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Cinquante-neuvième année.
19 Janvier 19^
N* 5
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DE$ V4LLEE8
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
..jNNEMENT I
Vallées Vandc' ...............
Italie (en dehors des Vallées) et Colonies .
Etranger ....................• • •
Plusieurs abonnements à la même adresse
Etats-Unis d’Amérique ........................... i doll. % doll.
On s’abonne; à Torre Peliice, au Bureau d’administration de l’EcAo (Via
Arnaud, 29); dans toutes les paroisses, chez MM. les Pasteurs,
Par an
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S’adresser: {mur la Rédaction, au Directeur M. Jean CoissoN, professeur,
Torre Peliice • pour l’Administration, au Bureau du journal. Via Arnaud.
N* 29 - Torre PelHce. •' i ' . •
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Tout changement d’adresse coûte 50 centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
w Le Numéro I 90 c^itimes vo
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..... dignes de louange, occupent vos pensées. (Pbil. IV, 8).
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JV.'V’XS.
La SOCIÉTÉ D’fflSTOIRE VAUDOISE
a décidé de publier, cette année aussi,
deux brochures dites du 17 février; l’une
en français pour les Vallées, l’autre en
italien pour les églises de la mission en
Italie. MM. les Pasteurs sont vivement
priés de s’inscrire avant le 5 février, auprès du soussigné, -pour le nombre d’exemplaires qu’ils désirent.
Le Président: D. Jauiki;.
La compassion de Dieu.
« Plus je parle d’Ephraïm, plus
son souvenir est en moi ! Aussi
mes entrailles sont émues en sa
faveur; j’aurai pitié de lui, dit
l’Eternel ». Jér. XXXI, 20.
Plus on étudie avec soin ces admirables
paroles, plus elles créent en nous un religieux étonnement. Ce n’est que graduellement que leur signification se dessine
nettement devant nos yeux en les remplissant d’une admiration profonde. Lorsque
notre foi est assez forte pour les recevoir
. simplement, elles éveillent en nous des
sentiments de reconnaissance et d’adoration. C’est par une sympathie toute divine
que l’Eternel participait aux souffrances
d’Blphraïm. C’est par la même sympathie
qu’il participe à nos douleurs.
Cette idée vous étonnerait-elle ? Le père
le plus parfait serait-il celui qui est le
plus indifférent aux tristesses de ses enfants ? Le roi le plus généreux, celui (¡ui
se soucie le moins de la situation de ses
sujets ? Et n est-ce juis l'idée la plus arbitraire et la moins fondée, que l’on puisse
se faire des perfections de l’Etre divin,
que de penser qu’il lui est impossible
d’être profondément affecté par les souffrances de ceux (jui lui appartiennent ?
Tout ce que nous .savons de la perfection morale nous jjermet d’affirmer qu’elle
est d autant plus pénétrée de compassion
pour les douleurs des autres créatures :
que celui qui en est revêtu occujie un plus
haut degré de l’échelle des êtres. L’amour
est la perfection la plus glorieuse de Dieu,
de même qu il est le fonri de la bonté morale de 1 individu. Or, l’amour peut-il perdre son caractère propre, quand il existe
dans 1 âme à 1 état parfait et à un degré
infini? Lidée est trop absurde pour être
soutenue par personne.
Mais, demandei'a-t-on peut-être. Dieu
n est-il pas l Etre souverainement heureux ? Peut-il l'être si les souffrances de
ses enfants font sur lui une impression
profonde, qui éveille son auguste sympathie ? Nous répondons à notre tour en demandant si cette souffrance ne serai! pas
un des éléments de sa félicité.
« Cette douleur de la compassion en
Dieu, observe le docteur Bushnell, ne constituerait-elle pas la joie la plus haute, la
plus profohde, la plus .sublime de l’Eternel? Y a-t-il eu jamais ici-bas un être dont
la paix fut aussi profonde que celle de Jésus ? et la joie un des éléments les plus
nobles de sa nature ? Nulle joie n’est aussi
grande que celle qui revêt parfois une
forme tragique. Quand le chrétien e.st-il le
Plu.s heureux, si ce n’e.st lorsqu’il dépense
sa vie dans les effusions d’une sympafhie
étendue sur les êtres qui en sont indignes, luttant pour eux dans ses secrets
Gethsémanés, et intercédant aux pieds de
Dieu par des soupirs que Dieu seul peut
comprendre pour ceux qui n’ont pour euxmêmes aucune pitié ! ».
Par conséquent, quand nous disons que
Dieu souffre de la sympathie qui l’unit à
son peuple, nous affirmons d’une manière
sous-entendue sa béatitude infinie.
Qu’il est ‘immense le nombre de ceux
qui soulfrent ! Qu’elle est longue la procession des pèlerins qui se dirigent vers
la cité éternelle et qui ont souvent mouillé
de leurs larmes le chemin dans lequel ils
marchaient, ou laissé sur le sable la trace
sapglante de leurs pieds ! Pensez à Ja noble armée de martyrs qui, après avoir enduré des tortures indicibles, ont scellé de
leur sang le témoignage qu’ils ont rendu
à leur Sauveur ; aux pauvres patients qui,
dans un milieu plus humble, ont traversé
des jours pleins de trouble et de longues
nuits d’angoisse ; à tous les foyers chrétiens sur lesquels la pauvreté et les privations journalières ont jeté leurs ombres
lugubres. Pensez à tous les combats spirituels, à toutes les douleurs des justes,
•et dites-vous que. par une ineffable compassion, l’Eternel participe à toutes ces
douleurs.
Comme Dieu se rapproche de nous, créatures fragiles, misérables, assujetties à la
douleur, quand nous pouvons le considérer
comme prenant part à toutes nos peines !
Comme notre cœur s’élève vers Lui dans
un élan d’adoration lorsque nous discernons en Lui, en quelque sorte, le Compagnon de nos souffrances ! Comme sa sympathie s’emi)are alors du cœur et le captive ! La douleur apparaît dès lors à l’âme '
sous un jour nouveau. Elle e.st sanctifiée
par la part que Dieu consent à y prendre,
et le malheureux est relevé par l’assurance que l’épreuve contribuera à son véritable bien.
Comment l’âme s’abandonnerait-elle à
l’impatience et au mui-rnure, quand elle
sait que Celui qui l’éprouve connaît combien le sentier dans lequel elle marche est
rude, et combien lourd le fardeau déposé
sur ses épaules ? La volonté la plus opiniâtre se courbera désormais devant la
douleur qui la visite, et le cœur le plus
dur se sentira pénétré par les influences
d’un amdur saint et paternel. Dans la
nuit de la souffrance, le chrétien angoissé
saisira avec d’autant plus d’abandon, de
foi et d'amour la main miséricordieuse et
libératrice de Celui qui prend part à chacun de ses troubles, à chacune de ses peines, et répand dans .son âme les trésors
d’une sympathie divine dont nul œil humain ne pourra jamais sonder les mystérieuses pi-ofondcur.s. Bahth. S0U.LIEK.
(Traduit de l’anglais).
Où allons-nous?
Sous le titre « Medioevo », Iai Luce du
10 courant relate certains actes d’odieuse
intolérance religieuse, perpétrés dernièrement à, Subiaco, sur l’Aniene, dans le voisinage de Rome. Nous extrayons de la lettre de M. Paolo Bosio, les passages sui
vants, pour l’édification de nos lecteurs
des Vallées et de l’étranger.
« .7Je m’étais rendu, le l.r courant, à
Subiaco, pour y visiter le groupe évangé■ lique de l’endroit, un petit groupe, à la
vérité, mais fervent, courageux et animé
d’un zèle remarquable.
Le curé de l’endroit avait prêché des
paroles enflammées contre les protestants,
en répétant, du haut de la chaire, les vulgaires calomnies d’usage, tirées d’une petite feuille volante largement répandue,
ces jours-ci, à Rome et dans les environs,
où on jette un cri d’alarme contre « ces
hommes qui, de pays éloignés, regardent
vers l’Italie pour la conquérir. Ils veulent gagner l’âme du peuple italien, l’arracher à ses plus chères traditions, à
l’amour de la famille indissoluble, à la Madone, à la splendeur du culte et de l’art
religieux, à la vénération du Pape et de
l’Eglise. Ces gens, qui disposent de milI lions, considèrent l’Italie comme un pays
I qu’on peut acheter et corrompre ! ! ». Et
Ïla petite feuille continue sur ce ton.
« A peine arrivé à la petite viUe, en
* compagnie de l’étudiant Emmanuel Bu
À ■
fano, voilà venir à notre rencontre deux
Maréchaux des Carabiniers qui nous demandent de les suivre à la caserne vu
qu’ils doivent me parler. Et, au milieu des
deux gendarmes, nous traversons le village où était préparée l’embuscade organisée par le prêtre qui avait convoqué, à
cet effet, les représentants de tous les
groupes de l’endroit, en demandant leur
appui, pour chasser l’ennemi.
« Vous pouvez imaginer ce qui s’ensuivit. Une vraie foule de voyous, de mauvais
sujets, de femmelettes commença à siffler,
à crier, à nous insulter en faisant l’acte de
se jeter sur nous. Le curé jubilant les suivait en courant et les excitait. Et voilà
comment, à l’aide des carabiniers et des
fascistes qui étaient sur les lieux, nous
avons été poussés, bousculés, traînés dans
la caserne où nous sommes demeurés quel<iue temps. Après quoi o-n nous fit monter
en voiture et l’on nous éloigna du village...
Les frères de Subiaco ont aussi été en
butte aux violences, aux persécutions et
aux menaces sur lesquelles l’autorité ferme volontiers un œil, en s’appuyant sur
l’attitude équivoque, en matière de liberté
religieuse, du Couvernement actuel... ».
Et voilà ce qui s’est passé, à quelques
kilomètres de la capitale, en l’an de grâce
1923 ! Vous pourriez vous passer de commentaires, mais il est bon que ces choses
■soient connues, en Italie et à l’étranger.
Nous les dénonçons donc à la réprobation
des honnêtes gens, de tout pays et de
toute confession religieuse. Jusqu’ici il n’y
a guère que la presse évangélique qui se
soit sérieusement préoccupée de ce nouvel
acte d’intolérance religieuse ; qui se préoccupe de la nouvelle orientation politicoreligieuse du Gouvernement fasciste, des
réformes qu’il projette au sujet de l’insti'uction religieuse . dans les écoles. Dans
tout autre pays l’opinion publique s’en serait émue : chez nous c’est l’apathie, l’indifférence, si nous voulons écarter la veulerie et le manque de courage. Raison de
plus pour que la presse évangélique sonne
le clairon d’alarme, même si le danger qui
semble nous menacer pouvait être plus apparent que réel.
S’il fallait vous dire toute notre pensée
là-dessus, nous ajouterions que l’équipée
nullement héroïque du curé de Subiaco,
soutenu-et protégé par carabiniers et fascistes, nous a fait de la peine, bien sûr,
mais ne nous a nuUeipent surpris. Le vent
d’intolérance qui a commencé à souffler,
avec l’acquiescement tacite des autorités,
fera d’autres victimes. Nous en verrons
d’autres et c’est peut-être un bien. Lorsque la mesure será dépassée — et l’on est
en train de la dépasser — la réaction
viendra. Elle ne peut pas ne pas venir.
Certains actes d’intolérance ne sont possibles que sous certaines directions politiques ; et le curé de Subiaco et ses acolytes
l’ont fort bien compris. Gageons que sous
un autre régime, réellement libéral, au
lieu d’accompagner le ministre du culte à
la caserne, en l’empêchant d’accomplir les
devoirs de son ministère, la force publique
l’aurait escorté jusqu’à la salle de réunion
et aurait dispersé la foule hostile. Disons
mieux: les scènes d’intolérance n’auraient pas eu lieu.
La conclusion est toute trouvée : Aussi
longtemps que les lois qui nous gouvernent demeurent intactes, le devoir strict
du Gouvernement est de protéger tous les
citoyens, sans distinction de crédo religieux. j. c.
L’Evangile à l(ome.
Rome est toujours un grand centre d’attraction, soit à cause de son glorieux
passé, soit à cause de la position unique
qu’elle occupe dans le monde, étant en
même temps la capitale d’Italie et la capitale du catholicisme. On s’attendrait,
surtout à l’époque de Noël, d’y trouver
quelque chose d’exceptionnel pour attirer
les âmes à Christr à l’adoration. Mais il
n’en est rien, car la.messe de minuit, qui
a été reprise cette année à Santa Maria
Maggiore, les nombreux presepî qui s’étalent un peu partout — sauf l’excellente
musique qui a la puissance de réveiller
bien des consciences — vous laissent indifférents. Pie XI a saisi l’occasion de la
grande fête chrétienne pour lancer sa première encyclique au monde chrétien. Rien
de nouveau dans ce document, qui ne fût
connu : l’iniquité continue à régner ; on
soupire après la paix ; pour la posséder il
faut appartenir au règne de Dieu; l’Eglise
travaille dans ce sens, attendant le jour
où il y aura un seul troupeau et un seul
berger, mais pour tout cela il faut qu’elle
jouisse de toute son indépendance. Pie XI
a cité quatre passages de la Bible, mais
nous doutons fort qu’on aille les consulter,
la Bible étant encore, en Italie, un mythe.
Un personnage éminent, un artiste distingué, don Perosi, a lui aussi fait appel
à la Bible dans son entrevue avec Mussolini, en réclamant, après l’avoir longuement méditée, une Réforme, telle qu’elle
s’est effectuée dans l’Eglise anglicane ;
mais son ardent désir a été considéré par
le chef de notre gouvernement, comme le
rêve d’un exalté, l’Italie étant catholique,
devant rester catholique, et par conséquent se passant de Bible et de Réforme.
Heureusement, cependant, qu’à Rori\e il
y a d’autres forces qui sont à l’œuvre. 1!
y a l’Eglise Baptiste qui travaille avex- une
2
grande activité' et un esprit sérieux, regardant, comme le disait M. Landels,
beaucoup plus à la qualité qu’au’nombre
des adhérents. 11 y a VEglise Méthodiste
Episcopale; —- la conférence donnée par
le prof. Garretto sur les songes de Joseph,
devant un auditoire assez nombreux, a été
très intéressante. — If y a VEgUse Vaudoise qui, avec ses deux temples, attire de
nombreux auditoires. Les cultes de Noël
à Piazza Cavour et de Nouvel-An en Via
Tre Novembre, ont été solennels : le premier présidé par le prof. Rostagno, et le
second par le prof. Comba. Les deux temples étaient bondés pour l’occasion, et la
Sainte-Cène célébrée aux deux cultes a attiré des centaines de communiants. Le
culte en langue française, présidé par le
Modérateur à la veille du Nouvel-An, a
produit une excellente impression. Pourquoi ce culte ne deviendrait-il pas mensuel ? L’Evangile est annoncé avec puissance, dans toute sa pureté, dans la ville
de Rome, et si nous devons attendre un
revirement des choses, il nous faut regar^der non pas tant à ce qui se fait au point
de vue politique ou social, non pas aux encycliques ou aux formes solennelles du
culte, que l’on croit être du christianisme,
mais à Christ et à son Evangile.
L’Ev'^angile est annoncé, c’est l’essentiel"
la grande réforme que nous attendons,
après laquelle soupire don Perosi, viendra
c_ertainement. Notre tâche actuelle est de
trav’ailler, prier et persévérer.
C. A. Trox.
Dtle
(Wurtemberg).
Listes précédentes, L. 3.497,05 — Mesdames et Messieurs : J. D. Mourglia, Rorà.
L. 5 — M. D. AiUàud, Pralafera, 5 — H.
Théoph. Gay, pasteur. 10 — M.me G. P.,
10 — J. Jacques Pons, Rodoret, 1.
Total général L. 3.528,05.
La souscription est irrévocablement close.
POUR L’ÉCOLE DE RODORET.
Envoyés directement à M. Fuhrmann ;
Mesdames et Messieurs: V. et L. Mûris,
Milan, L. 15 M.me Pons-Gay, Id., 10 - M.ile Annand-Hugon, maîtresse. 10 Veuve Pons Jeanne, Fontaines, 5 - - l^ontine Pascal, Id., 5 — Jacques Barrai, 9
Michel Tron. 10 .Jean Pons, Marseille,
15 — Henri Pons feu Antoine, 10.
Encore de la Paroisse de Prali : Céline
Guigou. L. 5 - C. Bounous, 2 — Barai
Jacajues, 2 Baud J. E.. 1 -- Richard L.,
Rome, 5. ,
Paroisse de Perrier-Maneille : Louis Micol. pasteui', L. 5 Pascal Madeleine, 2^
- Ribet Henri, 3 Ribet Suzanne, 2,50
Micol .Jean. 2 - - Pons Eugénie, 5 —
Genre César, 3 - Pascal Jean Abram, 5
-- Collecte à Maneilüe, 21.70 Collecte
au Perrier, 18.
Paroisse de Rodoret : J’ascal .Jean Henri
feu Jean Henri, L. 12 -- Pa.scal Suzanne,
5 — Pa.scal Antoinette, 5 Breuza .Jac
(lues, 5 Pascal François feu Pierre, 5
Meytre Auguste, 1 — .Jean Barrai de Ph .
10 — h’rédéric Genre, 10 — J. Daniel
Meynier, 5 - Tron Auguste, 8 — Tron
François, 6 - Genre François, 5 - Bal
ing David, 4 - Tron Jean Pierre de Ph.,
6 - - Garrou Jean de François, 1 — Pas
cal Jules feu Jean Henri. 20 — Pascal J.
Pierre feu Pierre, 5 - Pons Pierre feu
Antoine, 2 -- Pascal Jean Henri feu Jacques, 10 — Pons Jean Jacques feu Jean,
10 Pascal Jacques feu Jacques, 4
Pons-Genre Pierre. 7 — Jules Genre, 10
-- Barrai Jean de François, 1 — Henri
Tron feu Jean Jacques, 5 — Tron Benjamin. ancien, 10 — Tron Jean Pierre feu
Pierre, 15 - Genre Jean, 5 — Tron Elie,
0 Tron Charles, 2 — Pons Jean Jacques, 4 — Breuza Philippe. 5 — Pons
Philibert, 6 fJarrou .Jean, 1.
Paroisse de. Pomaret : l’eyrot Philippe, L. 10 Ribet Jean Jaerjues, Fanres, 3 Coucourde Michel, .syndic, 2
Grill Charles, 2 Pastre Auguste, 4 —
Pcyronel-Gaydou Jeanne, 5 - Peyronel
Marguerite, 5 - Bertalmio Pierre, 2
Pons Pauline, Pons, 2 - M. Perrou, 5 —
H, Mathieu, .secrétaire communal, 10
Pons Marie L/)uise, 1,50 — Jules Tron,
pasteur, 5 —- Collecte faite à l’Hôpital :
M. Martinat, 10 -- M. et M. Buffa, 2
M.lle Tron, 5 — M. Baud, 2 —- M. Tron, 2
— Soeur Louise, 5 — Sœur Estelle, 10
M. Clôt, 1 — Baime Alexandre, 3.
Voici le résultat de la souscription qui
a eu lieu dans notre Paroisse, et dont 1|3
est dévolu à Yécole de Rodoret et 2j3-sont
dévolus aux réparations extraordinaires
dans Je temple de Praniol.
Quartier de la Riià : Bouchard Jean,
L. 1 — Bouchard Lami, 1 — Bouchard
Jean Jacques, 1 — Jahier Louis feu Jacques, 1 — Long Albert, 1 — Long Humbert de Daniel, 1 — Sappé Alexis, 1,50 —
Jahier Jules, 1 — I.ong Jean feu Jean, 1
— Sappé Edvy, 1 Jahier I.évi de Jean,
1 — Jahier Henri feu Louis,. 1 — Grill
David, 1 — Sappé Henri, 1 — David Pons,
pasteur, 10.
Quartier du Chaureng : Jahier Alexandre, L. 1 — Jahier Eli, 2 — Jahier Barthélemy, 5 — Beux Elisée, 2 — Beux Daniel, 1 — Travers Jean, 1 — Beux Henri,
1 — Jahier Emile, 2 — Jahier Henri, Bolaré, 2 — Jahier Jean, 2 — Long Louis,
1 — Long Henri feu Jean Louis, 1 — Long
Daniel, 2 — Long Frédéric feu Jean, 1 —
Long Amédée, 1 — Ix)ng I^uis feu Jean,
1 — Bounous Henri, 1 —^ Long Jacciues, 1
— Travers Jacques, 0,50 — Costabel Jean,
1 — Costabel Ijouise, 2 — Costabel Amé .
dée de Louis, 2 — Travers Henri, 1
Travers Paul, 0,50 — Travers Héli, 1.
Quartier du Tournim : Long Geoi ges,
L. 2 — Bosio Henri, 3 — Beux Henri et
mère, 2 — Peyronel Henri feu Lcmis, 2
—■ Peyronel Frédéric, 2 — Peyronel Barthélemy, 1 — Combe Héli, 5 — Long
Alexis, ancien, 3 — Susanne Bertcilot
veuve Peyronel, 1.
Quartier de Peumian : Bounous Jean
Barthélemy, L. 1 —Bounous Jean de Jean,
0,60 — Plavan Alexandre, 2 — Plavan
Louise, 1 — Bounous Ernest, 3 — Bounous Ijéontine veuve Reynaud, 2 — BaJmas Héiil 0,50 — Reynaud Barth., 2 - Reynaud Héli, 1 — Bounous Théophile, 2
— Bounous Oreste, 2 — Bounous Jean feu
Jean, 1 — Bounous Arthur, 2 — Chev.
Balmas Baith., 2 — Bounous Henri feu
David, 2 — Soulier Susanne veu'.e Plavan, 1 Bounous Louis, 1 - Plavan Jean
Pieire feu Pierre, 1 — Plavan Barth., l
-- Plavan Jean feu Jean, 2 - - Ribet Jacques, 1 Balmas .Jean, 1 Boudrandi
Jean, 2 - Bounous Jules, 1 - Bounous
Albert, 1 Balmas Barth., 1 Bounous
Henri, 2 Beux Jacques et fi’ères, 3.
Quartier des Plencs : Peyi-onel Eugène,
L. 1 -- Bertalot Henri, 1 - Sappé Jean
feu Hehri, 3 Bertalot Susanne, 3 —
Bertalot Michel, 2 Bertalot Héli, 2 —
Beux Henri, 2 Bertalot Jean feu Michel, 2 - Tourn Henriette, 1 Sappé
Adeline, 2 Sappé Henri feu François,
3 - Sai)pé Jean feu Jacques. 3 Sappé,
Jean feu François, 1 Sappé Jean feu
Jean,. 2 Beux Jean, 1 - Menirsan
Henri, 2 Beux Barth., 2 I.,ong Emile,
1 - liong Henri, 1 - Bertalot Catherine
veuve Klett, 1 Soulier Barth. feu Jean,
2 - Peyronel Théophile. 1,.50 lx>ng Alexis l'eu Henri, 1 Long Daniel, 2 —
Sappé Henii feu Jean, 3 Qlot Djuis, 2
Ribet Jean, 2 Ribet Henri feu Jean,
2 - Ixm.g Barth., 2 Ribet I.x>uis, 2 —
Ribet .Jean feu Thomas, 2 - Ribet Henri
feu Thomas, 2 Ribet Henri feu André,
2 — Bosio Henri, 5 Peyronel Jean, 2
- Rostan François, 2 I^ong Jean, 3.
Quartner du Clôt: I.K)ng François, conseiller, \j. 1 — I.,ong Albei't feu Jean, 1 —
lx)ng Henri feu Jacques. 1 I.x)ng Henri
feu Jh-ançois, 2 — Ix;ng [jouise, veuve, 1
I^ng I./JUÌS feu André, 1 — I.«ng François feu André, 1 - - I^ong Jean feu François, 1 - Jahier Bévi, ancien, 2 - Long
Henri Alexandi’e, 1 - I.ong Henri de Jacques, 1 Jjong Héli feu Jean, 2 — Andrion Henri, 1 Reynaud I»uis, 1 —
Maurin .Jean Pieri-e, 1 -- I^ijng François
de Jean, 1. Union des mères et des jeunes 'filles, 13. - Total L. 229,10 : dont
L. 76,-'i5 pour ¡'école de Rodoret - envoijés directement — et L. L52,75 pour
les réparations extraordinaires au temple
fie Pramol. D. P.
CHRONIQUE VAUDOISE.
LA 'POLIR. Nos conférences de SainteMarguerite, toujours très bien fréquentées, continuent à offrir aux frères de I./a
Tour une excellente (x;casion de s’instruire
et de se faire du bien. Il y a quinze jours,
M. le prof. J. Coïsson nous parlait du philosophe chrétien Biaise Pascal, dont on va
célébrer le troisième centenaire de la naissance. L«a conférence de M. Coïsson
nous présenta successivement l’homme de
science, 1 homme de pensée, le polémiste
qui, par le moyen de ses « Provinciales »,
dévoila toutes les misères de la morale jésuitique. Une lecture de quelques pages
choisies de Pascal servit à rendre encore
plus vivante la grande figure de ce défenseur de la foi chrétienne, dont la pen.sée
éclaire encore si merveilleusement noère
route à trois siècles de distance.
Dimanche passé, M. le prof. Attilio
Jalla nous parlait d’Alessandro Manzoni,
qui quittait ce monde il y a cinquante ans,
après avoir contribué si vaillamment à la
cause de 1 unité nationale et au progrès
de la littérature. M. Jalla nous présenta
une étude très complète et très riche à
propos du grand écrivain dont les ouvrages sont toujours plus appréciés .soit au
point de vue de l’inspiration, soit à celui
de la forme.
Mercredi soir nous avons eu notre
soirée de la jeunesse. Inutile de dire que
la bonne humeur et la plus vive joie ont
régné pendant toute la soirée. Un .g'roupe
de demoiselles récita très gentiment La
meunière du Moulin Joly ; nous eûmes un
dialogue : L’atnour à 20 ans, des chants,
des jeux, du chocolat et des torchets, en
un mot de quoi nous faire passer trois
heures de la manière la plus agréable.
Nous remercions vivement M.lle Italia
Malan, qui eut la plus grande part dans
l’organisation de la soirée, ainsi que la
jeunesse de nos Unions Chrétiennes qui se
prêta, comme toujours, au bon succès de
la fête.
— M. Albert Rollier, le second fils du
prof. Hippolyte Rollier, vivait à Milan où
il dirigeait, avec son frère Michel, uiie importante entreprise industrielle. Il aimait
toutefois à revenir souvent à La Tour, où
la famille Rollier possède une des plus belles villas de la costière, et il a donné souvent des preuves de l’intérêt qu’il prenait
à notre vie sociale et morale.
M. ILollier, décédé la semaine passée ,\
Milan, a désiré d’être enseveli à La Tour,
et la cérémonie funèbre a eu lieu .Jeudi
11 courant, dans la matinée. Un bon nombre d’amis et de connaissances a tenu à
flonner, à cette (xicasion, à ¡a famille Rollier, un sincère témoignage de .son affection, en jiarticipant aux funérailles.
A huit jours seulement de distance,
voilà une deuxième « soirée de bienfaisaiiee » <iui a eu lieu .samedi dernier à
l'Aula Magna, par les .soins des élèves de
l'Ecole Normale, sous la haute surveillance'
de son directeur M. Attilio Jalla. Les élèves de la 3.me classe ont joué avec beaucoup de brio et d’entrain une pièce en
ti-ois actes de A. P. Berton ; La Famiglia
in Commedia ; trois élèves de 2.me, avec
l’intelligente collaboration du chef de gare,
M. Godino, jouent avec non moins de nature! une petite pièce en un acte de G.
Giacosa : Sorprese notturne. Dans les entr'actes, une autre élève nous régale d'un
joli monologue : La Chiacchieruna, auquel
il faut ajouter un beau ch(uur, parfaitement exécuté par les élèves des* deux dernières classes, sous la direction du prof.
A.. 'Lron.
Le jniblic qui remplissait la vaste salle
a remercié les exécutantes et les artistes i)ai- de vifs applaudissements. Cela
veut dire ((u’il a apprécié la bonne volonté de nos arti.stes, qu’il a joui. Et il
aurait joui davantage si une bande de
gamins mal élevés - - parmi lesquels nous
avons, hélas!, aperçu quelques élèves des
petites classes du Collège - ne l'avaient
troi) souvent dérangé, du fond de la salle,
par un bruit assourdissant et de stupides
coups de sifllet que rien ne pourrait justifier. Le public qui vient pour s'a?nuser
et se di.straire a le droit d'être lespect-é
et il faut qu’à l’avenir il .soit respecté.
MASSEL. Mardi 9 courant, vers les 1
heures de l’après-midi, un incendie s’est
déclaré au Bré-la-Combe dans une bâtisse
temporairement inhabitée, de notre frère
1 ancien Charles Micol. Les nombreuses
personnes accourues de tous- les villages
de la paroisse, après de longs efforts qui
se prolongèrent jusqu’à tard dans la nuit,
réussirent à isoler le feu et à mettre en
sûreté les meubles, les pommes de terre
et le vin. La vaste et belle bâtisse, en partie de construction récente, ainsi que le
foin, la paille et le blé ont été la proie des
flammes.
, Nous sympathisons avec M. Micol ét
nous remercions, en son nom, toutes les
personnes qui lui ont prêté main forte
dans cette pénible circonstance.
POMARET." Le Dimanche du chant a
a été célébré le 7 Janvier, et la paroisse
l’a bien apprécié vu qu’il doit devenir, peu
à peu une vraie institution pour l’avenir
du chant sacré dans nos paroisses des Vallées. Les membres de la Commission, pendant toute la journée, ont pris part à un
bon nombre de réunions qu’ils ont présidées. Au temple, M. le pasteur Eugène
Re.vel a parlé sur Colo.ssiens III, 16, en
faisant l'emarquer l’importance du chant
comme partie indispensable du culte chrétien. Le soir, dans la grande salle du Convitto, M. Francis Monney a tenu une conférence sur « le chant et la vie religieuse »,
qui a été suivie avec un grand intérêt par
une nombreuse assemblée. La Chorale du
Pomaret a accompagné la parole du Conférencier, en faisant goûter bon nombre
de cantiques d’une grande valeur au point
de vue historique et religieux.
— La Société de la Jeunesse, qui s’est
formée au sein de la paroisse! a eu une
première séance le 14 Janvier, à laquelle
ont pris part plus de 60 membres. Après
avoir écouté un discours du Pasteui", qui
a iparlé sur le but de l’A. C. D. G., les
présents ont voté la Constitution et le Réglement de la Société, qui est formée de
2 Sections — Pomaret et linvera-Pinache
— et qui compte déjà 115 membres.
A la présidence de la Société on a nommé les personnes suivantes : M. le pasteur
Jules Tron, président ; Prof. Corrado Jalla,
vice-président ; M. Théophile Mathieu, .secrétaire. — Pour la Section du Pomaret ;
M. Ix)uis Rostagno, instituteur, président;
M. Philippe Pons, vice-président ; M.lle
prof. Emilie ijtintaret, secrétaire; M.lle
Letizia Mathieu, M. E. Jahier. Pour la
Section de rEnvers-l’inache ; M. Ernest
Baral, président ; M. I^ouis Castagno, viceprésident ; M. Attilio Pons, secrétaire ;
M. Théophile Coucourde, M.lles Mafalda
Grill et Silvia Ribet.
Société prépare une soirée pour le
17 février, et fera son possible jiour av'oir
au plus tôt une salle ouveite ix>ur la
jeunesse.
Les membres de la paroisse, même ceux
c]ui sont à l’étranger, pourraient .soutenir _
notre Société en envoyant des livres ou
des journaux poui" la bibliothèque, à M.
le prof. Corrado Jalla, qui a la charge de
l’organiser, ou en fai.sant avoir à M. le
président, »pasteur Jules Tron, leur cotisation en argent. Ceux qui viendront en
aide à la Société auront l’honneur tle former la liste des membres honoraires,
PRADUTOUR. La dernière correspondance de l'Evangéliste n'a pas été insérée
vu que les nouvelles qu elle donnait étaient
déjà contenues, à i>eu près, dans une lettre
du Pasteur d’Angrogne. On nous prie cependant d’ajouter les remerciments les
plus chaleureux des habitants du Pradutour à l'adresse de M. Amato Jalla pour
son don généreux, MM. Rastellini et Joseph Be.sson ; M.lle Gmoipiccoli, la prin
ciijale organisatrice, de la «fête de l'arbre», et «le M. E, Revel pour le ditn du
sapin.
SAINT-JEAN. Envoyé en Angleterre
par la Vén. Table poui" une tournée de
collectes et i)ouf y représenter l’Eglise
V'audoise à certaines Conférences (pti le.
connai.ssent déjà favorablement, M. Emi.e
Tron a |)ris congé de son église Dimanche
7 courant. En s’inclinant aux délilxma-
3
^,tions de la Table, malheureusement justifies par la différence entre le résultat de
nos collectes indigènes et les besoins de
l’Administration, la Paroisse qui, même en
une période de quelques semaines seulement, avait appris à aimer son nouveau
Pasteur et le voit maintenant partir bien
-à regret, lui souhaite, ainsi qu’à MM. B.
Gardiol et B. Revel qui le remplaceront
pendant son absence, une œuvre largement bénie et féconde de bons résultats.
__Le dernier rapport de notre Asile des
Vieillards, distribué ces jours-ci, rend
<«mpte d’une dépense totale, pendant
Tannée 1921-22, de L. 15.485,75.
Comme nos rentes se montent à peine à
L. 4.416,35, même sans augmenter, comme il serait désirable, le nombre de nos
recouvrés, c’est plus de 9.000 lires qu il
nous faut trouver pour faire lace aux besoins de l’exercice en cours.
Nous osons donc recommander une fois
de plus notre modeste et pourtant si utile
institution à la générosité de nos amis et
bienfaiteurs, en attendant de publier la
seconde liste de dons parvenus flepuis
le l.r Juillet dernier.
— Notre Union Chrétienne de Jeunes
Gens, après la terrible secousse que la
guerre lui a donnée, a repi'is, petit à pe:tit, à vivre et à fonctionner. Elle n’est pas
excessivement nombreuse, si Ton veut,
mais l’on peut bien dire cpie, en compen■sation, ses menibi-es, tous réellement jeunes. s’efforcent de la faire vivre louablement. Depuis quelques semaines elle s’est
procuré une excellente lanterne magique,
dont les projections, dûment illustrées par
les unionistes qui s’y prêtent à tour de
rôle, sont très appréciées dans les diff'érents quartiers de la paroisse.
Mais il y a plus que ça ; outre à fournir
de moniteurs nos écoles du Dimanche, ou‘tre à accompagner les Pasteurs aux réunions sérales, nou.s croyons savoii- qu’un
unioniste s’est chargé de diriger lui-même,
une fois par mois, une de nos écoles du
Dimanche ; la moins accessible. Nous no
le nommons pas, pour le moment, pour ne
pas- porter atteinte à son innée modestie ; '
noLi.s aurons peut-être une auti'c occasion j
plus tard jjour le irropo.ser à la reconnais- i
.sance de la jraroisse avec quek|ues-uns de
ses amis qui, nous dit-on, désii'enl aussi ;
la mériter en iléployant une autic forme
d’utile ¿ictivité.
Pour le moment, <iu'il nous suffise de citer à «l’ordre du jour cette bienfaisante
^société, et, en lui souhaitant un heureux !
avenir, d’inviter tous les paroissiens de i
tout âge a lui accorder la sympathie et i
l’encouragement (lu'olle ménte. X.
' Notre paroisse a \ u partir, la se- !
maine dernière, deux \’ieili'ards ()ui empoitent avec eux restime et le resjrect |
qu’ils méritaient à tous égaids.
Mid'iel Peyrot, pendant (pi'il se rendait
au iravail dans la région de Pralafera, en
traversant la voie ferrée n'entendil pas,
a cause de la surdité dont .1 était affecté.
Je tram (jui s’approchait; aussi fut-il jeté
violemment a nue certaine di-stance par .
Je tanal de la machine ; et quand on s’em- ;
pressa à son secouivs. il était trop tard.
Il fut pendant de longues années ancien du quartier des Peyrot. Le long cortège, parmi lequel on remaniuait de nom- i
breuses personnes venue’.s de La Tour et
meme de Turin, malgré que !a neige tomà gros (kxions, et (jui raccompagna
lusquau champ rk, repos, est un ténioi- ;
ioiii^« 1 affection profonde doiff
-.......i
ivL .jour SUivarii- ? 4» ®
la mrm's<!P ’ ^ ^’^tre extrémité de !
ta paraisse, aux PeconL .
bmise aussi entourait ia”'p *'ni'' '
telle de Henri Fen^ü yt ,7" '
naire .s’il en fût, ’
plusieurs mois d’infirmité”
ans. il était neveu de Tévan
rmt Barth. Fenouil, bien j
Vivant'parmi nous, mais surtout”” '
«ù » P«. ,a ^
vie, annonçant avec beaucoup de fidélité
et de zèle l’Evangile de la grâce, et dont
se souviennent certainement les plus anciens parmi les lecteurs de Y Echo, et les
amis du Réveil de 1825.
Que les deux familles en deuil, la veuve
du premier et ses deux filles dorit la cadette, M.lle Pauline Peyrot, est depuis
bien des années maîtresse d’école à La
Tour, ainsi que les deux filles, la sœur et
le frère du second, le doyen du Consistoire
Pierre Fenouil, reçoivent encore l’expression de notre profonde sympathie.
B. GARuroL.
VILLAR. Actes liturgiques du 4.me trimestre 1922 : Baptêmes : Berton Louise
de David et de Romano Julie CVille) —Janavel Yvonne Lydie de Daniel et de
Planchon Emilie Joséphine (Ville) — Geymonat David de Joseph et de Coi'din Marie (Bes,sé).
Mariages : Pascal Humbert feu Jules et
Garnier Madeleine de Jean (CucurucUchoires) — Geymonat Abel feu Jean Jacques et Janavel Henriette Madeleine de
Jean Jacques (Bobi-Villar).
Décès: Bonnet Madeleine feu Jean Daniel, 42 ans (Ciarmis) — Ca'irus Anna feu
Jean, 54 ans (Ciarmis) - Bertinat Jeanne
née Jouvenal, 45 ans (Rouet) — Dalmas
Daniel feu Daniel, 92 ans (Moutiers) —
Barolin Jean Etienne feu Etienne, ancien,
67 ans (Cassarots) — Fontana Joséphine
née Durand-Canton, 56 ans (Subiasc) —Gönnet .Jeanne née Giraudin, 80 ans (Foin
menu) — Lautaret Susanne née Bonjour,
67 ans (Garniers) — Puy Jean feu Jean,
72 ans (Bessé).
Surtout à l’intention des chers Villarencs qui sont à l’étranger, ajoutons que,
à part les nombreux deuils, les nouvelles
de la paroisse sont bonnes. Tous les rouages sont en pleine activité. Les sept
Unions travaillent avec entrain, chacune
dans sa sphère particulière, s’efforçant de
développer le programme de Tannée. Le
Jeudi 27 Décembre un superbe arbre de
Noël, dû aux soins du corp.s enseignant,
fut allumé dans le temple, à la trè.s grande
joie des 250 enfants de nos écoles. Ce fut
une magnifique fête pour les petits et les
grands. — A l'occasion des solennités de
Noël et Nouvel-An nous eûmes au.ssi des
cultes très édifiants, grâce au concours de
notre Chorale qui nous fit goûter <iuekiues
beaux chœurs de circonstance. B. S.
cnnoiviQUË poutiqoe.
Le dernier Conseil des Mini.stre.s ;i encore procédé à d’impéilantes léductions
dans le pensonnel des administrations publiques et s’est occupé de l’organisation de
la marine de guerre qui comptera 45.000
hommes et conservera sa pui.ssance actuôlle.
M. Mussolini a tenu à mettre au clair
les rapports entre le Grand Conseil fasciste et le Gouvernement. D'après ses déclarations, le premier serait un organe essentiellement politique créé dans le but
de sauvegarder l’action du Gouvernement
et d’orienter l’opinion publique. Le Grand
Conseil fa-sciste, d'autre part, a confirmé
« son (iévonement loyal à la monarchie
considérée comme l’expression de la synthèse suprême des valeurs nationales et
comme l’élément fondamental de la continuité de Tunité de la patrie». Nous voilà
donc renseignés sur ce point.
Les fascistes ont beaucoup travaillé ces
jours-ci à éiHirer leurs rangs; ainsi le
« fai.sceau » de Turin, où s’étaient infiltrés tant d’éléments indignes, a été dissous et .sera reconstruit sur de nouvelles
bases. \
JjH nouvelle « milice nationale volontaire » commence a (onctionlier dans jrlu.sieurs villes et reiul, parail-il, do précieux
set vices en coll,aliorat ion avec la gendarmerie.
ex-roi (le la fJrèce, Constantin,
vient de mourir suhitomcnl à Paierme où
il sciait réfugié apres son abdication.
Jva .situation européenne est aussi
complexe que possible. Les yeux de tout
le monde .sont toujours fixés sur le bassin
de la Ruhr où s’est engagé im duel gigantesque entre la J’rance et l’Allemagne.
L’opération militaire s’est effectuée, de
prime abord, sans incidents remarquables.
La population des villes occupées, convain, eue de l’inutilité de toute opposition, s’est
limitée en général à des manifestations
platoniques de désapprobation. Mais une
forte résistance a été organisée par le
Gouvernement allemand qui semble décidé
à affronter la lutte jusqu’à ses dernières
conséquences. M. Cuno, considérant l’occupation 'française comme une violation
du traité ^de Versailles et des droits souverains de son peuple, a rappelé les ambassadeurs de Paris et de Bruxelles et a
transmis aux autres puissances alliées une
note de protestation énergique. Cela pour
l’étranger. A l’intérieur, dans une séance
très vibrante, le parlement a voté un ordre du jour d’encouragement à la résistance et d’imposantes manifestations de
patriotisme, de tous les partis, ont eu lieu
dans les principales viUes, D’un bout à
l’autre de l’Allemagne le mot d’ordre est
de résister à tout prix. Les autorités locales de la Ruhr ont décidé l’obstruction
à outrance, ainsi que les industriels, qui
se sont en partie éclipsés et ont transféré
d’Essen à Hambourg leur syndicat national des charbons avec tous les documents
relatifs à l’extraction et au contrôle du
minerai. Ils ont aussi refusé toute livraison de charbon à compte des réparations,
se retranchant derrière un ordre analogue du Gouvernement. En présence de
cette opposition imprévue, les Français
ont encore étendu leur occupation militaire et vont procéder à la réquisition des
puits nécessaires au ravitaillement du
charbon pour les alliés. Ce n’est plus seulement leur intérêt, mais aussi leur honneur qui est en jeu, et l’entreprise sera
poursuivie d’autant plus énergiquement
que l’opinion publique française est enthousiaste de la nouvelle « manière forte »
et a une entière confiance en ses milieux
dirigeants. Il faut ajouter qué les rares
opposants ont été mis hors d’état de
nuire.
— L’Angleterre continue à jouer son
rôle d’observatrice attentive ; elle n’a pas
retiré ses troupes de Cologne et entend
laisser à la France la liberté d’agir à sa
guise, tout en considérant la politique
française, comme peu pratique et dangereuse.
— Les Etats-Unis, par contre, ont désapprouvé officiellement les mesures de la
France et ont retiré leur armée d’ocCupation .sur le Rhin.
— L’Italie a confirmé à son alliée sa solidarité politique et travaille à une entente qu’elle croit encore possible. La nouvelle d’un projet de bloc continental contre l’Angleterre, attribué à M. Mussolini,
a été formellement démentie.
— Un incident diplomatkiue d’une certaine gravité s’est produit dans le territoire de Memel, sur la mer Baltique. Cette
région, réclamée par l’Allemagne et la Lithuanie. c.st, |jour le moment, administrée
par un haut-commissaire allié, appu.yé par
un iiataillon français. Les détachements lithuaniens l'ont envahie dans l’espoir d’entraine r son rattachement à leur pays,
A. S.
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1923 ; La Tour: Veuve PI. Turin - Tamietti Lina - Goss Amato - Bein Irauis Oudry, frères - Bein Pierre - Charbonnier
Daniel - Docteur Quattrini - Margiunti
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- Capuzzo Yvonne - Bosio E. - Fiertz G. Camino C. - Rabaglio S, - Perazzi V. - Colon C. - Turin R. - Bounous Henri - Boulions L. - Prochet Alfred - Malan doct. A.
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D. G. - Monney C. - Malan L. - Goss Mathilde - PMraille Delessert - P'amille Lantelmi Decker Henri, Trinità Gardiol
Alexandre, Rivoira, S. Secondo Pons
François, Id., Id. — U. C. D. G., Id. -Ridaretio: Peyronel Marguerite veuve
Ck)t, Rivoire, - Clot .Julie d'Antoine, ComJiegarin - Pons Frédéric, Clos - Griglio
Adèle, Id. - Pons Jimmanuel, Villesèche Peyronel Théophile, Clos - Peyronel Alexandrine, Barneo - Pascal J. Pierre, Clos
Inf. - Bounous Jeanne veuve Peyret, Clos
- Malanot Madeleine. Id. - Bounous Albert,
Albarea - Pkninous Henri, Id. - Peyronel
Catherine, Trussan - Ferrier Catherine,
Julbers - Brès Laurent, Reynaud — Genre*
Jeanne, Vrocs, Bouvil — Tron Jean, Bâtie, Id. — Peyran Marie, Brières, Id. —
Ribet Pierre, Combecrose, Id. — Massel
François, Linsard, Faetto — Massel
Jeanne veuve Gril, Maïsetta, Id. —- Ferro
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Pierre, Id., Id. — Pascal J. Henri feu Michel, Id., Id. — Pons Henri feu Antoine,
Gardiole, Id. — Barai Jacques, Served, Id.
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Dott. A. Quattrini e Signora L. 20,—
Sig. B. I^ger, moderatore »- 60,—
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Liste precedenti » 1.775,
Totalk L. 1.855,—
îîîHîîJs
Seconda lista di obiezioni {invece di
fiori) a favore del Convitto prò Orfani di
guerra di Torre .Pellice, pervenute al
sig. Luigi Ferrerò, Torino:
Sig. D. L. M., Torino L. 30,—
Sig. Enrico Tron, Id. » 100,—
l7 130,—
Lista jyrecedente » 555,—
Totale L. 685,—
Versate al pìvf. G. Ribet, per EÍ medesimo scopo, pure a favore del Convitto di
Torre Pellice :
Sig. Guglielmo Decker e Si-
gnora, Torino L. 200,—
Sig. Mario Bottero, Id. » 25,—
Ing, Gustavo Cougn, Id. » 25, L. 250,—
COMUNICATO.
Da ogni angolo d’Italia amipinistrazioni
comunali e provinciali, rappresentanze fa■sciste e sindacali, associazioni mutilati e
combattenti, enti ed istituzioni pubbliche
e private, nonché innumerevoli persone,
hanno espresso ed esprimono a S. E. il
Presidente del Consiglio la loro solidarietà,
il loro plauso ed i loro auguri in occasione
della sua assunzione al potere e delle attuali ricorrenze.
S. E. il Presidente è particolarmente
sensibile a tali manifestazioni che Egli considera tuttavia più che un omaggio alla
sua persona una attestazione di sicura fiducia nel nuovo Governo e nei destini
della Nazione. Ma il plebiscito di stima e
di simpatia è così grandioso che egli viene
a trovarsi nella assoluta impossibilità di
rispondere iui ognuno e ringraziare singolarmente.
Egli desidera quindi che attraverso la
stampa giunga l’espressione della sua viva
gratitudine a tutti coloro che vollero esprimergli sentimenti di fiducia e di devozione.
J. Bonnet, Rédacteur-Responsable.
_____Torre Pellice - Imprimerie Alpine.
La Vedova e le Figlie del compianto
MICHELE PEYROT
così repentinamente rapito al loro affetto,
profondamente commosse per le numerose
prove di preziosa simpatia ricevute in
occasione della dipartenza del loro amatissimo marito e padre, esprimono la loro
viva riconoscenza a tutte le gentili persone
che in vari modi furono loro larghe di
aiuto e di conforto nella dura prova ;
come pure a tutti coloro che vollero rendere le estreme onoranze al Caro Estinto,
accompagnandone la Salma al Campo
del Riposo.
4
INDIRIZZI
Mlt pdiiinll nim d Unte laum b itilb
-----1----
VALLI VALDESI.
Aagrogna - Pastore: Bugetuo Rerel.
Gobbio Pelllce - Pastoie: Bnfioo Tron, S.
Lanarna S. Ciiovannì - Pastore: Bmilio Tron.
MaMelio - Sig. D. Qaydou.
Pafrero - Pastore: Luigi Micol.
Plaarolo - Pastore: Luigi Jltarauda.
Panaaratto - Pastore: Giulio Tron.
Frali - Pastore Guido Comba.
Pramolio - Pastore: Davide Pons.
Frarostino • Pastore: Augusto Jahier.
Biclarettot - Pastore: G. Marauda.
RodoraMo - Pastore: Alberto Puhrmann.
piart • Pastore: F. Peyronel.
S.GannanoChisona-Pastore: Enrico Tron, J.
TorrePallice - Pastore: Davide Bosio.
VlHarPellice - Pastore: Bart. Soulier.
Aosta - Chiesa: 3, Rue Croix de Ville - Pastore: Pietro Chauvié. ivi.
Bari - Chiesa: Corso Vitt. Bm., 164.
Banevento - Sig. Ant. Cornelio. Via Pietro
De Caro, 17.
• Chiesa: Via Funicolare - Pastore:
G. G. Ribetti, Casa Boglietti Bottalino.
Borrello - Chiesa Evangelica, Sig. G. Bért.
(a“g- Piazza
Ganbaldi) - Pastore; Ivuìgi Rostagno, ivi.
Brindisi - Chiesa: Via Congregazione, Casa
Zaccaro - Sig. Pietro Varvelli, Via Cir
coavall azione.
Casale Monferroto - Chiesa: Piazza Giaidmi Pubblici - Pastore : Davide Forneron.
Catania - Chiesa: Via Naumachia, 22 - Pastore: Giuseppe Pasulo, ivi. ,
Caltanissetta - Chiesa: Via Maida, 15
Evangelica: Sig. D. Rosati.
Villa Comunale.
Coacze - Pastore G. Petrai.
Como - Chiesa: Via Rusconi, g - Pastore'
Giovanni Grilli - 8. Via S. Martino.
Corato - Chiesa Evangelica: Via Garibaldi Pastore: G. Moggia, ivi.
DovadoJa - Chiesa Evangelica.
Felonica Po - Chiesa Evangelica - Sig Ben ■
Giudici. >- •
Firenze - Chiesa: Vi* Serragli, 51 ; Pastore
V. Sommani.
Chiesa: Via Manzoni, 13 - Pastore:
E. Meynier, ivi.
Fiame - Chiesa: Via Sem Benelli, 6 - Pastore: Arnaldo Comba - Via Trieste, 219.
Forano - Chiesa Evangelica: Sig. Enrico
Corsani.
Genova Chiesa: Via Assarotti - Pastore:
G. Bonnet - 2, Via Curtatone.
Grotte - Chiesa Evangelica
• 5. Corso Botta - Pastore'
G. D. Maurin - 3, Via S. Nazario.
La Maddalena - Chiesa Evangelica: Siv
Enrico Robutti.
Livorno - Chiesa: Via G. Verdi. 3 - Pastore> Arturo Mnston, ivi. afrore.
Lacca - Chiesa: Via Galli Tassi, 18 - Culto
ogni Domenica alle ore 19,80 - Pastore:
G. D. Butta.
Lugano - S%. Paolo Calvino - Pastore Evangelico, Oassarate (Lugano).
Mantova - Chiesa: Via Bacchio, 4 - PastoreBenv. Celli.
Messina - Chiesa: Via Maddalena. 120 - Pastore: Giuseppe Messina, ivi.
iinui;iimiiiiiiiiiim
Milano 0 Chiesa di S. Giovanni in Conca Pastore: V. Alberto Costabel - 22, Via
Telesio. — Chiesa di Via Fabbfi, 9 - Pastore: Emilio Corsani, i Via Stradivari.
Napoli - Chiesa; 25, Piazzetta Tagliavia Pastore: Attilio Arias, ivi.
Pachino - Chiesa Evangelica
Palermo - Chiesa: Via Macqueda, 36 - Pastore: Rinaldo Malati, ivi.
Pcscolanciano - Chiesa Evangelica.
Piani di Vallecrosia - Pastore : F. A. Billour,
Asilo Evangelico.
Pisa - Chiesa: Via Derna, 15 - Pastore; G.
D. Bulla - 23, Via Mazzini.
Regno Calabria - Chiesa: Piazza S. Marco Pastore: Arturo Vinay, ivi.
Riesi - Chiesa Evangelica - Pastore: Arturo
Mingardi.
Rio Marina - Chiesa Evangelica - Pastore;
Gius. Banchetti.
Roma; Chiese: Via Tre Novembre, 107, e
Piazza Cavour - Pastori: Aless. Simeoni,
107, Via Tre Novembre, e Paolo Bosio,
Via Pietro Cossa, 42.
Sampierdarena - Chiesa: 16, Via G. Carducci
Sanremo - Chiesa: Via Roma - Pastore Ugo
Janni, ivi.
Savona - Chiesa: Corso Crist. Colombo. 13
Siena - Chiesa: Viale Curtatone, 5 - Pastore:
Francesco Rostan, ivi.
Siracusa - Via Cavour - Culto ogni Martedì alle ore 18
Susa - Chiesa: 14, Via Umberto I - Pastore:
G. Petrai.
Taranto - Chiesa: Via Pupino, 35 - Sig. Pietro
Varvelli.
Torino - Chiesa: Corso Vitt. Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastori; Alberto Prochet e Giov. Bertinatti,
15, Via Pio Quinto.
Trieste - Chiesa: Via S.M.Maggiore • Past«^
Guglielmo Del Pesco - 535, Via Scorco
Venezia - Chiesa : Palazzo Cavagnis (Sai
Maria Formosa)-Past. : Davide Revel i
Verona - Chiesa: Via Pigna (presso il Duon
- Pastore: B. Celli, 2, Vicolo S. Andr
Vittoria - Chiesa Evangelica - Sig. V. Trot
UfRcio di Presidenza della Tavola Valde;
Sig, Fasi. Bartolomeo Léger, Moderator
Sig. Past. Ant. Rostan, Segretario-Ci
siere, 107, Via Tre Novembre,Rom&{
Facoltà di Teologia: Roma (26) - ViaPie
Cossa, 42: Prof, G. Lussi,G. Rostagnc, E
Comba.
Ufficio Pubblicazioni; Torre Pellice,
Arnaud, 29.
Liceo-Ginnasio Pareggiato: Torre Pelliet
Preside: Prof. D. Jahier.
Scuola Normale Pareggiata: TorrePelliq
Direttore : Prof. A. falla. t
Scuola Latina: Ppmaretto •
G. Maggiore (Torre Pellice). f
Convitto Maschile: Torre Pellice - Direttok
Past. F. Grill.
Convitto Femminile: Torre Pellice Diri
trice: Sig.na A. Vinçon. I
Orfanotrofio; Torre Pellice - Direttrice :
N. Arnoulet. ' i
IstitntoGouId: 51, Via Serragli - Firenze (3
— Direttore: Past. V. Sommani.
Istituto Femminile Valdese di Vallecrosì
Direttore Past. F. A. Billour.
Rifugio per incurabili: Luserna S. Giovan
Asilo pei Vecchi: Luserna S. Giovanni.
Asilo pei Vecchi; S. Germano Chisone.
Casa delle Diaconesse - Sede e Diresiot
Via Berthollet, 36 - Torino. — Diretto
A. Comba - 22, Via Beaumont • Tori
Scuole elementari (annesse alle Chiese) : (
rema, Dovadoìa, Forano, Grotte,
chino, Palermo, Riesi, Rio Marina, Sa
Sanremo, Vallecrosia, Vittoria.
Il culto principale si celebra in tutte
chiese alle ore ii circa della Domenica.
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