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Année Xlll®
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Tous le& paÿs 'do l’Uùîôli'‘iiè‘ ’ '
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Aniériqué dû 9ûd' » 9
■'a->V jiv ’imtTs'' ': i»
On B abonno:
Aq 'feur^^i d'Adraii;i'^ti*ation.> .
Chez îilli.U’es ParteuTB ; '
J^ûGSt Ë^'bort '/Plgriérolj
ot à la Librairie Chiaiitoro et
MasoarelU (’Pignerol).
iyAÍ>oiín8úieút! ^fü*fc: -du If] Janvier
, et 'se d^avanoe,.
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N. 45.
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»
09
12 Novembre 1887
Numéri» àdparcs demandés aviant
Le tirage 10 cientimcs chaeun.
Anrwnceÿ .* ^ oen^mes par ligne
pour une seule fois, — lA eentin^ de 2 à o' et'; 10. <?en
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S’adresser pour la HêdactÎoii ot
ridmînlBirfttloir^ M. le Pasteur H. Bosîo —■Sû-îW# GcnnainCiuson fPlnerôlo) TtalJo.,
Tout, changement d‘ àdfesse ..est
payé 0,23. centimes.
' < eCHO DES VALLÉES VAUDOISES
'"i " "" " ' Paraissant chaque Vendredi
WÍ* fftîftiOïrtVri Actbb T / S, * * , la vériée aveë là chaHië’. Epk. rv, 15.
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■ i.ij irn'.'.r.n;'* n; •••■»•••;■•• • soiïiiiialr*©'.'
‘ ' CortittîUniealioii OfflCîôlleJ — XXlV* conférence du Val PéliS tenus à Prarùstin. — Missions.
Solnaiïieide*prières, i-^ Rémercînienlj Nouvciks reiiirieîiise.!;¡r— Annonces. »
, Cifïî'dlelle'’',
LETTRE CIRCULAIRÉ PE LA TABLE
AUX FIDÈLES DES ÉGLISES DES VALLÉES
>r *■
ET À LEIBS CONBUCTEUES
ii'Ml U'Mm
! 1Í. '¡ ‘.
• I
U'' Vif.-,
iBie}S.iAimés Frères, '!
Les quelques páreles'd’exhoftation que nous sentons le besoin de vous
adreSsdl’'dès lés pèettiiers mois de la nouvelle année synodale 1887-1888, ndus
sont imposées"|)'ar le souvenir dé.s conditions pénibles dans lesquelles 'Sé*
trouvait nbWe peuplé , il ÿ a maintenant 200 ans. Le Synode, par l’arl. 26*de
se'S 'Actéy’j^'à'éhàHgé ’là' Table d’accord* avec là'Corn mission d’E¥àngélisation,''’de’
pééhdv,ë'*lôtites'îés dispositions nécessaires ^btir*què la célébration du deuxième
tíen(eáa^'re'*dé là Gldiiéiise Reiilrëe de ilôs' pères dans leur patrie, soit digne
dé 'ée'grand' événement. Nous venons, par ces 'quelques raOts, plàber devant
vous cette'qüestioti‘qui hé peut se résoudre convenablement quepar l'iiïter-'
yéiitibn d'é’'todS les membres du peuple Vaud'Oisi ’ ' ' ' ' ‘
- ? * ' ^ r
Les années 1687 et 1688 sont les années dfe''rsæiî','<ies'Vaiidciis.
1. Le souvenir des évènéinérits de 1687 et1688 nous’ rappelle les paroles
que Asaph écrivait, au sujet de son peuple, dans des circonstances semblables.
2
----------354,
*0 Dieu, les nations sont entrées dans ton héritage; elles ont profané le temple
de ta sainteté: elles ont mis Jérusalem en ruines. Elles ont donné le corps de tes
serviteurs en pâture aux oiseaux des cieuxf la chair de tes bien-aimés aux
bêtes 'de la terre. Elles ont répandu leur sang comtne de l'eau, à l’entour de Jérusalem, sans qu’il y eût personne pour les ensevelir. Nous avons été en opprobre
chez nos voisins, la risée et le jouet de nos alentours». Ps. 79. Nôtre héritage
a passé à des étrangers, nos maisons à des inconnus.
% Nos Vallées, selon la description d’un de ^nos historiens, n’étaient point
encore repeuplées en 1688 et préseiitaiènt'^artout le plus triste aspect; <i des
terres incultes, des hameaiix ravag^g, des. cabanes ouÿer,tes et â moitié
écroulées, des -pans dé mili's encoée liôircîs par l’incehdte; des cloisons
rurales/t'ombarftes ou rèhveisé<|s, les ^at'bres fÎ’uitiers dérécÎhés en'"certains
endroits; lès vignes qui n’avaiènt pas été taiifées, Iraînknf 'leufe slrmenls
sur la terre; les mûriers qci’on n’avait pas^effeuillés, épaiïsissant leurs rameaux de toute la force q,u'onvleur|ayait laissée,;, lee limites des propriétés
s’effaçant sous les ronces ou sous la main des nouveaux acquéreurs».
3. D’un autre côté, nos pères proscrits du Piémont n’avaient pu s’établir
nulle part, d’une manière permanente et assurée. Repoussés du Palalinat par
la guerre, et du Wurtemberg par le désicHpolitique deiconserver laipai-x, errants sur les bords du Rhin ou sur les montagnes.deila Suisse, leurs regrets,
leurs misères, le sentiment des charges qu’ils apportaient à des frères
étrangers, rinslabilité inêroe de leur destinée Içqr rçndaippt plus douloureuse
la perte de leur patrie; deux fois ils tentèrent en vain, enf687 et 1688, de
rentrer dans leurs Vallées,; mais,s.an?, cepepdant renoncer une espérance
qui leur était plus préciéuse que la viei
*
<* *
l :
/ .5
Le Seigneur a éprouvé pendant des siècles nos pères par les privations,
les persécutions, l’exil... Il uoms éprouve maintenant par la joie. Dieu nous
comlïle de ses dons et de ses grâces. Il nous a' multipliés'et nous a fait
prospérer dans le pays où nos pèrespnt souffert. Nous sqiTjmesmembr.es d’une
grande nation et nous avons libre accès à toutes les qccijpatjons ef fonctions
par lesquelles la vie de notre peuple, se mainliçnt et se manifeste, ^
Les m,Qÿen,s d'instruction et d’édification s.onLnombreuX|, e,l vai;jé^. JÊcoles
centrales annuelles;, écoles de qq^rtipr pour rhiver , écoles dp t|imanc^e partout semées. Çultes dansile^.tempjes,et dan?, toutes les,¡écoíel;dchameau,^
réunions de prières en public et daijs le? famijlesi, réunjpns.spéciales (||’app|él,
sociétés .d’insfruclion et d’édiflcation mutu,elles société? pour révaugélisation,
pour, ,1e? mission?,, société? pour ?qulager les.pauvres, pelt|é,el^ gfan.(is.’.. Instruction élémèntaire, instruction secundairet instcucllpn classique,^ école
de théologie.... Un essai de compter nos bienfaits ne peut pas tout dire; il
sert au moins à nous faire voir nos grandes richesses.
2. L'épreuve a produit la foi et l’obéissance; même les actes héroïques
de la foi et de la sainteté. Quels fruits ont produit les abondantes grâce.?
dont Dieu nous á enrichis?. / ' '
3
855..
Nous avons profité de la liberté; lesi membres de notbe peuple vont et
viennent dans tous les continents i ils entrent dans le. commerce, et dans
l’armée; bon nombre travaillent; d’un bout à l’aviti'ede rilalie, à évanféliser
nos compatriotes; l’instruclion fait des progrès, lestioultes sont bien fréquentés, le sentiment religieux est assez généralement répandu, mais la
foi, la foi vraie et agissante ,' la vie de Tesprit, la vie de sainteté, n’est pas
de tous, elle est même le privilège db petit nombre. Nous ne saurions nous
eonlenlef' de l’apparence extérieure ¡lorsque manque ressentie!: i* vie de la
foi; la vie/de l’esprit, lia seule réelle aux yeux de Dieu.,; ., m: n;j!'.i i.il.,,
Nous somraesi plus riches,i ptos! privilégiés sous tous les rapportSjternestrOs
que nos ancêtres de deux-cents ans passés,: mai» nous sommes loin d’avoir
ieurtfoi èt leur force spirituellèi'i. .
i'.!nin)fî- .1
■-(.) 1
.!• •Ii'.i'i '"'UJ '''I I •■iCli.'litlMi'!' ■ ' IjOllü.'.'i jH,
Les années on,t .été ppuç. n.i^ p^re«|le'foipps,de préparation pôqr
recqnquérir dpur patrie,; .1887-Î88|8^, d9ive.nt être. pouj'|,p()u^ d.as dè
préparation ppprjCplSbrei^iie déuxiéme cénienaire de la,irm.i’^p,ilieuse, défivrapoe
que Dieu a accordée à nos pères ei qui a repu le nom de. t^ntr,4è.
Pour célébrer, dignement cet anniversaire cher à nos cceprs, nous devons avoir
la foi el la^ force do we spirituelle ¡qui les animai^^ ^ '
p.n vous dira , piifs tard, 99,¡fi*!* je&ard^ iraatèriélles de la
cèiéjbration' de,fn vpüs fora. çonnaitris pariqqei souyenir„du'‘’®?^l9
nous désirons rappeler à nos descendants notre reconnaissance et notre dévouemjént au Seigneur. Il faut nous préparer aussi pour celte célébration
extérieure de la fête qui demandera des sacrifices matériels de notre part et la
présence de nos personnes. Mais, évidemment, pour nous, la préparation
qui deraandp plus de soin et plus de travail, celle qui est la première et
la dernière, c’est la préparation morale et spirituelle, sans laquelle tout ce
que nous pourrions faire ne serait qu’une fête mondaine à laquelle Iq
Seigneur n’auràit iiucuni égard et qui ne ferait que nous éloigner'de Dieu
notre Père, l'auteur de tous nos biens et de tous nos privilèges, pour nous
eaivreuida na»s^mêmesJ L’iSuvre est gr^^d^ji Iq,|eiBns,.p^^ qotiçt,, ,^I^
mctlrocourageusement ilaimainij -t*iLes 'tfefrfps' ^ènP sériéôt',' là’ ‘sàisdtl ê‘st
avancêe'j i'lesi'seftriailles oiit été fiaites, elles ont été'aîiïiIftd&ntes; âl&S'plantesont
poussiévi les 'fleiirsiont paru.!,,; iLqous faut maintenant des fruits; des fruits,
non plus senlemeUt ded prémices,: mais, des ifruils abondantsv uneiriloisson
pour l’offrir îan Séignaur e®mmei¡sacrifice.;iie bonne odeur.! 11 indus faut la
foi'ët les «eueresI.de la 1 foi, l’Esprituet les œuvres de l’Esprlt/i,; ) ■ ;
li Lès personinesi pieuses doivent confesser pluls ( ouvertement leur .foi
dans la, famille, dans leur entourage, dans,1e monde, en toutes occasions.
‘2. Nous; devonfe obtenir la réconciliation des personnesdes familles', daß
parentages qui,; depuis;un!, temps plus ou moins long,, vivent î däns le
désaccord... ' '-llU’ ■: I' " "'i
s. Nous devons donner le'dernier coup àitoutes les fétef et coutumes païennes
qui existent encore comme héritage des g^ératioBS (passée.s -i+ et déraciner
les nouvelles formes de la profanation du jour! du dimanche, ,i!i ■ ■ .m,
■iuu ci., ilii'.'i
il'
4
-------,356-:----
4 NoiisdOTons tenter un effort suprême auprès de tous tes memfereis.deinotre
peuple qui visent dans l’indifférence l' rincréduHlé, le péehéifilie jnomenl
est propice, l’ amour'vaiidois estîencore'puissàht.v , i' i t ii'H.c uud 'ini n. !
5. Nous devons montrer, pai’"«n intérêt toujours plüSI grandi ¡etfiplüs général-pour 'les œuATes d’évanfélisation et de mission, quemotis avons pëmpris
le but'de Dieu en;nous rarnenant:'dans ces Valléesi i . i>‘i- j.l ul. iiH
,r.
* ' *
Sans vouloii’ en rien entraver l’initiative de tous les hommeà> ¿©¡bonne
volonté qui,,au nom du Seigneur, se lèveront pourrtravâiller em vue dâ biut
glorieux que nous aVonstoiis en vue,!nous noès perraéttrori&de vous signaler
les moyens suivants à^employer: -'"-.!:q '<u- - h -lU 'nip
'1. Donner des conférences historiques qui!!soiént|à la' portéé ideptôubdë
monde, sur l’état de notre peuple en .1687-1089.
2. Avoir des réunions spéciales d’immiliation ; des réupipns spéciales de
prières en’ viie'd’obtériii le 'rëyèil' dè’’la!‘'^iè spirîiuèliié.'"'' ’'' ’-i' i -'.1
.«t nro-üniser et groupêf' léâ’ forces bioral’es ■qüe .nouà’,^pssèâbni' fel"lih'iiiï{
plier,’ 'dé ' cèl'te 'rna'niê're, 'iès o'uvTiérs qüi s’*èjnplôièht ap“r‘elëVeffim'f’hl;*à\ïsalut d'é leurs frères. ' ' . '
Nous' puiserons dabS’ l’étude des grafadés çhôsès’qüê. Dieu à'faitè.V éh faithii’
de notre peuple et dans le’çœiW'mçtrie'hdê rios pères, da’fbrôé çpe cbu'i^^
d’en entreprendre une aÜtrè’ moralement attsSÎ'glorieuse,'qbé'le. retôui'"dfe &elques centaines d'é yaùdôis^ dàns'lèurs'yáílees ; ré relour dè'iniDieh^^ dh'’ÿaüa'ois'
à la ftfi’et 'à Fa’'fidélité ëhfé'üèhiie'iiés mariÿrè-!' itj’“
Préparons-nous donc à «célébrer la fête, non avec dti'A'ieux Îevltin','non
avec un, levain de malice et do méûhànceté;”niàis avec le p'àin sahs’ levain
de la pureté et de là vérité >t. . ■
' , Vos dévoués frères en Chrisi
:i.v' i-'-o
•1 •)
I 'l'ni'MM-i.j
'!l|!
. fVci'l'ih );1
J. P. Poîss/Modér^leWi ~ Mod.-Âdjomii —Ihi ffaow Searii/aàp.
O • I. D.'.Omveíí’ Membffi laïque.\,*f
,piy^;CONFÊRïîscE;,0ii;m
! > i; : lenne ài Ersrustin iÀ ir
I! Le 7 nov. auîsoip'ont eu lieu iroisi
réunions, à Roiclieplüle, à' Si. Bar-“!
thèlemy et au Roc.«'' .m! ’,, .
I Le joiir suivantv è'9 h'.i du malin;,
les membres de la Conférencë, avëc
plusieur.ç autres personnes, iscréunis-!
sentidanslla grand;e école:- Après léchant et la prière, Mr. IL Meille
pr és i de n t i 1.1 lit ! ! «qu e 1 qu es' ve rsets ' « - du
chap, v: de la 2^ épcaux Gorist»'.: et'
arrête l’allenlion de Passembléei stir
les T. 'dCM5:f'fil i nous! féut «vivre
i ufliquèment.lpOîBiM'Ghrist', d’une itvie
cruéifiéev «c’est Je droit' iqu’iL slest
acquisc’eslije moyen 'de gagner iez
'âmes, 'et d’être 'heoreuxi Qtie nos
:acti ons i- • nos i • paroles l'et ’ nOs>' Jsenti^
mentsHàient!le scëau >de''Hotré iRoi-;
emque- notre demande' soitceMè d*iin
serviteur aolif: «iSeignëmv^uë veuid.''tU'-qùe je fasse!? » Par là iecDfreirde
Ifiî-parole de DieUi et ipp’ des pnières
ardentes, entrons dans uneioommiii‘inion teujieuFs plué- i'Btimë 'avéc t le
¡'Seig-Heiw- lésusj! de isonte ' que*/vivre
i'pbur Gbiiist!soit no«tne'!vieHnalui'ellev
5
--,«57 „
et* tnouBi vp«füssion s' « amène t*’i des
•ilirl ,1^/^ ¡1-1(1 ij'Mv.i.i--, vA ..ï'-ïï/n;«!
,,i^p^'es.,iji^fi,prièr,e de ,Mp-;Miqo^„,;^
lèi'éricei s’oqcflJpe -1 «des 1 phé pa l’afciîs
pduisde'! Écûotiê 6>>tiWnâirt dë dar 'ffb^
1. Il nous faut‘d’abord penser à
idne»pt<épata'ti(dt1 ifdoèafe etspirhwefle :
. ir I quij
iftdiqn^-,dft(iSi,p|i,iÇiA’quiftiiîfl, „lÿîs t ftpifir
(cipalesijclids^iàîîfiiinèuSilie^ tr-èa inu
JièiiaBf 'dd'faire'“éôtthàîtne 'l^j^lîofPé
%e î*®il‘«‘feotW’Mle^‘Les tiysle-üFs
Ur.uiion îiolfi’iiç i|ip, .
mMM
.1^ « îd et rÿiiir a jj I e*,- u r égenis
peq»«ntoèeriir ! à ' leur ,seoou rsf rie»
¿Ht¥ëtyt¥/t''ati8èî 'Ieë'.'‘erîfiitllÿ.'’’Wâife’'tl
■'¿l&Î5"ï'ilîVè' '^âe
Ïio^-uaLifÿi.ipnn'ti ‘.'mfiT-tiip T'i‘«ilrriiti
%4.P!paiédnp-,a
dooptnepts-, Îpd6iiblfes tl«t>',qn
pu#liçra'.:4beIqA8s-üBs.' ÏJiAé scôtti^rrilàlsion de elyd'‘fnèmbi‘es : 'M'.,'D:''Pëyi'
fiost-abet^, e4,,.çJiar5gM> dqioPfepitVqr
ile&iéléiqeittaifd’ian'liraiiflU comme celui
tjoi a'iétè'putMiè en;1^6l‘ifîéis- Ie'lÎ!7
févifèV \Îê'''f’àhrié'è' rfrbcbiàilie ;
PU»!? des ¡ep%i.lf
iniiraifà : < ¡ce» ' fâ-''^pïlès! i q aè
ehaicdn auraiHisaiiaUlé 'deïseiii"TwieM
d^né'!èa‘ biaVdf'ss6fei'’,S éé^H^dl ''life
rorit encore une occasion poui'tdru'plpeler le passé. /,
,,,^C.p\qqj„ea|.,tpJia,S| wpqi\taAl,.,ftnQWe,
«lest i-dÎa«©»rrideS' iréuntens ¿péeiulbs
*t>iiils''burnì lier éë^my Died, _ct
‘oliŸé’iiH''"iSé' '1 If 1 ' lin ' Vèi 1* 'We V iy ’ ‘ èb11
HI Uvd'dl îil'r ¡lî',fi'i, !‘U|ij(: ‘i ljnu,
i-ill}jeU^. Cle .r^ypil S9,Pi;f^paf|^'j§uti^opit
- 'h Mitdiiiv-ni;
.¡‘i!Nou8ii|H’a9ofls pas eliOoiiæqassozil db
t'éunîbhs 'dd'prièî'dâ' èf dë'péi’soiitièis
qui'piiièrltoEddfeftïpii oùinoiis sotrimes,
a P rtsp I en téà''’ I es ! sema j I Ids- qui ■i>»t'‘é lë
faitBSV mt'iloès los-' hiiienfàiis dontiiilods
avond'étó'cbrnblésv'esHHdéttfsif 'pour
llaTOnib deiI notreI péuplanigji inoûfe
laissons passai'(Hë'lteiiips'-flxceptioiln'el
poBri'del'o'urh&ili deubffiwtn notre ¡'coburâ'‘iPBl»rdeleouiionsiiu'ougtiianid
•daingeKiiNousiinè"pouvons' Ba<ns>dduiie
pas jfix'ôp lei'leçn^ à! i>ieu,«maisinoin?
devons ¡prôfiî«tbdes'«iPéone Panoesiiquè
■Dieu ¡(Hêiwei d'âfès' së'’Pty)(vi'diehce' noiiB
■ititìjqMìe'leontmtì' fa-vor-ablds, ■ 'Agifesbns
avec ensefrtbfe fBtnaiTiBi 'bveic 'iui' péu
iTfeiJthbbsiasmiesio'q i>a<i'.iVlntn ltd
%. ,Quant aux reunions publiques
, 5;n‘>iilnino,l v ,;virdf .t<
par lesquelles notre------------— —
e sera ap
l’itlfOill ‘ilUlO'l'l
l'ioïis’ori("dÎ^iîi,û6'ci(fe d’en, a^oir deux:
i’une'l'ja èâl s i lie,.' e|*l’aii'tre kâibaoudl
.y'vy.u'isV'Vi'i -i/npiui ¡ui'd'''" o,i,f
pour routes les églises vaudoises. Des
chants seront préparés pour la circonstance, et une douzaine d’hommes
que l’on distîViè<iàifëiifâr un ruban,
seront chargés de maintenir l’ordre.
'’^-3'.* 'CbWiïn'è''^Î)'uVë/ii'i''\jlti Së'iilèWàlre,
^ Î9hPMsil,tç„„ôt
l’ri3p.,|fm'èuji»PHl?êit.ve .,q#ç, grimdgj ipr
sciiîptiotii aurules'it'bchens'de 4’iénéroiti
¡vnuvir luft ;;n ‘HOi'ifiiiL
uiix-.V^lIéèah et diWiquombreiiài peu
piffès' élitBbide iViaddois idìspèrsésiìdans
Ìp^iipèifte/3;,(i?qj4i'qdi9/,e #
-und) aiaipûn] elilDnai<)@cot«.i"'lJfes- deux
admiiwi$WttiInii*''OM'‘bdô^téI' l’*flh'e net
rli'i)trt'''Ek life îdcal
Wi mw'!:‘^9,hpîf|pe
A9iji,r,,ÌpBitarebÌY^!,|dei, l£|,,3’3blef ¡¡Ju
tìdmitó d’Iïivailgélisaliôn; de-la-Soeiété
d’hlèédiié va'ndolSfeV poni* dti'toùsêe
6
• 358
vaudots, pour J«s BibliothéqiuesA.».
L’école serait pour les élèves qui se
destinent è la carrière de l’enseignement, au commerce , à l’industrie...
Il est pour cela nécessaire de collecter environ 150000 fr.
Tous les membres de la conférence
n’appuient pas ce projet. À cela rien
d’étounanl; car quel que soit le projet mis en avant, il prêtera toujours
la flanc à. certaines objections,, et si
l'on voulait en attendre un qui ralr
liât toutes les voix, ce serait 1« plus
sûr moyen de no rien Êiire. »
La conférence propose de lirOipeqr
danl l’hiver, les livres suivants: Juges,
Ev. selon St. Març, 1 Cbijnthiens,
seconde moitié. ' '
La prochaine conférence se tiendra,
D. V., le printemps prochain, dans la
paroisse d’Angrogne. Sujet à Iraiiei’’
Circùiation des publications religîeùses.
, I O- H ,r
Missipns
Surinam (Guyane hollandaise). Au
mois de mars deinier, les frères
Anton Richleret Th. Weese, délégués
de la Conférence missionnaire de'Paramaribo, ont visité une: tribu nègre
encore payenne habitant leHaulCotlica ei ses affluents., et nommée
Djocka. Presque partout ils ont trouvé
un bon accueil. A plusieurs endroits»
on leur a exprimé le désir de les
revoir, et un certain noMabre de
païens ont demandé le ,bapiènie,.4
peu près tous les membres de cejle
tribu n’ont plus aucune confiance ep
leurs idoles. Aussi les maisons abrilanl celles-ci , sont-elles partout dans
un état de délabrement frappant. .
Le 11 mai, (raconte le/owrwai des
Fr.) une cbapelle chrétienne a élè
consacrée à Dieu sur le Haut Surinam^,
en présence de plusieurs frères missionnsires. Soit les fonds, soit les
matériuiiK nécessaires pour la bâtisse,
ont été fournis exclusivement par les
membres de l’Eglise établie dans (^s
parages. La construction s*est faite
dans le silence, à l'insu de lii 'conférence de Parabaribo, si bien «ne
celle-ci s’est trouvée an jour agréablement surprise par le fait accompli.
. » * .* . '!J ! ! . î’
Léribé. ~ Le; dernier numéro idu
Journal des de Paria reprpduit
une lettre . de Mr. Weilzécker (eh
date du 24 février dei^nlèrj OÙ .Üëlûî-ci
décrit un beau mènvemefïi^ reli^ièrhx
Îui s'est produit parmi la' jennesse
e Léribé. ^ s Je suis beureuxi4;;éeri|t
Mr,. W,, de pouvoir,, dire, que
jeunesse, qui Autrefois poiis donnait
si peu db satisfaction’, est hïarritenàht
un de nos grandis sqjels de jdié et dé
reconnaissance, à cause du,bon>esprit
qui règne dans.son sein, générelemqpt
parlant. Nos caléchumènep filles, du
camp, et quelques jeunes femmes ont
senti le besoin d’avoir une réunion
féciale de prières chaque^ semainel
EHe .se .réunissent entre el|es»rpri»nl
et. slexhortent mutaeUemonL-«i^> •a: '
Du reste, le nombre des câtechumênes
est en lui, même un encouragement.,,
nous avons maintenant,' soit Ù 'hl
station soit dans les annexes« environ
140 catéchumènes, dont 46 sous mes
soins. • . Mais où les conversion^ qbondent depuis quelques mois. Ç’est
A Kôloyane, la seule de nos annexes
qui soit vrâimelit én b6iiêlat...l’..G'eis(l
IA un bel exaucement aux prières que
nous adressons au Seigneur, .depuis
des mois, dans poire se,ryiç^ dnj djr
manebé après midi pour ¿btenir une
a'b'otidarrié éifusi'ôh de son Espftl"éur
cbrêliëns’ et païens dii difetrict < de
Léribé.:» ü ,. . :d :
Q>wlques Frères Vaudois aiix Frères
Moraves. ~ Nous remercions: les amis
— tous vaudois — qui ont bien voulu
répondre ,avec tapi d’emprepsenjenl ^
notre appel en faveur du Défiçjt de
la Mission Morave (Voir le N" 41').
Nous attendions des contributions A
1: franc par tête; et voilà: que Dieu
nousa donné au delà de noire attente.
7
359 —
Le son
vantes ;
Anonyme .
tei' i
P. Z. .
a reçti lessoitinies sui
r
fl-. 20
» 10 —
» 20 —
Total fr. 100 —
Tout en exprimant le désir que cette
souscfiptioi) ne nuise pas aux coltecles qui se font dans notre église,
pôut les qsuvi'es que Dieu nOuS a
çoQiîées. aui ttiiiieu. de notre peuple,
nous disoni: < Il y a encore de la
place! »
.<Lé montanudes sommes refues sera
expédié à vpÂgeni Suisse des Missions
Moravés aiB^ commencement du mois
de décembre. Dav. Pexhot.
/■U
' l^émaine de prièreë
" LcCoiiiitféÎîâifotlal dés ÛkiifnsCkfét'itinntó haliennés^ i'AppëÎie éUx méthbt'es diiTéNiileS ifnions dès Vailétò
de corièâérer la seftiaine prochaine
(13-20 novembre) à dès réunions
spéôi{tle(^ ae*friére»l oottformémeiil au
programme du Comité International
de Genève, dans l’espoir qu’elles seront
suivies d’abondantes bénédictions.
Turin , le 9 NQ-rembre 1887.
Rçinercîment
La" T'aUille MeilLE reniercie vl~
veméiil tons ceux qui ont bién voülii
lui donner désinombrèuk et topchanls
témoignages de sympathie ¿hretiénnô
à Tqccasiou de la mort et des funérailles'dè-Monsieur '
' ji: i>. .MEiLiLi;
Paslein' Emérite
La Tour, 9 Novembre 188?.
-i-'-n-i ' ir" ■'f --t irp^. . , ~
HMi'i / ''‘y<\ I *
wtiweike r^ugtefistd
Le 13 octobre 'dernier, à KansasCity, le président des Etats-Unis
posait la’ première pierre d’un édifice
destiné à l’Union Chrétienne de-jeunes
gens de celle ville. A celte occasion,
M. Cleveland a prononcé un discours
dans lequel il a proclamé l’importance
très grande des Unions, comme contribuant à la formation du caractère
national,
•# .1
« «
on a remarqué qué dans Me programme de l’excursion du présiuent
des Etats-Unis et de Madame Cleveland
dans le Sud et l’Ouest, du 30 septembre au 22 octobre, le voyage a
été suspendü entièrement chaque dimanche. (Eglise Libre)
« «
Profanation du Dimanche^ — Quel
3ues Conseils municipaux du canton
'Ar|;ovie semblent avoir pris à tâche
d’enievér au dîmànche son caractère
dejour férié. A Oftringen et àBrittnau,
on ¡a fixé l’heure même du culte public
comme heure de la perception des
impôts, si bien qu’à Oftringen, par
exemple, les contribuables ont dû se
présenter au bureau dii percepteur le
dimanche de la communion, de 8 à
10 heures du matin, c’est-à-dire au
moment du culte, sous peine de
poursuites fègales, Dans d’autres communes argovïeiinês on a fixé pour ce
même dimanche*de grande solennité,
à l’heure du culte, une assemblée
communale où l’on devait voter sur
une nouvellè foi commerciale et dont
la fréquentation était obligatoire pour
tous les citoyens, sous peine df’unc
amende de 1 fr. 50. (Sem.: Relig.)
*
‘é *
Maison des Missions de - Paris. —
La séance de rentrée de cet Institut
a eü lieu le vendredi lé oclobre. Une
quarantaine de personnes seulement
y, ont assisté. L’installation de la
maison n’étant pas encore complèlefiJeijl achevée, on avait voulu que
tétle séance eût lieu dans l’intimilé.
Nous ne dirons rièfi des bOtides pa
roles prononcées par Mr. le Dr. G.
Monod, M. le past. G. Appia, M. fe
dip. A. Bœgoer et M. le prof. H.
Rrûger, mais comment ne pas se
réjouir du fait que le nombre des
éleves missionnaires s’ élève mainte-
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naaiii là ¡di i. les ) npu Mefui HftO wsrf *
i)iTy;i«iid6ux.Viau(k)is duPiéinc^nLj, dopi,
l-uoi# .frèr(e',d\i,(jnissiqnnaiiiftiiJal.ia;i Hi,
d<yài. ) fai^ laseisùi étìltdes j de! jlhpoklqgipi j?{j
F!Qrencej!.4&ux:ffi.lfe!des; iîiifiîÂwpaij^es)
Eugi'.iGasalid, eiirJMahiifei, ,et sïiiîüjCTnei
Strasbourgeois, neveu de l’anc.iofliiBjan
sionnaire fi. Krüger, Que la bénédictigg dÉ^iD^q|ij,re()Me,,.^ur,.^tud,es
qugj.fçjçMl |^s,j^ftùpgs |eps.ilajQ^,|,3n-.
i|-' rb“, iH’UTTT'r'i i liiiT 'il
de la
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Ayant reçu un don généreux
part d’un arni qui/depuis de longue
anriê^e’s, s'ocdiipe 'ire'rin'èïFùdtléh’ a
À'àpW ieuileésd','l‘ iF' "SdusMèrië' *esr‘à’
lih&rtiè ne' doè/Vo'îr i'édtjiré’ lé''6Hx’alé'
sës’ii’èitbnt''drGèi6fek‘aïlà’de'^^^^
à"fifJ * Ôl7^ Wéitîibi^aînsr '¿FV
d'è ,206 ’¿iafeëé'''éiiViVéfn ‘,‘'à*'1a ‘'^6'ohéé’
dé' lotiè''lfe'’âléve‘à' ddè éfedlëÎ élënii'èW
iContEéi il’ÆftvAi!#, .25 .cisntimç&i,iÇP|
timbiîesrpo^te! l^eiSons^igné^^îipédiqvdu
à qu i I -en I fa ¡ü I ,la,, d epgandA » i
prêet\^ ■. À, o:t^yerlü.r,eii 4uu iSj/wqde-, l pa >T;
Monsieu.ij',b:, ■■biiiiiuimn'i
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Pignerol, Irap. Chiantore et Masearelli.