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Soixante-douzième année
14 Février 1936-XIV
N* 6
8
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
PRIX D’ABONNEMENT 1 Par an;
«
Italie et Colonies italiennes...................L. 10,—
Etranger . . . . .....................» 24,—
Plusieurs abonnements à la même adresse ...» 22,—
Poor 6 mota
6
12,
On s'abonne; à TorrePellice, au Bureau d’Administration de l’£i7îô(Via Wigram, 2)
- Dans toutes tes Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
L’ABONNEMENT SB PAYE D'AVANCE.
S’adresser: pour la Rédaction, à M, le Prof. Louis Micol
l’Administration, au Bureau du journal. Via Wigram, N° 2 ■
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal.
Torre Pellice — pour
Torre Pellice.
Tous les changements d’adresse coûtent 90 centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
Le nnmérot centime!
^ue toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..., dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8) .
8
00
Settimana di Rinunzia.
f
Cari jP'raieUi e jTmici della Chiesa Valdese,
Quest’anno ancora rivolgiamo a voi, fratelli delle nostre amate vecchie parrocchie,
e lettori tutti del nostro caro Echo des Vallées, il nostro appello, nella fiducia che la
vostra devozione alla Chiesa v’ispirerà a rispondere con pronta generosità. Senza entrare
nei particolari che non è qui il luogo di esporre, possiamo assicurarvi che la Chiesa
non vi chiederebbe, nelle presenti circostanze, il vostro aiuto speciale, se appunto te circostanze presenti non rendessero indispensabile ed urgente il vostro aiuto.
I nostri Padri, tutt’altro che ricchi dei beni di questo mondo, riuscirono a raccogliere, a colpi di rinunzia, 1500 scudi d’oro, quando quattro secoli or sono si trattò
di mettere la Chiesa in grado di proseguire l’opera sua, mediante una nuova traduzione
della Bibbia. Oggi, non solo l’opera, ma la resistenza stessa della Chiesa deve esserle
assicurata, nella prova durissima che le è imposta. Chi non risponderà : « Presente ! »
all’appello che sollecita la buona volontà di ciascuno di voi? Chi non porgerà con cuore
aperto e con larga mano la sua offerta per l’opera del Signore?
Se amate la vosrra famiglia spirituale, se non volete che tanti sacrifici compiuti
nel passato rimangano sterili, voi non esiterete. Partecipando tutti alla settimana della
resistenza valdese, saprete rinunziare anche a ciò che una volta si stimava necessario
e che oggi, per l’asprezza dei tempi, tutti devono imparare a sacrificare. Sacrifizio ! E’
diventata la grande parola d’ordine, nella vita del nostro Paese; tanto più essa deve
tornare ad essere la parola d’ordine nella Chiesa Valdese, la quale nacque ed è cresciuta nel clima del sacrifizio e dell’eroismo.
Offriamo dunque sacrifizi che ci costino qualche cosa, per liberare la Chiesa dalla
distretta ; con sincerità di cuore aiutiamola secondo le nostre forze. Conosceremo cosi
la gioia nascosta della rinunzia e potremo con purissima coscienza celebrare la storica
data del XVII Febbraio, che ricorda la fedeltà del nostro Dio ed è pegno delle Sue
future liberazioni.
Iddio benedirà le nostre famiglie e la nostra Chiesa, nella misura in cui si manifesterà fra di noi Io spirito di rinunzia e di sacrifizio.
Abbiamo fiducia in Dio ! Egli ci trarrà fuori da questa tormentosa distretta.
Offriamogli intanto la dimostrazione di tutta la fedeltà e di tutto l’amore di cui
i Valdesi non degeneri sono capaci per il servizio della Sua Santa Causa !
, Ernesto Comba, Moderatore.
L’Eglise notre mère.
Queî est l’enfant qui ne pense à sa
mère lorsqu’elle est dans le besoin? Il
y a évidemment des ingrats, des dégénérés qui n'accomplissent point ce devoir,
mais ils représentent FeixceptiOin, et le
mépris dont on lés entoure est la preuve
que leu|r attitude eist ^Vèrement condamnée pair lies gens de bien.
L’Eglise ‘est notre mèrei, de quelque far
çon, à nous tous.
C’est elle qui s’est occupée de notre éducation et de notre instruction ; c'est elie
qui a veillé sur nos premiers pas dans le
chemin de lia vie ; qui s'est efforcée d’éclairer notre esprit et d’inspirer à notre cœur
tes plus nobles sentiments. C’est elle encore
qui nous suit dans les diverses circonstances de notre vie, qui est présente à nos
joies pour les sanctifier, à nos douleurs
pour les soulager.
De plus, un bon nombre de professionnels qui occupent aujourd'hui des positions de premier plan, en sont redevables à l’Eglise, C’est grâce à ses écoles, à
ses encouragemenfts (bourses d’études)
qu’ils <Hit pu conquérir leurs diplômes. Il
en est de même de plusiems industriels,
commieireaiats, empJioyés de tous genres :
ils doivent à l’Eglise leur« postes.
La plupart de nos jeunes gens bien
doués n’auraient jamais pu se lancer
sans l’Ecde latine du Pomaret (de bonne
mémoire !) et sans le Collège de La Tour.
Or ces deux instituts, 'entre autres; ont
été créés et maintenus par FEglïsie et gr&se
à eux des centaines de jeunes gens, et de
jeunes filfes aussi, ont pu se frayer un
chemin dans le monde.
L’%lise, notre mère, a beaucoup et
toujours donné. Aujourd'hui, eBe est dans
le besoin. Malgré toutes les économies,
quoique son budget ait été ramené a' un
niveau très bas, elle se voit entravée dans
son œuvre par de croissantes difficultés
financières.
Dans le pressant besoin où elle se
trouve, elle fait appel à tous ses enfants
avec la ferme confiance qu'de ne seront
pas des ingrats et des pervers.
Pour elle il nous faut savoir renoncer
à quelque chose, réduire nos propres besoins, limiter ncs plaisirs et nos divertissements. Comme il serait aisé de donner
si nous étions comme les Vaudois de jadis:
«7 loro bisogni non sono che un po’ âi
pane, un po' di fuoco e ü sermone dd por‘
store» (DeAmicis, AUe perte d'Italâ),
Au moment où nous nous préparons
à célébrer le XVII février nous ne devons pas craindre le renmeement, le mcriftee, si nous ne sommes pas indignes de
nos pères qui ont tout sacrifié.
Notre don pour l’Eglise au moment de
la célébraltion du XVII février sert à
t
hcHiorer le passé ; c'est un hommage pratique et tangible que nous rendions à nos
aïeux, si fidèles, si héroïques au milieu
des plus grandes difficultés.
H doit servir encore à entretenir le
présent, à surmonter la crise matériele
et morale de l’heure sombre que nous
traversons.
Il doit enfin assurer l'avenir : il faut
résister aujourd’hui pour exister demain.
L’avarice, la négligence, la lâcheté d’aujourd’hui peuvent irréparabtement compromettre l'avenir.
Lecteur^ Ije piermettrons-nous et ne
saurons-nous défendre par un peu d’argent les positions qui furent conquises
par te sang?
Notre XVII février, en raison des contingences, sera célébré cette année d'une
façon digne, mais aiœtère : pas de dépen
ses inutites, donc, et cela devrait nous
permettre de verser en faveur de l'Eglise ,dans le besoin le plus pressant un
don important qui soit l'expression mani-'
feste de notre foi et de notre amour.
Lecteurs, remettez à votre pasteur le
produit du renoncement que vous vous
imposez sans attendre qu'on vienne le réclamer.
Les Vaudois qui se trouvent disséminés
en Italie ou à l'étranger — et qui certes
répandront à l’appel qui leur est aussi
adressé •— sont priés d’envoyer leurs dons
au bureau central de la fTaWe: 107, Via
Quattro Novembre - Eoma (lOl}.
♦
♦
♦
♦
Le retour des exilés (d’après un tableau de OrUnewald)
Lus Yauilois reconnaissits!
L’approche du 17 février nous reporte
aux belles journées de 1848. Notre esprit revoit le grand cortège des représentants de toutes les provinces, de toutes
les associations du Piémont, que défilent
par les grandes rues de Turin ; et à la
tête nous nous complaisons d’y voir un
groupe de plus de 600 montagnards, descendus des Vallées, qui passe devant le Roi,
en déplc^ant au vent de la liberté, son
étendard bifeu ciel' qui porte en lettres
d’argent ces simples mots . Au Rai Charles-Albert — Les Vaudois reconnaissants.
Ils avaient été trop longtemps les derniers . « qu’ü soient aujourd’hui les prendars ! », avait dit leur grand ami Roberto d’Azeglio.
J'ai autrefois écrit de la bienveillance
de Charles-Albert envers les Vaudois,, qu'il
tenait encore parqués dans leurs Vallées,
en raison de ses scrupules de fervent
catholique, mais qu’il estimait beaucoup
et aimait encor© davantage. N'est-iî pas
juste que nous parMons aussi — en corrélation — de la recCHinaissance des Vaudois ?
Les Vaudois furent toujours — lisez
ou rdisez leur histoire •— très dévoués à
leurs Princes de Savoie,, qu’ills servirent
toujours avec fidélité, même au milieu
de leur servage. Une sympathie toute
spéciale cependant se manifeste dès l’abord entre te Roi Charles-Albert et les
Vaudois; on voit qu’ils se sentent attirés
réciproquement. Le Roi protège son peuple quoiqu’il le tiaine encore à part, et
les Vaudois ne laissent pas une occasic«i
de lui exprimer leur reconnaissance.
Leur .première rencontre officieBe fut
on ne > peut plus affectueuse. Les Vaudb|i^ pairtiirent pteinis ld*espérance pour
l’avenir ; ils avaient fini par avoir le Prince
qui les émanciperait ! Le Roi leur avait
pourtant dit : « ü faut aller tout doucement et faire peu à peu; et des années
passèrent avant que fe moment désiré arrivât. Il leur fallut patienter bien longtemps. Mais il ne perdirent jamais courage. Us l’excusaient toujours, leur Roi
bien-aimé : « il est empéché par son entourage, mais il nous aime et au moment
voulu il se souviendra de noifâ ! ».
Toutes les joi^ de la Famülè Royate
furent leurs joies. Voyez l'a part qu’ils
prirent toujours aux naissances et aux
mariages, à tous les événements fêtés à lia
Cour. C'est ainsi qu’à l’occasion du mariage du Prince Victor Emmanuel, la Tahte
fait parvenir au Roi une adresse, en lui
exprimant la vive joie qu’en éprouvent
tes Vaudois ; il en fut de même à lia naissance du Prince Humbert.
Ce fut cependant après leur Emancipation que leur cœur déborda de reconnaissance. Rappelons l'enthousiasme du
27 février à Turin. Je n'ouWieirai jamais
l’émotion de mon grand-père maternel,
qui était un des 600 Vaudois d© la députation des Vallées, lorqu’il me raowitait,
à moi tout jeun© enfant, les détails de
cette journée mémorable. Des larmes de
joie et de reconnaisan.ee remplissaient ses
yeux. Nous ne pouvons relire tes souvenirs
de nos Pères émancipés sans recevoir encore aujourd’hui une profonde impression.
La reconnaissance de nos Pères «ut à se
manifester, bien mieux qu’avec des pa
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*•“ roifeei, par des faits. Ils suivirent avec en- \
thousiasme leur Roi émancipateur à la
sainte guerre pour la rédemption de l’I- UaMe r et „ tandis que les soldats vaudois
se battként vaillamment 'à ses côtés dans
les plaines lorahaJrdes, leurs famillies imptesmient de Dieu la victoire. Les vic, toires de Goato et la paix de Peschiera furent célébrées dans tous nos temples par
un solennel Te Deum, le dimanche du 4
juin. Les pasteurs furent invités par la
Table Vaudoise à ajouter au culte une
prière spéciale «poitr implorer tout partictüièrement la protection et la bénédiction divine sur S. M, Chake's-Mh&rt et
sur tous les braves enfarUs de la Patrie
, qui combattent maintenant 'dans les plaines de la Lombardie %,
Et lorsque noltre armée, écrasée par l|e
nombre de l'adversaire, dut se replier,
la triste nouvdte de la campagne perdue
336 fit pas perdre courage à nos Pères.
« La liberté, mus coûte — éciivit alors
^ancien «¡Echo dra! Vallées» —mais n’oubîtons pas ce qu'aie a coûté d «os Pères,
et pensms à ms enfants, pensons aux
chants de joie avec lesquels Us moissormeroni ce que nous semons maintenant dans
les larmes ! ». Nobles p^tiles,, qu'M' est
bon de nous rapp^r, aujourd’hui.
L’année suivante, le Roi infortuné tomJjait m^ade à Oporto où il s'était exilé
vobntairement pour servir encore k Patrie : tout aussitôt que la nouvelle arrive
aux Vallées, te BÎodérateur invitait les
Pasteurs à prier pour lui, dans tous nos
temples. Eît peu après, à k nouvele de
sa mort, le Modérateur invitait tous tes
Pasteurs à se rendre à Turin, pour accompagner à son repos k dépouille mortelte
du Roi m^nanime. Il se tint dans nos
temples un service divin, pour réveiller
dans tes cœurs «tes sentiments que doit
nourrir tout Vaudois pour la mémoire de
Charles-Abert ».
Ces sentiments se sont perpétdés aux
VaRées, jusqu’à aùjourd’hui.
Nos fêtes du 17 février n’ont rien perdu
de leur importance, pour la pcpùkl^on
vai^ise, qui continue à se réunir dans
ses temples, potu* rendre grâce à Dieu et
bénir k mémoire du Roi Enaancipateur.
David Jahibr.
leggenda;
XVII FEBBRAIO.
Staséra... freddo...
la notte picchiettata
di tremolanti séeUe
è sconfinata
prateria
respirante
neH’estatioo splendere
di immobili lucciole....
appena profilata
la giogaia
alta dei monti
al buio punta a sfida.
Nell’aria ü fluttuar sento,
' presago,
di qualcosa che verrà...
è ñ battito di un cuore addo e forte,
è Ü fremito di un'anima die vive
un bei momento!
il tuo momento,
pHjpolo valdese !
lo vivi in questa sera,
lo rivivi ogni crnno,^.
e mentre guardi su,
verso l^aperto
ctete stéUato,
riemergano dal tempo
a te i ricorc^ del passato tuo,
su questi monti bruni
inssuti...
suona Ü ricordo come eco <K gloría...
Andi’io lo vivo
questo momento beilo
che sa di sogno, di poema, é& vero,
die pare di leggenda, par di storia...
segue ü mio squarde per §, tenue btdo
Ü ritornare dd ricordo antico.
Ma... cosa scorgo
anoor vago e indistinto
su pél monte nascosto in s^ofabra ì
a\mezza costa... no più in alto... ,
e^ure... ‘
ma no, più in basso ancora
è un fuoco che s’acoende ? ! i‘ ‘ '
Ahi ecco, sonò molti '
fuochi accesi su per le pendici >
dei monti..'. " ’
sono forse i riflessi \
di tutti questi astri,
uguali, diversi^ '
specchiantisi ^
nel mare profm^ ed ignoto
dello sprazio ? ' , /
no! quei fuochi
guizzanti al freddo vento ■ ■
sono fiamme ' ' • ■ '
di fede ' ' ' ' ’
sono roghi ' ,
damare
sono vampe -v
di gloria.!
è <M quel more é battito '
di qudl’amma H fremito,
dd cuore Valdese,
id
dell’anima Valdese, * _
che ìi ha accesi
qua, là,
vicini, lontani,
quasi aerei sospesi...
ora nell’aria sento
un non so che di commovente,
che mi vda gli occhi,
che mi scende al cuore,
die mi fa pensare tante cose
bèlle, sublimi, quasi leggendarie,
inconsciamente.
Sì... è una visione che di una leggenda
ha profumo daudacia, di poesia,
ha Ù soffuso mistero
che dolce mi fiorisce ndla mente...
è la tua storia, poptoh VcMese,
che cosi auredata di leggenda
trascorre a me dirumd...
ed è più bdla e non è ‘meno verd^ ’
la tua storia vissuta tra le rocce
grige dd monti, ,
tra ii cupo verde
dd pini eretti in trory^p nerboruto,
così come Ih’dppmre ih' quésta sera
evocatrice... , ..
io sento in me arder.e un fuoco imnponso :
è fede!
Sento dd suoni a squilla dì campxiina
pieni or di mesta gravità sonora
ora impetuod, a ritmo saettanti...
mi chiama... e chiama ancora la campana
di questa vita passeggera...
cosi svanisce il sc^no
e la leggenda
cosà tramonta questa notte...
i fuochi
muoion, lassù,
soffocati dal buio che li inghiotte..,
io mi ritrovo
nella realtà, nel nostro mondo umano,
nel vostro triste mondo di quaggiù...
allora... piano piano...
sollevo, gli occhi aU’dto,
a fissar gli spiehdenU astri celesti,
uniche luci ndVimmenso oscuro:., s.
Ettore Serafino.
17 febbraio 1936.
S*aveuffle ei la lanierne.
Dans ime grande ville, au cqfo d'ime
rue, se tenait un aveugle, qui avait à ses
pieds une lanterne allumée. Quand on lui,
demanda à quoi cette lanterne pouvait i
bien servir, l'aveugle répondit : cCept
afin que personne ne s'encouble sur moi ».,
Nous voulons, n'est-oe pas? prendre
pour nous-mêmes la maxime suivante ;
« Que je ne sois pour personne une pierre
d'achoppement. Que personne ne trouve '’
en moi k cause d’un faux pas ». C'est à
oék que pensait l'apôtre Paul quand, <
dans une de ses êpîtres, ü écrivait que
chacun doit êltre une lettne vivante, que
chacun pourra déchiffrer aisénKnt. Pw
notre vie, nous devons tétuoùrnieT que nous ‘
sommes à Christ. Notre esanpte en amè-,
nera bien plus au Seigneur que ne sau*
raient le faire nos parûtes.
ÌC.XVII FÉVRIER
loin des Vallées.
Les Vaudois qui se sont transplantés
loin des Vallées (que nous aimons à écrire
ce mot avec un V majuscule!) oublént
très difficiliement la terre où teurs ancêtres ont vécu et souffert. L'admiration
dont, les Vaudois sont l’objet, aujourd’hui
encore ,(lfe méritenit-ils tous 7)., dépend de feur attachement indestructible
à leur foi et à leur petite patrie. Quelle
oue soit k patrie lu monde où un Vaudois arrive, conduit par tes dures nécessités de l’existenoe, il est sûr d’y trouver
des coreligionaire^ au moins à une distance relativement petite. Sans ,se connaître, deux Vaudois des Vallées se trouvent immédiatement à leur aise, car ce
sont vraiment deux membres de la même
familte. Ôp dira : œ phénomène psychologique,, se produit chaque fois que deux
eompatriot^ se rencontrent. Eh bien, si
oek vrai, n’empêche que lorsque nous
nous rencontrons hors de ce coin des Alpes
Cottiennes nous éprouvions des émotions
et des sentiments qxii diffèrent sous plusieurs rapports de ceux qu’éprouvent
deux personnes du même paya, qui n’ont
entre elles aucun autre Men spécial.
Vers cette daitè, tes Vaudois de k dispersion sentent plUs profondément dans
leurs cœurs k nostalgie des Valées, et
ils se rendent par k pensée dans ces vüiiages, dans ces hameaux que peut-être
ils n’ont plus revus depuis nombre d'années, et que certains d’entre eux, trop
éloignés géographiqiiement, sont pr^que sûrs de ne plus revoir. Qu’il fait bon
de se rencontrer vers l’époque du 17 février! Il: semble que l'on parte plus volontiers des Vallées ; souvent, on lœ indique simplement avec Taxiverbe là-haut.
L’anniversaire de l’Emancipation renferme
poiir nqus pne poésie particiûière, qui riOprésente comme la synthèse de toute notre histoire.’ Si même plusieurs ne con'’ïÎaisfeit plus te
déveteppiement des tristes et glorieuses
vicissitudes de nos pères, tous savent cependant reconnaître et comprendre l’immense valeur de l'événement que le 17 février rappelle. Tous les Vaudois, reconnaissants à Dieu, reconstruisent par l’imagination tes scènes de joie qui se déroulèrent dans toutes tes Vallées l’avm de’
pwrtenti (comme l’a appelé notre grand
(ktducci) et qui se conclurent dans la
grandiose réunion de Turin.
Et à l’occasion de ce jour, les descendants de Janavel et d’Arnaud n’oubKent
jamais de renouveler l’expression de leur
attachement au Roi d’Italie, car ils savent trop bien ce qu'ils doivent à k Maison de Savoie.
Après quatre vingt huit ans, les Vaudois aHuiment encore tes feux de k reconnaissance et de faUégresse; sur nos
montagnes, tes jeunes gens ■transportent
les fagots et tes entassent. Le soir, à k
lueur dte oes aortes de bûchers, ils enlèveront d'un seul cœur tes chants de k. liberté.
n fut un temps où des chrétiens étevaient d^s bûfehers pour y livrer aux
flammes d’autres chrétiens. Ce n'est qu’un
rapprochement, auquel beaiicoup pourraient ne pas penser, mais tes bûchers
qui flamhoyaient dans nos VàRêesi avant
1848 (bien avant,. Dieu merci) et ceux
qui tes eckirent aiyourd'hui peuvent, à
im certain pomt de vue, être,considérés
comme te symbole de deux époques Dieu
a voulu effacer k première. Et les feux
qui bnlteht sur nos montagnes te 17 février brûlent de, k même, flamme que te
chandelier de notrè devise. , > *
Les Vieiudois qui se trouvât loin des ''
Vallées kitemètriquement; s'y considèrent
présents par l’esprit plus que jamàis dans
cette fête,^qu'ils senent réunis en, assemblées plus ou moins nombreuses ou qu’ils
soient isolés. Le feu qui >brûie ' Sür ks
flancs de teurs montagnes ktrûle avec k
même ardeur et la même lumière dans
leurs cœura emm. t.
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Ce qu’il fpt-Appeler.
Tous les Vaudois célèbrent .k fête du
Xyil février : un - même, sentirait les
unit tous, des Alpes à k Sdçite, de l’Italie
à ÏAmérique. Mêmiel tes disséminés vivait 'dans les parties les plus' lioihtaines
du'monde ont ce jourJà une pensée
pour nos montagnes' où s’alhiment les
feux de joie. Du reste, comment pourraiton oublier la date de notre liberté rebgieuse, k plus précieuse des liberté ?
Il faut cependant rappeler quelque
chose Jde plùs : notre fête dioit représenter pour tout Vaudois une mspiratîon,
un souffle de vie.
Nous jouissons de k liberté, nous k
célébrons et la glorifions, peut-être même
nous en vantons-nous, mais nous ' ne
devons pas oublieir ce qu’elle a coûté; a
quel prix nous l'avons obtenue. Voilà k
condition indispensable pour commémorer
dignement notre Emancipation.
La liberté nous a été accordée parce
que nous l’avons méritée: par notre fi“
délité à Dieu à travers plusieurs sièctes
de persécutions, de souffrances inénarrables, de martyre ; par notre amour envers
la patrie, à laquelle nous n’avons pas
voulu renoncer malgré l’hospitalité fraternelle que nous offrait une terre, étrangère : par notre dévouement aux Princes de
Savoie, que; quoique isouVent par feux
persécutés, nous avons servis avec une
dédition compi'ète et une bravoure incomparable)- C’est par te sacrifice de tout
que nous sommes parvenus à nous assurer
k bberté : c’est par le don même de la
vie,, que nous avons conquis te souverain
bien : la liberté de conscience
Cette bberté a été Une conquête diffi
. 'i ■ ■ .1., ■
cite qui a couronné une bitte de plusieurs
siècles, caractérisée par une foi à toute
épreuve, en Dieu.
Notre Égbse traverse aujourd’hui des
moments difficîtes : nous envisageons, cependant, k situation avec confiance, car
nous n’avons pas oublié le Dieu des débvrances. Dieu est prêt à nous débvrer,
comme il a délivré nos pères mais nous
ne devons pas oublier que k délivrance
est le fruit de la lutte, du renoncement,
du sacrifice.
L'avenir vous semble-t-il bien sombre
à cause d'une crise financière ? Pensez ce
qu’il devait paraître sombre lors du massacre connu sous te nom de Pâques Piémontaises, ou lors de l’exil de Î686 ?
Et pourtant le massacre et l'exil n’ont pas
éteint te peuple Vaudois, car il avait une
foi vivante, conquérante que nulle difficulté, nui sacrifice ne pouvaient ébranler.
Au moment de célébrer notre belle fête,
sujet d’uhé si grande et pure foie, ce qu’0
faut rappeler avant tout c'est k bonté
de Dieu et la foi et l’heroïsme de nos pèifes
qui ont vraiment conquis leur liberté et
k nôtre, par le sacrifice.
Si nous retrouverons leur foi pidssaxite,
leur noble simplicité et leur esprit de sacrifice, leur attachement au devoir coûte que
coûte, nous n’aurons plus rien â craindre, et
les problèmes qui nous préoccupent trouveront leur siîlutioiL Dieu nous déîivrOTa
dans k mesure que nous voudrons nous
dâivrer. ' ' t’
Xe signe du
ente.
Une vieille femme qui, avait été une
fois la servant© de Lutibèi', se sentant
•mourir fit appeler te R^ormateur poux
lui raconter, sa teimeur »dé ,1a mort. Luther k,consok en lui disante. < Christine,
tu ne dois pas avoir peur ; ,toS^ue la Mont
vi# n ira, et,■te dira : « Maûiti^iant tu es
à moi tu répondras ï «'Ô.Mort, tu ta
trompes considérabtemant;-¡fkppartienB à
quelqu’un d'autre, qui. ee^-’plus fort que
toi, car ¡Q t’a vaiiwue; car sur moi je
porte te Signe du baptême».
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L’Echo des Vstìéee - 14 .<F^vri^r 19S6-Xiy . ' "
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Le Convegno de la F. G. V.
à Angrogne.
, JPeuthêtre (poUr Oía première fois¡, dituanche 2 coairant, dans notre vieux temple d'Angrogne, on a vu se réunir une Asæmblée d’environ 350 jeunes gens, venus de tous les côtés de nos VaJIlées, même
de Rodoret, et même de Turin.
La pasteur M. Ermanno Rostan a présidé te cullt© en prêchant sur Rom. I, 16 :
« Je n’ai pias honte de l’Evangite, parce
qu’il! est la puissance de Dieu pour te salut (de tout ciroyanit». Dans notre société actueUe, très affairée pour ses intérêts matériels et transitoires, il semblerait hors de question affirmer que
Üi'Evangille est orne puissance. Pourtant
c’est notre expérience qui l’affirme, et
c’est une source d’assuranqe pour nous de
savoir que notre foi ne repose pas simptement sur un livre de morale, un recueil de pensées humaines, même très élevées, mais sur le Verbe étemel' de Dieu
lui-même.
Dans íaprés-midi l’imposante assemblée
se réunit de nouvieiau dans le temple.
Le , Pasteur local in^te tes jeunes g;ens
à méditer sur la vocation du publicain Lévi
de la part de Jésus, et Sur sa consécration. Dans la vie de chaque jeune
homme ou jeune file ime fois ou l’autre
ITappel ; « Suis-moi » retentit. Il invite la
jeunesse à écouter cet appel et à te faire
suivre par un acte de réelle consécration,
qui aura tes plus hautes conséquences dans
notre vie individuelle et dans cele de nos
Eglises.
Le pasteur Henri Geymet nous parle de
la formation de la Bible. E.' donne un
aperçu général de la formation des livres
de FAncien et du Nouveau Testament.
Quelques-ims ont ime notion supeirficielte
et magique de la Bible, comme si elle était
tombée miracuteusement du ciel Ceux-ci
sont troublés en découvrant que lia Bible
9 une histoire, et qu'elle contient \ui élément humain. Ces personnes arrêtent leur
attention sur Ifencadrement, au lîeii de
regarder te tableau. Il est nécessaire que
notre foi en la Bible soit une foi éclairée
^ pasteur, M. Achille Deodato nous entrétient ensuite sur rautorité de lia Bible.
L’Église romaine enseigne que c'est eïliemême qui donne ^autorité à la Bible,
c'est-à-dire l'Eglise est au dessus de la
Bible Quant à ncius,'iirautorité de la Hbte
se dégagé elle-même, et s’impose ipar là
à notre conscience. Ele n'a pas besoin du
témoignage d'aucun homme. Toutefois on
ne trouve dans la Bible' que ce qu'on y
cherçhe. Nous y trouverons de grandes
choses, si nous y cherchons de grandes
choses; des choses banales et''transitoires, si nous h’y recherchons qû© cdlësci ; nous n'y trouverons rien,, si nous la
lisons en n’y cherchant rién. Tout dépend
des dispositions de notre esprit. '
Enfin tel prof. Gino Costabel' noiis porte
sur un terrain pratiqué : quele est* la
valeur de la ‘Bible pour nous ? Dette valeur était bien comprise par les ancîèhs
Vaudois., quand ils firent une « récoUt© de
For» pour donner au Protestantisme sa
première Bibte française; Aujourd’hui il
faudrait plutôt se demander pourquoi la
Bible n’a plus la même valeur pour nous.
Le travail de la jeunesse Sera de remettre en honneur la Parole d© Dieu dans
nos familles. Peut-être faudrartril “ commencer par une chose plus simple encore :
que chaque jeune Vaudois porte toujours
son Nouveau Testament sur lui : sous tes
drapeaux,, au service, à Fusme.
M. Jeannot Malan ajoute une intérèssante expérience qu’il a faite à Bibiane à
ce sujet. ' ■'
Enfin M. Ermanno Rostan termine en
portant faidhésion du Modérateur adjoint
ét celte du cand. th. M. Micol.
L'Union de la Jeunesse Vaudois© d'Angrogne a accueilli avec gratitude et empressement ces centaines de jeunes
gens venus du dehors, et leur a offert
une tasse de thé et une brioche. C'est lie
fruit de deux semaines de travail et de
collectes. Travail abondamment récompensé par le plaisir d© se trouver en communion avec la jeunesse des différentes
paraisses. R. N.
>k « *
<arté de la F. G.
La F. G. V. publie, à l’oc(Sasiou,jiïu, ,|7 ;
février,, une belllie carte repré^ntaiJ.ti:,H&e \
sentinelle vattdcdse, d’après un tableau.’idu |
film , « Les Vaudois ». . î 7
Les parotes du cantique : « Veglia. al I
mattiq, la sera veglia ancor... -— Sicuro
è sol chi veglia col Signor, ! » rehaussent
la signification dè la vignette ; ce n'est
qu’avec Faide du Seigneur que la vigilance aussi bien matérielle que morale peut
être vraiment efficace.
C'est une carte que nos soldats conq>rendront bien et qu’on pourra teur eaivt^er,
à l'occasion du 17 février, comme souhait
et eh signe d’affection.
On peut se la procurer à ïadre^ sui- ,
vante : Arnaldo Comba - Viale Roma, 6
(Conto corente postale 3 24105) Bergamo.
Pii ,; pour 3 cartes, L. 1 - pour 12, 3
- pour 20, 4 - pour 50, 8. i
INFLUENCES.
H y a des gens à la présence deaiuela
il nous siemble respirer l’air pur d© b
montagne, car leur vi© intérieur© est
remplie d’une atmosphère rafraîchissante.
D’autres vous purifinMit par leur exempte
comme un bain de liunière cétesta
Smhæs.
Les participants au « Convegno »
•'q. »4 •
Il nnoilai di Mi. JEM JILUl
Depuis 20 ans environ te prof. Jean
JaJia rédigeait, à Foccasion-du XVII février, un opuéeute d’histoire vaudois© qu’on
distribuait à toutes les familles de nos paroisses et qui était demandé même de l'étranger.
Nlotre Jlistarien n’esjt plIuB, mais son
*œuvre reste et il faut qu’elte devienne
populaire.
La Société d'Etudiants « La Bailiziglia»
de plein accord avec îa Société' d’Etud^
Vaudoises, a donc pris Finitiatiye (le réunir
en volume un bon nombre d'articles (50)
du regretté prbfesseur et .de'mettre en
vente Fouvrage à bon compte, à Foccasioh '
du XVII février. . : '
L© volume édité par la Tipografia
Alpîna est prêti: Jean Jàtta, Glarmres
¿^Histoire Vaudoise - In memor&nn.
La frontispice est orné d’im dessin original et expressif du peintre Paschettb.
Les artictea, précédés d’une notice biblliographique et d’une photographie de
Fauteur disparu, sont groupés sous tes
titres suivant : ,
La Réforme aux Vallées
Pérsonnages et épisodes Hu XVH® Siècle
La Débâde et la Rentréè
Au XVIIP Siècle '
Les Historiens Vaudois ■
Ah XÏX' Siècle.
Une liste des ouivrages du prof., Jalte,
à la fin, donne une idée de son activité débordante. Le volmne de 162 pages, eh 8°,
est mis en vente au prix de L. 3 afin d’en
permettre l’achat’ à, toutes l|es fâmilies
vaudoisesL
Ce miracle est possible grâce à la générosité des souscripteurs qui ont voulu
honorer, d’une façon pratique, et utile, lia
mémoire de notre historien, tout en faisant connaître son œuvre et notre histoire.
Nous ne pouvons que féliciter la Société
« La Balziglia » de son initiative et exprimer notre reconnaissance a toûs ceux qui
ont collaboré à ce monument commémoratif.
Le vdum© ne devra manquer dans aucune famile-vaudoise.
CHRONIQUE VAUDOISE
pgQus.
Per îa Cassa Evangelizzazione:
' AdôHfô e Lidia Comba e figli
Arnaldo, Giulio, Guido e Gustavo, fiori in memoria del
loro caro figlio e fratello Vddo
Combà, deceduto ih Califoniia L, 1000,—
ift « ÿ
Souvenir de Madame Anais
Long-Martin, veuve du pastewr Paolo Longo : pour la
Caisse Pension Veuves et Pasteurs émérites L. 6000,—
Pour l’Hôpital Vaudois de
La Tour » 1500.—
!» * *
S. S., en souvenir dti Prof. Jean
Jaüa, si regretté, pour te Collège L. 500,
* * «
MA8SBL, La semaine passée, notre paroisse a eu la visite de MM. tes Pasteurs
Deodato et Ge3rmet qui ont présidé, pendant quelques jours d’intense activité,
toute une . série de . cultes e.t de réunions.
-%:r, ' ' ' ' ■ J '
Noiis avons eu de très bons auditoires,
tant aux cultes, dans la saille du Eesmaud
qu'aux réunions de quartier; et les messages qu’on nous a apportés ont ôté très
efficaces.
Nous regrettons que te mauvais temps
‘^âit empêché à la jeunesse du Perrier de
v^ir à Massel^ dimanche dernier, comme
nous Favions espéré,' et à leur Pasteur de
présider notre culte du dimanche soir.
Noois espérons avoir bientôt M. Pecyronel
et sa jeunesse avec^ nous ©t nous remercions encore bien chaleureusement MM.
Deodato ©t Geymet pour teur )bon et
édifiant message.
*" 'k Samedi 25, a eu lieu te mariage d©
M.Ille ŒotÛde Poindre Tron et de M. Jacques SUvîo Trm. Nos vœux sincères accconpagnent te. nouvellle famille.
PBAMOL. La célébraticte religieuse du
17 février aura leu, D. V, dans te Temple,
dimanche matin 16 février. La célébration
historique et te fête des enfants auront Ueu
le jour après, lundi à 10 heures du matin.
‘‘Nous' ' espérons voir, aux deux cérémonies, une nombreuse assemblée, décidée à célébrer la « fête vaudoise » daiiH
un esprit die reconnaissance et de fidéhié
à FEtemeL ;
SAINT-JEAN, Le soir, du XVII, à
20 h. 30, dans l|a Saüe AUlbarin, Soirée de
bienfaisance organisé© par FU. G. de J. G.
Le programme comprend des récitations et
dès'chants exécutés par la Société Choralei.
Prix d'entrée ; L. 4 - 3 - 2. '
PERSONALIA.
Nous exprimons notre vive ^mipathie
à M et M,me Adolphe Comba qui ont
perdu leurs fils Valdo, décédé en Californie. Nos condoteances aussi à ses quatre
frères : Jules, Arnaldo, Guido, Gtœtave.
Le mari en France, le fils à Rome, et
tous les parents de la regréttée
AVONDET CATHERINE
née BOUCHARD
remercient sincèrement tous les amis d
les voisins pour les bons soins donnés à
leur chère bienaimée, et particulièrement
le pasteur M. Rivoir pour les bonnes
paroles prononcées en cette doulourheuse
circonstance.
BuKa di Prarcstino, 6 Février 1936.
Les parents de
ELISA PEYROT veove LONG
décédée au Teynaud, Villar Pellice le 7 c.,
remercient la famille Geymonat qui Va
assistée pendant sa longue maladie ; toutes
les personnes qui ont accompagné sa
dépouille mortelle aa champ, de repos.
Un ' remerciement ' spéciàl du Pasteur
M. Jahier à l'Ancien M. Gaydou et à M.
Leali qui l’ont souvent visitée et soutenue
pendant sa longue épreuve.
Villar Penice, 10 Février 1936.
iBlitlliOK Mit« VlOiOlili.
ORFANOTROFIO.
Gay Emmanuel!, Prarustin, L, 5 - Sophie Pasquet, Id-, 5, C, AMo, veuve, Vilter, 10 - Michelin Bertin Peny, IîL, 6 Jenny Ribet et ses deux filles, S. Barbara
(California), 60,75 - Incognito, à la méroire du prof. Jean JaHa, 20 -• GriU C. et
familtei, Pomairet, à lia mémoire de Josué
Geymonat, 50 - Emanuei et Gdov, Tfon,
Perosa ,50 - Jean et Augustine Charbonnir, La Tour, 20 - Ada e Ina 'Theiler, LL,
20 - A. Bounous-Monnet, Missouri, 24 Ge<nii, E. Ayassot; Saint-Jean, 1Ò - AlUaud Michel], Pligneroill, 25 Coucouid©
Jutes, Id., 10 - Bertalot Leontina, à te ipémoire de Sœur Susanne Beux, PîgneroL
25 - C. K., La Tour, 50 - Rivoir Jeeihne,
Fournel, Vilar PèUice, 5 - N. et P. Peyhot, SadntnJeany 20 t- Bairuis Catherine,
France, 10 Pastre Auguste, Perosa, 25
- Long Alfredo, Id., 30 - Noia* Louise,
à te mémoire d'Eisa 'Tron, Perosa, 20 Susanne Gay-Piascal, Turin, 25 - Robert
Revel, Vallombrosa, Saint-Jean, 500
Union des Mères, Id., 50 - Giuseppe Vidossich, Milano, 100 - Gonetti Neia, Pinerolo, 10 - Maddatena Chiesa, alte memoria
di suo marito, Pìneroto, 50.
REFUGE.
Gay Emmanuele, Prarustin, 5 - Michelin
Pierre Peny, Vilar, 5 - Pontet Suzanne,
Id. 5 - Grant EtiMuie, Id. 5 - N et P.
Peyrot, StJean, 10 - Collecté par la Colonie Vauloìs© d© Genève, Alex. Long. 3 - Fr.
Chanloran, 5 - Ami Gay, 1 - Louis Gardiol, 12 - Auguste Avondet, 1 - Jean
Boume, 2 - Louis Soulier, 3 M me Rostan,
5 - François Reynaud, 2 - Bach Reynaud,
2 - Berthoud Pasquet, .25 - Lydie v ric,.
ron, 2 - Emile Pasquet, 10 - Huasy Maüan,
2 - M.me Balmas, 5 - Olga Rossier, 5 Ambaneli Benech, 1.50 - Söderström Benedi, 1 - VMite opuscutes XVII février
frs. 11,50 - LoiuSs Gay, 1 - Jenny Gonnet 5
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I .... V .'"j-.v :.A, • cc • f'-.v'..
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V
Xt’Echo des Vallées * V'endii^edi 14 Février 1936-XIV
1 m: €lt M.me Benechu 5 «= frs. stiisaes :
100 — Lires 401,60 •» Hetea ^seman, Haderlev, 10 - Marie Charboimier, Viltor, 5
- Robert Reviel, VaUiombroea, Saint-Jean,
500 - Auguste Pastre, Pérouse, 25 - Geoun.
E. Ayaîlsdt, Podestat, Saint-JeaA 25 Queliquies visiteurs, 10 - Pteranzone et famile, Jdi., 20 - Jean et Augustine Charbonnier, La Tour, 20 - Deyme Emesta,
OuIk, 5 - L. TaJamiazzi-Baldocchi, Naples,
25 - Couoourde Jules, Pignerol, 10 - Madeleine Bouchard, Saint-Germain, 5 - Gardioli-Avondiet Lydie, Id., 50 - Chiesa MaddaJena, à la mémoire de son mari, Id., 25.
* Hf »
Nous remercions bien sincèrement tous
ces fidèles donateurs, qui nous apportent
une aide et un encouragement vraiment
précieux.
Le Comité de Genève, dirigé par M me
Emilie Soutter Taîmone et M.me Rarier,
nous a remis le produit de la collecte de
1935, fcs suisses 1088 soit Lires 4383,55
Ces collectes, suivant lie désdr du Comité,
seront capitalisées désormais, afin d'augmenter la dotation des 5 lits de Genève au
Refuge Roi Charles-Albert.
On commencera par le plus ancien, de
1900, qui comme lie Comité l’indique sera
désigné par ce verset, « Seigneur, Tu nous
a été un refuge d’âge en âge». Nous
sonunes bien reconnaissants à ces chers
amis pour te beau produit de la colecte, de
même que pour l’initiative si pratique, que
nous voudrions voir imitée par d’autres
amis encore, (des 50 lits, avec la dotation
d’avanthguerre, qui naturellement ne suffit plus à leur entretien, le It « Guido Ferrerò» seul a été complété.
La Commission administrative
des Institutions Hospitalières Vaudoises.
ISTITDIO FEIIimiE VIU DI UMIBOSIII
Dms reçus du l.er au 31 janvier 1936.
Enrica Gamma, Milano, in memoria dei
SUOI cari, L. 50 - Chiesa di Carunchio, 10
- Società di cucito, Pomaretto, 100 - Cdltetta di Natale, Chiesa di Livorno, 70 A. Cignoni, id., 30 - Aw. Rodolfo Giordano, Id., 50 - E. Goldi, Milano 10 - Susanna ved. Pascal, Torino, 25 - Adele
e Adolfo Peyronel, Valtecrosia, 10 - Frida
Peano Van Kleudgen, Bordighera, 20 Clara Fabris, Napoli, 50 - Cacckbue Teresina, Savona, 15 - Giuseppe, Adriana e
Andreina D’Oria Livorno, 50 - Coniu i
Leali, Guidizzolo, 20 - L. Rossigno'to, San
Dahnpzzo di Tenda, 5 - Clelia Viglano
BMchetti, Bari, in ricordo dei suoi nonni
Mour, 50 - I nipoti, in memoria di Giulia
Frizzoni, Berg'amo, 500 - Aiidre>a CristaTaranto. 10 - FamìgJaa Michebn,
wrdighera, 100 - Offerte raccolte dala
bcuola domenicale di Tarando l-'O - Offerte
r^olte dalla Scuola domenicale di Brindisi, 50 - Clotilde Girardet, Romat, 150 Emma Gandiol-Leidheuser. Ceno’a-Nervi,
50 - Margherita Roccatagl at-» Gœtzllc^f,
nova, in memoria del nostro amato p^dre
Os^ar Goetzlof, 500 - Bernardini Emilio,
Gennva-Auarto. 10 - I bimbi Alberto e
Renato Cabella, Torino, 20 - Società di cucito di Brescia 150 - Roberto Revel. LuìBma San Giovanni, 400 - Margherita
Tixm-Revel, Id., 100 - Scuola dor e^ v. V
Chiesa dei FrateBi, Savona 90 .
Caterina, Pietrabruna,, 30 - Un fratelo
di Chiesa, Verona. 10 - Leotta Maria, Catania, 15 - Leotta Rosario, Id., 10 - Leotta
Salvatore, Id„ 10 - Collecté par M.Be EHa
Ej^rd à Torre PelKce : Docteur Quattrini, 25 - Sorelle Vicino, 15 - Sìg.ra Cavegb'a, 20.
La Direction de ITnstitut remercie très
sincèrement toutes les personnes qui ont
«ïvoyé des dons.
COMUNE DI TORRE Ppl LICE.
STATO CIVILE dal 3 al 10 Febbraio 1936-XIV.
Nascite N® 0 — Decessi
si N" 2 I
Abonnements payés et Dons.
(JLe don est enlrg parenthèses).
1936 ; Janavel Alfred, Ridiaretto - Forneron Margherita, Cardonna, Prarcstino Reynaud J. D., Coularei. Id. - Rocchi Stanisko, Como - Corsani Enrico Mario, Vomere, Napo'à (5) - Muston Arturo, Torino
- Vera Santacroce, Roma - L, C, Muston,
Whonnoch, Canadá - Vighehn Amandina,
Kiciaretto (2) - Venturini Paolona, Id., (2)
- Boretti Engente. Hurley (1) - B^irid-n
Pierre, VilSar Peffice (2) - Lüy Buffa,
Antignaioo di Livorno - L&orio Naso Pescotooiano - Maurin. G. D., Genova (5)
- Reganey Trn Elvira, Romanél sur Lausanne (5) - Malanot E., Vilanovetta (2)
>r Weitzecker Luisa, Torre PeHice - Guillet K*vira, Pinerolb - Vola Arturo, Torre
Fenice (5) - Lupo Carte, Sampiendarena
- Prof. Tron Samuejie, Pinerolo (2) - Peyronel Francesco, Pisa - Grifi Alfonsina^
Torino (2) - Bounous César, Bayside, NewYork (1) - Cairus Jean, Villar Felice
(5) - Scanavacca Lina, Leverà (1)Rbstagno Luigi, Milano (5) - Ga;udin Michete,; S. Secondo Pinerote - Mallan dott.
Arnaldo, Torino (1) - Mûris Adolfo, Pinerolo - Onorato Vinay, CasteUanza Varese
* Grand Daniele), Bobbio Pefiice - Grand
Danieite, Colpniia Vánense - BeUion Edciaroo, Montreaux (16j - Bell,fon Giulov
Lusema S. Giovanni - Bert^ot Anita et
Esther, Angrogna - Gaydou Héli, Angrcgna (2) - Bertalot Celestina, Id. - Coïsson Marie, Id. - Bertalot Théresei, Id. Odin Marie, M. - Forneron Elsa, Rosbeli,
Inverso Porte - Pasquet ' Sofia, Brusis, S.
Secon^ Pinerolo (0,60) - Somandet Alessandrina, Gelato, Prarostino - G.^udin
Charles, Pralarossa, Inverso Porte - Armissoglo Anna, Torino - Capitano Oscar Berse-ll, Ivrea (2,50) - Barolin Adelina, NewYork - Malanot-Comfe Marie. Bras, Luserna S. Giovanni (1) - Marta MalanLong, Id. (1) - Leopoldo Bounous, Torino
(5) - Long Maddalena., S. Secondo Pinerolo (2) - Dupont-Jouve, Cannes - Benech
Alberto, Novara, et 1935 - Sorelle Giordano, Venezia - Long Marey, Roma, et
1935 (10) - Miuri-Tron Eisa Gorle, Bergamo (5) - Prof. Pietro Rivoir, Milano Tourn Alice, Milano (2) - Alce Franco,
Nice - Paulne Lestardi, Annot, Basses
Alpes - Balmas Enrico, Torino - Beux Antonio, Luserna S. Giovanni - Poët Giulia,
New Roehelite (2) - Melchior ri Eisa, S.
Germano Chisonie. et 1935 - Prochet Air
fredo, Torino - Jahier Alice, Torre Pellice
(2) - Travers Süvia. Luserna S. Gfovanni
- Danna Giacomo, Torino (5) - Pons Alberto. Vateese N. C. (6,40) - Louise Pascal, Id. (6 40) - Su=!anne Pons, Id. 16 45)
- MadeTeine Mictol, Id. 16 45) - Benjamin
Giraud, Id. (6.45) - Genicoud Teresa, S.
Germano Chisone (5) - Gay Enrico. Pra
Ligure (5) - Poët Luigi, R. G. F, Pe^^aro
121 - Longo Flb”, Torre Felice - Gay Matilde, Villar Felice (3) -Bleynat Lamy,
Torre Pellice (2) - Grül Amedeo, Pinerolo
(2) - Cullno Bounous Lidia, Na,ooli (2)
- Pascal Arturo, Torino (5) - Vigleimo
Carte A,lberto, Riclaretto (2) - Hurzeter
Marie. Courmayeur - Mare Quattrocchi,
Torino - Decker Varese Emma, Torino Baret Ferdinando, Pomaretto - Suore
Ospedale Evangelico, Genova - Ten. Col.
Luigi Griï; Firenze (10) - Rivoir Silvie,
Genova (2) - Peyran Coniugi, Pinerolo
(5) - Alliaud Michele, Id. (5) - Long Marta,
Id. (2) - Costabelte Aliberto, Id. (2) - Rivoir Maria, Id. - Marauda J., pastore emerito, Id. - Griot Griset Maddalena, Id.
(2) - Bertin Daniele, San Secondo Pinerote (2) - Gey Evelina, Id. - Gay Guido,
Milano - Coniugi MaJan. Torino - Pfister
Gay Anita., Zurigo (6) - Durand Jacqueline, Vivian, Inverso Pinasca - Pastre Susanna,, Cannes (4) - Pastre César, Renaucourt les Amiens, France - Pastre Ai^u-fl
sto, Perosa Argentina. (5) - Ribet Ernest,
Clot, Inverso Pinasca - Rochon Adelaide,
Longiagna, ,Id. - Coucourde-Long Elise,
Clot, Id. (1) - Balma F. Antoine, Crosas,
Pomaretto (2) - Rostan Henriette, Carouge, Genève (1) - Gril Antoinette, Pomaretto (2) - Léger Josué, FayoHe, Inverèo Pinasca - Jahier Alberto, Plaiæt,
Id. - Bertalot Margherita, Pons, Itemaretto
- Martinat Henriette, Id. (2) - Ribet Jean
Louis, Idi. - Pastre Philbert, Rey, Id. Baret Etena, Combavila, Inverso Pinasca
- Tron Michele, Perosa Argentina - Gril
Umberto, New-York - Rochon Marguerite,
Fistia, Inveita Pinasca (2) - Bernard
Jacques, Pomaretto, 1935 - Coucourde Ce-‘
sare Vivian, Inverso Pinasca - Long Henri,
Id., Id. - Castagna Caterina, Ctet^ Id. Giai Micol Ad., Pierosa Argentina - Tron
Giovanni, Id. (5) - Mathieu Giov. Enrico,
Pomaretto (2) - Sene Enrico^ Vi&r Perosa (2) - BaJme Evelina, Perosa Argentina (2) - Tron Emile. Montauban, Tarn
et Garonne - Genre, Bovile - Peyrot Susana, Trossieri, Perrero - Massel François Riclaretto (2) - Giovanna Léger, Vilasecca - Pons Frédéric, Ctes, Rìcteretto (1) - Marguerite Perron, Villase-ca - Francois Peyrot, Ctes, Rfclaretto
- Catherine Ferrier, Julhera. Id. 19'“ Gardiol Bartotem^ Clog, Id, (2) - Vigliehno Pierre, Villasecca - Berthoud Dorette^ G. Verger, Areuse (6) - Luzzi Giovanni, Firenze - Lorenzini Alice. Bobbio
Felice - Malan Guido. Torino - Ribet Matilde Td. (5) . Mathieu Geraldo, Villar
Pellice (5) - Balma Malan Ausonia, Pinerote - Ba.lrne Jean, Mar<^eiFe - Zucchini Vincenzo, Torino. (A suivre).
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6,
5, —
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