1
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PRIX D.'ABONNeMBNTi
; r- ’il*
Italie et Colonies italiennes . ,
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• Dans toutes les Pafoisses, chez MM. les Pasteurs.
Que toutes choseis vraies, honnêtes, justes, pures, aimables
ei&«de louange, occupent vos pensées (Philipp. .[V, 8).
1;
Pour la vie intérieuFe.
■' • «Venez"'à iTw>i,'voims toïisî
Li a\ai l(''.s et chargés, et je vous soulagerai». • ' ^
Ev. St-Matthieu xJ, 25. .
U n’est pas de douleur humaine à kqufelle Jésus n’ait compati et qui n’ait obtenu de lui utie parole de consolation. Les
pleurs des enfants, le géraissemeint des
pauvres et des opprimés, le cri des orphe*lins et des veuves, toutes les voix, toutes
les expressions de l'infinie misère humaine
ont trouvé dans son coeur l’écho le plus
profond. S’il pouvait dire, dans la, certitude de sa vocation : « Venez à moi, vous
toîis qui êtes travaillés et chargés»,
c’est parce qu’il savait que tous auraient
obtenu de sa parole, de son regard;" du
simple contact de ses mains le baxune
d’une conscxlation divine... Ah ! oui, ejuand
il parlait de sa paix, de la béatitudé de
l’âme, de la confiance dans le bon Père
céleste, tous les cœurs s’ouvraient ainsi
que se transfiguraient tous les visages
lorsqu’il chantait, comme jamais prophète
n a chanté, le cantique de l’espérance éternehe.
VüHS tous...
Nous aussi, par conséquent, chacun de
nous, aujourd’hui, en ce moment, quelle
que soit la plaie qui ronge notre cœur,
quelles que soient les larmes qui nous brûlent les yeux. Il y a une chœe plus profonde que notre angoisse ; c’est le trésor
de la grâce et de la compassion de Chritet.
Souvenons-nous que le Christ, promet
ses consoktions à ceux qui pleurent, il est
vrai, mais qui pleurent sur leurs péchés,
sur leur incrédulité, sur leur faiblesse morale et qui ne les cherchent pas uniquement dans ses paroles, miais daûs son martyre et dans sa Croix. Souvenonsmous que
le touranent et le poids que nous devons
sentir sont la peine d’une coniscience qui
souffre devant les exigences de k Sainteté et le poids d’un cœur qui gémit sous
le fardeau du péché.
■ Avec cette peine et avec ce fardeau,
nous venons à toi, ô Jésus, pour étancher
la soif que nous avons de ton repos et
celle que tu as de notre salut.
Ev. St-Matthieu XI, 25-30 ; IX, 35-38.
(tIovanni Rostagno ; Piii. pressa a T0, Signar.
{Traduction d’EvA Lecomte).
Pour rinslrucHon
L’école du dimanche et le catéchisme sont-ils suffisants ?
(Smte - Voir te mmtiéro du 11 décembre).
Quel est h but du catéchisme ? Préparer
les adolesceints à accomplir un acte de foi
personnel, qui en fasse des membres
d’Eglise.
Le catéchisme n’a donc pas le but de
donner à nos enfants une connaissance
érudite de k religion chrétienne d’un
point de vue théok^idue ou historique,
mais de former des chr'étiens. On devrait
. bannir diu catéchisme tout ce qui n’-a qu’tm
intérêt de curiosité, tout ce qui n’est
qtu’une opinion personnelle de qudques
pasteurs, et n’est pas essentiel à k confession de k foi. Le catéchumène devrait
être placé en présence des vérités fondamentales de k foi, de telle façon que chaque phrase de catéchisme puisse être oon
sidérée comme k réponse à cette question, ; Crois-tu ceia F
Si noim pensons à cela, nous ‘ verrons
ckirèihent quellè est U íláture et queBes
sont les liniites du catéchisme. Le catéchisme doit éviter de dire trop de choses :
ce qui ne peut pas se considérer comme
une réponse à k question! : Cf ois-tu cela. ?
ne devrait pas y trouver de pkee; et ij
doit aussi éviter d’en dire trop peu, pour
ne pas çlonner une image incomplète
de k foi ; le catéchisme doit être rigoureusement biblique, et assez essentiel dans ce
qu’il dit, pour pouvoir être sérieusemieint
considéré comme un engagement. La forme
systémathique, qu’il a depuis toujours,
doit être conservée (au catéchiste dé la
rendre vivante par tous les moyens à sa
dispœition ; exemples, lectUrés, anecdotes,
etc.); et n’oublions pas qu’une solide préparation doctrinale œt k meilieure garantie d'une foi consciente et solidé ; du moins,
la medHaurie dea garanties qui sont à notre dispoEÛtion,. Ooàre ou ne pas croire, en
dernière analyse, dépend d’autre chose.
L’école du dimainche et le catéchisme ont
été, .jusqu’à présent, te seuls instruments
à k disposition des Eglises de l’Eviangélisation pour l'instruction de k jeunesse.
Les Eglises des Vallées ont, à cet égard,
une supériorité inestimable. Elles ont la
Bible dans te écoles publiques. Les Vaudois des Vallées n’apprécieront jamais
trop ce bienfait. Il faut probablement admettre que rien ne peut remplacer tout à
fait ces leçons de religion, qu’on reçoit par
fes mêmes maîtnas qui vous enseignent les
autres rudiments de savoir ©t qu’on ne
peut penser à ce que deviendrajent nos
VaUlées Si cela devai^ leur manquer.
Réaliser cek, sentir quel bienfait incalculable représente l’instruction biblique
dans les eooles, c’est reconnaître en même
temps k situaticto de la souffrancé chronique, dans laquel'e se trouvent te Eglises
du reste de l’Italie, en terre catholique, où
l'instruction religieuse se borne à l'école
du dimanche (considérée parfois comme un
culte) et au catéchisme (réduit parfois à
sa plus simple exprœsion). Nos enfants finissent par se trouver dans une condition
d’infériorité, non seulemient par rapport
aux écoliers et étudiants des Vallées, mais
peut-être même par rapport à leurs compag*nons de classe catholiques, qui reçoivent à l’école une instruction religieuse,
qui n’est pas toujours à dédaigner.
La loi a prévu que nos enfants soient
exemptés de ces leçons, et cela est bien,
naturellement. Mais le but de cette exemp»
tion n’est pas d’accorder à nos enfants une
heure die vacance et une matière de moins.
La loi scolaire est biein d’accord de laisser
aux parents le droit de pourvoir eux-mêmes à l’instruction religieuse de leurs enfants, mais à k condition qu’ils le fassent
au moins aussi sérieusement qu’on le fait
dans te écoles publiques. On no peut pas
dire que l’école du dimanche et le catéchisme suffisent à cet égard. La seule chose
suffisante serait un enseignement sur semaine, s’éteudant à plusiieurs années, et
développant, dans une série de petites dk»«
ses, ou au moyen de leçons privées, données par le pasteur ou des aides choisis à
cet effet, un programme complet de Bible
correspondant à celui qu’on suit dans, te
écoles publiques des Vallées. Sur ce point,
k Cdmmi^on nommée par le Synode a
été unanime, sans discussion,
« Nous pensons, écrit l’u!n de ses mera
Ires, que l’enseignement biblique h'ebdoIPadaire doit faire partie des activite normales des 'Eglises, et devra être prescrit
'au mêiïiibtitre que k,prédication ou le car
téchisme ou l’école du dimanche. '
Les difficultés d’une telle solution sont
évidentes^ soit du côté des enfants èt de
leurs parents, a>it du côté des piasteuTS.
Les élèves dés écoles secondaires sont surchargés de leçons et d’engagements divers,
^oiitîqués te militairès, leurs horairteíBoát
disparates, ies.disftehte' sQMvent sont grante. Et les parieurs sont, aussi très occutes. Chaque pasteur sait comment passent
ses journées, et on n’envisage pas sans
quelque appfiéhension l’éventualité d’ajouter, à ces multiples occupations, plusieurs
heures de leçons par sematoe.
Mais HiS nous laissons p,as impressionner
p'ar, les difficultés.
;■ Pour nos enfants, il ne peut pas s’agir
d’un surcroît de travail; puisqu’ife sqnt
exemptés de k religion à l’école ; et après
tout, nous devrions être bien convaincus
teé k leçon de Bible a au'moins autant
d’importance que celle de piano ou de langues étrangères, ou qué lies nombreuses
répétitions que tout étudiant qui se respecte doit subir, au grand regret de ses
parents.
Quant à nous, pasteurs, il s’agit peutii
être moins de multiplîëf nos actirités que '
de les Eiélectioinner, et de donner k plus
grande importance à celles qui les méritent. Void ce qu’écrit, à cet égard, un
fmembre de k Commission ; « Si on trouve
le temps nécessaire pour les séances de la
jeunesse, et pour préparer des « causeries» de toute espèce; si on trouve le
, temps nécessaire pour préparei* k fête de
„Noël, et pour faire des promenades, des
.conféireinces, des cu|ltes de famille, d’une
I utilité souvent discutable, on peut et on
rioit le .trouver aussi pour l’enseignement
.biblique. La mission de l’Eglise est de prêcher ©t Enseigner la Parole de Dieu. Les
péuvres que nous avons rappelées ne servent à ce but qu'indirectement, l’instruction biblique y sert directement. C’est ce
travail qui nous est imposé par notre vocation, et qui en a te promesse. Le reste,
parfois, quand le travail eiæentiel est négligé, fait penser à l’activité de Marthe,
qui s'occupait de beaucoup de choses, ou à
'bes Thessaloniciens déréglés, qui, pour hâter la venue du Règne de Dieu,, négligeaiisint l’accomplissement de leurs devoirs
te plus élémentaires. Si donc on trouve
le temps pour tout le reste; il faut aussi
le trouver pour l’instruction biblique ; si
hon, qu’on laisse le reste, ©t qu’on fasse
<< k seule chose nécessaire ». Je ne veux
pas dire que nous devions fermer nos
Unions ou n'égüger le reste, mais on ne
peut pas oublier la précédence qui revient
indiscutablement à l'instruction biblique ».
La Commission est parfaitement d’accord sur ce point.
!
ï Naturellement, quand il s’agira de passer à l’exécution, on cherchera tout ce
qu’on peut faire «pour organiser la chose
de k meilleure façon aussi quant à l'économie du temps, en fiéunisaant te élèves des
classes voisines, autant que faire se peut.
Chacun se réglera, ni^urellement^ d’après
la situation loeale. L’essentiel, c’est que k
chose S0 fasse, et que te enfants de nos
églises nkrrivent pas au catéclxisme sans
une eonnaissance suffisatlte de la Bible.
' M.
{Extrait d‘un raipport présenté au Synode).
Les liaiinii, M
i b h M mN* Il n JM in mill* lÉr.
(Suite et fin).
(Voir numéros du IQ et 25 décembre 1936 et
, numéro précédent);
La quatrième di^ victimes italiennes,
Abraham De Baptista, 'était d’origine sicilienne. Son père., Étienne, ressortiaswit
de Messine, avait été reçu gratuitement
bourgeois en 1537, en reconnaissance des
services qu’il avait rendus. Le nom de
De Baptista a marqué dans te faste militaires de k République. Deux fik d'Etienne avaient péri sur te champs de bataille, en 1589 et 1599.‘Le troisième, Alirar
ham, tomba te arméè Itik, main, à k glorieuse défense de l'Escàkde, alors qu’un
avenir riche de promenés s'ouvrait devant lui : âgé de 28 ans seulement, il était
fondé de pouvoir d’un des plus riches commerçants de soie..
Ainsi, sur te dixHsept héros dont le souvenir est lié à Fépï^ode le plus glorieux
dè k vie genevoise, quatre étaient d’origine italienne. La proportion nous semble
frappante.
Cependant, d’autres Italiens méritent
de ne pas être oubliés ; ceux qui furent
lécompensés par k république pour s’être
battus héroïquement, à savoir : te capitaines Brandano et OMévini et le sergent
Guerra, '
Guerra était un sobriquet; son vrai
nom était Covelle. Il habitait Genève depuis 1577, originaire de Monte Acuto, dans
le royaume de Naples.
Sergent au moment de l’Escalade, il demeura dans te compagnies de la garnison jusqu'en 1627. Il mourut en 1633, âgé
de 80 ans.
Oldevino Oldevini, de Crémone lui aussi,
ayant été reçu habitant de Genève en 1585,
offrit ses services à k Seigneurie, comme
capitaine, en 1594. Il est mentionné à l’occasion de l’Escàkde comme « s’étant valeureusement opposé à k violence de l'ennemi». Dix aîis ajirès, il fut reçu' gratuitement bourgeois « attendu les services
qu’il a faits longuement à cette Seigneurie au port des armes ». Un détail curieux
de sa vie est le suivant: bien qu'il fût
un homme pacifique, Oldevini eut un duel.
Son adversaire était un de ses concitoyens,
Marc Cambiago. Mis en prison, les deux
Italiens furent élargis sous amende de 25
éous, dont ils furent dispensés plus tard,
vu que, après quatre ans, ils ,ne se décidaient pas encore à la payer. La longanimité du fisc d’autrefois nous laisse rêveur !...
Oldevini, qui siégea dans le CG, quitta
son service en 1631, âgé de 73 ans.
Et pour terminer, nous voudrions évoquer brièvement le souvenir de Brandano.
Parmi les 23 récits existants sur l’Escalade, celui qui se trouvé dans l’Historia
Compendiosa di Geneva, publié par Vie- i
ter (Jérésole, porte cette mention que je
traduis de l’italien : « Dans cette troupe
les premiers furent deux capitaines italiens, appelés l’un Brandano et l’autre Oldevini; ils accomplirent réelement des
actes de valeur extraordinaires ».
Le récit de Gardoinï ajoute d’autres précisions. On y lit notamment ; « Baudithon
de k Maison Neuve était suivi, entre autres, de deux capitaines italiens de Crémone, et d’une dame tout armée, lesquels
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ft*n a^trà^v^eï]i Angleterre grâeie aux recherches'«¿.M. L. Ù. Jdûasii.l^ ïit le détail suivant y «The Emnde vxts fènaUy
constrained to retire ihe means of an.
ftalùm Captóme cai^'Broftdano commg
from the Townehame Of the Citîe,.. ivho
with a great furie apd cowrago fett uponthem » (L’eïiïie^ fut ñnalieímient oldîgé dq
se retirer par .un ciapitaine itaiieix nommé
Brandano quif deasendant de l'Hôtel de
Ville... se rua, sur hià avec gxiand’éjan et
courage). > x •'
Brandano était le prénom du capitaine
Gondello, d'brig^ «aJabraiae. BoïirgeoiiN
an 1873 <^-ni¡«nljre,du CC en IWî, une
année avant l'Esealadei, il avi^ été envoyé
par^'lâi républíqáe h* Henn' W poccrilTiétoUisEém8nt-'*à’ Hak>s d'uii¿''iiiáñtifactüre de'
ment le ñdéle unkgdetehturinois . Eänii]iqr]|
4Î*.
soœ.
* e *
Est-il possible de tirer une conclusion
(te tous fies épteoduB en^tre tesqu^ il
hle tout d^bord qtu'an Ue' puiSBe déeeter
aaicun MeH ? Oui <aar le beai exiate, et tauir
ce« irféfdgiés <mt témeigiié d’un attæhenoent réed et,profond à te çité-refùge. E y
avait là u» sentiiment de reooimatesemie
naturcd. mais toujoum digne d’hommage.
Mais 0. y Avait autre choée aussi. Et c’est
là nctre“ (Xtteluteoin. G^iève n’était pas
aeutement te viUe qm.tes avait aepueillis
alors qi^ils (àieithaieiit un© seconde patiie repnéeeiitait un symbole, une
idée.
Comme Î'a dit CisAitier dans l’Iritroduction ,de ««t Histoire de Genève ; « Les intérêts de Genève se trouvent liée à te plupart des girandee questkais <jui ont agité
te monde moderne, aidai qu’au développement gériiteal des idées en Europe depuis
le XVI« stede >.
Deveniie le refuge de nombre d’hommes
iHustrea, Genève a jené, durant œ siècle
et te suivant, m rôle bien supérieur à son
impez«teneie matérieBe et potitîciuo. -Au milieu d'une Europe écrasée par te dontreréforme, elle s représenté l’idée de liberté
religieuse. Défendre Genève signifiait défendre^ «ne idée. C’est pourtpioi te viBeneluge ne fit jamais appd en vain aux
Itsdtens, lorsqu'efie teur demanda des sar
crificea La républuiae apprit par œtte
eatpéfpi^ice — et je termine en citant le
iiteKÛgnage d’un Genevois — que «a te
droit d'asile est souvent un© charge dangereuse, il am^e parfois sur les Etats
qui l'exerœnt les plus prédeux avantages» (Gabérel). T. R. Castiolione.
Le “Convegno,, de la ¥acMre.
Une ^oAEantaine d'Unjonistes d’Angrogoe, de La Tour et de Saint-Jean, se sont
réHtms le 6 courant^ au col de te Vachère,
pour le traditionnel «Convegno » d’hiver
des Unions ChrétiekmqB. Le temps magnifique, la vue superbe sur tes Alpes pdgeuses, sur te Monviso, sur rmmieiniae mer
de brouillard couvrant la plaine, te tranquillité merveilieuse de te montagne contribuèrent d’une façon très efficace à la
bonne réussite de la réunion. Le matih, te
jeunesse se retrouva sur te col pour assister au concours de sky, qfui se déroute
sur te magnifiiïue pente neigeuse vers
PnunoL Dans raprèsHmidi, tout ce monde
de jenmesae s(e réunit dans te cour <te l’hétel Plavan pour te culte présidé par le pastour M. Oüido Rivoir, qui attira Itetbention religieuse des piésents sur te nécessité de la présence de Dieu et du Sentiment
de joyoïise adoratkm dans tout moment,
dans toute activité d© te vie. Lqs paroles
(te M. Ravoir furent ffuivies par tous tes
présents avec une attention soutenue, et
cûuronnéss par te chant d’im l^mne v^oureuaement enlevé. Eteauit© M. Âttüio Jalla,
adi^asant encore au pubhc quelqt^
rr^ d’exhortation, lut tes résultats du
«nciîurs et (bstribua tes prix. Kagas vou
tona, « ce, propos, rquaérçjpr tote, «laïud©,,.
Hf«:
«on afïeçtuenix l5hráBagé;y^tá|teraplúqnte,^^J^^
l'Umon de Torre PeBice qt tes auttpaoïçteijjj ^
<ïui ont offert différentes paares de skya-t.
aux meilleurs concurrents. ‘ - * ; il
Ensuite te joryeuse bande s’éparpilla'jus^
qu’au soir siulr la vaste lumineuse pwite^ '"’'’*
ndgeuse, exprimant le désir unaniniè'cj^' "^^
(ses « Convegni » aoàent renauvelés auvpiu^
tôt. , \ 5 ' * «i-il
CMvanUon Ünlbniite'^
HoW rappelons te deuxième Cinventi^‘j,~.
Unioniste d'études, religieuses, qui, aui» *
lieu à. la Maison Unioniste de Torre Pel-i iv
lice, ,^dimanche prochain, J7 courant, 'â
14 h. 3Ci; La discueàion se déroulera suf^-^d ‘
sujet très impor^t du sa|ut,
sont prîéeip, de jjï^itçr sûr ce 'aujet
d'oRvoy^ à te; Conventioni des représen- ¿2
tants; 'portant à la discuussion une colla- "'î
boratioû efficace.
A. J.
U
r'
till
lE MRUGE DE U DlUNCESK JUIMNI «
-DES MÏS-I«. ■' ,
Le 7 janvier,' -te princesse héidtière^Jidiana d’Cbraiige, a épou^ le prince Bernard de LipperBiesteifeli Le-peuple hol-j^
landais tout entier a entouré de sa. sym-,^;^
patiiie tes jeunes époux. 1 %,?
Les Vaudofe, qui -oist tant de motifs de ff
reconnaissance envers la Maison d'Orange, ^
unissent leurs voeux à ceux du peuple hollandais, demandant à Dieu d’accorder aux
Epoux Augustes ses plus précieiuses bénédictions. n
CHRONIQUE VAÜDOISE.
ANGBOOHE. Une fête très sympathi- ,
que a réuni, dimanche 3 janvier, au chef- i
lieu, l’Union des Mères, L’Union Cadette-*
des Jeunes Filles faisait les hoiïneurs de '
la maison. Une jermè fille, après avoir lu I
quelques versets dans la Parole de Dieu,
fait une petite relation de Factivité de
l'Union Cadette. Elle remarque que le nombre (tes jeunœ ffiles qui la fréquentent
n’est pas très grand, mais le travail <ïui a' été aciîompli avec fidélité et avec zèle n’à
pas été sans fruita Un des résultats (te
leur activité était précisément cette réu-’
nion, pour laquelle les jeunes filles — soug
la .directiotot de M.me Alice Nisbet
avaient préparé un excellent programmip
de récitations et une très jolie expositioh
de travaux de tout genra Les mères présentes — une vingtaine — ont démontré
de savoir apprécier le modeste effort iqu©
les jeunes filles ont voulu faire en leiür
honneur, et ont répondii avec b<mne grâ«^
à l'appel qu’(Hi leur a adressé, de maniéré
qpe rUnion Cadette a pu offrir à l’EglisR
la jolie soonmte de L. 66,50^ Le pastesia:
M. Nisbet a remercié tous ceux <ïüi ont
travaillé pour le sucisès de cette fête, éf
a exhorté tant les mères que les’jéun^
ûltes à chercher d© persuader leurs anues
en vue d'une mesure fréquentation,
deux Unions. La traditionndte tasse’ de
thé et un biscuit a terminé cét agréabît^
après-midi.
★ Au culte de Nouvel-An, nous avons ^
te plaisir d’entendre un tnagnifi<iue chœïb'
de (ûrconstance, parfaitemeint exécuté aoim
la direction de M.me Emma Armand-Bo#
veuve Bertalot. ’
Toutes les fois que nous avons te bon,;,
heur. d’eutendre notre Chorale dans. tei|
occasions spéciales, nous ne pouvons pas
nous empêcher de penser qudDie force ma®'
gnifique elle représmiterait pâur nos eûl
tes, si non seulement aux pcçosteos’ soite^
nelles, mate tous tes dimanches, iMms avteni
notre vailtente Cherate assise m rpasse à
aa place habituelle, non pour chanter VÊÊt'chœur spédaà nuus pour soutenir le chant'
ordinaire. Noms lançons i’idte comme
la semence qui powrait tomber dans un
bon terrain et porter'scm fruit. i
ik Nous devons constater (pie, depuis
les réparati(?n8 radicales ou temple %'
Ostowro, 'píJÉte lé gISnêreux éte de mé-f tés.
dadle« ; I'Unlon CHíéttenne d©’f*tíSrin,
chef-lieu, let cultes ont ét© mieux fitlqueh
fl est t*rai raœ fois
plus <5(tt’on iiniV'^r aimer tes choses poijp*
^ ïesqu^Ses nous avons fait quelques sacrifi
ees. Et vu que ce temple a réclamé une-tmoblifeation gj^éraie' des poroiœiens, il
^ était à prévoir que plusieurs de ceux qui ’
ont travaillé dans le temple jusqu'à 10 ou
11 heures du soir, y seraient revenus
le dimanche matin, pour les (ïultesj Nous^
espérons vivement cfue cette petite amélioration'se traduise bientôt en un vra# - "
mouvement, et que hiotré' temple puisse'’^^'
ouvrir toujours ses portes pour une nom^-■
breuse assemblée. Nous ■ 'voulons toutefois v
prier tous les paroissiens d’occuper tes pre.'
miens bahcs ou lieu de s'aeseoir au fond
du temple, et de s’efforcer d'’être touioufs
ponctuels. ■
★ Une innovation qui'a été accueillie
avec empressement, dans notre paroisse, à
été l’institution de tours de service au j '
temple d/u chefJîeuï Gcjmmé te Consistoire'
n’a pas tes moyens de payer un esonçierge pour le nettoyage du l^ple, plusieurs paroissiens se s(xnt spontanément
offerts pour venir,- chaque samedi, pour
ce service, C’œt. un humble service et qui
mérite d’autant plus pofere. gratitude.
★ .Nous exprimons notre profonde sym-,
pathie à M, JFediele Cogno,. de Rocciama-,
néoud, pour la perte qu’il vient de faire
par le décès de sa mère.
★ Une des activités des Uummss des Jeu
nes Gens et des Pasteuns est de se tenir
en contact avec ,Ies paroissiens qui, pour
sèrviisê militaiçe ou des'rais(xns de travail,;
se trouvent hors de leur paroissei. Et comroe ily a. maikitenant plus de cent paroissiens qui sont loin d’Angrogne pour quelques mois, ©t plusieurs se trouvent daixa
les tecahtés où ils n’ont aucun contact
avec des évangéliqmœ, les lettres qu’on
tewr a expédiées de temps à autre sont
reçues avec grand empressement et font
du bien. Sans (xmpter le bien; (pœ se font
les Unionistes ©uxf-mêmes, en s’ocoupant
des;absents.. . ...........¡r,
★ Le Consistoire s’est réuni, lundi dernier, pour s’occuper de la marche d© la
paroisse. Un des arguments à l’ordre du
jour et de grande importance, est te désir exprimé par ; plusieurs .pairoissiens, de
constituer une autre paroisse au Serre,
Conune fl y a deux paroissi^ catholiques,
ainsi il semble à ces frères qu'’il serait utile et logique d’en avoir deux vaudoises. Cette question ne mançfuera pas
de susciter beaucoup d'intérêt et de discussions. Nous nous en réjouissons comme
d’un signe que l’intérêt pour l’Eglise est
loin d'être éteint chez nous. Il ne nous
reste qu’à exprimer te souhait que chacun
cherche à faire triompher non son point
de vue persOTinel; mais qu’on ait toujours
en vue ce qui est pour te vrai bien des
âmes et te triomphe du Règne de Dieu.
R. N.
LA TOUR. Dimanche prochain, 17 courapit, à 20 heures, à Sainte-Marguerite,
M. Auguste Armand-Hugon, étudiant à
i’IJniverfdté de Turin, donnera ime causerie sur te sujet suivant : « L© evasioni e
le fughe celebri ndla storia valdese ».
★ La semaine dernière, te Pasteur a
célébré le mariage de M. Charles-Mhert
Morel avec M.Ue Louise Long, de l'Envers.
Aux jeunes époux, nos meilleurs vœux de
bonheur.
★ M. Jean, Chauvie feu Jean a été rappete parole Maître, après une courte maladie. Il avait 70 ans. Que Dieu console la
farnille eu deufl.
★ Lundi, 4 janvier. Madame Giulia
M(M Von. Charente née Gay, s’est tranquiltement éteinte, à la suite d'Une douloureuse maladie, à l’âge d© 75 ans, à Drieberge (Hollande), qu’elle habitait ose dej>
nièreâ années, Ele était fille du vi&iéré
pasteur Antoine Gay, dont la pajuissë de
Saint-Jean rappeBe encore avec émotion
te belte paisiblie figure et te longue mi&
sjpn évanstoltefqe. Quoique habitant depuis
sa jeunesse en Holteiuter où, par son mariage avec te docte Mofl Von Qiarente,
elle était entiée dans uioe vieille iaitnilte
de Rottodami eüe avait conservé une
affection trèff vive pour ses -VaHées lointaines, qm*(!|Le visitait âp temps en temps. ',
eti^'un profond atta(ffifi!imient pour l'Eglise»
Vsudoise.'-Les coltecteunii vaudote en. Hôte
tende connaissaient bien sa maison tergnment hospitalière. Son caractère doux H enjoué, sa profonde piété,, sa ci#urei, s«9 ,
traite cordiauK et ouverte, son sens 4'idv
négation et de bienvefltence l’avait fait
vivement < apprécier dates, son müteUf y
portant un. rayon de 1a temière dp ten
pays d’(3rig»ie. . -t,
Nous exprimons à te famille affligée, et
spéciakoieut ,à sm sœuara, M.me .¡ Gtera
Jalla, EHtea, Céline ét S(»w Eva- Gay^. japs
profondes condoléances. . . ■ « ,
★ A l’Auia Magm du CoUi^, ss®«edi
16 courant, nous aurons la Boiréa qui devait avoir lieu samedi dernier, et qui
n’a pas pu avoir lieu pour ’des rdàCtaè t««tes particulières.. Le'pr()gfamîhe a dû être'
modifié, ut hu liéù d© « FelkûtSColombo
de Àdamî,'Sfera jouée la cixiiêdf© : 71 Bel
cavalière d'Grfleur, de Reinach. Lés billets de .la semaine dernière sont vatebtes
pour cette reprlétentiàtion. Le prix des billets a été diminué : 3 lires les places nu- •
mérotées et 2 lires les premières places.
Toutes les personnes qui ont a(dieté teà
billets aux prix de lir^ 4 et lires 2,90,
seront, à te porte, remboursées de la différence.
Tout le publie est cordialement invité et
nous espérons que tout le nionide répimdra
à l’invitation que nos jeunes gens adressent.
LYON. Le dimanche 20 cfeemhre, notre
Groupe « Pierre Valdo» a eu sa réunion
de Noël, à 15 heures. Après le chant d’un
cantique, notre nouveau membre, M. Sibille, a élevé à Dieu une prière. Ensuite,
notre Vice-président a lu plusieurs versets de l'Evangile, se rapportant à la natesance de notre Sauveur. Cette lecture a
été suivie par une allocution, qui nous a
rappelé ce que signifie pour las chrétiens
la fête de Noël. Puis, notre Priteidente nofus
a fait remarquer (gie si Noël a pu devenir une fête mondiale et une occasion de
réjèùiséaneé pour tous, c'est Ifï-âcë'â la Kberté dont nous jouissons aujourd'hui,
mais qxii autrefois était inconnue. C’eet
pourquoi il y a eu, dans les siècles paaaiâfl,
de bien tristes Noëls. Notre Présidente
nous a alors parlé d'un de ces Noëls douloureux, celui de l’année 1384, et nous a
exhortés à être recotenaissants envers Dieu
de ce que noius pouvons, de nos jours, célébrer Noël en pleine tranquillité. En (Mitre, le souvenir de ce Noël qui a été si
tragique pour nos ancêtres, doit nous poiusser à imiter la fidélité de ceux qui ont préféré un Noël d’angoisse et de mort, plutôt que de renoncer à leur foi dans l’Evangile de Christ.
Après ces exhortations, .nous avons eu
le plaisir d'entendre tme vieille complainte
vaudoise, la complainte de Joseph et Marie, chantée par M.me Morel et ses deux
filles, et suivie par un chant de Noël, auquel tous les présents ont pris part. Puis
trois de nos enfants vaudois ont récité dos
poésies de Noël. Ces récitations: ont été
suivies par un chant et la distribution de©
cadeaux.
Notre réunion s’est terminée par un
miessage d’un ami de notre Groupe et par
une prière de notre Présidente. ,
MARSBILUS, le 26 décembre 1936.
Mmrneur,
Quoique ,n’ayant pas l’honneur de vous
connaître, je me permets néanmoins de
vous adresser ces queliïues lignes pour
vous annoncer ce que, sans doute, vous apprendrez par d'autres voies, j’espère, et
d’une façon plus explicite certainemeM.
Vendredi, 18 décembre, nous avons eu,
ma femme et moi, te privilège d’aEssister
à une conférence de M. Maroel Provence,
à Aix-en-Provence, sur les Vaudois du Piémont. Devant une nombreuse assemMéie,
de trois à quatre cents personnes ^au
nsoins, paradant une heure et demie, en
poeeesBion d'une dijcnunentaticm très métictieuse (pe lui avait fourme, je erote bien,
le toujours regrette M. Jalla, M. Marcel
Provence a su non seulement çharmer, mais
enlhoïKiasmer scm auditoire en évoquiant.
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L^j^ho ya^léea- - Jaayjer |.937-^y,
4’u;né'Ta^n fniNime et"iîvin^îctfâe, toutes
ips pâHpdties de notre peu^de vaudloia, d(U’
ÿas<3nï’‘à^ nœr Jours, et œla avec une
impartialité 'exemplaire, car M. Marcd
Ptuvénfiee ett"<sathoMque,-<» qpii
tmii'\P^ '‘admir«ibleu Le' tout «küus' a
kmént édifiés et émUs, c’est le cas de le
diret^ (|ue malgré irion peu die capacité'
pouir’^éerîi'ei.'jé sens’lé bèaoîh et le devoir
<}e vous coiUummittuei^ nos impressions^ afin
que ‘ S«wfi àaÉfeieï! qwe nou» «mw en
^ Marcel Provemoe un gmo adlminateur
et Tin dfefeapeur sincèa?« et dévoué.
A nous dé faire «ax sorte que cette adaairàtion ' soit toujours m^itée «t puisse
se perpéituer! k-v-,....■ »;> ■■
Jé'< iw)ùs |wfe; Monsieur, d’agréer me^;
respèctueuSéé'salatation»; • * E. Barai/.
PS. M. Marcel Pfoyoiujo m’a dit q|we d^
puis;,la mort ,de softi grand ami Jalla,
il oo^yespöndait.Ävec o'est ,
pourcette raison que je me. permets de
vous adresser ces quelques lignes, en vpus
priaBitide m’excxiser.
Un j(wwl frcm^m a pw&/®á, w coite
conférence, ce Qtâ ndt ;
M, Marcel Provence
a parlé des Vaudols.
•'Y' , ■ .
L'intéressante série de conférences consacrées aux Vaudois a été dose par la
belle causerie que M. Maréel Provence
vient de faire dans la vaste salle d^ mariages, à rHôtel de ville, devant un audi\ toire nombreux et choisi.
Nous avons déjà, dans ces mêmes cdonnes, donné un. eomptet-rendU de la conférence inaugurale, au ecairs de lafpelle
M. Noël Vesper, le pasteur de Lourma^
rin, avait évoqxié pour nous, en un exposé
émouvant, les maux qu’eurent à subir les
Vaudois du Lubéron, aux cours du XVP
siècle.
M. Benjamin Vahoton, dbnt on n’a pas
oublié qu’il descend des Vaudods du Val de
Freiasinières, devait venir ensuite nous
entretenir des hautes vallées alpines. Mais
' un deuil l’a empêché, et c'est ainsi que la
liaiscHï entré M. Noël Vesper et M. Mancel
Provence n’a pu, être faite par l’auteur de
<f Sur le Eoc ».
M. Payot, ancien recteur de l’Académie
d'Aix, qui présidait cettie dernière conférence, s’en excusa et, en termes excellents,
présenta le conférencier au public.
A travers la course des siècles, les Vaudois, lorsque les persécutions se déchaînaient dans lé Piémont, gagnaient par les
cols de la montagne la Provence accueillante et paisible.
Une fois le calme revenu de l’autre côté
des Alpes, les fugitifs repassaient les cols
et revenaient ainsi au foyer un instant
déserté.
C’est de oes migrations successives que
résultent et ’b langue qui sonné tout comme le provençal qu’on peut entendre du
côté itidién et les patronymes fort peu
italianisés dés descéndants des Vaudois
instarés làibas. '
M. Bardl, vice-plfésident des Vaudois de
Marseille, donna lecture de la « Nofala Léiczon », le livre sacré de oeuK-cl.
Au terme de sa brillante et intéressante
conférence, M. Marcel Provence, avec ce
talent bien personnel qui ^t le sien, a
adjuré les au^f^iurs de maintenir entre
nous et les desoendanits des Vaudois descendus des'hautes vaïïé«® ajpines l’amitiê
du temps jadis qui omina toujours des
cœurs fraternels.
De chaleureiix applaudisaenients ont salué la fin die cette caaaserie si vivante.
G. N.
, POMAEif. Mercredi, 6 Janvier, ont eu
' lieu les obsèques de notre tv^re Ph^ppe
Tron, originairë de Bodoret, et décêd'é aô
Pomaret, à Tâgé de 88 ans. Nous renouvelons notre profonde sympathie chrétieaine auJt parente ajfüigés par c© dé^rt,
et d'une manière particuÜère à la veuve,
à la fille et au gendjpei.
★ Retardée, ¡bemièrement, nous àvoos
uni en mariage M. Hewn Jeun Combe, de
la CiiJm de Méan, avec MJle ESàa Baret
d’Altert, des Pons. Nous few reiwMvd^
nos meilleurs vcbuoe de bonheur.
PB4WT. Nous re«i^rci9us
lins à n’ont pas oabp leur
église à 1’occasÍQn des fêtes, . .
★ A Noël, nous avons eu nqtre culte ,
avec la cé®ébratioin de, la Sainte-Cène : viae\
assemblée imposantél. qui pourrait âtee
celle de tous les dimanches, si les beoïins
religieux étaient un peu phis sentis et s'H
y avait un peu plus de banne-vdwtié de ,
la part de tous. « Esprit, viens des quatre
vents et souffle... et vivifie». , V
Le soir, imtre temple était do nouveau
bondé ; bien, des personnes, surtout les parents, avec nos Autorités locales, (^iour.
raient nos enfants, qui diéveioppaieïït un
joli programme de récitations et de chante.,
★ Le soir du 31 décembre, notre jeune^ réunie en ime soirée intime, dans la- -,
quelle la partie religieuse a eu sa bonne
part- a attendu la nouvelle année ; et par
notre culte du l®*' janvier, nous avons conv
meaice la nouvelle année çn .demandant
Dieu quelle sort pour toute notre église
l’annee ^ de grâce de progrès, d'amour,'de
délivrance». ;,
PBABITSTEI, Le Cohsistbire, préocoui^
de l’instruction religieuse qui fait défaut
à nos enfants et qui ne peut être donlnée |
comme il le faudrait dans les trois années '
de catéchisme que nous avons maintenant,
est d’avis qu’il faudrait instituer, en-suivant les indications données dans le dernier Synode, une école de religion, de plusieurs atonlées pour préparer les futurs '
catéchumènes.
En attendant la prochaine Conférence
de District et les décisions que nous pourrons y prendre, .ü faut faire quelque chose
dès roaintenalnt et nous avons ajouté aux
trois années de catéchisme une quatrième,
à laquelle de bon gré se sont inscrits la
plus grande partie des garçons nés en 1924
et ides filles nées en. 1925.
L’Union Chrétienne des jeunes a préparé, pour les Ifi et 17 janvier, à 20 heures, une soirée récréative dans la Salle de
Saint-Barth^iMaiy.
BOHB. (Piazza Cavour). Le dimanche
3 janvier, nous avons eu le plaisir de voir
réunies, 'dans la salle contiguë au temple,
un bon nombre de jeunes filles vaudoises,
résidant à Rome pour des raisons de travail. Accueillies avec une grande cordialité par M.me Anita Bosio, avec l’aide'de
quelques demoiselles de l’Eglise, dUtó ont
passé quelques heures agréables, en écoutant les récitations et les chants des enfants de l’école du dimaiiche.
Le pasteur Bosio leur a adressé quélques paroles de circonstance, leur souhaitant que cette petite fête de Noël, avec
seis mille lumières et son' parfum de sapin, ser-^^t à leur donner' lé sentiment
d'avoir passé quelques heures « en famille », dans la. famille de leur Eglise.
La fête termina par une bon'ne tasse
de thé et plusieurs chants : comme souvenir, le traditionnel sachet de gâteries et
un modeste cadeau.
Les jeunes filles vaudoises fréquentent
assez régulièrement les ouïtes et veulent
faire honneur atu nom vaudois, même dans
cette grand© viUJe. Foa;.
SADrr-QBEHAIff. Asüe des Vieilbmis.
Depuis tantôt dn an, nous n’avions plus
, eu de décès, et voilà que la semaine dernière, en moins de deüX joürS, nous avons '
vu partir deux de nos frères pour l'audelà. Ce fut d’abord Laurent Terzemo, très
brave homme qui, malgré certaines ihfirmités, sut Se rendre utile jusqu’à la fin.
il s'élteignit inopinément, à l’âge de
78 ans, après quatre années de séjour
dans cet Asile. Il noœ était venu de San
Marzano Oliveto. — Vingt-quatre heures
après, ce fut 1© tour de M. Hermann Adolphe Oerber, d’origine allemande, mais italien d'adoption, et hôte du « ViHino Fede »
depuis environ huit ans. Son départ a,
creusé un grand vide au sein de la grande
famille et lia tout-à-coup plongée dans le
deuil C’est que ce cher frère s'étàit acquis
l'estime et l'affection de todt le monde,
dans l'Asile mênrie comme aû dehors, par
son maintien toujours correct et distingué; par son caractère doux et paisible,
par sa bonté inlasBaWe et par Sa piété sincère- Le Seigneur lui accorda ja grâce de
partir presque san^ souffranœ, quelques
minutes après avoir pris son dernier déjeuftèV-, et ehtouTé jusqu'au bout par les
soins 'dévoués dé Sœur Lêoiue. B était né
à mm, sur le Danube, le 29 mai J847 ; . 3
avait donc diépassé d'environ sept mois sa
quatre-vingt dixième année. L’image de Z'
cette"'bftlle hgure de viepüard, très sympathiq^’ restera longtemps'gmwôe dans-le
cœur de tous ceux qui ont eu le privilège
de fe emnaître. li V V i .
•k .,Av^ ifçk piwa- .wvc reeownfàsmnae, . '
nous açx?uÿ!fns réception des dons en or- .
gent, qui nous sont ‘poS'venm tiii 1®' ootobri’du 3l' décemVirè ' 193S, Eglise de V®esèchfe, L. >25 -'A;-C., en sbuveUîr de ses
bieivaimés, 20 - FamiHe Pantana-Roux, en
souvenir de leur chère défunte M.me CÎaroHne Buffoli-Fontapa-Roux. 1000 - M.me
-'SE ithiL- Richard’,
senior,, Norfolk, 185 - M.me l^mas-Beux,
TurfVi, fleurè eh souvenir de M.me Henriette GrîH, 20 - M. Edouard Rostan, 5 Mjâiei Pauline Balmas-Turin, pour 193519;^?- 80 - La même, pour l'exercice en
coqj^, ^ t-, M.me CSéanthe.Oocito née.Turïn,*2S - Hi^l^ Boimous-Bî^ offrï&iîfé; au hiôm dù‘« Fhscio Éemminilè» de '
Saiht-Gèffnaj'n, 50 - M.’Lbuiis Eerretb,. Turin, offrande envoyée en janvier 1986; lOO
M.mfe> Angda E. Dreiher, Mainate,- -100- MJe Mad. Cardion, Marseille, .45 - François Soulier, Menusans, 5 - M. Gino Jahîer,
à l*ee!easion'‘ dta prermèr anniversaire *du
décès de sa chère maman., 200 - M.me
veuves'AvOndet Auguste, diacre, en souvenir de son cher mari et père, 90 M. Louis Jourdan, Colonia Valdense, 200
- M- l’avocat doct. Alex. Poët, Traverse, 75
- Bouçhand Célestine, en souvenir de son
frère Aug. Avondet, 5 - M.Jte Cardon Elîsalœth, 10 - M.lle Cardon Marie, Saint-Second, 5 - Famille Beux-Bounous, SadlntGennain, 20 - M. Henri Stallé, Montecarlo,
lO0j - Commune de Praly, 39,10 - Id. dé
Massel, 39,10 -. Id., du Perrier, 98,70 Mjne Clara Pedrini, « Villino Fede », pour
l’achat d'un harmonium, ^ N. N., Masse!; 15 - «Lega Ptenminüte Valdese» de
M$ui, 100 - M.me BaJmas-Beny, Sestrîêres, 25.
fWHN. Non» lisons dans le Pieçslo Mçf,s-i^gfcro de la paroisse vaudoise de Turin,
qi^. le 28 décembre,, le vénérable pasteur
éne^rite M. Arthur Muston a accompli sa
80® année.
Ses enfants et ses petrts-efnfants, réunis
à la* maison Cabdla, lui ont exprimé léUf
joie et qnt formulé pour lui les meilJeiuTS
vœux*
M. Muston, malgré son âge, conserve
toute sa lucidüté intdlectuefle et toutes ses
> énei^ies morales.
h’Ècko, dont il a été l'apprécié coJlaboratéur, lui envoie l’expression de sa recOnrsaissance et prend part à la joie des siens.
★ Le 27 décembre, un groupe de jeunes
gens et de jeunes filles de bonne volonté
ont offert une sympathique fête de Noël
aux soldats évaïigéliqdes provenant des
diverses régions d’Italie, résidant à Turin.
Une table rustique, mais bien garnie, faisait partie du programme, et les soldats
se sont sentis entourés de l’affection de
toute l’Eglise.
VltiliESÈOHB. Lç 16 décembre, un long
cortège a accompagné au champ du repos
la dépouille moriBUe de notre frère Piepre
Viglielmc, de Vdlesêdie, enlevé subitenaent àHl'affeetion de sa famille.
★ Comme d'habtitude, cette an-née aussi
nous avons eu une bonne asremblée ,au
chlte dç Noël ; un choeur de circonstance
a été exécuté, sOus la direction de M. Jac
^ ques Mi^sed.
La fête des enfants a eu lieu le samedi 26, au Trussan, et le dimanche 27, à
Vülesèche, dans l’aiicien temple ; les enfants se sont fait honneur par leurs réciciiations et leurs chants.
Nbüs remercions tous ceux iqui ont contrilMié à la réussite de ces fêteS.
■'é, Une représentance de la jeunesæ des
Cl96; ,a passsé Je soir du dernier jour de
rah au Pomaret, où die a été l’objet d’hn
chaleureux accueil de la part de la jeunesse de cette paroisse.
•k Jeudi, -7 courant, a été bénr le mariage d’Emile Pierre Bounom, de l’Albarée, réremment revenu de l’Afrique, avec
M.lle Ermmia Vdtentiim Freyria, 6,\i Pèrrier. Nos meilleurs souhaits accompagnent
les êpoüx.
k Ûne section de notre Union Vaudoise
a été fondée, à l'Aibarée, par usi: groupe
de jeunes gens et jeunes filles désireux de
travailler pour Christ et pour l'EgJise.
Nous demandtMis à Dieu de bénir cette
nouvelle Union en feispirant chacun de res
membres.
k La collecte des dons en nature a
donné un résultet assez satisfaisant (onze
sacs de pommes de terre), vu la maïuvaise récolte de l’année, A ceux çpi <mt
voulu donner cette preuve de solidarité
chrétienne, noue expriftwns la réconnaiggance du Oonsideire et des ceuvres à qui
la collecte est destinée.
ZEBIOH. Un des sujeits sur leiqndl les
journaux religieux'tt'ent plus relaté beau,- ..
coup de nouvçQies, oes derniers ten^>s,, mais
quâ retntinue à intéiremn- vivement nés'.
Êgliees et nos Tbédogseris protesitente
c'est celui de k aitaatjon arfuefle des.Egiü'ses évangétliqueB d'Allemagne. Le sujoit a >>
été magistralemeinl trajtéi ü y a ^
jours, à la Wïpkingerkirche de notre ^ÏÉe,
dans une conférence dm prof. dhct. Arthur
Frey. Le développement <k st)n tJièipi©
pondait à cette question :’ «1a lutte iiç '
ri^lke' éviangélique en AHem^pte que
nous dit-e3e?», , -j-- . ' î»
En- awdignwt k douloureuse rétÿilé ^
d’une crise rmjvepselk« qui devient de phi»'
églises chrétienens et, d?tine façon partàiculière, dans le Protestantisine aÙemand. Quelle en est la raieon profonde ? Pour ,
la découvrir à sa pacine, Ü f^t remonter,
le chemin des siècles jusqu’à l’époque de
la Réformation et étaNir une utile eoiré
paraison entre -les égÜBes réfpnnéçs suisres '
et celles aflemaaades.- Avec kors angkeks
ou divergences idbctrinales, on y remarque
dès le début uniç différenoe d’organisatioEi, qui aura sa grande valeur dans les déve:;^,
loppements suceessifa de l’histoire ecdié^''
sia»t4quç. Tandis que Zvringle est Calvin
fondèrent les nouveUep égliaes en les appuyant d’aWd sur l’autorifé morale de
la Comittuna,uté, Luther eréia la sienne en
l'appuyant essmitiellement sur l'autorité
de fEtat. EU© recevait ainsi un caractère
accentué de dépendance qui ancrait apo
prestige au sort même de l'Etat. '
Ia ctate de l'Empire et la révolution
de 1918, portèrent une redoutable atteinte
amc institutions ecclésiastiques du pays.
Dès lors, on constata des déser;tions toujours plus nombreuses ; en 1920, par erèmple, le chiffre des protestants qui quittèrent l’église s’éleva à 250,000. La ptáitique
totelitaire du Régime .national-socialiste
n'a pas résolu la crise; elle l’a, au conr:,,
traire, accentuée, mais à ce mora^t aussi
se derèine un© nouvelte orientaUpn.
Si les uns ont quitté l’Eglise affictóHe, pour
se jokidré au mouvemete; des néo-fmteng,
si d’autres —^ les chrétiens aÜKnaaiijds —:
eherchefet nne concEiation irapossibl© entre deux absolus contrailres (Etat pmen,
Eglke chrétienne). la « Bekénntnkkirdie »,
l’Eglise confeeaionni^e, s’est héroïquement
engagée dans la lutte, dans la souffrance^
dans le sacrifice, afin de défendre ant noçt /
de k RéVêlatioM écrite les droits de la conaedenee religi«»» oontre tes erainètenrentB
ses, sci-disaixt chriétiennes, qui s'engagent
dans une servitude dangereuse, où Meiîttôt, peut-être, idBlas trouveront èoïifuswn
et honte.
Telle ^ maintemnt la raison suprême
de cette lutte qui se poursuit avec ténacité de part et d’autre, malgré lé siknee
extérieur, lutte qui sera longue peut-être
et rens merci ; de laquée, cependant, la
véritable Eglise de Jésus-Christ ^ira ïw^
riftée et victorteuse, dans l'entière owtetude de cette prome^e ; « Les portes des
enfers ne piévaudront point contre rite ».
A. PoHRMAJSrN.
, -,
14 coumhi, mtàiUrée (te ro#eétÙM recùn/natssânte de ses inen-aémes,
s’est endormie paisiblement dans le Seigneur
IODISE MATHIED-YINM.
Le mari et et les enfant^ souitenus par
la foi au Christ qui a toujours été sa force
dans sa vie et dam ses longues souffram
ces, annoncent son départ pour ta Patrie
céleste. _____
fl
«Quand le soir fut venu,
Jésus aiit Passsons à l’autre
boi’d ». Marc IV, 3S.
Le serince funèbre aura lieu vendredi,
15 omrani, d 15 heures, au tewpiki
Selon le désir de la Défmte pas de
fleurs, mais bienfaisance.
Torre Pellice, ce 14 janvier 1987-iXV.
n Cmà0o d’ArnmnMriimme, gli ha-’
piegati e le Maestranze deUa $,[A. E. Crumière awmndano con ddenre fá fùàrie de^
signora
LD1GIÄ MATHIED-VIEAY
madre venerata del 0rettcre dä. loro Fdr
trifUàû di Viäar PeUiœ, sig. perdida Uathieu.
Villar ItelWde, 14 geiuiaio Ì937-XV.
4
L’Echo des Vallées
15 Janvier'1937-XV
J.es;Livres
Cra me e me - dal dùu'io .dì una donna, di
*' Kym>— llniiHie Cristiana dèlie Giovani,
' Torino'. — Il volume è in vendita presso
'TAnanmistràzione'(U «Ali» - Corso Re
Umberto, 114 - Torinoì
« * «
Gioià e riconoscenza.
. Oiscorso pronunziato la domenica 25 ottobre 1936 per la cetebrazione <M ISO» anniversario del primo culto nella basilica di
S. Silvestro deffla Comunità Evangelica, di
Confessione Elvetica, da Gugb'elmo Del Pescò, pastore delle Comunità Evangeliche
Dnate Elvetica e Valdese.
« « «
Ernest Chrikten : Aug. Quartier-LaTente : « Je riposte par l'amour », in-S“,
64 pages, avec 2 portraits. — Editions
« Labor », Genève. ^— Prix : francs suisses 1,80.
Beaucoup accueil'eront avec joie cette, biographie et ce choix de pensées d'A. Quartier-La-'PMite ; beaucoup aussi, croyonsnous, entreront avec stupéfation en conr
tact avec cette âme de feu. « Dans la grisaille de nos existences, il traçait un sillage lumineux », dit son biographe ; en lisant l’existence surprenante de ce simple
ouvrier pâtissier brlûlant d'ulne vie religieuse intense, on s’étcwine qu’une personnalité semblable ait vécu si près de nous,
à notre insu. Lapidaires, incisives, rigoureuses, les pensées de cet homme du peuple rejoignent par leur envolée, leur richesse, parfois même la beauté de leur
expression, les écrits des grands écrivains
et mystiques chrétiens. H. K.
(3iicdete il Cataloto Generale alla
Librerìa Editrice GLÂDDIANA
TORRE PELLICE (Torino)
, '’Abonnements paÿés et Dons.
(Le don est entre parenthèses).
• 1937 : Unione Cristiana Valdese, To'rino - Dott. Codino Sigfrido, Id, - Barolin
Madeleine, Bobbio PeUice - Giampiccoli Renato, Milano - Elnrica Gamma, Id. (8} Gay<^ Jean, Angrcgna - Chauvie Marguerite, Buffa, Angrogne - Coîsson Margitórite veuve Buffa, Id. - Cmsson Madeleine, Mulhouse (2) - Gaudin Clementina,'
Lombarda, S. Secondo di Pinerolo - Ch.
Mbmbay, Lausanne, du 1'^ octobre 1936 au
- 1“ avril 1937 - Revel Ester, Torre PeUice
Aguet Vera, Grottafeirata, Roma (20) Pasquet-Gonnet M., Prarostino - Pon»-Karrer. Torre Felice (2) - Barai Hermann,
St-HippoIyte-du-Fort, Gard (2) - Dreher,
famiglia. Malnate (20) - Long Giuseppina;
Pinerolo - Famiglia Salce, Id. (2) - Gaxrou
Ænes, Id. - Long Michele, Id. (2) - Gidseppina Giraud-Oelb, Id. - Bounous Luigi,
S.' Germano Chiame - Rostan Lisette, Id.
- Louis H. Pœis, Orange, New-Jersey, 19361937-1938 (0,80) - Eynard Stefano, Torino - Avondetto Lidia ved. Gardiol, San
Secondo di Pinerolo - Revel Margherita,
Genova - Bonnet Clementina, Lusema San
Giovanni (2) - Comba Adolfo, Torre Pellice (10) - F. C. J. Zweerts, Semarang
(Java) - Coîsson Alice, S. Germano Chiame - Paul Vifene, Villar PeUice (2) - Vicino Lidia, Torre PeUice (10) - Calvino
Frida, Firenze, et 1936 - C^dvino Giovanna, Basilea - Alguier Adélaïde, Plansdes-Campagnes, P. Càbries (1) - Av. Lydk Poet, Menton (16) - Ulisse Rostan, Torino - Armando Fiorio, Civitavecchia (5)
- Makn Louis, Luserna S. Giovanni - Bértin Albertina, Londra - Châtelain Claire,
Pinerolo - Volât Bartolomeo, Penosa Argentina (2,50) - Ihg. Giuseppe Rostain, Torino - Rivoiró Fanny ved. Lòng, Pinerolo
(5) - Prof. Paolo Baridon, Torino (5) Maria Ina Pons ved. Koella, Rapallo - Bouchard Giov. Paolo, S. Secondo di Pinerolo
(5) - BaJma-Van Aaist, Torre PeUice (5)
- Comba rag. Giulio, Torino (10) - PrimoRoart^o Giuseppina, Torino (15) - Pbns
^rico, lioma ^i Pott Arnaldo Malan, Torino (10) - tiOng Maddalena, S. Secondo di
Pinerolo - Prof. Griset Emanuele, Torino
(2) Bertinat Giovanni, Id. (2) - Bertakrt Gardiol, Idi. - Corsani Emes^ Genova
- DeMatteis César, Id - Clotilde Grfll, Torino - Braox) Bianche, Menton > (1) - Pasch«tt*> Adolfo, Luseriia S. Giovanni »(2)
- Loremini Alice, Bobbio PèUice (5) - Colucci Seiffredo, Messina - Roberto Steiner,
Bergamo - Bajmas Medina, Pancalieri (S)
- Bertalot Leontina, Abbadia Alpina (5) Cav.f PeUegrini Ferdinando, Torino (10) C&v. Emanuele Rivoiro,. H. (10) - Marianna Rosa-Brusin, Coazze - Rivoire Louis,
Charentonneau, Seine (1) - Rostaih Mai-*"
dalena, Gréouse-les-Bàins, Baàses-Alpès,-'et
1936 (4,65) - Buffa Marie, Angrogna (1)
- Gaydou Madeleine, Id - Gaydou Susette, '
Id, - ArmandhBoèc Madeleine, Marseilie Umberto CamÜlo RasteUinii, Milano - Mi-,
chelín Madeleine, Paria'- Coniugi MareJlo, ''
Genova-Pegli^ et 1936 - Rovacchi Roberto, ;
Reggio Emilia, 1934-1935-1936 -,Comba Ar-.
naldo, Bergamo (5),- Long Luisa, S. Bah- *
tolomeo, La Spezia (2,50) - Roland Mary,
Pinerolo (3) - Jervis Elena, Cambridge,
Mass. (3) - Gardiol Federico, S. Secondo^> r
di Pinercào - Forneron Margherita, Pràt»-’’^^.
stino - Constantin Emanuele, Id; (2) - Tur
rin Anita, Lusema S, Giovanni (6) - Genre
Bartolomeo, Bovile, 1934-1935*1936 - Corsani Enricò, Vomero, Napoli - Rivoir Silvia, Genova (2) - Arcangeli .Bianca, , Milano (2) - Rostagno Luigi; Id. (5) - Roefe^
gno Vitttorio, BruxeUeg - Pérrou Marcel,
ViUar Pelice (2) - Buffa Susanna, Tocre
PeUice (2,M) - Péyrot-Zurcher, Luserna
S. Giovanni (5) - Godino Guido, Chiomoñté
(2) - Charbonnier-Grill Marguerite, Torre
P^ice (3) - Chiavja Aldo, A. O. I. - GrjÌ
Amedeo, Pinerolo (2) - Giretti Bdoartio,
Bricherasio - Gay Enrico, Genova-Prà (5)
- William May, Torino - Quatrocchi Maria,
Id - Soulier J:, Gienèvee '(1) - Niœlô Zunino, Genova-Nervi - Maguenat Constance, Pompaples - Odin Eugenio, Luserna
S: Giovanni - Rostan J., v., Torre PeUice
(0,50) - Davite Margherita, Torino (5)
Bertin rag. Stefano, Pietra Ligure (5)‘ Pavpin G. Giacomo, Rorà, 1936 - Ribet
Matilde, Torino - Roman Emanue'e, Bncherasio - Goes Amélie, Luserna S. Giovanni - Balma, Giov. Antonio, Pomareitio
(2) - Balmà Enrico, Pinerolo - Pons Amelia, Angrogna - Bahna Arturo, Torino - Bonetto Céline, Nice, A. M. (1) - Bouchard
Ehna, Miaño ' (2) - Fornerone Emanuele;
Prarostino, 1935 - Plerrero-Bonnet Elisa
Torino (10) - Buffa Méry, Puy-ForÙ
EgTiille, Lot et Garonne (6) - PeÙegrim
Margh., Torino, et 1936 - Ercone Margh^
rita, Pomaro Monferrato (2) - Pons ved.
Giorgio, S. Terenzo Mare (2) - Stallé Henri,
Torre PeUice (10) - SeUi Ninette, S. Ger
TEBMtNS EW'MlENtE
™^o Chirone ^5) - Pascal' Enrico, CorrB
AÍ-
(5) - Coniugi Peyran, Pinerolo (5) - A*liàud Michèle, Id. (5) - A. C. D. "G,, Sap
Secondo di Pinerdo, 1936 - Cardon Mari^
Id. - Gay Evelina, Id - Bertdot Giov, Pietro, Id. - Gay Guido, Milano - Suor Rina
Rosa-Brusin, Firenze - Barus Giòv. Giacomo, Riclaretto - Giotto Ester, Torino
Barus Adriano, Id. - Piazzani Adele, Trieste (5) - Micci Louis, Catmpolasalza, MasseUo (2) - Micol Alessandro, B. là Comba,
Id. - Dott. Alberto Ribet, Id. - Tron Enrico fu Pietro, Id. (2) - Peyronel Eugenio;
Tournin, PramoUo - BertaJot-Klett C., San
‘ Germano Chisone - Long Albert, dot, PramoUo - Alexandrine Long, Id. (2) - Long
Madeleine, Id - Long Lina, Id. - Long Edmondo, Id. (2) - Long Emile, Id. (2) Reynaud Louis, M. N„ Id. - Bertalot Madeleine, Clot, Id - Long Michele Enrico,
Td., Id. - Rostan Ermantio, Id. - Louise
Costabel, Michelet, Id. - Prof. Gay Arturo,
Lyon (6) - Jourdan Giovanni, Bricherasio
(1) - Veuve Bosio, Torre PeUice (1) - Coìsson Stefano, Parma (2) - Prof. Guigou
Emilio, Torino, 1936 (2) - Jourdan Luigia ved. Eynard, Torre PeUice (2) - Laurent Coîsson, Inverso Piinasca - Borgonm-o
Ines, Milano - Cougn Gustavo, Buenos-Âîres - Maltese-MeiUe Elena, Torino - Rìbet-Cougn A., Id. - Vigliano Alberto, Lùsema S. Giovanni (2,50) - Beoix Antoijjo,
Id. - Balmas Enrico, Torino - Franco Ab'èe,
Nice, A. M. - Leotardi Pauline, Annot, Basses-AJpes. {A mivrej."
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