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PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
PRIX D'ABONNBMBNTi
Italie et Coloiiies italiennes .
-Etranger . .
Plusieurs abonnements à la même adresse .
Par ani
L. 10,. 24,. 22,
Panr 6 mata
6,
12.
On l'abonne: i TorrePetiice, au Bureau d’Administration del’£cAo(Via Wigram, 2)
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
L'ABONNBMeNT i6i PAYE D'AVANCE.
' la Rédaction, à M. le Prof. Louis Micol '
lu Bureau da Journal, Via Wigram, N” 2
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
d’adresse coûtent 5e centhn
La niiméR) : 25 ecniimca
S’adresser : pour la Rédaction, à M. le Prof. Louis Micol - Torre Pellice — pour
l’Administration, au Bureau du Journal, Via Wigram, N” 2 - Torre Pellice.
Tous les changements d’adresse coûtent 5e centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..., di|fnes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
Bando di Concorso
all’Ufficio di Preside del Liceo-Ginnasio Pareggiato di Torre Pellice.
Visto il R. Decmto 6 maggio 1923,
f?.. 1054, relativo aU'ordinamgnto della
Istruzione Media 0 dei Convitti Nazionali,
listo H R. decreto 6 giugno 1925,
n. 1084, relativo al Regolamento per gli
istituti privati e pareggiati di Istruzione
Media, eco. ;
visto il Regolamento approvato con
R. Decreto 9 dicembre 1926, n. 2480, modificato con R. Decreto 26 aprile 1930,
n. 185;
E’ BANDITO
un concoì-SG interno, per titoli, aWwfficio
di Preside del Liceo-Ginnasio Pareggiato
di Torre Pellice.
Le domande devono essere inviate al
Moderatore della Tavola Valdese, in Torre
Pellice, Casa Valdese, entro le ore diciotto
del 31 marzo 1937-ZF, corredate da un
certificato comprovante che l'insegnante è
già in ruolo da, sette anni e fornito di
Laurea, e di altro certificato comprovante
l’iscrizione ed P.N.F.
Per la Tavola Valdese :
Ernesto Comba, moderatore.
Nulla osta alla pìrWicazicme
” del presènte bando.'''
Torino, 13 febbraio 1937-Aniio XV,
Il R. Provveditore :
’ RlMONDim.
Pour la Yie intérieure.
Voici, je t’établis... comme une
colonne,». Jérémie I, 18.
Cette vocation, qui est en même temps
une promesse, a un sens si riche et si
lieau qu’il suffit de le comprendre, me
semUe-t-il, pour désirer d''en faire soimême Texpérience. Le comprendre, n’est
pas une chose très difficile, si .nous voulons bien nous approcher d'une colonne
quelconque pour en observer les caracté^
ristiques.
.le remarque, tout d’abord, que les colonnes sont généralement taillées dans le
roc, et que c’est là ce qui leur donne une
si grande solidité. Jérémie, à qui TEternel adressa ces paroles, était fils d’un prêtre de la tribu de Benjamin. De même,
nous les Vaudois, .nous appartenons à un
peuple privilégié quant à son nom et a
son histoire. Je ne pense pas cependant
qu'il faille identifier le roc avec la race.
Ijo roc,'c’est avant tout cette noblesse de
droiture, de justice, de pureté et de générosité qui vient de Dieu et dans laqueEe
Dieu est prêt à façonner à nouveau ses
créatures quelles qu’elles soient.
C’est grâce à cette caractéristique de
solidité qu'on emploie presque toujours
les colonnes comme des soutiens. Il est assez rare de les voir isolées comme les obélisques, tandis que leur usage pour soutenir des arcades on dtes voûtes est général.
Elles renferment en peu d’espace une solidité si grande qu'un poids même énorme
peut reposer dessus en toute sécurité.
Tout le monde Se rappelle la catastrophe
causée par le simple fait d?une colonne
ébranlée par Samson, Si le croyant se rendait toujours compte qu’il a la mission
d’être une colonne dans le monde qt dans
l’église, il serait heureux d’un pareil titre de noblesse et tremblerait, en même
temps, de ne pas être à la hauteur de sa
responsabilité.
Ce sentiment de noblesse et de responsabilité devrait embellir la vie chrétienne
tout comme les colonnes embellissent les
bâtisses. EUes sont en effet employées
comme ornements tout autant, et peutêtre plus encore, que comme soutiens :
que de palais, que de temples, ¡que de promenades merveilleusement ornés par les
colonnes ! La vie in|égralemient chrétienne
les devance, en beauté. Le monde se
trompe lorsqu'il la croit une chose morne
et triste, il est induit en erreur par les
exemples de vie soi-disant chrétienne
qu il a trop souvent sous les yeux, mais
la vraie vie chrétienne est pleine d’une
beauté resplendissante.
L endroit cependant où la colonne me
remplit le plus d’admiration, c’est là où
elle est entourée de ruines. Petit à petit
l’œuvre destructrice du temps démolit les
constructions même les plus solides et les
plus élégantes. Les colonnes taillées dans
le roc, sont les dernières à céder. N’iest-ce
pas là une saisiissainte image du chrétien
qui, soutenu par sa foi, reste debout, inébranlable, même lorsque tout s’écroule
autour de lui : comme Jérémie, qui pendant quarante ans d’adversités, de débandes et de malheurs nationaux, reste fidèle,
inébranlable à son'poste propHefÎqueTaîr*
milieu de son peuple : comme ces croyants
du Titanic qui, au milieu des horreurs du
naufrage chantent : « Plus près de toi,
mon Dieu, ».
Mais il y a plus que cela. Les colonnes anciennes, longtemps cachées sous
les décombres, sont souvent tirées de leur
oubli pour servir à la construction de nanvelles battisses ou pour les garnir. Ainsi
dans la basilique de Saint-Pierre à Rome,
on garde une magnifique colonne qui appartint) dit-on, à l’ancien temple de Jérusalem. N’est-ce pas là une image symbolique du merveilleux sort du croyant qui,
après avoir été une colonne ici-bas, déviendra un jour une colonne dans un temple céleste, car : « ...du vainqueur je ferai
une colonne dans le temple de mon Dieu »
(Ap. III, 12). E. G.
L'Eglise.
Léon Daudet, dans l’Action Française
du 19 février 1937, écrit :
« L absurde projet d’un village français
sans église, à l’Exposition univeirselle de
demain, ramène l’attention sur le, rôle du
monument sacré dans la civRisation et la
société de chez nous. Car l’église, quelles
que soient ses dimensions et son ancienneté, quel que soit son style, est le lien
de la vie spirituelle aux deux autres vies
qui constituent l’être humain : l’organique
et l’inteUectueUe...
« ...La révolution espagnole, en brûlant
les églises, a mointré récemment l’importance symbolique que leur attribue la
barbarie révolutionnaire, et, par voie de
conséquence, la place éminente qu’elles
ont dans la civilisation.,.
Ce n’est que là, en effet, que les âmes
fatiguées, desséchées, tombantes, que les
cœurs en deuil trouvent le repos moral et
l'espérance ».
Commissione Finapzlaria
PRO EMERITAZIONE.
4
(Tredicesima. Lista).
Signore e Signori :
Amelia Lunghi, Portoferraio,
in memoria di G. Lunghi L. 100,—
Adelaide Specos, Id., in memoria di G. Lunghi » 50,—
R. e G. Rochat, Pavia » 400,—
Giacomo Meister, Brescia » 120,—
N. N., Napoli » 5.000,—
B. D., Id. (^) » 8.000,—
Emilia Baer e figlie, Verona » 1.000,—
L. e M. Baer, Id., in memoria
dei loro cari » 200,—
Famiglia Ostorero, Torino (*) » 7.000,—
Peyrot -Enrico e Signora, Id'. » 1.500,—
Poét Alessandro, notaio. Perrero (*) » 500,—
Teresa e Giorgio Downie, Firenze » 300r
Isienburg Augusto e Margherita, Milano (*) » 500,—
Isénburg dott. Roberto, Id. (*) » 500,—
PRO COLLEGIO.
(Tredicesima Lista).
R. e G. Rochat, Pavia L. 200,—
Jjlgíáá«JfiT4ldbrandsen, Breacia » 50,—
N. N., Napoli » 10.000,—
B. D., Napoli (*) » 2.000,—
Famiglia Ostorero, Torino (*) » 3.000,—
Poét Alessandro, notaio, Perrero (*) » 500,—
Giovanni Grilli, Lugano, in
memoria di D. Jahier » 100,—
NB. Le otì'ei'te contra.ssegnate con astoisco (*)
sono in titoli di Stato.
SETTIMANA DI RINUNZIA.
All’Ufficio Centrale della Tavola Valdese
sono state rimesse, da persone e da Chiese,
le sottoscrizioni seguenti :.
(Prima Lista).
Moderatore prof. Ernesto
Comba e Signora L. 1.000,—
Chiesa di Roma, Via 4 Novembre (1° versamento) » 5.500,—
« Catene di rinunzie », a
mezzo della sig.na Elena
Pons » 1.315,—
Chiesa di Prarostino » 905,—
E. S., Roma » 205,—
Amelia Lunghi, Portoferraio,
in memoria di G. Lunghi » 100,—
Adelaide Specos, Id., in memoria di G. Lunghi » 50,—
Matilde Rafia, Sassuolo » 50,—
Mastronardi Vittorio, Villacanale » 5,—
Mastronardi Francesco, Id. » 10,—
Capussi Domenico, Id. » 5,—
Capussi Michele, Id. » 10,—
Chiesa di Biella » 300,—
» » Piedicavallo » 65,—
Prof. Bruno Fortunato, Tricarico » 10,—
■ Letizia De Levis Della Torre,
Asola » 10,—
Chiesa di Pinerolo (1° versamento) » 3.300,—
Chiesa di Rorà » 300,—
i Angelo Tomese, Denteila » 10,—
Chiesa di Forano » 350,—
» » Caltanissetta » 200,—^
» » Grotte » 50,—
Chiesa di San Remo , L. ' 1.500,—■
» ». San Germano . » 2.350,—
» » Bergamo (Pvers.) » 3.000,,—
» » Genova (» » ) » 3.000,—
» » Palermo - » 1.700,—
» » Firenze, Via de’
Serragli » 1.046,—
Emilio Venaesch, Firenze, » 1.000,—
La rencontre de la jeunesse vaudoise
que le Comité de Groupe de la F. G. V.
avait préparée pour dimanche 28 février,
au Perrier, a pleinement réusai, s’il faut
en juger d’après le nombre des jeunes,
qui bondaient le temple.
Les travaux ont commencé à 2 h. 30,
sous la direction de M. E. Rogtan, pasteur, qui lit quelques passages de la Parole de Dieu, et les explique avec force et
clarté. MM. les pasteurs G. Bertin et G.
Mathieu, développent ensuite le sujet qui
leur a été confié. Le premier parle de l’enseignement biblique à l’égard de la smoérité, et fait ressortir l’importance capitale
de ce problème que tout disciple du Christ
doit se poser, s’il veut être véritablement
un enfant de grâce et non de colère. Le
second nous Mt. uné analyse, simple' et
pratique, du concept de sincérité au point
de vue mondain : il nous montre la « mmsincérité » à l’œuvre par les paroles, les
actions et certain süençe dos hommes. Ces
deux rapports, qui semblaient pourtant
complets, donnent encore l’occasion d’un
échange d’idées assez animé. Plus que
d’une discussion, il s’agit d’une conversation, dans laquelle MM. E. Rostan, H.
Deux, doct. A. Ribet, O. Peyronel, A. Deodato, Sgroppo, A. Janavel, apportent quelques éléments nouveaux, et d’où il ressort
la dure réalité : la vie de l’homme, un
tissu plus ou moins transparent, cousu de
non^sincérité, dont le pasteur s’accuse le
premier, et le laïque doit constater qu’il
n’est pas le dernier !
« Sincère comme un huguenot », ainsi
disait-on par le passé ; ne poùrra-t-on pas,
demain, dire encore : « sincère comme un
Vaudois ?! », se demande M. E. Rostan ?
Le modeste chroniqueur serait presque
tenté d’écrire que, s’il fallait en juger par
la puissance avec laquelle tous ces jeunes
gens ont enlevé « l’hymne à la foi », on
ne devrait pas dire à ce sujet, avec le sourire des moqueurs : Ai posteri l’ardua
sentenza!!
Pourquoi nous refuser à croire que
1 Esprit travaille, au sein de notre jeunesse qui a de beaux jours à donner à son
Eglise ?
* * *
De l’hospitalité que l’Union du Perrier '
et son Pasteur nous ont offerte, il n’y a
qu’à répéter encore qu’elle a été vraiment
vaudoise, « sincère » : merci. Cl.
«»«■lia.
Nous exprimons notre sympatie chrétienne aux filles de M.me Elise Buffa née
Pdhud de Mortanges, décédée à Terni, le
25 février.
La ' défunte était veuve du pasteur
M. Jean Daniel Buffa.
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' ' I.|t .•. l'V'l '•! l'
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'Î'ifï:'
L*Echo des VaMéea h Véidn^di 12 Majrs 1937-XV
" t.V.
■ • . ■i'p 'tiL
lif.
:: - CHRONIQUE VAUDOiSE
• • '
'Îi* ' '
AHOROOM B. Vendredi, 5 courant, esrt dl&? 'cédé, aux Bertot, Antoine Odin, feu Jean
I*ierre, âgé de 77 ans. Il avait été régent
dans notre paroisse pendant trent»«ix
ans. Nous exprimons notre fraternelle
sympathie aux parents en deuH.
■ R:N.
BOBI. Encore deux enfants emportés
par des pneumonies : Marie Chras de Mar^ the, âgée de 5 mois, et Marie Favat de
Paul et de Rachel Bonnet, âgée de 10 ans.
Toute notre sympathie aux affligés.
★ Le soir du S courant, nous avons eu
l’agréable visite d’une centaine de jeunes
Villarencs, accompagnés de leur Pasteur.
La SaBe Unioniste est bondée de jeunesse.
Messages spirituels, chants, récitations et
lecture de poésies remplissent la soirée.
^Les six Unions du ViBar, par le moyen
;de leurs présidents, expriment les meilleurs vœux pour la jeunesse de Bobi,
I vœux que nous échangeons de cœur.
,;Merci, chers amis du Villar, de votre visite, et au revoir à bientôt. R.
LA TOÜR. Nous avons accompagné au
champ du repos la dépouille de M. Michel
Long, des Appiots. Il était âgé de 92 ans,
et était le doyen de la paroisse. Dieu l’a
rappelé après une courte maladie. Nous
tenons à redire à la famille en deuil toute
notre sympathie chrétienne.
★ Le Comité «Pro Torre Pellice»
a ouvert, dès la semaine dem’ère, son
Bureau de Tourisme (Piazza Vittorio
Emanuele), dans le but dé recevoir les
mscriptions des villas, appartements et
chambres meublées à louer pour les viilégiateurs, et dé donner à ceux-ci et aux
touristes tous les renseignements désirés,
sur le séjour à Tome Pdhce et dans sa
vallée. Le Bureau est ouvert tcus les jours,
y compris le dimanche, de 9 à 11 heures.
Soit les inscriptions, soit les informations
sont entièrement gratuites.
★ Nous avons reçu le Rapport du Comité d'Assistance Publique de Torre Peilioe qui, par sa cuispne gratuite et par
la distribution de bois et d’autres subsides, pourvoit aux besoins les plus nécessaires des concitoyens les plus besogneux,
incapables d’un t’-avail utile. Actuellement, ce sont 70 personnes qui reçoivent
à la cuisine leur repas, matin et soir.
L’année 1936, les entrées ont été de
L. 17.206,80 et les sorties de L. 17.180,40.
Les contributions au bénéfice de cette excellente Institution peuvent être envoyées
au président, M. Attilio Jalla.
LYON. Notre jeune groupe vaudois
« Pierre Valdo » a fêté de nouveau, oeitte
année, la date glorieuse du XVII février.
C’est le dimanche, 28 février, que cette
commémoration a eu lieu. Un bon nombre
de nos membres et plusieurs amis de notre groupe étaient présents. Nous avons
cependant regretté l’absence de quelquesuns dé nos frères vaüdois, parmi lesqrœls
notre cher vice-président, M. Bonnet, qui
n’a pu être au milieu de nous à cause de
sa maladie.
Notre fête a commencé par une prière
de' M.lle Bert, notre présidente, qui nous
a lu, ensuite, les premiers versets du
Psaume XLIV, et nous a parlé brièvement
sur le XVII février 1848. Puis nous avons
écouté la lecture de deux messages fraternels : œlui de notre frère vaudois,
M. Griglio, de New-York, et celui de
M. Bert, père de notre Présidente. Nous
avions espéré que M. Bert aurait pu être
au milieu de nous pour nous faire une
conférence sur les Vallées Vaudbises. A
notre grand regret, il a été empêché de
ré'’Jiser ce projet. Toutefois, par son beau
Tressage qui a évoqué à notre souvenir
les événements les plus importants de notre histoire vaudoise et nous a décrit les
lieux où ils se sont déroulés, M. Bert nous
a presque fait oublier la déception causée par son absence, ce dont nous lui sommes reconnaissants.
Nous avons eu, ensuite, le plaisir d’entendre la petite Chorale, organisée par
notre groupe, exécute, sous la direction
de M. SibiUe, 1? chant vaudons ; « Char
f
les-AJbert et la Liberté ». Puis, notre Pré- fsidmte a parlé sur les « Barbas » vaudiois 7
et a ainsi préparé l’atmosphère de notre |
fête pour la représentation de la pièce |
« Les Barbas », que des membres et des
amiis de notre groupe ont jouée tout’ de v|
suite aprèa Les vifs applaudissements f
qui ont accueilli la fin de chaque acte sont .
la meilleure des preuves que cette pièce Ci
a été très appréciée par tous les f
présents. En effet, elle nous a fait revif- j
vre ces temps héroïques de notre histoire, <
où le petit vallon d’Angrogne était de-/
venu, par son école des «Barbas», un
centre spirituel dont le rayonnement i
s’étendait jusque dans les pays lès plus :
éloignés. Et dans nos acteurs improvisés, ?
il nous a semblé de voir surgir, tout à*'j
coup devant nous, ces nobles figures de
martyrs, ces puissants évangélistes, ces
fameux odporteurs vaudois qui, pendant
des siècles, répandirent la bonne nouvelle
de i l’Evangile, an risque de leur vie et au
prix d’innombrables souffrances.
Après le chant d’un cantique et quelques mots de remercîment adressé par
M.Ue Bert à tous ceux qui ont contribué
à la réussite de notre fête, nous avons
encore écouté un cordial message d’un
- amj de notre Groupe, M. Vallery, qui nous
a exprimé sa joie; en tant que Vaudois du
Canton de Vaud, de se retrouver avec des
frères Vaudois du Piémont.
Ensuite, M. SibiUe a remercié M.lle
Bert, pour avoir organisé cette belle fête,
.et nous a exhortes à être non seulement
Vaudois de nom, mais de fait.
Notre belle réunion s’est terminée par
une prière de M. Miaglia, ami de notre
Groupe.
Parmi ceux qui ont contribué au succès de notre fête, nous tenons aussi,,à remercier M.me Maggie Cocorda, M. Eugène
Revel et M.me M. SibiDe, qui nous ont
procuré le texte et la musique du chant :
« Charles-Albert et la >Liberté ». . , . i
StARBBILLE. Célébrée suivant une formule nouvelle ou, plutôt selon la vraie
tradition vaudoise, la commémoration du
XVII février a revêtu, cette année, les
caractères d’une véritable fête de famille,
qui a laissé à chacun dès participants le
meilleur souvenir.
Elle a eu lieu le dimanche 21 février.
A 10 heures, nous nous trouvions, au
nombre d’une centaine environ, dont
sept dames ou demoiselles en costume
vaudois, dans la chapelle de la rue de Provence, pour y entendre une excellente
prédication de M. le pasteur Ch. Roux
sur ce texte : « Si le Fils vous affranchit,
vous serez véritablement libres».
A midi et demi, dans notre local, qu'il
nous faudra décidément songer à agrandir, si nous voulons tous y trouver place
la prochaine fois, agape fraternelle à laquelle prennent part plus de quarante
oonvivès qui, tous font honneur au succulent menu, spécifiquement vaudois.
Au dessert, le Président renouvelle les
souhaits de bienvenue à M. le pasteur
RoUx et lui dit combien nous sommes!,
heureux qu’il ait bien voulu accepter de
partager notre repas. Il fait ensuite iiâTt
des regrets de M. le pasteur Martin-Faivenc de n’avoir pu être des nôtres et regrette également que M.Ue A. Rouffio, ufte
excellente amie des Vaudois, actuellement
absente de Marseille, n’ait pu répondre à
notre invitation et leur adresse l’expression de notre reconnaissance pour l’intérêt qu’ils ne cessent de nous témoigner.
Il évoque ensuite le souvenir de nos chères Vallées et de notre Patrie aimée, auxquelles il associe la France hospitalière.
Enfin, il donne lecture d’une émouvant©
lettre de M. le pasteur H. Pons, d'Avignon, qui est chaleureusement applaudie;
M. le pasteur Roux veut bien, à son
tour, nous adresser quelques mots pour
nous exhorter encore, comme il Ta déjà
fait le matin, à suivre l’exemple de nos
glorieux ancêtrea
M. Peyran nous donne lecture d’uaie affectueux et très apprécié message de M. le
pastéur Pierre Griglio, de New-Yorlç, à
qui nous tenons à exprimer' ici lios vifs
f' remereîmenta. (f;' '«■
La série d^ discours eist close par quelques mots de M. A^ Favat, notre aimable
' trésorier.
Notre petite fêtç sé poursuit par Texéy cution de divers chaPts de circonstance
{Charles-Albert et la Liberté, La Pcm; et
Vlnno alla Fede) par le choeur sous la direction de M. Re et accompagné au piano
par M.me E. Pons.
Entre ces chants s’intércalent des récitations et des chants divers par nos jeunes artistes, auxquels il convient d'ajouter M.me Finocchietti et MM. Peyran et
Villielm, tous vivement applaudis.
La journée" se termine par un nouveau
repas, de caractère tout à fait familial, qui
réunit près de cinquante participants et
se déroule dans une atmosphère de franche et saine gaîté.
25 février, les coiffes vaudoises
étoient de nouveau à l’honneur, à l’occasion de la conférence que M. Marcel Provence donnait, sous les auspices du Comité
France^Italie, sur « Les Vaudois dU Piémont ».
Huit damies ou demoiselles, très admirées, avaient pris place sur Testrade, à
côté du conférencier.
Nous n’entrerons pas dans te détail de
cette magnifique conférence, très documentée et riche d’anecdotes, une analyse
de celle prononcée à Aix, au début de l’hiver, sur 1e même sujet, ayant déjà paru
dans VEcho du 15 janvier dernier. Qu'ü
nous soit cependant permis de rendre
hommage à la grande objectivité, avec laquelle te distingué conférencier, bien
qu’appartenant à un© famiUe spirituelle
diflPérente de la nôtre, a traité son sujet
sans toutefois cacher sa sympathie et son
admiration pour notre petit peuple, si
grand par sa magnifique histoire.
f#’
* Ht «
bYMPATHIE. Depuis notre dernier
compte-rendu, nous .avons eu l’occasion de
témoigner notre sympathie à quelques fa, milites visitées par le deuil.
D’abord à M.me et M. Henri Micol, qui
ont eu la douleur de perdre leur mère,
qui a suivi de près son mari ; ensuite à
M. et M.me Ferrerò, qui viennent de voir
leur jeune Gilbert ravi à leur affection.
D’autre part, nous avons été heureux de
nous associer au bonheur de M. et M.me
Jules Genre, qui viennent d’avoir la joie
de voir Ijeur foyer enrichi par la venue
d’un deuxième garçon, Arthur.
MA8SEL. Notre fête du «XVII février » a très bien réussi. La veille, au
soir, de magnifiques feux de joie, préparés avec enthousiasme par les enfants de
nos écoles et par nos catéchumènes, ont
été allumés à chacun de nos villages. Mercredi matin, à 10 heures, te long cortège
des enfants des différents quartiers, accompagnés par leurs moniteurs, se rendait au temple, où une assemblée digne
des grandes occasions attendait. Un riche programme de chants et de récitations s’est déroulé à la satisfaction du public, qui a démontré d’apprécier la bonne
préparation die la fête due aux soins de
M.lles Léonie et Eugénie Tron, que nous
tenons à remercier vivement pour leur
bonne activité.
Pour la premjière fois, depuis bien des
années, un bon nombre de Masselins se
sont réunis en agape fraternelle pour célébrer ensemble notre belle fête vaudoise.
Le dîner nous a lté préparé et magnifiquement servi par MM. E. et A. Tron, de
Brolacombe.
La journée, déjà si remplie, a été très
bien terminée par une belle soirée de récitations et de chants, préparée par la
jeunesse de notre paroiaiseu
Encore une fois, la journée du XVII février nous a laissé un très bon souvenir.
MEW'YORK. La célébration de notre
fête vaudoise, anticipée die quelques jours
(dimanche, 14 février, à 4 heures), a attiiié moins de monde que tel autre
« XVII », mais son programme n’a pas
été moins nourri et attrayant. Au point
de vue muiàcal, en tout cas, la personne
qui écrit ces lignes pense que Ton n’au
rait guère pu fâîre mieux à moins de recourir à Taide du dehoi-s : un prélude pâr
notre pianiste, M.Ue Yvonne Zecca ; i un
duo pour »violon et piano par René Durand et son professeur de musique ; trois
chœurs patriotiques (Padre nostro.,., O
num pays..., Levez vos mains cm oiét...),
enlevés avec entrain et beaucoup d'enBemble par notre Société Chorale. Le dernier,
spécialement, le « Serment de Sihaud »,
semble avoir remué l’assistance.
Le discours de circonstance fut prononcé
par notre Pasteur, qui s’inspira des quatre monuments, de marque strictement
vaudoise, qui ont été érigés ces temps derniers aux Vallées ; mais quelques paroles,
exprimant le désir qu'ont nos amis américains de soutenir l’Eglise Vaudoise, surtout en cette heure difficile, nous furent
aussi adressées par 1e doct. Anthony, secrétaire général de VAmerican Waldensiaiti Society, lequel avait beaucoup tenu à
être des nôtres en cette occasion.
Nous eûmes pareillement avec nous idusieurs amis suiteses et quelques Vaudois
venus d’assez loin et ne faisant plus partie de notre congrégation, tels que la missionnaire Marguerite Caïrus et Julia Geymet, élève universitaire.
Le soir, dâns une grande salle du Restaurant « Guffanti », dont les parois nous
sont désormais familières, l’agape traditiormelle réum’isSait 84 convives. — une
bonne vingtaine de moins que Tannée
dernière, peut-être à cause du prix plus
élevé.
Au moment des toasts, tes salutations
fraternelles ou tes messages affectueux de
différentes personnes, ou groupes de personnes, nous ont été communiqués. Ont
pensé à nous, pour l’occasion (probablement parce que, dans la pluspairt des cas,
nous avions pensé à eux) : le padteur Hugon, de New-York, te pasteur Villante, de
New-RocheUè, et les Unions Vaudoises de
Paris, de Lyon, de Genève, de Philadelphie. L’épître, aæâisonnée, comme toujours, de notre frère Henri Peyran, de
Marseille, est arrivée avant le 17, mais
après le 14 ; de même le message (accompagné du mandat postal) du petit groupe
vaudois de Santa Barbara (Cal.), par
M.me Jenny Ribet.
Inutile de dire que tous ces Signes de
fraternité ou d’amitié nous ont fait grand
plaisir.
Puis, sur l’invitation du président du
banquet, le doct. Jervis, l’ancien Pierre
L. Rostan, Humbert Revel et d’autres,
nous ont, tour à tour, présenté des remarques historiques, philosophiques, nostalgiques, ou se sont limités à formffler
des vœux. Nous nous représentons te soulagement qu’a dû éprouver notre ami docteur à se trouver — loin, bien loin de ses
aliénés — au sein d’une société pensant
correctement, et saisissant correctement
ses pensées.
Ici encore, à deux reprises, te groupe
de nos chanteurs nous a fait entendre de
beaux chants ; ce qui a donné à la soirée
un cachet particulier, tout nouveau.
Belle journée, pour laquelle nous bénissons Dieu.
PERRIER-MANEILLE. Comme par le
passé, la fête du « XVII » s'est déroulée
avec un grand enthousiasme.
La cérémonie religieuse s'est tenue dans
te temple du Perrier, suivant Tordre habituel. Le « dîner », à T« Albergo degli
Appennini », a réuni 46 convives. Nous
avions te plaisir d’avoir avec nou-s le lieue
tenant-colonel Martinat, récemment devenu de l’Afrique, qui a prononcé un discours très applaudi.
★ Nous venons d’apprendre que Eli
Tron, de Saint-Martin, est décédé à Turin,
à Tâge de 33 ans. H laisse derrière lui sa
femme et quatre effifants, que le Protecteur des veuves et des orphelins n’abandonnera point. Nous leur exprimons toute
notre sympathie chrétienne.
PRALI. Annoncée, la veille, par de
magnifiques feux de joie, notre fête vau(foise s’est bien déroulée, malgré la tourment©.
Un culte spécial de commémoratkm
avait été célébré, le dimanche 14 février,
■1
■"il
3
t^Eeho des ^Vallées - . Vméceái M Mars 1937-XV
I et le jour du « XVII », après là partie fe: ligi^ûae et une courte allooution, les enfants de nos écoles nous ont réjouis par
leurs rondes, leurs récitations et leurs
chants; dirigée par M.me Coïsson,,notre
Chorale av:ait aussi préparé deux beuux
chœurs : « Il Rimpatrio », de M. G. Comba,
et « Chant des volontaires ». L’agape fraternelle a eu lieu à l'Hôtel des « Alpi »,
chez notre podestat, M. Grill, où cinquante
convives ont bien dîné : là encore, des
chants, une récitation et des discours.
Un merci cordial au pasteur de NewYork, M. P. Griglio, et à tous nos frères
qui nous ont fait parvenir leur message
, à rpccàéion. du «XVII», et nous renouvelons les remerciements à nos institutrices
et à tous ceux qui ont concouru, de quelque manière, à la bonne réussite de notre
fête.
PRARUSTIN. L’admission des catéchumènes n’auna pas lieu le Vendredi Saint,
comme les années dernières : les raisons
que l’Echo nous a données dans son juste article, nous ont convaincus. Non seulement
Pentecôte est la date la plus indiiquée dt
nous n'avons pas le droit de sacrifier le
¡Vendredi Saint pour parler ce jour wiiquement ou surtout aux catéchumènes,
mais il n'est pas mal de laisser quelques
semaines aux jeunes après Texamen d:
avant la réception pour réfléchir sérieusement à l’acte si important pour leur vie.
G. R.
RODORET. Dimanche, 7 mars, Marie
Pon&, des Fontaines, s’est paisiblement
endormie dans le Seigneur, à l'âge de
83 ans, à la suite d’une longue maladie,
supportée chrétiennement. Elle fut une
mère exemplaire et dévouée, pleine de
bonté, de charité et de foi. Une foule immense, accourue lundi après-midi, a démontré de quelle affection notre sœur é^ait
entourée. Aux enfants, dont trois se trouveiit actuellement en Amérique, à la sœur
et à tous les parents, nous renouvelons
noire profonde sympathie chrétienne.
8AINT-OERHAI!«. XVII février. La semaine vaudoise a commencé le diman he
14 février, par un sermon sur le texte
Deut, XXXII, 11, 12, qui est une image
saisissante de l'histoire de l’Israël des Alpes : « Comme l’aigle bouleverse son aire,
voltige sur ses petits, déploie ses ailes,
les prend, les porte sur ses plumes, l’Etemel seul a conduit son peuple ».
Iæ matin du « XVII », les enfants forment un long et gai cortège, qui va réjouir les vieillards de l’Asile. A 10 h. 30,
tout le monde eât dans le temple. Les catéchumènes enlèvent avec entrain, accompagné de l’harmonium et d’un violon, un
chant de circonstance, sur la mélodie du
XVI® siècle : « Dans les temps de détresse,
Seigneur, pour tes enfants tu fus la forteresse, qui les fit triomphants» (Psanitier Läufer). Après une allocution du Pasteur sur la signification de la fête, un rische programme de chants et de récitations
se déroule, .sous la direction des institutnices et du Régent. A la sortie, les enfants reçoivent la brochure du « XVII »
et le don traditionnel, qui rendent leur
joie plus complète.
Bien que le jour ouvrable ait empêché
plusieurs de participer au dîner traditionnel, lf>2 convives remplissent les salles de
l’Hôtel de l’Ours. L’animation ne manqua
pas, non plus les discours, qui funent nombreux, malgré la proposition ,que quelqu'un fit de les abolir. Le pasteur éttiéritê
M. Soulier exhorta les paroissiens à être
des membres d’égUse vivants et des collaborateurs actifs du Pasteur. L'^angéliste émérite M. Bert, résuma brièvement
une étude sur les . Vaudois de Pragda.
M. Pedriali dit son étonnement et «a jOle
d'avoir vu, la veille, tant de feux de joie
sur nos montagnes, et soiflmite qu’ils
soient vraiment le symbole de la lumière
qui brille dans les ténèbres, he pasteur
de la paroisse met l'accent sur l’essentieÎ^i
des messages apportés et démontre la nécessité d’une vie spirituelle et moral© plra
profonde et d’ime vie ecclésiastique plus
enthousiaste.
On propose et on approuve envec dies applaudissements, d’envoyer à Milan, à M. et
M.me iHenri Trop, qui pendant seiiae années ont présidé la fête, une dépêche qui
leur dise combien on pense ’ à eux avec
affection et recannaiasanoe.
La commémoration, strictement religieuse, eut lieu le dimanche 21 février,
par un culte solennel. ‘Ce n’eSt pas la
foule spirituellement bigarrée de Noël et
de Pâques, mais une bonne assemblé© bien
serrée et bien recueillie, comme on devrait voir tous les d.imanches de l’année.
Le sermon du Pasteür, annoncé sous le
titre : « 89 amd S libertä r, a répondu
à la question suivante : comment lœ
Vaudois ont-ils profité de la Uberté civile
et religieuse ? Le rapide aperçu historique de la dernière période de la vie de
notre peuple, renferme un avertissemem
solennel à une fidélité plus grande, ét un
encouragement à poursuivre cette œuvre
d’évangélisation que Dieu nous a confiée
et qui a tellement enrichi et rajeum' notre vieille Eglise.
La Chorale, sous l’habile direction de
M. Jahier, chante : « Oh, mon pays, où la
voix dé nos pères ». Bien des âmes s^urâssent avec une profonde émotion à l’invocation : « A toi nos cœurs, belle patrie,
aux souvenirs si glorieux ! Dieu d'Israël,
sur notre vie, répands la foi de nos
aïeux ! ».
Lés diacres rentrent dans la salle du
Consistoire, les-bourses pleines de pochettes de la Semaine de renoncement. Le résultat marque un progrœ. Oh ! que ce
XVII février puisse vraiment marquer
un progrès dans notre vie religieuse, un
pas en avant vers ce Réveil, dont nous
avons vu la nécessité urgente.
★ La renommée théâtrale de notre jeu
nesse est trop bien établie et par conséquent nous n’avons pas besoin de souligner le succès du drame vaudois : « La
Figlia deU’Anziano », joué les soirs du 17
et 21 février. Une ronde charmante et un
acte comique ont réjoui nos esprits, màis
n’ont pas effacé l’impression profonde de
la foi triomphante de l’Ancien et dix courage de sa file. .
★ Nous remercions les pasteurs qui, par
leurs sermons et conférences, nous ont
édifiés et vivement intéressés : doct. Alberto Ribet : « Un sècolo fa ». Pasteur
Guido Rivoir : « Le Colonie Valdesi M
America ». Pasteur Louis Marauda : « R
miste^-o nella vita ». Pasteur Roberto Jahier : « R sacerdozio universale dei credenti ». M. le pasteur émérite B. Soulfer,
qui a présidé le culte du 28 février.
La dernière conférence de la série sera
donnée par M. le pasteur Ermanno Rostan, sur le sujet : « La Santità di Dio ».
★ Dimanche dernier, Louis Bouchard et
Vittorina Long, de la GostabeUa, en présentant au Baptême leurs enfants Emile
et Guido, ont promis de veiler sur les
agneaux que Dieu leur a confiés.
★ Ije 26 février, un long cortège rendait les derniers honneurs à la dépouiUe
mortelle d’Anna Maria Framceschi veuve
Long, décédée à Turin, après une courte
maladie, à l’âge de 83 ans. Fidèle compagne du très regretté régent de Pramol et
de Saint-Germain, elle a terminé sa longue journée, entourée de l’affection de
tous les siens. La famille remercie toxis
les parents et les amis qui, venant de Turin et de Pramol, ont pris part à son
deuil.
★ Don reçu. La faraflle Long-PerogàUi,
pour l’église de Saint-Germain, en souvenir de leur chère mère et bele-mère,
L. 100.
★ Fleurs en souvenir d’Annibale Germanet: La Jeunesse des Gondins, pour
l’Asile des Viedllards, L. 50 - La Chorale,
pour l’Asile des Enfants, 50.
★ Dimanche, 14 mars, après le culte,
à 11 h. 15, aura lieu une Assemblée d’Eglise, pour réfection d’anciens et de
diacres.
★ Vendredi, 19 mars, la jeunesse de
tops les quartiers fera une course à Pramol. Rendez-voxis pour le départ, 9 heures, devant le temple.
★ L’offrande pour l’Asile des Enfants;
témoignage de reconnaissance envers
M. et M.me le pasteur doct. Henri Troo,
a été placée en un « Buono Postale Fruttifero » de mille lires.
|;VILL1^ChÉ. go février,, a été
^béaxi le mariî^ d’Àlâo Grill, de Çonibe»orose, avec Esther Léger, de Villesêche,
nwnïtrice, depuis plusieurs années, de noftre école du dimanche. Que Dieu bénisse
ce noùv^ti fpyer.
i Le 3 mars, à Combegarin, a eu lieu
¡• l’ensevelissement de netre ^ur Madeleine
Ctot née Peyronél, décédée à Tâge de
88 ans. A la famille en deuil, nous redi*8ops notre sympathie chrétienne, -. '
,g[, ★ Un malheur qui arrive encore assez
* souvent, dans nos maisons de campagne,
a frappé la famille d'Adrien Peyronel, du
(Trussan. La mère et sa petite ayant été
gravement brûlées par de l’eau bouillante
contenue dans un chaudron, avaient dû
être transportées à l’Hôpital du Pomaret ;
c'cst là que, vendredi 5 cpurant, la petite
Fka est décédée après des souffrances
A atroces. Que dans eétte dure épreuve, la
’con^iatibn et l’amour du Père céleste
puissent accomplir leur œuvre bienfaisante dans ces cœurs meurtris.
« Fiori » in memoria del compianto professore D. Jahier, per la r Società di
' ¡ Studi Voided » :
Prof. Achille Malan, Torino L. 2l0,—
Ten.-col. Giulio Martinat, Verona » 30,—
Elena Pons e Amilda BounousPons, Roma » 50,—
Dott. Enrico Meynier, Brescia » 20,—
Sig. Abele Geymonat, Torre Pellice » 10,—
Prof. Anna MaruUo, Id. » 20,—
Ing. cav. Carlo Roland, Pinerolo » 25i,—
Bfe. Giovanni Mieggei, Goano » 15,—
Prof. Giovanni Rostagno, Roma » 25,—
Echos Yafldois d’Allemagae
D’une lettre de M. Granget, un allemand d’origine vaudoise que plus d’xxn des
lecteurs de Y Echo ont connu pendant son
séjour aixx Valées, nous tirons les nouvelles qui suivent :
i « Le 16 janvier, j’ai eu ma première conférence à Stuttgard, à l’occasion de la
fondation d'un groupe local de 1’« Union
.Vaudoise Allemande ». Le 24 février, ma
deuxième conférence a eu Heu à Pforzheim,, avec tine salle remplie à l’excès,
et ma troisième, le 28 du même mois, à
Mühlacker, près Schoenenberg,.,où étaient
aussi les Vaudois de Pinariie et des • autres centres vaudois du "Wurltemberg.
Mon discours a été partout bien accueilli,
surtout par le vieil am:i des Vaudofe, M. le
pasteur Adolphe Markt, qui lies connaît
depuis 1889, date de son premier voyage
aux Vallées, pour les fêtes du Bicentenaire ».
Noxxs remercions M. Granget des nouvelle qu’il nous donne et nous l’assurons
que celles-ci seront toujours les bienvenues : d'autant plus que nous Savons qu’il
a été un des membres fondateurs de
r« Union Vaudoise Allemande » et qu’il
s’intéresse beaucoup à rhistoira de ses
ancêtres, qui sont‘aussi les nôtres.
Th.
Les familles LONG et PETROGALLI,
iévtms de ta démonstration de siympatlde
donnée à l'occasion du départ pour la Patrie céleste de
Madame MARIE ANNE LONG
née FRANCESCHI
âgée de 84 ans
remeriderht tous ceux qui ont bien vendu
aocompugner la dépouille mortèlle au
champ du repos, partictdièrement M. îe
pasteur G. Bertin,
Saiixt-Geirinain, le 26 février 1937-XV.
La famille du regretté
JEAN PIERRE PISTON
rernêfcie toutes tes aimables personnes
qui lui ont témoigné de la sympathie à
l'occasion du départ de son bievMdmé.
Luserhe Saint-Jean, le 9 mars 1937-XV,
iHlilaiH liÁlá
REFUGE. '
■ Ecole du dwianche, Nyeva^ ValçtepMe»
L. 30 - N. N., Milan, 100 - E3isabetta Cedían, SaintrGermain, 10 •'^ Richard Hess et
^Madàme, Bafge, lOO Hollandske Lçffttion, Riobenhavn., 50 - Ch^bonnier et
A., Ea Tour, 20 - Coìsson-Nisbet, miss^wnaìres. Id., 20 - Long Joseph, régent émérite, Luserne Sadnt-Jean, 2Ó - Çonjugi Immovillì, Reggio Emilia, 25 - Maddalena
Larco, La Maddafena, 25 - Emanuele Beux,
Luaerpe Sàint-Jeàn, 20 - Dct. Tomlmso*];
Anglsharre, 50 - Malan Théophile, pasteujr
émérjte. La Tour, 100 - Marie Ribet, Id.,
25 -■ Heynat Letizia, Id. 20.
HOPITAUX.
■ i í. ■ . .h'’
Bourde, La Tour, L. 100 - Charbopniiar
J, et A., Id., 20 - Thérèse Genicoud, E)tGermain, 50 - Ida Bertalot, Lusem© StJean, 30 - Malan Théophile, pasteur émérite, La Tour, 100^- Suzanne Ftache, |d,
(soins de sœur Eîva), 20 - Long Joseph,
régent inerite, Luserne Saint-Jean, 20.
ORPHELINAT;
Coniugi Franciosi, Reggio Emxha, L. 25
Coniugi Imovilli, Id. 25 - Coìsson-Nisbet,
missionnaires, La Tour, 25 - Malan Théophile, pasteur émérite. Id., 100 - Veuve
Geymonat et fils docteurs Oscar et Ernest.
Id., 100 - Coïsson-Nisbet, missiœinaires,
Id., 30 - Eva Gardiol, Marseille, 25 - GKramer, Montreux, 80 - Barthélemy Pascal. m^ohnaire, Algérie, 25 - Pizzaidi
Giovanni, La Tour, 14 - Charbonniier J. et
A.> Id., 20 -Marie Ribet, Id., 80 - Long Joseph, régent émérite, Luseme Saint-Jean,
20 - Bourse des Pauvres, Angrogne, 200.
« IN MEMORIAM».
Oreste Gay et Madame, Lopglábpd, N, Y., « à la mémibire
de notre chesr père Matteo
Gay et de notre chère sœur
Léa Gsy^Périvaz»:
pour le Refuge L, 100,—
» Hëpitauso » ÎOt^—
Bertalot Enrichetta et filles Gar
ribbo Eisa et Martinat Marie, La Pérouse, « à la mémoire de Long Alfred»» ;
pour le Refuge » 20,—
» les Hôpitaux » 40,—
Cariuccio et Clarette, Milan,
« en souvenir de leur grand’maman » » 300,i—
Etienne Long et Madame, « en
souvenir de leur mère » :
pour l'Orphelinat » 50,—■
La famille Albert Meynier, « à
la mémoire de leur chère
I
Clelia » :
pour l’Orphelinat » 25,—
Sœurs Fedozzi, Gênes, « à la
mém, du prof. Emile Tron » ;
,pour' l’Orphelinat » 10,—
Ad. Micol, « à la mémoire du
* neveu et cousin Micol Adolphe, de Massel » :
poor l’Orphelinat » ' 20,—
Letizia Bonnet-Marauda, La
Tour, « fleurs à la mémoire
des chères cousines Pavese » ;
pour le Refuge » 15,—
« A la mémoire d’Anita Messina », la maman, Rome :
pour le Refuge » 50,—
» l’Orphelinat » 50,—
la mémoire de P<»is Daniel, •
Perrero », la famille :
pour le Refuge » 75,—
» les Hôpitaux » flOO,—
» l’Orphelinat » 200,—
« A la mémoire de NeUy Gaydou», la tante veuve Buffa,
Torre Pellfee :
pour les Hôpitaux » 5,—
Bertalot Enrichetta et Allés Garibbo ..Eisa, et Martinat Marie, «à la mémoire de M.m©
Louise Mathieu » ;
pour l’Orphelinat » 50,—
Famille Carlo Grill, « à la mé-
4
J.?
L*Echo. des Vallées ,:,,\%iciredi 12 Mars 1937^XV
• m^jp ,j4e,<^-ttie.‘Loviifiie ,Mathis»:/ ’i*'
pour l’.Ç^Tfihelimû L. 50,—
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veuve Davit, Bobbio PeBâce - Bonnet Madeleine, Coularei, Prarostino - Gay Emilio,
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ed accetta le relative commissioni
Denunzie di successione
fatte con criterio razionale
VITI AMERICANE
PIANTE FRUTTIFERE
OSCAR CODINO
PINEROLO
Merce perfetta
Garanzia assoluta
esperienze -f- riputazione =
successo
iuie» rron* dirdcteur-rMRomaabi«
T«rre Pellica - Imprimerie Alpine S. A*
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