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î j.ValWosi 'VaiiéaîsWta J »aa<Fr..ag,50 w-itali» .* a f J J- Ff. 8,00'' '
. Ëtr&n£&it.(fi • ffsr *j ‘-v '• î* s*> -*i’ 5 ■ ■■
' P1Ü8 d’un'exâmplaire à la ôiâme adressé, chacun . » 4
i ■.. : Atl Aiii«tgnflt--*a triche-Hon^rtéi Belgio ne; Brésili l)a»Cfcrark. ' ■
•/ . Bgyntéji Holland«, Suède, .Suissé, par j
' Paftiàt selon Aecèrd de Vienne .... » 3,00
ijq a ’ .■:Oiîi'b 1- ^ ■ ' lii.. I. t '-.à : • lia -■ :."V
f/ <j,0nii^«l)Oiinei à:^ol'i;e Pellice au bureau d’administration et à i;
l’Imprimerie Alpine; dans toutes les paroisses,chez MM. les
Pasteurs.
..rt,-,,,,!,,.„■j..4. ■■vTi'ii.l inniiwifii rifîrr w
1/abonnement'àé-‘Wé <^’a#ii«êéi'-l<^ siisuot m^i>
: -'() . î ^ iifiic'jti î'/b I ■ .'!•.*'> '.tt 'l'int.i'srii ai t ttîitii'.-'î î*j sîî
Pour tontes les annoaefs, l’adreiier à rimnrlinerle Alpufc
-■ - oonoossiOnnaffè.’^'i ;
S’àdresisor poni* là B<!dactton,à Mi C^-À.^ T^ow,"past., t?h^,?r^.ÎÎÎPAhIt>
> et podh M«mlnis«n«loili'li M.‘J. COfsebni pttof.; ï^éPé«ite«i‘^|'
■■ i.'-i m--t! t’ii b bn i -Misi'.ii 'K'yl !'* •.Ofel'î 1*4^1 üiOj^JU
Tout changement d’adresse. coûte ¡16 oantimos, Bapi o«pi qn
oommonCéiâeat dé! rànàéè’.'^^'^ l^ ’ ' f sT- ' cSy
Lee ohangemenht aoniao^mpagné|iida!.l%!«<Hiainf
ne seront pas pris eh oonsidèration. . i i î , t
_________ ’ i.fjf .-.t . j , Tn^'üpo-'^ nu tiitib ttJ ■t»’!
‘ Oitfô^toutês les chôàes vraies, honnêtes, justes’, pùj^es, ainiables...
iijJI
' es de louange, occupent vos
ÍIÍVmT*;' Ml ... .. t.- .•
mi
it S3
SOMMAIRE:
MéditatiOâïii,» Trop d» cabarets‘^■l5e <«mr
mje des Eglises non-conforiuistes —
LX.’ougjjie.,payeiiae du-, pargatoir»--
Course au psÿs du Cbéo — Chronique
vaadOiptriH Iwàalité «oolaiie tn Riimssi
fei^^ihH —”"Nôûvelftt'À iâits divem.
dì
ivf^DrTArróÑ;
Le Fils de l’homme est venu non
^ • pout etre servi, mais pour servir.
i'k.l ■ Mat^
Silk)n nous demandait le secrel; dé Sèivinifis hommes dans un esprit qui ne soit
jamais^stervile, nous répondrions *quê ' cé
secreti consiste à. servin Ddeu < en les servant. Dieu d’abord, voilà l’ordre hiérarchiqüé ëh d'ehôrs duquel'ii n‘’ÿ‘à''qu’é^areméiit; Dieu àimé et servi dans les hommes’.'sanë'dbute, cat, ainsi que l’a dit admifàhletriènt Saint-jeanH'Celui"^qui n'aime" pas son frère qu’il voit, comment aiméra-t-il Dieu qu’il ne voit point ? ».
Maië il faut’ servir les hommes de telle
manière qhé rhonhèur de Dieu ne soit jàmaisaacrífié. ’' '' ' '
Au ’ftïnd," Si vôuS'y prenez garde, c’est
la règle qüe Suit à chaque pas JésùsChristr. N'uÇjiÎus qûe lui h’a servi lés hommes; Il éSt vénü pour cela. « J’âi eté aii
milieu’ de Vous, dit-il. Comme celui qui
sert mais'aussi‘"hui plus' qùe lui’n’^à
servi Dieu. « Ma houfrituré, c’est dé faire
la volôntè de mon Père et d’accomplir
soni eéüvréby; C’est pour cela qu'il n*’a jamais sèrvi l’humàtiité dàris ses erreurs,
dans ses "pfàssibns, danS^ ses mensonges,
dans ses entraînements mauvais, mais
uniqtrerhent dànà ses faiblesses, dans ses
donleüis. C’eSt pàrCè‘qu’il’aimait les hommesamDieu qir’il a pu résister en facé, et
les cambahtre jüsqn’â s’attirer leur haine
mortelle et leur mépris. C’est dans cet
esptit-tà qu’ont agi tous les grands témoins de la vérité éternelle, depuis Moïse
obligé ¡de- tenir tête chaque jour au peuple-qu’il avait affranchi et d’essuyer ses
ingratitudes et ses lâchetés, jusqu’à
Saint ¡Paul nous révélant lès déceptions
de son cœur dans ce mot profond et touchaartîiioJ’aime davantage et voilà pourquQt;jmsuis¡moias aimé ». Dui' il faut ser^
vir les hommes souvent en dépit d’eux; '
malgréieux,; en affrontant leurs faux jm
gements et leurs coiètési en¡se souvenant
qu’en les servant c'est, au fond; Dieu qùe
ron(serty';j¡.¡'
Nom seulement cette pensée nous gardera de toute concession fausse -àt leurs
passions et à leurs erreurs; mais seule rile
nous sauvera du découragement et du
scepticiwneii Ce n’est pas chose facile que
d’aiHian et de servir longtemps l’humanitáiíDevaat isesi jugements faux et ses
préjugés, on est souvent tenté de direi ■
« A quoi¡ bôn.t?i». ¡L’histoire nous 'révèle
un fait) profondément triste,' c’est que les
hommesiique l’humanité a-le plus idolâ-‘
très, ont été souvent ses plus grands con¡tempteiirs. Rien m seTait plus'facUe que
de produire ici des mots de Frédéric II,
de Voltaire, dé Napoléon (sans pârler des
contempotains’dé génie), dans lesquels se
trahit le mépris sanglant dè leurs seihblables; ces 'observateurs>-puissants avaîeiit
vu si bien les mobiles secrets qui font agir
les hommes;' qü’Us se figuraient que céukci sont inéapàbles de résister à cértâinès
influences, et qüe chacuh,«selon un mot
cynique, à son prix pour lequel il se vèndi
Sans aller SV loin, il est ‘difflciïé dè croiré
longtemps à la valeur morale de rhiima-’
nité; âî’rôn 'he 'crOit pas au Dieü qui l’â '
créée; qui la dirige et lui prépàre’ ün’grànd
avenir.' Mais, lorsqué l’on Voit em chaque
homme 'une®'ârné -'sur làqiièlle Dièù a
gravé son image et qu’itVeüt sauver pour’
toujours,'’on'estime q-u’ii vaut vraiment
la peine de la 'servir, mèmè lorsqu’elle
nous apparaît'sous'les htiillons d'uirpâuvre,' ‘ SGuS l’ünifOrme des''’prisoniliérs de
nos' maisOiis centrales ou Sous là peau
itoire des Zoùloüs.-Cet être que voüS' ser-'’
Vez,*'si misérable' qu’il soit aujourd’hui,
nuP iie sait sfil 'h’est pas désïîim 'â'voué“
devancer bientôt au royaümé dès cieux.
i {Le Témoignage). . , •
; ..'•¡-i Eugène Bersièu.
; TROP lE CABARETS. ■
i Vous trouvez; sans doute, que mon sujet'ne pèche pas'par excès d’originalité.
Éh ! j’en'conviens;- aussi je ne prétends
nullement vous 'dire des éhoses neuves.
La question'est de savoir s’il'y a oui oü
non, trop'de cabarets, ôü bien si l’on en
veut'encore. Or jé suis absolument certain que vous trouvez, tout comme moi, "
qu’il y en a au moins quatre fois trop-, et
qu'il faut“ le répéter de tempfe à autre,
dans'i’espüir d'être' entendüs..';-'tôt ou
tard.
Et voici d-’abord quelques données statistiques, au sujet des débits de boissons,
dans les principaux pays de l’Europe. La
Suède a un débit pour chaque 500 habitants; la Russie un pour 1200 hab.; l’Allêmagne un pour' 250; la Hollande un
pour 200; l’Angleterre un pour 180; tltalie un pour 170 habitants; la Suisse un ‘
pour 143; la France un pour 87 et la Relique un pour chaque 39 habitants y compris'toujoursr bien'entendu, les femmes
eit les petite enfants I One statistique qui
eh dit long, comme Vous voyez, et d’où
il ressort que notre Italie seriroüve presque au,/«Ht/ (mettez au bas, si vous le préférez); de l'échèlie.' Il est vrai qu’ütïe loi
toute récente'limite'à un sur 500 habitants le nombre des débits d’alcool'; mais’
jè doute fort qu on la veuille appliquer
ahssi auxi débits de vins... frelatés,
i Nous ne possédons pas de statistique
piartieuliere au sujet des débits; gargotes,
bprs» auberges de nos Vallées'; elle est
' peuteêtre à faire, mais elle ne’irons est
pas précisément:indispensable pour nous-'
' aütwiséF'â'àlTirmer que la moyenne des '
uüOíUCí' . ' ■' .;;ü :¡ --¡'î:
« cabonfèits;» * n’est pas^‘infériéùre"’ clÎez ^
nous éellé dés“aütres régions de FTfáliy
Vous découvrez des « oustarie » dans telle
maisdH’isoIéeié long de ribs rivières, dans ^
de toriï’pëtits'hameaux perdus dans ños ^
mbntà)gries; dans les plus petits villages;
le lon^ 'dès torites fréquentées ôjù 'èlles
s’échéîoûhérit à dés'distances ihvraisëmblable^ënt petites." dii nous dit que dans *
un côrtâïii hameau, sur cîhy famfllé^. il
n’y a ^‘àé^mblhs dé trois aubergistes Í Èt *
tout 8e’monde vit‘où vivoté, à ce qu’il\
„Aiía'Uj“*i‘“i¡' v'm;';/ y ■■ f- *'i
U’alfez cependant pas noùyprètér
rintefftìòft cri'rnineflé de ‘dernander la
suppressîori' dé toutés Îes^auberges. î^ôn.
car notis âimôns bieh trouver au Pra du
Tour,^â^ï’^raî‘,‘à^ la Ÿachere' ari Prà,"'à la
Ruà*, k Roàbtèt, un toit sous iequei nous
abriter;‘un brave hôpimé bu üne‘ btaVe
femml^qui sache au besoin nous conféc-"
tionndf
urie“ omelette et
une
nous preparer
tasse de cafe. Nous reconnaissons pa
lieux de communes; d’un certain nombre
i : • Í , , ;
de jesta.iiràttt5fc aùbergfis,, cafés-pai«i.*os~
nous ne voyons nulleàneht la nécessjtf de
multiplier lés gargotes, daps les proppr?
tîoris alarmàiidés qüé‘ nous déplorons
tous, et où l’on débite le plus souvent du
vm irelate à de pauvres gens-ne cqnnaissiarii pasla riiarchandisé; des'^traquenards
?J » (’- j 'Ji ■■ l. î> ’■**. yÀJ' .' ' À
tendus le loqg des grandes routes pour,
soutirer l’argent du .pauvre monde ou
pour débaucher la jeunesse. Mais, repli-,
quent ces honnêtes commerçants, nous
ne faisons de mal a qui que ce soit, nous
ne forçons personne à entrer chez nous,
'.[Í I' ‘ i'ii. -.il.''-'
Voyez les pauvres innocents 1 Et vous ne
comptez '{)our rien la tentàtipn permaneri|e‘à laquelie vous exposez votre clîeatèlé*^ Et vous ne songez pas à vous répéter dans vos moments de lucidité le refrain' de la vieille chanson: « Cabaretier,
qui mets l’eau dans le vin, Examine bien
ta cbrisciénce... », et ce qpi suit ? Ditçs
plutôt que le métier est facile, si l’estor
rtiab est bon; qu’il ne demande ni intelligeiice, ni esprit d’initiative, ni de gros
capitaux; un métier Où l’on ne risque
I I- îi V , . , ‘ ‘ J . ■ it- - I, 1
rieii * matenellement parlant - qui ne de- ,
maride pas la moindre préparation et qui, ^
malgré tout, nourrit, le plus souvent, son
homme. Voilà qui éxpíiqúe pourquqi^^
tant de gens s’improvisent cabaretiers.
1 Mais, voyons,, que fériez-yous si
you'â étiez l’autorité Í —' VoiÎd, je né suis
pas I autorité, heureusement, ce quisimr
plifie de beaucoup la question en ce qui
me‘concerné. Mais, si j'étais yautforité,
j’aviséirais aux moyens: 1° de ne plus ac
aS: .. . ■ ■ , - ■ ■ 'f, . I'> . ;.i 3
corder une seule permission pour 1 ouvertüré d’un débit dé boissons que rien ne
jristifie. 2° Jé s'âîsirais tous lés prétextes ^
pJailSibles pbür eri/e/mer,'au fur et á mesuré;“ le plus gñ^éíiid notrdîrè’
mmrmr
avec ra majuscule, sjl vpus plaît, ^car u
: , ¿ç-'.jîg-mi- -es: inuioff MqnjuJaoi
n en est pas un qui ne soit fermement con-aim ui- .noîuiîK..,.' .enuin
vaincri de faire du commerce, et du vrai,
de celui qui contribue a nmener la nrOs- ,
' '»O .2-1 — ' #
périte dans ,1e pays ! Faites-moi rire ! la
'j-V'U.!'* T H!, H iCfc’U
prospérité alun seul, faite parfois qe }a
tí >0 .tivnuH IÍÍ, :ü.-süt;.»-*; .'¡iiii’-a O
ruine de plusieurs. , ^ . t t ¡..t-t
i 'ty ’*li’aî ’‘tóf ¿lííéf '
' i! ': 'Mu:r s¿0‘r. ««n«
pour mécontenter les cqbmetiers iputiles ,
!.• ,:ir¡i-i'jÎ ííü i «oiíiCí.i Vi.' <.v áq ají- •iÿs/jtJ
pí dangereux (les autres . ne sonr ías visés ,
dans■ cé petit arñicié).''’^’ñyhsaie^
WiileViis séraíenf‘càpablès'de nbusliei
I i;l .Am; '• ¡'¡v * ¡mvjiñh /jm eiom í-mmoüp
cotter et de dire ce qu on nous chante
I .aii!v.v'. ’e ltr.4 :u» lOnHu: s’íví-íí^i
lorsqri il nous arrive, par hasard, de tou- ,
T,! ï’tîts,' hOT.¡iùon'j-fqmi--'.' üvqA
cher à une certaine politique, que « ce
■•f'.iie il !* i ?. íl’Jíí
Sont là des questions gui ne nops regar
dent“pas‘»?Tbus^ne-Im fáítés pas iiné^^
ijfetij'aw h-uiiîji iÿj.i » ,ao--;j(.,iRj ..^fscoo
idee de la murtitude de questions,qui, au,
!.. «i> js •' Ü ..moi Oi '.in î:9 n-isf. noiMiin
dire de certaines genp, ne regardent pas
l’ÈcIé des iÎ'd'iféés/^Îïéureusemém
i v,i|. ’^aniae’i •îÿauiq. Jiifp-’S '>ns!
hos lecteurs et abonnes se recrutent ail-,,
du « màstfôqüet »; Aüâsi, ce n’ést. pas'
• ü; ni suc-i iiiwvu au ñs^é /nan msn
pour lin que nous écrivons, mais pour les
f -úii ?¡H-iiírnKi^ ,.íJ7 ¿.i
honnêtes gens qm lui fOnt la vie trop
e.h!(!r i 'l'i .HíT:;icmmíTJv-'! vU eujq ina«
once. J. c,
... I. H fii ItllJ ^»7140011
»QLÿllOÜ« HUII UUIIIUIIIIIinèlÿflol
La tendance du iour est celle
deration quand on ne peut plus obtenir
t“"»" «ÎWi'“
én politique comme au point de vue religieux. En, podtique, .nous, avons , lav,tri
pliçe d’un côté et la triplé entente defau?..,,
tre. ^An point de vue religieux ¡nous p^yojja, q
an vif désir d| entente entre le^ diflérenAes
dénominations en attendant quelqpiejjj
éhose de mieux encore. Î^!gst î)iorwich,qni:
a eu ,1eprivilège de .spuhaiter 1^ biÇùyerijric ;|j
aux 1500 délégués ,des Eglisés NonCjQUr. jj
formates. " iruoUs Iu’
; Le Lord Mayor de la yilley est empressé , ,j
de recevoir.ayec tous les hprineurs posai ?
blés, ces représentants, qui .sentent qu’ils j ■
ont une.mîssiqn ,à r.empdr Anglet|rrg,,.^,
yis à‘"vis de l’État et de la nation. L’Èv^^*j,-,|
que anglican s’est f^t up ; dpyoirj,de,^Q
trbuyer à la solennelle réception, et éye,ç.
des phrases bi,en ,tournées,.,s’est, unij.aUq j
Lord Mayor pour montrer. .qqe l)iprwi,çd;
considérait copime .unfpjiyilège
voir des hôtes, ri. distingués,
Ife Rfstei^prèsbyt^rjgn,^
Liverpool, président du Concile, aj..pprioncé un discours très^^^y^^,gn fmsa;nt
sentir ia note'‘spirituelle, montrant .que,
^ ■■ H-i ' ft**-'-
c'est l’.unioii en Chirst qui, unit ies ,peupies. Le chrétien apprécie la Chine et le ;{ |
4appn, parce que là il a des frères.,
plrésident de la session, *M,r iviseinan, a , i
montre'd son tour qu’on pouvait avoir ,
liuniéè tout en ayant plusieurs, dénorni-, ^
imtions; il réclame de^ Ëvêgueç qu sui^Ufj. ¡:,
tendants; pour surveiller la iùarçli,é,
avant de la famille nonconformiste, et Îq*
)%
2
sur le devoir de reconnaître le^itoisiire de chaque LeîKpj.
c^iidère le paslor^j^ion ^nimé
c^rge, un emploi, coto^| un æ
n«u|. Le pasteur m. apul% leâuMteÿrjde la Parole et non d’une Église. On
d^t»se garder de faire une idole d’un
hfl^tn&qeû^ri»« sihaute missk>&ia« révi
S^v^nson touche le sujet des Mem^es*
d’E^ise
à
pârc| qu’ils pnt de Targent ou parce qu’ils '
possédenl q'uofapies iàlénlst^iglus, g'raii^ '
ou psetits, ont leur place et leur tmportauc*. Les Membres d’Égtise'^^^dowent
s’îüb^eni# «e faire^éftê»er lé mdnde dans
1 Eg^se. Le doct. Jones, dans un éloqiiént
discours, demande qu’pn donjpe à Dieu sa
place, en le Considérant siàînt,Ajuste et'
bdn;
image, $t-Esprit, l’Enfant, le Réveil,
l’évangéiisation. la paix,.sont autant de
sujets qui attirent l’attention du Concile,
et on finit par aborder les questions sociales. L hpn. Compton, membre du parlement, est élu président pour l’année
1914-1915. — Le Concile de Norwich a
travaillé avec zèle, et on a admiré l’es
prit d’entente régiiant au milieu de ces
1500 délégués. Il est évident que le principe qu’il représenté gagne du terrain,
aussi nous compréhons le vote inné en
faveur du pays de Galles, où l^on réclame
la séparation de l'Église et de l’Etat. Si
le' ministère actuel peut résister encore
quelques mois aux diliérents courants, la
séparation sera bieiitôt un fait "accompli.
Nous comprenons' fort bien rapprèhension de plusieüis chrétiens en voyant disparaître l’Eglise ^Etat ou l’Eglis/na- ^
tionale, car, dit-oh, l’Etat n’aura plus de
refigioh et ce sera'tjn triste jourl II y a du"
vraién cela; d’un àutré côté, il n’est pas
juste qu’une Eglise'puisse dominer sur
Eglises, eu ayant des privilèges'"
spéciaux. Aussi, le jour où chaque Eglise
sera libre, sera un ¡grand jour pour le déveîoppénient de là vie spirituelle; il n’y
aura plus de récrimination, cet esprit
fruiMient j(pâJteudA.nhaisserJe f^^
que la substance doctrinaire, rituelle et
^tique la dgi religio|>st la mêniC
V PayfSdne des Gre^;
efdes po||ains |^qu’elle àèu grand t
sdiiBur|tei* noal dé. chrékxnne. \
Aujourd’hui la doctrine du Purgatoire
est la piérté aigttlaiefe éfe .Pï^lise5»apalê?
Ce n;-est plus sur Pierre qu’elle vit, mais
si^r lOsiPurgatoire,! C’est ce fantôq^
. fait trembler le crojant dans les béareC
les plus s^énnelles de la vie. fr*
, ÉPJ’t peu de bonnes gens, pour fernii^l:
ï«qU;il^ soient danis leur religion, donhé*" '
raient un sou au curé, s’ils n’étaient nous*
ses par 1 idee superstitieuse de soula^
une âme da«s'râir‘-délà. Et neuf fois sur
dix ils donnent avec doute. Il n’y a pas à
. s’étonner, car les vieux payens de la décadéricè faisaient dé même. Ilshé croyaient
■ méÜS,' ffiait ils continuaienT
leursjsacrifices et leurs offrandes aux autels, surs, en tout cas, de... ne faire aucun
mal 1
Personne ne croit aveuglément aujourd’hui encore à la messe privilégiée qui se
dit sur l’autel (et que l’on paye cinq
francs), messe qui, d’après la doctrine du
Concile de Trente, devrait délivrer tout
de suite l’âme des tourments du Purga:
toire et l’envoyer au Paradis... sans autre forme de procès; mais plusieurs la
font dire et répéter. Et le prêtre vit, prp;
fite aux dépens de la veuve malheureuse,
des pauvres et des orphelins, et escroque
leurs économies pour envoyer au Paradis,
les âmes de leqrs parents défunts 1
Voilà un bon motif pour illuminer les
gens sur l’importance d’une telle doctrine
qui n’es"t qu’une ùZague poétique et philosophique des anciens, et une source intarissable niais trouble de profits illicites
des prêtres contemporains. Et nous so^'
mes heureux' de pouvoir le faire librement, grâce à la liberté de discussion re^
Kgieuse qui nous est garantie parla cons
titution et par la loi.
Humbert Pellegrini.
chef du pays de Mabota, et a donné son
ce acieuse ‘Ü*
2(^; nôtres de long ‘^r c^ cÎfe
L’iNl||jiK lajiNK di Pvgatiire.
■ ' {Fia). ■ ■ ■
L’ctriginé dû Pürgatoifc est tout à fait
paÿenne, et nous chercherions éii'vain
danis l’Evangile, Voire’ mêmë’dans toute
la Bible un mot qui ait raif d’y faite allusion. * ' ,
La croyance dans un inonde intermédiaire où l’esprit deà hommes médiocres
pût se purger, fut exposée par Platon
dans son Phédon et plus largement développée dans le X Livre de l'a Répübliquei
Les écoles néo-platoniques s’eri'emparèrent, puis lés stéïciens et Sénèque enfin
résuma la théorie platonique du Purga- ’
toire. * • ^
Les pères de PEglise, Origène en tête,
sous l’influence' de l’Ecole d’Alexandrie,
l’admirent comme ùne opinion. *
Saint-Augustin est le premier qui la
mentionne, en Occident, mais généralement, dans les premiers siècles, cette doc-’
trine a été repoussée et condamnée enfin
en f458. ■ ’ "" ’ ' _ ' ■ '
Dans l’antiquité classique, Virgile
Bous fait une magnifique description des
âmes du Purgatoire dans son VI Livre dé
l’Enéide. '
L Eglise Catholiquè Roihaine accueillît en bloc une doctrine payenne, péiitêtré dans la persuasion décevante que
personne h’eli démasquerait l’origine, en
étalant aux yeux dé tous ses tromperies.
éest bien lù une preW
, C^nrse ao pa^s du Chéo
{lifàtolo - Mozümbiqtie portugais).
Il y a dans cette Afrique quenous évangéiisons (écrit M.r G. de Tribolet), quelques rares coins où la nature semble ayoir
déposé une poignée de joyaux. Je reviens
d’une course au lac Chéo, au nord du
pay’s'de Matolo, et c’est de cette étape de
trois jours que je voudrais vous dire deux
mots.
Il y a longtemps que j’avais le désir
d aller dans ce pays encore non évangélisé, ayant au nombre des habitants de
mon village, ici, deux enfants du pays de
Chéo, garçons de douze à treize ans, qui,
sortis de la brousse, sont aujourd’hui de
sages écoliers, et qui se sont convertis.
La lune, ma fidèle compagne de voyage,
resplendissant alors dans toute sa pureté,
j’avais choisi ce moment-ià pour faire
notre course. •
Accompagné d’une douzaine de membres de l’Eglise, l’instituteur Andréas et
moi descendions les pentes du marais de
Matolo et au bout de trois heures nous
atteignions l’annexe de Zihlahla. C’est
déjà rintérieur et la vie de la brousse solitaire. Notre contingent se grossit de
‘ quelques membres de cette* annexe, y
compris Tévàngéliste Abia ; et,‘forte de
dix-sept personnes, notre coipnne enfile
le chemin sablonneux qui conduit dans
la direction du nord. '
Vers q’uktre heures, tandis que le ciel
commence déjà à se roser (nous sommes
en hiver, c’est à dire au 19 juillet),'nous
arrivons au haut d’une pente,'d’où sé découvre à nos pieds, sur la gauche, encadrée de roseaux, la nappe bleuâtre du lac
Chéo. Chéo (^taît un conseiller de l’ex
^ m .t
ikíéVUlagé ál chef Hla^Ii; le mâîl^
de tout le pays, se trouve à quelque trois
^.oent mètres du lac( êàcSié'dahs^lesi-buissons. Grand, svelte, la figure intelligente,
£34 fj:on|;^rge, les yeux perçants, coiSé
i'Cunè tdlue rouge ; voilà,le chef du pays
^-i^Clmo. Il est père de onze fils et trois
-fittes, qui tous sont au village, .sauf une
■filié mariéç^ dans le pays de Moamba. Le
■ vieux père de Hlavéla — son nom est
^aloumbou — sourd et atteint de cataracte aux deux yeux, a sa place au village, mais ne prend plus part aux affaires
courantes. Hlavéla est reconnu officiellement comme chef du pays.
L est encore 1 ignorance et le paganisme qui recouvrent de leur voile trompeur
tout le pays de Chéo. C’est une contrée
qui ne sait rien de l’Evangile,, Je questionnais une païenne d’un.villagç voisin
de celui du chef, et je lui demandais entre autres si elle avait déjà entendu le
nom de Jésus, Elle me répondit négativement. Et pourtant elle était du pays
ronga, et avait grandi à Moracouène I
Un grand désir se réveille dans le cœur
de ces gens du Chéo; les projections de la
vie de Jésus, montrées deux soirs de suite
ont produit de rimpression ; une orientation nouvelle semble s’être dessinée
chez ces gens de l’Afrique, orientation
vers une jVie iuçonnue,. celle du salut, çt
du pardon en Jésus-Christ I
Le matin du second jour, nous assistâmes à une séance vraiment mémorable, dans la grande hutte du chef, avec
les conseillers et les hommes de la cout
trée. C’est Hlavéla lui-même qui avait,)
convoqué cette réunion et m’avait averti
le dimanche soir qu’ils auraient une affaire à me présenter le lendemain matin.
Le chef prend d’abord la parole : « Nous
voulons une école, ici au Chéo. Nous sommes morts, nos yeux ne voient pas, nous
sommes.aveugi6s-et'nous voulons’ voir ».'*
— Bokiy uif aütréchef, unspetít hQhrrae
trapu, à la barbe défaite, dit; « iNous ne
voulons pas des danses païennes, mais un
temple ». — L’envoyé du enei, Npuasibona, dit; « Nous désirons que nos enfants soient instruits, et nous aussiies.
grands, nous le voulons de tout notre
cœur ». — Je pris la parole pour leur dire
notre joie en voyant les représentants de
ce pays de Chéo, si bien décidés. Nous
étions en face de consciences remuées, de
cœurs désireux de faire quelque chose
pour leur propre salut.
Séance tenante, chacun jeta sur la
poussière grise de la hutte sa prie pour
i église du Chéo. Apres nous, ce fut le
chef qui jeta sa pièce de âûü reis (2 ir. 50),
son fils en fit de même, Jiokis donna 50
cent., plusieurs chacun un franc; un d’entre les fils, du chef dit: « Je donne ma hache et promet d’aller couper dans la forêt
les perches nécessaires à la construction ».
Un autre donna fiO cent., etc. Le chef
prit encore la parole pour ordonner que
cette même semaine tous les hommes lir
bres devaient aller couper les perches nécessaires, les branches, les lanières d’écorce, et tout le matériel pour les pre- :
miers travaux. C’est ainsi que chez Hlavéla, on passa des paroles aux actes, à
ceux qui viennent véritahiement du cœur.
J’étais ravi d’une joie inexprimable en
voyant ces hommes ignorants, ces païens,
ces enfants d’un pays qui est dans les ténèbres, sceller ainsi leurs paroles par des
actes aussi spontanés. Mes compagnons
étaient dans l’étonne,|^nent. bera-ce la
huitième annexe de la viUe, la-bas, près
du petit lac bleu, celle dont Hlavélamous
a déjà montré l'emplacement ? Que Dil^
fé|ieui^.f ® fc
^ deiU^de les prip|es de tous et 1^
j^no^Eglis^ pour ce ji|ys du Chéo,
%eMble iè réveiller d^uilommeil profoœ,*’^
et qui est si désireux d’avoir, comme pà'
disent, « un temple de l’Eternel ». Il
une œuvre à-'commencer-là-bas. -Dil
f fiouSii« ®ontte a^tblement, et nous aîf ronsià, en. eàuser au proribain c©nsistoii«,¡^
où « à nos pagóles uqus joindri|nsl^ aclis:
* des .geiis; 'du C¿éo’¿ de JéuE! fa'í
pittoresque;’ expresriéti; ¡ùdl|éùe : «Vo|à^,
les larmes dé ceux du Chéo ». Un pays(i
mous est ouvert à la porte=de celui de MÍ)--;
aTtibà"’ rintifoi'' |
^ jBîiS I
Je m’arrête, espérant que ces lignfs''^)
vous montreront que Dieu agitai;que l’E*
vangile reste toujours l’éternelle puià-'
sanee de vie, celle devant laquelle, un
jour, tous les païens sïïfclineront.
{Bulletin de ; la Mission Romande). ‘. iJ/
ANGRQGNE, jpoi^.les inçen4iis,,de
Rodoret (2« liste): ' ’
Jean CHauvié'‘(‘Oàm^ ;')' ' ‘ Fri. 0,50 ■
Catherine iienech (Meisonassa) » ' 1,00
Anonyme ; , , . ^ » 2iQÔ
Montant de la ti'
Tot Ai. Frs, i SiâOii
'.liste'. , »i> i 158{36:.
Total ^Général Frs. ‘161,85’
LA TOUR. En suite de notre appel à
la seinainé de renoncement en iavefir des.
Missions, nous avons reçu les dpns suivants; ivi.r P. idargiunti, irs. 2o ;, iVl,r Éo-,
mano, past. ém., 5 ; M.r et M.me P„ 20 l'otài irs. oO.
,, ’ av;: U ■ •' 1. ,, j.
Uans 1 ^espoir que quelques dons viendront s ajouter a cette somine, nous ayi-,
^ sons la Société des Missions de Paris que
nous enverrons te produit.de.la «dète du
renoncèànent » seuleiûtiiic le. / avril, avep
les 1rs. 2o reçus coiiime don aniniei, de TEcoie du dimanche de v’ia Ohya. Pourquoi
ne parierions-nous pas de la tète du renoncement, puisque Jésus a. dit: « 11 y a
plus de ooiiiieur a donner qu’à recevoir ».
i Vaudoise, d’a.cçord avec
la Société d Histoire yaudoi;^ vient de
décider de tenir ouvert au puphe le
Musée^d Histoire Vaudoise le vendredi
de 2 h. à 5 n. de i’après-midi -;à partit,
du mois de juin jusqu’à fin septembre,,
NE vV-YUKK, Mariage. • Le 2p janvier
M.üe Amélie Armanü-Bayon, de ¡la Tour,
et M.r Caloyero Parisi, 4e Palerme, ont
été unis en mariage par M.r le pasteur P,
Gnglio.
Décès. L,e 27 janvier a eu lieu la sépuiluie d Dniilic liosian, enlevée à i’allectiou de ses parents (Jean,Etienne Rostan
et Jeanne PeyroL), après, sept, semaines
de soulïrances, à l’âge de quatre ans.
— Conjérence Brunn. M.r Joseph
Brunn, pasteur d une florissante église
italienne de Ne,w-York, est connu de beaucoup de lecteurs de. l’Echo, puisque, il y„a
deux, ans, U a représenté l’Eglise presby.*;
térienne d’Amérique au Synode vaudois.
Jeudi 5 février, il a tenu, dans notre'Gha-o
pelle, une conférence sur l'immigration:'
un sujet qui lui est très familier, à.ce qu’il
paraît, et qu’il a divisé en trois points:
les causes, les eflets, les remèdes. i > ,
A propos ües eiiets de l’immigration,:
M.r Eiuiin a rapporté plusieurs laits qui
ne sont’ pas précisénient llatteurs pour
l’Ainénque. Par exemple, que les « eri-»
minets », les associés .de la ,« mano nera »
né sont pas ceux qui sont venus tels dU^
J tàiie, niats meii plutôt ies: uE des, immi*.i
grés, ceux qui ont été élevés dans ce pays;
que tandis qu’en Allemagne le 2 %'des*
. I
3
) #
veiieHS v
^^chappent à la justice; que peu de
t^pii^ij*3^iti^as^ssij^/^^ I
le^ailiajit .oiïicjer de police newyorkais,'^
awt'enÿovè aux autorités Judiciaires de^
r«, ; -'-T .' f ^
N)^-York uàé liste de 600 « manoneri-4
sti^ de cette ville. Qu’est-il arriv*é‘ ?' Quéj:
c^ 004 f
dêik ans, c'est à ,dire jusqu’au ^moment»!.
oi^Îe iemps utile pjqur procéder contre^'
lel*^( dénoncés » fut expiré ! ^
pas hesué à a^dléFin/ùs/e et absurde la
1 ppp;^ 1 «mpêeber,
ilS.n.ifés. :d’èritfèr' en
AtrJÉ^pue. Comme si les illettrés, a dit le
conférencier, n’étaient pas en général
d’hénijêtes g«r|Si §’aiddptapt|à faire les
travat^ les pfqs ^grotssiers,’ lés plus fati^
ganési;Ces travaux'sans lesquels l’Amériqiiéiée serait pas ce qu’elle est t], ]
lloiif en tapant, et avec verve, sur cgrtaiitej lois et sur la manière de fonctionner certaines institutions publiques,
M.rlBiunii^’i j^s mattrqui de faire ré-»mailtjüér que ce n’est pas une tâche facile Iqdé d’amalgamer tant d’éléments diverdïi II n’a pas oublié, non plus, de mettre èb| lumière les efforts; admirhbiefi qde
fon1s>^4s frères en la foi pour évangéliser
les élifioliques.
Uîlé Iconférence des plus /intéressantes,
des iplps instructives et pour laquelle
nous'éqmmes sincèrement reconnaissants
à AÎrÎBrunn.
It ■■ ■• i
—r‘f|e 17 février. Le « 17 » a été fêté
aveér%|nthousiasii:w habituel, ledimahche
15, un
service spécial de comihémo
^ 'r’"/ :,T A ¡j,
ration,!à 3 h. 30, dans notre ((■'châMore
hautè iiqui, pour une lois. S’est de nouveau yiie bondée, et par un nanquet, le
soir,* â> la Pension Davit, auquel ont pris
parti do Vaudpis dqs deux sexejä. Nous
n’essà|^rdHS''p'a^ de-retracer le prograoîme del^ fête, car, nous ne ferions qu’énumérer des choses que les lecteurs de cette
feuiBe/|avent déjà par cœur: discours du
pastfeuil, chants patriotiques, récitations,
ap^]^dissenieiBs:,;;;rl^^ ta
noiélRO|ítvd:íe: Äst mre"qu"-ont~iait^Drer
^'sur^ le v,ioionjt la^inaiidoiine et. ,ie „prano
MM. Cherubini et D’Aliberti, deux étudiants du* Collège de Bloomiieid, et Miss
Corbo, utte amie à M.me Ghigo;'
Gela l’âprês-rriidr’Le soîr,/au dîner, les
Speeches n’ont pas manqué. 11 y en avait
encore-que-le monde commençait à s’en
aller. L’exhortation à (quitter la, yule pour
se diri^Ë^v^iefS,în-'®ài]^iigne à rep/fu. ’Ge
docteur J^ooig* s’est montçévcnaud pour
la Fteride, le pasteur Mean »I ron pour
« la campagne », sans 'préciser de plus;
d’autres ont proposé tout bas le Texas,
d’autres, au tempérament plus froid, l’Orégon,! Et le_pauvre, pas leur, qui nexêve
que dé voir une Eglise yaudoise sulidement établie a iÑew-Vorx, a du écouter
tout cela ! Reporter.
PRAMOL. Dimanche des Missions.
Nous avons eu, fa semaine passée, le privilège d’avoir au milieu de nous M. le missionnaire A. Lagqard et, par conséquent,
de consacrer deux jours aux Missions. A
peine arrivé ici, samedi, M.r Lageard a
consenti à faire une course jusqu’à Peumian où il a tenu une bonne réunion dans
l’école boiidée d’àüditeurs... ét de spectateurs., Dimanche matin, notre frère a
bien voulu adresser la parole aux élèves^,:
de l’école-du diniancne, tenir le culte
prittO&ai et ensuite nous donner, le soir,
I - ' 9» Ai:- « -r.
une^âè sesinteressanies cuiuérences avec
projeetions lumineuses, laisaiit passer
devant nos; yeux au'sii oien que plaçant
sur nos cceïïrs "prusieurs des stations de
cette Mission du /lambeze qui nous touche de isi près pùisqué nous y avons plusieurs de nos frères vaudois et que, de
puis }g .^WfB(5^ent,,,pp^ pnt
pris'Cit èfae üàMif^mtéià;: ÎBn‘exprimant
à M.r Lageàrd'înos vifs remercîments
pi^ur fia jjonpe vi^tç.^çoii? l’açcqippa'4
glioàs" de nos vdfùif ils plus sï&ceres.
—. Pauvre petit ! Nous tenons <à exprimer notre sympathie affectueuse à M.r
Alexis l-onget à sa chère compagno dont
un petit enfant de deux ans environ a eu ■
le malheur de se blesser un œil qui est
maintenant menacé de perdre la vue.
Nous recommandons toute la famille aux
compassions du Seigneur qui seul ,sjit_
çonsoler- dans:dè §i dures épreuves;} y |
. - Mârtffge: Long *
Jean Pierre de Jacques (Clôt), avec Lègger Hélène Joséphine de l’Envers Pinache (Paroisse'dp Pdmaret). |
Décès;(Beux Mèan Jacques des Plans,
souffrant depuis de nombreuses années,
(s’est éteint à l’âge de 67 ans. Notre sympathie est assurée aux enfants et autres
parents affligés.
PRALY. Visite d’Eglise. Convenabler
mehtMréparéè par sept bonnes réunions
tenues dans différents quartiers par MM.
les pasteurs Garrou du Pierrer et Pon§ dé
Rodoref, elle a euJieu dimanche 29 màrs|
M.r Gkfrbu, président de la Commision
Exécutive, présida le culte et édifia |à
nombreuse assemblée en prêchant suf
2 Cor. V, 20. Une fraternellè discussioni
s’engagea ensuite sur les points suivants;
1° La fréquentation des cultes est encoii-f
rageante — 2“ Les contributions pour
l’Eglise sont généralement bonnes aussi,
»quoique il y ait àœet égard ejlcore beâ'u,CQî^ 4 désirer -TT 3° Le chant public se
maintient assez bien, grâce surtout aux
efforts du régent; il y a cependant encore;
là aussi 'beaucoup d’améliorations à faire
— 4° Notre jeunesse, exposée même
pariniMoùS à bien,ides dangers ne sait pas
, toujours les surmonter.
Les conditions spirituelles de l’Eglise’*
sont bonnes; nous he pouvons cependant
pas regarder à l’avenir sans crainte. ¡ *
Le soir encore notre temple se remplis-t
Mmt" d(ûn MuBStoire presque aussâ Aon}Bréux que celui du matin, pour entendre
■ une^-beile eonférence de M.r A. Jalla, viceprésident,de la Commission Exécutive.
En conclusion, nous avons .eu une »bonne
visite. La peine que nos frères se sont
donnée ne sera pas perdue. La semence
répahdue'avec tant de conviction et de
force portera son fruit en son temps. Ils"
nous ont fait beaucoup de bien, nprts les
Ml remercions de tout notre cœur. *'
SAIN f-JEAN. Madame Lydie MalanLantàret. Notre paroisse vient d’être encore durement éprouvée par le deuil, dans
la personne de M.me Lydie Malan-Lantaret, entrée dans son repos éternel samedi dernier à 8 h. du soir. -- ■
Très ébranlée dans sa santé depuis
quelques temps, ce dernier hiver surtout
elle n’en continuait pas moins de diriger
d’une façon admirable sa bienfaisante
« Maison de repos » des Lantarets, vraie
Béthanie pour les anciennes orphelines
qui y trou valent un asile chrétien de paix
et d’amour; elle n’avait point laissé, malgré sa îaiblessé extrême, de réunir chez
elle, le premier dimanche du mois, les
frères et scéùrs désirant s’édifier autour de
la Parole de Dieu en un cercle plus intime{| elfe çontinuait^ d recevoir avec sa
cordialité' habituelle, sa parole si francheinent, si tendrement chrétienne, les
connaissances nommeuses s’en allant
aux Lantarets comme en un pèlerinage.
Le Seigneur lui a dit: «Monte plus
haut », et son âme nourrie de toutes les
espérances chrétiennes, de tontea |ps4eç-<.
titudes éternelles a reçu dans là pàïX tt'
dans la joie le divin appel.
Sbn existence, tmite consacrée au service du Maître, a été des mieux remplies :
son nom à lui seuf |st^#htetie ¡BiâHétioh. Sous sadirection ^évoffée nos enfants ont ^i»çu jenr' première instfucftdftlà l’Ecole du dimanche, nos jeunes filles
on| poursuivi leur éducation chrétienne
daps cette Union dont elle fut lo|igueI ,
m^t la présidente vénérée ; de sa retraité '•
ensoleillée ^qs, L^fac|t| ^i J^ejqent
hospitalière|p|ui ^t pi/|i0s^ si
bieïafaisante? ehvérs lotis ^és'’JpabVféi et
malheureux, elle a été pour nous tous.unj
foyer de lumièr^ ét Me ichaléur èvàilèélique.
vité et ^ yi)^ ^’intéressant de^some^rit
alerte et distingué et de son cœur aimant
à toutes les oêuvreé dé la paroisie, à toutes les œuvres chrétiennes, déplop^ant
sans re^ll^ fh Îéi sf |fo^î|| || ^qdMè,
une foi large, charitable et pratique, comme on en refiéëhtf^e "rareméhl^’ Miute sa
vie a étéîpfie œuvre d’édificatiorn 'dont
nous bénissons Dieu du fond de nos cœurs.
Son 'èm laKse üh%rAdMfdl^M^^™i
nous, mais »nos i cœurs tt’eh disent pas
moins aj.eef ’accent de la reconnaissance :
« La mémoire du juste nous demeure en
bénédiction. Mon âme bénis l’Eternel ».
Après le service à la maison mortuaire
ce lundi derdiéff à 2 h.; présidé par MM.
les pasteurs J. Bonnet et Cesân, un long
et triste cortège accompagnait^en ce beau^
jour de^Sfëmps^lésMépoüüles liSortélies
de notre sœur bien-himèè àulefiaftp duô
repos. ; M
^ ._4
Nous exprimons 4 îà sœur de la défunte, M.lle Julie Lahtaret, .le dernier re
jeton deiçette'pieusel famille dont Barba
David d’heureuse nfémoire fut le chef,
ainsi qu’aux nombreux paren)ÿ et^tpute
la chère maisounéé des Lant^^ts ^i douloureusement drappéé,^out(|(^tà sympathie chrérienrie, frâternelS lÉcRi^àle,
— La collecte de dimanche dernier, dit
de « renoncement » éndàveur de la Société
des Missions de Paris }et recueillie sous
forme d’enveloppes feiggiées à côté-de-la
collecte Ordinaire à |a sortie du temple,
a produit la sómme InCburageante de 90
francs. s X.'X.
"—7------------H"4---------——
MdJTUALITÎ^ ^ ,
L’organe de cettej institution, qui se
publie à Mitán; eontrent dans un de ses
derniers npméros quelques données statistiques qui féfont plaisir aux intéressés.
La Mutualité ^t en progrès, àinsi que les
chiffras qül suivent vont le prouver: En
”Î907sîes versements des petits mutualis*;'
tes nÿlteignent que le modeste chiffre fdh
îrpndit'152d,69; en 1913, celui de frhj]^s(,
107.7^8,94, soit une augmentation ,dj.®h- ?
virón, le 700 pour un. Les subsides piéai
de pair, de francs 452,25 en 1907 à francs
33.310,58 en 1913. Les Sections fédérées
atteignent désormais le nombre de 402,
ayant versé dans l’espace de ces 7 “éernières annçes frs. 428.922, 58 contre frîi.
132.053,29 de stibsides Octroyés aux 'mptualisfes malades. Un bon commence-”
ment, bien sûr; mais ^¿ste à persiiadqr,
de l’atilité de Pïnstikftion les quel§iqs^(
milli^s d’écoliers peuplent’ nos
5ô|0(|) écedes éÈxhen^^s, et ça va-être
une |ude beso¿^.
33
#wg
Aussuè delle operanti deiie:lisse dl risparmio pßstair
» a tutto il mese diijlebbraiò 1914.
dei depositartïïSal 31- Dicembre
Nouvelles etjmis divers.
I..ÍÍ m .
A notre époque agitée, nous n avons
ïÇlus.^dè |emps à notre diSpOsitioli pour
“cefialns petits dévoifs' qui boiitribueraient -certainement à mettre du soleil |
dans notre vie et dans celle de notre en- »
tOur^e.f ' I
P-rénons le temps du baiser d’adieu en |
quittant notre demeure, nous n’en ferons f
qhC^fëa|rb^%rtâEh^d%nâl^e. |
I p%r|eli Wœable- |
ment et même « plaisamment » avec ceux |
que. nous aimons. |4vèQ le tèmps, quand |
ÎB’në nÔuS àuroni: jfihs,mbs®( plaisante- |
ries et notre gaîté » leur paraîtront plus |
MëB MÇ. toute notre
Prenons le temps de Jire et de^réflécM^
' Cela nous sera un "trésor qùihM'^SM^O
rons cessé de npuSjm|éa‘^Sfn|iJ|XjB^
poütiques, omaux câtastropHês’finan%i'
res, ou aux petits événements du jî!
Prenons le temps d’être aimables. Les
petites prévenâhces^que nouis négligeons
parce qu’elles sont petites, nous,.paraîtront quelque jour plus importantes que î|
la richesse ou la gloire que^nd^f- avblls J
.recherchées. JS g .,1« É
Prenons |e temps ^
milieS. Le bieh-ttlé (|de ^ous recherchez
père préoçpupé, mère affairée, ne^fera ja, mais un foyer pour les, enfants qpq,jp,^
n’âvez pas le temps dé cairesser. ' ’
- Puisque nous dejpn§ prendre,leM^ps
dé mourir, pourquoi ne pas prendre ^^Ig
Í temps de vivre, dé viVrè d*Unè viéMlgne
(Utile et bienfaisante ? t
U
-iOOO»
Sotto gli auspici della « Associazione 0
della Stampa Periodica I||baim », l£^i- $
féziàn|:d^le Fe^oyieMe^o^a^ ha^n
^ & |ùl ffap:o dAbi- 0
giié|ti;li |ri^a,Je^i^a^t^zp clasffi, a ó
stazione Fjrroyiaria del Regno, diretti a ^
Romà, df$Ì5^Ì^to il 25 Aprile prossimo,-é
in o&asii^ne di^ grandi corse di cavagli : p
D^r^ Rmle, |0.000 (16 Aprile) - Om- p
K liiuM, LaalOOÌ&tfB (26 Aprile). ò
La ,validità dei biglietti, è di giorni 15
1 dal giorno» della distrftjuzione. Ó
I ; viag^atori provenienti dall’estero, ^
potranno'acquistare il biglietto , alle sta-^
zioni di "trànsito intérhazionalè^ (Venti- y
miglia, Modane, Domodossola, Chiasso, ^
Peri, Luino, ,ppntafel,(. Corrajppia),i a co- ^
j^^minciare dal 15, a tutto if2^^p^Ue,¡^gpn ^
validità di giorni'25. ^
Insieme ai biglietti a fariffa*^rfÌotia, ^
P
stati in qualunque stazione del Regno di
transito internazionale ed in tutte le Agenzie di Città, yeiyà consegnata nna<^^era
d'eirimpOTto dl,^L.“&,-25 vàK<tt*q^'B’ingresso al p^atb#egii Ippodromi dellé’Capannèlle i .|pbr&i 46 €■ IS Amil.
quello, dei
-Aprile., ,
\si' ’ i viaggiatori, dnche dl^rza
iranno prendere posto Adi.
retti'aventi vetture di tale
rànnò, tenuti a seguire il pere
breve, Tra le stazioni di parte
nonché ad osservate .le Jimità
esclusioni stabilite dagli, orari
11 viaggiatore* ha diriy||6M4f|^.
fermate,'a seconda de&àÌ?* di
percorrere, giusta le
differenzialé A.',» '
' I biglietti
sola volta; /pep: '
mento; deL^^*^
* '.■19Í*
Depilili dell’a nao
corso %
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