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Cinqnàiite-neaviime année.
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N» 15
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I.. 8.- 5 —
1 10,— 6,—
1 15.— 8,1 14.— I doll. Vi doll.
^ments à la même adresse
Lmérique ....................
On s'abonne: à Torre Peiiice, au Bureau d’administration de VEcho (Via
Arnaud, 29); dans toutes les paroisses, chez Mil. les Pasteurs,
^'abonnement se paye d’avance.
S’adresser: pour la Rédaction, au Directeur M. JEAN CoiSSON, ^professeur.
Torre Pellice - pour l'Administration, au Bureau du journal, Via Arnand,
N* 29 - Torre PeUice.
Four tontes les annonces s'adresser au Bureau du journal.
Tout changement d'adresse coûte 30 centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
snj Le Numéro 1^0 estimes vv
Que tontes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables.
a de louange, occupent vos pensées. (Phil. IV, 8).
JL'V’XS.
La Fête de Chant pour les Ecoles du Dimanche du Val Pélis aura lieu, D. V.,
Jeudi 19 courant, à 10 heures, dans le
temple de La'Tour.
Le public est cordialement invité à y
assister.
Pour la Commission du Chant Sacré :
Eugènk Revkl, président.
Nos bons voeux.
Ils vont à la charmante Princesse de Savoie qui vient d’unir sa destinée à un
époux de son choix. Nous n’avons eu, depuis 1848, qu’à nous louer, en tant que
Vaudms, de nos Souverains et de ta famille
royale. Ils nous ont donné, au cours de ces
soixante-quinze dernières années, des préfixés manifestes et fréquentes d’estime et
d’affection qui nous ont touchés et qui justifient le loyalisme du peuple Vaudois, demeuré monarchiste convaincu dans son immense majorité.
'Et c’est à ce titre surtout que les Vaudois prennent part, à côté de tous les autres Italiens, aux réjouissances de la famille royale. De nos belles Vallées, que la
jprincessejolanda aimait à visiter fréqiiemmmt, sont' partis, lundi dernier, les vœux
les plus sincères à l’adresse des heureux
-époux.
Un principe apostolique
trop oublié (ie nos jours.
(Du Christianisme).
“Par les lignes qui vont suivre, nous ne
voudrions froisser personne, mais^'simpleraent attirer l’attention de quelques chrétiens sur certains principes apostoliques
dont la stricte application éviterait de bien
pénibles conflits.
On se demande en effet avec angoisse
quand cessera, dans nos milieux protestants, co triste spe,ctacle. Une de nos vieilles églises enregistre-t-elle, brusquement,
une belle floraison d’âmes, ou, simplement,
le bruit de son activité et de son zèle se
répand-il au dehors qu’aussitôt, dé tous
les coins de l’horizon et même de l’étranger, accourent de braves frères, se disant“
tous, naturellement, envoyés par le Seigneur. Pareille armée serait accueillie avec
reconnaissance par les pasteurs de ces églises si vraiment elle venait pour collaborer
avec eux. Mais il n’en va malheureusement
pas ainsi. Sans trop s’inquiéter de savoir
si une église protestante existe dans la localité,, ou feignant de l’ignorer, ces frères
se mettent en devoir de répandre leurs
doctrines particulières avec leur méthode
propre et, ce qui est plus grave, cherchent
à enrôler sous leur bannière les meilleurs
éléments de cette paroisse, tout en recueillant ses dons généreux.
A 1 occasion, on se permet même de pénibles allusions au corps pastoral, on laisse
entendre que seul on est capable de réveiller les âmes, et on sape quelques-unes des
bases essentielles de l’Eghse.
Malgré toute'la charité, chrétienne dont
on veut -rester animé à l’égard de ces frèl'es, on ne peut cependant s’empêcher de
trouver étrange pareille attitude. Quand,
en effet, dans des centaines et des milliers
de villes et de villages, l’Evangile du Christ
Sauveur n’est pas annoncé, pourquoi donc
choisissent-ils invariablement pour champ
de leur activité, ou pour leurs « missions ¿>
temporaires, les localités où, depuis des siècles, se trouve une église vivante et agissante ? Pourquoi ces mêmes frères semblent-ils ignorer que les chrétiens à qui ils
parlent ont leur temple et leur culte, et les
pressent-ils d’assister à leurs réunions spéciales qui, par un fâcheux hasard, ont trop
souvent lieu à l’heure même du culte réformé ? Pourquoi enfin chercher, par une
très forte pression, à enrôler dans leurs
œuvres particulières, nos catéchumènes de
hier et nos unionistes d’aujourd’hui ? Nos
églises locales, notre Protestantisme n’ontils donc plus besoin de ces jeunes ,et dévoués collaborateurs ? Et si. ces frères veulent des aides, pourquoi ne pas loyalement
reconnaître l’existence des églises où ils les
viennent enrôler si largement et pourquoi
leur imposer ensuite l’obligation de cesser
d’être membres de nos associations cultuelles ?
Mais, trêve à nos réflexions personnelles. Demandons simplement au grand apôtres Paul ce qu’il penserait de pareils procédés ? Il y avait à Jérusalem des milliers
de Juifs à convertir. Il n’y est point resté,
car, avant lui, d’autres apôtres avaient entrepris cette œuvre. Il y avait en Judée
et même en Asie Mineure des églises chrétiennes qu’il n’avait point fondées et dont
il n’approuvait peut-être pas complètement les règlements particuliers. Il n’est
point,,.-venu s’installer près d’eUes pour
faire son œuvre, mais voici le principe
adopté par lui et singulièrement oublié aujourd’hui par nombre de chrétiens farouchement individualistes ; « Nous irons
évangéliser au delà de chez vous, disait-il
aux Corinthiens, sans jamais entrer dans
le champ d’action d’un autre, et sans nous
vanter des- travaux qu’il a terminés »
(2 Cor. X, 16). — « J’ai partout porté
l’Evangile du Christ, disait-il enfin aux Romains, et je me suis fait un devoir d’honneur de ne pas prêcher l’Evangile là où
le nom du Christ avait été déjà prononcé,
pour ne pas bâtir sur un fondement posé
par‘autrui » (Romains XV, 20).
C’est en vertu du même principe que
nos pères avaient inscrit dans leurs discipline ecclésiastique, qu’ auraient grand
profit à lire et à méditer certains de leurs
descendants, ces sages dispositions :
Art. 24. « Les ministres n)e seront vagabonds et n’auront la liberté de s’ingérer
de leur propre autorité où bon leur semblera ».
L’heure ne serait-elle pas venue de remettre en honneur, au sein du Protestantisme de semblables principes ? Le « vagabondage » ecclésiastique ne pourrait-il pas
être interdit ?
Au cours des fêtes du Centenaire de la
Société des Missions, les orateurs ont beaucoup insisté sur l’esprit qui pousse actuellement les diverses sociétés de missions,
non plus à se «concurrencer», mais à'collaborer fraternellement en se répartissant
les régions à évangéliser. Ce qui se fait
pour l’évangélisation des païens de l’Afrique ne pourrait-il donc pas se faire pour
l’évangélisation de nos compatriotes ? Notre pays est assez vaste pour que tous ceux
qui^ réclament des principes de la Réfor^, quelles que soient leurs méthodes et
leuj^ divergences sur des points secondaireslipuissent prêcher l’Evangile du Christ
Sajfl^Ur en terrain vierge, et renoncent
un^iois'pour toutes à aller ipoissonner là
où % p’oiîI; point semé.
ffpus appelons donc de tous nos vœux
un^autorité ecclésiastique ou une personna^ religieuse assez puissante pour faire
ad^^r, par tous les fils de la Réforme, 1e
viefix principe apostolique. Alors chaque
groj^ement religieux pourra, dans le miliei^ qui lui aura été assigné, montrer ses
cap|Gités spirituelles, et les chrétiens évangélUues cesseront de donner à leurs compa^ytes, volontiers attirés par la prédicat||B de l’Evangilte, le déplorable spectacle|^ lieux de culte, de réunions, d’œuvn^ de ministères, qui semblent s’ignorer
ou® concurrencer. Il y a là un interdit
qu^faut à tout prix faire disparaître, car
il «irave le réveil des âmes et l’avènem» du R^ne de Dieu. G. Denignus.
obâteau de ffiombfon.
ps le cours capricieux de ses nombr^^ méandres, la Ciamougna recueille
U'î:i,5aux des'deux bassins qui entourent le
plateau des Pians, depuis les flancs des Sonaillettes et des Barioles jusqu’au Coularei et au château du Loup. Ces différentes
branches s’unissent avant de se jeter dans
le Pélis. Près de ce confluent et du pont
de la route qui unit Cavour à Osasc et Pignerol, se trouvait jadis le bourg important de iMombron, le dernier de la vallée
et du comté de Luserne.
Lors d’une terrible alluvion, les torrents
réunis détruisirent ce bourg, dont les habitants allèrent fonder, non loin de là, vers
le Cluson, Garsillane. Mais le château de
Mombron, solidement bâti sur un mamelon, résista au choc formidable des eaux.
D’autres évènements en provoquèrent la
destruction plus tard.
Il en reste néanmoins des ruines imposantes, de hauts pans de mur branlants
et percés de brèches, qui, vers le soir,
semblent parler de violences sans nom et
de tragédies sanglantes. L’imagination des
paysans de la plaine peuple de fantômes
ces ruines sinistres ; aussi ne s’en approchent-ils guère de jour, et jamais de nuit.
Au temps de sa gloire, ce château était
occupé par une branche des Rorengo, consorts des seigneurs de Luserne, qui tyrannisaient les populations environnantes. On
raconte dans la région qu’une jeune fille
vaudoise, enlevée à ses parents, était élevée au château. Ses traits aimables, que
sa chevelure entourait d’une auréole d’or,
sa vivacité rehaussée par une modestie
naturelle, gagnèrent le cœur du jeune fils
du châtelain, qui désira en faire son
épouse. Mais le comte et la comtesse s’opposèrent résolument, à cette mésalliance,
d’autant plus que la jeune ffle, bien
qu’eUe n’eût plus qviittç le château depuis
des années, gardait intacte dans son ccqur
la foi qu’elle avait reçue de ses parents
et refusait d’embrasser le catholicisme,
même pour être parée d’un diadème de
châtelaine.
Le jeune homme gardait son amour,
partagé entre la crainte de devoir y re
noncer à jamais et l’espoir de pouvoir briser la résolution de sçs parents ou celle de
la jeune fille. Sa passion semblait s’accroître en proportion des obstacles qui s’y
opposaient.
Un jour qu’il était sorti pour une partie de chasse, à son retour il chercha en
vain dans tout le domaine la blonde enfant
des Vallées, il tendit en vain l’oreille pour
entendre sa voix argentine chanter les
Psaumes de Marot.
Enfin, ses parents lui dirent que la jeune
fille avait réussi à s’évader, inaperçue par
la sentinelle, et qu’elle avait sans doute rejoint sa famille.
Depuis ce jour, le jeune comte ne fut
plus le même. Ni chasses, ni tournois, ni
les distractions de la capitale ne l’attiraient plus ; il errait, comme une âme en
peine, dans le château et dans ses dépendances, vivant du souvenir de celle qui les
animait naguère de- sa présence rayonnante.
A quelque temps de là, comme il faisait
faire je ne sais quels travaux dans les murailles du donjon, un coup de pic fit tomber une mince paroi de briques, derrière
laquelle il découvrit avec effroi un cadavre ; en s’approchant, il reconnut la
blonde et soyeuse chevelure de icelle qu’il
aimait.. Ses parents l’avaient murée vivante !
Le noble jeune homme, à la pensée des
souffrances de la jeune fille et de l'effondrement de toutes ses espérances, reprocha
amèrement leur crime aux auteurs de ses
jours, puis se donna la mort sur les restes
de leur victime.
Les fantômes des deux amants se retrouvent la nuit parmi ces décombres.
Voilà pourquoi les habitants des environs
n’osent pas s’y aventurer. J. J.
Il existe encore une trentaine d’exemplaires des Légendes des Vallées Vaudoises,
par Jean Jalla, beau volume illustré, de
80 pages. S’adresser à l’auteur, à Torre
Pellice, en envoyant cinq francs.
II“ Conférence Annuelle
des IJ.C. de J.G. du Piémont.
Elle a eu lieu lundi 2 courant, à Pignerol. Toutes les Unions y étaient représentées, excepté celles de Bobi et de Massel,
qui pour des motifs plausibles ne purent
envoyer leurs délégués. Et notons tout de
suite tin fait remarquable, qui arrive pour
la première fois dans nos Vallées : que
toutes les paroisses sont, depuis cette année, dotées d’une Union. C’est certainement un fait heureux pour le progrès spirituel et moral de nos populations.
Les 70 délégués, cordialement accueillis
par leurs confrères de Pignerol, et de StSecond, se réunirent à 8 h, 112, dans le
temple, où, après une bonne méditation
de M. L. Marauda et la nomination du Bureau (M. Attilio Jalla, président; M. L.
Marauda, vice-président; MlM. Bertin, Peyronel, Gardiol, secrétaires)commenç^a le
développement de l’ordre du jour.
M. H. Beux, président du Comité de
Groupe, lit un court rapport sur l’activité
du Gomité dans l’année écoulée. Cette activité eut surtout pour but de former des
2
Unions dans toutes les paroisses où elles
manquaient encore, et d’intensifier le recrutement des membres. M. Beux exposa
ensuite les causes pour lesquelles l’activité
du Comité ne put être plus grande, et annonça pour l’après-midi la présentation
d’un nouveau projet de constitution du
Comité même.
Dans la discussion qui s’ensuivit on remarqua surtout-, l’absence des délégués des
nombreuses petites Unions mixtes de quartier, qui ne se rattachent pas encore au
Groupe ; et l’oîi proposa les moyens par
lesquels on pourrait les faire participer
aux avantages de l’organisation et les
grouper dans la grande famille unioniste.
M. A. Jouve présenta le rapport financier, faisant des remarques très utiles pour
les Unions retardataires dans les payements. Les deux rapports furent approuvés à l’unanimité.
Deux sujets très intéressants furent discutés dans la matinée : celui de l’œuvre de
propagande chrétienne, présenté par M. U.
C. Rastellini avec un appel très chaud et
très direct à la conversion et au témoi.gnage ; et celui de l’aide aux Consistoires,
surtout pour ce qui regarde la partie matérielle de leur œuvre, présenté par le prof.
Corrado Jalla. Les représentants de plusieurs Unions (La Tour, Cercle Vaudois et
Activité Chrétienne de Turin, etc.) démontrèrent par leurs expériences très intéressantes, le vif désir de beaucoup de nos jeunes gens de travailler pour leur église, de
se donner à la grande tâche de l’avancement du Règne de Dieu. La proposition de
M. Jalla, de s’accorder avec l’église pour
avoir dans le Consistoire un représentant
de l’Union, quoique jugée utile, ne fut pas
acceptée, comme n’étant pas encore assez
mûre. Deux délibérations furent prises,
dans le sens de la préparation de groupes
de jeunes gens de l’Union, sous la direction du Pasteur, pour présider des réunions de quartier, et porter ainsi à leurs
frères la parole de Dieu ; et dans le sens
d’olîrir à l’ancien de chaque quartier l’aide
d’un ou de plusieurs membres de l’Union,
surtout pour ce qui a trait au côté matériel de leur tâche.
Dans l’après-midi ejjt lieu une discussion
très animée sur le sujet des Unions mixtes. Le rapporteur, M,. Giaccone, présenta
des conclusions favorables à l’établissement
d’Unions mixtes dans chaque paroisse.
D’autre part, on affirma la nécessité que,
tout en* organisant les jeunes gens et les
jeunes filles dans des Unions séparées, on
encourage leur collaboration toujours plus
étroite, par des séances, des soirées, des
promenades en commun, afin que l’activité
de la jeunesse devienne par là plus intense
et efficace. L’adhésion de la section féminine des Unions mixtes à la Fédération
des Unions de Jeunes Filles, proposée par
les deux Comités Nationaux, fut soutenue
par les uns, combattue par les autres. La
conclusion fut d’autoriser l’organisation
d’Unions mixtes, là où on les croyait nécessaires ; et de proposer au Comité National de reconnaître aux jeunes filles des
Unions mixtes tous les droits fédéraux que
la constitution donne aux jeunes gens.
Deux représentantes du Comité National
des U. C. de J. F., M.me Gardiol et M.lle
Meynier, étaient présentes à la discussion,
et furent saluées, au nom de l’assemblée,
par le président M. Jalla, qui exprima le
souhait que la collaboration existante entre
les deux Fédérations devienne toujours
plus intense.
M. Pedriali présenta ensuite un cqurt
rapport sur le Camp Unioniste d’été, mettant en évidence, avec un vrai enthousiasme, ses bienfaits matériels et spirituels.
Après le thjé, offert par l’Union de Pignerol, deux autres sujets furent discutés:
• ceux de la lutte contre le, blasphème et
contre l’ivrognerie (rapporteur M. A. Gardiol), deux vices sociaux qui deviennent
de plus en plus de vrais dangers de nos,
iVaUées. On prit la décision d’inviter toutes les Unioïis à accentuer leur œuvre de
propagande contre ces deux vices: et on
propdsa différents moyens d’action pratique dans ce sens.
Enfin, IVf. Riccardo Pellenc présenta un
rapport sur la nécessité d’encourager la
composition d’œuvres, dramatiques concer
î ^
nant l’histoire vaudoise ; et proposa de
nommer une Commission avec la charge
d’organiser un concours dans ce but. Après
une bonne discussion, la Commission fut
nommée dans les personnes de MM, Pedriali, Francis Monney, Bounous, prof. S.
Tron et R. Pellenc.
M. Beux présenta le nouveau projet
pour la nomination du Comité de Groupe.
On décida qu’il soit constitué par un représentant de chacune des 20 Unions du
Groupe, par le représentant du Comité
National, et par un Président nommé par
la Conférence. Et l’on confirma à la presque unanimité, à cette charge, M. Henry
Beux.
L’Union Chrétienne de Pignerol fit un:
accueil vraiment fraternel à la Conférence,
organisant pour midi un dîner à YAlhergo
Regina dîner très réussî soît pour le
menu, soit comme gaîté et entrain — offrant à 4 heures un thé à tous les congressistes ; préparant dans un local, pour le
soir, un petit souper très savoureux, et
offrant encore l’hospitalité pour la nuit à
tous les congressistes qui ne purent pas
rentrer chez eux le soir même. — Et les
chants innombrables que l’on chanta dans
la soirée, sous la savante direction de M. E.
Revel, exprimèrent aux frères de Pignerol,
mieux que des paroles, la reconnaissance
et la vive satisfaction de tous..
En conclusion, lar'Conférence nous a
paru fort réussie à tous les points de vue;
Que les Unions se préparent maintenant
à exécuter, selon leur possibilité, tout ce
qui a été décidé, pour le bien de nos Vallées et surtout de notre jeunesse.
Le Reporter unioniste. ]
Concours Scolaires.
Nous rappelons à nos jeunes maîtresses
d’école et aux licenciés de notre Ecole Normale que, d’après la nouvelle loi, les concours « per posti di ruolo » pour les écoles
de la région se feront désormais par titres
et par examens, et que le terme pour l’envoi des documents relatifs écherrait le 31
mai. La date des examens sera fixée plus
tard.
En attendant, il s’agit de faire une
bonne préparation sur le programme que
les journaux pédagogiques ont publié ou
vont publier et qu’il ne faudrait pas prendre à la légère. Ladite préparation va exiger un outièlage fort coûteux et qui pourrait effrayer bon nombre de concurrentes.
Mais, niente paura ; notre Ecole Normale,
par l’organe de son zélé Directeur, a
pourvu à tout le matériel d’études. Aussi,
nous engageons vivement les candidats et
candidates à s’adresser sans retard, pour
de plus amples renseignements, au directeur de l’Ecole Normale, M. le prof. Attilio
Jalla, ...et bonne chance !
CHRONIQUE VAUDOISE.
ANGROGNE. Les cultes de la semaine
sainte, favorisés par le beau jtemps, ont attiré les foules des grandes occasions.
Le jour du Vendredi Saint a eu lieu la
confirmation de 21 jeunes gens et 13 jeunes filles, et la cérémçnie a été rendue plus
émouvante par le beau cantique de réception des catéchumènes, chanté avec beaucoup de sentiment par notre Chorale.
A Pâques, le temple était littéralement
bondé, à tel point que plusieurs ont dû
rester debout pendant le service ! Le grand
nombre de coiffes vaudoises offrait un coup
d’œil magnifique. Après le sermon, la Chorale éntonnS avec élan un chœur d’occasion, qui contribua à la solennité du culte.
Nous avons eu la joie de constater un plus
grand nombre de communiants que par le
passé, parmi lesquels plusieurs jeunes gens
et jeunes filles. La collecte à l’fssue du ser
vice a produit une bonne somme pour no- •
tre œuvre, d’évangélisation.
Dieu veuille bénir pour notre église les
impressions reçues dans ces jours solennels !
— Dimanche dernier, l’Union Chrétienne
de Cacet-Rivoire, avec le concours de quelque jeunes filles, a procuré au nombreux
public, accouru des différents quartiers de
la paroisse et même de La Tour, trois heures de saine jouissance par une fête de
bienfaisance des mieux réussies à tous
égards. Après le fculte présidé par le Pasteur, le président, M. Etienne Benech, souhaita la bienvenue aux présents, donnant
en pur « angrognin » un intéressant
compte-rendu de l’activité de la Société
pendant la saison d’hiver.
Après quoi, se déroula un riche programme, comprenant 13 poésies, 3 monologues, 10 dialogues, entremêlés de 8
chants, bien exécutés, sous la direction de
iM. Daniel Buffa (Lin grand), qui n’a épargné ni temps ni fatigue. Tous les membres
de l’Union et les jeunes filles ont pris une
part active aux différentes récitations,
bien choisies et bien préparées. Aussi les
représentants des autres Sociétés de la paroisse et de l’Union Chrétienne de La Tour
n’ont-ils pas marchandé les éloges bien mérités aux artistes et aux organisateurs de
cette belle fête.
A la traditionnelle « terza parte », entre
un chant et l’autre, div^s toasts ont été
portés, parmi lesquels un à l’adresse de
M. Giuseppe Cresto, pour le magnifique
drapeau, généreusement offert à l’Union
de Cacet-Rivoire pour l’usage de l’école de
ce quartier et qui a été inauguré à cette
occasion.
Une abondante collecte a été faite à la
sortie en faveur de nos Etablissements de
bienfaisance.
Nos félicitations à FUnion Chrétienne
de Cacet-Rivoire pour la bonne réussite de
sa fête et nos meilleurs vœux pour une activité bénie sein de notre chère jeunesse ! ,
— Samedi soir 14 courant, à 8 h. 1|2,
dans la grande école de St-Laurent, aura,
lieu la soirée de bienfaisance de la ChoraJe
cl’Angrogne, à laquelle le public est vivement prié d’assister, moyennant les billets
d’entreé, qu’il convient de se procurer à
l’avance auprès des membres de la Chorale.
POMARET. Si le Marin du Pomaret
avait pu voir la joie reconnaissante brillant dans les yeux des malades de l’Hôpital, le dimanche de Pâques, qui leur apportait les beaux cadeaux que sa charité
généreuse leur réservait pour ce jour-là,
il aurait été profondément ému.
Et quand, après que le Pasteur leur eut
lu l’affectueux message qui accompagnait
le don du bienfaiteur anonyme, ces malades s’écrièrent : « Dites-lui toute notre reconnaissance », on sentait que ces mots venaient du fond du cœur.
Ne sachant où lui faire parvenir ces remercîments — car le marin n’a même pas
donné son adresse — nous les confions à
1’« Echo », dont il est peut-être un lecteur.
J. T.
PRAMOL. Les cultes de la semaine de
Passion ont été célébrés solennellement par
des assemblées nombreuses et recueillies.
Le dimanche des Rameaux, c’est le pasteur
Luigi Rostagno, de Brescia, qui a occupé
la chaire, en prenant pour texte le deuxième verset du Psaume XLH. Le jour du
Vendredi Saint, 11 catéchumènes ont été
reçus dans l’église, et, le jour de Pâques,
devant une assemblée vraiment imposante,
ils se sont approchés, pour la première fois,
de la Table du Seigneur. La Chorale, qui
depuis quelques mois a pris un nouvel essor, a chanté deux beaux chœurs de circonstance, l’un le jour du Vendredi Saint,
et l’autre le jour de Pâques. Le nombre
des communiants a été considérable et la
collecte en faveur des Institutions Hospitalières très satisfaisante.
— Nous avons reçu de la part de M.
Amato Jalla L. 1(K) en faveur de notre
i'-S
pharmacie paroissiale. Nous remercio)
chaleureusement ce généreux bienfaiteù’
ainsi que tous les autres donateurs, parthi
lesquels nous signalons la Commune
Pramol, qui a délibéré de nous verser au^
L. 100. — Voici nos troisième et quatrièmi
listes de souscriptions : Collecté à Pramc^
L. 58 — Grill Henri, Saint-Germain, 10
Hélène Viglielmo, Riclaret, 10 — Davii
Gaydou, Massel, 10 — Amato Jalla, Turi:
100 — Commune de Pramol, 100 — Chevl
Emmanuel Pons, Perrier, 10 — Luigi Rosi
tagno, Brescia, 10 — N. N., Genève, 10
Long Héli Daniel, Torre Pellice, 5. — Ti
tal troisième et quatrième listes, L. 32^
— Listes précédentes, L. 798,10. — Tdg
tal général L. 1121,1,0. ’ D. P.
PRARUSTIN. Actes liturgiques d’oeb
bre 1922 à mars 1923. Baptêmes : Rivoi:
Eveline et Fiorine de Louis (Rouquetta) |
Gaudin Emmanuel feu Jacques (Saret Navarra) ; Gardiol Erminio Philippe de Fn
déric ; Rivoir Henri Jules de Daniel (Roc)'|
Grill Mario de Jacques (Ciarvet, Rocho
piatte) ; Godine Aldo de Jacques (Barbé)
Constantin Emma Pierina de Jean (Se«|
mounin) ; Long Athalie de Jacques (Cou|
larei) ; Cardon Garibaldi de Jean (Roc|:
—■ Mariages.' Rivoir Alexandre (Miloun);
et Bertalot Federica (St-Barthélemy), 18|
novembre 1922 ; Gardiol César (Saret Supérieur) et Bourne Eveline (Allamanda)»!
21 décembre 1922; Pasquet Louis (Baravaierà) et Robert Jenny (Coularei), S,
mars 1923.
— Ensevelissements: Avondet Paul, 72^
ans (Alliaud), 17 octobre 1922; Fomeroii'
Arnaud, 2 ans (Moulere), octobre ; Benech’'
Barthélemy, 82 ans (Pians), 18 novembre ;
ConstantinTGay Marianne, 85 ans (Coûlarei), 10 décembre; Gardiol-Garnier Susanne, 80 ans (Veiroulera), 11 décembre;'
Odili Jacques, 71 ans (Mounier), 30 jan-F
vier 1923 ; Gaudin-Cardon Marie, 80 ans
(Massera di Bosc), 31 janvier; Avondet'
CéleMine, 28 ans (Lioudera), 1 mars ; Pasqüet ‘Fànny, 69 ans (Garzigliana)., 5 meiaro «
Ptoman-GrilL Marthe, 59 ans (Vernei de;
Rocheplatte), 12 mars; Bouchard HenrU
un jour (Coularei), 18 mars ; Gay-Pasquet
Caroline, 75 ans (Ruà de Prarustin), 25mars ; Gardiol-Constantin Marguerite, 31
ans (Coularei) i 27 mars. A. J,
co- ^
Ce qu’a coûté la désastreuse guerre
à l’Angleterre.
C’est le 11 novembre 1918 qu’a été proclamé l’armistice, et c’est maintenant seu-1
lenient que l’Angleterre est à même de'
donner le bilan officiel de ses pertes et de
ses sacrifices. Le Times fournit sur le sujet les données suivantes : L’Angleterre a
enrôlé 6.211.427 soldats. De ce nombre,
741.000 sont tombés sur le champ de bataille et 1.693.262 ont été blessés. Les
lonies ont enrôlé 1.605.527 soldats, desquels _ 140.923 sont morts et 357.585 bles-®|
sés. L’Inde a fourni 1.505.000 soldats enj
perdant 61.396 hommes et 70.853 blessés.,.
Pour toute la durée de la guerre, la puis-;
santé Angleterre a dépensé 9.590.000.000|
de livres sterling, soit l’énorme somme de
239 milliards en argent italien. Cette soin
me colossale a été obtenue par deux milliards de livres sterling d’impôts directs,
par cinq milliards d’emprunts dans le pays,,
et par un milliard 360.000 à l’étranger.
Remarquons cependant que, sur cette
somme, l’Angleterre à son tour a prêté,
1.644.000.000 à ses colonies et aux Alliés, I
soit L. 453.000.000 à la France, et
L. 382.000.000 à l’Italie, ce qui signifie
que nous devons neuf milliards et demi à-,
notre alliée.
Cette statistique est terrifiante et nous
montre la grande folie, le grand délit commis par ceux qui ont déchaîné le terriblej
fléau. Qu’est-ce que la gloire, qu’est-ce que
la vanité, qu’est-ce qu’une province à conquérir, quand cela coûte le sang de mil-.J
lions de créatures humaines et conduit à
la ruine des peuples ?
Oh ! la guerre est une malédiction, une
I
3
arme de Satan qui sait habilement s’en
servi 1’ pour semer la ruine et la haine,
pour détruire les corps et perdre les âmes.
L’Angleterre, que l’on juge souvent égoïste, a donc largement payé sa part dans le
formidable confliL C. A. Tron.
CHRONIQUE EOLITIQUE.
Le Gouvernement commence à appliquer
ses principes de la dénationalisation des
chemins de fer et des postes. Mais la concession de ces services à l’industrie privée
n’est pas sans présenter des difficultés.
Une convention importante concernant la
cession des chemins de fer de la province
de Crémone a dû être révoquée à la suite
d’une campagne très vive de Thon. Farinacci, commissaire politique fasciste de la
région, contre le Ministre des travaux puL>lics. L’incident, qui a agité l’opinion publique pendant quelques jours, n’a été résolu que grâce à une délibération passablement équivoque du Conseil des Ministres et à l’énergique intervention de M.
Mussolini. Des dissensions profondes se
manifestent aussi dans le fascisme à
l’égard du projet de la réforme électorale.
Dans le but d’en coordonner et d’en unifier l’action, le Conseil des Ministres a décidé que toutes les institutions et les œuvres d’assistance en faveur des combattants, des mutilés et des familles des morts
pour la patrie goient soumises directement
à la surveillance de la présidence du
Conseil.
Le Ministre des finances vient de publier
les données relatives au commerce de l’Italie avec l’étranger pendant l’année 1922.
Les importations ont atteint le chiffre de
15.726 millions de lires contre 17.662 millions en 1921 ; les exportations se sont élevées à 9.297 millions contre 8.275 millions
en 1921. L’excédent des importations sur
les exportations, qui était de 9 milliards de
lires en 1921, est réduit en 1922 à 6 milliards et 300 millions, ce qui représente
une amélioration sensible de notre Situation économique.
— Le mariage de la princesse Jolanda
avec le comte Calvi di Bergolo a été célébré
à Rome, le 8 et le 9 courant. Malgré le désir de la Princesse de le fêter dans l’intimité, elle n’a pas pu se soustraire au cél'émonial de circonstance et d’imposantes réceptions ont eu lieu dans les grandes
salles du palais royal. Les cadeaux, les
hommages et les souhaits ont afflué de tous
les coins de l’Italie, d’autant plus appréciés que leur origine était modeste. A noter les mots d’approbation et de louange
adressés par le chapelain de la Cour,
Mgr. Beccaria, dans son oraison matrimoniale, à M. Mussolini qui assistait à la cérémonie. A l’occasion du mariage, le Roi
a accordé une amnistie et a conféré, sur
l’avis du Président du Conseil, le Collier
de l’Annonciade encore disponible, au président du Sénat, M. Tittoni.
— Après l’effervescence causée par le
tragique incident d’Essen, le calme est retourné dans la Ruhr, où les troupes continuent à occuper les usines pour séquestrer les dépôts de charbon dont le transport en France et en Belgique est toujours très difficile, l^s Alliés saisissent
aussi toutes les sommes à destination des
banques et des régions occupées.
L’ex-ministre Loucheur, qui représente
la tendance favorable à un accommodement ¡-apide avec l’Allemagne, s’est rendu
à Londres pour prendre contact avec le
Gouvernement anglais vis-à-vis du problème des réparations. Tout en n’étant pas
chargé d’une mission officieuse, il a réussi,
dit-on, à faire mieux comprendre la situation de la France. Il a aussi exposé tout
un nouveau plan de réparations, d’après
lequel 1 indemnité allemande serait réduite
dans de notables proportions et consacrée,
avant tout, à la reconstruction des régions
envahies. Le Reich assumerait en outre les
dettes des Alliés envers l’Amérique ; la
France et la Belgique évacueraient la Ruhr
et la rive gauche du Rhin deviendrait un
Etat confédéré et démilitarisé sous la surveillance de la Société des Nations. La
France semble disposée à entamer des discussions sur ces bases, mais tout dépend
des Etats-Unis qui n’ont pas encore exprimé leur opinion à cet égar^J^ Il faudra cependant arriver^ à une solution, et celle-ci
n’a pas l’air mauvaise du tout.
— Après maintes tergiversations, les
Turcs ont consenti à. revenir à Lausanne
le 23 avril. Mais la situation se complique
par le fait que le Gouvernement d’Angora
a dissous la grande assemblée qui détient*
tous les pouvoirs ; on ignore quelle sera
l’attitude de la nouvelle, chargée de ratifier la paix, le cas échéant.
— La grave maladie de Lenine, dont
l’activité politique est terminée, n’empêche
nullement au Gouvernement des Soviety
de continuer ses répressions sanglantes.
Le tribunal de Moscou a condamné à des
peines différentes 14 prélats catholique.s,
accusés de menées contre-révolutionnaires.
L’un dentre eux, Tévêque Butkiewicz, a
été condamné à mort et exécuté le jour
de Pâques, malgré les protestations indignées du monde entier. Cet acte d’hostihté
contre l’église romaine révèle le caractère
foncièrement anti-religieux du bolschévisme. A. S.
HloiiaiioDi al (onra Uale.
La Commiss\one permanente « Pro Innario », della Chiesa Valdese, modiì’ica come
segue le condizioni del Concorso Musicale
recentemente bandito :
1" Il termine ultimo per la presentazione dei lavori e’ protratto al 30 Giugno
del corrente anno. Preghiera di contrassegnare i lavori con un motto e di ripetere
il motto sopra una busta chiusa che conterrà il nome del concorrente. Spedire al
Presidente della Commissione - Rev. Ugo
Janni, via Roma, 8 - Sanremo.
2“ Il premio per l’inno che sarà classificato primo è portato a lire mille, il premio per il secondo a lire seicento, e quello
per il terzo a lire qt’Attrocento. Fermo
rimane l’obbligo per ogni concorrente di
mandare tre composizioni rilferentisi alle
tre poesie proposte dalla CofUmissione e
che qui sotto ripubblichiamo.
Si conferma che tutti gl’inni, premiati
o no, rimarranno proprietà esclusiva della
Commissione, e, legalmente, della Tavola
Valdese da cui la Commissione emana.
Aprile, 1923.
Ugo Janni, presidente
G. Del Pesco
A. ClAMPICCOLI.
Ecco, ora, le poesie da musicare :
I.
Laborciiiiis.
Cki resta in ozio nella pianura
mentre biondeggiia la mietitura ì
Chi pigro attende la nuova aurora ?
Dice il Signore : vieni e lavora.
Vieni e lavora : questo è il messaggio,
questo è per tutti l’alto retaggio :
Redìmi il tempo : sì breve è l’ora !
la notte incalza ; tieni e lavora.
Del dubbio triste, del rio timore
disperdi l’ombra. Dice il Signore :
qual’è SI fiacco braccio che ancora
servir non possa Vieni e lavora.
Finché non s’oda col dì morente
dolce una voce dall’occidente
dire : Sta bene, buon servitore !
no, del riposo non simtin l’ore.
Vieni e lavom. L’opera è grata;
messe gioconda t’è preparata :
della sua gioia tocca il confine
chi ben persiste fino alla fine.
II.
Fiat Yoluiitas tua.
Per quant’oscuro sia, per quanto arcano,
sia fatto il tuo volere :
Tu, mio Signor, conducimi per mano.
Tu scegli il mio sentiere. *
Sia piano od aspro, dritto o tortuoso
sarà sempre il migliore,
perchè mi guida in alto, al tuo riposo,
al regtio tuo, Signore.
Il regno ch’io ricerco è il regno tuo :
fa ch’io non mi smarrisca,
fa che la lunga via non mi tradisca,
cercando il regno tuo.
U cuore io dono a te ! Tu colmo il rendi
di gioia o di dolore :
il mio bene o il mio mal, se meglio intendi.
Tu scegli, o mio Signore!
III.
. JesH, dulcís menioriíi.
Gesù, se la memoria
Di te dà gioia al core.
La tua presenza supera
Ogni umana dolcezza ed ogni amore.
Nome, 0 Signor, più tenero
Del noìne tuo non s’ode,
■Non v’ha pensier, non cantico
■<Più caro a celebrar de la Uta lode.
Pietoso a chi ricércati
‘Sei speme a un cor pentito:
Ma qual sei tu a quell’anima
Che ti trovò poi che t’avea smarrito!
Gesù, sii nostro gaudio
Chè premio un dì sarai;
Sii tu la nostra gloria
E gloria sia che non perisca mai !
BIBLIOGRAPHIES. ^
F. Di Silvestri Falconieri : Differenze
principali tra la Dottrina del Cristianesimo Evangelico e quelite della Chiesa.
Cattolico-Romana. (Casa editrice « La
Speranza », Roma - L. 4,50).
M. Di Silvestri Falconieri croit fermement que si le peuple italien n’a pas embrassé la religion évangélique, « c’est parce
qu’il n’a pas été convaincu ». De là la nécessité de revenir à la controverse — qu’on
avait probablement laissée un peu trop de
côté — afin de porter la discussion sur le
dogme, les rites, l’interprétation des Ecritures, etc., et convaincre les catholiques
qu’ils sont dans l’erreur.
Et le livre que nous avons sous la main
est précisément, ainsi que son titre l’indique, un ouvrage de controverse, clair comme de l’eau de roche, parfaitement orthodoxe,^ abondamment documenté par des citations bibliques toujours appropriées, et
où les erreurs de l’Eglise Romaine sont dévoilées et combattues par des arguments
d’une logique serrée et irréfutables. Excellent « manuel » qui mérite d’être largement répandu dans le public cultivé et va
être d’une utilité indiscutable surtout aux
colporteurs et aux évangélistes n’ayant pas
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la fausse éducation laïque, par Gaston Richard (L. 0,50) — 2° A travers les champs
avec le Christ, par Ern. Cliastaud (L. 0,25)
■— 3° Qu’est-ce que le cMholicisme ?, par
Frédéric Dumas (L. 0,20) — 4“ Eglises et
fraternités, par Jacques Haltenbach, ...tout
autant d’excellentes brochures de' propagande et d’édification on ne peut plus recommandables.
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10,—
»,—
8,
|8,
20,—
300,—
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L. 1.110,—
Liste precedenti » 17.426,25
TOTALE L. 18.542,25
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Parrcro - Pastoie: Luigi Mi col.
Plncrolo - Póstole: Luigi Marauda.
igt
Pomaretto • Pastore: Giulie Tron.
Proli - Pastore Gvido Comba.
PramoUo - Pastore: Davide Pons.
Prarostino • Pastóre:'Augusto Jahiei.
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Bodoretto - Pastore : Alb^to Pubimann.
Bori - Pastore: F, Peyronel.
B.Cacnnano CblsoUe - Pastóre : FuricoTron, J.
TorrcPelliee *4 Pastore! Davide Bosio.
VlllarPellice • Pastore: Bait. Soulier.
Aosta - Chiesa: 3/ Ruè Croix de Ville - Pa' i stole: Pietro Chauvie, ivi.
Bari- Chiesa: Corso Vitt. £m., 164.
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Biella • Chiesa: Via Funicolare - Pastore:
G. G. Ribetti, Casa Foglietti Bottalino.
Borrcllo • Chiesa Evangelica, Sig. G. Bert.
Brescia - Chiesa: Via dei Mille (ang. Piazza
Garibaldi) - Pastore; Luigi Rostagno, ivi.
Brindisi - Chiesa; Via Congregazione, Casa
Zaccaro - Sig. Pietro Varvelli, Via Circonvallazione. )
Casale Monferrato - Chiesa: Piazza Giardini Pubblici - Pastore : Davide FornerOu.
Catania - Chiìesa: Via Nauioiachia, 22 - Pat dstore: Giuseppe FasulOi ivi.
Caltanissetta - Chiesa: Via Maida, 15
Cbieti - Chiesa Evangelica: Sig. D. Rosati.
L Villa Comunale.'
Coazze - Pastoie G. Petiai.
Como - Chiesa: Via Rusconi, 9 - Pastore;
Giovanni Grilli - 8, Via S. Martino.
Corato - Chiesa Evangelica: Via Garibaldi Pastore: G. Moggia, ivi. '
Courmayeur - Rue Reine Marguerite - Evangehstà C. Arnoulét. ’ •
Dovadola • Chiesa Evangelica.
Fclonica‘PoChiesa Evangelica - Sig. Ben.
Giudici. t
Firenze - Chiesa: Via Serragli, 51: Pastore
V. Sommani.
Chiesa: Via Manzoni, 13 - Pastoie:
B. MeynierMóL» .
Fiume - Chiesa; Via Sem Behelli, 6 - Pastore: Arnaldo ’Cóiriba - Via Trieste,2i9.
Forano - Chiesa Evangelica: Sig. Enrico
Corsani.
Genova Chiesa: Via Assarotti - Pastore:
G. Bonnet - 2, Via Curtatone.
Grotte - Chiesa EvangelicaIvrea - Chiesa: 5, Corso Botta - Pastore:
G. D. Maurin - 3, Via S. Nazario.
La Maddalena - Chiesa Evangelica:
Livorno - Chiesa: Via G; Verdi, 3 - Pastore:
Arturo Muston, ivi.
Lucca - Chiesa:_Via Galli Tassi, 18 - Culto
ogni Domenica alle ore 19,80 - Pastore:
G. D. Buffa.
Pa
Lugano - Sm. Paolo Calvino - Pastore Evangelico, OastaraU (Lugano).
Pachino - Chiesa Evangelica
Palermo - Chiesa: Via Macijueda, 36
stole: Rinaldo Malan, ivi.
Pezcolanciano - Chiesa Evangelica.
Piani4> Vallecrosia - Pastore: F. A. Bilioni,
. “Asilo Evangelico.
Pifa - Chiesa: Via Derna, 15 - Pastore: G.
1 D. Buffa - 23, Via Mazzini.
{io Calabria - Chiesa: Piazza S. Marco Pastore: Arturo Vinay, ivi.
Riesi - Chiesa Evangelica - Pastore: Arturo
Mingardi.
Rio Marina - Chiesa Evangelica - Pastore:
Gius. Banchetti.
Roma: Chiese: Via Tre Novembre, 107, e
Piazza Cavour - Pastori ; Aless. Simeoni,
107, Via Tre Novembre, é Paolo Bosio',
Via Pietro Cossa, 42.
Sampierdarena - Chiesa: 16, Via G. Carducci
Sanremo - Chiesa: Via Roma - Pastore Ugo
J anni, ivi.
Savona - Chiesa: Corso Crist. Colombo, 13
Siena - Chiesa: Viale Curtatone, 5 - Pastore:
''i J Francesco Rostan, ivi.
Siracusa - Via Cavour - Culto* ogni Martedì alle ore 18
Mantova - Chiesa ; Via Bacchio, 4 - Pastore :
Benv. Celli.
Messina - Chiesa: Via Maddalena, 120 - Pastore ; Giuseppe Messina, ivi.
Milano - Chiesa di S» Giovanni in Conca Pastore: V. Alberto Costabel - 22, Via
Telesio. — Chiesa di Via Fabbri, 9 - Pastore: Emilio Corsani,! i Via Stradivari.
Napoli - Chiesa; 25, Piazzetta Tagliavia - Pastore: Attilio Arias, ivi.
Suso - Chiesa: 14, Via Umberto I - Pastore:
'ì'> G. Petrai.
SW-Tr’-l
Verona - Chiesa: Via Pigna (presso il Duomo)
- Pastore: B. Celli, 2, Vicolo S. Andrea.
Vittoria - Chiesa Evangelica - Sig. V. Trobis.
Tpranto - Chiesa: Via Pupino, 35 - Sig. Pietro
Vafvelli. '
Torino - Chiesa: Corso Vitt. Emanuele II
(angolo Via Principe Tommaso) - Pastori : Alberto Prochet e Giov. Bertinatti,
15, Via Pio Quinto. :j
Trieste- Chiesa: Via S.M.Maggiore - Pastore;
Guglielmo^ Del Pesco - 535, Via Scorcola.
Venezia - Chiesa : Palazzo Cavagnis (Santa
Maria Formosa) -Past. ; Davide Revel, ivi.
Ufficio di Presidenza della Tavola Valdese
Sig. Past. Bartolomeo Léger, Moderatore.
Sig. Past. Ant. Rostan, Se gre torio-Cas.
siere, 107, Via Tre Novembre, Kom&it):
Facoltà di Teologia: Roma (26) - ViaPietro
Cossa,42: Prof. G. Lussi,G. Rostagno, Ern.
Comba.
Ufficio Pubblicazioni: Torre Pellice, Via
Arnaud, 29.
Liceo-Ginnasio Pareggiato; Torre Pellice Preside: Prof. D. Jahier.
Scuola Normale Pareggiata: 'TorrePellice
Direttóre: Prof. A. falla.
Scuola Latina: Pomaretto - Direttore: Prof.
G. Maggiore (Torre Pellice).
Convitto Maschile: Torre Pellice - Direttore:
Past. F. Grill.
Convitto Femminile: TorrePellice • Direttrice: Sig.nà A. Vinçon.
Orfanotrofio:Torre Pellice- Direttrice: Sig.na
N. Arnoulét.
IstitutoGould:5i, Via Serragli- Firenze (33).
— Direttore: Past. V. Sommani.
Istituto Femminile Valdese di Vallecrosia
Direttore Past. F. A. Billour.
Rifngioper incurabili: Luserna S. Giovanni.
Asilo pei Vecchi: Luserna S. Giovanni.
Asilo pel Vecchi: S. Germano Chisóne.
Casa delle Diaconesse - Sede e Direzione jà
Via Berthollet, 36 - Torino. — Direttore J
A. Comba - 22, Via Beaumont - Torino, .g
Scuole elementari (annesse alle Chiese) : Cai J
rema, Dovadola, Forano, Grotte, Pa- ^
chino, Palermó, Riesi, Rio Marina, Salle,
Sanremo, Vallecrosia, Vittoria.
Il culto principale si celebra in tutte fct J|
chiese alle ore n circa della Domenica.
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