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Italie et Colonles Italiennes
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On s'aboitliii à Torre Pelliee, au Buteau d’Administration de i’Echo (Via Wigramt 2)
- Dans toutes les Paroisses; chez MM. les Pasteurs
*' » .J
Que .toutes les choses vraies, honnêtes, .justes, pures, S4p]»bles.^.d|gng8 de lousuge, occop^t.TOS pensées (Philipp. IV, 8).
Pour la vie intérieure
Il......... 'UI'FI-?.. Jl
.„y .f
Les Sources.
« you# puisörez de- i-’eau Æ-vec ‘joie
aux scwortjes du Salut». , ..
SscCie lin, 3.
«Vous tous, qui avez soif,. venez
aux eaux». Esdi$ ISV, 1. ,
« Si quelqu’un a soif, qu’il viemue
à moi et qu’il boiTO ». Jean VII, 37. ,
Les sources ! évocation saisissante pour
les hommes d’un pays où rombre manque,
où la lumière trop constante devient xme
faiig-ue et où lies torrents, souvmt à sec,
offrent l’image de l’aridité et de la désolation. On sait ce qu’est le tourment de
la soif pour 1© voyageur qui s’égare dans
les solitudes brûlées.
Et alors on peut mieux, sentir ce qu’exr
prime de soulagement, de douceur, de délivrance et de bénédiction l’image de la
source.
L’eau claire, vive et fraîche qui jaillit
du rocher ! Le rocher, si dur, livrant passage à la source qui était son secret et sa
vie cachée ! N’y a-t-il pais là un splendide
symbole de la vraie force ? EUe est le
rocher, mais non pas le rocher qui barre,
arrête k marche, n’est que masSe et
dureté, mais le rocher qui recelé unie
' source ! La vraie^ force est odlé qu’inspire
un esprit de bonté, de clarté et qu'animé
une puissance de vie ; celle qui a une âme
cachée est bonne, fe pouvoir de rafraîchir
et sauver de la détresse et de là mort ces
voyageurs dolents que sont les hommes à
travers les aridités dé l’existence.
S’il y a des sources pour l’entretien et
le rafraîchiissement de la vie physique, il
y en a aussi pour l’entretien, le redressement, l’apaisement et la joie de la vie intérieure, de la vie morale et profonde.
Voilà ce que savait le prophète Esaïe.
Et de même que la source issue du rocher
va s’élargissant en fleuve toujours plus
profond, que d’’un sommet descend, ou
d’une profondeur sourd ce qui fertilise les
plaines, de même, des sources que Dieu,
la Source suprême, a fait surgir ici-bas
découlent les bienfaits et lés secours dont
les âmes fatiguées et altérées ont besoin.
.H Üi «
Cet appel du prophète, « Vous tous qui
avez soif venez aüx eaux», il est plus
urgent que jamais ; nous avons tous à venir à ce qui élève, rafraîchit, reconstitue
constamment notre être essentiel, sauvé.
U y a dès sourcêd. EUed’«int ttop ahatt“
données, délaissées pour des recherches
et des satisfactions qui ne nous apportent
ni secours, ni paix, ni lumière. Là nature,
ses splendeurs, ce qu'dlè de révélateur,
né parle plus qu’à qudqûés-uns. Et cependant, s’il est un besoin profond de
l’âme humaine, n’est-ce pas l’admiration ?
Etre arraché à soi-même, et à toutes les
niesquineries et les aridités que recouvre
l'amoiü' de soi, par ce qui est étemel, él
dont la beauté vous émeut, vous prosterne
et vous fait aspdrér à ce qui peut vraiment rafraîchir Tâme altérée dé perféc*
tion, n'est-ce pas dans votre expérience,
une des saveurs et un des bienfaits de la
vie ? Pourquoi ne pas aller constamment
à ce qui fera mcmter en vous la joie de
radmiration ? ' ^
Et cette autre sources le contact.dœi
âmes rafraîchies et sauvées. La Bible est
une source à laquelle 'sont venus à travers les siècles les cœurs les plus hura
bles et les plus altérés; (tommunier avec
les voyants et les prophètes qui out run
monde plus grand et plus diyin que îe,
nôtre, qui ne Pont pas encombi'é de letrr
personnalité et de leur moi, mais qui ont
reçu de lui, à travers les circonstances,
l’histoire, l'a joie, malgré leur faiblesse et
jusque dans la perspective de la mort !
Le monde est devenu pour eux Parole de
Dieu, et eux-mêmes restent pour novfâ
une source de force et dîencouragement
dans les circonsitancee les plus diverses,
voire les plus hostiles.
* Îr *
Et parmi eux, n’entendons-nous pas celui qui désormais, et' pour toujours,
le premier, nous appeler : « (üelui qui a
soif, qu’il vienne à moi et qu'il boive».
Etrange et admirable pa.role ! Quelqu’un
qui se sent et se sait source, qui est dans
la Source suprême et la communique, et
qui pleut diire au pèlerin fatigué, perplexe et en prière que nous sommes souveiit, comme jadis la vierge die Charan au
vieux serviteur d’Abraham ; « Bois, et je
donnerai aussi à boire à ceux qui' sont altérés coTpme toi».
Oui, pour toutes nos soifs, fl: y a les
sources ; Dieu, qui nous impose les questions, possède toutes les réponses; l’existence' est une perpétuelle recherche, elle
est une soif renouvelée constamment ;
mais elle devient la joie de la découverte
et des apaisements, dans- la mesure où
nous obéissons à l’appel du prophète :
« Vous tous qui avez soif, venez aux
eaux ».
Mais il faut venir aux sources, à toutes lès sources de Dieu ; c’est la condition
même de la joie profonde, celle dont parle
le même Esaïe quand il écrit ; « Vous puiserez de l'eau avec joie aux sources du
salut ! ». Ch. Geneqüand.
{Semaine Religieuse).
Dne chose étonnante.
Il y a bon nombre d’années, le docteur Robertson — c’était, je crois, en 1877 — prononçait un vigoureux discours, au Synodie ;
le public applaudit : pour rexactitude, j'ai
trouvé noté : vifs applaudissements. Paroles du témps passé ! Et pourtant, comme elles sont actuelles!
« ...Vous êtes pauvres, ü est vrai, mais
vous comptez parmi vous au-ddà de 20.0CK3
personnes, environ 4.000 familles ; n’est-ü
pas étonnant que vous ne puissiez pas
pourvoir,.. » à ces besoins auxquels vous
êtes incapables de pourvoir en l'an de
grâce 1936 ?.!, Et le docteur Eobertison de
continuer : « Cela n’est pas honorable
pour les laïques vaudois.,. vous pdrlè^je
trop franchement, chers amis ? ».
— Réponste du public : Non, Non.
On dirait presque un acte de consécration ; il nous siembl© voir la nombreuse assemblée émue, quelques vieillards branler
la tête, quelques jeunes s'agiter... ; « des
applaudissements prolongés » saluèrent
l'orateur, après quoi... le sierice recommença.
« N'esi-îl pas étonnmt... ?
Et bien non, cher docteur I Ce îi'est pas '
étonnant, et si vous aviez connu raflSrmation que, confirmait en l'an 1872, « un dépiéê, à l’hahît de campagne, un de ceux
trop rares qui osent parler y), vous, vous
seriez étonné du contraire !
* * *
VosCi le fait. En plein Synode un évangéliste proclamait, après avoir dénoncé le
dijnger qf(îe courait .en ¿872 l’Egliito.
cause éa ^grmd ■nomire de persanme'
sans foi qui vivent au sein de l’N0se:»-,
«Un otage, nom memacei dkns les Voilées
comme aiüeurs! »>; et ü ^^attirait^ la réponse suivante : « Ce gu’û y a à otain^
dre, pim .encore que Z’ORAGE, c’est le
MARECAGE d’où s’échappent, de mât et
de jour, ciesi miasmes asphyxiants tels que
le laisser cdler, le laisser faire, l'imUfférence, l’insubordination et enfin la réuoîtè
violente contre le Seigneur et contre Sa
Farde ».
Evidemment, les orateurs se laissent
souvent entraîner par l’ihspiration, et
urfe image peut se prêter à un développement risqué. Jj suis plus que disposé
à reconrikître que c’est ici un de œs cas ;
mak l'idée de — marécage — comme elle
est juste et combien je comprends « le député à l’habit de campagne» qm s’est
courageusement levé pour dire... que les
marécages doivent di^airaître.
Le maijec^ei': quel monde nous êvoque-t-il? un univers de boue. Certes, il y
en a : autout de nous, dans nous, dans
notre vie, dans nos rapports avec notre
prochain : on en trouve partout ! Mais sa
voir gortfi' du marécage : secouer les sou
liers, et maréhef, grimper, si l’on ne
faire autre chose ! Refuser de voir seulement la boue ; comprendre que l’on a une
mission;, un poste de responsabilité...
* * *
« N’est-il pas étonnant si... ». Non, disons-nous ; quand on vit dans le marécage,
«où l’insouciance pour les choses de Dieu,,,
l’irrégularité dans la fréquentation des
cultes, la profanation du jour du Seigneur » scmt l’horizon de tous les jours.
Et alors ? Encore et toujours se
plaindre ?
Eh bien] se plaindre est déjà quelque
chose ; n’a-t-on pas dit : « Une Eglise qui
se plaint n'est pas morte ? ». Et la plainte
n'a jamais cessé! le Réveil n'est pas là,
mais la plainte monte, toujours plus
forte... Nous avons honte de l’esprit, de la
vie du marécage ; et si l’on ne sent pas
encore, d’une façon générale, qu’il est
étonnant que nous ne fléussissions pas à
faine Un effort suprême pour le triomphe de la cause du Christ, l’on reconnaît
que oèla n'est pas honorable.
« « :
. C'estrà-dire qu’il nous faut nous unir à
ce député, à l’habit de campagne qui eut
1© courage de dire qu’il fallait s’élever de
là paroisse à l’Eglise...
Si les vieux papiers n’étaient pas si...
désagréables, j’aimerais savoir pourquoi
quelqu’un remarque avec regret que les
êfecteurs manifestent trop d’intérêt pour
la partie administrative de la vie de la
paroiiSESe, si même les femmes assistent volontiers aux Assemblées d’Eglise! Alors
que, pair tontre, la réunion de prière est
presque déserte... ,
Mais le passé est passé I
'foutefois, le député dont nous parlions
n’a pas tous Iss torts : loin de nous l'eaprit de marécage, de disputes, de vétilles ; car il serait par trop étonnant que
nous né puissions pas pourvoir... à la vie
de notre Eglise. Cl.
AVIS.
, Le prochain numéro paraîtra vendredi,
11 décembre, '
Commissioiie'FiDaBziaria
» 5.000,—
15.000^
15.000,
- - PRO ÉlÌlÉIÌItA3gti5NÉ............
Signore e Signari :
X, Genova (*) L. 100.000,
Matilde Ribiet, Tonino
Margherita Giampiccoli Ribet,
Id. (•) »
Emilia Ribet, Id. (*) »
Dott. EmiMo e Matrgherita ^
Gay, Milano '»
Maddalena Larvo, La Maddalena »
Enrico e Syltì 'Eron, Milano,
in memoria della signora
L. Wood-Brown »
Prof. dott. Giorgio Troni Milano „
Cléanthe'Gocito, Firenze »
Giuditta Ricci, Id. (2° veto.) »
250,
300,
5.000,—
1.000,—
100,—
239,50 '
PRO COLLEGIO.
Margherita Giampiccoli-Ribet, Torino (*)
Emilia Ribet, Id. (*) •
casione della sua laurea
N. N., Id. , . ■
memomam »
Dott. Emfiio e
Gay, Id.
lena
Enrico Albeido Rivoire,
ramo
Cléanthe Cocito, Firenze
L. 5.000,—
» 5.000,—
» 50,— '
» î 50,—
» a 200,—
» 260,—'
i- » 200,—
» 200,—
» 200,—
NB. Lo offerte contrassegnate con asterisco (*) sopo in titoli di rendita dello Stato.
Entre denx mnrs de Mine.
La tragédie espagnole continue à peser
de son poids sanglant sur nos cœurs. La
guerre brutalfe, haineuse, meurtrière, se
poursuit ; la guerre fratricide avec ses
cruautés que les uns et les autres ont commises et commettent chaque jour.
Comment ne serions-nous pas "torturés
par la violence dése^rée des masses populaires, les massacres de prêtres, les pillages d’églises, les persécutions, les appels
à la dicstructiion ? par cet enfer die souffrances qui, depuis des mois, dévore le
malheureux peuple espagnol ?
La mort est partout : la mort ,dies hommes et la mort des choses. Le drame
écrase les consciences. Je pense à l’écartèlement de foyers innombrables dont les
membres sont entraînés dans des camps
oppodés et farouchement enn-^is. Je
pense au calvaire que gravissent tant de
gens qui, malgré eux, sont emportés par
le torrent dévastateur. Et je pense au
peuple, au pauvre peuple qui est la
grande, la principale victime de cette
guerre affreuse.
Et quand nous sommes siecoués par une
immense pitié pour ce malheureux peuple déchiré par la haine, on nous ordonne
de prendre parti Avec le simplisme qui
est à la mode aujourd'hui, on nous ïilace
devant cette alternative Sommaire : les
« rouges » ou les « blanc» », les flévolutionnair<æ de droite ou lés révolutionnaires dê
gauche, les fascistes ou les antifascistes,
les bons » ou les « mauvais ». On voudrait
que nous choisissions et que nous portions
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¿^|Í^"íi|ét''yáPj^ ^^li^gäiy Mpyginbrë 1936-XV
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Wmífranjces dont nous sQOMnes les ^imoiiis '^'
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Hélas ! voir clair Bl'fist pas si siiBpie que •% j
oda. On nous dît, par exepipte.quielesÎBaurgés défendent la religion, et la patrie.
Sa guerre dviile, avec toutes ses horreurs,
«st-elle te moyen de sauver un pays ? Nous
savons aussi que le clergé' hasque
, s gouvemementaJ» ©t que' les ipigii^,
aussi bien que les gquvpmeraeátaux. ont
fusillé des prêtres et des pasteurs protestante. Est-ce défendre la religioii que de
, ^monter à l’a;^ut des tranchées au cri de
s Vive te Christ-Roi »? Ce cri d'arnour et
de i)idx devenu un cti de guerre et de
haine ! ^ "
; « Nous sommes, comme récrivait un
jeune .chrétien e^agnot entre ¡deuK murs
de haine ». ' .
Et nous ne pouvons monter ni sur l’im
' tii'Sür fautre. Nous nous trouvcms placés
entre ces deux murs. ÎQ ntras e^ impossi:hle de nous réfugier derrière 9’un âteinc
pour applaudir aux victoires--des uns et à
la défaite des autres. Dörrte dhaoun -de
ces murs, il y a des hommes emportés par
un 'torrent ibrûlant de haine et qui, ne savent même plus pourquoi ils haïssent.
Le temps présent impose aux ehrétiens
* une dure besogne à laïqudle fis ne peuvent
se soustraire sans trahir. l’Evangile. Il
faut qu’ils veiEent â ce que la fureur par
^ tisane ne les emporte pas vers la haine
et ne les détourne pas des détresses qui
écrasent les hommes. Il faut qu’à tout prix,
ils sauvegardent les valeurs spirituelles
menacées. Or, les vateurs spirituéllies sont
indissolublement liées à la dignité de la
personne. En Espagne, deux dictatures
s’affrontent. L’une dit qu’elle est le défenseur de la religion ; l’autre qu’elle est
le défenseur de la liberté. Nous sommes
pour la religion et pour la liberté. «Le
christianisme, disait Vinet, est dans te
monde l’immortefle semence de la liberté ».
Du point de vue politique, nous n’avons
pas à prendre position. Du point de vue
chrétien, nous prenons parti. Nous prenons parti pour le peuple qui est la grande
victime du moment, le peuple abandonné
à lui-même, livrlé, sans défense intérieure,
aux passions de la haine. « J'ai pitié de
la multitude », disait le Christ.
i
Avec une douloureuse pitié pour toutes
ces victimes, nous avons à nous humilier
devant Dieu et, à renouveler notre résolution de travailler, avec toujours plus de
foi et d’obéissance, contre la haine et con, tre la guerre.
La révolution véritable, c’est aux chré
* tâens de la faire. Et elle ne commencera
que lorsque les chrétiens vivront socialement leur christianisme.
Paul m!étraux.
(Semeur Vaudds).
PERSONALIA.
Mi inÉQ-AniDisnaiivo
Oaoiiittlrl GARDIOL
Torre Pellice
Via Arnaud, 3ò » Casa Cav, Geometra Ayassot
Nous 'rappelons à la jeunesse la « Convention » de Saint-Jean, dimanche prochain, à trois heures de l’après-midi.
, G. R.
Nos félicitations à M. Robert Meynet,
de Rorà, qui a été reçu docteur en droit,
à rUniversité de Turin, avec de très bonnes votations.
4i « «
Nous apprenoffis que notre ami, le rag.
Ermst Di Francesco, vient de prendre sa
« laurea » en sciences économiques à TUniversité de Turin. Au nouveau docteur, nos
vives félicitations et nos vœux tes plus
sincères pour une brillante carrière.
Qiti
pointvxte^maliéri'^ jMUs sonunes
exc<^ionne|^!;mieii:^'rm prii|r
temps Épl^àide. Après un liiver exceptionnellement pluvieux, qui • a empêché
beaucoup d^ colons de s«ner ce qu’ils auraient voulu, et qui avait fait'de nos cWemins ' de vnais bourbiers,’ tout ést changé
riiamtqpant. ’ f
„ Les champs de blé et de lin ont une
appatèncè magnifique et l’herbe -abonde
dans les pâturag!^. ' - , |
J’ai visité, à Mercedes, la capitale du dé- J
partenfent de Soriano, Magdeleine Combe, '
originaire de Saint-Germain. Elle n’avait
que quatre ans, quand elle a émïgié avec '
sœ parente. Veuve maintenant, âgée de ¡
78 aâis, sans enfaaats, elle vit avec une fa- i
(QBiIte caitbolique. EUe s'est réjouie de par- ¡
1er patois avec moi. EUe m’a montré ùn , ,
¡Nouveau Testament de 1844, souvenir de
sa mère. EUe n’a pas mis la lampe sous
le boisseau. Nous avons eu un petit culte ,
arec SB; voisine catholique.
tQUe de Vau<te épaipihés dans le monde, ,
surtout de ces côtés de rUruguay ! Les |
nécessités de la vie, l’àugméntation des
familles obligent les gens à étendre leurs
tentes. De Colonia, tes colons sont passés
au département de Soriano, et de* celui-ci
ils Ont été dans tes départements de Rio
Negro et de Paysandù.
Les terrains sont à meilleur marché, on .
trouve plus facilement, soit à louer, soit
à acheter, et ce sont des terreis vierges
qui voient le soc d’unç charrue pour la
première fois.
(El est heureux que nos Vaudois puissent
trcuver toujours de nouvelles extensions
de terrain et continuer à être agricui^
teurs. C’est la vie libre et indépendante,
saine eti encore rémunératrice de ces parages. A Rio Negro, un colon que je connais a récolté, l’année dernière, dix mille
hectolitres de céréales (blé et lin), et a
obtenu ainsi un beau bénéfice. Il est vrai
qu’il a une famille nombreuse, mais ici les
enfants sont la richesse,,, au sens vrai, de
i’agrieulteuT.
Le gouvernement favorise l’agriculture.
Il a fondé plusieure colonies par le moyen
de la Banque Hypothécaire, qui donne ^
beaucoup de facilités aux colons laborieux :
prêts d’argent pour acheter le terrain, [
les machines, semences, animaux de labourage, etc. Le taux d’intérêt est modéré et
il accorde trente ans de temps pour payer
lia dette. Mais presque tous payent ^dans*
peu d’années, la plupart dans six ou sept
ans, quand tes récoltes sont bonnes, comme
ces années-ci. Le gouvernement fixe aussi
lui, le prix des céréales, im prix rémunérateur pour te colon.
Dans le département de Rio Negro, j’ai
visité la colonie Nweva Inglaterra, où il y
a beaucoup de protestants ; vaudois, suisses, polonaiSi, fils du pays, etc. Quelquesuns étaient d’anciennes connaissances.
Quel plaisir de se revoir après dix, quinze
et même vingt-cinq ans et de faire un retour sur le passé, pour glorifier Dieu de
tous les bienfaits qu’il a répandus sur
nous. Que de sujets de gratitude, et aussi
d'humiliation d’avoir fait si peu. Et quelle
joie d’appOTter les consolations de l’Evangile, à ces^ cœurs asscaffés de pardon. Ici
on accepte encore teut avec simpbcité.
Ailleurs, les membres d’églase qui vont à
la danse, au cinéma et aux fêtes mondaines, n’aiment pas à entendre parler 4e
te, venue du Seigneur, et encore moins de
châtiment et de perdition ¡ éternelle. Celui qui est rempb du Saint-Ebprit ne
diante pas de ballades, de chansons. Même les chants mondains ne sont pas une
juouissance pour lui. Il désire plutôt louer
Christ,
Les temps sont solennels. Il faut du courage pouf être des témoins. Et la Parole
de Dieu affirme avec sa divine autorité,
que « le mmide est sous la puissance du
malin » (1 Jean V, 19), que tes jours sont
mauvais et que cêt état ira en empirant,
plus nous approchons de la fin.
★ NOS DEPAR'TS. Samuel Lamarot, du
ViHar, 66 anb> au Rosario. — Marguerite
Bertàngi veuve Bertm, de Bohi, 78 ans, à
Iris — Marie Trm veuve Richard, de Salse,
87 ¡an^ il. C6rd(>ba (R- A.) -r- 4r
¿mand-^osck d#-.1La‘Tour,. '76 'i(|na¿ ’ ii,. i'
f Gran4? — Etie/^ .4^
Villar!, B7 Ííis,'^' Colonia IfaldéiMe *4-' Mfljir, pMicrMte P¿vari$i> veuve Rwoire, (tei Rojrà,
96 aaas, à Calchaquî (Santa-Fè)‘ Louise
Benech veuve Bastie, de Saint-Jean, 75 ans,
à Colonia Valderise — Fnmçois Perrou,
de Prab, 86 ^ms. à Cosmopolita Léame
Durmid-Camirotti, dé Reroea Argentina, >
■ 68 ans, à Córdoba J. DanM Durmd, de
Rorà, 78 ans, à Rosario -Tala Magdeleine Caïms veuve Gardid, du Vilter,
80 ans, à Tarariras. L. Joükdaît.
CHRONIQUE VAUDOISÈ
ANOROGrNE. Le 12 courant est décédé,
aux Odins, Daniel Coisson feu Pierre, âgé
le 74 ans.
Le 16 courant est décédé, à TArvura,
Louis Frache feu Daniel.
Nous exprimons notre fratèrnelle sympathie aux famililieis en deuil.
★ Samedi, 7 courant, dans la chapelle
du Pradutour, le payeur M. Deodâto a
invoqué la bénlêdiction de Dieu sur les
époux M. Edouard Buffa de Jean et M:Ule
Albertine Gaydou d’Alexis.
Samedi', 14 courant, au chef-lieu, le pasteur M. Nisbet a'invoqué la ¡bénédiction de
Dieu sur l'union de M. Louis Bertalot feu
Alexis avec M.Ile Marie Madeleine Ckauvie.
' A ces époux, nous souhaitons une longue union au service du. Règne de Dieu.
★ Fra^îco Henri Aicguste Bonnet est
venu réjouir sa famille, aux Jourdans, sa•medi passé. A lui aussi nos vœux d’une
vie longue et heureuse.
★ S’il plaît à Dieu, dimanche, 29 courant, sera une journée de fête et de
reconnaissance, puisque nous comptons
rentrer dans notre temple du tchef-lieu,
après quelques semaines d’exiL
Les réparations du temple sont presque
terminées, et nous voulons' ici exprimer
notre prof (aide reconnaissance à tous ceux ' ‘
qui nous ont tellement aidés pour donner
à la maison de Dieu un aspect digne de
sa glorieuse tradition.
Ne pouvant pas mentionner les quelques
centaines de personnes qui, pendant une
année entière, ont collaboré dans ce but,
nous nous bornerons à rappeler le travail
gratuit fait par environ septante jeunes gens qui, pendant ûn mois, sont venus travailler dans le temple, le soir, jusqu’à 10 heures et demi ou onze heures, et
cela pendant que les travaux de la campagne presisaient davantage. A cela il faut
ajouter les transports gratuits de matériel ; en outre, nous avons reçu plus
de ifiO mètres de grosses poqtres, qui ont
été transportées de tous les côtés de la
paroisse.
Dimanche, 29 courant, nous demanderons à Dieu de bénir tout le travail qui
a été accompli avec tant d’élan pour
la gloire de Son Nom. Il y aura un culte
unique et soleimel pour toute te paroisse ;
les femmes — pour l’occasion — porteront
la jolie coiffe vaudoise ; la Chorale prépare un chœur de circonstance ; en somme,
tout le monde est impatient de voir arriver cette belle journée, qui sera aussi une
jouimée de consécration renouvelée au service de Dieu. R. N.
LA TOUR. L’A. C. D. G, s'eSt rendue,
samedi 21 dernier, à Rorà, pour faire une
visite à l'Union de cette paroisse. La visite a été une belle manifestation d’unionisme et de sincère volonté de faire toujours triompher davantage la cause dé
TUnionisme. Les membres des deux Unions
se sont quittés en se disant au revoir à
La Tour, pour une prochaine rencontre
amicale et fraternelle.
t
★ Samedi dernier, le Pasteur a célébré
le mariage de M. Auguste Vertu avec
M.lte Rachd Peyrot, Nous renouvekais nos
meilleure vœux aux époux.
POHARBT, Notre famiUe paroissiale
vient de subir une grave perte dahs la
personne d'un de ses membres les plus fidèles, M. Alfred L&ng, enlevé à notre af
^ectioç. te J9 ^rapt, pprès une courte
a^ftedie, l’âge de ans, aux Brancà',
# PénaiilK. Sés funéjfiilUles eurent lieu Ijî ,
$1 courai^, 'dans l’a^s-midi, et furent
«nfi témohpage touchaigt de l’estime dmi
il était entouré, soit comme homme, soit
comme bienfaiteur généreux die l’EgUseï
qu’il a toujours aimée ©t servie^ et des
institutions de bienfaisance. , ~
A la veuve, M.rae Marguerite Long née
Bertalot, à la fille, Eugénie Lc«Qg mariée
Gagliardi, et à tous tes parents, nous
nouvelons notre profonde sympathie chrétienne. ' . •
ROME. Ina/uguration de l’année académique à notre Faculté de Théologie'. U
s'agit de l’inauguration officieUe publique,
puisque les cours ont repris depuis quelques semaines. r
EUe eut lieu, dans l’Aula de la Faculté,
le merxyedi XX Kçvepib^, et iÊpt présidée
pa,r te modérateur prof, E, Comba. Le discours de rentré© fut prpnon^ par te prœ
fesseur D. Borio, sur «L’Hymne de la
charité » de Saint-Paul.
★ Le 12 courant, M. le pasteur Fiiitorio Subüia, de l’Eglise de Palerme, s’est
uni en mariage avec Mile Berta Baldcmi.
C’est le pasteur P. Bosio, qui a présidé la
cérémonie, civile et religieuse en même
temps.
Nos bons vœux aux jeunes époux.
BOBÀ. Nos enfants de l’école du dimanche, nos catéchumènes, nos jeunes gens et
le public de la communauté, ont eu le privilège de jouir de quatre petites fêtes récréatives, qui leur ont été offertes par te
chev. A. Cabella. Nous te remercions sincèrement.
SAINT-JEAN. Plusieurs départs sont à
signaler, ces derniers mois, au Refuge ;
celui de Jean Henri Coïsson, originaire
d’Angrogne, décédé le 19 juin, à l’âge/de
73 ans. — Après y avoir passé environ
trente ans, celui de Catherine Peyroml
veuve Justet, originaire de Riclaret, décédée le 19 apfût, à l'age de 75 ans. — Celui de Tito Baldocdd, de Naples, décédé te
23 septembre, à l’âge de 34 ajiis ; il y
avâit été admis dix ans passés. — Celui
de Jacques Oliva, originaire des Traverses, décédé le 11 octobre, à l’àge de 45 ans.
— Celui de Paul Geymmat, originaire du
Vülar, décédé le 6 novembre, à l’âge de
78 ans ; ñ était là depuis une trentaine
d’années. — Et celui de Pierina Odin
veuve Sandretto, de Saint-Jean, décédée
le 9 novembre, à l’âge de 45 ans.
Aux parents en deuil l’expression de
notre sincère sympathie.
★ Samedi dernier, 21 courant, a été
béni, dans notre temple, le mariage d’Aldo
Avondet avec Alice Giaime. Aux époux,
nos meilleurs vœux.
SAINT-SECOND. Notre Union a repris
régulièrement son activité, samedi, 14 novembre. A cette occasion^ notre Pasteur,
profitant de l’heureuse coïncidence de
cette journée avec le dernier jour de la
Semaine de prière, développa le sujet :
« La Volonté de Dieu et la jeunesse». Nous
le remercions pour son excellent message,
dans la certitude que ses enseignements
ne sont pas vains.
Samedi, 21 novembre, eut lieu T'élection
du Bureau. L’ancien président, Alexandre
-Gardiol, avant catégoriquement (Déclaré
que pour des raisons de travail il ne pouvait plus continuer dans sa charge, on
nomma un nouveau président, dans la personne d’Aldo Griglio, ancien secrétaire de
l’Union, et, comme secrétaire, l’étudiant
Dante Gardiol ; restent à teurs anciennes
charges te vice-président, Rémy Pons, et
le caissier, Guido Gay.
-- L’Union désire exprimer, ici, toute sa
reconnaissance à l’ancien Président, pour
le travail béni qu'il a accompü pendant
douze années travail qui ne lui épargna
certes pas tes sacrifices, mais ,(ïui lui
donna aussi des satisfactions.
Nos meilleurs vœux acoompagnent aussi
te nouveau Président, qui va maintenant
assumer la responsabilité de la direction
de l’Union : tâchons dé lui faciliter sa
rude tâche en prenant chacun notre part
de responsabilité pour la boime marebe de
notre chère Union.
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.iF.
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-4v / , jj ' A-iè
^■’■pijiini et FEgpatoe,
l" rir»«^ 'l-;3 vr^'-f.. •]
,Ci voleva.p. Papini per lanciare ip pírojí'
poejto’ pardte come' qaiei^ (Proátás^üio »
settembre 1936) :(
, .«Nel caso della Spagna''« cattolica» chf
supera, neUTodio anticattolico,la Fraivsi^
li'i Vbltaire et la BiUi?sia di I^in,'ei sa»
fanno molte cauiSe : la r|b<dlie«tè fteloeiti
pyiijcjiea e musèulniiapa, la secolare .aobìHar
^ione masBoinica, la bassa spavaMerta ne»
pubblicana, il pix)gressivo sobillamento $oir
vietico, il regurgitò della repressa anarr
fchia. Ma tutte Aueste cause non bastane
p'spiegare )1'mostruoso* predigio (JeU'imir
provviso capovolgÌHiiènto spagDiUpla E’ ma|
possibile òhe'l^ttì siano contentati
^quelle pestilenze africane ed asiatiche?
E perchè nessuno se rposso a ¡spegnere 1^
cattedrali che ardevano, a salvare i sa»
Oerdoiti condannati e itìseguiti ? '
Còsa ha 'mif tetto fl: ^clero ispagniidlo
da un secolo a questa parte ? In .qual modo
ha formate le coscienze cristiane? Quali
esempi di santità ha dato al popolo ? Finp
p che pttnto ha saputo manten^ 0 tisveigiiare reroico amore per il Dio crocifisso^"
« Non "giiidico e non veglio* giwMcare :
ini contento di chiedere e di attendere.
Quando una nazione giunge ad accanirai
contro le testimonianze della fede che fu
sua per tanti secoli, la colpa non può essere soltanto dei persecutori. Lq, masmmp
parte dell’atroce responsabilità è indubbiamente dei satanici assalitori — ma proprio tutta ?
« Miguel de XJnamumo ha detto che gji
spagnuidi brucian le chiese perchè disperati. Ma quali le origini vere, e non tutte
materiali, di una cosi infernale disperazione ’? E che cosa hanno fatto i cattolici
di Spagna per alievialre, per consolar©,
per vincere codesta tetra e OUMcida disperazione ? Se la fede è sopraffatta dall’ateismo, se la mrità è sormontata dalla
ferocia, se la speranza cristiana è divenuta disperazione, la colpa è soltanto della
plebe che si avventa belvinaineinte contro
quelli che furano, fino a ieri, le sue guide
e i suoi pastori'? ».'
Parole gravi, soggiungiamo noi, degne
di un pensatore. Ma allora attenti.
Guerra incondizionata al bolsòevismo :
ma che la restaurazione non riconduca all’efficienza di quelle cause che il Papini
lamenta, le quali produrrebbero fatailr
mente gli stessi effetti ohe il nrondo tutto,
oggi deplora. _ r. 6.
(L’Evangelista).
Les Livres
Verso,l’alto... insiame, di Selma hipNUd. se^
trouve en vente à la « Libreria Olau- ’
diana », Torre Pellice. ^ Prix : L. 6.
;î! il?
Fils et Mères, par A. BRÉTniG,_ avec six
portraits hors texte. — Editions « La
Concorde » - Lausanne. -- Prix : francs
suisses 2,50.
Livre inspirateur, bienfaisant, qui nous
montre ce que doivent à leur' mère John
Ruskin, Gaston Frommel, le docteur César Roux, le président Masaryk, Auguste
Piccard, Max Huber.
Les jnères seront encouragées par pette
lecture.
^ Îî !¡!
Ageîida de «La Cause», 1937 — prix:
5 francs — avec d’utiles renseignements
sur les œuvres et institution^ prbtestantes françaises, et une pensiré pour chaI qüe jour.
. » * #
L’Esprit se- moumant swr les eawo ou Artisans de rvos Destinées, par Piekre Griouo. - Série « L'influence de la pensée ».
— Brochure publiée à New-York.
9¡ t» i»
■:4
Robert Earelly : La robe sam eaittwe.
; —Un ’roman de 235 pages (Série «
' Livres bleus». — Editions «Labor» Le Grand Lancy - Genève. ■— Prix ;
francs suisses 3,^.
Reprenant une formule dont il s’est
ipervi dans un premier romnn palestinien :
« L’autre Charpentier », M. R. FareBy situe ce nouveau répit au temps de la mort
du Christ et des premières conquêtes
d'âmes par les dieeiples. La ««version ide
Dymas, le soîdat romain, qui avait ga^é
au jpans cnutin» -d3è Çiaicifié,
formp |e /spi^ fentr4 mais, a4to|r du
personnage fictif, évoluent' toutes les figu, res f SEtadières des Ehrangiles «t des Actes
des Apôftres. H faut même, samWe-t-il, une
connpiw*iic#'féd0-d dpa épiwites de .le primitiji» Ëgÿi«e ijour.bie» ssweiif ies pieandres de Faiîtioni. C’est' une teatative difficile que-de'■ faire revivre les «s^ipte» .
du puemiiair siècle, mais, 'grâce .à »?n Profond respect et au rayonn^nent intense
ipj’il, teit §.e dégager de la personne, dp
Christ, l’auteur a évité les éoueilg de ce
genre Mteéraiiie. JjO nécit est vivant, biep
igonntruit, Puisaent de nambreux lepteprç,
intéressés' par la fiction et saisis par Tat«nosphère du roman, revenir à l’Evangîie
JuLmême et au Sauveur de Dymas, le légionnaire. H. K /
Charles Cadier : Les Trésors de l’Ancien
Testament, extraits du texte HiAîtpe.
Préface .dTAleip-ridre Wes);phàl. '^—- I/ji
veLmoe, ín-^^ de 525 pages (ioÈnsaat êe
poche). —Editdoiis «Je Sers», Paris Editions « Labor », Genève. — Prix :
francs suisses 3,40.
Primitivement conçu pour aider à l’instruction .religieuse des jeunes indigènes
des chamips de misrion de langue français,
ce livre, avant même sa publication, a
suscité l’intélrêt de nombreuses personnalités.
Tour à tour, les dirigeants de la Société
dès feies du. dimanche de France, . du. .Gomité yniversel des U. »G, J. G;, de jp Société , 4®s Missions Evangéliques, ayant
pris conscience de l’aide précieuse qu’un
tel travafl pouvait leur apporter, ont tenu
à donner leur aPPui à l’auteur et à l’éditeur, en acceptant que le livre parût soiis
leur triple patronnage. '
Ce seul fait nous paraît suffisant pour
que let rès grand public auquel s’adresse
l’puyrage (pasteurs, moniteurs, instructeurs, missionnaires, et tous fidèljœ de la
Parole) comprenne l’importance de cette
P'uldication.
Comme l'écrit M. Alex, Westphal, l’auteur met sous nos yeux, sans r'élpétitioi^,
diversions ni surcharges, les étapes de la
révélation dans la Bible. Un tel ouvrage,
si hautement patroné, deviendra le VadeMecum du croyant. Aux cris de détresse
'fl.’un mondé désaxé, il répond par les , plus
claires et bienfaisantes affirmations qu’on
ait jamais entendues. J.-S. L.
^ * !f
André Parrot : Mari. Une vide perdm...~
et retrouvée par l’archéologie frafngaise.
— Un volume de 250 pages, avec illustrations et cartes. — Editions « Labor »,
Genève - Editions « Je Sers », Paris. —
Prix : francs suisses 3,40,
Après « Villes enfouies », où M. Parrot
nous apportait le rîésultat des fouilles pratiquées en Mésopotamie par lui ou par
d’autres, voici le récit, très vivant et accessible à tous, dé plusieurs campagnes
archléologiquies effectuées sous sa propre
direction dans le Moyen-Euphrate, qui
aboutirent à la découverte d’une cité im.portante, Mari, florissante pendant le troisième rai|llénaire antérieur à notre ère et
détruite par Hammourabi vers le 2000
avant Jésus-Christ. Due à un heureux hasard et poursuivie au milieu de difficultés
énormes que M. Parrot conte avec beaucoup de verve, l’exhumation de Mari représente la mise à jour de l’ensemble airchitectural du troisième millénaire le plus
complet qui soit jamais sorti d’un chantier de fouilles mésopotamien. Les enseignements qu’apporte la découverte de
Mari et les déductions qu’on va pouvoir
tirer des trouvailles là-bas, éclaireront Un
jour d’unè lumière nouvelle l’histoire ancierme de ces régions du Proche Orient où
se sont déronlés, il est opportun de s’en
souvenir, un certain nombre des faits racontés par les livres historiques de l’And*ien Testament. L’ouvrage s’achève sur
un hommage bien émouvant à deux jeunes archèologuies de talent, brutalement
enlevjés à la science et à l’affection de
tous : André Bianquis et Paul François.
P. F. G.
* » » *
Histoire de la Mttérature française (toràe
m - 2° partie): La Renaissance, par
Racætl Mwçay.
On ne peut parler de la Renaissance
safls 4U^ te sqj# de te Réforme.
PiÉÉt œ ftuV fait M. Moreay eit son spçréç|atioô est. digùe dp rdief. Tout en
te^ètqant que te Réforme ait ’' brisé
«Tunité spirituelle du HRX«te chrétien »,
il .rend justice aux huiguenots,^^ teur
sacre de longues pinjes. H sauligne l’inspwntten biblique et mpr-ate iî’SP Pîi
tas ou d’irn d'Aubigné çt m*mtre qu'elle
a freiné le glissement de te pléiade vers
le pagÿftjWi«»« * r\. - 'a,
« ,..La Réforme a été une forte secousse
spirituefle : rite a tourné énergiquement
vers Dieu des âmes génléreuftes qui .eussent été portées à s’endormir dans le plaisir ou l’indüFéneîice, ...Rien ne montre
mieux ce qu’a été foncièrement la Réforme
.et combien ele se distingue du pationaIten^e et de te,Libre Pi^isée » (p. 67),, >
En ce qui regarde Calvin, voici ce
*3.é’ ' ' ■ V » ■ "
qu'écrit le Chnstiamsme au XX“ siède :
« On est heureux de constater la même
impartiEÜté en çe, .qui: çqnqeme Calvin.
Celui-ci a été Tun des premiers à traiter
en français les matières doetes. 11 a donc
enrichi notre patrimoine inteltectuel. Mais
il a nendtt à la langue nationale un auittre
servtee. Àvant lui le style était monotone.
On. se servait de phrases courtes, se dérou,lant, en quelque sorte, sur le naême plan.
Le réformateur de Genève a inventé te
longue période dont les parties s’adaptent
de flianière à mettre en relief une idée
fondamentale. Il a introduit dans la lit
- ' •■I ••'b-.- • 1 . ,i— 11-.--'. '-v .'••-v-'
tératiire la logique et « Tart de la perspective ». Quant à sa théologie, elle s’appuie esseintielement sur te Bible- EUe a
pour centre le dogme de la pnêdestination
par lequel est rabattu l’orgueil de la créatyre, tandis qp’est miag.nifiée la SQUyerqineté du Créateur, Et M. McH^eay, .écartant
d’un trait de plume les caloraniiies qui, dans
certains, milieux, ont pu foisonner sur le
compite de Calvin, conclut en ces ^termes :
,« .,,I'l reste' que nous ayons le .courage de
l’jiyé?uer : Jje dernier anneau de sa psychologie nous échappe. Tout ce qu’on peut
dire de lui, en songeant à son rêve austère', à son infrangible volonté, 'à sa re.doutable autorité, ctefit qu’à se placier sur
le plan purement humain, fl fait, parmi
les hommes de la Renaissance, Teffet d’un
étranger et d’une sorte de surhomn^ »
(p. ^4). . ^ ,Çh. C.
sarà 'pronto, a Dio piacendo, per la prima
decade di dicembre. Ripetiamo che non
si tratta di un calendario a fo^i mensili (del tipo comunemente noto sotto l’appellativo di olandese) dbbene di un blocchetto a fogli giornalieri, contenenti, óltre alle necessarie indicazàmi, comuni ad
ogni effemeride, un testo biblico, una meditazione, una lettimi biblica consigliceta.
Hanno coUaborato a quest’opera una
cinquantina di pastori, professori e laici,
appartenenti alle Chiese Valdese, Melo-.
(Usta, Battista, dei Fratelli, nonché ail’Esercito della Salvezza. Il Calendario cmtiene meditazioni _ di Alberto Sibille, Rinaldo Malan, Teodoro Longo, Pietro Tagiahxtéla, Enrico Rivoire, Enrico Robutti,
Giacomo Longo, Giovanni Corradim. Non
raancmo brani estratti dalle opere dei Riformapcri italiani.
Le prenotazioni hanno gin qui rag’giunto la cifra che gli editori si erano proposti di raggiungere'nella tiratura. Questa verrà pertanto aumentata. Come regalo natalizio, che accompagna, colui al,
quale esso è destinato per éitii i giorni
dell’anno, un Calendario evangelico a méditazìoni quotidiane è particolarmente indicato. Rivolgersi, per le orSnadoni, alla
Libreria Editrice « Bottega della Carta »,
Torre Penice (Torino). Teodoro Balma.
A tout ôge le Livre est un cadedu que
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* «I •
' ■ A .
'î*.
Etats-Ujsis, Un message du peésMmt
Roosevelt. Depuis trois ou quatre ans, tre '' ,
tf, C. ' J*. G, cfelèbrent, par diverses maiû- ' t-Y
feslations,' îa journée dite dû fondateur,
11 octobre, en l’honneur de Georges Wfl- ' .
Cette année, plusieurs messages oi^
été tiisnsmis par le moyen d« te T, S. F.
♦et, e^ 'p^rticrâter. une fettre du président
* « Les Ü.'C. J. ß: sont tm fruit du tmvaij ides EgRses, dont élies ritargi jte
champ '.d’activité. Les Unions _ se sent dé^
veimpées en tant qu’institiition et inais»
tant sur l’action plutôt que gur les doetrines chrétiennesi et sur les systèmes de ,
pensée ehréti^inei Des jeunes gens y oßt
trouvé le lieu où ils mit pu mettr©.en pr^
tique les impulrions chrétiennes qtu'its
avaient reçue?. ' , '
« Il est di&S|e d'imaginer ce que
notre p-ays ,se^ tes (f’ G. J.’ G. ftepuik des
décennies, lies Ü. C. ,J. G. ont cru en force.
Éies se sont adaptées aux transfortnatjons
des temps. Pendarit te dépres^n récônte,
eies ont rendu de précieux services èn
offrant aux jeunes hommes'"des ooiisiefls
quant à leur prefeœion, lenr vje indîv)duelle, et aux mitikMis de jeunes chômeuirB
des récr^tions dmit ils avaient grandement betoin. ’ ,
«je suis heureux de-joindre ma voix à
’ celle des nombreux mnlis que possèdent Tes
Unions, dans ce pays, et de rendre mon
■hommage à Sir George Williams, le foridateu,r de cette grande organisation.
vie devrait être qne inspiration aux jeûnes ga.rçons et aux jeunes hommes quji 'je
nrépareront, dans les if G. J. G.,'aux tâches de chefs qu’ils assumeront dans
l’avenir». ■* ■ , , ' ,-v
★ Qifpst-jçe qu’um H. C. D. G, ? Périodiquement, cette question revient, dans
chacun de nos mouvements unionistes.
On .l’a posée, de divetrs côtés, à la Gomniission du programme du Comité National des U. C. J. G. des EtatsGJnia Gette 1
Gommission répond par l’intermédiadre du
« National Gouncii Bulletin » Nous déte.cbons quelques passages :
.« Nous considérons les U. C. J. G. comme
constituant essentteHement une association mondialè de jeunes hommes et d’adolescents, unis par un commun attachement
à Jésus, dans le but de dévelqppor te persoraialité chrétienne et d’édifier une a»"
eiété riirétienn«. " >
« La première Union était formée jpar
ün groupe de jeunes hommes, qui ti*ayai)laient et vliivaient ensemble, et qui dési‘
■raient s’entr’adder pour 1© maintien ne
principes chrétiens, eti pour croître dans
leoi- expérience chrétienne au milieu de
leurs conditions d’existence. Ce qui caractérisait te premièré Union reste disfcincti-f pour te mouveinent unioniste, tçigt au
cours de son histoire. Il fournit un n^yen
d’entr’aide mutuelle pour )a vie 'chrétienne à des garçons, à des jeunes gens,
à des hommes, là où ils vivent, travofllent, ■
vont à l’école, et passent leurs heuttès de
loisirs...
« Plus récemment, les Unions en sont
venues à reconnaître que les pirobtemes
personnels et sociaux sont interdépendants. Les premiers ne peuvent être résolus que dans une société, qui respecte' les
valeurs personnriles. En outre, l’Evangile
implique à- la fois le caractère sacré de la
personnalité individtelle et la nécessité
d’une société fondée sur ele, mais Où les
gens vivent ensemble en collaborant les
uns avec les autres dans un esprit de
bonne volonté.
« Les méthodes dù travail unioniste,
dans ce qu'elles ont de mieux, sont en accord avec les principes et les objectifs des
U. C. J. G,, parce que nous sommes convaincus qu’fl est impossible d’atteindre des
buts chrétiens avec des méthodes qqi ne
ne le sont pas. En meme temps, ôn utilise au mieux les meilleurs résultats acquis par la psychologie, l'hygiène mentale,
l’éducation et la sociologie, car ce n’est
qu’en tant que les chefs de file Unionistes
connaîtront à fond les conditions, qui! modifient les caractères individuels, quils deviendront vraiment les coUabcrateurè de
Dieu. Les Unions cherchent à faire te démonstration des idéals patriotiques et coopératifs qu’ils ont épousés pour la société... ».
Sous chacun de ces points, des exemples sont donnés de ce que les Unions
peuvent introduire dans leur programme
général. Qn insiste enfin sur te nécessité
de collaborer avec te. plùpart ,4es institutions religieuses et sociates localités
où les Unions sont étal^iea
(Service d’information des U. C. J. G.).
, France. La jewnmse M la Mble. D’une
.enquête de ht le pasteur Emile Durand
sur le protestantisifne rural (Évang$e et
Liberté)-, .4
« Quant à te Bibles, il se dêg^e de l’en
) â
% ^
<;,-u
t
A
V V' .y . .
l '-Îîk'5-'
4
' fe'^wV/ "'
»•‘fc*'» Ji íJrtJWÍi^í
1936-XV
- f*' r 'kii\r'^ ‘ îîtST? ^’*', 'I vfc‘‘iV*’'?
V<ïs* »
WV':WH.
rjT'i'ftg-i:'^ f.
¿át^ \jL
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„ la ,ìis«QÌ ,i^imèieipm et que
V’iqg»^ la ïw^ oon^ ^Jàvre oi<
' •„»fiT''“ ,.■*^•^^^'7'.. X’TT. . .“ • "^T»"7rT*..*
qui la lisent i^itlêueement, deRuc ou trois
^necogjOaisseikt, qu^ijs qq^t, parfois anotes
•.;_. .. . ‘ri 1 ■’ '^É'«*» ■-■*
&:
Pi'l- .
m
\3^’V'; ' ■ jBAç.ilPS «ho^^.qii’ü? ne oompreunent-paA
.-' Jtiif Pî^ueibw,n,’épw)ra»Bia#
ï}>/' À croire à k lettré tput ce qù'^sliir
sent : un seïd fait des ’ n^rves ©Xïdiçites
sur les récits de la cr&tion et *l4 fonwe
paradoxi^^ que Jésus donne parfois à ses
comparaiscois, comme oeUe du lîœhe-et du
chameau. C'est dire que pour cette jeunesse,' il n'y a pas . de question biblique,
et cek est :gKa%,;?.
; , « Qu'estrce à direj<,si non que l'Eglise
rurale en particulier, maigré les écdles du
duna^he'et du jeudi, les instructions religi^uæs et les Unions chrétiennes,. nk
pas réussi à donner aux jeunes générationa,. dans un pays où* depuis plus de
cinquante ans, I, on n'enseigne plus la Bible à l'école, la foimation biblique, conservatrice ou «moderniste», qui s'af^içaife
k comme livre plein de jeunesse êt
de flamme dont k révélation, attendue inconsc^ment par le imonde, est prête à
Á
■ /
-V
\
J--/
Vinséfer daps k<trame de l'actualité ter• • • - •
restrê. C'est ainsi que k jeunesse protestan^ lâche, k Bible, qu'en lâchant k Bible e'Je lâche son Eglise -et qu'en lâchant
son -, Eglise dte se prépare à lâcher le
protestantisme.
«Note protestantiane rural a un combat opiniâtre à livrer pour conquérir et
garder sa jeunesse».
(Service d’Informœtion des U. C. J, G.).
»BgatBRggggaB
SK&siaB
Abonnements payés et Dons.
f (JLe don est entre parenthisea).
1936 : Steiner Roberto, Bergamo - RoEier
Marie, Milano, 1938 (50) - Rossétti Dina,
Calletta di Livorno, l«’’ semestre 1937 Rons Davide, Valliecrosia (20) - Albarin
Wildémar, Borgio Verezzi (5) - Marie Rosr
tan, Marseille (8,70) - Franks Rostan,
Id. (8,70) - Richard Barthélemy, Solliers,
Id - M. Verne, Girors,/Rhône (20) Vigna Giacomo, Torino (2) - Mastrolero
Adelina, Geneva HU, U. S. A., 1932 et 1933
- J. F. Shaw, Torino Banchetti. Libero,
Rio Marina - Gughelmet Giovanni, Faetto,
Ferrerò - Tron Lévi, ViUasecca Superiore
- Veuve Monticolo Ferney Voltaire, Ain Prof, Emanuele Tron, Casale Monferrato
- 'Tiavers-Rochon Josephine, Torino - Boldnni-Gay, Id. (2) - Selli Adelina, Roma
.(IO) - Messina Clementina, Id. (10) Molnar-Sdli Anita, Praha - Jalk C3émentìne et Augustine, Lusema S. Giovanni
iSifiùr Emilie ^Sttìciflmieiyer, Sb-Loup, Pom- s*
paples, Vaud - Gay H. Teofilo, Firenze (10) ,
n Peyron^ Adolphe, 1) Coulet, Riclaròtto, c
1935, ■ 1936 et 1937 - GuiUelmet Albert, f
Marsefflle (2) - Poet, Id. (2). - Stringai, .
Madame/'Antibes (1) - Griaet Angele,
S. Gennano Chisome (5). (A auivre).
fÌQlPE-niHlL
W Aoflua, AmU, Vini, UviorI, SeirappI, ifn ^
/ ; OHI, Madlnlnall» Profami; Coll«
U’
IMPIANTI PER CANTINE
tps.'", pyjj, y|„| spyinanii, Aaqua Qaa
'AK/
a Salts • Oalalogo gratia.
La famMe du'regretté :< ^
ìÉlVs»^cI Lon^’
'’d
profcmd&ment émue par les attestations
de sympathie reçms à l'oocasim du départ pour la Patrie Céleste de scn% bien>aimé, remercie vivement toutes les personnes qui ont pris part, dwne façon si
touchcmte, à son deuk. * i ï
Péroiise Argentine, le 20 novembre 19Ü6-XV.
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Luserna S. G. » i 5,58 7,20 12,44 f 18,29 19,52 21,08
Bricherasio » I*“ 6,10 7,33 12,58 ■ t ' 18,47 20,05 21,20
Pinerolo » 5,24 6,30 6,56 7,47 13,19 17,38 19,11 20,26 21,39
Airasca > 5,48 6,44 7,23 8- 13,40 18,01 19,31 20,52 22,02
Torino a. 6,35 7,20 8,07 8,30 14,16 18,42 20,— 21,30 22,40
Tarino p. (3) 0,25 6,33 7,56 11,40 13,26 17,26 0) 18,35 19,06 20,02
Airasca » 1,03 7,18 8,26 12,18 14,13 18,02 19,12 19,32 20,53
Pinerolo » 1,22 7,45 8.42_, 12,37 14,35 18,18 19,30 19,46 21,14
Bricherasio > f 8,03 8,55 ì 14,54 18,40 20,03
Luserna S. G. > t 8,14 9,06 ' 15,06 18,52 y ' 20,14 — —
Torre Pellice a. * 8,18 9,10 15,10 18,56 5 20,18 f
(1) Feriale - (2) Festivo - (3) Al Lunedi.
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S. Margh. > 8,35 15,25 19,10 ViaFourca » 6,35 6,41 11,55 17,40
Chabriois > 8,42 15,32 19,17 VillarP. • 12,01 17,46
Villar P. » 8,49 15,39 19,24 Chabriois > 6,48 12,08 17,53
ViaFourca » 8,55 15,44 19,29 S. Margh. » Torre P. 'a. 6,56 12,15 18,—
BobbioP. a. 9,- 15,50 19,35 7,- 12,20 18,05
(f) Al Venerdì e Festivo.
ORÀRIO FERROVIA ELETTRICA PINEROLO-PEROSA ARGENIINA
Pinerolo p
Ponte Lemina (fae.) «
Abbadia .
Riaglietto-Fiugera(/;ic)>
S. Martino >
Porte .
Malanaggio (fac.) «
S. Germano •
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Pinasca »
S. Sebastiano ' >
Perosa Argentina
6,45
.6,53
6,56
7,
7,03
7,06
a.
7,14
7,24
7,32
7,35
7,41
7,45
7,52.
7,50
8,02
8,05
8,08
8,11
8,16
8,19
8,26
8,33
8,36
(I)
8,45
8,52
8,55
8,58
9,01
9,04
9,08
9,12
9,19
9,26
9,29
8,45 9,35
Ut)
10,45
10,52
10,55
10,58
11,ei
11,04
11,07
11,10
11,17
11,24
11,27
11,34
11,40
12,45
12,52
12,55
12,58
13,01
13,04
13,08
13,12
13,21
13,26
13,29
13,36
13,39
14.35
14,42
14,45
14,49
14,52
14,55
14,59
15,02
15,10
15,18
15,21
15,29
15.35
16,45
16,53
16,56
17,
17,02
17,05
17,08
17,11
17,18
17,25
17,28
17,33
17,36
18,23
18,30
18,33
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18,39
18,42
18,49
18,56
19,03
19,06
19,14
■P)
19,52
19,59
20,02
20.05
20,08
20,11
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20,17
20,24
20,31
20,34
20,39
20,42
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21,25
21,32
21,35
21,38
21,41
21,44
21,47
21,50
21,57
22,
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22,12
22,15
Perosa Argentina p,
S. Sebastiano >
Pinasca , »
Dubbione - ,
Villar Ferosa »
S. Germano >
Malanaggio (fac.) >
Porte »
S. Martino >
Rlaglietto-Fiugerat/ac>
Abbadia >
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Pinerolo a.
6,28
6,31
6,37
6,40
6,47
6,59
7,01
7,05
7,08
7,11
7,15
7,18
7,25
7,55
7,57
8,03
8,06
8,13
8,20
8,23
8,27
8,30
8,33
8,36
8,39
8,45
(2)
9,
(1)
9,45
9,47
9,07 9,52
9,12" 9,55
9,20 10,02
9,26 10,10
9,30 10,13
9,33 10,17
9,36 10,20
9,38 10,23
9,41 10,26
9,44 10,29
9,50 10,35
12,
12,08
12/3
.12,23
12,30
12,33
12,39
12,42
12,45
12,48
12,51
12,58
13.55
13,59
14,05
14,15
14,22
14,43
14,46
14,49
14,52
14.55
15,—
16.25
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16,50'
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17,01
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18,06
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19,25
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20,01
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(1)
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20,48
20,55
20,58
21,01
21,04
21,07
21,10
21,13
21,20
(1) Festivo dal 12 Luglio al 6 Settembre —
(3) Festivo fino airil Luglio e dal 7 Settembre iif pol — (4)
(2) Sabato (Mercato a Pinerolo)
Festivo fino àll'll Luglio e dai 6 Settembre in poi.
Perosa Argentina
Pomaretto
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TrosSieri-Faetto
OBABIO ABTOMOBILB PBB08A-PBRBESO-PBALT.
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Pràly (Ghigo)
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Rodoretto
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17,32
.17,47
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(I) Prosegue flpo a Praly .soltanto nel giorni festivi dal 12 Luglio al 6 Settembre — (2) Prosègue pér ;P«ly
soltanto nel giorni precedenti IJesfl^ dalfll) Luglio al 5 Settembre ^ (3) Proviene da Praly nei giornfì ftotiyi dal
12 Ltigfio: aL& Settoi^re, — tì titvizio fot Perìrero e Prolp st effettuo dai 2S Qtugno al 6 Settembre,
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