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finila sia più forte della vostra lede!
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ABBONAMÉNTO
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Italia fino al 31 dicembre .
Estero-, ,. ' /■' '■'• . • • * »’
Ogni c-ambiamente d’tndiitee sosta li
,
Dans toutes nos paroisses les cours d’instruction religieuse sont jen plein développement. Les quatre classes de catéchisme encadrent toutes nos jeunes ifllles de douze à
seize gns et tous nos garçons de treize à
dix-sept ans. C’est une masse imposante de
jeunesse à laquelle nos- pasteurs se dédient
avec amour et donnent, sans économie, le
mieux de leur intelligencé, de leur culture,
de leur expérience.
Ils savent que l’instruction religieuse est
bien l’une des tâches les plus captivantes et
les plus importantes de leur ministère et iis
s’acquittent avec fidélité de leur mission.
'11 s’agit d’un enseignement. Pour être un
^chrétien vivant, il faut être un chrétien conscient, possédant et défendant
des' convictions précises. Il faut, pour cela,
savoir aller aux sources qui alimentent et
fortifient la foi et posséder les connaissances
qui sont à la base du développement spirituel. Nos catéchumènes apprennent l’histoire sainte; ils sondent l’Ecriture sainte ; dis ■
s’initient aux règles et aux méthodes de la
vie sainte, ils sont introduits,' non pas au
hasard, mais selon un programme précis, en
présence des trésors que Dieu, par sa parole, a révélés et donnés au monde. Il ne
s’agit hullèment d’apprendre rhistoirè biblique, »comme on apprend l’histôire d’Italie ou
ta géographie. iS’il ne s’agissait que de cela,
c’est un bagage intellectuel dont lés enfants
pourraient se passer, encore qu,’ü çe soit
pas permis à un homme qui Sf pJ^g d’avoir
^uBa—iftsteictioa - quelque. ^,
gnorer tout de cette histoire.
Mais, en fait, il s’agit aussi et surtout
■d’ùne éducation. Nos jeunes d’aujourd’hui
seront appelés demain à être le sel de la
terre. L’Eglise, dépositaire du trésor divin,
directrice des coi^ciences, gardienne des
âmes, s’efforce d’implanter au cœur de chaque génération nouvelle lés principes de la
vie vraie et le seul idéal qui ne déçoive jamais.
.Elle guide la formation morale de ces jeunes en pleine croissance, afin qu’ils deviennent des hommes et des femmes à la conscience droite, au cœur large-et aimant.
Pour cela elle les met en contact avec les
personnalités religieuses et morales les plus
puissantes que l’humanité ait possédées. .
Elle les met en contact avec <x courant d’é■•nergie, de lumière, de piété, de vie tout ^
court, qui passe à travers toute là Bible *
dans les âmes des hommes de Dieu, et j’ajoute ; à travers toute l’histoire de’ l’Eglise
jusqu’à nos jours, dans les âmes des chrétiens vraiment consacrés.
Ces antiques patriarches, ces prophètes,
ces apôtres, ces martyrs, ces Pères de l’Eglise, ces réformateurs, ces héros de la foi,
ces missionnaires, ces créateurs d’œuvres
religieuses et sociales, dont la ligpée se continue parmi nous, et surtout, par-dessus
tout. Celui qui reste l’Uniquè, l’incomparable, le Maître Suprême, le Révélateur,, le
Libérateur, le Rédempteur, notre Seigneur
Jésus-Christ,. ^ tous deviennent des amis
pour nos enfants, des amis à qui ils regardent,' dont il recueillent les leçons, dont ils
s’inspirent, dont la vie dans ce qu’elle avait
de plus grand, de plus pur, de plus noble, .
de vraiment humain au sens divin du ternie,
passe dans leurs jeunes âme| I
— L’Eglise prend au sens le plus strict
le mot «pédagogie», qui signifié «conduite de l’enfant». Elle veut le .conduire à
Dieu, elle l’invite à s’approprier son trésor,
elle s’efforce de provoquer dans son âme
les expériences chrétiennes libératrices. Elle
se souvient que ce qui fait le chrétien c’èst
la communion personnelle avec Jésus-Christ;elle s’attache donc à conduire les catéchumènes à Celui qu’ils pourront appeler un Jour
— l’Eglise l’espère, elle prie pout ■—
«notre Sauveur».
Educateurs chrétiens, efforçons-nous de
faire du catéchuménat une période d’initiation er de retraites spîrituellési essayons de
faire passer la jeunesse qui mu» est ccmfléê,
par les douleurs du repentir, par les toO' '
tiens du pardon, de la rédonciliatiott', de la
nouvelle naissance, par les joies de la vie '
caché» avec Chri«t*sn Dlea. Gardons-uoaa
‘ . l,, ■: ■
SÌTTIMAMAI.E
75,,--SemMtM U
La copia Lire TRE
’Me faire de cette éducation chrêtienn/è, comme ô’est si souvent le cas, une corvée ou
tout au moins une formalité. . • /
Gardons-nous de la réduire à/un travail
soit de mémorisation-, soit de réfaction et dé
copie, obtenant ainsi les résultats opposés à
ceux que nous poursuivons. /
Parents chrétiens, l’enseignement caté
Il I ■
-chétique répopd à ce que vous pouvez attendre de plus sûr pour préparer vos enfants
la vie, de la terre et du ciel ; il mérite donc
d’être, dans,vos pensées, dans vos conversations, dans vos prières, l’objet Me votre
gratitude confiante et de votre inlassable in1, térôt.
ALB. R.
Í |SSS
e il
1^ A T A^ O L A
governo! della Chiesa
Ho letto con inierésse l’articolo di Gustavo Ribet sui « Rapporti fra la Chièsa ed il
Popolo Valdese », comparso nell’Eco del 28
settembre, ed ip proposito ritengo opportuno
fare una precisazione.
, : L’argomento meriterebbe invero un esame
approfondito, ma lo spazio non lo consente,
per cui mi soffermerò solo stì ài-ttìia -questione pregiudiziale, il cui chiarimento è neces■1 sario,,se.si vuole impostare nel mòdo dovuto
quel complesso di problemi cl^ ramico Ribet
, prospetta. Occorre precisare quale è la posizione della Tavola in seno al reggimento,
della Chiesa Valdese e di quale portata è la
azione che essa può svolgére ar tutela della
vita religiosa e delle esigenze sociali ed e' conomiche che le popolazioni valdesi sentono
come derivazione del loro essere Chiesa e
soltanto Chiesa. A
Si vuqie da alcuni affermare che la Tavola
- è «Tesecutivo del Sinodó », o p h governo
della Chiesa », dovè il Sinodo''TO' sartie il
; ,^^Paflamento )i. Queste fesprcsSioSL-SEBiQ:, patte-parimenti improprie perchè ài fondano su
analogie col mondo politico e rischiano di
far fraintendere il vero significato che nelle'
nostre Cdstituzioni ecclesiastiche, al pari che.
nella realtà dei fatti, hanno il Sinodo e la
Tavola. ,
» 'I
Fin da quando la Chiesa Valdese ha sentito il bisogno di coordinare la sua legislazione sono stati adeguatamenté precisati i
rappo.rti, i poteri e la natura del Sinodo e
della Tavola. 'Còsi Tart; 25 dei Regolamenti
del 1828, dice appropriatamente : «Les EgHses des Vallées soni régies par un Synode »‘
e Tart. 41 ^precisa: '«La Table qui représente le Synode, pendant que celui-ci n’est
pas assemblé, est chargéè de Texécution dès
régleraents synodapx». Nella Costituzione
del 1855 si legge all’art. 5 che la Chiesà
Valdese si governa per mezzo di corpi costituiti che sorto : « Le assemblee generali di
parrocchia, i Concistori, il Sinodo e la Tavola » ; e alTart. 20: La Tavola, nel seno
della Chiesa Valdese, è l’autorità rappresentativa ed amministrativa di questa Chiesa,
nelTintervallo dei Sinodi, e come tale fóercita tutte le attribuzioni inerenti a questa
doppia carica ». ’
La Costituzione del 19 Hi (dichiara all’art.
4 che la Chièsa he] suo insieme è retta dal
Sinodo, la Tavola, la C.l.O.V. e le altre
Commissioni Sinodali. L’art. 17 definisce il
Sinodo : «L’Assemblea legislativa della Chiesa », e l’art. 22 circa la natura ed li poteri della Tavola riproduce quasi testualmente Tart.
20 del 1855. Da ultimo la Costituzione dèi
1929 alTart. 6 definisce il Sinodo: «La suprema autorità della Chiesa Valdese e laddove tratta deiramministrazione della Chiesa,
richiama con la dizione degli art. 8, 9,' 10,
l’attenzione sul fatto che tutti gli organi amministrativi derivano la loro autorità dal Si*nodo. -La Tavola inVece (art. 8) è « l’ente
morale ohe possiede legalmente il patrimonio
della Chiesa, lo amministra... e rappresenta
la Chiesa ». In modo del tutto simile si esprime Tart. 1 dello Statuto della Tavola del 1929,
Per brevità ho citato solo le Costituzioni
più rilevanti, nia daU’esame di-queste dispo- •
sizioni si può stabilire che la Chiesa Valdese è retta dal Sinodo (1828) sua suprema _
autorità (1929) mentre la Tavola è Tautorità amministrativa e rappresentativa (1855)
che possiede il patrimonio ecclesiastico (192.9)
che è incaricata di dare esecuzione ai regolamenti sinodali (1828-1855). Essa rappre'senta il Sinodo negli intervalli sinodali (18281855) ma nel contem{JO la Chiesa (1929). So^ lo la, Costituzione del 1914 definisce il Si- ,
nodo in modo unilaterale come « l’assemblea t
legislativa della Chi^», ma con la Coeti
|v-, turione del 1929 si è segnato un passo verso
la ripresa degli antichi valori fondamentali.
Appare quindi chiaro che il Sinodo, che
regge la Chiesa, non è un parlamento, ancorché for,malmente possa sembrare assu.„merne la veste.E’ invece la massima autorità terrena della Chiesa. Esso detiene il potére dottrinario, costituente, legislativo, disciplinare, giudiziario della Chiesa e ne ha la
rappresentanza : in una parola ne esercita
pienamente il governo, ma non la sovranità,
che appartiene invece al suo unico Capo :
p.jC'esù cristo. Il Sinodo è perciò governo colr legiale, rappresentativo, responsabile di fron!■* teii’al Capo della Chiesa. Questa la figura del
4 Smodo in uh# Chiesa ordinata con sistema
i, presbiteriano, cioè secondo i principi .neotey stamehtari. La voce dello Spirito, sotto TauLtorità del quale la Chiesa è posta, si manifesta e sj esprime nel Sinodo non propriai-, mente n^ila maggioranza, ma nel suo insleme, nella accettazione cioè da parte di tutti
^deljg_.J^l.qi?tà §inqdale^BÌsu|fantq da, :tyit;deE-.,
berazibrie. La favola quindi non ’fuò essere
il « governo )), ohe la contraddizione non consentirebbe, ma neppure un semplice strumento esecutivo»del Sinodo.
La Tavola come istituto promana dal Sinodo, non è semplicemente eletta dal Sinodo, come le Commissioni sinodali a cui è pur
dentandata und parte delTamministra^ione.
La Tavola è « TAmministrazione della Chiesa», e la «Rappresentanza del Sinodo».
L’amministrazione affidata alla Tavola non
è soltanto finanziaria, ma organizzativa, del
lavoro spirituale, di iutto quel complesso di
Ifttività assistenzi^i, culturali, ecc., che la
Chiesa svolge secondo Tindirizzo generale
del Sinodo ed i mandati da questo dati alla
Tavola. L’opera di tutte le Commissioni sinodali infatti, anche se amministrativamente indipendenti, è sottoposta alla sorveglianza della Tavola'(C.'V. 1929, art. 10).
La Tavola rappresenta il Sinodo in quanto essa, per la sua particolare origine ne segna la continuità di azione negli- intervalli
delle sue sessioni. Non bisogna infatti dimenticare ohe la Tavola promana dal Sinodo, cioè
è sorta sviluppandosi dal suo Seggio origi-,
nario. Essa si è valorizzata come ente a sè
appunto come rlecessario proseguimento di
funzioni di amministrazione e di rappresentanza negli intervalli tra un Sinodo e l’altro’.
E’ a questo titolo che possiede i beni della
Chiesa. Solo nel 1848 "il Sinodo, cosciente
della figura ohe nel corso dei secoli (dal 1564)
la Tavola era venuta assumendò, si è costituito un nuovo Seggio separato dalla Tavola,
munito di tutta la sua autorità e della rappre, sentaiiza interna di esso. E come il Seggio
rappreseniÌ^ Tintierò Sinodo quando questo è
radunato, cosi la Tavola per la sua origine
conserva la rappresentanza del $jnodo nella
carenza delTasseimblea stessa. Anche per questo aspetto la Tavola si differenzia dalle Com-missiorii sinodali che pur elette dal Sinodo
non Ip rappresentano.
Questa duplice qualità della Tavola fa sì
che la sua natura ed i suoi poteri, siano ben
diversi da quelli di un governo politico di un
qualsiasi Stato, e nel tempo stesso tnaggiori
di quelli di un semplice organo esecutivo
del Sinodo.
Si potrebbe rilevare che tra amministrazione e governo molti sono i pgnti di contatto,
e ne convengo; ma l’essenziale che manca
ad una amministrazione nei ccmfrtMiti di* un
governo è la facoltà di dare ùn. orientamento
politico generale alla propria azione, dì determinare i’principi conduttori, ciò che costituisce propriamente un « potere ». Questo
potere nell’ordinamento ecclesiastico valdese
è riposto nel Sinodo, nè la Tavola lo può detenere in veste della sua rappresentanza. Se
lo detenesse, essa e non il Sinodo sarebbe la
« suprema autorità della Chiesa » e la figura
del presidente del Sinodo accanto a quella
del Moderatore costituirebbe ùn inutile du- **
plicato. Il potere ohe la Tavola ha per coordF .
nare la sua molteplice attività le deriva ,
volontà sinodale ed è limitato ai mandati ri*-' ^ .
'cevuti dal Sinodo. - 'V'4
Quale è allora il valoiqe d^Tenuii||^àto delTart. 8 della Costituzione! del l'929 aie dice :
«La Tavola rappresenta la Chiesa»? L’e* spressione, inserita .j.n un inciso, non è una
affermazione di prinpipio, ed è indubbiamente
impropria. Essa non assegna alla ' favola la
«rappresentanza», ma la «rappresenta?ione )) della Chiesa. Più propriamente si esprimeva la vecchia regolamentazione del 1828
dicendo: .«La Table représente le Synode»,
e qui si'tratta di vera rappresentanza.
Riassumendo si può affermare che il governo della Chiesa risiede nella sua suprenu
autorità,: il Sinodp. 'La favola dispone di tutta l’amministrazione e delTautorità che. ne
consegue. Essa rappresenta il Sinodo ed
agendo i||funzione di questa sua doppia veste, si può anche dire che è la rappresentazione della Chiesa, in quanto nella carenza
del. Snodo detiene, tutta l’autorità da quello
delegatale, ma non tutta T autorità della
ff Da questa disamina si deve concludere
che l’esame dei problemi j^^^rattere economico e sociale summenzÌG|ati} rientrano nella competenza della Ásseiritífea sinodale. Ciò
della volontà sinodale risultante da una deli
T)“'pi^cBè qaéétì 'prbbÉftii' ècbhotìiicif so^
’ ciali, ecc., hanno la loro radice ultima — ne
sìa © riieno cosciente la massa — appunto
nell’ordine dei valóri spirituali del popolò
valdese nel suo porsi come Chiesa;
2) perchè i princìpi orientatori deUa condotta della Chiesa, l’azione animatrice della
sua opera, e -4 diciamolo pure ^— Tindirizzo politico della vita religiosa valdese, è il
Sinodo ohe lo dà, come lo ha sempre dato
nel passato. Attualmente la Tavola non se
ne può occupare in proprio, non può assumerne Tiniziativa. Ed è giusto che sia-cosi
costituzionalmente parlando. La favola che
ha mandato ad agire in materia ecclesiastica,
a.ssistenziale, ospitalicia, culturale, scolastica, che un tempo era investita di mandati
m'iitari, politici e diplomatici, avverte oggi,
nella sua particolàre sensibilità giuridica,
che il mandato nel campo economico, sociale, politico non le è stato affidato. Tutti i
problemi economici e sociali che conseguono
alia natura religiosa delle nostre comunità,
a cui l’amico Ribet allude, necessitano quindi di una chiarificazione e di un indirizzo
da parte dèi Sinodo,
Da che parte devo pervenire al Sinodo lo
stimolo ad occuparsi di questo importante
aspetto della nostra vita spiritual© alle Valli? Gli istituti Cyì soho, ed appropriàtì. La
Chiesa è retta da Concistori, Assemblee, -Té»
volà e Sinodo, ci ammoniscono concordemente le nostre antiche e nuove Costituzioni, e
questa è la via da seguire. 1 (Jkaicistori delle Valli affrontino quésti argomenti, li trattino a fondo, ne valutino le finalità, li in-'
quadrino nelle necessità di vita spirituale
delle comunità, lie investano le Assemblee
di Chiesa pe? una valutazione più estesa.
Queste ne daranno maiKlato ai loro delegati
al Sinodo, i quali sono i legittimi rappresentanti delle comunità stesse in seno alla su’ prema autorità dellg-Chiesa, Questi delegati hanno if diritto e conteitiporaneameme il
dovere di esporre in modo completo tutte le
necessità economiche, culturali, sociali, scolastiche, ecc., che le lóro comunità avvèrio-.
no e che possono avere un riferimento 'Con
la situazione religiosa. *
Chiarita così la questione, • posta in evidenza la competenza ed i poteri degli o'ganì
• Giorgio Peyrot.
mo Sinodo e prepararvisi.
ecclesiastici secondo i dettami del loro órdinamento, non resta «he attender* il proMi-,
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Il resoconto della mia chiacchierata sulle
(fChiese Evangeliche dal Co'ncordato alla
liberazione » contiene una frase, che non
vorrei fosse male interpretata: come se, per
esempio, io avessi detto che,*il fascismo fu
molto tollerante verso la Chie^ Valdese e
alcune altre, e che se non lo è ^tato per altre organizzazioni, come l’Esercito della
salvezza e il «Vloviihento Pentecostale, vi
siano state per questo delle buone ragioni.
So bene che queste interpretazioni non erano nell'intenzione deH’articolista, ma
qualche lettore potrebbe interpretarle in tal
senso.
Ora, io mi liinitai ad osservare, che la
profonda disparità fra il trattamento inflitto
ai Salutisti e ài Pentecostali, che furono
soppressi, incarcerati e perseguitati, e quello, non certo grazioso, ma più tollerabile,
j latto alle altre chiese, che nonostante tutti
gli scogli della guerra riuscirono , a tirare
avanti alla meno peggio, ebbe un precedente nella situazione legale degli uni e
degl] altri, poich^iquei due movimenti si
videro, rifiutata P« ammissione », che venne
invece concessa alle altre chiese; cosicché, ^
mentre queste erano al riparo di precise
disposizioni legali, per quanto poco liberali
e* sovente esose, quei due movimenti, sopratutto quello salutista, furona ridotti, in sostanza, all’esistenza precaria concessa dai
regolamenti • di polizia. E ne ricavavo la
conclusione, importante per una valutazione storica della legge, che dunque questa
non era stata soltanto iina regolamentazione ed un freno, • ma era anche stata, in
qualche misura, una tutela per le Chiese
che poterono goderne.
Questa osservazione, che mi sembra 'ovvia, si presta ad un’altra consiBerazione,
di notevole gravità, e che merita di easere
fatta qui, poiché dà a queste linee un interesse maggiore di quello di una semplice
i*ettiflca. Questa disparità di trattamento
dimostra una volta di più la verità deli’idea
che abbiamo sostenuta da anni, nelle giornate teologiche/^ Ciabas e, in Sinodo, e che
è statà espressi (<^che in solenni ordini del
giorno esprimeAíf il pensieru ulflciale della
Chiesa _ Valdese: ' 1 affermazione che ogni >
forma di privilegio, in materia di libertà religiosa, si traduce subito, senz’altro, in
qualche forma di sopruso e di ingiustizi4.
IVori è soltanto la maestosa posizione di pri
vilegio concessa dai Patti Làteranerisi alia
Chfe&a Romana, che ha un evidente corrispettivo di inferiorità morale e giuridica
per le altre chiese: persino-il minuscolo
priviki^io costituito della legge sui culti
ammessi, ha immediatamente creato, nel
piccolo mondo delie denominazioni evangeliche, u^a disparità antipatica e pericolosa, risolvendosi in danno per quelle minoranze, ch,^ non poteronoi assicurarsene il
pieno godimento. La stessa legge, che rendeva più siV'ura la vita dei « culti ammessi» ebbe imi;riediàtamente l’effetto di rendere più difficiló, la vita di quelle altre comunità; poiché è , evidente, che non essendo
<f ammes.se », giudicate pienamente suscettibili di esserlo, dovessero apparire
senz’altro come p’^ù sospette, ed essere esposte con la massima facilità ad una soppressione vera e propria, non appena le
circostanze esterne della politica fascista
{l’avventura etiopica, per i Pentecostali, e
la guerra, per i Salqtisti) ne'offrirono il
destro.
E questo dimostra, nt^i stanchiamoci mai
di ripeterlo, quanto è pericolosa l’idea di una
libertà concessa caso .per caso come privilegio, e quale triste surrogato sia della semplice, chiara, inequivocabilè' dichiarazione
della libertà di coscienza per tutti. Noi ere-*
diamo, che la Chiesa Valdese deve impegnarsi con tutta l’anima, anche se/le sue
forze sul pianb politico siano estremiimente
esigue, per, ottenere che una verá e franca
dichiarazione della libertà di coscià^nza venga a sosvifuire, tutte queste congerie ,di trattati, concordati, ammissioni, leggi, 'leggine
e circolari più o meno riservate e le renda
inutili una volta per sempre.
Giovanni MiegGe.
Luoghi cornimi
Il n. 14 de L'illustraiione d'Italia reca ujna
geniale risposta alla domanda di una lettrice intorno al Protestantesimo : risposta geniale in quanto riproduce il solito' trito motivo di ogni polemicuzza ignorante e sciocca; il ^llto Lutero bevitore di birra, I soliti loschi motivi della sua «crisi», il solito
tentativo di spiegare la Riforrha speculando
sulla supposta opposizione dello spirito
nordico alla limpidezza latina e via dicendo. Non varrebbe neppure Ja pena di rilevare tanto grottesco spiegamento di ignoranza, e si potrebbe semplicemente rimande L'Illustrazione d'Italia
glia più umile e scolastica cultura e intelli
genza storica; citandogli magari’^parole e
scritti di dotti cattolici che lo contraddicono
apertamente. ' i '
Ma l’occasione è forse buona per dire una
volta per tutte -come con questi sistemi'nou ■
si fa davvero molta strad’a,, nè nel'campii •
' della cultura, nè in quello dello ' spìritA nè\
in quello dell’intelligenza !,E finché ci sa-V
ranno dei giornali .che si rivolgono al grande '■
pubblico a compiacersi di certi luoghi conimi, finché i giornalisti contribuiranno
cori pirabilmente - a mantenere il popolo
nell’ignoranza, non si può - pretendere che
ci sia un avvenire molto brillante per il nostro paese. Per conto nostro non vogliamo
drammatizzare, ma ci sembra che una aimi- ’
le mentalità retriva sia molto responsabile
di certe tragedie storiche che oggi viviamo '
ancora. K ormai bisognerebbe aver capito
che se si vuole un popolo evoluto e cosciente bisogna smettere di propinargli nozioni
false, ipregiudiri stantii e sopratutto grossolani travisamenti della realtà.
N. G.
k,Sta per uscire II calendario per il 1946
ValliSNostr.9
che quest’annojcontiene 15 fogli riproducenli, la Cmaggioi; , parte, fotografie
di località delle valli danneggiate «
distrutte dalla furia nazi-fasclsta.
Prezzo di vendita L. 30
franco Torre Pellice
Inviare »ubito ordinazioni accompagnate dall’importo
liù L. O.Wperspesepostali per copia) MClusivamentea
Piar Luigi Pagliai ■ Terra pellica
versando ramjhontare sul suo
: C. C. Peálele n. 3>26833
Angrogna (Capoluogo)
Il signor Giovanni Bonjour, della Piantà,
già noto in tutta la valle per la sua caratteristica diritta figura militaresca, è deceduto in seguito ad una crisi di cuore. Nato
a Bobbio oltre 80 anni or sono, s’arrUolò da
giovane nell’arma dei carabinieri raggii^ngendovi il grado di maresciallo maggiore ed
anche la promozione al grado di ufficiale.
Ritiratosi dal servizio per ragioni di famiglia e dopo varie altre attività si ridusse ad
Angrogna doye pre.se ancora parte attiva
alla .vita pubblica come assessore e podestà
rendendo notevoli servizi al pae^e.
In questi ultimi anni il declinar delle for,
ze lo costrinse a vita strettamente privata,
ma tanto più si rivolsero i suoi pensieri
verso la fine terrena e .verso l’incontro col
suo Dio.
Egli era pronto a partire e .se n’è andato
in pace, lasciando un esèmpio di .vigilanza
e di fedeltà al proprio dovere.
Alla signora xMargherita Bonjour, che"con
tmita devozione l’ha circondijto fino aH’ultimo, rinnoviamo .respressione di cordoglio
e di simpatia di tutta la popolazione di Angrogria. ,
Angrogiia (iarra)
La sera del 2t) novembre nel corso della
riunione quartierale’del Serre, veniva pósto il segno del Patto sul bambino Brache
Silvio Edoardo di Marco ed Alina. Il Si-.
gnore benedisa questo tenero agnello della
Sua greggia.
— Il 29 novembre un numeroso corteo funebre accompagnava alla sua ultima dimora terrena la spoglia mortale delia nostra
sorella Suscita Roman naia Monaslicr, deceduta in'seguito ad improvviéo malore alla
Ruà d’ayal, all’età di anni 60. Invochiamo
.su coloro che piangono la consolazióne del
e. a.
C om o
»
Ha avuto luogo, scrive II Popolo Comasco N. 177, nel Tempio Valdese, una conferenza sul tema: «Oltre la morte», presentata da Carlo Liipp. Egli l\a prospettato,
come la credenza nella sopravvivenza deh
l’aniina dopo là morte, con relativi premi e .
castighi, affermata da tutte le religioni storiche, non è la soluzione della sete di eternità del cuore umano. Cotesta credenza, è
un pigro evadere dalla sostanza del problema, che è di ordine spirituale. La morte non
è il puro dissolversi del corpo, colla liberazione di un’anima, ma è un elemento di dissoluzione morale, che intacca tutto l’essere
e che ha la sua origine e sede, neH’anima.
L anima è malata di tisi mortale, perchè
egocentrica e straniata dal bene eterno. La
soluzione del problema, sta nella trasformazione delTanima.
Ma la soluzione integrale del problema è
prospettata da Cristo, il quale, rivelando
l’essenza della vita, essere Dio àlnore irati- /
nito, trasforma ogni atto di vita, compresi
Il dolore e la^ morte, in stnimenti di glorificazione della carità eterna.
Supera la morte, non chi la nega fuggendola, ma chi la interpreta. r’ ,
NI lano
Dal mese di maggio .scorso vengono celebrati. nel nostro tempio culti per militari alleati in lingua inglese, e presieduti dai
cappellani che fanno parte degli eserciti alleati. Questi cplti han luogo la domenica
mattina alle ore 11 (è per questa ragione che
il nostro culto ha luogo , alle ore 9.45), la
domenica sera alle ore 19 ed il mercoledì
sera, nella saletta di piazza Missori, alle
ore 19.30. Abbiamo avuto occasjoné d’incontrare moltissimi pastori e militari alleati,
appartenenti a denominazioni diverse, ñon
pochi dei quali già conoscevano l4 Chiesa
Valdese e l’opera che essa compie In Italia. |
VqIc!«
Essi sono stati e sono larghi di cortesie verso' la nostra chiesa.
Gli alleati. hanno provveduto a sostituire
i fogli di legno compensato che avevano
preso il posto (ielle belle vetrate del nostro
. tempio, con vetri. Inoltre avendcT bisogno di'
illuminare la chiesa per i loro „culti serali.
Hanno fatto rimettere in efficienza rimpianto di luce elettrica ridotto, col tempo, in cattivo stato. E provvederanno anche; durante
il prossimo inverno, a riscaldare convenientemente il tempio, cosa a cui non eravamo
più avvezzi da alcuni anni.
’ (L'Araldo).
Torre Pellice
E’ .stato aniministrato il battesimo a Nicla, a Fernanda e a Walter Costantino di
Ettore e di Giulia Planchón. Il Signore benedica questi bambini ed i loro genitori.
— Si sono uniti in matrimonio il signor
Pietro Bassanese e la rig.na Maurino Margherita. Rinnoviamo agli sposi l’augvirio di
molte benedizioni nel'Signore.
— Il signor e la. signora Geymet Enrico e
Paolina, della Ciàpera, hanno celebrato le
loro nozze d'oro. Partecipiamo di tutto cuore alla gioia della famiglia ricoilo.scente per
tutte le benedizioni ricevute da Di(f!
%
La sera del 2 dicembre, alle 20.30, neil^,^
consueta sala dell’Arilo, il prof. Attilio JaÌ-*^
la ha tenuto la second,a conferenza della ^erie promossa dai professori del Collegio, pàr-*
dando' della Chiesa in Finlandia, cKirante la
guerra. Dopo avere ricordato Je origini del
cristianesiijio finlandese, ed avere indicato
le ragioni per cui la Chiesa è stata sempre
strettamente unita alla pbpolazione finlandese nella sua resistenza contro i tentativi
egemonici dei suoi vicini, il conferenziere ha
tratteggiato, sulla scorta di pubblicazioni recenti, l’atteggiamento della Chiesa evangeli
ca finlandese durante le due guerre e le loro
alternate vicende di vittorie esaltanti e di
paci gravose. Ma nonostante lo sforzo e le
istiuzioni di due guerre, malgrado le pcr
P nfuKfd'alto •
Finlandia è in energica ripresa, e la Chiesa
1 accompagna come sempre .nell?a sua nuova'
ascesa, manifestando un interesse ed una
comprensione nuovi per Porientamento sociale che li paese sta prendendo sotto l’influenza russa, ed una accentuata tendenza a
largamente l’elemento laico dei suoi organi direttivi. Là
conferenza, ricca di informazioni e detta con
ore 1 simpatia ha attiraj;o il vivo consen^ presenti^ che riempivano la sala. La
prossima conferenza sarà tenuta il 16 c m
«Jal prof. Armand Hugon, sul tema: „La
orvegia durante la guerra e l’occupazione».
Villasecca
Nella .scuola di Bovile, il 18 novembre sono
-Stati battezzati dal pastore Medie i bambini
Gerire Aldo di Armando e Peyroné] Enrichetta e Gerire Rosalba di Levi e di Peyrot
m’ÌTi invochiamo su'questi bambini la benedizione del Signore.
Due nuovi focolari si sono recentemente formati nella parrocchia col matrimonio
(li Peyrot Emilio, presidente dell’Unione
Giovanile, e Plavan, Ines, di Lusema San
Giovanni, e con (juello di Bounous Ferdinando e Peyronel Irene. Agli sposi rinnoviamo i nostri cristiani auguri.
Un lungo mesto corteo di parenti ed
amici, martedì 27 novembre accompagnava
al cimitero del Reynaiid le spoglie niortali
della nostra sorella Vinay Maria Lidia nata
Tron, deceduta a Pomaretto dopo lunga e
penosa malattia sopportata con rassegnazione cristiana.
Alla famiglia Vinay, già gravemente sinistrata dalla guerra, provata poi dalla malattia e dal lutto, esprimiamo tutta la nostra aimiiatia.
«
?foh5tàflte)ino
'i't' ' Rivista Bimestrale
ila’le iorniule vecchie e ‘nuove che ven• guno proposte al travaglio di un’epoca di
intensa trasformazione, si pub parlare di
protestantesimo'? - \
ne eccilefaiastica, ma come forma di pensie10 e di vita: visione eristianalibera dal doir
mutismo e dall’autoritarismo,' fedfe àlieim
dalle nebulosità mistiche, coscienza critica, attivismo realistico, serietà' etica disci
Plma razionale, spirito di libertà^eonsX
nostro tempo ed inserirci in esso con
costituire un pmgfamina degno di attenzione.
1-1 rivista che inizia le sue pubblicazioni
non è una rivista nuova'
E Id continuazione di cmella eh» nnr+A
zione una tradi
zione di di nna tradi
politica . ’ pensiero, di fermezza.
ri pone, nella fe- '
Sola a- una finalità più
dà.^in e di informazione: porre
mi etìcf'^nnut'?^- protestante i problepresente; Esentaremomento
faTgÌriihf^r ^°^‘°"^SdoL "7 una
; 3|s,rierc.tsrs
La Rivista SI inizia con la) promessa di
una larga collaborazione evangelica, ed in
puma comunione di intenti con i Centri Evaugelici di Cultura di Roma, Milano Touiio. Non ha alcun carattere ufficiale éd
e apeità a tutti coloro che vorranno 'scrivere m essa, come è desiderosa di offrire a
tutti- uno strumeiùo di lavoro in uno .spirito
di ecumenicità. /
La ^reziqne della Rivista è' affidata ad
una Commissione, formata dai proff. Giovanni Miegge, Francesco Lo Bùe, Gino .Costabel, di Torre Pellice; ramministrazione
e assunta dal prof. Mario Ferrerò con
1 aiuto del dòtt. Leopoldo Bertolé; la'redazione fa capo a tre gruppi di collaboratori
a Roma, Milano, Torino.
PRfliTE'STANTESIMO inizia la sue pubblicazioni senza fondi nè sovvenzioni di Bprta. Essa fa assegnamento, per vivere, soltanto sulla cooperazione dei suoi’ lettori.
Tutti coloro che-desi^eraiio ricevere'la Rivi
sta sono pregati di abbcinarsi, inviando la
loro' quota con cortese sollecitudine aU’ammmistratre prof.. Mario Ferrerò Corso
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.j'esisteiiza. La tiratura • asi'A limitata m proporzione delle sottoscrizioni
ricevute.
■ Agli abbonati' in regola sarà inviato, in
dono il numero di gennaio 1944 della Rivista
L'Appello. Poiché ne sono sopravissute poche copie al .sequestro della Questura di Milano, esse saranno disti'ibuite fino a esaurimento della loro disponibilità soltanto ai
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- Annuale L. 240 - Sostenitore, 1000 - Estero, 500 - Un numero separato L. 40.
donei^Éori delie ìialli
INVITO^
Il 6 gennaio p-v. ricorre il centenario della
consacrazione del Tempio Valdese di Rorè.
Nel 1846 vi partecipò il Corpo Pastorale del. le Valli quasi al completo, oggi non lo potrà
perchè fanniversario cade di domenica. 1
Concistori delle Valli sono pertanto invitati
ad invlài'e a Rorà, per tale data, un loro
rappresentante. A coloro che preanhunce-ranno il loro arrivo entro il mese di dicembre, verrà offerta una modesta ospitalità.
Il Concistoro dì Borii
Doni in, memoria di SUOR EUGENIA TOURN
- Per la Casa delle Diaconesse : ReVel Roberto, L. 500 - La cognata Maria 'ITon Geymonat, 100 -1 nipoti Luisa e.Aldo Toum, 100.
- Buor Italia, 50 - Suor Margherita Jourdan,
oO - Suor Luisa, 50, - Fuhrmann càv. avv.
Aldo, 500 - Paschetto Carlo e Albina, 400
Emrna Cougn ved. Paschetto, 50 - Ida Alba
rin, 30
La moglie, i nipoti e congiunti dcH’ex Maresciallo Maggiore dei RE. CC.
Bonjour cjv. Giovìnni
nell impossibiliid di farlo personalmenie ringraziano quanti intervennero al funerale e
in vari altri modi presero parìe al loro dolore.
Angrogna, 28 novembre 1945.
La faniiglia BOUNOUS l'tngr^azia di cuori
re ‘quanti si sono uniti al suo dolore per la
immatura perdita del caro '
GUIDO
In special modo ringrazia U pastore sigriorh. Rivolra, t dottori E. Gardiol P. Scarognina e N. Facci otti, il personale dell'O
spedaii Mauriziano ed i compagni di lavoro
■ Luserna San Giovanni, 1° dicembre 1945.'
ALBERTO RIC^A, Direttore
Lino Tif>o Arti Grafichk - Torre Pkxics '
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