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Soixante-treiziènié année
10 Décembre 1937-XVI
N° 42-43
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
-------B __ '___
PRIX D'ABONNEMENT:
Italie et Colonies italiennes . . ,
Etranger..........................
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L. 12,- 7,
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- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
ÆÎicoJ ’
^feSSiîCE
L'ABONNEMENT SE PAIE D'AVANCE.
S’adresser pour la Rédaction, au Doct. ALBERT RICCA, pasteur - Bobbio Pellice
(Torino) — pour l’Administration, au Bureau du journal. Via Wieram, N" 2 Torre Pellice.
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Tous les changements d’adresse coûtent 90 ecntimas, sauf ceux du commencement de rannee.
O Le numéro : 25 centimes o
jue toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..i^ dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV,
Echo Biblique
in«
« Marthe, Marthe, tu te mets en
peine et tu t’agitas pour beaucoup
cto choses ; mais une seule chose esh
nécessaire. Et Marie a choisi la bonne
part qui ne lui sera point Ôtée»j
Saint Luc X, 41.
Ici, comme aileurs, la Parole de Dieu
est extraordinairement simple, et merveilleu.sement riche. Un coup d'œil' sufFit pour
en comprendre l'enseignement : « La Par
rde de Dieu vaut infinim^t plus que les
soin« d’un ménage, parce que le cieli et la
terre passeront, mais la Parole d|e Dieu
demeurera éternellement. Tout simple
qu’il est, l’avertissement n’est généraJter
ment pas compris par le monde, voire
même par les croyant®, qui dans 3éur
vie se préoccupent du pain quotidien plus
que de toute autre chose, en ouHiant ce
qui est plus important que le pain. H est
un grand nombre de ménages tourmentés
jour et nuit par ranxiété du lendemain.
Tribulations épargnées, s’ils se rapp(0laieint
qu’il y a quelque chosa de plus important,
qui doit passer à la première place, et où
tes ménages eux-mêmes, avec tous ceux
qui les composent, trouveraient les véritables sources de la vie. Nous devrions écrire
qe® paroles de Jésus sur de grands cadres et lés placer bien ,an vue dans chacune de nos maisons, préférablement à la
duisine ou dans les chambres, où Ton se
dédie le plus au travail.
3: >H
Il faut éviter à cet endroit de perdre
de vue le fond merveilléux de l’enseignement de Jésus par une fausse interpréta^
tion. Il ne faut pas aËer jusqu’au
point de considérer Marthe et Marie
comme deux t3T>es qu’il faut suivre ou non,
en tout et partout, parce que JôSusi, en
C0 moment-là, a approuvé Tune et désapprouvé l’autre. Nous aJurions tort, surtout
de voir ici un enseignement du quiétjisme
et de la contemplation ou de quell<jue choaiQ
qui leur ressemble.
MartJie n’est pas cette personne frivolte
et légère qu'on voudrait représenter quelquefois. C'est elle, au contraire, qui a ouvert la porte de sa maison à Jésus est qui
Ta accueilli. C’est elle qui s’eimpnease dans
la maison pour lui préparer une réception
convenable. C’est elle finalement qui, à la
mort de son frère, court la prem'iêre à la
rencontre de Jésus, .qt lui tient ce langage qui révèle une foi rare, même parmi
disciples : « Si tu avais été ici, mon
frère ne serait pas mort ; et maintenant
même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu Dieu te l’accordera ». C’est
elle encore qiui, un instant plus tard,
dans un élan de foi, prononce ces mêmes
paroles qui avaient jadis eu un si grand
retentissement sur les lèvres de Saint
Pierre : « Je crois que tu es le Christ, le
Fils de Dieu... ».
Si Marthe a donc eu tort, dans cette circonstance, de se préoccuper davantage de
soigner la personne de Jésus que d’éfcouter sa parole, die a cependant un désir
de travailler au service du Maître et un
esprit d’initiative, qui sont foncièrement
bons. Jésus;, en effet, d’un bout à Tautre
de TEvangile, ne fait qu’appeler les hommes à l’activité pour Tédification du Règne de Dieu au-dedans d’eux et autour
d’eux. Le tort de Marthe n’a pas été celui de travaüler, mais celui de travailler
pour les choses d'ordre matériel, qui n’ont
po>int de valeur vis-à-vis de la seule chose
nécessaire.
L’Bvangile ne répèfe pas le cclllcique de
Jésus avec Marie, mais nqus ne doutons
par qu’il lui ait dit, ainsi qu’à tous les
autres, ce qu’d'le devait faire pour la servir et pour hériter la Vie Eternale. En
effet, peu de jours après, dans cette fête
de Béthanie, qui précède de peu la crucifixion, Marie sort de sa contemplation, et
tandis que Marthe sert à tablé, die va
chercher son parfum pour le répandre sur
les pieds de Jésus.
L’agitation que Jésus condamne n’est
pas teille forme d’activité-qui pourrait déplaire aux uns ou aux autres, mais simplement l’activité qui a peur but les chose® d’ici-bas. Jésus dit à Marthe qu’élle
doit inspirer son activité à sa parole, et
il insis1(e auprès d’elle comme auprès de
Marie, comme chez nous tous ; « Mon en
fant, va aujourd’hui travailler dans ma
vigna... Tandis qu’il fait jour, il me faut
accompliijf les œuvres de Cdui qui m'a
' envoyé ; la nuit vient, dans léqudle p,er'sonne ne peut travailler».
» * *
Travaillons, travaillons, frères et sœurs,
sans fatigue et sans relâche, employant
au service de Dieu lés talents qu'H nous
à donnés et sans nous préoccupefr si qudqu’un, en faussant tes paroles de Jésus,
appellera notie activité de «l’agitation».
Si nous travaillons avec humilité, pour servir lè Seigneur Jésus, nous inspirant à
Sa Parole, et nous efforçant d’édifieir son
Régne au-dedans de nous, et autour de
nous, notre travail est bon, nous n’avons
rien à craindre, car un, jour nos oièiMes
entendront les heureuses parqlés :
« Cela va bien, bon et fidèle serviteur... ».
Henri Geymet.
Une dispute aux Yallées, il y a 300 aus.
L’histoire de nos pères n’est pas seulement parsema de faite éclatante, où la
victoire des armes et lés difficultés d’vme
chasse à Thomme sur les pentes brousaiL
léuses de nos montagnes imposent la prudence et le respect à Fadversaire sécuiaira
de notre peuple. Si l’histoire Vaudoise
ne contenait que ces détails, d’ailleurs nécessaires à Fenthousiasme poputeire, la spiritualité de 'la lutte engagée par nos ancêtres en serait singulièrement amoindrie.
Mais notre histoire est Fhistoire d’un
peuple-Eglise, c’'est-à-dire d'un groupement
religieux, dont le but principal n’est pas
celtui de faire essuyer des échecs à Tennemi, miais celui de faire resplendir autour de sou la lumière de TEvangile. Il
convient par conséquent de recheTcher dans
cette histoire préférablement les marques
d’une préoccupation reOigieuse, les sdgnejs
évidents d’une vocation mesisianique reçiue,
plutôt que d’énumérer lés pertes matérieles subies par les expéditions ianoeés au
cours des siècles à la conquête' des Vallées. En d’autres termes, l’équivalence histoire Vaudoise-histdre de Dieu n’est acceptable que dans la mesure où Dieu y
apparait, bien mieux que comme TEtemel
des armées terrestres, comme Cdlùi qui
suscita dans un coin reculé des Alpes occidéntal|0|S, un peuple de prophètes et d'apetres, embrasés d'une isainte ardeur mission naire.
Or, un aspect particulier de cetite activité missionnaire à laquelle nos Histoires yaoidoises n’accordent pas toujours
l’importance qui lui revient — ept celui
des lisputes dont les murs de nos plus
vieux temples et les places publiquies de
nos villages retentissent! encore aujourd’hui, organisées de concert par Vaudois et
catholiques, et peruiant lesquelles, en contradiction avec leurs adversaires, nos pères,, tant pasteurs que laíq¡uies, avaient amplíe occasion d’annoncer et de défendre leur
foi. Méthode apostolique, à commencer par
Tapôt,re Pierre. De notre temps, ces disputes ne se timnent plus : et c'est grand
dommage, car elles feraiânt du bien à
ceux qui les organisent comme à ceux qui
y assistent, puisque la vérité n'a qu’à gagner du choc des idées. Lfâ deux dernières disputes de ce genre, remontant au
siècle passé, et organisées successivement
à Rome et à Livourne sitôt après
tl870, n’ont pas çU de suite : faudra-t-il croire que le temps ert venu de
les reprendre, du moins d’après qes mote
bien connus du pape actuel' : « le croyant
a ,1e droit inaliénable de professer sa foi
et de la pratiquer dams la forme' quii lui
convient » (c’est-à-dire qui convient à sa
foi?). Nous ne saurions le dire...
Mais laissons de côté ces considérations,
ef venons à une dispute entre Vaudois et
catholiqiues, organisée il y a tout juste 300
ans.
C’étlaiit — donc — en 1637. Antoine Léger, Toncle de l’historjen et modérateur
Jean Léger, revenait de Constantinople, où
pendant huit ans, en qualité d’aumônier de
l'Ambassade néerlandaise, il avait noué des
relations très cordiales avec le patriarche
• de l’Eglise grecque, Cyrille Lucaris. Son
a.ctiiyité vraiment œcuménique à cet égard,
dans le but d'un rapprochement toujours
plus sensible entre TOrthodoxiie et te Protestantisme, et dont CyriUe Lucaris était
un fervent apôtre auprès de ses coreligionnaires, mériterait, à dite seulé, une étude
approfondie. Ce n’est pas d’aujourd’hui que
le peuple Vaudois vibre à FunSsson avec
la chrétienté digne de ce nom!
Dès son retour de l'Orient, Antoine Léger assuma la direction de la paroisse de
Saint Jean. Il n'ÿ était pas installé depuis
longtemps lorsque te prieur de Luseme, le
fameux jésuite ManvAurète Rorengo —
l’auteur de ces Mémoires historiques sur
Tintioduction des hérétiques aux Vallée®,
où tes calomnies se succèdent sans interruption — jugea nécesisaire une rencontre. C’était le 10 Novembre,
Ajccompagné de quelques seigneurs et
autres principaux de son parti, il se rendit
ches lui et l’invita à disputer, chose qui
— c’est Pierre Gilles qui relate te fait —
« se fit alors même, et assez paisiblement ».
Ensuite, comme les seigneurs qui accompagnaient Rorengo désiraient se retirer,
chacun s’en alla chez soi.
Il semblait que la dispute en resterait là,
te prieur ne parlant plus de la reprendre.
C’est la congrégation De Propaganda fde,
dans ses dernières séances ronnaines, qui
décida d’envoyer aux Vallées le moine Pla
cido Corso, prêcheur et tecteur en la sainte
théologie, dans le but de continuer, sur une
vaste échelle, l’œuvre commencée par Rœ
rengo.
Peu après son arrivée à La' 'lOur, te"
moine lecteur écrivit une longue lettre au
, pasteur de cette localité, FhistorSen Pierre
■ Ciliés, qu’on vient de nommer, lui disant
que, puisqu’t était venu de loin en ce^lieu
pour te soutien de la foi catholique, il avait
demandé à plusieurs d'Cntre les Vaudois
pourquoi ils s’étaient Séparés de FEgKse
romaine ; mais que tous ceux qu'il avait
interrogés Favaient sans plus renvoyé à
lui, Giltes, leur pasteur, comme à celui qui
pourrait mieux lùi donner les éclaircissemqntis cherchés ; ce qu’il te priait de bien
vouloir faire.
La réponse de Pierre Giflles fut' tele
qu’on pouvait Fattendre d’un esprit alerte
comme le sien. H s’émerveillait dù moine,
qui se disait venu expressément, même au
péril de sa propre vie — comme il' prétenrdait — pour défendre une cause dont il
semblait même 'ignorer 1© bon droit, puisqu’il en était encore à ae demander quêtes
pouvaient avoir été tes raisons qui avaient
poussé les Vaudois à ^ séparer de l’église
romaine. Que si te moine prétendait être
du côté de la naiaon, il attendait de lui qu’ü
la lui exposât et qu’il' lui en donnât te®
preuve®.
Le moine répondit au pasteur de La
Tour par une deuxième lettre, à laquelle
Gilles répondit à soin tour. Plusieurs jours
s© p^assèrent dja la sorte; enfin Placido
Corso, laissant la dernière lettre de Güies
sans réplique, se mit à chercher une «(utre
cible à ses traits. S'étant adressé à Antoine
Léger, il te défia à une dispute publique.
Legér accepta.
La dispute eut lieu à La Tour même, le
4 décembre 1637. A l'instance de Placido
Corso et de ses confrèireB, en choisit pour
emplacement de la dispute la cour du Icgis
de Thomas Marghqr;, surveillant de Téglise. C’était en plein air, imisqu’ü avait
été impossible de trouver un heu, dos et
couivert, qui fût assez ample iwur contenir tout te public : comme c’était en. déoembre, nos lecteurs se représentent facilement la... chaleur qu’il y faisait !
Et comme on peut bien le penser, te
public ne manqua pas : dû parti du père
Conso il y avait une douzaine de moine®,
plûaieurs écdésiastiqpe® romains, quelques
gentilshommes, un grand nombre d’officiers
de cavalerie qui logeaient dans te Val Luserne, sans compter une grande quantité
de catholique®. Du côté des Vaudda, outre
les dieux pasteure, Léger et Gille®, étaient
réunis les consistoires, presque au complet,
de toutes tes paroisse® des Vallées. La pœ
nidation . Vaudoise s’^tassait telte aussi
autour (te® principaux acteurs de la dispute. Les secrétaires de la dispute étaiwit,,
pour Antoine Léger et tes Vaudois, Scipion
Ba,stie, et un moine nommé père Laurent
pour les catholiques. Dès Fentrée, te prieur
Rorengo prétendit êtire le modénaiteur du
débat, annonçant qu’il aurait empêché
tout excès de son côté, et eixhortant Léger
à en faite autiant de l’autre.
La question proposée par Placide (terso,
pour sujet de la dispute, fut la suivante :
Si l'on dmt tenir pour article de foi qu’H
y a des livres apocryphes detns la Bible.
Les contiendants n’avaient pas Pair d'être
las : Antoiiie L^er ne lâchait pas priseï,
le moine n'osait proposler la dôtujie, de
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m 10 Décembre 1937-XVI
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ss'i'--'-; , peur d'être aussitôt convjiíincu d*íij^é[i4o- m
vn^ f^Nm'nc! .'natsaA.i'f t^ttmrlptmAini! Qj}
^‘ .4,, .r riíé. Le temps .passait r»pidiemen,t.
sai ï... .. avait commencé dans la matinée et,'en ce
m
t •«
n
Soir de déoamlxre!, la nuit tombait vers qua
tne heures de Ifappès-midi. On apporta- des
»,y2£fr .¿-J*./
chandeJJes, qui nie firent que rendre Tobseurité ailentaur plus épaisse. Pinatement, le
moine, auquel était la parotiq, lit écrire
par les secrétaires quft la nuit empêchant
de poursuivre, il renvoyait le restei''de son
allocution à un autre jour, et sortiit aussitôt de l’endroit avec sa troupe en chantant Les deux pWéurs terttuhêirient par
une prière dans laquelle ils remeroiai^t
Dieu de les avoir soutenus dans 1© maintiien de-la vérité.
Las jours suivants, les parties confé^é^•
rent entre elles pour la reprise de la dispute; les moines choisirent la date et les
"Vatidois iqnq?laçem©nt. La disputse fut fixée pour le premier jour de l'an 1638, dans
la cour de la maison de campagne de Daniel HUnc,
Le jour venu, les assistants do part et
d’autre étaient en bonne partie les mêmes
que ceux qui s'étaient trouvés à la première journée. ]jl s’y trouva aussi le pasIfeur d'Angrogne, Le Preux. Mais le moine
Placido Corso avec les siens arriva si tard
au üeu assigné, s’excusant sur les dévotions matutinales qui l'avaient contraint
à ce retard, que tout le monde comprit
très bien qp’â ne désirait pas de la faire
longue, ni de permettre aux pasteiurs la
rapartia La chose déviât évidente lorsque le moine sortiit de sa poche un long
écrit, qu’il pirétendit lire, tout en le dictant aux secrétaires. Les pasteurs s’opposèrent à unq teUe façon de procéder et le
mmne dut renïwioer à s’Jnspingr à son manuscrit — mais le dicton si diarta cadit,
totOr swcTiiîa vadit montra une fois die plus
son exactitude^ puisque le père Placido, ne
sachant pas bien par cœur oe qu'il contenait, fut obligé d’abréger considérablenïMit
son discours.
La disputa continua encore pendant
que^ue temps, pi^ â’aesemblée se retira,
les moinee chantant ownme la fois précédente. Mais queiques-uns rapportèrent aux
Vaudois d’avoir entendu les plaintes de
quelques principaux du parti catholique,
qui exprimaient leur mécœiteintement à
propos du père Placido, dont l’attitude
n’avait pas précisément été... placide.
La dispute n'out pas d’autire suite, bien
que les parties se fussent assemblées encore une fois pour la continuer; mais comme les moines prétendaient en exclure tout
le public 'Vaudois, sous prétexte qu’ü sa
comportait bruyamment, chacun finit par
se retirer, les catholiques ayant assez fait
connaître le pou de volonté qu’ils avaient
à ce que la dispute fût reellenient poursuivie!. Thêod. Balma.
GomiDissioDe Fioanziaría
PRO EMERITAZIONE.
(Ventisettesinm lista).
Signore e Signori :
Linette e Emilio Decker, Torino L.
Dott. Arnaldo Malan, Id. »
Tng. Federico Pagliani, Id. »
Sig. e Sig.ra Freeman, Brescia,
in memoria del figlio Roberto »
Famiglia Dreher, Malnate . »
Maria Steiner e Rosa CoffariStemer, Bergatno »
Nina Frizzcmi-Salis e figli, Id. »
« Violami •», reconnaissants à
Dieu ' r »
Mansuino Silvia San Remo '■ »
Enrico CrattS, Milano »
Htena (jatti,' Id. »
Carlo Noseda, Id. »
Masslmiliaiw Gatti, Id. »
Ruggero Gatti, Id. »
I.ietizia De Ledis della Torre,
Asola »
D’Aloia Giustino, Fragneto l’Abbate I »
Porte Enrico, Roma ' »
Dott. cay, uff. Ben. Amaò »
C. De Niccda »
Enrico Tron, Torino »
1000,
500,
50,
1000,
3000,
500,
5000,
100,
30,
15,
15,
30,
30,
10,
10,
5,
5,
30,
100,
1000,
■3 ìSé
Elvira e AmeUà Montìrone, GallipaB (iSotìtoBcr. 25) • L. 5,—
Anonima ' .. » 25,—
Alllefisandro Trpn, Asmara (*)' » 200,—
Làbaro Banchetti, Rio-Marina (*) » 100,—
PRO COLLEGIO.
{Ventisettesima lista).
'.-L ■ .
Signore e Signori.;
Famiglia Dreher, Malnate, • ■ L. 1000,—
Maria Steiner e Rosa Coffairi- ^
'' Steiner » 30Ò,—
« Violami », reconnaissants à
Dieu » ipO,—
Forts Enricoi, Roma » 5,—
Anonima ' .. • » 25,—
Alessandro Tron, Asmara (*) » 100,
I'
Nota. Le offerte contrassegnate con sono
in titoli di Stato.
Hanno inoltre versato quote dei loro imPieB’ni pro Colegio i Signori :■
Per Ü 1937-38 : Corteleizzi Corinna
(L. 200); Decker Bmüio (200); Decker
Guido (200); Malan Arnaldo (200); Pe^
razzi Valeriano (200); Pons Paolo (300);
EoUier Guido (200) ; Rollier Mario Alberto
(200) ; Turin Robertb (200).
Per il 1938-39 (a saldo impegno) ; Decker Emilio (L. 200); Pastre Augusto
(200); Pons Paoilo (300).
Errata-Coarige. NeUa 26* lista leggere M.
Marsili, Bari, invece di M. Marsili, Taranto.
CHRONIQUE VAÜD01SE
ANGROGNE. Le 18 novembre, nous
avons eu la douleur d’acooropagner au cimetière du chef-lieu la dépouille mortelle
(te Félix Bouirde feu Jean-Baptiste, déipédé
au Martel, à Tage de 68 anp.
Le 25 novembre, nous avons ac- ^
compaghé la dépouille mortelle de Morgue- |
rite Martinat feu Philippe, veuve Rivoire,
décédée à la Bastia, à l’âge de 79 ans.
Le 28 novembre, aux Jouves, est subili&mqnt décédé M. Jean Paul Malan feu
Sidrac, âgé de 71 ans.
Que Dieu’ console et fortifie les cœurs
des parents par la vision de la Patrie
céleste.
★ Le oulte du 28 novembre, au chef«,
lieu, a été présidé par le prof. Louis Mii
col, que nous remercions vivement pour
son apprécié message. R. N.
BOBI. Notre sympathie chrétienne à la,
famillla Geymonat, de la Vüie, pour le départ de Patti Geymonat fétu Danieli, décédé
subitement, le 21 novembre dernier.
Le service funèbre a été présidé par le
pasteur Chauvie, que nous remercicais.
★ Nos souhaits de bonheur à JeanPierre Catalin et à Marie Negrin, unis
en mariage le 27 novembre dernier.
LATOUR. Nous-tenons à remercier vivement M. le professeur Jean Rostagno
d’avoir bien voulu accepter notre invitation de venir occuper la chaire de notre
lemple. Nombreuse assemblée qui a écouté
avec necueililement l’édifiant message, qiuj,
nous n’en doutons pas, a fait beaucoup
de bien à l’ânie et au cœur.
★ C’est avec regret (jue nous avons
dû nous séparer d’un vénéré frère, qui a
terminé sa carrière terrestre à l’âge de
76 ans : M. Jean Travers. Grand travailleur, il ne s’épargnait pas, même quand
on lui conseillait, vu son âge, à ménager
ses forças. Son organisme, usé à la tâche,
ne résista pas à la mailadia qui le tenait
alité depuis une quinzaine de jours.
'Vaudois daas l’âme, il a démontré un
grand amour pour son Eglise. R a été en
exemple par son assiduité aux cidtes et
aux réunions, qu’il fréquenta jusqu'à tout
dernièrement, malgré lia fatigue physique
que cela lui causait. Un dimanche sans pouvoir assister au culte n’était pas pour Im
un bon dimanche.
Il occupa, durant de nombreuses années,
la charge d’ancien pour le quartier des
^teioubds. Dans le Consistoire, sa voix
était écoutée parc© qu'il était un hcanme
calme, réfléchi, et ne donnait jamais son
avis sans l'avoir longuement médité. Et
quand ü dut démissionner à cause de son
âge et de sa santé, il continua à s’intéresser vivement aux problèmes de la paroisse
et que le Consistoire doit étudier. Nous
tenons à lui rendre i(â 1e meilfeur témoignage pour sa précieuse cdiaboration.
Le Seigneur l’a rappélé quand nous espérions encore l’avoir ici-bas: Sa volonté
est parfaite, devant elfe nous n’avons qu’à
nous incliner dans unie soumission filiale.
Nous demandons à Dieu de vouloir consoler sa famile, surtout de soutenir la
veuvp, digne et fidèle compagne de notre frère, avec qui ellie partagea et les
peines et les joies.
MASSEL. Le 6 novembre, se sont unis
en mariage Théophile Pons avec Virginie
Tron, et Vital Tron avec Henriette Pons.
C'est un événement qui n’est pas de
tous les jours, que deux familles soient
ainsi unifiS en même temps par un “double lien, et nous sommes sûrs que Dieu
vqudra bénir aibondamment ces nouveaux
époux, qt que les deux inouvoiles familles
deviendront de réels soutiens de l’Eglise,
comme fe laisse eispérer lie passé de ceux
■qui le.s ont formées.
★ Le dernier dimanche de novembre a
été baptisée, au culte principal, la petit©
Msa Marie Gaydou de 'Théophile.. Nous
pensons avec une affection toute partilière à cette petite qui a perdu, il y
a quelques mois, sa maman, et nous demandons à Dieu de voulôir la protéger
et la bénir.
PERRIER-MANEILLE. Le dimanche
28 novembre), les cultes ont été tenus par
Tinfatigabte évangéliste émérite M. Gustave Bert, que nous remercions.
★ Le 30 novembre est décédée, à THôpital du Pomaret, Eisa Canal, de St-Martin,
à Tâge de 15 ans.'H y a environ un an
qu’elle avait été atteinte d’une grave paralysie, qui Ta immobilisée dans un Ut.
Tous les soins ont été inutiles. C’était
une jeune fille teUemient aimable, que
tous ceux qui la connaissaient l’aimaient.
Pendant sa longue malladie, eUi© a donné
de touchants témoignages de sa foi en Jésus-Christ : malgré son infirmité, elle encourageait, soulageait avqc sa parole tes
matedes autour d’ele.
Aussi son enterrement, présidé par le
pasteur M. G. Mathieu, a témoigné de
.l’affection dont on entourait la chère Eisa,
et la sympathie avec laquelle on entouré
là famille Canal:, bien connue dans toute
Ta 'Vallée.
Dimanche, 5 œurant, le pasteur
O. Peyronei a brièvement commémoré à
Técole du dimanche du Perrîar., la chère
disparue, qui avait été une élève distinguée de cette écde.
Que Dieu soutienne la famille Canal,
si durement éprouvée.
PIGNEROL. Notre Eglise a eu de nouveau le privilège d’entendre la prédii^ation du professeur' M. Giovanni Rostagno,
Nous Ten reme,rcio>ns bien cordialement.
★ Depuis quelques dimanches nous
avons la joie de voir, à nos cultes, en
groupe compact, nos vaillants Alpins vaudois. Cela est dû à Tamabilité de M. te Colonel commandant, qui a preynis au Pasteur de s’intéresser personneHeraent à
l'assistance .spirituelle de ses soldats.
Que tous nos militaires (et leurs parents) veuillent en prendne bonne note.
POMARET. Nous avons dû enre.gistrer
quelques nouveaux départs pour la Patrie
céleste :
Mercredi, 23 novembre, celui de Marie
Grill née Couomiirde, du Fort de La Pérouse, à Tâg© de 85 ans. Mardi, 30 novembre, celui d’Eisa Canal d’Oregbe, de StMartin (Perrieir), survenu à l’hôpital. Elle
a terminé bien jeune sa carrière (elle
n’avait que 15 ans), après de longues souffrances supportées avec une admirable résignation chrétienne. Et vendredi, 3 décembre, celui de Jean Pierre Lageard, du
Fort de La Pérouse, à Tâge de 86 ans.
Que Dieu (wsole tous ceux que ces départs ont laissé dans le deuil et les fortifie dans leur épreuve.
PRALI. Lteux petits enfants ont été
préawïbés à Dieu par le rite du Saint
Baptême. Ce sont : Rim Genre d'Héh et
d*Henri©tte Grfil, du Maizat, le 24 octobre : Edine Ptmal de^ ïh-ançois et d’Adelin© Menuisan, des Adroits, le 14 novemibre.
Que Dieu bénisse panelnts et enfanté.
★ Etienne Menusan (le Manchot), de
la. Ribba, a fini sa. course terrestre ; ses
funérailles ont eu lieu lundi, 15 novembre, au Perrier, où il est décédé à Tâge
de 66 ans. Nous remercions encore M. te
paisteur O. Peynxnél, qui a présidé le service funèbre.
★ Samedi matin, 27 novembre, nous
avons uni en mariage, dans le temple de
Rodoret, Ferdinaind Clôt de Jean-Jacques,
de la paroisse de Villesèche, et Esther
'Françoise Long d’EdOuard Barthélemy,
des Côtes. Que le Seign,eur bénisse ce nouveau foyer.
★ • Le même jobr, dans Taprès-midi,
c^nt eu lieu les funéraililes de notre sœur
Catherine Rostan mariée Rostan, du Coin.
Souffrante depuis plusieurs années, elle
est entrée dans le repos céleste à Tâge
de 68 ans. Toutes nos condoléances et notre sympathie chrétienne aux nombreux
parents, desquels plusieurs sont a l’étranger, entre autres le fils François, notre
ex-ancien, maintenant dans l’Amérique du
Sud.
/
ROME (Piazza Oavour). Le 25 novembre dernier a été célébré, dans notre temple, le mariage de M.lfe Rinàlda Albarin,
fille du Directeur de la Casa Balnearia de
Borgio 'Vierezzi, avec le docteur Luciano
Motrom, profassionel bien connu de notre ville, et aide du prof. Bastîanelli,
Le mariage a été célébré par le pasteur
M. Paolo Bosio.
Nous souhaitons aux époux une vie bénie sous le regard de Dieu.
SAINT-GERMAIN. Le culte du soir du
dimanche 21 novembre, a été présidé par
M. le pasteur Ermanno Rostan, que nous
remercions vivement pour sa prédication
bienfaisante.
Le dimanche 28 novembre, nous avons
repris la ¡séance des conférences sur les
problèmes de TAu-delà.
★ Dimanche, 28 novembre, Oscar Durand et sa femme Ida Rivoira, des Roncs
ont présenté au Saint Baptême leur petite Vera. Que le Saint-Esprit conduise
toujours les parents et l'a chère enfant
dans le chemin de la joie et de la 'Vi©!
★ Samedi, 27 novembre, Savio Coucou,rde, de Pinaclie, et Suzanne Balmas,
des Balmas, ont célébré leur mariage dans
notre temple. Au nouveau ménage, que
lyous sommes heureux de voir s’établir
dans la paroisse, nous souhaitons les bénédictions célestes les pluis grandes et les
plus précieuses,
★ Dimanclve prochain, la Jeunesse de
Pramd nous rendha la visite que nous
lui avons faite le printemps dernier. Les .
jeun.ee gens et tes jeunes fiUes de nos
différentes Unions de quartier son convoqués pour 14 heures, dans la Salle des
Activités.
A Les Anciens et les Diacres visiteront, avant Noël, toutes tes familles pour
distribuer le Bulletin paroissial et les pochettes du trimestre décembre 1937-janvier-février 1938. Ceux qui n’ont pas encore rendu la vieille pochette sont instamment pries de pro.iter de l’occasion pour
le faire. Les Anciens sont aussi chargés
d.0 percevoir les abonnemnts pour VEcho
et la LucA. •
★ Nous devons encore donner la nouvelle que dieux sœurs nous ont quittes
pour l'a Patrie céleste :
Suzanne Oliva née Griot, de la Sagna,
âgée de 63 ans,, a lté siubitement rappelée dans son sommeil, quelques heures
après avoir dit sa prière du soir, la nuit
du 25 novembre. « 'Veillez, puisque vous
ne savez ni le jour ni Theuro». A son
mari, idongsé dans la douleur, par le départ de sa compagne fidèle, hous désirons
témoigner encore une fois toute notre
sympathie
» Jpmvÿ Bleymt née Genre s’est paisiblement endormie dans les bras du Seigneur,
te 2 courant, à Tâge de 93 ans. Nous aiEttkms tous voir cette belle vieille, originaire de la haute montêgnie, au caractère
doux et à la foi simjAe et profonde! C’est
pounjuoi une foule de monde a voulu pren
*■
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»
3
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•' jU'- '.iï.
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dre part aux obsèqjues et entourer de syltipathie les fife Albert, diacria de Villie,
EmiJiei, M.rue Pauline Puchêne et leurs
familee.
SAINT-JEAN. Le 23 octobre a été célébré, dans :niotre temple, îe mairiaget de
M. Bmm (id La Tour,, avec
M. lle Rosine Betialot, des Malanots,
Ijë 28 octobre ont été célébrée lies mariages de WiUy Tmvm, des JaJPIa, avec
Edith Pons, des Voilé» et d’Etimme Re■vd, du Payer, r.vec Bhmche Potoamc^, du
Bras.
Le 20 novembre a été béni le miariag.î
de Frédéric Tmm et Marguerite Tourn,
du Quartier de Mourcious.
A tous ces heureiux époux nous redisons
encore nos meilleurs vœux de 'joie et de
bonheur.
★ Samedi; 27 novemnre, a efu lieu l’ensevelissement de notre sœur M.me Marguerite Long veuve Jourdan, décédée après
une longue mai.adie, aux Ricca, à l’âge
de 78 ans. A tous les parents en detuil,
notre sincère et ému© sympathie.
★ Ajsüe des VidUards. Nous accusons
réception, avec reconnaissance, dep dons
suivants : M.fe E. Vigliano, U 100
N. N., 50 - M.lle Marianne Bufï'a, « in
meinoriam » de M. Joseph Long, 20
- M.mes Clémentine et Adeline Bonnet,
« in memoriam » de M. Joseph Long, 20
- Miglio Giovanni, 20 - M.lla Anita Ricca,
« in memoriam » de Marguerite JourdanImng, 10.
TURIN. Salle de lecture. L’Union Chrétienne Vaudoise a ouvert, dans ses locaux, une Salle de lecture et' de Société
pour les jeunes évangéliques de Turin,
ainsi que pour ceux qui s’y trouviept de
passage dans un but d’études ou d'affaires.
Nous adressons un appel chaleuretux et
fraternel aux jeunes gens qui viennent
à Turin et spécialemnt aux étudiants provenant des Vallées de se rendre sans hésiter et à n’importe quell© heure de la
journée à notre saUe die via Pio Quinto, 15.
ZURICH. Deux sympathique(s manifestations ont eu lieu en faveur de notre
Eglise, à Berne et dans le canton de StGalie, où la Pasteur vaudois dp Zurich
s’est rendu dernièrement pour faire des
conférences dans des milieux de langue
allemande, où notre histoire est moins
connue.
D’abord dans la capitale suisse, le Comité de l’Eglise réformée du Saint-Esprit,
l’avait chargé d’introduire l'a série de quatre causeries historiques, dont les trois
successives seront continuées par d’autres
L’Echo des Valléesr- Vendre^qo Décembre 1937-XVI
pasteuî®. Eti le Comité se propos© de réunir o©s conférences et de les puhüj^r' ep
un© seule brochure pour offrir au "grand
public protestant suisse des données intérassantes sur la situation passée et présente dqs Eglises Evangéliques en ItaJie,
en Alienjagpe, en Autriç^ et eu EJspagne.
Ensuite, dans une tout© petite, mais
aussi très, vivante parojsge de montage'
(300 âmes), à Krinau, au canton de StGaljlie, le pasteur KülDler, un ami dévoué
de la cause vaudoise, avait organisé une
soirée en notre honneur. Que c’étjait agi^
ble de se trouver chez ces sim'pte, bravas gens de la irïontagne, comme ctes
nous aux Vallées ! Les mêmes sourires, la
même courtoise hospitalité, la même vie
simple et laborieuse, la mêm© foi. Pas besoin d’ajouter <|ue mon discours sur l’^stoire du peuple Vaudois et sur ll’cBuvre
VaiOlaïite de son Eglise avait atteint ISîS
cœurs. L’aüditoire, joliment nombreux,
n’osa pas applaudir, croyant que c’était
se permettre trop de familiarité à l’égard
d’un étranger... mais Ifiexpression des visages et l’éloquence muette des portemonnaie, démontrèrent bientôt combien
l’histoire si héroïque et si belle de nos ancêtres l’avait saisi.
On ne peut laisser passer sous silence
de telles manifestations de solidarité chrétienne, et particulièrement les sentiments
d’affection de ces frères, qui, en nous serrant la main, nous; disaient : « Saluez nos
frèires d’Italie ». a. f.
Dons en faveur de la
“ Société d’Histoire Vaudoise
Le Bureau de la Société d'Htetoire Vsudoise vient de riaicevair, avec une très vîto
rieconnaii^ancei, les dcais suiv^its :
^n. Giovanni Agnelli, Torino L ÎQQO,—
-Comm. Emlüo Gardid, Milano » 500,—
Sig.ra Glotilde Tron ved Gay, Oprino » 50,—
‘■•(■■'fete;—• -r
Riduzioni Ferroviarie.
In occasioni© delle feste natalizie ddl corrente anno, la validità dei biglietti A-R
ordinari, fiestivi e della concessione XV
(Dopolavoro) è regolata come appresso :
ì biglietti A-R ordinari nel! pe
riodo dal 23 dicembre al 2 gennaio saranno
falidi per iniziare il viaggio di ritorno
fino al' 3 gennaio.
I biglietti di A-R festivi e dela Concessione XV rilasciati nel periodo anzidetto,
saranno tenuti validi per Tinizio del rijtorno fino alle orisi 12 del 3 Gennaio. Jl
rillaficio .di questi biglietti sarà inaiato
dalle ore 0 del 23 diceuibrei e continuato
nei giorni 24-25-26. Dovrà restare sospeiso
nei giorni 27-28-29-30 e riprendersi nei
giorni 31 dicembre-1-2 gennaio L’inizio dei
viag^ di ritorno è ammesso a partite
.dalle 'ore 0 del 24 dicembneii T biglietti rilasciati nel giorno 31 dicembre non sono
validi per iniziare il ritorno nella giornata
medesima del, rUascio,
PERSONALIA.
M.lle Anita Gay, qui s’était diplômée au
« Magistero », l’année dernière, vient d’obtenir, « a pieni voti », le doctorat iqn philo.sophie et pédagogie à l’Université de
Turin, en y préæntant une thèse sur le
pédagogue protestant du XVI® siècle,
« Jean Sturmius ».
Nous avons appris avec plaisir que deux
étudiants Vaudois viennent de terminer
leurs études à l’Université de Turin et d’y
être reçus « docteurs ès-lettres ».
Ce sont .- M. Comdio Vinuy feu Josué,
qui a donné sa thèse 0ur «Marco Minghetti », et M. Attilio Forneron de Henri,
qui â traité un sujet de g.ran.(J intérêt et
se rapportant à notre histoire : c’est-àdire « L’extinction des Vaudods' dans le
Val Pragela », au début du XIII® siècle,
et l’intervention dipliomatique anglaise.
Aux nouveaux « laureati » nos félicitiar
tidns cordiales et le souhait d’ime longue
carrière, remplie de bénédictioins.
Dans quelques jours paraîtra le
CALENDARIO
CON MEDITAZIONI GIORNALIERE
1938 ::
édité par la Bottega della Carta Torre PelUce.
Veuillez en tenir compte dans votre liste
d’achats de fin d’année.
Les familles BALMAS-RiyOIIÎE e(
CONSTANTIN TiBfifmrimt M. le dootmr
Quattrini et M. le paieteur .NlBbet et toiiç
fies les peFeennes çp4 ont pris pari à km
demi à Voccaedon cfet départ de leter biewç
cdptée
' liflaf inn Riflil
r
Aiîgiogne (les Bast|e)i' 25 novembre 1937-XVI.
hjonsîeuT et Madame Gtoffboy Aluo e|;
leur fille Erica (Cannes), amwneent le
départ, pour le. Ciel, de leur mère, héllem&re, grmdlmère
décédée à Paesana (Cuneo), le 30 nervemr
hre 1937, dans sa 71® mmée^
La famMe MALAN remercie très msèrement tous <sewf qui prirent part an service funèbre de leur cher
Jean Paul Malan
que Dieu a rappélé à Imi, spudainem&dL
le 29 novembre.
Elle remerde tout pardoìdièrmient
M. Nisbet, pastepr, et Z’Associazionie Na"
zionalé Alpini.
Angrogne (les Jouves), 30 novembre 1937-XVI.
A l’occasion du départ de
Coclea
Voici un mot d’actualité à l’approche de
Noël. L’Echo ne peut, malheureusemient,
pas faire des cadecmx, mais d peut en...
demander! Pour le moment, E se permet
d'en soUidter deux : un pour lui et un
pour une paroisse des Vallées. La paroitse
aurait urgent besoin d'tm poêle grand et
solide pour une SaUe de réunions. L’Echo
pourrait écrire bien pZ«s et bien mieux
s’il avait une machine... à écrire. Les cadeaux entretiermmt l’amitié même entre
i’Echo et ses lecteurs!
Se trouvera-t-û une âme charitable pour
accueillir notre appd ?
Eisa Canal
la famille remerde toutes les personnes
qui hd cmt témoigné leur affectim, et leur
sympathie pendant la longue et pénible
maladie et le départ de leur chère fille,
d’une manière spédale le doef. E. Quattrini et les Sœurs de l’Hôpital du Pomaret.
Peirrier (St-Martin), le 1er déesembre 1937-XVIj
Les amis sont une force et une consolation. Les vrais amis! — On né les conr
naît qu’aux heures d’angoisse.
La charité riset pas un acte, c'est une
vie. LOBOTEEtr.
Les Livres.
Lydie Morei^, docteur ês-lettres : Le droit
au travail de la femme mariée. —
Une brochure in-16", de 37 pages. —
Editions « Labor », Le Grand Lancy,
Genève. — Prix : franc suisse 0,75.
Cette étude traite, non sans humour,
d’un des droits les plus âprement discutés de l’heure préisente. L’auteiur ébaie sa
défense sur une argumentation vigoureuse
et originale, qui ne manquera pas d’intéresser les lècteurs tant masculins que féminins, adversaires ou non. Dans un développement rapide et conoret, il met en
évidence les préjugés qui sont à la base
de l’opposition au travail de la femme mariée et démontre avec clarté Tinefficacitê
et l’injustice de la formule : « Retour de
la femme au foyer », pour enrayer le chômage et affermir la famiUle
PURES AMOURS, Le Calendrier de la
Famille pour 1938. 6 planches artistiques en héliogravure sur passe-partout assortis avec pensées d’auteurs
illustres. — Les Editions « Labor »,
Genève. Prix : franc suisse 1,30,
Pour la quinzième fois paraît c© beau
Calendrier, que l’on a imité de bien dies
façons, sans pourtant 1© dépasser. Cette
année, l’on a réalisé ce tour de force d'en
abaisser le prix et de n’en pas diminuer
la valeur artistique. Sous un titre émouvant ;; Pures Amours, <«it été groupés six
sujets propres à élever les pensées de
ceux qui les admireront. Alors que tant
d’autres productions qui se réclament de
l’art et de la, littérature profanent te mot
d’amour, il faut tout faire pour lui con,server sa noblesse. Cette publication y a
réussi et pour cela doit être largement
répandue. Cadeau à faire à tous tes jeunes.
« « «
Parmi les activités du Conseil Œcuménique, pour le Christianisme Pratique il
nous faut .signaler tes publications des Comités « Théologiens » et « Recherches »
et d'une façon spéciale les études de M.
Dibelius, G. Irenàus, R. Keussen, E. Wolf,
P. Barth, E. I. Hagan et R. Kenyon, qui,
après avoir été discutées dans ces « journées Üiéologi'ques » de Genève en 1932,
ont été ensuite publiées sous te titre
« Kirche, Bekmntnis und Sozialethos »
(Euche-Verlag, G. m. b. H. Berlin N. W. 7).
T,l s'agit de sept études qui, de différents points de vnie,, avec des méthodes
diverses tâchent de répondre ah problème que posa Martin Dibelius, dans les
premières lignes de son tmv.ail : « Le
Monde attend du Christianisme une action sodale ». Or quelle réponse donnept,
à cette attente!, l|e Nouveau Teetament,
l’Eglise Orthodoxe, lés Vieux-Catholiques ;
le Calvinisme Ecossais ; l’Anglicanisme ?
Pfeut-on parler d’une éthique sociale protestante Luthérienne, Callviniste, etc., etc. ?
Les Eglises historiques en ont-elles senti
la nécessité, et dans quelle mesure? D’une
façon .générale, la réponse semble bien
être qu’une Ethique sociale est inhérente
à la foi chrétienne et que cette Ethique
sociale est et doit être de nature spécifiquement chrétienne. Où par contre les
avis se sont partagés, c'est sur le fondement des assertions de cette Ethique sociale. D’un côté, c’est la ligne générale
de ces études, on affirme avec force «Pé-^
troite et .exclusive dépendance de toute affirmation d’éthique sociale, de Jésus-Christ
Révélaticn de Dieu, Créateur, Réconciliateur, Perfectionneur », et l’on condanne
comme dangereux le postulat d’une lex
naturae, considérée comme une isourc© indépendante de conna.issanoa. D’autre part,
on a objecté que dans le Catholicisme et
assez souvent aussi dans l’histoire des Eglises protestantes une doctrine du drint
ymturd s’est développée et existe' en réac
lîté et qu’elle doit être considérée comme
un élément essentiel de l'Ethique Sociale.
11 nous ©St impossible d’entrer dans la
discussion ; mais un fait est hors de doute :
tes valeurs fondamentales du message
évangélique sont hors de discussion.
« L’Evangile n’est pas un message social, mais il agit comme exigence sociale...
Ti est une proclamation actuelle et non
une doctrine de vie idéala.. La demande
est une seul© : comment dans notre condition actuelle compriunons-nous cethe proclamation de Dieu ?... Gemment rendre concrête cette proclamation, c’iest là tout le
.problème, le seul qui importe soit au point
de vue de la Morale Chrétienne, qu’à celui du devoir social» (M. Dibelius : La
note dans le Nouveau Testament).
Comme tentatjya d'esquiaser les grandes lignes d’uîie Ethique sociale évangélique, et de faire lessortir les vaiteute corn
fessionneiHes qui devraient trouver dans
un véritable œcuménisme leur réelle raison d’être, ces études sont à méditer!
a.
instltntlMi iKpitaliim laniiii«.
REFUGE.
Selma Longo, Firenze, L- 20 - Signore
Caveglia, Torre PeMice, 50 - Angelo Far
rina, Id., 50 Elisabetta Dreher, Malnate.
100 r «Reconnaissance à Dieu», 30 - Comune di Perosa (contrib. 1937), 100.
Collecté par M.me Pauline Btdmas, à
Saint-Germain ; M.me Elise Vinçon, L. 10
- M.me Lydie Ribet, 5 - Hélène Bounóus,
10 - M.me Elisa Peyrot, 10 - M.me Ad^
Alfano, 10 - Mjlle Clothilde ReVel, 10 M.ïfe Anna Rostan, 5 - M.me Pauline Du
chène, 5 - M.me Olimpia Méynier. 10
M.me Giulietta Rivoir, 5 - M.me
Durand, IO - M.me Angèle Griset, 5 ■ M.le
IMa Revel, 15 - M.me Pauline BahnasTurin, 40 - Mite Marguerite Baliteas, 55
- M. Guido Balmas, 20. — Total L. 225,
Cdlecté par M.Ue Charlotte Clavel, à
Lausmne : M.üe A. Huriimárm, frs. 3 M.me Clavel, 3 - M.me MüBer, 3 - M.lte
H. Clavel, 10 - Vente de Pâques, 28,35 X., 12. — Total frs. 59,35 = L 255,80.
L’Administration remercie vivement.
Le Président : '
Avocat Stefano P!eybot.
COMUNE DJ TORRE PÇJLUCE.
Stato Cirilo dal 22 Hot, al 5 DlcoQbre 1937-ÎVI.
Nascite N® 2
Decessi N® 3
4
L’Echo des Vallées - Vendredi 10 Décembre'1937-XVI
ORARIO FERROVIA TORRE PELLICE>P1N EROLO-TÒRINO
DAL -I» NOVEMBRE -IBST-XVI
Torre PelUce p. 1 ■ # 5,40 7,15 12,39 17,11 . 18,25 19,47 2 21,05
Luserna S. G. > , 5,44 ) ■' 7,19 12,43 17,15 18,29 19,51 21,09
Bricherasio > *—f 5,56 7,33 12,58 17,24 18,46 20,05 21,21
Pinerolo » 5,19 6,13 7,02 7,45 13,19 17,42 19,08 20,26 21,40
Alrasca > 5,36 6,29 7,26 7,58 13,41 18,04 19,32 20,53 22,02
Torino a. ir 6,13 7,06 8,07 8,24 14,20 18,38 20,04 21,30 22,39
Torino p. 3 0,25 6,40 8,08 11,48 13,29 17,25 18,36 19,05 20,15
Airasca » 1,03 7,22 8,39 11,22 14,11 18,03 19,14 19,31 20,52
Pinerolo > 1,22 7,46 8,55 12,41 14,32 18,19 19,31 19,44 21,08
Bricherasio > ““f"“ 8,04 9,08 12,57 14,50 18,40 ^ 20,02 ^
Luserna S. Q. > 8,15 9,18 13,08 15,01 18,51 ' 20,13 -
Torre Penice a. 8,18 9,21 13,11 15,04 18,54 20,16
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15,27
15,34
15,39
15,45
19,05
19,10
19,17
19,24
19,29
19,35
Bobbio P.p.
ViaFourca »
Villar P. »
Chabriols >
S.Margh. »
Torre P. a.
6,30
6,35
6,41
6,48
6,56
7,
11,50
11,55
12,01
12.P8,
12,15
12,20
Í
16,20
16,25
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}6,38.
16,45*
16,M
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Il Valdesi.
VALLI VALDESI.
ANGROGNA - Pastore ; Roberto Nisbet.
ANGR03NA (Serre) - Pastore : A. Deodato.
BOBBIO PELLICE - Pastore : Alberto Ricca.
LUSERNA S. GIOV. - Pastore : Lorenzo Rivoira.
MASSELLO - Pastore : Alberto Rìbet
FERRERÒ - Pastore ; Oreste PeyroneL
PINEROLO - Pastore : Luigi Marauda.
POMAREITO - Pastore : Guido Mathieu.
FRALI - Pastore : Lamy Coisson.
PRAMOLLO - Pastore : Ermanno Rostan.
PRAROSTINO - Cand. Teol. Edoardo Aime.
RICLARETTO - Cand. TeoL A. JanaveL
RODORETTO - Cand. TeoL A. Gonr©.
RORA’ ' Pastore : Enrico Geymet.
S. GoERMANO CHISONE - Pastore : Gustavo
BOTtln.
TORRE PELLICE - Pastore : Giulio Tron.
VILLAR PELLICE - Pastore : Roberto Jahier.
ABBAZIA' - < Chiesa di Cristo ». Culto alle
ore 16 - Pastore : Valdo Vinay, da Fiume.
AOSTA - Chiesa: 3, Rue Croii de Villa.
BARI - CSiiesa Valdese - Da Carato.
BERGAMO - Chiesa : Viale Vittorio Emanuele, 4
- Pastore: Arnaldo Comba, Viale Vittorio
Emanuele, 59.
BIELLA - Chiesa : Piazza Funicolare, Palazzo
del Consorzio Agrario.
BORDIGHERA - Chiesa: Piani di Vallecrosia
' Pastore : Davide Pons, Istituto Femminile
Valdese.
BRESCIA - Qiiesa : Via dei Mille, 4 - Pastore i
Enrico Meynier, ivL
BRINDISI - (Thlesa Vaidese : Via Congregazione - Da Taranto.
CALTANISSETTA - Chiesa: Via Maida, 19 Da Palermo.
CARUNCHIO - Chiesa Valdese - Cand. Teol.
Liborio Nasq, ivi.
CATANIA - Chiesa : Via Naumachia, 20 - Pastore : Teodoro Balma, ivi.
CERIGNOLA • CSiiesa Evangelica - Pastore :
Enrico Pascal, Viale Regina Margh., 17.
CO AZZE - Chiesa Evangelica - Da Taire PeUice.
OOMO - Chiesa: Via Rusconi, 9 - Pastore:
Carlo Lupo.
DORATO - Chiesa Valdese : Carso Mazzini, 27 Pastora; A. Miscla, ivi.
PELONICA PO - Chiesa Evangelica - Oand.
Teol. Enrico Corsani.
FIRENZE - Chiesa di Via de’ Serragli, 51 Chiesa di Via Manzoni, 13 - Pastore : Virgilio Soramani - Cbadlutore : Pastore T.
Vinay,
FIUME - Chiesa : Via Pascoli, 6. Culto alle
oro 10 - Pastore : Valdo Vinay, presso Big,
Wiltsch, Via Bacclch, 5.
FORANO - Chiesa - Pastore : Alfonso Alessio^
Forano Sabino (Rieti).
GENOVA - C3iiesa ; Via Assarotti - Pastore :
EmUio Corsani, Via Curtatone, 2.
GROTTE - Chiesa - Grotte (Agrigento) -„ Da
Palermo.
IVREA - Chiesa : Corso Botta, 5 - Pastore :
Arturo Vinay, Casa Bavero, Piazza d’Armi.
LIVORNO - Chiesa ; Via G. Verdi, 3 - Pastore :
Attilio Arias, ivi.
LUCCA - Chiesa : Via Galli TassL 18.
MANTOVA - Ciiiesa ; Via Bacchio, 5.
MESSINA - Chiesa : Via Maddalena, 39 isolato 147 - Pastore : Seiflredo ColuccL
Via C. Battisti 191, isolato 217.
MILANO - Chiesa ; Piazza Missori, 3 - Pastore : Enrico Tron, Via Euripide, 9.
NAPOLI - Chiesa : Via Cimbri, 8 - Pastore ;
Mariano Moreschini, M.
NEW-YORK - Prima Chiesa Valdese - 405 West,
41 Street - Culto principale i 4 P. M. — Pastore Pietro Griglio - 21 West - 95 th Street.
NIZZA - Chiesa : Rue Gloffredo, 50 - Pastore :
Alberto Prochet, ivL
ORSARA DI PUGLIA - Chiesa Valdese - Da
Oerignola. 5
PACHINO - Chiesa Evangelica - Cand TeòL
E. Micci.
PALERMO - Chiesa : Via Spezio, 43 - Pastore :
V. SubiUa, Ivi.
PIANI DI VALLECROSIA - Pastore: Davide
Pons, Istituto Femminile Valdese.
PIAZZA ARMERINA - Chiesa Valdese - Da
Catania.
PIEDICA VALLO - Chiesa ; Via Carlo Alberto.
PISA - Chiesa: Via Derna, 15 - Pastore: P.
POyronel - Via Santa Maria, 85.
REX3GIO CALABRIA - Chiesa Rione S. Marco ;
Via Possidonia, 4 - Da Messina.
RIESI - Chiesa Evangelica - Pastore : Umberto Bert
RIO MARINA - Chiesa Svangelica - Da LItotiu).
ROMA - Chiesa di Via Quattro Novembre, 107 Pasta« : Giovanni Bonnet, Ivi - Chiesa di
Piazza Cavour - Pastore Paolo Boslov Via
Maarlanna Dionigi, 57.
SAMPIERDARBNA - Chiesa : Via Gksuè Carductel, 16 - Cand. M. P. V. Panasela.
SAN GIACOMO DEGLI SCHIAVONI - Chiesa
Evangelica - Anziano-Evangelista Scarlnd
Gius^pe, IvL
SANREMO - Chiesa : Via Roma, 8 - Pastore :
Ugo Janni, tvL
SCHIAVI D’ABRUZZO - Chiesa Evangelica.
SIENA - Chiesa Valdese : Via S. Doroenlcoi 5i
SUSA - Chiesa : Vie Umberto I, 14 - Da Torre
PelUce.
TARANTO - Chiesa; Via Pupino, 16-20 (angolo
Via F. D. Palma) - Pastore : G. Casflglione,
Via F. D. Palma, 144.
TORINO - Ciiiesa : Corso Vittorio Emanuele lì
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastore ;
Alessandro Simeoni, Via Pio Quinto, 15 Coadiutori ; Pastori Elio Eynard e Emilio
RavazzinL
TRIÈSTE - Qiiesa : Via S. M. Maggiore - Pastore G. del Pesco, Piazza della Libertà, 5.
VENEZIA ' Chiesa : Palazzo Cavagnis (S. M.
Formosa) - Pastore : Ernesto Ayassot, ivL
VERONA - Ciiiesa: Via Duomo (angolo Via
Pigna) - Da Brescia,
VITTORIA - Chiesa Evangelica - Pastore : Arturo Mingardi, Via Garibaldi, 60.
LUGANO - Chiesa Evangelica - Pastore : Guido
Rivoir, Via Franscini, 11.
ZURIGO - Chiesa Italiana : Waldenserwerk Pastore ; Alberto Fuhrmann, Idastrasse, 21.
Il culto principale si celebra in tutte le
Chiese alle ore 10.30 circa della Domenica.
UFFICIO DI PRESIDENZA DELLA TAVOLA
VALDESE - Prof. Ernesto Comba, moderatore - Pastore Guido Comba, cassiere Cand. Teol. Paolo Marauda, segretario del
Moderatore - Via Quattro Novembre, 107
- Roma (101).
FACOLTA’ DI TEOIXiGIA - Via Pietro Cessa,
42 - Roma (126) - Professori : Ernesto
Comba, Davide Bosio, Giovanni Miegge.
LICEO-GINNASIO PAREGGIATO - Torre Pellice - Preside : Prof. Adolfo Tron.
COMMISSIONE DELLE PUBBLICAZIONI Prof. Davide Bosio, presidente ; Virgilio
Sommani, Giovanni Miegge, Mariano Moreschini.
• LIBRERIA ^ITRICE CLAUDIANA - Ibrre
PeUIce - Direttore : Pastore Paolo Cadsson.
CONVITTO MASCHILE - Torre PeUice - Direttore : Pastore Davide Forneron.
ISTITUTO FEMMINILE VALDESE - VaUeCTOsia - Direttore : Pastore Davide Pons.
ORFANOTROFIO FEMMINILE - Torre Pollice - Direttrice : Sig.na Adele Arias.
ORFANOTROFIO MASCHILE (Istituto GouJd)
- Via Serragli, 51, Firenze - IMrettore r
Pastore V. Sommani.
ISTITUTO ARTIGIANELLI VALDESI - Thrino
- Via BerthoUeL 34 - Direttore : Or. Uff .
Paolo Canobbio.
OSPEDALI VALDESI - a Torre ̻eUloe - a
. Pomaretto - a Torino, Via BerthoUet, 36.
CASA DELLE DIACONESSE - Sede: Torre
PelUce (Torino) - Direttore ; Pastore Roberto Nisbet, Angrogna.
RIFUGIO PER INCURABILI t RE CARLO
ALBERTO » - Luserna San GlovannL
ASIIA) PEI VE(X1HI - Luserna San Giovanni.
ASILO PEI VECCHI - San Germano Chisone
. - Direttore : B. Soulier, pastore emerito.
ASILO PEI VECCHI - Vittoria (SieUìa).
COLONIE VALDESI
NELL'AMERICA DEL SUD.
Uruguay.
COLONIA VALDENSE (Dep.to Chlonla). - Pastore : Ernesto Tron,
COLONIA COSMOPOLITA ;(Dep.to Colonia
Vìa Rosario) - P,astore > Enrico Beux.
AGRUPACION : ROSARIO-BARKER-COLLA-;
POLONIA (Dep.to Colonia) - Attesa daUe
Chiese di Colonia Vaidense e di Cosmopo'ita.
TARARIRAS E ANNESSI (Dep.to Colonia) Pastore : Daniel Brefeze.
OMBUBS DE LAVALLE (Dep.to Colonia)
Pastore : Carlo Negrln.
COLONIA MIGUELETE (Dep.to Colonia) - Pastore : Carlo Negrin,, da Ombfles.
SAN-iSALVADOR (Deputo Soriano) - Pastore i
■Giovanni Tron (residenza: Dolores). —
Coadiutore : Evangelista Erailio E, Ganz
(residenza; Cafiada de Nieto, Dolores). '
NUEVA VALDENSE (Dep.to Rio-Negro) ■ EvangeUsta Emilio >E. Ganz, da Cañada
de Nieto).
NIN Y SILVA (Dep.to Paysandfl) - Evangelista EmiUo E. Ganz, da Cañada de Nieto.
Argentina.
COLONIA BELGRANO (Prov. Santa F6 - Estaeìdn Wildermuth P. C, Ci A.) - Evange• lista Carlo Alberto Giriot,
COLONIA IRIS (Pampa Central) - Pastore i
Silvio Long, Est., Jacinfo Aràuz, P. C. S.
COLONIA SAN GUSTAVO (Prov. Entre Rios
- La Paz) - Visitata pertodlcamente.
COLONIA EL SOMBRERITO (Proy. Santa Fé
- Est, Paul Groussac F. C. S. F.) - Visitata
périodicamenfe.
OALCHAQUI '(Prov. Santa Fé, F. C. S. P.)
- Visitata periodicamente.
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