1
Année XIV*
' PRIX 'D^AébUNffiSÏpïwïÿ'
ifeadîe. ij'. « >.
Tous les pays de l'ünlon de
posie . ; {/.n ( 1.Î i I î;. ^ ^
Aipériijue du .Sud . ; » 9
i ‘ < » • 1 ; j 1 i
Ou s’abonne ; , , .
Atv ,btïri3atti d’AdiiaiaifJtratioil ■ i ')
Chez MM. Iq8 Pàsteurs ; .
Obôzî Miliflriïeai Hobfcfti^PÎgiX'oj:o.ljJ
. et à la lâbrairie Chlantoro et
I MoiscarelU ■f'|Pi^ôfoV)!.u>'f r
ïj’à^’boniiemeiifr pârli du t-flFanVier
et 88 paie d’avanoe.
N. 19.
Numéros séparés demandés avant
Le tirage 10 centimes obaonn.
•AnnQyicei : 20 centimes par ligne
pour une seule fols, —15 oen
l .' tim^s de 2 à 5 fbis et 10 oen
timea pour 6 fois et au dessus.
S’adresser pour la UedncMoii et
ridmlnistrafJoii à M. le Pasteur H. Fosio — Saint GermainOiwon ('Plneroloj Italie/
Tout obangement d’adresse est
payé 0,25 eentimes.
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3*r
ÉCHO DES VALLÉES VAUDOISES
I ‘I ' Paraissant obaqUe Vendredi
I Fous ms ÏÎKOÎ ,fe'«ioi>îs.: Actes 1, ’S. , Suivant la-tifiti atee la charité. Bon. iv,. 15.
il . ! ‘ ■ i ' i '. . ■.
>' Sonam.St'lï'ei:’' i
I .1
'C'dfiespotidaiidtï. EràD’gfelisétioii. -Opinidn’ d’un païen sur la Bible. Evitant
ipujours iiBUvre dn Segneur. -r Le repos;,
Revue.iPoldique..So^uspriplioíl. -- Avis.
■■I 1!
LiPbtrrèsportbAticè '
I ; : ■ !i 0'~ • 11 ; I : i; ; ; I ' ti ■ • ■ ' ; li ■ ■ :■ ihi i,i ■ ' ¡
.T"^ ■ • il ) M :■')
i,., J, . .|Li>ndrps, mai, 18.8S,
____Parti;; de îyQlverhiamptqq le
I' mai j’ari;.jviii à ,Ne;wcastle le spir
e t pu« iiî ’ a çq U i tter ti è.s l,e 1 eqde iriain
du, mandat,q,u.e,.Lv.Table in’ayait
cpiffié aqptès fl U;,Synode de 1 Eglise Presbytérienne d’Angleterre.,
C,e,ttAAssenthlée ay.ait;ex,prim,é déjà,
ayant, mo,ii arrivée, s.pn regret que
rufijoq 'dej,notre Eglise avec ,.1'Eglisp Litare, n'e,U,t p,u s.'pfïectner et,
elle ay.ait fait d^s voeux pour ¡la,,
prospérité,, des ,,deux,. églises.,
remerciai dp Synod,e de, sa dépulatioi) l’a,nuée passée, l'invitant
k nous envoyer des délégués, l’année pi'ocbaine,pour le bicentenaire
de la Rentrée. Je remerciai pour
les secours qu’ils nous donnent
■n-1 ,q i)
et pour les occasions qui m’avaient
été fournies , daés ma tournée en
Angleterre, de faire connaître notre
œuvre à leurs églises. Je donnai
quelques détails .sur notre œuvre
en Italie et terminai eu demandant
leurs prièresi et leurs sympathies
pour nos efforts en faveur de la
propagation de, l’Evangile,
Mr. Vernier représentant de la
Société Evangélique de Genève
parla après moi et le Rev. Doct.
Dykes modérateur notis remercia
d'élre venus et nous assura de la
symplathie de PEglise Presbytérienne ipour l'évangélisation du
Continent.
Un quart d’heure avait été assigné a chaque député , mais nos
collègues d'Irlande et de.Victoria
('Australie] prirent plus d’une demi
heure chacun. Le ttemple était
comble ; on y suffoquait. Par force
iceux qui venaient à la fin devaient
être brefs!. Cependant nous fûmes
reçus au.ssi bien que les autres.
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2
-y.............................
, ^L'Eglise Presbytérienne d'Angleterre depüis son union avec l’Eglise
Unie Presbyt., il y a onze ans,
s est accrue de membres.
Elle a double la valeur 'de ses
imménfciles et‘diminué leur dette
de moitié. Le minimum d'iiunoraire
de ses pasteurs est de fr. 500p.
Leurs missionnaires à l'étranger
sont njoTvtés d.e 64 à 140 et,la collecte pojtl’ les plissions s’eSt élevée
de frs, 1135,000^ U s qu’à frs. 395^000.
Le nombrê dés agents qui évangélisent en”ADgletéï*r0, salariés ou
non, s’est accru du 50 pour cent,
et le nombre des enfants des
Ecoles du dimanche de 70 pour
cent, i,
.'.Ce qui frappe le plus dans leur
Synode^ c’est le nombre considérable de rtégociants qui sont anciens de.l’église, qui prêchent,
soitjdanales ehapeljesisoit dans des
salles privées, pleins de zèle missiénnaire, Quelques-Uns d’entre
eux ont parlé au Synode avec une
puissànee très remarquable.
Les églises ont Un bon recueil
de chants religieux et demandent
une tprédication solidement évangélique mais sobre,;mesurée. Rien
de bruyant ni de spasmodique
n’y serait toléré. Tous les anciens
et diacres doivent être instruits
et zélés pour la conversion des
âmes. Leurs règlements ne pèchent
ni par excè.s ! d’indépendance , ni
par excès de centralisation, ils
sont faits en vue du développement
de l’esprit chrétien à l’intérieur
et du zèle missionnaire au dehors.
Le doot. I Dikee est l'une des colonnes de l’Eglise et sera 'bientôt
appelé à diriger l’Ecole de Théo
logie. On discute pour savoir, si
elle doit rester à Londres ou être
transportée à Cambridge. Cette
dernière ville présenterait plus de
facilités pour le développement intellectuel des étudiants. A Londres
les étudiants trouvent plus facilement des maisons où ils peuvent
gagner leur nourriture en donnant
des leçons; elle joffre aussi plus
..d’oppoTtunités ppflr l’évangélisation et c’est |iï sbut les
meilleurs prédicateurs."
Je coinmence à "désirer de
rentrer dans mes foyers. Depuis
le commencement de février je
n’ai pas eu quatre jours de libres
et j’en rends grâces à Dieu , car
c'est eu faisant con.qaîtfe nptre
œuvre quernous pouvons obtenir
des. secours pour la stuiteuirj'Jbd
la conviction qù’aiissi loligteitlpS*
que nous sommes fidèl es à la mission proYidentielle„q.ue Dieu nous
a confiée'nous nenùànquèrons ui
d'amis ni de secours.
J'ai été préservé de tout mal
jusqü'ici ét je le doîà adx prières
dont l'èglise de Gênes In^â’adcom-'
pagné. Je sais que dNefs enfants
de l’école du dirtiauche' se''sont
souvenus
priè'rfes.
de
dans' leurs'
moi
Il est bon de sé confier eh Dieu '
et en sës pröhiesseä , eh toüs lieiix
et en tout tehips, et plus j’avahde
en âge, plus je' sens que ^outè
notre force dépend fie la prière
faite avec foi car Dieu è.st'bohi
à tous ceux qui s’attendent à lui.
J. D, Torin.
3
\n~
Villi^âi:^che lè-0 moi
^lHûhsieur le Ëêdacteut,
Qiielçjues nouvelles de la paroisse
au .inilieu de laquelle jCj suis appelé
à, exercer .rnomenlanément jè' Saint
Ministère pquj',rç(pt intéresser vos leçleiirs,,. surtout left nornbreux villeséçliois dispersé? l’atranger.
Nous àVpns eu,:,safnedi defniei- (5
ruai ), - ndtr.e, écolq paroissiale,
la 43'’if,,,copféren^e des dnslilutpprs
Vaudois des Ypjfjqe^ de,St, Martin, qt
Péiouse. — Il me souvient qu’étant
sous les armes, un de mes compagnons,
Uij’peii farçéür, ré|)ondit au sergent
qui‘ lut d'entandait de'quoisecomposait
lé «t i'ancid »! È sécùtidd la coscienza
dei' rtiiliii' élie lo cbrtipbngono ! »'Otï
fieut, aussi dire’'d’ùnë Conférence
qu’élTe é^t plus Ou nloins bonne,
selon TespHt que ses mertibres y ap*
portent. Celle çi était tî*és bonne,
car l’esprit’qüî ranima jusqu’à la fin
était ft'ànchefhént évangélique. Il y
avait delà viè dàfis 1è chant vigoui’fcux
du cantique 404"”*’de notre recueil:
«Seigneur sur ton Eglise ton œil
est , arrêté ,
de la, vie dans les
exhôrtaiibns chálenrëUsés ’bàsèes sur
y i.' Vessí' v. que le professétir'R. et
l’in.stituteur B. adressèrent à l’àssem-'
blée, — de la vie encore dans les
bonnes l'paroles prononcées par nos
chers frères, leí Régents dans le cours
de ila diseussÎDB. 0» sentait que fa-,
rnour de celui qui a diilüi ,« Laissez
venir à moi les petits enfants » ,
réchauirait leqrs;,,cœurs, de, oe.,p,uis
résister aund^sû’,¡de qiler ici, un |faiii
raconté par l’un de nos régents- , Il
s’a,gissai,i de l'obéissance ,et des moyens
de l’inculquer aux enfants. On fut
d’acpord d^en che.rcher les bases daps
la* Èràliilfe* dé'i'I’fetérriél '■et'; qhe le
rnbiltéur' rtidÿén! de I^oblenir étaiti de
mbrili'eë* par Ih'parole de Dieu que
là'qiénédiotî'bn de l’Etemél repose sur
tàsi ènfanis obéissanis et dociles, tandis
qüë lès i'èbeflês s’exposent voionlairemènt tiüx plüs, grands' malheurs.
Qu’on ne sè serve jamais de la Bible
éo'mme d’un livre de pensums , 'rriais'
qu’on'U’blR'e toujours aux enfants
comiiie là Parole du Père qui les
aime et est affligé de leurs désobéis-^
sance. « J’eus à faire, dit a ce propos -r
M. I, avec un éléve si pervets qU’il
alla jusqu’à battre sa mère, et c’eSl
tout dire. Ce jour-là il ne se montra
pas à l’écolo¿0mai's ij.’allaii vers lui^
je lui parlai avec douceur et parvins à
l’avoir à diner à ma table.'Je ne le re^
pris pas durement , mais j’ouvris ma
Bible et lui; fit lire quelques passages
en rapport aveé sa situation. Bientôt
je le vis verser des larmes , et je pus
prier avée l ui J La Parole de Bien avait
opéré ce que le plus habile éducateur’
n’eiirait pü faire pariluianême ».
Le sujet de la Conférence, présidée
par le do'yen des régents; Mr. J, Trbpv
était: Des récréàttons' et des mcmœs
dam nm écoles. Le chhmpt d'obser-ü
vations était assez vaste pour ocouper
l’assemblée pendant 3 heures. Sans
entrer dans les détails!, je dirai qu’oti
pai'la des récréations,entre les heures
de leçons, jugées par ibus nèéeSsairesp
et de la récréaiion de midi ; des jeux
3«'on pouvait permettre' aux élèves,
e la part que le maître pouvait y
prendre, et finalement de la durée
des vacances. i> : ■
La Vallée du Pétis; arait un repré''
sentant à la' coüférence! ddns' In per-t
sonne de MrjJj Long instituteur à'
Sàint Jean. Une agape fraternelle
termina dignement ce petit cbngrès
dont nous gardons le meilleurj'Souvenir.î ■■ ■■¡'i--- -'•i:-' ; ’ ■; Diq tiu,Pendant que le cher ipasteùr 'de
celle paroisse courfi ovee'le zèleiqti’bn i
1U i connaît, 1 es rires p 1 a 1 es de ,Marsei11e
pour yiiS.ilet’; poa; concitoyens de la
dispersion, son remplaçant s’exerce
à grimper les rochers de son pays
pour présider. ,.lis!. réun,iojis du dimanche après midi"'(les' seules presque, que upus. puissions avoir da.ns
celte saison), et visiter'i'èsiqüëlqties
malades qui’ lui .àbnt'èbrinus, Leà pa-*
roissièns ont l’habîliide de salueVlëtir
pasteur en disant: « Aïïèzdoucc’meiü'»
3ur quoi la réflèfion ijieh nàlurélte;
Il fapt quelle lifulail'è dç là paroiése
ne 's’épargne guère ! M.iis ou ne ’regrette pa;s là faliiiu’e lorsque arrivé
au LiWsari 'Oü à' j’Àlbaréé, ôn trduvei
de' belles réunions commè’'celIës que
4
naus av0.ns; eu ki .de ilrouvéi;
ces derniers! dimanchés. c I. * • ei!.
A)oulons qu’il se présente toujèu.di
des iparoissieiiiS de ibonne volonté qiii
accompagnent lé.i piisleui' .dans (oea
courses du dimanche; Quant aux ciiU.es
principaux ils sont' aussi Iréqpeniléq
d’une manière .isalisfaisanie l'it’école
du dimanche continue à ;êlre lieaue
avec le |SysiêiTie des groupes, i p'alitnS
lesquels nous avons été bien heureux
d’en trouver un composé de ciiJècbur,
mènes déjà reçues -h la Sainle, Gènep
Nous voudrions, pour le. biehi .de
noire cher peuple.^ que cliaqUenpar!
roisse eût un groupe seriïlilable let
qu’il fût bien [inortibreliXi . Un • peli.tj
encouragement à l'adresse du .Tentai h.
pour, finir,; Lors d’un enlerremenl.
auî^.Qranges de Bovile je pus (n’asr
surer que nolie petit, joprnal.fiimil!
du bien. Mon interldcutiM' sepraontra.
surtout reconnaissant pour les •der';
nières lettres du pa,steuiMje Vérone!.
Un merci de cœur ,ai>.«si à ce frère
sortant du Vatican, dont ,t’arl.:icl.e nouf
a viViement intéressé,; il. u’auraitf.pal
eu ibesoin de signer*« i irUn Vaudois;
de naissance et de cœtfr »; le contenu
de sa lettre montre assez :ce qu’il
doit être. Puisse ce 'Bicentenaire; que
nous allons célébrer trouver tous;les
Vaudois de notre patrie, depuis; là:
Mont Blanc jusqu’à l’Elnfli Unis danst
un même esprit par le fien d.e la paix,
dont parle» l’Apôtre Epliés. Æ, 1 à 6.
'Agréez,, cher monsieur etifrèrei lies
salutations aifeclueuses. i ';!i ri
;. ; ^devotrebién.-dévoué ¡'.il
’ DaV. PeY'ROT.
ii.'iK
Evangélisatiòn
>i;r.iil
Mr. le pastenr Vf. Melile de'Tqnrl
a pu dernièrement annoncer j.'E-,
vangile à de grandes, .iséernblees,,,
compostées suctout d’ouvriers , a l’oe-.
casion,,de deux’ enterrements ,do,nt‘.
l’un à Sant’ ( Ambrogio di Susà,.,èli
Punire à (Ochjeppo dans le (UiellaisI,
Dans la première de pes lpcaliljés,jpp,e,
partie des assistants démand^ren^ dé,
pouvoir enlendre une autre fois en-ri
CO re la prédication de Christ — A
Ochieppo non .moins ,de, 3..pp(^j personnes prirent pari* aux Îuné'ràilles.
-.¡'j'tc'l i.! ■'!( .".ii|'i|.i!in
'' Lé;bazïlr a'ninufel.â'iii''profit d'és'ëèotèij
éVàn’gé'Iiquè's'‘‘‘:dé' Ulôré'néb 'à' 'ddnn.é
cè'de année'p’li’Vè'veà'fi ‘riè't’de‘fi'V'î999.
Là ''Prfncè^éë‘''tfà Bàlfe'rliibferg qui
cornpagrtajf'l^' Reirië d’Ab'gle'tèrrédàris
son s'éjp'iif' à' Floi’éndfe', avàii; pròmis
d'é' '’Vi^ 1 l'èr' [ Ià' ' "Vé'nfè' ''ip'ais'‘ ' eh ;à 'élê
èrHiiéòtìpé'pai'' 'rè dMdp'.'iiè''(;!our'ql[fei*t
jüx'yôbVeràiriS' érràbgeVs: ‘ -ui.nu.i
iiji liiorMin ;*'‘1111 U — .'i.'m.’i'ri
.-iKiii-r.Miii'i '"inru; «.',1 -iiiii.;
11,Le IReX,,,Pqc,L,,G,ray me a été
() ésjg,Uiéi, paît ;là I i Ç,, ¡t>’E
pqssq pou,'’ iP''eqdféJiàPÎpcei,qq.|;egreil^
Dopi., Slpvyaii,'t,..dàh.s la dfi;eçUpn| dçs
sept, ,,Uqlpqrte,iius-},quA iPeUe„’,’$bpi^lé
enli'plipn,l,;,pq- Italie.;,,Uà dié,^pG
agents, a.dépass.é. cette, ^nnée, de,^,U?9
Biples«!583|Te,sLai‘ne,qts,,>|^p
qejl.le'.,de..rannéie ,pré.céden.le,, , i 'jU
De spriji,pôl.U^\la(i)Sqpi^tA,,Bibfim^
Bri(ann,tq,uqj:'ét, .élrangèrp ',aQp|. ,,M;'.'
A^g,..;,MeiJlg,dir,tge le,,çolpqj|l,age, ep
flap'e,„,a v,u,js,’acprp|tre,5la yqnj.p,.dbs
Saints Livres d ung manière cohsidé;;
ra.ble.. Un. ,1 SSlop, p placé 1284. Bibles,
d'l58|Npu,y.,.,Tes,tau[»ents,et 8107, 1*0c*
; tiqpUde' plu,f,qu’ep;i88p.,.,
' 1'.' .î; , .,.'.'.1
Vi n gHt roi s ■ n ou v eq ii x i tne m p res n o ni'
été admisiàé jouT' dijil Vehdrédi Sairit
dans l’égl'fsëiiVauidoiseï de langue ita*llenne,ià Turiri'. nij. inl-j.i -.i, ttmui
lürliM
h'tí! i\
lUItV
: pNéuf" nd.uveà'ùf ‘ 'meipbi’es i '^ pafni
l.çsquéls déuic chevaliers, ont' été admis
dans l’égljàe vàudoi.sp' 'de'Rofne et'
pôrieriL tohé'déS'-noms'très■ italiens.
i ’ “ ! i IÍ ï ! n Í 11 ! ;i V Ì. U. '! Iîi|. î li-'iî ri !iil
..Ua',Î|ypo'graplu',ë laudi en ne.'p(eUíó-|
rençe ■ 'y,ienl.,,’dfètrè po,ury.qé(..'d'!q.qg
nouvelle.(preâ.se,,et q’uniniQleuUà|ga,Çj.,
, L’anqipn,ne pí-ess,áp|SprvÍ,dj^‘^Uch<)?^
27.,,ans^ ;e,t ; ia^i rùaçqipe.jàiyâpeq^r^^^
Iqi^pqip'miipjàiiait ,,le mquyernént|élai¡t
si ¡ps.ée. qu’eBri'.pouyàii s'auier„'d’ù'h
ÎRÎnni à I’ nnfi’f» r1árnt¿i‘a‘
, ì’autrp,,. L; apnée dprmpiJie,
irqPiLé-iroi's ..ouvrages, de, graii.deiir
onU été,,publiés, pj\p| ià;,%
ciéie, ,qes Bubliçaiions ,religieuspf,, ei.
5
tirés h 77.00Q ejgmp.iaires. En outre
la Typographic ti i'rhprimé 30.000
Nouyeaux Testaments et 170.000 Portions dés Eèi'ilüi'és.'*, '■■■■
' Là 'iio'i'fve lfe'Pi'essèV à ‘coû té IV; T'S.'OOO
qui doivent être payéà en quàtrê'îins.
Dellii'*doné’ dé l'SBO'te. Tiiri’,'*hbijV bet
objet ; ’ônt 'étê' rédus ,déjà,"bt' lë"SëC’
c’réliiire’'MPÎ^'J'. B!; Wili'.(33 i'ia'Maffiaj
en àliftiïd! d’aû'Eres pètîtà Oti'gi'arlds.'
' r.| ■A-i 'ilir.t »T. 'ui'i! -I 'üiji
* * .ïini ■' 111)
ir’Mi:,|lje pasteuF R,'iGal)Minqévangéli.ste
à Biasca (Canton du Tessin ) vient de
lancer. un.,nou:Vi0àni):joiJrnali(irnensael
qu’il appelle La'Sfiintillai.{ Pri.X i1i.80
par,;iip /, , ) II! :,i|, iiic:
,;dl p,iiur,to.u,l:ien vue l,e,s 4vangéliq.ipes'
disséminés dans le ¡;TéSsin<ii,.<i Nous
serons sati^ifailis si nous pouvpns.ide
temps,^ au,ire péptrudre autour île niPiUs^
nous ne dirons pas,une grande lumièi'^i
mais au moins quelque étincelle,ide
vérité el,si celte.éilinçelle a|iui,ne.,daps
quelques ,4mifts la flamme dfi l’àmoqV
ppUF leiSpigneur et;pou.r le prpc|hain.
i, B.q.p,succès (à l’.^<rnceW(;. ■ • . i.
,,Opinion dnH». iiii|ep,,snrnla Dibit;
^ niL'l 111!' d, : d. 'd
' La question si longtemps débattue
en Europe de In suppression) de la
Bibleidans'des ècolés , a été, il n’y
a pas longleinps, l’objet de vivesidisJ
Oüsàions auxilndes). -r-Faut-il'la laisser
entrieulos’mains des ènfdnls deS'écoles
païennes iqui , sous l’influencei du
Christianisme, se développent dé plus
etifplds? Telle :étàil))l'a queslèérr qui
se posait. Eh bieny le > ônoirait-on
Le go U ver n emen t a n g l ais. e’es t dêc 1 ar é
pour lai négative. — Ce qui est plus
surprènanliencore, c’est quei'l'un des
plus vaillants défenseurs de l’admission du Saint Volume dans les èlablissemepls, d[i)ifi|ruGlion. e,pX; . Indes
n’est, pas .»n. ;Çbpétien ^ ma,i?i np païeq
tnsiruii, empIoiyébÎMilde las prRMiùpiedç
Mysore; Celui-çi considère la Bible unj;
qnemen.1 à litre de ¡livre, d’enseigner
ment; et jj vent qu’elie prenne sa.plaqp
dans..la, biblipUi.èque des jeu,nés iél)u,-i
dÎantiS,ibindoHSi, pour, il es. raisons, ;|suj»i
vantes: .(ni i .....■.'ih;/
; d," Jp? EtindouS;.,.inelrqits^, n’apr
! prennent, pas,.,à,,la, cophat|re,,| jl.le.ur,
i sera, jmpqssjhiid d’ap'p,réciei^ ^ ,'lqqr
i IqSilC! 'iai'^Or IpSiMeaiùès de la laagüe
; qi;iQlajse„,J[j<f^s,grands',aiue.urs, .pias&ih
qqes lia çi|pn|iiSouy.eqt ,,,et jell.ear.ins.T
: sp,b'é,:â M!0qo,.ies/,(fbpfs,rd’ûeq!yne.|.,i" li
,,2°q Elle..;eisl,jp(i,|^)le. nb. A‘b?
dèie, ¡um.qim., ,de,,,,|Vtè,ra,l|iré,,,piii. ;i,Ia
simplipMè qCJa Ç:Vlllé,.(jp,Mi,,sl,yle.,;i
,.3,'-’., Ç’,a,uçi,ejn )Tes,La!me,trt,o.lÎre.dc§,dp,T
êqmetusiifdsiq,ijiq.qq?i préGieqx;su,t7 les
, peu,pie,s lesiplqs,' anqteu,s;ilep.rigjp(.jen?,
i TTj,,,Asf,yi;ien3, Babyloniens
¡Nimvile.s.,,,,etc,..
.■,4)?(,.,EI|e es'ti4n,.lwp( qui qehPeVil
qii.’.OPcou rqge/;, je ,PVflgfè^ ,pircsque,,ce
sppt, .S.qs,. nil,s.‘\i|q[>,naii'tyb,qu,lO,ni,, jeté
les,|pi;f/n,ieres.,.ba^es),de (l’inslt;u,ètjp,0!
pap.m i j e A lli n dp n a,, hes pa'i eps ; peqy.en I
ia lire,,el en profiler sans .èiroi phlir
g'és de devenir chrétiens
5® Les principes qu’elle proclame
elle n exerce pas une preSsion lyi'an,
nique sui' la voionlé. Ici nous citons
lôSluélle'mèril ;'l n '
''!'<i'Ldrsqiie.''rtous'êiidllà placés' sou?^'
Ie‘'scè’püq'’dés' musulmanâ',''i.'’dst ,pàr
db'-ôqrll'îfiUëlii*'£fHipSèlëmenlô‘’tïiiin 'rlös'
câSté^ qdMIs i.C'hérdhèrerit 'à' prendre
pied''‘dans'lMÿisorôi''^!ils. Wvaièn*É’,'le
Kola n : da ns * Vi n'e' • ma 1 n él ■ i'épéè 'dû tVs*
rature;'Qii{in(l;nôiiS''ii'ous rappeliObïi de
fiareillèS sbOfff'anüiis, 'flddSWe pouvions,
édvisli^ér Sànsbhquiékiiide'loUle inno..'vatibû ■ iqd’on‘‘nObs'i itlnipöS‘ail’''l ïiteu'S;
pensiéfis 'qûé‘''iie.s'''■a'iiglais''lifaVaiénl
pas d*adlre idée'qud!w'prlûpàger'éu'X:
; au.sài 1e«V‘¥dlrgionv*ecHtiinè lee ibaihb-'
rriét a r) à* a va'ié n I ' ' fà i l.' ' Ma is' ' si : " n on s
avoé's ctà''Blblè r'si'Vnotis Ua lisons,'
fiôüs vèrrobS' bien'Vite qtfe là■ religion'
du Chrisll' n’éSïipàsi dé eëlles qui*s'’éiaV.
. bliss'ént'pkbdes moydns'liöiit èxléri^ërs'
ôlr pa'i'-''lé(traèhabV d'iï''glai'« '.iii'V] / >
îi'.f^qtre pàïen‘'UMé!nl' en idisi#r!l"qilé
tes'''HindôUS''b'è'Slôp'P'oséttr'paà i lie
lecture de -là Bible,’ 'et'quë le gOtiver-’
nèhiteïU“ ‘commet*nïib*e maladrefese 'en
Fé.tfclUân't'des'feeWesVu!'!.) , i ;
''■Lit‘-Côs'p'nl'ôfe,.‘i‘'fi'anehéii'i ■'prOWoni'
cées par un jüge'itïi'pai'l‘iâl,’ilelrfeslèi
; renl pas sans effet. Le «Missionnaire»
! qui reproduit toute la lettre d’où
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-IBO.
elles sont prises, nous dit qu’elles
provoquèrent une conférence sur ce
sujet à Mercarva. L’objeclion la pins
réelle contre ta îèeture de la Bible
dans les époles fut mentionnée par
un orateur païen: «Ce que je reproche
à la Bible, bon livre en ellemême,
s’éCrie-l-il, c’est qu’elle insiste beaucoup trop Sur la conversion. On peut
la recommander auï gens cultivés ;
pour les'antres elle est dangereuse ».
— Voilà le vrai mot qui fait qu’iin
si grand nombre de personnes repous-i
sent le saint volume!. Le «Missionnaire» nous apprend que sans prendre
une décision bien arrêtée, la conférence de Mercarva a exprimé le désir
qu’on ne cliangeâl rien aux anciennes
habitudes. On était assez unanime à
reconnaître les bons et beaux côtés
dè la Bible. . d. p.
Ëvilant toujours l'œuvre du Seigiienr
' ' ■ 1 I ■ ■ ■■ j M :
Un prédicateur un peu exçentrique
commentait nn jour une portion du
XV® chapitre de la éf)itre aux
Corinthiens. Arrivé au dernier verset,
il lut:,. « C’est pourquoi, mes frères
bien-aiinés,soyez fermes,inébranlables,
évitant loujoursj l’qeuvrc du Seigneur,;
sachant que votre travail ne sera
pas vain auprès du Seigneur .». Il
ajouta immédiatement; le texte ne
porte pas"éot/qni toujours, mais ajbmdant toujours dans l’oeuvre du Seigneur. Cependant il y a tant de
chrétiens qui lisent «évitant» s* nous
les jugeons par leur vie. queije
tombe presque insensiblement dans
l’erreur de lire ainsi. En eflet, lorsque
je , vois par ma f propii'e ■ expérience
combien les chrétiens sont fertiles en
expédients pour éviter l’oeuvre du
Seigneur, je sujs étonné. Ils veuient
passer dessus ou dessous, ou en faire
le tour ou marcher dedans sans la
voir, en d’autres termes, ils cherchent
à l’éviter, comme si le principal but
dUiOhrislianismeitait de servir Christ
aussi ,peu que possible,
• liiiUîV»; --ii 'i.i . ...; iif ;
lie‘repos
.‘ih
J’ai bien vu les charrues arrêtées
au bout des sillons , les haches et les
serpes suspendues, ,
J’ai bien vu une partie des enfants
de mon peuple s’acheminer; vers les
maisons de prièie. J'ai entendu qu’on
leur il. .adressé de bonnea paroles et
que lecture leur a été faite de la loi
du Sinaï.
Mais c’est presque tout ce que j’ai
Vl_j, :V ' i. ' (i i!o ¡ i: . J - ' ; i;}■ i r.
Le sabbat de plusieors a' été clos
et fermé, avant que le soleil'du saint
jourail parcouru la moitié de sa coursé.
Les cris de là débauche ont succédé
alfx chants divinsl. *
La prière a cessé , les temples sont
fermés , mais les lieux où l’homme
vend, trafiqiieet achète sont ouverts'....
Je me suis approché de gens qui
paraissaient se reposer. Leurs bras
étaient immobiles et leur coinveiv
sàtiôn me semblait respirer le calme
et lu paix ; mais j’ai vu qu’ils n’avaiônt
pas terminé toute leur œuvre, car
ils en parlaient encore.
J’ai écoulé un moment pour voir
si le nom de Dieu et de .son Christ
passerait par leur bouche, mai.s je ne
l’ni pas entendu, (ou si je..!’ai !entendu, horreur ¡ c’est comme terme dé
blasphème.). a:, nd ■ !;■] ■
.Souvent même, ô bouteI o’csl je
nom odieux du diable , son-grandie»^
nemi, qui est venu frapper mon oiieiHo.
! Voilà ce qué j’ai vu , ce ique i j’àî
entendu ; et i’aiiditi: Ceùx là’non
plus neii.célébreDli pas ;«tiaijiournée
que le Seigneur a faite » ; leur cœur
ne se prépare pas pour le ciel, i car,
il convoite toujours,et s’égare toujours.;
. ; ■ ' 1^“ ■ ' il ;; v -iP i i|
■ i>|.^ , / M:- < p’ p.ii
Je les ai quittés pour'suivre quel-“
ques personnes qui ii’avan^aienl lentement dans lé chemin des campagnes.
Je les vues se baisser pour observeié
les progrès de là végétation. J’ai’Crû’
Su’elles se redresseraient pttor bénîi*
efui qui « fait chanter les-cóleáüx
et qui conduit les' foïitàineB'danè lés’
Vallées». Ps. 65 et 104. ” '
7
-151
Mai^ non; j’ai trouvé là des hommes
qui « portaient leurs idoles dans
leurs cœurs V; qui h’aijrhiraienl qu’euxmêrrtes/qui ne bénissaient que l’œuvre
de leurs mains.
Et je me suis dit en .soupirant: « La
pluie n’a-l-éllè donc poini de père?»
Job. \ .
. .Ailleurs, c’était un grouped’homrnes et de femmes, d’où sortaient une
niultitude dp paroles lég;èi'es, bouffonnes , railleuses : c’étaient des langues
qui, comme des rasoirs affilés, blessaient l’honneur de Dieu et l’honneur
du prochain. ü :
Les. bras se reposent, ai-je pensé;
mais la langue travaille toujours,
«c’est un monde d’iniquité».
L’oreille de Dieu les écoute, mais^
elle n’y prend point de plaisir. ’
,1 M
V * * I r' .t,.,- . ■
J’ai cru que c’étaient surtout les
pauvres d’entre les hommes qui,
pendant le jour du Seigneur, es’égayaient ainsi dans le mal » comme
pour faire diversion à leurs fatigues
et à leurs peines; mais j’ai vû que
les heuredx Bu siècle ne le 'Aanclifiaient point non plus, et q^u’une'
humeur fébrile les tenait agités aussi
bien que les chétifs....
Souvent l’homme de loi s’est souvenu de toutes les lois, excepté de
celles de Dieu.
Les penseurs à haule iiilelligence
ont eu de grandes Cortsidéralions dans
leur cœur.
Leur« médil.ations ont quelquefois
dépassé les nuages, mais elles rl’ont
pji s’arrêtei' ni sur Celui qrii.a di);
*.le .suis Celui qui est »,' ni’ sur ce
Sauveur qui se nomrrië: * Lè prertiier
et lie dernier ». .. i ;
Leurs sabbats m’ont' paru aussi!
Içia’epjtres que ceux de la foule,, et
.i’ai dit: «Les pauvres ne sont que
limité, les nobles ne'son! que men-^
songe; tous en.«emble dans une ba''•nce, ils seraient trouvés plus'légers
qn’un souffle ». Ps. 62.
. Le jour du Seigneur est pour plusieurs le jour de l’iniquilé.
C’est le jour des joies mondqjnes
et en même temps des crieries, ,pes.
amertumes et des larmes.
C’est le jour où les familles sont
privées 'de leurs pères et où les cnfahis
manquent à leurs mèrès.
C’est le jour de la débauche, du
parjtire, du blaspthérae et même sou-,
vent du pillage et de l’oppres.sïon.
C’est lejonr, où les corps s’énervent,
où lés fortunes s’épuisent, où la mau-,
vaise foi tend encore ses pièges, où’
les âmés s’abrutissent. î
C’est le jour où le génie du mal
multiplie ses courses tétlëbreuses sUr
la térre. ' ..lu-r..:
C’est le jour de la mort.... -l’
Mai.s grâces à Dieu, pour d'autres
en tl'op petit nombres hélas! c’est
le jour de la vie, de la foi, de l’adoralion, de la fraternité, de la charités... n
C’est le jour où «les sourds entendent, où j les impotents marCbenl,’
où les lépreux sont nettoyés ».
C’est le jour.« où le.« péagers' touchés de componction tombent sur
leur face devant l’Eternel.
C'est le jour où tout pécheur>aiïïigéi
essuie ses larmes; se souvenant qu'il
y'a une patrie célèste, une terre'de
repos et tin Sauveur. i.; r.
fDii tr‘aité: L& reposji
Ecmic politique
Mtalie Le retour de nos sol'dal.s
de:Ma.ssaoua s’effectue régulièrement
et il ne restera bientôt plus en Afrique i
que les forces slriclemenl nécessaires
pour garder notre colonie, si d’ailleurs le, parlement ne décide pas.,d(3.;
retirer jusqu’au dernier soldal.i. lln
ordre du jour déjà connu et qui sera!
présenté par quelques dépotés de l'extrême gauche demande l’évacuation
immédiate et complète .de tout le
territoire possédé par l’Italie sur les
côtes de la mer Rouge, Mais il est
peu probable que oet ordre du jour
soit voté, car il impliquerait une eoh» ;
fession publique, non seulement d’agression injuste de l’Abyssinie, mais-
8
‘bè- aL¡'a' §lé
'liirn
)\îi
(î’i iH blt'l'/íí'áh ce ' S'ka rll er
^.......
ii}|o^'^ü'e'..(Jess',' Fjpn^fs.^'pKlP^'
acceplée par .le,.Çpns^jï^d^s naipjslr’e’s;
e,l,til a.,,c,9.P,spti a^re^iei’j^; sonipos^ë*
jii^'qp^â;jEVPi;es. I'i^,(ifscf|í=s.ípp ;du RUjdgçt
de If,9p, .d|i cfi s tpre ; , î PI, co^ d i lipp
d’^p|jtppi,t’i-^dë Ja jÇliapjbrè.| - '^é
cd,n,ip^npe,iCe qiii, pó'9,s-'paTaiti'p'eú ,pror
b^bie. f,;;;, ii;,
Le Roi et lanReipe laçcompagnés'
dç. quplqiies ;mipis;l|i'PSj opt assisté;ià
l’inaugUiiialiPDi'des gr;an.des fêtas pj-é-,
parées depuis longtemps dans la',yillçf
de Bologne¡,; exp9,$itipn? ,diverses, et
cenMnait’e.idei i’.TJn'iversilévi.Jlune;, des
plus anciennes elides i plusiicplébres
d’Raliei • . i :i, . ,1V I. ' V ■:!
' -■ :t . r,! .i, i' r. Il il! ■ !l il'.: 1,,
Fi'ftnee. — Ce qui continue à'seï
passeiMehez nosivoièins^llíd’esl-à-dire
lesiifeUsnali gesles:. du Bimîangistiie,
est bien fait pour désorienter les plus
clairvoyants et lës iplusihabitesj Rien
n’est capablesd’arrache^icau général
le glorieux .painacbB! dsoál/ ft est icou»!
rOnrté par l’éngouemenl ayeugle de
cafiiipagnes ^ .et: de v.illesi très Impos'-.
Ia.fl-le9;':il tiîesl.'pasidu ‘lioutiisûr iqn’à,un moment donné Paris-, même ne.se i
déclarenpasién sai/avenVi La béviie
qu’il commet et les bêtises qu’il dit
non seulement ne lui font aucun tort,
mais il'Wffibfoyraingent quîeHÆfcontribueritli rélêver'.f' " '
Il achète, contre un cadeau de
200.000 fsM‘ un livre qui ¡sans hlf n'itu r&ft'damaîs'.'yii! le'^outij on lui foulon il
lesiimdfens dd îlè' faire* tirel'- 'à 'deux ’
millions'et ' demii'''d’iexempla'tées l qui;
sei’obt distribués gralmtermni aux
françaift. 'Tout!>auljre i quei îBpulanger ‘
serait éécasé sous'dfe ¡soi'dqi-dlun'''rl-'t
d'icuteiiunives’selo G’est'au'imomient 'éù
cet acté inquallilablel est pDrlé' à la i
conniaissance du’publ'id,' que le général
est dln imiinicipai'idans deux-(ouitrois'
communesi a'ssez considérables. Le '
moment ■ approche'■*bd "les-- bdiumes •
sensésiriia-ls' (im'ides"-n’o.çëi'ohl’ phis'i
parlerji-quérles-igfens'.’ ámfeilien'x qui
s6‘ tioftiment' iéçim, se' dêréanderonl ■
sérieusement s’d neéerait pas prudent
M-__________________—
I de‘fdSyà'év' .'quitté' â;.^e','
i dê^ que ,1a' fprUipe._p*ëncHéré,‘,,.ou,v,ër.:i
itèhi'én'l.ldu c'ôlé''du1ié'rc
l’Qs ^Hp^prqy.tç.efi
,4 ttemaane.
L’auguste malade
flà'â’pfus m'àl, rrtais.il ri’est nî.al '
hèuréilseijlert't pas possib'lédecbpstai'éi;
une amélioration de quelque durée.
1.1
BOURSE .STEWARTi ,
i.'i
-r.t|
I!’
lili |V:'I
Pai\;Mi‘.i'leimajor Fror'
bishei': De MissHagan,
- Dífbliff'U■-'• Fl*;'*,25 é
M l’sNù ss ey ( Ecoy.s è)
Mr. Auses '(Arisidl)'^ ,¡. t
M fl Daniel Jourdan,, ' . ^ ,
pasteur, Fleurier
( Neuchâtel ) . . * . »
250 —
' à'5-
5
11
' »
‘1 If
.1
tiá''conférence ' des' EgiiVes' ‘il.il '.\''âÎj
Sain,G Martin se réuniraiD. Vt, à Pral\
leiJu'ndi 14 couraint',,' vers 9>! heuresi
du malin. — Suiet; La café d'dme.i
in
,.v i :-i - il! vi,i. l'.i il !
; nnorio©., V' '7 ”'
j .¡i-,-'; .1:
I .-.'•.il'" ilJ >lîi ¡Ull-li I- _
' Pen8iouit»t pour fjljes _ dê Pas
leurs, de Régents cL de Missionnairesi '
; sa ns- moyens, là Maemnbkohf (lac. de
Zurich ••ici" , -:-<i
Ebndé'ën ISbO, c,èt 'êlabTissénoient
for,(p,é.,.||.suiyanl Iqs. cas,, des,, mstttu,--triées, des bonnes d’enfanluidtæ maîtresses d’ouvrages -manuélj. elc.'i--.. l
S’adlfésser'poilf' ’re'ùséigbem'ents à.
M^*®-‘Miwa Wàld#.n Mr,çU'nce, ou,,à,
MR, J. .R. TuRiN,^,jpa,sl,eur .¡¡Li GêneSi
et 1- M. TüRiN'-BoERi-à iîttnnj' , - ' '
____ _____________1:-J----L----al 'I. I .t—LUJ—é^l '
. EapEST fipuERl , tíeraní.,,
Pigaerol, Itïip; Chiantire-MâÈcàrelliV’