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Année llnilième.
Pitix O'ABBONNBITONT I' AR-an
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fJii «*u pluRÍ*‘Uí's nniïji'roN
r»*s, iI«mHn<l*iR nvant ?♦* liTH^e 10
Ammnofta: *¿5 oeulinn-v }>:»| Ijfitj«*.
l,os í'f»i5oís d'arpfint a«* foiil par
letti'e t'.ecotnmuviivif ou- paî
ma7trials sur le Rurèau de ?>■
rosa .
«ur la RI^I>Ai’'TION uitre^seï
ainsi : A la IHrer. ion du TeTnoiu,
Roinurelt«» iTIner loi |falia.
Pour J'ÀDMINISTUATION ai^resKi^rainsi : A l‘Aflminisirati<xn Hii
Tem/u'», Pouiareuo ^l'inerolo}
Italie.
£6HÛ. DES V&LlgÉES VAUOOISES
ii i' Paraissant olisque Vendredi
Vnit* Sn»'.Wrii iinioii^S. Atitus ], 8;
Siifvatit la'térité avec la cAurííí. E'nM'.lB,
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.J 'if'!!;<3(.' > ■■' •; î ' • , i ■ 3
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Se'ttiai-i'Snsiíiíísítps paítowl-iís. — Cor-*
r«póndífirt()í;>tí-.DW Hignnrol Sft r‘r«l
Du devoir de diro' lff
lîifcJé ¡LnViie^, 'ÍIoHíítileii’ ' téH^ieiisext
Eîwmî |HiD'ïi^i»ï!.'--^-><ABnon«e. '
- ÍM ' ir.Ko i J 1 «<i ' O* ' ' I ‘
'TliHetl'
ii'.'rî'iihAt!'' i
íliST^áUfiS
'llili
ï!j nous üesfe arrivé plus d'uno
fois, dans ces treuteciuq dernière.s
années ,I d’entendre parkr -d'une
mantièrédoTt Jpeu enthousiaste de
ces visites! <jüe le Synodo impose
à ¡la Table d’obligation ide faire en
troifS aÉs ,* dan^ chacune des paroi eses vd e I ' no tr e i Egl i se . ! Su i van t
les uns, leg'Msoltatsiqnkllesidonneîit sont hors de proportion- avec
le dérangement qo’elles caosent
aux-membres doirAdmitiistrationi,
aoxipasteurs *ef- aux'ConsistoireB.
D’autres sont allés jusqu’à dire,
q U'el I es ! so n t li n U t il es ■ P U i sq ü 'e l 1 e 3
laissent, d’ordinaire;¡ fie temps
eommeîelles le trouvent, oti que
la délégation I de la Table n-’fest
pas 'P'Îùs »avancée après quîaVanti
quant à la Connaissance 'ded^éut
réel de la paroisse qu’elleia visi-'
tée.! iD’autres..sont même allés plus
loinvtet,ont affirmé que oes visites sont un mal, car elles offrent
aux plus mauvais éléments de la
paroisse, aux ennemis du pasteur,
des anciens V ou du régent paroissi*ly,une occasionnpropiGe .pour
faire du bruit, et quelque fois
pour donner du -scandale.
»C’est un sujet sur lequel nqus
pouvons parler avec quelque connaissance, ayant pris, plus que
personne, »une part active à ces
visitée» et eh ayant fait plus d’une
dans toutes les paroisses de notre
Egîlise’.'Nous en avons vu de très
paisibles, nous en avons vu aussi
de très bruyantes, de celles qui
menaçaient de dégénérer en véritables batailles; les nnes nous cffit
édifié,! »d’autres nous ont humilié,et' affligé , mais jamais il ne
nous est arrivé de penser,ou de
dire, qu’il eût mieux valu ne pas
se présenter dans telle lôqalité,
ou que la visite n’avait eu aucune
utilité ni pour la paroisse même,
ni pour l’administration. — C’est
exactement le contraire que nous
avons toujours pensé. Si cette
institution n'existait pas, il faudrait l’établir. Une Eglise pres’
2
.162^
bytérienne comme la nôtre, , ne
saurait s’en passer sans tomber
bientôt dans le congrégalionalisnie.
Le Synode et les subsides ne suffiraient pas pour la retenir sur la
pente, où elle se laisserait glisser
sans beaucoup de résistance.
11 n’est pas du tout exact de
dire que la délégation de la Table
en sait, quelquefois, aussi peu
après^qu’avagl sa visite, sur fétat
réel d’^e piroisse. 'Pour qni a
des yeux à la tête, une iiitelligencefmayen'be et quelque expé«^
rience des hommes et des choses,
la physionûirtie seule et l’attitudé
d'une assemblée pendant le culte
et pendant ce qui constitue la visite proprement dite, en apprenant parfois plus que le rapport
du Consistoire. Là où manque le
recueniement, on est en droit de
conclure que l'intérêt pour des
choses de l’Eglise.ine sera pas
bien vif. Et lorsque le moment
est venu pour chacun de prendre
une part active à l’examen des
questions soumises à l’assemblée,
le silence est quelquefois plus
expressif que les plus longs discours. Tout ce qui se révèle aux
délégués dq la Table n’est pas
nécessairement toujours consigné
au, procès yerbal, comme il n'y
, est pas toujours parfaitement conforme. r.Ui . ■
Quant à l’occasion qui est offerte
aux mécontents de formuler leurs
plaintes,, ou même leurs accasasations, nous sommes persuadé
qu’elle, est un des meilleurs côtés
de ces visites, et que, loin de la
redouter, les employas de la paroisse devraient la désirer, même
plus fréquente., Saos doute il y
a ;des gens qui ne savent faire
une observation , ou exprimer leur
désapprobation, sans se mettre
en colère et sans se laisser aller
à des excè.s de langue peu- agréaT
blés à ceux à qui ils s’adressent.
Mais, à tout prendre, iptême les
paroles les plus dures, dites, en
face et publiquement, font beaucoup moins de mal que les propos injurieux lancés à tout propos,
que les médisances systématiquement prodiguées à l’adresse du
pasteur ou de.s anciens, sans
qu'ils aiënt l’occasion de se défendre. Pour la première fois,
peut-être, précisément à-l’occasion de la visite, ils se trouvent
en facg leurvd|tracte^s, ou
tinipleiaent des'^iMcontAts ; il
lés entàident formuHir leui||griefs
éî iis «ont mis %n%iel»r# de se
justifier çl’pne manièj;es..solennelle,
.^sllls, iont' mpsitó*»!Accusés. Et
si lies griefS' sont fondés, même
en partie seulement, l’avertissement qu’ils reçoivent ne devrat-il pas être accepté comme ,un
service plâtS3tf’'é|b‘é“f:6rame une
offense, puisque les anciens, aussi
bien que le pasteur, dont I’,office
est sans doute d’exhorter leurs
frères, outeux-nnê.me besoin d’être
stimulés dans ,l’accomplissement
de ce devoir.
11 y a quelques conditions indispensables, iii<^r t;|iiÇ,*les visites
pastorales soient en bénédiction
core, quitte à y revenir, une fois
ou l’autre, si l’occasion s’en présente»' ; ■ auiy;,., -ui.i
La première'.ertî que la pamisse
entière y preúne part.î c’est-à-idir>e.,
qu’après le service djvintrrasserablée, ordinairement |fort*: nom^
breuse,ne se retire pas, e.n laissant
à peu-près seuls lesudélégoésjde
la Table et les.membres dndCon*
sistoire, ,.t cetiégard les paroisses
du Val-Pélisi, y¡ compris ;ceHe> dé
Turin, auraient iquelque. i chose¡ à
apprendre, de celles i des.; deux
autres, vallées.. , , »rîd-i L
II, faut, ensuite ,.queii 'parltiQiUt,
un plus grand nombre de personnes prennent une part'à clive ¡aux
discussions qui ont lieu, et .pour
le faire avec, fruit qu’elles se
.soient mises au courant des jques-
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.„.163-----
tions ecclésiastiques en général,
comme cle ce qui se passe au sein
lie leur, paroisse.
Une ,deruière condition que
noU|S^,tenons à indiquer es,t, que
la sincérité et la loyauté soient
la règle ¡ il lift) quelle tous obéissent, car il .est inalbonnête d’accuseri ien seçret, eti de ne pas
oser soutenir publiquement son
accusation. Par dessus toutes chosesy que les intérêts de la vérité
et la gloire de.’Dieu, l’amour des
âmes.,eti*ia prdspérité de notre
Eglise, soient les seuls mobiles
auxquéïs'obéissent et ceux qui
présiden'tl''ît la visite et chaéun
de ceux qui y prennent part.
K!'
ifforiri0poiibance
!n
IH infli IH8?.
•:ui Mmychm^Monsieut',
' 'iyièrrie,sij'e 'n’avais pas reçu votre
mvjt3ti,pp je vous aurais écrit aujourd’hui ; maïs quàrii’ au reproche, que
vçu^, ayez,,cru, pouvoir me . faire je ne
pensé’ pas, l’dvoir mérité, Avez-vqus
publié qü,é je ne me repose pas aussi
spiiveijt que je je voudrais, et que si
je tnanvais temps me ren.çpntre à la
caKlj^ne, il né m‘esl pas toujours
péwmpde lé fuir en me retirant au
■chSiTivél’'an sec? Notre beau mois de
fhfii ne fa pas été du tout jusqu’ici,
f, la. neige, n’est pas descendue
jé^i’âilinott * villtf^,* je'ipni ..^fue ^plu9%Ws fois à une petite distance, et
j’JlI’^IM senti le voisinage plus que je
Wll&Aais voùlu. Enfin j’ai été indisposi^pendanl ’bien des jours , et
çoinpie il me faut toujours un certain
éijrpr.t ippur me riiellre à écrire, lorsque je,me porte IrèE-Jiien,^ ne vous
étonnez pas si je. ne l’ai pas fait, ces
lmps„pas?és.,,;„.) ,
,.,,4e ne vous parlerai pas de la cam’
pégn^ études espérances,,qu’elle nous
per,me|. de nourrir. An commeiicemenl
djas(ril, npus. étions en avance de. deux
bonnés. semipnies q aojqtV’d’Ii'*' r 0 ne
semble pas, qu’ici du moins, la végétation soit plus avancée qu’elle ne
l’était l’année dernière à celte même
date. C’est le temps que nous aurons
dans les trois ou quatre semaines
prochaines, qui décidera, en très
grande partie, de la plupart de nos
récoltes—et c’est un objet, dont j’ai
le bonheur de ne plus .m’inquiéter,
sachant que Celui qui ïiiit mourir et
qui fait vivre, est .aussi Celui qui fait
lever son soleil et qui envoie jes
pluies de la première et de la dernière
saison., . . ’ ■ , , ,,
Ce n’est pas non plus de politique
que je veux parler; je fai,fait une
fois, et je n’y l’eloiiriiei iii pas de silôl. ’ . ' ,
Imaginez-vous que, à propos du
traité de commerce que la France a
imposé à f Italie, un monsieni;, égoïste
et gourmand, manifestait un jour
devant un aiTii qui me f a,,rapporté,
sa grande .sàlisfactién de céque; selon
tpiilcs les apparences la viande de
veau continueraiL à se vendre 10
centimes tiieilleiu’ marché, et que
quelques unes de ces lielles,hèles que
l’on nourrissait pour la France pourront même être relen.qes.ijçi ,po'ur lui
et ses pareils. Voilé un, hornmei qui
mérilC'qu’oiii fasse de lui un dépiilé!
Pour mon compte, je n’en voudrais
pas pour conseille,!' coan.munal , dans
ma Commune ; et c’est précisément
sur ce sujet que je veux vous exppser
quelques idées qqe je n’ai p.as encore
eu le temps de, iinirir, mais qui me
paraissent dignes de faUeniion de
tout homme qui vent le progrès dans
le bien. ^ !. y
Le temps était très mauvajsél mon
ami François, ne m’ayant pas aperçu
de la,journée, était venu d,eniander
de mes nouvelles. Daris nno jo.ngue
causerie, au coin de mon feu, nous
avons examiné de tous,.ses côtés et
aussi bien que nous .avoué su le faire,
la question, de fadmini.stration.commiinale et de la nomination de ceux
qui la composent, Nous: avons, l’un
et l’autre, a.ssez de relations d’affaires,
de parenté ou d’amitié avec d’aiilres
Communes, mèiii,e a.ssez éloignées de
la nôtre, pour ne rien ignorer de ce
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....164
qui s’y passe d’importani. Nous connàissdhfe même un lion nombre de
céini qdi Obi l’iionnëur d’être mettlbi'ès des conseils cOmnlunnux; et c’èSl'
en réunissant beauebup de faits, siii'
lesquels nous sorhiTies pnrfailemënt;
informés, qu'c'nous sommes arrivés,
poùê ïiotre compte personnel , aux
rèsblÜfions ci-après. Avabt de les énumérér; je dois dire que j’ai été condüît par les raisonnements'dé trioù
îirtti WaucoUp' plus loin que je ne
l’aiirais érU possible', sans q'iie polir
cela j’aie la moindre idée de reculer
ail niblilbiit dé l’éprèüvC.
Voici donc ce que deux électeurs
cbmniunaux vaiidois ont décidé, ?i
l’égard de l’exercice de leur droit
■ électoral:
I. de'né jartiais donner leur vole:
a)* A Un homme adonné au^ vin;
bJ 'K Un avare, ou uil usurier ;
c) A un diSsipiatcur de sOii- pro
j)ré bien ;
A un riche, fier de ses ri'ehes'sés , qU’il garde pour lui , pensant
d’aille'ür? qu’efles tiennent lieu dé
tout, surtout de piété.
ëj A Un homme sans religion ,
car celui qui né craint pas Dieu né
reculera devant aucune vilaine action,
qu’il! croira lui être profitable.
f) k un homme pauvre, parce
qu’il né pèUf ’p’às être* indépendant.
0 'A Un ignorant parce qu’il serti
le jduél d’un plus habile.
h) A nn chicaneur et ami des
procès parce qu’il pourrait êlre lènté
d’en faire payer les frais à la |GprtimuAe. ’ ''' [
II. Si dans notre Commune fl né së
ti‘ôT.'ivèi' pàs quinze hdmmeS exempts
dés rites que nous avons éUumérés,
de né.Vôler que pour ceux qui s’y
r'èhéonii’éraiefn, car c’est; Une chose
immorale de cdncoiii ir A une élection qU’on désapprouve.
Vous aurez rémarqué que l’ivrognerie est placée en tête dé noire
liste, et je puis vous dire que e’ést,
AdU' pas iui hasard que nous i’Uvons
fait, irfais de désseîn prémédité, et
après a'voîr fait'ensemole une reviié
peu édifiante, ll nous est arrivé à*
toU's les deux, plus d’une fois, d'é
rencontrer des eonscillers et même
dés syridics, dans iitr étal dont iis auraioni dû avoir honte, ei' cbmhti'e nous
en aviéhS été scandalisés, non S ri’aydtls pifs hésité lotiglemps A dorttlèr
à eüx et A leUré pareils la‘ placé
d’honneur, nous soUVertant'qUé hôintiie
de iiin est, homme dé Heh. '
Gomme vouS poifvëz te etipprisefr;
après avoir pris l’un vis^é'-vis: d<e
l’atHre, 'et je veux ajoüler anssi, en
la’ présente-du-Seigneur, les pésol«;liohs qui précèdent, bouslaVonsîété
curieux, de faire l’invenllaire, aussi
exact que possible, dé notre forlliiie
électorale, et j’ai le regret de devok'
dire que nous l’avons irouiyéei extrêmement mince. — Les quinze y seraient pburtanl, mais saiira-l-on les
choisir? C’est ce qui est très douteux; il y a trop de gensjndiffi|rents,
qui né savent qnfe et crier
très-fort, lorsque les affaires ne vont
pas. Il y a, malheureiisernenl au.ssi,
trop de gens intéressés à ce qu’elles
n’aillenl pas bien, notid nous
sommes promis de fiu're un pcu^de
prdjjagande ët noiiS' be yoifimfi.s’'pas
sans éspoii de réussît' aii ’Aibitís!'ép
partie. ' ’ '
Je souhaite qu’dn eq .fasSA autáUÍ
ailiéurs dans ndS ciiëVèé tàl|léqs>'i ~‘S’il y à qUél’qU'e' chosë’-d'd; jlV-ëp'diéS
ma fetfre,, refrahéhéls-lé; ë;iî..y ffi^liquë quelque chdSe ajëliiéz-ré, SiiiHoiil
corrigez sUfiS crainte ydtréilré'¿já|^Ué
toe Pig itertil à P rai mt 4H'
■M:
el ¡iiijt, ¡
- vílr. .j
Phriant de'á'Cítis ridtlS éAnidoííIrqhs
le'village d'es TroiiSsí'érs|‘’oi1 yéitéclilve
un temple 'ctíiholiquc. ’A'd'rdîtè’i- sité
u rt vé rs a ht ! fd r t ra pi d d ' áé l ru'tí VêÀÏ
le communautés de Bouvi! ét de SAíili
MartSút A gáuche detlé dé'Fait fort
abi-'üpte'.'Nóus vdi'cî dn fàiïe’
arête de rochéis qui sèAiftlé Î’di'iiiér
la vallée. C’est là qùè' se tr’AuVàit'lè'
cliAteaii dû déihtill par
5
-íes
français vers l5Ì0, puis lelôyé én
1560 par les Triichel qui obtinrent
d'y maintenir < ^erpéuieÎle paitlison ». Ils auraient Jiiême vôùlii qùe
les habitants dé lü Vallée fisséht « les
cheiniris tant larges (ine lés élievaux
pussent aller partoyj ; mais ils ne
purent l'obtenir.. ,
On peut imagj'riérjeé vexation? que
la garpison fil sotilîiar aux Vatidois.
A b^Qùt doi paiiencé, ils l és'ôbiiènt,
en 156Ï, dé s’empaier dü cliâteau
avéc , le secours dé leütà' frères du
Val Cîusbn. lis en seraient venus à
bout si le cortité dé la-Trinitë n’éSvail secouru féé assiégés aVèc uiie
parliè dé son a'riiVéè. On bit* obligé
de Icvér le ?ilège pôu'r défendre lés
conimünaniés , situées bu dessus dli
cÎidteaUi Malgré sès efTôrts , bi cénile
n’y put pénétrer et s’én retourna ad
val Luserne pour essayer encoi'C une
ibis de s’éfnparer du Pré-du-Tour.
Gilles nous a raconté tout au long
lies exploits de ce perfide général ;
bestialità riformata.
Derrière . la colljne,, presque au
bord dé la Gernuitliisqûe, sé4i'ôüve
le village du'lPérier qui a été. longtertips un nid débaôineVîéi'Gillcs nous
raconte quet'qiiés dlsputéS'snrvenués
entré les capiiéltts et lés ministres:,
— et si les mbibés s’étaiëht éontentéS
de disputbr, Ì6 rtlàl' n’alil ait paS été
grand. Mélheurèrtseriiéill iiS 'bnl émbloyé iSbavenl d’antiés’ ar|^umenis
iàisaql, par eiemple, (emprisonner
fiar le maj^Îstral «' éeux qui be ' sè
toüfôyehl Sobsmétl're à' faire à leur
appétit ». AüjôiiVd'hui, cpüvént ' él
moiiiès ont disparu et sur les voûtés
sbiitèi'ralbes du éouvèU't s’élève' lè
lénfiplé'vand'ois. '
Nôh loin du Périer, ‘bV Vallée sé
bifurque. A droite, dans la diieclion
du nord-ovôst, s’olivre le vallon qui
eh s'élargissant à sesèitttérailès, forme
lés déutt éominUnautés dè SttUp et dé
I^assbl. Gilles lie les mentionné prés*qtie pasf mais lés guéries dé 1689
ét de 1690, — surioiil la défense dé
la Iliilsiltè, — otit dontié lì' la dér
nière de ces localités, une grande
célébriié. Nous Suivons l’émbianchemeilf principal dé la vallée, Le pays
dévient gradüéltémen'Ç pi Us sauvage
et lé ,i'ouie ni'ohlè en suiVàbt' d’èsseiî
près lé cours de féati'. Npus (forinubs
en passant un coup , d'céil au béUu
village des Pbiitainés ainsi quîii' cellii
de la Gîti'dipib, A notre gadéhé, â
mi-côté, noiis avons pü apérbéÿoir le
Crouzel. Voici bíéUtÓt se détaéhe'é'la
route qui conduit àU vaî'l'èri dé Jïodorei ; encore une demi-heure de
marches, a travers les mélèzes, et
nous àél'ivOns au'd.iirV(n^-i d#ilnotre
course. La vallée s’élargit un peu ,
le? villages do Pral nous apparaissent
nii à Un ei là-biiut ;i rextí émlijé du
vallon Se li'oUVe le Çoi
C’est dé IA qU’en 1488, Iqs, pralins
vilènl dôscéhdrè ùïie Irbupé ’aé; 700
liobimés énvoyè's par Gatianée bobr
les Sltrpl'éiidrè, iln fèS atle'iiÜit a la
boárgadé des Pornmiel-s où ilS’fúí'éht
tdüs tués sauf'oh pô'rté-enseigoe’dUi
parviiil A se sauyéi' lé l’ô‘nb*a’dn Torrent ét à sé caciiei
sons la (
dé ' fieige durcie qui |è répouVraîf.
LbrsqÜè le froid'bt fh' ‘fai th îé ’jÇréttl
s“6rUi‘, il ‘bbUht d'àvbir' lii'
G'éSI à PrAi'"qi!r’ént ifeii qè‘1,5‘a0ûl
1583, 1é Sy'nO'de bjV, fiiibht conflf mêes
lès résoliitions prisés l'année prêcédènlé,' pal' le Synodé dé Chantorans.
Pr.kh tGlUeS récrit ainsi).',-- ‘était
lin M. Mcirtfn , français d'b'rigi'DeV qüi
pat' éîccèé de bonté, se làiSsia “fniséféblertiént as'sa'ssinér pér deux 'théifres,
sès. épmp'aiVibtes i qüi feighipetit ‘tiè
Vouloir enibrasseH la réfo’rmej.. 1|' l’efe
reçut él lés Ib^ék'cher 1ifl', ‘'in!ll^
TaVis COhtl'airê 'dês bflHfcipabi |de Son
église. * Ün’matin lésfvbistns'èslads
iillés fiii lem'pie pohr léé prièréé ‘àccbiislüméôs, le patféUr he éomparéissatii pqin!, ils montèrent én sa,biaisbn
dçsShs le lernplè cl trouvérént Îèbf
b'ôn pasteur fluqUérîls'HvoVéht coiipë
la qoi'ge s — après f’aVoir .voIéC"'
’”1*ral' a éu un dutre'pés(énr miiétyi*:
béydét, dont le tto'm iious h“ét*é Ira'nsmis' par Arnaud , lé pastéiir-co'lbhel,
6
......................-................Ififî
(|ui,, lui, euL le pi'ivilège de prêcher
aux Vaudois retournés de l’exil précisément sur la porte du temple de
PraJ, « Ne çra;i,ns point, leur dit-il,
petit IrpupéauL’année suivante,
(169QL,tl tl^versaiit la colline dé Galmoa et le bois de Serrcletni avec les
réchappes de la,BaJsiIle, Ihyant la
ràgei dé' Feiiquièrés. Il semblait que
le petit ti-pupéau allait êtie dévoré,
ma,is^;Pieu y avpit pourvu et il subsiste
éiip6t;e/au|ourd’hui. . , , .
O- :
f !- 'M
Da (ietfair ide lire lu Biltle
,'i Comnrcnl le devoir be lire la bible
est-il pratiqué au sein de nos paroisses ? Voila.une question Ibrl einbài'assanie à.ia quelle nous ci’aignoriS'
dé né ppiivoir répondre àiioire coniijsfaclion. - Que ,ii,isenl à cet
rappoiaá,ije3\íi:on^ísi9^l‘ee
dé'rn i çr, $yno^e, fén, ,cp nslpte qp e
édité de 'l,amillé,',n’est pas, très
d .1
Bjiblé, est, Iqp djins.pfi.bpn^ nqtnbre
de^.L<j(^iùiJÎeS;,, irippi qpe le culte do;
ntèiijp.' ppqs la forme la plus
.éléhieptii(rç,,:i| buaucpiip , de peine à
s’étàbm; ,[^pn^ ci-alg;ii,ons. fori qu’en
eïTêl, 7a’ Biblç iséit bren peu lue là où
le,içuile donaastiqnej ’a b®'\ùcbup de
péihé A Ü” ti'oisiëme ,rap¡
ppi'l, éffii;nie quNl, n’e^t pas jacilé de
dp’éJé hçriibvp .de ^milles py |c culte
4omeslique^ jç?t |it'Miqué d’viiie., ri|a^riére i:éfulîi^re, .,(|ué la $ib,lp esî ïué
dái|s[||á pui'9issé par,™ boy nombre
de,,,faniilles,,imuts q,u’ii est à craindre
qu’ejie ne )é sqîi ni asse? régulièieraent. Dbuiiras rapport? iiious diraient
probu|déñri.éíiIxlçpj mêmes cHosès,,.. et
tçqs,,. no,us. a m èner.!« eni à,, ppnslàler
qne,la ](ïible h'efl pas lue' parmi noirs
comme elle devrai.l etp.oui;i;;tit,l’être.
J) n’y^.a pas lieii de, s’éio.niiér dés
,10 rs ; ,4" é la, V te rel î g i e li sé, n e so i t p I u s
c^hèiz iplusiêurs ce qu’ellé' éiail autre
Ipis. CeÎuj/qiii u’aiifle, pa^s,. la, .pible,
idiVirne pas non plus. Dieu qui l’a
pas n.on plus, ineu qui l'a
do,ij)ii,é,e, „La ,Ribie ,est un livre saint
qtp. réijyiérl la sainteté ()e|Celni qid
b ’iii,, èi lin cœur piir'qu'i puisse
conternpler le Seigneur. Et d’un autre
côté,si quelqu’un aime Dieu, il aimera sa Parole él en lera un usage
quotidien, ’ , , , , ’
Disqns-nous binri (iùé .?i poire âme
n’çsl ,pas nourrie cba'qu.e jour par la
Parolé vivifianie^ .elle sera faible^ et
s 11 cco m b c l'à da hs la ; lu l l,c, ' co n I rç ' I e
péché, cl lera naidVage’quant à la
mKjSj, noiis voulpn's pouvoir aflVonier
l’éniicmi avec espoir .de l6 vîiinci'e ét
marcher .avec Dmii liumblèméhî
heiireusepient,, sO|idQns les Eci'iiures
chaque jour, de nôU'é é;Îé.. N’oublions
pas que « toute r^riluiô est divinement ¡hspireé,,,.el utile pour enseigner, pour pényairic.ré, pour corrigci'
et ppui'in,.?! ru ire .selon la jus(içe,
ajljn qiiç,'|’l),omihe de Dieu,, soit, .àcçoiTipli cl paifailément ¡n^inul pôur
toute lionne,'oeuvre ».’,(2, tih.‘ ni,
, , (A suivre). .
1
T .-i.
------i ■■T7""n*”î'*
11!'! (
, Italie. — La piiis sacrée des Îibeilé?, celle de,,,cop,s(;i,epcei, ..vient encore dqij'emparœTj Une, yiptoire i,,que
nous... spmmviS,. heiirepyi ne cprisigneij dans Iqs ,.ç6]pnn,es,,.,uii 'Temom.
Djinapçhc :,dst’uiei' nipiji;aii,) a t',"'na
(n)bviucé, dé, ,Snia'l)i (lan.ie ^uricWisei.d’Pt>^iné,é7P,ai& maçiééf k tin
ilalieii, établi dansp.étte,localité. Quant
iUlliCJI,
il„lht .qjupsliori ! déj Pense,yelissemenL,
je curé,,é.elou, rhabitu(je dé, la pluparl
de,! ses ,'parèijs, .déclara,,qu’à aucun
piivi(,,lié, consentirait à l’ensevpjissemcnl. dans le ,cln)çlièr,e ,commwn
d’unç-personne qui ai^pil vécu ,et était
morte en hérétique, et charitablement
oITril, à cet efîel, an mari éploré ,
qui, avilit cp'i devoir s’adrps.«er,.à Jtii,
Suse , Ira n s tp ise pai' ce ¡dernier au
.Syndic de Trana , fil comprendre à
7
~l'î7
cél(ii-c¡ cc qij’il n’ayiiil pas voulu
ooïKiprentlre jüsqu’itlors, — malgré lés
i'úpréstmlafións de M. l’Evangéliste
G. A. Trou qui .s’élail rendiGà trana
poui' l’ensevelissément, - ' qiie le ciiTieliéi’d éiaii. propriété de la '.Commune et non de GEgiisé, et que son
supérieur liiérirrchiquev' aux ordt'es
duquel , comme syndié; il devait se
conformer, ti’étaiii pas le curé! de la
paroisse. Lu sép'iilttlre put en conséquence .s’effectuer de la manière la
plus convenable, et .M. Trop à l’éner-’
gic en même lempsqu’à la prudence
duquel nou.s sommes en grande parlie
redevables de ce résu liai urne
occasion fpès-lavorable et dont'il su,t
lU'ofiter de laire â ^qqetqué^
personnes Accpurpes dah's',|e c^Piélièré
cl lùqt
à fail, eç qu’cst\t’Evaiig|Jc 'pi"pÇj;qu,e
sopp;^cçpx ¡qqi J.e prpfcssenl;^ bien uifférenis dp ce que probaljléménl ils
avaient enlendu dire -.jusqH^alors. A
Dieu la gloire, et, de notre part l’acliOjB d&iigracies j.pour cet» évènement
qui, a une importance'beaucoup plus
grande qu’iLiiè pourrait le sembler
aqqpi'o¡n,ipí:; abord,L;> ¡;... • ; , , i»
Francb, « Le fS^rui'in ¡du iÎ liiai».
dit le CÁríA%ít»swej^a,rndnlr ppp
Ibi4 dejplus que l’Eglise .Péformée de
Paris ¡est deineurée fcrmernenl alUicbée aux principes évangéliques; «,, En
effet, tandis que lamajo.rilé des libéiraux sur les évangéliques dans la seule
paroisse oè ils aient obtetiu ltt vièlaire
alélé de'^ivoix seuletnént’ poW' celuides 6 candidaisb qu’i en'á obtemi le
moins, et de 41 pour celui qui en a
obtenu le plus, la majorité des évaiigéliques sur Îesr liberaux, dans les
sept autres jpïirôisses Véunies a été
de 640 , et cela « malgré l’intervention de'"Ctrtq pastouns (étrangers à
Parisi qui ont quitté leur poste pour
venir lUiéraliser » les profesiani.s de
la capitale Comment. ne|. pa.s se réjouir et ne pas bénir Lieu pour iinè
si belle victoire,’el ne pas lui‘demander avec un redoublé'inènt d’aldeur,
en faveur de ceux qui l’ont l emporlée, abondance de son Esprit ; pour
qu’il leur indique Lui-même les
moyens A employer, pour feiidreéetlc
victoire aussi profitable que possible
à la cause de la vérité, telle qu’elle
est en Jésus Christ.
Angleterre. - Le vendredi, 5 mai,
a, eu Ijéu , à Londres , ün service
d’adieux, à l’occasion du départ de
20 missionnaires évangéliques. 'J)ix
sont destinés à Madagascar i les dix
autres au centre de rAfriqtlè Parmi
ces, derniers est le capitaine Hfai'c,
qhl doit commander le vaisseau missionnaire sur le lac de Tabpiig'inka.
— La liste des ' assemblées religieuses qui doivent' se 'tenir pendant
le inèiS de mai à Londres,' ne compte
pas‘moins de 250 réunions;’A lui
seul, lord SliasÎlcsbiii'y,’ doit cii présider une cinquantaine, et il est âgé
de 81 ans!'
Palestine. — La colonisation de
la Palestine par les juifs fail de re
suite des traitements' indigne.s dont
ils sont l’objet en Allemagne èl surtout en Ruslsie. On parlé ^An?wnrer,
de faniiltes juives qui sèrdiénl'pti’ëres
à s’itis'fiiifei’.'dans la ¡Ipàléstiiiè, pour
Y fàîÀé. dé Î’agrîétiltuée ét'Uibntcr ijés
I e l,aλi i eÜTS ’ i dilu .Ytci cls
^ dé' téprhinVaiîrâièfiÎ' Éé ‘ÀëquiiîVeni'rie
laiftÇ,et 'Îèfnsàiénf, pour 'établir,'‘les
n'ouvc!»nN colons..
.'iSn'K'p. ■>
D’autre part; l'église EvahgcCique él lés institutions qùi’s’y ratiaclienl font, dans ce pays, des progLés
vra'imèniM’éjôuîssànts. ‘Sés clùipéllcs
sq'nt ,'*cbaiqne dimàAche, ■fréqueiilécs
p’a'F uiT'nombre d'e’ pers^énnés ailant
' dé ‘5' 6;0OO, dotrl ■L33S' sénf cpmnivihiants.'IjariV sd^'268 é’Célé!sl'’12.9S6
enfarits ibuisséni ; dés bieniaiis de
PînstiOi.diion.A7''énté' ■ dëè'' ‘ bospiécà
d’orphcling de'6'obat’ét:CélUi dp S^ric,
il y à’ Phôpitér des'': diaconesse? de
KaiseKsivyBrlh, magnifinvié îtistilulion
poiivanl’cbntenir wO'nialadé.Sj;' TalilaKumi, maison qirr pçut hébéi-ger 460
jeunes filles, ‘i’asrle de^ lèpi'énx çoli-‘
tenant' 20 malades, et Iq Cnarienstifl,
maison spécialement desl|ppc aiiîi
onTan'lc mhlarlckc i
cbi'éliens ’ des
enfan'is malades.
AMÉnfQUE.
AMÉni'quE. ‘ — Leé’ cbi'èliens • des
Etats-Unis onr sérieusertient’ pris à
cœur l’évangélisation'‘du Méxiqué. —
8
Veici quelques qtiiflfr.es qui . luo^ili eronl les progrès réalisés daiis ces
cinq dernières années;
, . I tSii ;st7 E,i js-’î
Conuminaqlés pi’oleslaïUes Í35 ¡ 930
Eglises epnstruües. ... .', 37
Salles de çplie. . ... 79 199
Ecoles,quotidiennies, . . 28 79
Iraprimevie.s ■> . , 6 12
Journaux religieux ... 6 11
Agents ernplbyfe. . . . 122 2liO
Sur les 2^,agents , 51 sont des ipissionnàires étrangers et 209 sont indigènes. Le nombre des metiibi'es des
Eglises, s’élèvcjà 10-764 et le no.mbrc
apiiroximatir des adliéreqis è 19.000.
Il y a 103 écoles du diinanche avec
3.t)85 élèves,
(Eglise ^ibre)..
UC
de.U;X Chambres .après!
* lisi? Pi, 6d,
(ra,Jté dai .epmioafripe fraaco-d^ubnj se
sdpt OGct'ipécs de Ibis d’irnpórtance
secop4§Ì!fii il y A un» inlerrpgatjpjj, ¡smv i;,é|at des, é.boses en Egyfitè;
inqis ^àpéini n’y a pas réppndu.pA}!
prudence diplomatique. Ce ministre
a eu que eqtreivpe avec un lipmrhe
d’Elàt allemand,/snr les questions d»
moment. ‘ ''
É’intérêl ppinèlpal a élé.| perlé, ces
derniers jours,! vers les Aipps; qui sé
Keni IqtiUie.de la Sujs.se, Oti a fêlé
ücerne èl ailleurs , l’Ippugiiration
^ (¡’ouverture, dd iHRnel, du St (Jpinprd, oeuyre cb.IpssÀ'|e,'.jdgnl CftV^ur
a eu là, premiere idée,,en J’appliqiiaRt
ap Imcmqnier. que i Seltq, a,,défen(Ìi'e
devant teSiCìOaifìbres, cpiproéii’in'n'strp
deaiJdnaiiçeSimnns up dq^l mmistères
dont il a f^il jparti^, pi dont Baccarini,
Berli , Peprplis |■«èueÎJllen^ les ,ho,n;
neurs àù;,ppm de
Ce tunhél; ,fpei en ; eopintmiicaUan
pips djrpcle,|rita|ie ayeç la «i^sse'ç.l
avec l’Allemagnè Des jreprésentants
des IrmS iElat? on,lipris part au.i jLêtes
§t itps bàp,queLs qui opl , eij 'lieu à
celle (Îcca^on.'De nombreujt discours.
ont été prononcés, et l’on cite, d®
riplre cô(é celui de Baccarini beaucoup trop ¡long et celui de Tecchio
président du Sénat. Pendant que Baccnrini parlait, une allercalion bien rcgrettanle a eu lieu entre déux italiens,
M, Sala et Correnti de Milan.
Espérons que les Milanais, qui ont
eu ensniîle l’nonneur de recevoir les
personnes qui ont pris part à la fête,
auront réussi par leur entrain à donner
plus do chaleur aux discours pl|à
effacer l’impiicssion ppu Lavorable que
ron .’semble .avoir, emportée ¡de Lucerne.
— En'tuile d’uri'Vole sur
Léon Say , nfiinif t> P des .nnances, ce
dernier a doniip sa démission et è
persisté ppiir qu’elle Soit mccepj,^^'.
Jtmvlieifvtfrr. — Le vice^roi d'Irlande a promis une récompense de
250000 ‘ Ira nos à |a personne qui
mettrait laipdlieeisur-dBs traces des
meilrtiers deiCavendisb et dp {^irke.
On a fait déjà quelques arreslalipnsde ■peràohnes siispeeiiis, mats il;''ppr
rail que les vrais èptrpables ri’o'nt
encore été décoiivérls. 'J ]l ést-^quéè^;''
tipri de la démission fJe'd’àgitafçbr
Parnell èôtmme’mcinbredè' là Chanfibl'c
dey'Communes. - .i:;- ,
I.. • ' ■,,!■- lii.v ■ Yi:t.
i ÿilIfMi wflf««'' --rn Bis ma rk i OOn tinu q
àMSouifrir (de ifoiiio,« •néyiàlg3««,ifOn: d«
douleurs rbumaltsmaleShi V ¡y i - i.
.»■.■..J-' 'iir.e
(il.
AVIS
' ■ .J'j ,1'' ■ ’-r
: ,,i’.. ,-j
Une dame angliàsie,i éiablie-ien iBa,vière, cherohehme ilxoivne fepinteide
chambre (proieslante J'air {ièèsùs* dp
24 ans) sâçhaql biiiii; èoudrel ,}^ill,c|*,
repasser,,.etp. , S’,àdresser..à' Jiq,(,anlaret.Pasteur,.P,Qmatfeli <>;i ,■ ■
liBaSSi iju S-KRJ fl.4.d,m¡r
t-—-—7~T~—r-^---———Í----------------—
IHgitorol, trop. .Çliiaùi.pre ,H itascareip.