s’agit d’un
petit nombre de rebelles, guidés par des
tribuns sans valeur.
La pillule amère peut être avalée en
Italie, après une telle déclaration, mais en
réalité, les choses sont bien différentes.
D’après des données certaines fournies
par des Tchéco-Slovaques et par un américain, le doct. Good, qui s’est rendu sur
les lieux, il s’agirait d’environ deux millions d’âmes qui suivraient l’Eglise Nationale indépendante, et environ cent mille
autres qui se seraient réunies à l’Eglise
réformée ou presbytérienne.
Rome vante la conversion de certains
protestants isolés qui passent dans son giron ; pourquoi cacher ce qui ne peut être
ignoré et qui indique que l’esprit de liberté : e mmiifeste un peu partout avec
enthousicisme ? Ah ! la vérité, la simple
vérité, comme on en a peur ! et cependant c’est elle qui triomphera.
C. A. Tron.
2
Pou[ i Livie Ae Mm.
On n'a probablement pas oublié que la
Pro Franeese s’est proposé et se propose
la révision de nos livres de lecture français, des différents degrés. Sur son initiative r« Acheminent à la lecture » a été
refondu, transfm'mé, il y a quelques années, par les soins de Mlle A. Viglielmo,
et répond maintenant, à tous les points
de vue, aux besoins de nos petites écoles.
Ce serait maintenant le tour du « Premier
livre de lecture » {le petit Richard), que
la Pi'o Franeese, avec la précieuse collaboration de la Société Pédagogique Vaiidoise, se propose de reviser dans la mesure et dans lès formes clairement expliquées dans la circulaire ci-jointe.
Vous voyez, d’après les signatures de ce
document, que les membres de la « Commission de révision » — trois personnes
dont la compétence ne saurait être mise
en doute — sont membres de la Pro Francese, et deux d’entre eux, membres du
Bureau de la Société Pédagogique. Que
veut-on de plus ? Se serait-on encore
heurté à des susceptibilités que je ne
m’explique absolument plus ? Croit-on que
des Vaudois des Vallées, uniquement parce
qu’ils sont tels, manquent des qiwlités et
des aptitudes voulues pour la rédaction
et la compilation d’un livre de lecture
pour nos écoles ? Ou bien y a-t-il autre
chose encore ? Qu’on le dise franchement
alors, p>our que nous sachions à quoi nous
en tervir.
Savez-vous combien de nos collègues des
écoles élémentaires ont répondu à la circulaire de la Commission ? Exactement
trois, jusqu’ici, et voilà trois semaines
qu’elle leur est pxirvenue ! Avouez que ce
n’est guère flatteur; c’est même plutôt
décourageant.
Cependant, avant de jeter le manche
après la cognée, la Commission me charge
de conjurer, par la voie de i’Echo, tous
les collègues de répondre, ne fût-ce que
quelques mots, d’apjrrobation ou de désapprobation, et cela pour sa gouverne, pour
qu’elle sache, au plus tôt, s’ü vaut la peine
qu’elle se mette à l’oeuvre. j. c.
Chers Collègues,
La Commission chargée de la révision
du Premier Livre de I^ecture (Le petit
Richard), avant de se mettre à l’œuvre
désire vous soumettre le programme
qu’elle se propose de réaliser, dans l’espoir
que vous voudrez bien l’approuver et lui
donner, le cas échéant, vos précieux conseils. Elle compte sur vous pour l’adoption
du volume, qui paraîtra, D. V., l’an prochain, et vous prie de lui communiquer le
plus tôt possible, avec votre adhésion, le
nombre approximatif des exemplaires
qu’on pourra écouler chaque année dans
votre classe.
Le livre nouveau aura le format actuel
du « Petit Richard », mais le nombre des
pages sera porté à 140, dont 60 formeront*
la première partie (pour la 2.me classe),
et 80 la seconde partie (pour la 3.me
classe). Quelques pages un peu lourdes seront modifiées et rendues plus alertes. Les
chapitres de caractère confessionnel (qu’il
faudra supprimer pour l’adoption de l’ouvrage dans toutes nos écoles), seront remplacés par de nouveaux chapitres de leçons de choses, et les deux parties du volume, sensiblement enrichies par des récits vifs et animés, adaptés pour l’enfance
et tirés des meilleurs écrivains français
contemporains (Lichtenberger, Richepin,
etc., etc.), et par quelques poésies brèves
et faciles.
Le livre, cartonné, sera vendu par la
Typographie Alpine de Torre PeUice à un
prix très modique (2,50 à 3 frs.).
Voilà en quelques mots ce que nous nous
proposons de faire, à condition de trouver, dans les maîtres et maîtresses d’école
des Vallées, l’appui qui nous est indispensable.
Torre PeUice, 24 novembre 1922.
La Commission :
Albert Sibille
Joséphine Arnoulet
Eli Long.
SogsEriplin pmi te Itapte m Item
(Würtemberg).
Listes précédentes, L. 1.340 — MM.mes
et MM.rs : J. P. Massel, instituteur, 5 —
Edouard Jalla, pasteur, 15 — Prof. Balnia, Pignerol, 10 — Rag. Bertin, Id., 10
— Louis Forneron, Id., 5 — J. P. Geymo- .
nat, Id., 4 — Louise Geymonat, Id., 3 —
Philippe GriU, Id., 5 — Ernest Mourglia,
Id., 3 — Fanny Long-Rivoire, Id., 5 —
Léontine Rostan, Id., 8 — Prof. Peyronel, Id., 10 — H. Tron, pasteur, Id., 10 —
Henri Ribet, Turin, 100 — Collecte au
temple, Saint-Jean, 81,50 — Mad. Rostan,
Id., 2 — S. et P. Robert, Id., 6 — J. J.
Jourdan, instituteur, La Tour, 5 — Joseph
Besson, diacre, Id., 10 — Henri Breuze,
Fontaines, 10 — Guido Godino, capo-stazione, La Tour, 10 — Marguerite Grass,
instit., Id., 5 — Madeleine Revel, Id., 1
— Jacques Hugon, Id., 10 — H. Tron,
pasteur, Bobi, 5 — M.me Rostan-Vinçon,
Saint-Germain, 10.
De Viüesèche (L, 111,05) : Collecte à la
porte du temple, L. 25,55 — FainiUe Genre
Alexandre, 5 — Genre Barthélemy, 1 —
Peyrot François, Troussiers, 5 — Léger
Marie, veuve, 2 — Bounous Pierre, ancien,
5 — Bounous Auguste et famille, 10 —
Bertoch César, 2 — Bertoch Frédéric, 2
— Ferrier Catherine, 1 — Ferrier Laurent, 1 — Clôt Jacques, 0,50 — Bounous
Pierre, fils, 1 — Bounous Pierre, 1 —
Constantin Marie, veuve, 1 — Constantin
Barthélemy, 1 — Micol Marie, veuve, 1
— Jacumin Jacques, 1 — Bounous J. P.,
5 — Clôt Alexandre, 1 —- Bounous Henri,
3 — Perro Alexandre, 3 — Perro Adèle,
2 — Tron Henri, 2 •— Perro César, 5 —
Viglielm Pierre feu Phil., 2 — Léger Frédéric, 4 — Bounous J. Pierre, 7 — Clôt
Antoine, 2 — Clôt Alexandre, Combegarin,
2 — Clôt Varizia Lévi, 4 — Peyronel Marguerite, Molière, 1 —- Peyronel César,
syndic, 2.
De Proli (L. 103) ; Perrou Jean, Coin,
L. 2 — Gris Jean, Id., 2 — Peyrot Jean
feu Antoine, Orgères, 3 — Berger Philippe, Adroits, 3 —■ Grill Etienne, Jourdan, 3 — Menusan Pierre, Adroits, 3 rBarus Louis, ancien, 2 — Grill Henri, id.,
2 — Richard Etienne, id., 2 — Pascal Fr.,
id., 2 — Perrou Jeanne, Adroits, 2 — Grill
François, petit, ViUe, 5 — Berger Antoine,
Adroits, 2 —■ Ghigo J. Daniel, Ghigo, 3 —
Rostan Etienne, Id., 2 — GriU J. Daniel,
Pommiers, 2 — Peyrot Jean, Orgères, 2
— Peyrot Jean Michel, Id., 2 — Martinat
Phil., Adroits, 5 — Garrou François, Ville,
2 — GriU François, gros, Id., 2 — Richard
F. C., Id., 2 — GriU Et. feu Et., Malzat, 2
— Rostan veuve, Id., 1 — Rostan Et., Orgères, 1 — Perrou frères. Coin, 3 — N.
N., 5 — Richard Jean, Vide, 2 — Artus
Daniel, Adroits, 5 — Ghigo Etienne feu
Ph., Ghigo, 1 — Rostan Henri, Coin, 2 —
GriU Marguerite, veuve, Id., 2 — GriU Antoine, Id., 1 — Peyrot J. Et., Adroits, 2 —
Garrou Jean, ViUe, 1 — Rostan Pierre,
Ghigo, 2 — Coïsson B., Id., 1 ■— Rostan
Albert, Pommiers, 1 — Grill Philippe,
Adroits, 2 — Barus Pierre, Ghigo, 2 —
GriU Et. feu Pierre, Malzat, 2 — Rostan
Sus., veuve. Pommiers, 2 — Bertin Marie
veuve Richard, Ville, 1 — Martinat M.
veuve GriU, Pommiers, 2 — GriU François feu Pierre, ViUe, 5.
Total général L. 1902,55.
En clôturant notre souscription nous
remercions chaleureusement les généreux
donateurs pour la preuve de fraternité
qu’ils ont donnée... toujours encore disposés à rouvrir nos colonnes pour les retardataires.
POUR L'ÉCOLE DE RODORET.
Il s’est glissé, dans la dernière liste, une
erreur involontaire de transcription que nous
nous empressons de corriger. Les trois derniers dons enregistrés dans le numéro précédent doivent être lus comme suit: Collecte
au temple de Rorà, L. lo — U. C. D. G.,
Id., 10 — A. C. D. G., Id., 10. Il s’ensuit que la dernière liste accuse L. 738 -f
L. 15 = L. 753.
MM.mes et MM.rs : Mical Pascal, Milan, L. 5 — S. et P. Robert, Saint-Jean,
6 — Anonymes, Id., 15 — Mad. Rostan,
Id., 5 — H. Tron, pasteur, Bobi, 5 —
Prof. Ribet, 10 — Total L. 799.
NB. Les dons suivants: Prof. Balma,
Pignerol, L. lO — Fanny Long-Rivoire,
Id., 10 — Veuve Léontine Rostan, Id., 8
H, Tron, pasteur, Id., 10, figurent dans
la liste de Y Avvisatore Alpino.
Remis directement à M. Fuhrmann : F.
Bounous, maréchal RR. CC., L. 5 — Enfants de l’école du Dimanche de Rodoret
qui renoncent à l’arbre de Noël, 50 —
Guido Comba, pasteur, 10 — Collecte de
l’église de S. Giovanni in Conca, Milan,
315 — Jules Tron, Rodoret, 10 — H.
Breuza, Fontaines, 10 — Bounous Jean
feu Jean, 10 — François Pons, Gardiole,
10 — Pascal Adeline, Ridarei, 5 — Barus
Madeleine, i — X. Y., 100 — Deux Amies,
20 — Collecte envoyée pour fontaine et
presbytère, passée à l’école, 700 — Louis
Pons, ancien, 10 — Emile Léger, 10 — David Genre, 5 — Marguerite Barrai, 5 —
Fanny Barrai, 5 — Pascal Henriette, 5 —
Jean Balme, 10 — Viglielmo Caterina, 2
N. N., 5.
De la Paroisse de Frali (L. 147): Consistoire de Prali, L. 20 — Grill François>
gros, 3 — Martinat Phil., Adroits, 5 —
Richard F. C., Ville, 2 — Grill Jean, Coin,
2 — Peyrot Jean feu A., Orgères, 2 —
Pe3^rot Jean Michel, Id., 3 — Garrou François, Ville, 5 — Grill Jean feu Pierre, Id.,
5 — Menusan Pierre, Adroits, 2 — Rostan Etienne, Ghigo, 5 — Artus Daniel,
Adroits. 14 — Richard Jean, Ville, 2 —
Rostan Philippe, Pommiers, 2,50 — Perrou Jean, Coin, 1,50 — Berger Philippe,
Adroits, 5 — Veuve Grill Marguerite, Coin,
5 — Grill Antoine, Id., 4 — Barus Louis,
Ghigo, 2 — Rostan Henri; Coin, 2 — Peyrot J. E., Adroits, 2 — Peyrot Phil., Id.,
2 — Rostan Pierre, Ghigo, 2 — Coïsson
B., Id., I — Grill Phil., Adroits, 2 —
Perrou Jeanne, Id,, 3 — Ghigo J. Daniel,
Ghigo, 2 — Rostan Alexis, Id., 5 — Rostan J. E., syndic. 10 — Barus Pierre,
Ghigo. 3 — Grill Et. feu Pierre, Malzat, 3
— Veuve Rostan Sus., Pommiers, 2 —
Veuve Bertin M., 4 — Richard Et., ancien,
Ville, 2 — Pascal Fr., id., 5 — Martinat M.
veuve Grill, 2 — Grill Fr., petit. Ville, 5.
Nous invitons toutes les personnes qui désirent encore contribuer en joveitr de l’Ecole
de Rodoret, à faire parvenir leurs dons directement au pasteur de l’endroit M. Albert
F uhrmann,
CHRONIQUE VAUDOISE.
LA TOUR. M. Italo Mathieu, étudiant
en médecine à Turin, a fait Dimanche
passé, à Sainte-Marguerite, la commémoration de Louis Pasteur, dont on va célébrer le 27 courant le centenaire de la naissance. M. Mathieu a su rendre très intéressant un sujet qui, à cause de son caractère scientifique, est plutôt difficile et
nous a fait admirer en L. Pasteur l’homme de science et l’homme de foi.
— Mariages : Attüio Bellion avec Catherine Coïsson (16 courant) — Pierre Bodoira avec Clara Rivoira.
Nos meilleurs vœux.
— Paroisse Vaudoise de La Tour. Cultes
de Noël et Nouvel-An ; Dimanche 24 Décembre, à h. 10.30 - Culte au temple neuf Culte avec Sainte-Cène aux Coppiers. —
Dimanche 24 Décembre, à h. 7.30 - SainteMarguerite, culte de préparation pour
Noël — Lundi 25 Décembre, à h. 10.30 Culte avec Sainte-Cène au temple neuf —
Dimanche 31 Décembre, à h. 10.30 - Au
temple neuf, Arbre de Noël pour les petits et pour les grands — Dimanche 31
Décembre, à h. 7.30 - Sainte-Marguerite,
culte de fin d’année —- Lundi 1 Janvier,
à h. 10.30 - Au temple, culte du Nouvel-An.
PRARUSTIN. A la dernière heure nous
recevons de cette Paroisse L. 357,80 pour
l’Ecole de Rodoret et L. 73 pour Pérouse
(Würtemberg). Nous publierons prochainement les listes relatives, avec quelques
autres dons qui nous sont parvenus dans
la journée.
RODORET. Une perte cruelle vient de
priver notre Eglise d’un ancien en la personne de Jean Jacques Tron du quartier
de la Ville. Il a été emporté en quelques
jours à l’âge de 50 ans, à la suite d’une
pneumonie. La manifestation unanime de
sympathie que la population a témoignée
aux parents au jour de l’enterrement,
nous prouve le vif regret que nous cause
cette mort inattendue.
A la famille si durement éprouvée, toute
notre sympathie chrétienne. A. F.
ROME. A chacun le sien. La Typographie « La Speranza » de Rome nous prie
d’informer nos lecteurs que le discours du
prof. Luzzi, mentionné dans un de nos
derniers numéros, a été imprimé à « La
Speranza», mais aux frais de l’auteur.
Voilà qui est fait... et qui ne diminue en
rien la valeur intrinsèque de la belle
« prolusione ».
CHRONIQUE POLITIQUE.
M. Mussolini s’étant aperçu que pendant son absence certains groupements
politiques avaient tâché d’organiser des
manœuvres contre le Gouvernement, a obtenu de ses cohègues du Ministère les
pleins pouvoirs pour réprimer sévèrement
toute tentative du genre. Nous en sommes
à la dictature personnelle. Ce qui est bien
plus grave c’est que le Conseil national des
Fascistes, présidé par M. Mussolini, s’arroge le droit d’imposer ses délibérations
au Conseil des Ministres. Il s’agit, pour
le moment,, de la création d’un nouvel ordre chevalereisque (encore!), celui des
« Licteurs », et, ce qui importe davantage,
de la transformation des équipes fascistes en une « année de sûreté nationale »,
dépendant du Président du Conseil, qui
pourra les mobiliser en cas de besoin. Il
aurait de la sorte une armée de 80 à 90.000
hommes qui ne grèverait pas d’une manière sensible sur le budget de l’Etat et
permettrait une très forte réduction des
corps actuels de sûreté publique. Franchement, nous ne sommes pas favorables
à la constitution « légale » de cette puissante armée de prétoriens qui se superpose à l’armée nationale pour servir, non
pas la patrie, mais un parti politique.
A Turin la mort d’un fasciste, tué occasionnellement par un communiste, a déchaîné une réaction tout-à-fait disproportionnée et hors de propos. Tous les fasci.stes de la ville ont été mobilisés, et, après
avoir assassiné six communistes (parmi
lesquels un conseiller communal de la ville)
et en avoir blessé pusieurs autres, ils ont
occupé et incendié la Chambre du Travail.
Nous ne pouvons que réprouver ces actes
de cruauté barbare et de destruction inutile qui ne font certes pas honneur à notre pays et nous espérons qu’ils ne représentent nullement l’expression de la volonté des chefs.
Pour enrayer les évasions fiscales de
plus en plus nombreuses, le Ministre des
finances a décrété la publication annuelle
d’une liste complète des contribuables
dont les impôts seront ainsi conti ôlés par
le public. Il a aussi réduit à 16 lires le quintal les douanes sur les farines qui
était auparavant de 48 lires ; cela amò
nera, dit-on, une diminution dans le prix
du pain calculée de 20 à 25 centimes pai'
kilo.
Malgré les grands efforts en vue de la
formation d’un syndicat unitaire des ouvriers, l’accord est loin d’être conclu. Le
principal dissident est, pour l’heure, le
chef des corporations fascistes qui voudrait, à l'instar de ce qu’ont fait les socialistes jusqu’ici, que le gouvernement ne
reconnût et n’appuyât que sa propre organisation.
3
Après les mémoires des souverains, voici
celles des hommes d’Etat. Cette fois ce
n’est rien moins que le tour de M. Giolitti
qui, contre son habitude, expose, dans un
style simple et précis, dépouillé de toute
rhétorique, les épisodes de sa vie politique
et portant une bonne partie de l’histoire
de l’Italie depuis 1870.
M. Mussolini a fait connaître, par un
long communiqué, les détails de son projet sur les réparations allemandes et les
dettes des Ah'iés. M. Bonar Law a aussi
parlé amplement de la réunion de Londres
à la Chambre des Communes et M. Poincaré en a fait de même en France. C’est
la première fois que des questions si délicates sont débattues en public. Le Président italien est décidé à ne pas se rendre à Paris le 2 janvier si une préparation diplomatique convenable n’est pas
préalablement effectuée. Le point de vue
de M. Mussolini tend à éviter toute solution partielle et dilatoire qui ne ferait
qu’augmenter le désordre actuel. Même en
France la tendance à l’occupation du bassin de la Ruhr est en baisse ; M. Clémenceau a déclaré tout carrément que c’était
une « mauvaise affaire » et M. Poincaré
est un peu revenu de son opposition au
programme italien. Ces dispositions plus
conciliantes ont suscité aux Etats-Unis un
renouveau d’intérêt pour les affaires
d’Europe ; on parle d’un -prêt à l’Allemagne d’un milliard et demi de dollars offert par un groupe de banquifers sous la
• garantie du gouvernement. Il a suffi de
cette nouvelle, que les Français (qui ne
désirent pas l’intervention américaine),
sdéclarent fausse, pour que le mark redoublât presque de valeur en deux jours.
A Lausanne, le problème de la_ protec' tion des minorités chrétiennes en Turquie
a soulevé une discussion si longue et animée que Lord Curzon a perdu son calme
habituel ! Elle est terminée, paraît-il, pour
le mieux (tout se termine pour le mieux
à cette Conférence !) tellement que, pour
donner une preuve éclatante de leur
bonne volonté, les Turcs ont déclaré solennellement qu’ils étaient tout disposés,
après la conclusion de la paix, à entrer
dans la Société des Nations.
Le président de la république polonaise,
Narutowicz, élu le 9 décembre dernier,
vient d’être assassiné à Varsovie. Il représentait le parti démocratique. et a été
victime des nationalistes exaltés. A. S.
Fleurs en souvenir du regretté
M. Charles Decker:
Uoct. Stanilao Rocchi L. 100,—
M. et M.me prof. J. Ribet » 50,—
M. et M.me Cignoni » 500,—
Prof. Attilio Jalla » 20,—
Edouard et Marie Aime » 20,—
L. 6^1^
LES ŸAÜOOIS
jupis par In amis et par leurs enoeuiis.
‘ (Suite, voir N°^ 30-33-35-40-42-46-50)
B. - D'ITALIE.
t. Chefs d'Etat.
Le roi VICTOR AMEDEE III (1726 f
1796), en réponse à une requête du général Zimmermann en faveur des Vaudois,
reconnaît que ses « chers et fidèles sujets
Vaudois ont donné de tout temps'» à ses
royaux prédécesseurs « des preuves constantes et distinguées de leur attachement
' et de leur fidélité » et démontré du déi^voiiement dans la dernière guerre. Et il
ajoute qu’il compte sur « leur zèle, leur
courage et leur bravoure » contre les ennemis actuels (A. Muston, Histoire des
Vaudois, IV, 90-92).
Le roi CHARLES EMMANUEL III
(1504 f 1553), appelle les habitants des
Vallées : « mes braves et fidèles Vaudois ».
Jjs 10 Juin 1831 CH ARLES-ALBERT
(1798 j- 1849), qui venait de monter sur
le trône, reçut en audience % Vén. Tâblo.
11 répondit au discours du Modérateur qui
lui exprimait les sentiments de soumission
et de fidélité de la population vaudoise :
« Je suis sensible aux sentiments que vous
me témoignez, et je ferai tout ce qui dé
BIBLIOGRAPHIE.
Fernanda Buffa, Fanciullezza.
Un joli petit volume de 130 pages, élégamment imprimé par les soins de la Librairie La Luce sur de très bon papier et
qui se vend L. 4, port compris, et L. 3,50
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qu’il s’agit d’un livre pour enfants, mais
pour enfants de 10 à 13 ou 14 ans. C’est
l’histoire intéressante, éducative, captivante d’un élève de la première gymnasiale, écrite d’une plume alerte, en bon italien, et qui. fera les délices de nos enfants,
voire même de gens dont l’enfance n’est
plus désormais qu’un très très lointain
souvenir. Un gentil cadeau de Noël, pratique et pas trop cher.
Un bon calendrier a été publié par la
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turpiloquio ». — Cm. 35 par 16 ; ime
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des notes. Au bas de chaque page, citations d’auteurs renommés, qui se sont prononcés énergiquement contre la plaie du
blasphème. Nous aimerjons voir chaque
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bambini e dalle bimbe fra gli 8 ed i 13
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per le Pubblicazioni :
Il lumicino sulla montagna, L. 3,— franco.
Tre mesi in campagna, » 1.80, »
Il mio nido, » 3.60, »
pendra de moi pour vous rendre heureux.
Mais on ne peut pas faire tout à la fois ;
il faut aller tout doucement et faire peu
à peu...» {Bulletin Cinquantenaire, p. 4).
Le 24 Septembre 1844, Charles-Albert
assistait à l’inauguration du Prieuré de
La Tour. Renvoyant, à Briquéras, le demi
escadron de carabiniers royaux qui devait l’accompagner, il dit à ceux de sa
suite qui se montraient craintifs : « Je
n’ai pas besoin de garde au milieu des
Vaudois» (Bidl. Cinq., 26).
Le même jour, à Luserne, dans le châ- teau du Marquis d’Angrogne, il reçut la
Vén. ’fable, et l’assura « qu’il ferait tout
son possible pour rendre heureux les Vaudois ». — A la même occasion il décora de
la croix de chevalier de l’Ordre des Saints
Maurice et Lazare le syndic de La Tour,
Aimé Combe, vaudois, « perché attesti a
tutte quelle ben amate popolazioni la pienezza della soddisfazione sovrana ». — Et
pour perpétuer le souvenir de cette visite,
il fit élever, à l’entrée du bourg de La
Tour, une fontaine monumentale avec
cette inscription ;
Il Re Carlo Alberto
al popolo che l’accogliem
con tanto affetto - MDCCCXLV.
Le 5 Janvier 1848, Charles-Albert recevait en audience les membres de la Table
Vaudoise; il causa.aimablement avec eux,
et finit par leur dire : « Assurez mes sujets Vaudois que je les aime comme les
fflMRlO CRISTIANO.'
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farsi fare una rilegatura speciale (indicatissimo per regalo di Natale !).
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J. D., Ravadera, Id. — Stallé Ketty, Nice
— Pasquet J,, Buenos-Ayres.
J. Bonnet, Rédacteur-Responsable.
-Torre Pellice - Imprimerie Alpine.
Le 14 Décembre - à Prali - à 2 heures
de l’après-midi, Dieu a rappelé à Lui
dans sa 62^ année.
Le mari Jean Pierre Perron; les enfants: Marie Richard et sa famille,
Barthélemy et sa famille, François et
sa famille, Lydie, Eveline Rostan et son
mari, Adèle, Marguerite, et tous les parents, en donnent la douloureuse nouvelle.
Je suis !a résurrection et la vie. Celui qui
croit en moi vivra, quand même il serait mort.
(Jean XI, 25).
autres ; je lirai vos requêtes avec la plus
grande attention, et je ferai en votre faveur tout ce que je pourrai » (T. Gay,
Histoire des Vaudois, p. 192).
Et il tint sa parole. Le 17 Février de la
même année il sigmait l’Edit d’Emancipation du peuple Vaudois, où nous lisons,
entr’autres, ces mpts : « ...Prenant en considération la fidélité et les bons sentiments
des populations Vaudoises... les Vaudois
sont admis à jouir de tous les droits civils
et politiques de Nos sujets, à fréquenter
les écoles et les Universités, et à remporter les degrés académiques » {BoUettino
Cinq., 73).
VICTOR-EMMANUEL H (1820 J 1878),
le lendemain du désastre de Novare, répondait en ces termes à une députation
de la ’J’aWe qui lui présentait les hommages et les vœux des Vallées : « J’aime les
Vaudois ; ce sont des sujets fidèles et de
vaillants soldats ; dites-leur qu’ils peuvent
compter sur moi, comme je compte moimême sur eux » {Cristiano Evangelico,
1878, p. 39).
Au prince Frédéric-Charles de Prusse
qui lui faisait visite, il dit qu’il comptait
les Vaudois « parmi les meilleurs de ses
sujets ».
Le roi HUMBERT 1 (1844 J 1900), fut
souvent en contact avec les Vaudois, qu’il
estimait beaucoup et qu’il visita à deux
reprises dans leurs Vallées (1891 et 1893).
Il reçut aussi plusieurs fois les membres
Madame DORA DecKER-Comba ;
ses enfants : BRUNO, MARIO, LISA et
Marcella ;
Monsieur WILLIAM Decker;
Madame ALINE RlBET;
les familles DECKER, RlBET, KUMMER,
Cargill, Comba et Cignoni ;
ont la grande douleur de vous faire part
de la perte irréparable qu’ils viennent
d’éprouver en la personne de
Monsieur CHARLES DECKER
leur cher et bien-aimé époux, père, frère,
beau-frère, oncle, rappelé soudainement
auprès de son Sauveur, pendant son séjour à Tunis.
Torre Pellice (Turin), le 19 Décembre 1922.
Bon et fidèle serviteur, entre dans
la joie de ton Seigneur.
Matthieu XXV, 21.
C’est dans le calme et la confiance que sera votre force. ■
Esaïe XXX, 15.
Le service funèbre aura lien aujourd’hui. Vendredi, à 3 heures de l’après-midi.
Cet avis tient lieu de lettre de faire-part.
Le Chev. Off. Docteur CHARLES ALBERT
Trossarelli,
Le Docteur CHARLES TROSSARELLI,
M. Georges trossarelli et sa famille,
M.me Eveline Atkey Trossarelli et
son mari,
M.lle JOSÉPHINE ARNOLETTO,
les neveux et parents, ont la douleur
de vous faire part de la perte qu’ils viennent d’éprouver dans la personne de
im
leur bien-aimée femme, mère, grand’mère,
sœur, tante et cousine - décédée à Torre
Pellice, le 19 Décembre 1922, à l’âge de
76 ans. ___________
Tu m’as fait connaître le chemin
de la vie, tu me rempliras de joie
en ta présence. Actes II, 28.
La sépulture aura lieu Jeudi 21 courant, à
14 h. y^. Le service religieux se fera dans le temple.
On n’envoie pas de faire-part. Les amis sont
priés de ne pas envoyer de fleurs.
Si dispensa dalle visite.
de la Table ou du Comité d’Evangélisatioiu
Il dit, un jour, au doct. Matthieu Prochei :
« Non formiamo più che una sola famiglia » ; et une autre fois : « Faccio i voi i
più sinceri per il successo della vesti a
missione ».
En 1889, à l’occasion du Bicentensiie
de la Glorieuse Rentrée, le roi Humbcit
voulut participer à la joie des Vaudois c\\
envoyant au Modérateur, par le moyen de
son ministre Visone, la lettre suivante,
datée du 18 Mai 1899 : « I fedeli Vaiide; i
celebreranno fra breve il Secondo Centenario del loro ritorno nella terra natale
da essi amata sino al sacrificio.
« L’avvenimento, cagione di così gì ust ,-t
esultanza per tanti cittadini che diedeio
esempio di forti virtù, viene pure salutaio
con gioia dal Nostro Re che ben conosce hi
devozione costante dei Valdesi alla Caie,
di Savoia.
« E questa loro fede alla Dinastia cO' giunta a vivo amore di patria, aveno >
dato all’Italia soldati coraggiosi e figli affezionatissimi, Sua Maestà il Re, a dinn strare i Suoi sentimenti verso quelle a fezionate popolazioni, ed a mante: c e
sempre più vivo nelle medesime il e.d; >
delle civili e morali virtù, destina L. 56€c,
da ripartirsi fra la Casa Valdese ed il Cvllegio che intendono inaugurare nella seconda ricorrenza del giorno che segna da
due secoli la fine del loro esilio... » {Bu)l.
du Bicentenaire, 138). (A suivre).
4
lile prinâpaïl
Ib
VALLI VALDESI.
Aacrogna - Pastore: Eugenio Revel.
BobbioPellice • Pastore: Enrico Tron, SLttèèinià S. Giovanni - Pastore: Emilio Tron.
Massello - Sig. D. Gaydou,
Ferrerò - Pastore: Euigi Mi col.
Ftnerolo - Pastore: Luigi Marauda.
Fomaretto - Pastore: Giulio Tron.
frali - Pastore Guido Comba.
FreteòHo - Pastore: Davide Pon's.
Frarosilno - Pastore: Augusto Jahier.
Rldlatrétto: • Fdstore: G. Marauda.
RedOretto - Pà.store: Alberto Fubrmann.
Bori • Pastore: F. Peyrouel.
B.GermanoChlsone-Pastore: EnricoTron.J.
TórrePelllce - Pastore: Davide Bosio.
VillarPollice - Pastore: Bart. Soulier.
Aosta - Chiesa: 3, Rue Croix de Ville - Pastore: Pietro Chauvie, ivi.
Bari' Chiesa: Corso Vitt. Em., 164.
Benevento - Sig. Ant. Cornelio, Via Pietro
De Caro, 17.
Biella - Chiesa: Via Funicolare - Pastore:
G. G. Ribetti, Casa Boglietti Bottalino.
Borrello - Chiesa Evangelica, Sig. G. Bert,
Brcseia - Chiesa: Via dei Mille {ang. Piazza
OáribáMi) - Pastore: Lú%i Rostàgao, ivi.
[é. Casa
Zàccótò - sig. Ffetro varvettì. Via Circonvallazione.
Casale Mónftrrato - Chiesa: Piazza Giardini Pubblici - Pastore : Davide FornerOn.
Catania - Chiesa: Via Naumachia, 22 - Pastore: Giuseppe Fasulo, ivi.
Caltanissetta - Chiesa : Via Maida, 15
Chieti - Chiesa Evangelica: Sig. D. Rosati,
Villa Comunale.
Coasze - Pastore G. Petrai.
Conno - Chiesa: Via Rusconi. 9 - Pastore:
Giovanni Grilli - 8, Via S. Martino.
Corato - Chiesa Evangelica: Vìa Garibaldi Pastore: G. Moggia, ivi.
Dovadola - Chiesa Evangelica.
Pèlonica Po - Chiesa Evangelica - Sig. Ben.
Giudici.
Firenze - Chiesa: Via Serragli, 51 : Pastore
V. Sommani.
Chiesa: Via Manzoni, 13 - Pastore;
E. Meynìer, ivi.
Fiume - Chiesa: Via Sem Benelli, 6 - Pastore: Arnaldo Comba - Via 'Prieste, 219.
Forano - Chiesa Evangelica: Sig. Enrico
Corsani.
Genova Chiesa: Via Assarotti - Pastore:
G. Bonnet - 2, Via Curtatone.
Grotte - Chiesa Evangelica
Ivrea - Chiesa: 5, Corso Botta - Pastore:
G. D. Mauriti - 3, Via S. Nazario.
La Maddalena - Chiesa Evangelica: Sig.
Enrico Robutti.
Livorno - Chiesa: Via G. Verdi, 3 - Pastore:
Arturo Muston, ivi.
Lucca - Chiesa: Via Galli Tassi, 18 - Culto
ogni Domenica alle ore 19,80 - Pastore:
G. D. Bufia.
Lagano - Sw. Paolo Calvino - Pastore Evangelico, Oaèsaraie (Lugano).
Mantova - Chiesa: Via Bacchio, 4 - Pastore:
Benv. Celli.
Messina - Chiesa: Via Maddalena, 120 - Pastore: Giuseppe Messina, ivi.
Milano - Chiesa di S, Giovanni in Conca ■
Pastore; V. Alberto Costabel - 22, Via
Telesio. — Chiesa di Via Fabbri, 9 - Pastore: Emilio Corsani, i Via Stradivari.
Napoli - Chiesa; 25, Piazzetta Tagliavia Pastore: Attilio Arias, ivi.
Pachino - Chiesa Evangelica •
Palermo - Chiesa: Via Macqueda, 36 ■ Pastore: Rinaldo Malau, ivi.
Pescolanciabo - Chiesa Evangelica.
Piani di Vàllecrosia - Pastore ; P. A. Billour,
Asilo Evangelico.
Pisa - Chiesa: Via Derna, 15 - Pa.stote: Q.
D. Bufia - 23, Via Mazzini.
Reg^o Calabria - Chiesa: Piazza S. Marco Pastore: Arturo Vinay, ivi.
Riesi - Chiesa Evangelica - Pastore; Arturo
Mingardi.
Rio Marina - Chiesa Evangelica - Pastore:
Gius, Banchetti.
Roma: Chiese: Via Tre Novembre, 107, e
Piazza Cavour - Pastori: Aless. Simeoni,
107, Via Tre Novembre, e Paolo Bosio,
Via Pietro Cossa, 42.
Sampierdarena - Chiesa: 16, Via G. Carducci
Sanremo - Chiesa; Via Roma - Pastore Ugo
Jaimi, ivi.
Savona - Chiesa: Corso Crist. Colombo. 13
Siena - Chiesa: Viale Curtatone, 5 - Pastore:
Francesco Rostan, ivi.
Siracasa - Via Cavour - Culto ogni Martedì alle ore 18
Snsa - Chiesa: 14, Via Umberto I - Pastore:
G. Petrai.
Taranto - Chiesa: Via d’.“\quino, 132- Sig.
Pietro Varvelli.
Torino - Chiesa; Corso Vitt. Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastori; Alberto Prochet e Giov. Bertiuatti,
15, Via Pio Quinto.
Trieste - Chiesa: Via S.M.Maggiorè - Pastore:
Guglielmn Del Pesco - 335, Vis Scorcola.
Venezia - Chiesa : Palazzo Cavagnis (Santa
Maria Formosa) -Past. : Davide Revel, ivi,
Verona - Chiesa: Via Pigna (pressoil Duomo)^
- Pastore: B. Celli, 2, Vicolo S. Andrea.
Vittoria - Chiesa Evangelica - Sig. V. Trobia.,
Ufficio di Presidenza della Tavola Valdese
Sig. Fait. Bartolomeo Léger, Moderatore.
Sig. Past. Ani. Rostan, Segretario-Cas~
siéra, 107, Via Tre Novembre,'Roma(i)..
Facoltà di Teologia : Roma (26) - Via Pietro.
Cossa, 42: Prof. G. Lutei,G. Rostagnc, Ern..
Comba.
Ufficio Pubblicazioni : Torre Pellice, Via
Arnaud, 29.
Liceo-Ginnasio Pareggiato: Torre Pellice
Preside: Prof. D. Jahier.
Scuola Normale Pareggiata: Torre Pellice ,
Direttore: Prof. A. falla.
Scuola Latina: T?omate.X.to - Direttore : Prof 1.
G. Maggiore (Torre'Pellice).
Convitto Maschile: Torre Pellice - Direttore:
Fasi. P. Grill.
Convitto Femminile: Torre Pellice Direi..
trice: Sig.na A. Vinçon.
Orfanotrofio: Torre Pellice - Direttrice: Sig.na
N. ArnouUt.
Istituto Femminile Valdese di Vallecrosia
Direttore Past.F. A. Billour.
Rifugio per incurabili: Luserna S. Giovanni.
Asilo pei Vecchi: Luserna S. Giovanni,
Asilo pei Vecchi: S. Germano Chisone.
Casa delle Diaconesse - Sede e Direzione
Via Berthollet. 36 - Torino. — Direttore ^
A. Comba - 22. Via Beaumont - Torino*
Scuole elementari (annesse alle Chiese) : Carema, Dovadoìa, Forano, Grotte, Pachino, Palermo, Riesi, Rio Marina, Salle,
Sanremo, Vallecrosia, Vittoria.
Il culto principale si celebra in tulle
chiese alle ore ii circa della Domenica.
PUBBLICAZIONI DELLA LIBRERIA “LA LUCE,, TORRE PELLICE (TORINO)
LA RELIGIONE CRISTIANA, compendio delle verità fondamentali
del Cristianesimo, 220 pagine . .....................L. 3,
[Estero L. 5].
IL CATECHISMO EVANGELICO, edizione popolare, in italiano
e in francese • 27 lezioni in 70 pagine..............
[Estero L. 2].
E. Rivoire - PERCHÈ SIAMO CRISTIANI? ....
[Estero L. 1].
- SCIENZA E FEDE .............................
[Est&ro L. 1],
T. Longo - L'ESISTENZA DI DIO...........................
[Estero L. 1,50].
T. Longo - L'IDEA CRISTIANA DI DIO ....
[Estero L. 2,60].
- IL CULTO CRISTIANO..........................
[Estero L. 1,50].
- L'AUTORITÀ NELLA
B. Celli
U. Janni
U. Ianni
» 1,—
* 0,50
» 0,50
» h—
» 1,50
» 1>—
N. Buffa
S. Longo
- IL LUMICINO SULLA MONTAGNA (racconto) L. 2,50
[Estero L. 3].
- TRE MESI IN CAMPAGNA (racconto) . » 1,50
[Estero L, 2].
E. Fasanari-Cellì - IL MIO NIDO (racconto) . . . . » 3,—
[Estero L. 4].
G. Lazzi - LA FACOLTÀ VALDESE DI TEOLOGIA » 0,60
[Estero L. 1].
Fernanda Buffa - FANCIULLEZZA (racconto) ...» 3,50
[Estero L. 4,50].
Augusto Jahier - LA BIBBIA nel giudizio di illnstri italiani » 2,75
[Estero L. 3,50].
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