1
®Pte-courant avec la Poste
‘ D’ABONMBMKMT par an
... » 6
I ji3?8ne, Autriche-Hongrie,
I .iSWgique, Brésil, Danemark,
ptp., Hollande, Suède,
Be, etc,, si on prend un
Wlemeni postal Fr. 3
jjT^ebopne;
d’Administration ;
les Pasteurs ; et i
Alpina à Torre Pellice.
i ...^naement part lu 1. Janvier
¿¿ietae pav» d'avance.
Année XXII. N. 37
10 Septembre 1896a
Numéros séparés demandés avant
le tirage^ 10 centimes chacun
Annonces: SO centimes par ligne
pour une seule fois — 15 centimes de 2 à 5 fois et 10 centimee pour 6 fols et au dessus
S'adresser pour la Bédsetloii et
pour r AdminlBtretion à M.
Jean Jalla, prof., Torre Peiiice*
Tout cbangêment d'adresse coûte
15 Centimes, sauf ceux du commencement de raiméo.
- ÉCHO DES VALLÉm VAUDOÏSES ,
È Paraissant ciiaque Jeudi
> ssrei iémoins. Aot. 1,8. Suivant là vérité avec la charité. Hpli, IV, 15. Que ton règne vienne. Xalth. VI, 10
S O m m R I r «1
te 1896'f-j Chronique Vaudoise _
¡A Correspondance — Pourquoi 'Cette
i.ttiarche rétrograde Ì — Société d'hjs
toire vaudoisp — Société d’utilité pu’ l'blique — NoiÎt*.eîles Religieuses —
kj W wuvragesi peçutf 4* .Vatidois de MarPi'iSeille iqtyis,, "
DE 1896
Îd'A 2 h. a lieu dans le temple de
Tour le beau service de con
l^fatipn du candidat M. Philippe
|„^lgo,' Nous donnons volontiers, do
même ^e l’auteur, un ré|'3^é,de la prédication de M. Josué
• ^^ isur ce texte’' de 1 Timothée
*'IB: Garde la foi et-une bonne
ce.
Tg%e's çopditions indispensables rele service' de Christ
la foi et la bonne conscience.
Ca foi qui n’êst pas seuleraeceplation des vérités de
g|*^ângile mais une force divine qui
le cœur 'et la vie pour leur
g,.:roeij' une direction nouvelle et
^ lèste; la; foi .qui est une certitude.
Parfi
Site de ¡Dieu, de sa vérité, de
J« salut et qui est sûre dn.triomla vérité, et du bien dansj
iiûanité. , ,,
I. 2“J Pour que la foi conserve toute
sa force il faut qu’elle soit unie à
une bonne conscience. Là sincérité
des convictions de la foi et leur bonne'
influence sur la vie ne suffisent pas
à donner une bonne conscience. Pour
qu’elle soit sans reproche il faut
que le chrétien s’applique de toutes
■ ses forces à une conduite, vrai
intègre et ^idcère ; ,q,u’il^; soft irréprochable non seulement, aux jeux
des hommes mais en présence ^'de
Dieu lui-même. Telle est la condition indispensable pour avoir [»art
à la vie de Christ pour être rendu
participant,de ?a joie, de sa force
et de sa puissance. .
^ Au sortir du temple, les membres
jdu Synode se rendent à la Maison
.(Vaudoise où le bureau provisoire,
sous la présidence de M. Tiirino,
procède à la vérification des mandait.?.' ’ ,l' <:
Ensuite l’Assemblée, constituée de
IH membres avec voix délibérative
et avec voix consultive, passe à l’élection du Bureau définitif, comme
. suit.;, '
Président \ M, P. Geymonat Û. D,
I ^ F. Président: M. E, Bonnet
Secrétaires: M.rs Griraud, Léger,
Giampiccoli , ,
. Assessors; M.rs'^Cofsani et Hamilton. ,
la:
2
y/"
— 290 —
La commission des Propositions
se compose de M. M. W. Meille,
C. A. Troll, pror. Bosio, Filippini,
iiliani.
■
y‘i
1" Séance de Mardi 8 Septembre,
Après le culte, le Synode entend
la lecture, laite par M, C. A. Tron,
du contre-rapport sur la gestion du
Comité d’Evangélisation. A côté de
quelques critiques de délaij, la Commission examinatrice reconnaît que
notre Comité a déployé une grande
activité et que, grâce à la bénédiction divine, il a aussi obtenu plus
d’un succès. Un paragraphe ému
est consacré à l’infatigable Président
du Comité qui, depuis 25 ans, dirige celte œuvre, singulièrement
compliquée par des difficultés financières sans cesse renaissantes.
Le bilan actuel se monte à francs
393882,47.
Quelques recommandations du
contre-rapport sur un plus grand
usage à faire de la presse engagent
l'Assemblée dans un débat Irés^
intéressant, et auquel prennent part
de nombreux orateurs. L’idée d’un
journal évangélique quotidien est
abandonnée. On recommande par
contre de se servir de la presse
libérale, où et quand il sera plus
opportun, d’opuscules publiés à propos et de traités distribués avec
discernement, d’avis faisant'connaître
nos locaux, leur horaire et les sujets
qui y seront traités.
On propose quelques améliorations
au tíolletlino et surtout chacun est
exhorté à la collaboration.
D’autres orateurs recommandent
le choix des locaux, l’élude des
questions sociales qui préoccupent
la société contemporaine, un plus
grand esprit de sacrifice en vue
de participer en une plus grande
mesúre aux frais de [’œuvre qui
continue à être presqu’enlièrement
soutenue par des amis étrangers.
M. Weilzecker recommande les écoles et il lui est répondu que ce n'est
que le manque de fonds qui empô
che l’extension de cette branche êS'
sentielle de l’œuvre,
On en vient aux rappoils d#
diflérentes Eglises. M. H. Me®
rappelle les 35 ans passés par
D. Revel à Ivrée et souhaite à
digne évangéliste de longues anrié#
encore d’activité au service du 3®*'
gneur. — M. Mauriii regrette
la pénurie d’ouvriers ait fait abaOy
donner' l’mnvre de Cnnnfis nui ni'IÎÎ
donner l’œuvre de Cannes qui pi'Ç
mettait quelques fruits et ne cof '
rien.. Il voudrait qu’il y eût f .
ouvriers pour l’œuvre italienne
Nice, M. Prochet répond que
................... répond que
ces deux ouvriers l’un deviendrait
par la force des choses, le pasteiù'
de Nice. Or, le Comité n’envoye
des pasleurs mais des évangélislei*Ceux qui se limitent à s’occupe*’
des membres déjà admis à l’é^l|*®
ont donc tort. ’ ^î
M. B. Revel observe qu’il fM*'
unir en une seule les deux églises d®
CasUylione et Giiidizzolo, ainsi qp?
la conférence de district l’a déjp,
décidé. ■ y' i'"’" !' ^ i
2* Séance. '
Le Synode se rouvre à 2 h. par
lecture en eiiliqr du rapport de l’Egli®®
désigné parle sort, Sehiavi d'Abruz^*
église perséculée mais courageù^'
à laquelle M. Pons, de Gênes, pflf:
pose d’envoyer un message de sfW.
palhie et d’encouragement. M.
chet appelle celle congrégation 1|
joyau de notre œuvre d’évangéliS8|
tion. M, J, P. Pons élève une prièr|
au Seigneur à ce sujet. Le rapppi'i
de Naples réveille pour quelqnjj.
instants la discussion au sujet
projet que cette Eglise a comrneii^P .
à exécuter, de recueillir un <
pour parvenir à l’indépendance 'ft l
nanciére. M. Pnichet décrit sa visi|® ;j
à trois des Eglises qui ont j
plus troublées par les évènemen'^ ■■
de l’an dernier, Bari, Aioiioffl ® ^
Riesi. II les a trouvées fl(ori8sàflf®®’|
zélées et attachée.s à notre
Le Synode s’associe à l’orateur pf”
transmettre à M. Ronzoïie, à Ri'
3
291
Ì chaude parole d’encouragement
'^sns son oeuvre rendue plus épi•'fiUse par de faux frères. M. Promût. parle d’une demande de
p- H. Beux d’un 2® ouvrier pour
Argentine et dit qu’il s’oiïre
Sènéreusement à laisser son poste
nouveau venu pour aller fonder
k 2’
i ^ M., Rochat demande pour l’Insti^
Comündi la collaboration des
çl®lïses vaudoises qui y comptent
20° d’orphelins.
t, te Synode vote tes conclusions
' I® la Commission Examinatrice :
ili Le Synode exprime sa re[•onnais-sance au D' Prochel pour
sollicitude
és comme
soins infatigables, la sol
^■”'^;la fidélité qu’il a déployés
.^''ésidenl du Comité pendant un
- de siècle, et souhaile qu’il
Puisse encore pendant [ilpsieurs aii'
:4®ées consacrer ses forces au service
4^6 notre Dieu et de son Eglise.
2“) Le Synode exprime au Co*A^ité sa reconnaissance pour l’actiet le zèle qu’il a déployés dans
i./,pecomplissement de sa lâche.
’ s 'i3®) Le Synode, profondément
• t®.connaissant pour la manière dont
“ieu a pourvu aux besoins de l’œu: <Vre ^ d’Evangélisation, exprime sa
t'^Sratilude aux Eglises et aux amis
^rllui s’y sont intéressés, et spéeialef *fent à M. G. T. Morton.
Vr Après 20 m, de repos le Synode
®Utend le contre-rapport sur la ges‘lun de la Table, lu par M. Goïsson.
C. A. Tron lit le rapport de
Germain, désignée par le sort.
^ Asile des vieillards, Ips agrandis'^|®iïients qu’on projette d'y faire, et
lutte contre la corruption de la
Ipünessé sont les points qui arrêtent
^%1'tout rattenlion du Synode.
7' Ün des besoins les plus sentis
ÎUf la population de Prarustin, é’
]?Urse à de grandes distances de ses
2
. centres principaux, c’est la fonction de nouvelles „écoles. Il existe
K projet d’en avoir 2 grandes à S.
“urlhélemi et 2 à S. Second mais
la Commune et la paroisse ont besoin pour cela de l'aide de la Table
et du Comité.
3° séance (Mercredi matin).
Le Synode continue l'examen de
la gestion de la Table. A propos de
iMgfierol, M. Ribetli voudrait que
l’on s’occupât plus directement de
l’évangélisation des localités qui entourent les Vallées. Une discussion
intéres.sante s’engage à ce sujet.
Plusieurs orateurs voudraient qu’il
y eût un ouvrier avec résidence à
t’ignerol, particulièrement chargé
de celte œuvre. M. J. P. Pons rappelle qu’il faut tenir compte de
deux choses. La première c’est que
l’élément qui nous entoure est réfractaire, comme on a pu le constater toutes les fois qu'on a voulu
entreprendre d’évangéliser les environs des Vallées. L’autre élément
dont il faut tenir compte c’est nousmêmes. Si nous étiori.s, comme église
ét comme peuple, ce que nous devrions être, l’évangélisation se ferait
d’elle-même; mais nous n’évangéliserons jamais efficacement les environs des Vallées aussi longtemps
que nous ne nous distinguerons pas
de la population catholique.
Turin. M. le pasteur Peyrot remercie ses collègues des Vallées de
l’intérêt qu'ils ont continué à témoigner à l’institution des artigiançlU.
Il rappelle la crise par laquelle cet
institut a passé il y a deux ans,
quand l’administration a dû renvoyer une quinzaine d’élèves. À la
crise morale s’ajoutait la crise financière, qui obligea radministration à
élever le prix de la pension. La crise
est heureusement passée, la pension
a été de nouveau réduite à 45 fr.
par mois. « Nous serons heureux
de recevoir des élèves des Vallées,
mais nous voudrions qu’on ne nous
envoyât pas de mauvais sujets».—
M. Peyrot rappelle la perte que l’institut vient de faire par la mort' de
son directeur M. Ch. Gay et exprime sa plus vive sympathie à la
4
- 292
Më.
veuve, qui continue à consacrer ses
soins à nos jeunes élèves.
M- Peyrot parle ensuite de THópital Vaudois, qui est entièrement
soutenu par la paroisse de Turin,
quoique .les églises sœurs y envoient
bon nombre de malades. Il arrive
souvent que des malades des Vallées, venus à Turin dans l'espoir
d’être reçus dans les liôpitaùx de la
viile, Viennent frapper à notre porte.
M. Peyrot recomrhande au pasteur
'de né laisser partir les malades que
s’ils ont une place assurée, — M. le
D'' Rób. Prochet demande si l’hôpital vaudois de TuHn ne pourrait pas
consacrer ses soins surtout à ces
délaissés qui ne peuvent être reçus
ailleur.s, aux chroniques, et laisser
que les malades de thaladies communes se fassent soigner dans les
hôpitaux de la ville. — M. Peyrot
répond que rhôpital a été surtout
fondé pour les évangélirpies de Turin à quelque dénomination qu’ils
appartienriént. 1,9 question n’étant
pas .diréctement du ressort du Synode,. la discussion a’arr'ête là.
A l’article Considérations générales, M. Pons modérateur voudrait
que l’oti' arrivât à quelque décision
concrète siir la proportion de ce
que chaque paroisse devrait donner
chaqüé année pour les ditiéi'entes
caisses de rÉgiise, Le synode l'ait
des recommandations, les représentants des églises, quand ils parleiit
ici, font des promesse.s, mais dans
la pratique c’est à peine si l’on obtient un quart des sommes dematidëes. C’est ce qui est arrivé surtout
pour î® lycée de Colonia Valdense,
dont le déficit s’acciûil d’année en
année. Nous ne pouvons pas.continuer ainsi. C’est aussi l’avis de bien
d’autres orateurs qui pi'énrient la
.parole siir ce sujet, sans pouvoir
cépetldaiit trouver le moyen de sortir de cet état de choses.
Sur le paragraphe Rôle des mi
et se réjouit de revoir au milieUii^
nous M.’’ et M.me Louis Jalla, W
Coillard et M et M.me Weitzec^|*
redevenus tout-à-‘fait des nôtres.^
M. MilstoiV rappelle le départ àb ii0‘
Tr'e frère M. H. Vinay et se fait 1,*'
cho de notre sympathie envers '^,
famille affligée.
CHRONIQUE VAÜDOfSl
Th0‘
Nouveaux ingénieurs. MM. , ,
mas Jervis, du qpvant Direçt®Jl'
du Musée Industriel dé Turin, J
Charles Êoland, fils du pasteur J**
Parme, viennent de voir leurs’ ' "
lanfes éludes couronnées, à 1 ,
versité de Turin, par la laurea A’V^]
génieiir industriel.
À tous deux nos plus c
félicitations.
R JEAN. — La vente annuelle
faveur des Missions s’est tenue
Turins le,3 c. Après un cultéifl?Î
lébré par M- Coillard, récemmefl
arrivé, la vente ayarif été déclaj^^
ouverte, les bancs, joliment gar^L
d’objets de toute espèce, ont
assaillis par le nombreux p^ijblib,
était àccouru surtout de S,, Jeaâ;
de la Tour. Moins de 3 b. plus
de tous ces beaux préparatif^ il
restait plus rien que .1200
environ entre lés mains du Gbj
orgaiiisaletir. Ce beau ré.sultat
peut que les encourager à
dans cette voie et stimuler d’qp
églises à faire de même.
Dimanche 6 c:, à'8 h. do soiri^J
vaste temple de.S Bellonata, ifuî^®
tait rempli le matin au culte bl y
naire, se remplit^ de 'nou'veau''rf’b-'^
foule désireused’enténdi'e M. Coif||L
Ce vaillant missioutiaire,- qui’pFL
____A ..Aih
grâce de Dieu a traversé
sauf tant de dangers et-,Me
francés, rions a parié lôn’gtèmp^ “
nistres, M. J. Pons de Gênes envoie
■ J'ÀJ
sa chère mission du Zambèzé- M**
un salùt à'nos missionnaires qui
travaillent dans la lointaine Afrique,
G. Appia et W. Méille ont ajb
ijl¿
quelques ’ paroles'‘dictées par ,1
circonstarices.
\i-y
5
-»293“^
^ Les' personnes’qui s’intéressent
aux Missions pourront enteftdr-e M.
I 'Coillard Jeudi s. 10 <é, à 8 h., à‘
K l'Occasion de la consécration îdë M.
r ?A. iCoïsson, iJui aussi .destin^' au
'^Zatnhè'ïe.; d - '. >■'■ ■ ‘■•i "1 .l'i’':!! .
* ■ - --------------------M--,—-
CQRRE^PONpANÇ'E |
i
ii Còme,;leni. Set)te'mfctrei 1896/ [
■Cher Monsieur, i |
/ 'Un voilé de deuil viéril' de s’é-:
‘'tendii'e sur la 'Famille" *GàMnié''de;
'Lugano.-'A ,'lh’ suité 'd’tmé dourte
mais • (èrril)le’* maiaidié,-”leui^' cHêcé;
? /Gtiovàniiina 'EnHchéttA ji âgée dé
S quatre aria;' s’ëndé^rénit Samëdt,‘-29j
Août, dans lëslrfàsùlte'Jésus;'¡qù^élle
'.’"àirnait ‘ '''OKI.:: .u u;;!-. i
; , ’''Cfetlé doucé iaiovarmina ^piei'j’a-j
; vais''vue encoré; le dimanche’pce^
; cèdent, pleine de' ioî'ée etidé'die;
1 airec uée éxprèssîô'n'de'bonheur'qui
r Taisait rayonner tdUé'feésltraft'si''‘fu-j
mage de la shnté; dé la'fraîéhetii*
et de toutes les gTâdes rfe l’enfancei..;
tïélas,, elle n"est;plus! • *'
I’'■ « Elle a''été 'ébmme'‘<un :spnge|
' ' Elle a fleuri le'maliny‘èPS'es1:lfatiéè»i
r Elfe ' n’a‘ connu 'dé lé" vie q'ue' sa
•V ' pure auroré éP laissé derrière elle
bomme Uri'Sillon’ lumineu'x. Je' hï’ü:
'' 5 hié'â ' ceux qui 'rëmeréién't >IMeu'<dé
ï la 'leur avoir ’ donnée, i 'même ''pouf
[ un temps Si court.i" ' ""i '•>< "'M j
' ' ' Plèurerai‘lé'Sur'*é!ìé'’?''Ahtii'Cèrles
■' -''non'. Diéu. l'a retiréé dé 'dévahLlé
: 'mal et "l’a ’ misé’ S’I-abi'i de dal!Sétì^•'"flrancé et "de la éot‘rttplion;’1l '’y a
■‘du bonbeur à ' penser j’que'" «eUé
;’innocence n’a été fiélrië par''aucun
; "ëOüffle 'impur, Le "désir de oetlp
;; 'éhfent a d'ailiéur8iété’exàucé:'«éflè
;; ' parlait sans cesse'dés■ angës —r 'mé
''disait sa'mère ^de< son frérey qu’elle
voyait au milieu d’eux, et»qû'il'’lui
- tardait de connaître»)^ «^Mamari,
disait-elle peu de temps avant sâ
' mort, les anges optdls aussi besoin
dé se reposer? L■ 'i
■; C’est a la douleur (lés, pariénls
f. affligés que je pense, c'est avec euk
¥
que jeipleure en traçanL dlunê.;inain
' tremblante, ces lignes dictiéesi'pilr
l’alTectiol*. ils! ont tant JjeéOiivtdé !a
I■ isympalhié, der leurso;É‘èrles*;iet. sde
' léurlsi amis f (Leur' douleuriiest,-' àlést
vrai, toute pénélr^ ide Téhigrlalion
■ chrétienîirejiiit» anti toutiiprèBj/dl’èux,
I danànleailiépnéUve^^Gelui qui a dit ;
(i'LaisHezi viahir à moi les petits en
car le rovaurne de .Dieu est pour
céiii'Pl3éi6i»eii(btjS!|lifttes
les paroles de ^ consolation, d’espé' rauce, de résûfrêction et (le vie
' soi4ies"'de ik diiïücHé ’dMésttsiÈhrist
' làdoucisseiit lé«« cuji»p(iMfil’atai©rMime
let' sont fcummâi uncbaumé sup leurs
cœUiBsidéchirés, é Qü^kIu veiontéitie
'nDieu OSoitr. ffiiteyi imé disait Ip père,
otandisMqued sonmeoeuriiaei goqflaiti et
fiémteialt tprêtià isen lMqsur; èni ipn^'us^ce d'UipeikicerpueiJ .q'tiüi empcvlait
larttfdie joiîei d’«9pêi'aqcej«lni’am(3Ur;
H+fi hfiafis-ifuèloetlfl iCO®p(8i(a*tiamére ».
Il <1 C’est lavqci-îuç abalidutn-. sanstiixépsefVeo!ii|,uieiunies ‘jlauttis* oht')pu’‘,i)(iire
darls la. comndunicattem defleur deuil,
Ifaitf dan&iUriojoutMal iJocaliii» lu’EIiterndlodjàvaêbijdouiéâe, iJ’Eternebiïa
'fcèpriqe, 'ique(!iteF'i®!oi»jsdieiKli’Ëiteiwiel
soif béni »;>[) ,'l!)0'ixii| /oi kho! 'on
r (iMaiéiià icêlé «tehiireialiléét dedp-ttoi,
après elfe*;) i la ■ IsympaUnpiodes »ïûis
]■ 1 etl < -pièras' ih’uBtiellé ' i^S'Utlcpu )s
i'.isnrdnmjiépsn jdcïntv slé'iipei'indm :Éfi«u
|i<qüi ^ai|dilt(i«iiiC’esloitioi| Iq’eHbmoinqui
vuas««ms»ile> Elsaie: ily''|2,«'Jei'Vous
)pcm*oleraîi!Oii;imHtei une hnéVa ipdhaole
iseSt'enfautB »(iÎÎ8pi8)66',>il3i'? .<
*»;i Lai sépiilture'ia/dudifcuidiîiaianolie,
130 AoAt^ià;4 iheuWes dtaii’apréslmidi.
iLes I il^m(>ignBgës idt’afl'ectioni eli d’^sotimeun’iént- ipas: maixiué ànlaifamifle
Gql V! nôrtîh'>c©Hêgie)as«)CZ‘oqmJareux,
où leh ifeafboHqu«» ¡romai®^! figuiiaién t
en bon nombre, accampftgfliaitille
' 'cebeuailf qunidisparaissaitiixsiauiéi une
•'quanltiléi (ieiiEtellea'ilourohflesi l^s!'sënt> lefiitphnèl©s»,îpnoa€wi«éesi(ài;i la
I maison et sur le cimeliéretpatixi^ux
,| pasteurs allemands et par fç ppus',•! sighb APÎepdif;'uppi'ci^^^ ts
à) Jésus que Giovannina Galvuio. a
6
- 294
isu' igloi’iller' idarís! ¡sa courte mais
b^ile•':i
ni Que ìDieu Console tous les menitbres de la* farail-le i affligée; àbigne
idìeuxitoute ìaulreiiépreuve et dès
ngacda;dàns'’sa -üi...: ,¡¡’i:
, ■ uíli'oyez'-ínoi'/íicHer Mènsieui?,' v
Siili: irip K«!'!votre-'èien'jdévelué'tf-:'
-it't li.Kf í: íKmile Rivoir.
'ul ■ ,r -! li ||.! : ■ •
4^
fili
'■w í^.'>
^Poiirpohoiíl
• lip.O 1'
)!i (til l'i isi'i!, i'vi'H.r.iM'i 'I
■li)
'Ü<1
i.-.n\\l()VQyt,iN*] 34\ <iu !«. Témoin »y ,
'iifiiNoiiisiiisiomfaes trèsi heureuKiide
' voil* que l’woammenüeàs’apBrcevair
Ueileiètle- «riortôdde .reMLdh«tnent »i
<yi aifpàit beaucoSup î^iidire iiiir
t'ceiiRÎijBig naoisi comme : leniçorpCnidii
}oqrnBl me prmet /pas ide a’éiéndi*e,
i:nCiusi.ne lepoias>ique résupief en'i>eu
; de'imolslice; qadfxnoiils e« semble.:
i( vQinbiiïom^e >deS iéléves a idiminuéane swàit^de pas peut-êtré» par
>BÜiitai4eida grande émigration?; Si
,itoufe lesiiparentàiiufaident'fpas leurs
¿t^antsjiC’èstl quüb fut ¡uni temps où
> Virlstrudtldii .n'était: pasi réjiartie ¡siir
• un' lààâsi • terge ■ terrain, > :çe , qui * fai t
que tous les parents de > nos! jours
.i rterpeüvenldesaidttir. Ebmandeziaussi
¡aitfX enbeighàntpis’HsnOpt qioui'' tous
l’égalité -qu’ils! devraientiá4íoir.¡ Heu‘itèasemeUl iqu’ü-y ien'a quelqueSiuns
n qu* liKolrti (dJj'/Dfoû:'» Â^ent !i ique id’on
^ in/enfióte'lilUB: antaM d’admissions au
I i Gollégé? t iî’es t ÍI qu e ; r pan i leî > tem ps
passé biidhoîdomptiit' pas 'tant- .de
3ens;dànsi lesulivre» de raristoraratie
eilftj ¡l'oépií: eelieiidi Î augmentey il
iaatl'i tout) itáfii>reHqment I! qae les
i!jsantàlOns de¡«giisaiilu a dlminiuent,
■ aitiiàiique.'.lBSfsôttiièrs •« fëtrésa^ipour
ii'étreiu'ètnplacés- ipwiijlfâi.iipaletots et
'Ilefefiàiottinesi>II! /riilunm inii ¡vr ■
'ni!i Demandez ài 'vcp ittfiëup pamnts-.ee
;.qiùl miétaitide ^kLlTour. etid’aulííes
í:í céntm»vei»eora<jdaRs!'l¡e<tfnip&' dOileur
/i.jeUnessei''»i-imi'i ■-! u(¡- i'> iiit'.inifi
., ,cíoypns qu^if ,n’y a'aciiteÛêhiètti
‘aUcaiíé plkfnw íl¿ 'aé‘¿énré'qlíi''i>u1É^é'étre
■ t . lili' -N. di R.
t .-lii
-N.
On n’y rencontrait pas l’idole de
te mode qui remplace l’humble grisailla par 1a soie, et la modeste
cûtirure vaudoise par des jardins
suspendus. Passe tout cela, si au
moins le cœur du vaudois ne se fût
■pas enorgueilli. - ■
Vous en aviez encore quelques uns
de cés bouliers « ferrés», pourquoi
les envoyer après les ânes et paître
les chèvres? Pourquoi celte dilîé*
rence de l’un à , l’autre ? pourquoi
cas paroles de ..dédain de vos enfants divers les nôtres ? (}) « Un pan
moins d’égoïsme » oui, jnais de )a
part de qui? Y a-t-il quelque profesaeur quj.,3e,;Soit offert^,sacrifier
une heure par jour à enseigner gratuitement un élève dont les capacités
étaient moins fortes? Ou bien a-t-on
lentendu quelqu’un dire; tiens, prends
celte pièce et va t’acheter tel livre ?
Mais passons encore sur cela, ce
que noms ne pouvons tolérer c’est la
grande .iparlialilô dans les exa. mens d’avancement. Ce n’est pas
l’enseignant qui doit interroger l’é-l ■
lève, avec celte, ifaeulté> de pouvoir
l'interroger sr\r tel ppint facile ou
diflïcile suivant qu’il est riche ou
pauvre, ciladin ou campagnard, bien
vu OU' mal vu, ef faire ainsi que la
parole si soiuvent prononcée dans
le- coqranti de l’année, « ti.hoccierè»
,n’qie .que .trop,son accomplissement
par un pur caprice, (2). , . ,j ^
: Nous'omettons beaucoup de détajls par manque, d’espace, et en .
! terminant nous dirons aux personnes /,
de considération, peut être un peu .■
Vexées; ique. si nos paroles restent
inutiles, ce n’esl pas ce , qui nous
tracasse le plus; nous retenons pour
nous .cette loi de Dieu : Tu raanigeras-ton pain à la sueur de Ion
! visage et non ,i pas celui de ton'
,prochain. ,i ; .
\Deuwiex-éiudiants aux souliers ferrés■
j, (t) Nous ne pouvons arriver à savoir à
quels faite, actuels du moins, cette phr*^®
fait allusion,
(S) V. notes précédentes. ‘ >
l-l r -,-i. ■ ■ |:-,.l ... N. d.iR.
7
- 295
SOCIÉTÉ D’HISTOIRE VAUDOISE ‘
Le 7 Septembre, à 20 h., celle
Société tenait sa séance ariimeliei
Après le rapport du Bureau, l’Assemblée écoute les communications
intéressantes et impQrtanl,es que M,.
G. Appia ajpu tirer des,,Archives
d’Etat de Paris, Heureusement tout
n’est pas perdu pour les absents
puisque M. Appia dépose généreu-,
sement dans notre bibliothèque le
précieux fruit'de ses. études, (App,
prolongés).., ______,
La Société décerne le titre de M.
Honoraires à MM. Préger,' de' Muhïcb, Tollin de Magdebodrg, et Eel-’
1er de Mupster qui tous s'occupent
avec une rare • compétence de fjues- lions se rattachant à notre histoire.
Le Bureau [nésente aux membres
le nouveau Bulletin qui vient de
paraîire, • - r ■; ■;ü. ; ;'sîî
L’élection du Bureau* renvoyée au
lendemain, donne le résullatsuivant:
iio/. . .i 3S Totants
M. A. ViUay,ii Préliidenfe ■ 33
M. N. Tourn, V. Président 33
M; J. Màggiore, Caissier 33 •
M. J. Jalla, Secrétaire - 32 '
M. M. Costabel, Archiviste 31
■ ' ^ . ^ ■' . •
Vandoise d ’ Uiti-Pytliqua
• '5 - —•• i
Mardi soir a eu lieu rAssemblée
générale dp la Société Varidpise d’udlité pulilique. Le Comité provisoire, '
dans son rapport, constate le travail
fait pendant cettp prémiôrë année
d’existence de la» Sociétés Lé liomV*’e des membres fondateurs s'est?
élevé à 216. En y ajoutant ceux qui
sont inscrits pendant l’année coui'énte et quelques adhérents qui né
Sont pas encore régulièrement ins^
ccits, on arrive à un total de 300
Membres. C’est un^bon commenced^ent, observe le ’rapporL,.^,majs il.,.,
^este beaucoup à,faire pour.ique la:
société soit connue comme elle doit
l’être et prenne l’étendue qu’ollè dhiti
prendre soit aux 'Vallées' soit i'dan&î
les nolhbreuses eblotiies ivaudqises. :
Pour s^en convaincre il ¡suffit, d’ob- '
server que deux ¡paroisses>'n’y<80ntl'
past encore d'eprésentéeë du! tout et
six‘autifes ne le sont q(ie par uïïîOU '
deux raemtoeSit; :jI; c.i^KOîuî-i i;ii
-Lé rapport! passe em revùë . queli* i
?ues-unes des-œuvres aux^uellesde
îomïté ou (les .sections déi|a<eP06)i'
tuéea ont misria. maioi^ Graaes ià Ti-1
nitiatiye’de la SDciétéj grâoesisurtouilf;
à la générosité d’un de sesuWemi-c
bm lingépùetir
tiers importants, un de Rora,,.l’autre
du Villar,*b'fti*décîdè^^cl^ïMirelruire
çbaeun ,aa t;9plë. Qq s’p^| lapis^« oecupé de! la qpesiiou ^,lftfpnqt^ic|ljë^
iiiaië,;Sai>s.' PWv,oiii PMTO, aiFWlÇF^A,-,
?!(d> <t (Ht ail -iiir
, JL Asaem bléq i p*. hdppw, ! a,Yep,à,ugi
U nos modifti^ lion^ ,d^ j#tatl, l§ iWlftt i.
de statut „.présen té .ipaf ¡Ifi iPowiMés',
quantuu projet de.réglomont^ n ayauf,:
pas: le temps,,dé ie, discnler à-iipné» .
ellea ¡décidé qn ‘lut*hraiiriappi?!q.9^^ /
en^éiej tBes^aLp^nd^tepti
, 0nt ete .nopaïrtes .rnèfuifesjiiju,
■ iMÎλ'. fi :iii ;,ni'nn,ii‘.J 'i. ■ <;j.
, N. TÇqërn ■ profesitenr, p£eniaf.nti,, [
J. Vola avocat et J.,,,Wéil?é.çke.r|
pasteur, vice-présidenls; '
Em tleEynaïupégoCiant, secrélaire;
Jeati iGèiynré'^ émplbyétf besMA’irf
I C’àsse mblée a votA; la> |poi»p«BRior»*î :
f)ré.s9pt,ée par M.„le.p,i‘9|,.,|,. J, .Malar^,
d’après laqineJleHeid.nréàùjfîP^^
« de préparer une ejjposition poucu
r année ’4806,’ ctnflUajntiétite'van»
vefâhfi'é _dë|''héitê ' '
lé but déhCpnstatéri lé ,progrès;.;iàAL ,t
tériel',:raopak.et, mtelliectiiel;àu peupte ' ;
vaudais ’pendâhf ee-demi‘isidch5i'idBi ’
libei'té"«’;'-“-’’"
—i.kki:î 1 ic'
,_________
I Floretace, s i-A r QuèhjitesV datnesy: (
me m lires de la V. W. C. A , ¡ont'a
eu TexeeUentevidéeki'olïtdr au «eiL
d'u ne( fa mi li e: : pr oteètante ! u n e * i Sal le t
8
m
deî'lëclÜBè jpou'il .les ijdunes wAlsl-es é- '
iFnngérô^: qubiíaüraient' lrouvé .de
l’ooeupalion en iville, eiV’.qiualilé ¡ de :
boil«éB,!Îeifflmës de üban!)t)re,iOU peur
d’autres .servieesiieiicore.^Gette Salle.
sera àideudidiHpoaitièn ehaqiue.i Di.- ;
mancbe ri.^-2 à 6. heui-e». pom p au,
rez-da-chaussée du No- .SOd.dei \^ial
Fateaza. Une idame. de i laí' ^ijte Sé“
ciété Bëita présente à chaque léutiiouj ^.
'■iilieniaglié; 'D’asisembiée géné- ’
rate de lai SécièléiGustave-Adolphe'¡
aàfra' lieu*^‘'dúi44‘att'i’18 Septembre;';
à-'DfeSSAUV*'’.^ ’di lili !; '. 'i-.: .,1
-■VIUI!. .^!t!-d. .-.yru: / '.ü t
1™ (jijinzaiip. d’Oetobre d’après l’hO"
raire qui sera affiché dans les vestibules des deux établissements.
Les leçùtis commenceront le 16
Octobre;
La Tour, lé 2 ÈepteMbre Í896.
Henri MkiiAE.
nii>
l>à
Mti¿EhC .Ltí viê iŸànàflàtitêé.’ ,
im'’Fi^6hlbkèbei‘‘‘'1'8^.' éé’’sótiit,' '
cômhiè' dit'rbd-t;êtè'‘dôi céi' ôpüé.î
cu|e de 50 pages, des pdifôlés d’eb-''
codràbeihèpt' bdür'céux'ddi |tésireht
(|W:lfh(d vi’é 's6li'’ù,h'è Îbntïiérëi*’ Cè's'
pai'oièë," d’ijtn ffi;dfob'd' ’ëébîèui'' dHré-'*
u4li'i'’''ël,*î q'di‘*^’àèçùèbiiit, üiiê grapde!'
exiîèi’^ebcé'*Jlë';la'. ^jsMàriè^'‘dé 'î’E'-.'i
va tigi léi dans '(es âmes',’ sohLgbôti péés
entre M 5 suivants':'Lë yisa^ë i^difeuit^ ' La''trà‘risfbt^fnà1:tbi;i ‘''de
la vie. L’homme nouveau et spiHtuél.'
Les\"dÜanfé|B 'àbfl 'ti'àhsfigùferit. La
tràMAgtlbàrion.^ *'■ '
il
'íÍ'-Ik>
'’>ï!
T««4lafis die<<Sairselite i
riu CUBAÎS'
Devant faire'mie courte absence,'
le culte du Giaibas est Suspendu,
ijusqü’à; nouvel:avis; :■ !' ' .
: . Henri Méilîê, :pas't. "‘I
I ;’lúbaneiúe¡nis')pá^#^ ■ .
iMM.Seppé, Chiy$8j, paóne,, puillestre.-M-.
Póng, tnatitoteuB, Piaœol.. . ¡,j,. ; ,"ji
"PENSEE '
. .. ,u, , ,U, ,
.,•1
■ Í
I -L’avare est toujours ¡ pauvre, puis
Iqu’il ne jouit pas de ce qu’il a j maisi
iib est pauvre avec.;SOn propre cou
sentement. ;/;>
OIV DEIANDE
Meüvëii|te;u<ï(|u->2ë<Jttiii atti â& Jnlllét '
¿ergtóip¿oiji¿l8;lP'Áét|1*’^ície
Défìw i®k(treb Pñ3^Sió‘ 'MOTéMíí' Costalihl
HdlWfif jiUMi-:".?/') 'i.jii ,,'i:
Ú«^i«ffé»í, B'àïtajpt JióBin; et,Sjiisahne Aven-
; ' < • U -M r ; r , I . , >, • î , f ■
■chez,' pasteur, près Gap, upe bonne
-sérieuse, forte, ; pctive; gages 20 , à
.25 fr,.:; voyage; payé; réiiérences exi;gées, Adr. _^panne,_pasl.,_j^uiH ,
jHaïïtpp Jîpe,^,'■. " ' ;;
j itiillsiili ! '"'ifioiiiiiiiiL''
iRapports directe entre le ProducI ,/ i teur et !l% tonsbinmatenr. m
mois,; Volât V
Fra'Ai^'oise,'’ 'Îâ* 'àiis'i' I^roù''‘ilidith- ‘ Ve'ùve ''
Bâl-kLi Ifio ratib:i BaMei íiúiea.i «ans-: <abn
BeU-hÎ,' 180 i anb;! Batatei ydles, J iatis-f (Obn«t ■ i'
Philipp«t',ip.'.n»iU'yulla ,Clèi)aiiib),j6 ffi-j.iui /j
nase et a 1 ecôle supérieure auront :
I ieup (Dlî t V,;'dq-iSi-itelobre,'à is8)‘W<l U
matin,, / ,!) '// / i¡¡ - rii'iu..!
-Les imaimaBiiU ipromotfiom au,-.
roilt;^lieuuidans(;ilei couvUnt . de.tda'ii
' Ûn dés ïhellleürs' horlogers de Besahç'on
jet ami -ohrêtién' .offre dfractémétiifc à nos
lecteurs des o»*utrcs ,de .tous modèles.'
soft, méfal, sylf Offfeni, ou br,' h, clef ou S
ï-emontoir, â dés.prfx de Wôn marché*
jet àVeè touted gfthhiitlës possihlès, èur'
ifaëtures.' Nous îeônselHtms' àl ceux de noslacteure , 'qui!,auraient, ,■ quèlquisS ' achats à
effyfltqer. d^.ne-les.thirè qu’aptès .avoir der.
mandé et'èon'sdlté l'e Catalogué'diéïaillé que
leur' éftVèrrà"/V'4Htfèl'Maré.ÉMHRir'fabfl"
canti'd’HorlogerÎ0,Uà '-BESANÇON (Doubs) ■France...;, j;.!. ■ .ui .,-i ■ , ■, ’ ,n;
’ ’.ïl iP., ^LAPÎ,'' àèrim Í r '
ipQhcè ' Pellldë —' IrtipriHienë. Alpina.
■' :, ■. : , ■. -, -II,: I ’ '