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PARAISSAjKCr CHAQÜE VENDREDI
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Que toutee les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..., , dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV,, 8).
JOcf Zable nous a confié la rédaction de l*£cho. ficus acceptons la tâche dans la confiance que lecteurs et collaborateurs
demeureront fideles et que ces derniers surtout augmenteront de
nombre et de... fidélité. y7ux uns et aux autres notre cordiale
salutation.
Coût ce qui concerne la rédaction du journal doit nous parvenir à _^obbio pellice (^orinof pas plus tard ^que le mardi à
midi. Ce que nous recevrons après cette date ne paraîtra que la
semaine suivante.
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Echo Biblique
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Dernièrement je me suis trouvé à l^enterrement d’un membre d’une familie
chrétienne.
Rien d’extraordinaire, me dira-t-on, un
cas semblable, malheureusement, arrive
tous les jours. Doucement, qu’il me soit
permis de vous faire observer que des familles chrétiennes dans le vrai sens du
mot, il n'y en a guère : par conséquent,
ces cas-là sont assez r^res.
. Mais je ne veux pas .analyser, ici, J’énoriOi& différence gHi, ,existe^^.^^ .
vivant et le soi->disahi chrétien d’étiquette.
Quelques amis fidèles et sincères
croyants ; quelques voisins catholiques :
très peu de monde. Un soleil' ardent embrasait le petit jardin où la bière gisait
sous les fleurs. Quelle circonstance solennelle et impressionnante ! Toutefois une
consolante atmosphère de paisiblè espérance y régnait. Pas de pleurs, de scènes
poignantes, mais une douce tristesse, une
copllante résignation émanait du visage
de ceux qui étaient frappés par ce deuil.
Le pasteur nous lut les promesses de . la
vie éternelle. Comme elles étaient précieuses pour nous tous !
Au cimetière, devant là fosse béante
qui allait engloutir la dépouille mortelle
d'un père bien-aimé, l'es derniers mots de
certitude et d’exhortation furent prononcés.
Alors dans ce terrain sacré, devant tant
de tombeaux qui nous rappelaient que
« toute chair est comme Therbe et tout
son éclat comme la fleur des champs », un
cri d'aJàrme fut jeté, cri clair et dur comme un son de trompette, qui disait : Oui,
les promesses de la vie éternell'e sont véritables et certaines, mais sont-elés pour
nous tous ? Ne nous faisons pas d'illusions, car « si un homme ne naît de nouveau, si un homme ne naît d'eau et d’esprit, il ne peut entrer dans lé royaume
de Dieu ».
Oli ! je voudrais répéter ce cri d’alarme à la multitude insouciante qui court
vers la mort sans réaliser jamais son état
spirituel, aa position vis^é-)vis de Dieu,
son droit de s’approprier les promesses divines que le Seigneur a faites mue Siens.
Depuis cet instant cette pensée me
tourmente, je voudrais arrêter chaque
passant et lui demander si lé Christ a
transformé son cœur ; lui demander s’ü
«d a bu lie sang et mangé ïa chair du
Christ» (Jean VI, 53-58), pour vivre en
Lui et selon Lui, veillant toujours, prêt
à répondre au grand appel.
Oh ! clair et dur son de la trompette
qui jettes TaHarme r puisses-tu de ces cotonnes réveiller ceux qui dorment dahs
une funeste et fausse sécurité! Prenons
garde: «Si un homme ne naît de nouv^u, il ne pourra pas voirie royaume des
cieux». A. C.
BB
sM,t!iiu.aP.iiiwiWifc.iw!i
Donnée; du peu que voue cives à oe<m
qui ont encore moins. LAocmpAmE,
Points de vue.
J’ai rencontré, un de ces derniers jours,
mon vieil ami, X, et nous avons causé de
tout un peu : il y avait si longtemps qu’on
ne se voyait plus! Tous les sujets ont
défilé et, tout à coup, mon brave X a eu
une 'sortie qui m’a écrasé. «'Tü ¡sai^...
cette question est certes très importante,
mais, vois-tu, j’ai appris,à regarder lés
choses d un point de vue plus élevé : je
me sens tout à fait supérieur à ces vétilles ; mon idéal c’est Goethe : Tindiffércncc à ■ Tégarth "Ae- q‘«ôreHe- hu
maine : la sérénité d’une vie que Ton
slest formée dans un monde idéal, unmonde « livresqtie » par excéllénce : sans
haine et sans, passions... ». Et je crois que
X a continué encore pendant longtemps
à accumuler ses aphorismes.
Pour moi, je me suis perdu dans la recherche de ce point de vue plus élevé d'où
Ton pourrait contempler les faits et gestes des hommes, sans haine et sans passions. Et tout d’abord, fhomme qui ne
sait pas haïr, sait-il véritablement aimer ?
L’homme, qui ne sent pas tout son être
frémir quand l’injustice et le mensonge
se parent des draperies de la piété,
est-il capablé de sympathiser, c’est-à-dire
de souffrir avec celui qui stouffre ?
Un point de vue plus élevé, dans nos
discussions, dans notre manière de jugei"
les événements : c’est un désir universel,
pourrait-on dire, mais je crains fort que
ce ne soit qu’un vain désir, qu’une formule dictée par la bienséance et qui devrait servir à cacher une indifférence
fondamentale à Tégard de tout problème
sérieux, et, d’une façon toute spéciale,
spirituel. C’est-à-dire que trop de monde
fait plus ou moins cé raisonnement : « Le
mal règne danjsi tl’univers et n’épargne
rien : ni les individus, ni lies institutions :
il faudrait le dénoncer, le combattre. Mais
en faisant ainsi nous augmentons le mal,
car nous scandalisons peat-êfre des personnes qui ne le soupçonnaient pas ; sans
compter que dans des itit/ties de ce genre
on finit toujours par ?e laisser guider par
i|a passion hmnaine de se substituer à
Dieu : nous devenors trop facilement des
justiciers, plus rigoristes que Ites anciens
Lévites. Profondsment pécheurs nous
mêmes, nous proClaTjions la toi d’une façon plus intrarusige^te ©t plus pharisaïque que l;ea Îwmî^ du Deutiéronome,
alors qu'une seule latitude nous convient :
le sourire dôucenent sceptique d’un
M. Bergeret. Pourvoi 'tant de bruit, alors
que uous ne valcps pas mieux que les
autres ? ».
Pourquoi ?
’’Précisément parce que nous ne vatons
pas mieux que lés autres ; parce que nous
sentons la solidarité du péché qui nous
unit avec notre prochain. Nous ne dénonçons pas le péché de notre voisin, et nous
ne condamnons pas notre semblable : nous
nous condamnons nous et nos vices. Or,
ce fameux point de vue supérieur dont
parlent tant de braves X dans ce monde,
est un des leurres les plus dangereux de
notre vie rdligieuse, car il signifierait la
possibilité, pour une créature mortelle de
s’élever au-dessus des limites mortelles ;
de æ délivrer des liens du péché, grâce
à des facultés morales que l’homme pourrait développer en l'es poussant jusqu’à
la perfection-: peut-être sur cette terre
même.
Pourquoi ?
Précisément parce que ni la haine ni les
passions ne nous inspirent : parce que
nous sentons dans notre vie la réalité de
«
Tamour de Dieu. Non pas de ce « bon
Dieu » qu’un empereur invoquait pour
lui commander la victoire de ses armées ;
ni même de ce « bon Dieu », fait, trop
souvent, à Fimage d’un homme, avec qui
Ton peut discuter, et auquel le brave Vaudois peut refuser son offrande, parce que,
avant, il y a les impôts à payer, des notés à solder, etc. ! Non ; mais la réalité
ète .œa-JClieu..,iiui -arrête. Je .pêcheur, jur la
route de Damas ; qui dompte lé rebelle ;
qui fait de Saul, Pauli ‘
La réalité de Tamour de Christ qui nous
pousse, et qui nous donne lé seul point
de vue plus élevé : sentir Técharde dans
la chair ; et malgré ele (qui sait ? peutêtre à cause d’elTe), être un instrument
dans Ses mains. Cl.
Domestiques Vaudoises
Iæs exigences de la vie matérielle obligent bon nombre de jeunes files à « se
placer » ; ellels partent au commencement
de l’automne et retournent vers la fin du
printemps. C’est là une nécessité de la vie
et peut-être aussi une chose agréable et
utile à bien des points de vue. Agréable,
parce que on aime quand même sortir de
son trou et voir un peu lé monde; les
jeunes gens ont le Service militaire, les
jeunes files le service domestique ; aux
uns et aux autres le «service» donne
souvent la seulé chance de voir une grande
vile et de venir en contact avec des milieux différents des nôltres. Utüe, parce
que on se dépouille d’une certaine gaucherie de langage et de manières et on
apprend bien des choses, entre autres on
apprend à mieux apprécier sa maison, sa
liberté, les joies du foyer domestique, la
simplicité de -la vie rurale.
Mais à côté des avantages, il y a les
dangers du corps et de Tâme. Ils ne sont
que trop fréquents lés cas de jeunes filles qui reviennent malades au pays d'où
eles étaient parties florissantes de santé,
, V
Dernièrement encore, nous avons visité
une jeun© filé atteinte ¡de tuberculose
contractée au service dans une grande
ville. Le changement et souvent l’insuffisance de nourriture, le manque d’air salubre pour qui !^t habitué à Fair pur de
nos campagnefe, lé travail excessif, les
veiles prolongées, tout cela soumet à une
rude épreuve même lés constitutions les
plus robuste.
Les dangers de Tâme, toutefois, sont
plus nombreux, encore et plus graves que
les dangers du corps, Sans parlér des jeu*
nés files qui se perdent dans lé pire sens
du mot,, combien d’entre elles prennent
des habitudes en contraste avec notre
saine tradition vaudoise ! Certes, à la ville
ü y a plus de dangers qu’à' la campagne
et il n’est pas facile de résister à Finfluence d’un milieu parfois totalement différent du sien, surtout quand on a lia
tendance, hélas ! bien répandue, de vivre
lé plus possible éloigné de tout contact
avec l’Eglise ou avec des organisations
chrétiennes qui voudraient s’occuper de
nous. Aussi disons-nous; aux domestiques
vaudoises : réfléchissez bien avant de vous
placer ; n’acceptez pas la première offre
et renséignez-vous autant que possible
sur l'atmosphère morale de là famille qui
offre le « service » ; recourez à un Bureau
de placement sérieux et non aux conciergeries de Turin, comme vous faites souvent. Avant de partir, allez saluer votre.
Pasteur, qui sera heureux de se maintenir en contact avec vous et vous donnera
périodiquement des nouvelles de la paroisse. Exigez de vos maîtres la liberté
d’alér au culte ; vous Tobtiendréz d’autant plus facilement si vous vous placez chez une famiUé vaudoise ; c’efst là
...çe.,que^vous devriez faire dans la mesure
du possible. Et n’importe où vous soyez,
faites honneur à votre nom vaudois ; queN
qu’un nous disait que les propriétaires
d’une pension, après avoir eu à leur service des dizaines dé vaudoises, étaient arrivés à la conclusion qu’elles, manquent
d’humilité, du vrai sens de la propreté
et du désir d’apprendre. C’est un jugement pessimiste, nul doute, mais toujours
est-il que vous devez redoubler d’honnêteté, de fidélité, de sincérité et de vigilance, Soyez modestes et ne vous imagi*
nez pas d’être devenues tout à coup de
grandes demoiselles parce que vous habitez chez des dames. N’oubliez jamais votre Bible ; ne vous contentez pas de Fém*
porter avec vous, mais ne laissez pas passer une seule journée sans en lire une
portion en invoquant sur vous la bénédiction du Seigneur.
Votre tâche est humble, mais toin d être
méprisable ou ^ inutjle ;; laocepte^-la avete
joie et qu’d;le serve non à affaiblir, mais
à fortifier votre caractère, Alb. R.
LNinill PinilTD
COLLEGIO VALDESE
TORRE PELLICE.
L’inaugurazione solenne dielTanno scolastico 1937-38 avrà luogo sabato 16 ottobre, alle ore 15, nella Casa Valdese.
Il diaioraj inauguralé sarà pronunziato
dal prof. dott. Gino Costabd.
Il pubblico tutto quanto e le famiglie
degli alùnni sono invitate ad intervenire
alia cerimonia.
Le lezioni avranno inizio regolarmente
il 18 c. m.
« FIORI » in memoria del compianto professore Davide Jahier, per la Società di
Studi Valdesi :
Sig. Enrico Pascal, Reggio Cai. L.
Dott. Vitb. Roetagno, Bruxeffles »
Sig. P. C., Torre PéHice »
Sig. Teodoro Balma, Catania »
Sig, Enrico Jahier, S. Germano »
50,
25,
10,
20,
10,-
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L’Echo des Vallées - Vendredi 8‘Octobre 1937-XV
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cnflikiPflTiON
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Voici un mot bien propnei à faine tressaillir d’émotion notre cœur. L^immense
joie dont débordait l’âme 'vaudodsel daris
ce merveilleux 17 février 1848 ne s’eist
pas encore évanouie |et îeis isouvejnlins
du passé sont,|^, nombreux et bien
vivants. Le présent liii-même, d’ailleurs, avec ses bruits d’orage qui grondent à rhorizon, suffit à nous mailnteinir en éveil II nous répète avec éloquence tout ce que signifie pour notre
canscience religieuse ce vocable merveilleux : Emancipation.
» H: D<
Mais ce n’est pas là le sens; du mot
pur lequel nous désirons att^ndr l’alth
tention de notre lecteur. Nloius assistons, jour après jour, à un procès
d’émancipatipn des choses qui ont constStüé les caractéristiques de notre peuple vaudois.
Il est trop tard, sans douta, pour
ajouter encore un mot sur le costume
vaudois qui ne s’emploie plus que
dans queiique circonstance et qui "est
remplacé souvent par ce que la dernière mode a suggéré'; mais il est encore d’actualinl de parler des transformations apportées dans nos mœurs et
dans nos doctninieis par ce phénomène
dont nous parlons. Il y a quelques
jours seulement, nous participions à un
thé en compagnie d’une nombreuse société. Nous ne vous dirons pas notre
étonnement en voyant petit à petit les
jeunes gens, les demoiaelltes et même
quelques dames allymer des cigarettes.
Nous avions bien vu déjà de pareils
spectacles, dans le monde, mais il s’agissait ici de personnes que nous n’avions
jamais vu fumer et qui appartiennent
en général à de très bonnes familles...
Notre plainte va leiur sembler puérile, s’ils lisent ces mots, et nous leur
paraîtrons ridicules eti faisant penser
à une vieille grand’maman du temps
jadis... mais nous ne pouvons, malgré cela, cacheir l’angoisse profonde et
la nostalgie du passé qui nous saisissent en face de pareils spectacles. Sans
avoir encore les cheveux blancs nous
vivons la triste experience du vieillard
qui se sent étranger chez lui et incapable: de suivre l’évolution du monde
qui l’entoure. Sommes-nous seuls à sentir ainsi ? Certainement pas !
« « «
Il ne s’agit là, cependant, que d’un
tout petit détail de ce phénomène
d’émancipation dont nous pa>rlions.
Vous pourrez glaner tout autour de
vous d’autres symptômes, bien autrement importants. Les plus graves, sans
doute, sont ceux qui touchent à la foi
et à la doctrine de l’Eglise. La confession de foi de nos pères et l’Evangile
lui-même, ont pour pltisieurs quelque
chose de primitif et de rudimeartaire ;
celui qui s’obstine à les avoir pour
seide règle de sa foi, est un petit ignorant auquel il faut compatir. Il est nécessaire, aujourd’hui, de perfectionner
nos doctrines avec des suppléments de
révélation, car la Vérité dépasse l’Evangile dans tous leis sens. II faut y ajouter des messagieis qui proviennent de
l’Orient et do l’Occident, voine même
de l’Au-delà.
Nous avons senti le besoin, un jour,
de nous dérober au bruyant concert de
tout cet évoUutionnisme pour nous réfugier dans le silence austère de nos
vallons les plus reculés. Abrités sous
un rocher, tandis qu’un fil d’eau murmurait à nos pieds, nous avons intesrrogé nos rocs séculaires : « C’est une
épreuve — nous ont-ils répondu — une
épreuve plus difficile que les persécutions qui, jadis, nous ont ensanglanta ».
!|< *
Un autre sens de la parole émancipation est diamétralement opposé à celui dont nous avons parlé tout à l’hieurè
et nous pourrions l’exprimer aussi « la^
liberté du croyant». M,
Les coutumes et les traditions du
milieu,- de la fâmiMe let même de
l’Eglise constituent quelquefois un obstacle pour les âmes qui voudraient servir leur Maître. La crainte de fâcher
des parents, die brusquer des amis, de
choquer des connaissances, de paraître
différents dés autres, de sembler eccentriqueis ou ridicules, arrêtent beau-'
coup de nobles élans. Le disciple de Jésus-Christ doit savoir s’émanciper de
ces craintes et ranversetr avec énergie
tous cies obstacles. Il faut pour cela
beaucoup de courage, beaucoup plus
qu’il n’en faut'^à un jeune homme pour
affecter de la mondanité ou à une demoiselle pour fumer une cigarette en
public.
Des couragelux il en existe encore,
par bonheur, et quelquefois il faudrait
les appeler des héros. Nous avons vu
des jeunes filles qui sie faisaient battre
par des mères brutales parce qu’eUes
nô voulaient pas fréquenter le bal, nous
avons vu des jeunes gens s’opposetr à
ia volonté des parents pour devietnir
membres d’église ou bien pasteurs,
nous avons aperçu parmi la jeunesse
de véritables puritains. Ce sont eux
qui possèdent le véritable esprit d’émancipation et qui auraient le droit de s’en
parer comme d'un titre de noblesse.
Admirons-les, char lecteur, et demandons à Dieu de leur concéder une miesura toujours plus abondante — ainsi
qu’à toute notre jeunesse — de cet esprit d’une émancipation sainta qui renferme. tout ce qu’il y a de plus beau,
de plus pur, de plus noble et de plus
grand. Esprit des âmes d’élite, qui
vient de Dieu, et qui n’eut autre chose
qu’une manifestation du Saint-Esprit.
E. G.
PK0F05 D'flPKÈÔ 5TNODE
Pm UN LSi'QUE.
A cause de la suppression du numéro
du l'"' octobre, ces lignes ne peuvent paraître dans l’Echo qu’un bon mois après la
fin du Synode, mais ce retard est sans
doute plus un bien qu’un mal, car les esprits qui pouvaient s’être un peu 'échauffés sur telle oxx telle autre question ont
eu désormais le temps de s’apaiser et par
conséquent la discussion peut se dérouler
avec plus de calme et d’objectivité.
En parlant d’« esprits échauffés », nous
avons tout de suite pen^ à l’article de
M. S. P. «Où « ils ». glanent » (Voyez
l’EcJw du 20 août, N. 29), dans lequel l'auteur recommande de ne pas exposer le
flanc à des adversaires en plus ou moins
bonne foi ; mais nous croyons que discuter et s’« échauffer » (au sens lie plus pacifique du mot, c’est-à-dire avec chalteur
de conviction) est un symptôme infaillible
de Fintérêt que l’on prend à une affaire,
et seule une mauvaise foi évidente peut
faire passer cela pour un indice de discorde et de disgrégation.
Ces éclaircissements étant établis, abordons notre sujet.
Le culte d'ouverture du Synode, surtout
lorsqu’il est suivi de la consécration de
candidats au saint ministère, est considéré
par trop de personnes comme un spectacle semel in anno, et si F^.aEsaut qu’on
donne au temple de La Tour plus d’une
heure avant le commencement du service
peut d’un côté représenter une preuve de
zèle de la part du public vaudois, d'un
autre côté le chuchotement de ceux qui
doivent essuyer une longue attente est
peu conforme au respect dû au lieu et à
l'heure. Sauf erreur, ce fut en 1935 que
le pasteur de la Tour dut intervenir
pour rappeler que la Maison de l’Eternel
exigeait un süeince plus religieux. Si les
« glaneurs » de notre collègue M. S. P.
trouvent là de l’ivraie pour leur gerbe,
qu'ils s’assurent préalablement que chez
eux il n’en soit pas pis (par exemple, brs
de la fête des sépulcres... blanchis !); nous
sommes le premier à ne pas ' vouloir attacher plus d’importance qu'il ne faut à
rinconvénient que nous venons de signaler.
Puisque nous avons parlé du public qui
assiste au culte d’ouverture, disons quelques mots de celui qui assiste aux séances (quand fl .est .admis...). Des cartes
d’entrée, réservées aux membres de l'Èglise Vaudoise, ont toujours existé ; cette
année, on a procédé à leur distribution
avec plus de rigueur et de contrôle, mais
eda ne nous a pas empêché de remarquer
dans Ha sale de la Maison Vaudoise des
membres d'autres égïïses évangéliques.
Ce n'est pas un crime, nous en convenons,
vu surtout les rapports d’entente qui nous
lient à ces frères, mais cela pour l'exactitude. Quand, au Synode, on a parlé de
ce qui est arrivé à Vittoria et à Catane, il
était bien de n’être qu’entre Vaudois (inutile et hors de propos d'entrer dans des
détails). ,
Encore pour ce qui est des fréquenta
teurs des galeries, lœ jouvenceaux qui s’y
rendent pour lire des revues quand la discussion ne les intéresse pas, pourraient
bien s’épargner la peine d’allfer s’y percher. Que l’éventuel « glàneur » sache cependant qu’bormis les cas «très isolés»
auxquels nous nous rapportons, le public
vaudois qui fréquente le Synode connaît
ses devoirs et les respecte à point
Les modestes inconvénients que nous
venons de signaler à propos du public admis aux séances synodales pourraient induire quelqu'un à soupçonner que nous
penchions vers la théorie de ceûx qui voudraient tout le Synode à huis clos. C’est
un . fait que lé nombre des séances à huis
clos va en augmentant depuis quelques
années, mais notre opinion est aux antipodes de l'aspiration de ceux qui voudraient que Fexception supplante la rè
g'ie., Noii.s ne ipnétendrons ¿amaia, pour
faire un exemple absurde, que les séances
de Fa Tablé soient ouvertes à tout venant ;
mais — si parva licet componere magnis
et vmtatis mutandis — le Synode est en
quelque sorte le Parltement et la Table le
Çonseil des Ministres de l’Eglise Vaudoise. Nous avons déjà fait allusion à ce
problème en terminant le compte-rendu
du Synode, et ce n’est pas par un simple caprice ou ipar défaut d’arguments
que nous désirons y revesnir. Personne,
croyons-nous, ne songe à mettre en doute
Il à-propos et la légitimité, la nécessité de
quelques séances du Synode à huis clos,
car sur certains sujets la discussion est
plus aisée sans les' spectateurs, quelquefois un peu bruyants, des galeries ; mais
le peuple des fidèles et des contribuables
a le droit d’être informé au moins du sujet et des décisions de ces assemblées réservées. C'est pourquoi nous proposions,
il y a trois semaine, la publication d’un
communiqué ; on pourrait le lire à la
séançe publique suivante, et on l’insérerait dans Ifes comptes-rendus de notre
presse. Cette proposition ou requête n’est
pas uniquement le fruit de réflexion personnelle, mais elle ressent aussi de
l’état d’âsae de nombre de bons et fidèles
Vaudois. Nous rapporterons cette phrase,
qui pourrait donner à réfléchir aux organes
compétents : •< Tant que les portes resteront fermées, tussi la bourse restera fermée ». De hec tatis (c’est décidément la
journée du latin \): nous ne voubns pas
empiéter sur le téirain financier.
Nous sommes prè(s à admettre que ces
remarques contiennè<t quelque chose d'un
peu paradoxal, et nôjs ne savons certes
prévoir si élites trouvéront quelque suite,
mais il nous semble, très modestement,
que les idées fondaméntales que nous
avons exposées ne soat pas de sottes billé^
vesées, et peut-être quelqu’un admettra-t-il
que nous n’avons pas tous îles torts d'envisager avec prévoyaice quelque important problème de la Me de notre Eglise,
emm. t.
PS. A cause d'un l(ng retard postal,
nous avons reçu l’Eché^du 24 septembre.
avec l’articlte «Discussions siynodales» de
M. E. Geymet, après quie ces lignes étaient
parties pour La Tour.
« H: H<
Nous n’avons jamais entendu, personne
soutmdr que tout le Synode doive se tenir à huis doÿ. Plusieurs, par contre, pensent que les séances administratives devraient être réservées à l’assemblée synodale. S’il est absurde que les séances
die la Table soient publiques, comme le dit
notre correspondant, n’est-ü pas absurde
aussi qu’on discute publiquement hi gestion de la Table ? Or l’examen de cette
gestion forme la partie la plus importante
des. travaux du Synode.
Quant aux bourses, étaient-elles bien
ouvertes quand toutes les séances synodales étaient publiques ? C'est ce que le
Caissier' de la Table pourra nous dire.
Réd.
Commissione Finanziaria
PRO EMERITAZIONE
{Venticinquesima Lista).
Signore e Signori :
Ctementina Maggiore, 'Torre
Felice
Paolina BaJmas-Turin
M.me Mercier (Sierre)
Fanny Ri voi r ved. Ixxng, in
ricordo di Enrico Pascal e
Signora
Fratelli di Sampierdarena (cassettine)
Una Valdese (2" versamento)
M.lle Rivoir, La Haye
Prof. Pietro Rivoir, Mflàno
R. L.
M. Gflg, Como
Teofib Malan, in meinoria del
pastore Eli Jahier
Id., in memoria del pastore
Paolo Gay
Chiesa di San Germano
Dott. Hans Heppler, Zurigo
Fiori in memoria di Giuseppe
G. Scarinci
X. Y. Z., riconoscente al Signore »
L. 200,—
» 50,—
» 100,—
» 100,—
» 1220,35
» 200,—
» 50,—
» 50,—
» 25,» 100.—
» 100,—
» 100,—
» 3000,—
» 50:,—
» 1000,—
» 50,—
ï » 200,—
PRO COLLEGIO.
(Ventidnqmsiìna Lista).
Signore e Signori :
X. Y. Z., riconoscente al Signore
Sig.ra Atkey Trossarelli
Paolina Balmas-Turin
Clementina Maggiore, Tome
Pellice
M. et M.me Edouard Richard,
Le Caire
M.lle Rivoir, La Haye
Prof. Pietro Rivoir, Milano
R. L.
G. Scarinci
(*) Offerte in Titoli dì Stato.
L. 200,—
» 200,—
» 50,—
» 20!),—
» 200,—
» 200,—
» 50,
» 25,—
» 100,—
» .50,—
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Hanno versato inoltre la Itero quota
1937-38 i signori ; falla Davide e Ines
(L. 200) - Jon-Scotta Giulio (L. 200) Pasque! Altessandro (L. 350) - Rivoire Daniele (L. 200) - Rocchi Stanislao (L. 200)
- Rosati Adele (L. 200) - Rostagno-Primo
Giuseppina (L. 300) - Rostagno Vittorio
(L. 200) - Unione delle Giovani, M. Turin (L. 200).
La signora Adele Rosati ha vergato anche la quota 1938-39 (L. 200).
Per il Fondo hanno versato quote : la
signora Bonnet CHementina (L 200) Pascal Enrico, Como (L. 200).
•’sr
kkÀÀàààÀààààÀàÀààÀÀÀàÀÀÀÀÀààkk
TohI ce qui concerne la
rédaction doit être anvoyé
à H. A. RICCA
BOBBIO PILLICI
(Torino)
3
i ^
L’Echo des Vallées - Veosjr^ 8 Octobre 1937-XV
,V"V
:: CHRÔNIQUË VAUDOISE :;
ANQBOONB. Depuis notre dernière correspondance, nous avons eu au Serre Ifi
Bazar pour les réparations du temple.
Nous devons remercier vivement toutes
lies personnes qui se sont intéressées à
son succès, et particulièrement lés demoiselles du groupe de renoncement dé Rome.
★ Samedi, 2 octobre, au tempte du cheflieu, a été invoquée la .bénédiction de Dieu
sur le mariage de M. Egidio Jerni Paschetto de Paul avec M-lle Hitda Berlin de
Frédéric. Nôus suivons ces époux avec nos
chaleureux vœux de bonheur.
★ Les écoles du dimanche ont recommencé, et nous prions les parents d’y envoyer tout de suite léurs enfants.
★ L’Assemblée d’Eglise est convoquée
pour diimanche 10 courant, pour l’élection
des anciens des Jourdans, Malans et Cacet-Rivoires. R. N.
BOBI. Nous renouvelons nos remercîments aux pasteurs Robert Jahier et doct.
Théophile Malan qui, dernièrement, ont
présidé le culte principal.
★ Lë 25 septembre a eu lieu ITensevelissement de François Bouchard, âgé de
67 ans. R.
LATOÜB, A l’occasion du XXV® anniversaire de leur mariage, qui a été béni
dans notre 'temple, le 6 octobre 1912, M.mé
et M. Arnaldo Fontana-Roux-Talmcoi, nous
ont fait parvenir la somme dé L. 1.000, pour
les pauvres de l'a paroisse. En rem.erciant
V i\ e Tient lies généreux donateurs,, nous
l<“u Taisons nos meilleurs souhaits et leur
disons ad mvltos annos.
★ Samedi dernier ,a eu lieu le mariage
de M. Guido Coïsson, de Saint-Jean, avec
M.Ue Henriette Pellegrin, de l’Envers des
Bruns. Nous demandons à Dieu dé bénir
lé nouveau foyer.
★ LE COLLEGE.
Admissions à, la P“ Gymnase : Cerini
Sergio, Guiot Aldo, Lanfranco Guerrino,
RolKer Paolb, Boero-Rol Giovanni, Micol
Laura, Mourglia Enrico, Mourg<lia Erica,
Pascal Elena, Perrone Mirella, Peyrot Irma, Revel Ivonne, Ribet Elfi.
Admisdcms à la IP Gymnase : Bertal'ot
Levi, Malan Marcelio, Pellice Francesco,
Revel Riccardo, Lombardi Adriano.
Admissions à la IIP Gymnase : Bosisio
Nello, Danna Renata, Fassino Mario, Geymet Ellén, Guiot Giulio, Perucca Renato,
Roccati Giorgio, Rostain AHo, Comba
Paolo.
Admissicms à la /F® Gymnase : Àrtom
Renato, Cena Claudia, Cresto Giuseppe,
Minetto Laura, Sita Antonio, Ceria
Adriana, Pons Adriana.
Admissions à la F® Gymnase : Avigdor
Enrico, Celli Giovanni, GiaréUi Carla, Geymet Irene, Paltrinieri Marcelo.
Admissions à la P“ Lnjcée : Corti Linneo, De Carolis Rinaldo, Gambi Augusto,
Malan Delio, Malien Dante, Natta Giuseppe, Peracchione Maria, Saletta Lidia,
Artom Clarice, Baravale Domenico, Bessone Michelte, Pagliero Ada, Tron Lilia,
Rostagno Carlo.
Admissions à la IP Lycée : Del Carretto Carlo, Gianpiccoli Gugliehno, Viotto
Spartaco.
Admission à la IIP Lycée : Coucourde A.
MAS8EL. Glanons quelques nouvelès de
cet été. Le 15 août, le petit Georges Liiden
Micol, fife d’Edouard et d’Eugénie, du Porrinche, a été baptisé au culte du matin.
Le 21 août, Adolphe Gaydou, du Roccias
et Enum. Micol, du Porrinche, ont été unis
en mariage. Que Dieu veuille que ces cérémonies religieuses aient reçu Son approbation et que Ses bénédictions descendent abondammént sur le petit Georges et
sur la nouvelle famife Gaydou.
★ Dimanche, 5 septembre, l'a chaire a
été tenue par le pa.steur M. Güido Comba,
et le 19 septembre nous avons eu le plaisir d’entendre encore M. le doct. Ricca.
Nous remercions M. Comba et M, Ricca
p<5ur leur message chrétien.
★ Et nous voulons mentionner notre
reconnaissance encore pour une autre visite ; celle du prof. Paolo Paschetto qui,
invité par le câp. Rivoiro, a bien voulu
visiter notre temple pour nous donner de
bien piécieux. conseils à propos des imminentes réparations. Notre remerciement
va tant au prof. Paschetto qu'au chev. Rivoiro, qui ne perd pas une occasion de
nous démontrer son affection pour notre
paroisse.
★ Comme chaque année, plusieurs
« Masselins » sont rétournés pour l’été,
tant de Fltalie que de Fétranger, à leur
paroisse d’origine. Ils nous ont porté leur
animation si sympathique, mais, hélas !
presque tous sont repartis ét même te
pîqs courageux se préparent à noua laisser, C'est avec un peu de tristesse que
nous les voyons partir : en les accompagnant de.» nos souhaits nous pensons que
leur départ signifie que FaUtorone est arrivé et que le rude hiver approche. Les
activités donc vont reprendre : en aivfint
de bonne volonté et que Dieu veuille hénir encore cétte année de travail.
POMAEBT. Un nouveau deuil vient de
frapper notre famille paroissiale par 1e
départ pour la Patrie céleste de notre
frère le chev. Emmanuel Tron, survenu
au Brancâ de La Pérouse, le 24 septemr
bre, soir. Après une vie longue et lâborie^, mais depuis quelques années
obligé à une inactivité d'autant p^us douloureuse qu'elle était due à une pénible
infirmité, û est entré dans son vrai Repos, à l’âge de 83 ans.
Ses obsèques, qui eurent lieu dans
l’après-midi de dimanche 26 septembre,
furent un vrai témoignage d’estime et de
sympathie à la famiHe douloureusement
éprouvée.
C’est de cette sympathie si franche et si
fraternele que nous voulons maintenant
encore donner l’assurance à la famille ■en
deuil en invoquant sui^ chacun de ses membres, et d’tine façon toute particulière sur
la veuve et les enfants, les consolations
d’En-Haut.
★ Dernièrement, ont été présentés au
Saint-Baptême ;■ Adèle Bevel d’'Oreste et
de Palmira Bounous (Pomaret), Süvio
François Garrou d’Attilio et de Luigina
Primo (Clôt des Boulards), Alphonse Jean
Bleynat de Guido et de Marthe Lageard
(Pérouse), Nino Ferdinand Vülielm de
Germain et d’Alphonsine Lageard (Id.),
Tris Valentine Giaiero d’Ernest et de Céline Costabel (Teitas), Hermann Griot de
Clément et de Lydie. Micol (Pomaret), Milena Bourlard d’Emile et d’Elvira Pons
(Pons de Pomaret), Claudia Purpura de
Enzo et d’Evangéline Gril (Plan du Pomaret) .
Que la grâce de Dieu vous accompagne,
chers enfants, et vous donne d'être toujours la joie et la couronne de vos parents.
★ Le culte du dimanche matin au temple, aura lieu, dès le mois d’octobre, selon l’horaire d’hiver : à 10 h. 30.
★ Les membres du Consistoire sont convoqués pour dimanche prochain, à 2 heures de Vaprès-midi, à la Cure.
PRALI. Notre culte du dimanche 19 septembre, a été présidé par lé pasteur
M. Jean Bertinatti, oapp^ano mUitare in
.4. O. 1. C’est avec joie que notre paroisse
a revu son pasteur d’fl y a quelques années, et que nous avons entendu son message. Nous le remercions encore cordialement et nous demandons au Seigneur de
l’accompagner et de le bénir dans sa mission.
★ Dimanche soir, 19 septembre, est décédé au Coin, chez sa fille, Barho Jean Richard feu Philippe, de la Ville, ex-ancien,,
de 69 ans ; et le mardi, 21 septembre, ont
eu lieu ses funérailes. En proie à de
cruelles souffrances, pendant lies derniers
temps, il les a supportées avec la force
qui lui provenait de la communion avec
lé Père Tout-Puissant. C’est un autre
membre fidèle de notre Eglise que le Seigneur appelle à monter plus haut. Nous
continuons à sympathiser avec sa fille et
sa famile et tous les autres parents,, d’une
manière spéciale avec lé beau4rère, M. le
pasteur P, Griglio, de New-York.
PBAMOL. Après un silence passablement long, les lécteurs de l’Echo pourront de .nouveau avoir des nouvelles dè
Pramol. En voici queliques-unes :
Dans lé courant de l’été, plusieurs amis
nous ont apporté leurs messages au culte
du dimanche matin. Ce sont MM. Iqs pasteurs : G. Comba, R. Jahier, E. Ayassot,
L. Coïsson, le professeur S. Pons et l’étudiant en théolbgie G. Bouchard. Nous renouvelions à tous ces messagers de la Parole de Dieu nos remerciemients bieû sincères et nous les accompagnons dans leur
champ de travail avec ce souhait et cette
prière : Que Dieu soit aveb vous !
★ La petite fille Marina Adèle Long de
feu Barthélemy et d'Alice Travers, des
Chaurengs, a été présentée au baptême,
dimanche 29 août. Que Dieu, le Père des
orphelins, veillé sur elle, et qu’il en fasse
un de ses fidèles enfants.
★ Aux Gardes (paroisâé de Saint-Germain), est décédé Henri Bounous, de Peumian, âgé de 73 ans. La sépulture a eu
lieu dimanche, 26 septembre. Il laisse parmi nous le souvenir d’un homme) à la piété
simple, humblé et vivante, scdidement fondée sur les déclarations de l'Ecriture, ainsi
qu’il le témoignait sur son Sit de mort. A
son fils, ancien du quartier de Peumian,
aux autres membres de sa famile, à tous
les nombreux parents, nous exprimons notre sympathie émue. Jésus a dit : Cdui
qui croit en moi, vivra.
★ Aviec lé mois d'octobre, le culte
en langue italienne sera célébré le
premier dimanèhe du mois. Dimanche,
10 octobre, nous célébrerons aussi, D. v„
^ Sainte-Cène. Ce culte devra être im
acte de consécration à Dieu, une nouveîle
promesse de fidélité à Jésus-Christ et à
l’Eglise, à Fheure où toutes les activités
vont reprendre Iteur marche. Que nos trèree sachent y participer nombreux et avec
un cœur bien disposé.
★ On est en train de réparer le temple, qui aura un aspect nouveau et très
accueillant d’ici à quelques jours. Prière
est fâite à tous les membres d'église d’aider avec générosité le Consistoire, qui doit
penser a payer les frais de tous ces travaux et qui n’en a point encore, à présent, les moyens. Le Pasteur recevra
avec reconnaissaince quelconque contribution.
ROOORET. Samedi, 25 septembre, dans
notre temple, a été célébré lé mariage de
Ernest Léger feu Emile, d^ Fontaine,
avec Jolanda Meytre d'Oscar, des Fontaines. En demandant à Dieu de .bénir ce
nouveau foyer, nous renouvelons à ce
jeune couple nos meilleurs vœux pour une
vie longue et heureuse.
★ Nous avons eu la joie de présenter à
Dieu, par lé rite du Saint-Baptême, deux
cher^ enfânts : le 19 septembre, la petite
Rènee Jeanne Pascal de Benjamin et
d’Emma Pascal; et lé 26 septembre, lé
petit Valdo Pascal d’Henri et d'Horteflse
Grill. Que Dieu soutienne par Sa grâce
ces tendres créatures, et dirige les parents
dans leur grande et noblé tâche.
SAINT-OERMAIN. Le culte de dimanche prochain, 10 octobre, sera présidé par
M. le pasteur Giovanni Rostagno, professeur de théologie en retraite.
★ Dimanche, 26 Septœibre, nous avons
été profondément 'édifiés par le sermon
de M. le pasteur émérite M. Louis Rostagno, de MiPaiT, auquel nous adressons nos
remerciements sincères.
★ Nous avons reçu, avec gratitude, lé
don de L. 50, pour l’Eglise, de la part de
M.Ue L. Griset (Paris).
★ Dimanche, 17 courant, à 14 h. 30,
dans la Sallé paroissiale, auront lieu les
examens des catechumenes dç première
et deuxième année, qui n’ont pas été approuvés en avril.
★ 1^ Rapport Financer 1936-37 va être
distribué dans le courant du mois, dans
tous les quartiers. Nous recommandons de
lire avec attention la feuille qui y est incluse.
★ Le 22 septembre, un frère a quitté
La Sagna pour le grand voyagé ; Thomas
Travers, décédé à l’âge de 69 ans.. A la
veuve et au fills, le témoignage de notre
sympathie chrétienne.
★ Dimanche dernier, a été célébré le
baptême de Guido Soulier d’Auguste et de
Marie Balmas, de la Costabella. Parrain :
Savio Coucourde ; marraine : Suzanne Balmas. Les parents ont pris l’engagement
d’élever leur enfant dans la crainte du
Seigneur. Que Dieu leur accorde la grâce
d'accomplir leurs promesses !
★ ASILE DES VIEILLARDS.
Avec la plus vive reconnaissance, le soussigné accuse réception des dons en argent
qui lui sont parvenus du l®*" juillet au
30 septembre 1937.
M.me Baret, (Envers-Pinache'), L. 10 Les neveux de A. Scheller (Asile), 30 M.Ite N. Seli, « en souvenir du très regretté Héli Jahier, pasteur émérite », 100
- Eglise de Brescia, « en souvenir de Louis
Balmas », 120 - « Fléurs en souvenir de
leur chère mère », les enfants, 300 - Forneron Philippe, « en souvenir d’Anna
Avondet », 10 - Eglise de Perrier-Maneillé,
25 - M.me Anita Plister-Gay, 20 - Angefini (Turin) et Cristoferi (Savone), 50 M.lle aw. L. Poët, 100 - M.me Rodé (Pignerol), 45 - Bassetto S. (Asile), 20 M.lles CaFvenzani (Id.), 7 - Prof. E. Griset et Madame, 100 - Assemblée chrétienne de la rue «delle Orfane» (Turin),
100 - Steiner Robert (Bergame), « en souvenir de son oncle arch. Jacques Frizzoni », 200 - Combe Adolphe, pasteur
émérite, 25 - Becherini Attilio (Brescia),
« en souvenir de Louis Balmas », 10 Cardon Madeteine (Marseille), 90 - Gaydou
David,, évangélSiete émérite, 10 - Diaconie de FEglise de 'Torre Pellicie, 150 M.me Emma Leidheuser-Gardioll, 200 - La
famiBe de M. Fing. arch. Jacques Frizzoni, « en souvenir de leur bien-aimé mari
et père », 500 - Prof. E. W. Long-Marey
(Rome), 25 - Docteur Ugo Frizzoni (Bergame), «fleurs en souvenir de son regretté oncle arch. Jacques Frizzoni », 100
- M.llies Marie et Ahna Frizzoni, « en souvenir de leur onclte M. l'arch. Jacques Frizzoni », 100 - M. et M.me Edouard Richard
(Le Caire), 200 - M. et M.me G. Pelte
tier (Marseille), 100 - Rostan Edouard
(Saint-Germain). 5 - La famille du regretté Balmas David (Id.), 500 - M.me
M.me vieuve François Chanforan, « en souvenir de son mari », 125 - Paul Gay (Gênes-Prà), 50 - M. et M.me Micol (Aslliei),
50 - M.me L. Culino-Bôùnous, 50 Flore
' veuve Perrot, Lina, Alice veuve Lpren■zini, Phini, lisiette et Jean Bonjour, Bobbio Peïlice, «en souvenir de leur chère
mère et bdlé-mère Marie Lbuise Long
veuve Long », 100.
* B. SoüUEE, directeur.
Eugénie ^Geymet et Hise CabeÛla, 30
SAIlITaJBAN. Le 12 septembre a eu
lieu, à l'Hôpital de La Tour, l'ensevelîfesement de notre frère Louis Panse, des
Nazerots, décédé à Fâge de 31 ans, après
une longue et pénible maladie. A la veuve,
aux jeunes orphelins, à tous les parents,
notre sympathie émue.
Le 19 septembre a eu lieu l’ensever
lissement de M. Mosè lotti, décédé à la
Ciaperassa, à l’âge de 73. ans, après queb
ques jours d'infirmité. Aux enfhnts en
deuil', nos sincères condoléances.
ASILE DES VIEILLARDS.
Nous accusons réception avec gratitude
des dons suivants : Familles Ga^airotto
et Robert, « en souvenir de leurs chers disparus », L. 50 - M.Ue Letizia lotti, « en
souvenir de son cher père », 20 - La far
mille, « en souvenir de sa taien-aimée M.me
Jenny Malan-Avondet », 25 Eglise de
La Tour, 150 - M. David Gaydou, 10 Chev. Amaldo Fontana-Roux et Madame,.
1000 - M.me Cléanthe Oocito, 5D - M.me
Clémentine Maggiore, 25. — Fleurs en sour
venir de M. Joseph long : Les enfants,
L. KX) - Familles Beux et Balmas, 30
M. mes Emma et Mariuccia Decker, 50 Ing. Guido Decker et Madame, 25 - M.lles
N. et P. Peyrot, 40.
VILLAR. En portant les regards sur
la saison ^rivale écoulée, c’est un grand
sentiment de reconnaissance qui nous saisit et nous bénissons Dieu pour toutes les
joies qu’il nous a accordées, pour notre
prospérité matérielle et pour notre vie
éternelile. Un grt« merci encore à tous ces
fidèles messagers de Dieu, qui nous ont
visité pendant l’été : MM. les pasteurs E.
Ayassot, A. Simeoni, A. Jahier, Guido
Miegge, M. lé chev. Héli Long et M. le
candidat E. Aime.
★ Actes pastoraux. Nous avons eu la
joie de présenter à Dieu, par lé rite du
baptême, deux chers enfants : LUiana Suzanne Vigne de P. Georges et Marthe
Charbonnier, de la Piantà, le 14 août ; et
Attüio Verné de David ;et Catherine Janavel, du Ciarmis, le 12 Septembre. Le
28 août a été béni le mariage de J. Pierre
Geymet de Pierre avec Marguerite Meynier feu Pierre. Que Dieu bénisse ces familles et garde dans Son Amour ce's chers
agneaux de son troupeau.
★ Vente d’église. Nous avions raison de
compter sur la fidélité des amis de notre
église pour assurer le succès de sa vente
en faveur des urgentes et grosses réparations à l’extérieur du temple, au clocher et à Fécole du Serre (dont lé plafond
s’est écroulé). Malgré toutes les crises, le
bénéfice a dépassé nos meilleures prévisions. Merci à tous ceUx et à celles qui,
d’une manière ou de l’autre, nous ont apporté leur précieux cancours, en témoignant de leur attachement à leur vieux
temple et à Fœuvre qui doit s’y poursu'i-'
vre à la gloire dé Dieu. Nos chauds remerciements aussi à nos visiteurs des paroisses limitrophes et à nos amis de
Fétranger, pour leur solidarité vaudoise.
1.
VILLBSÈCHE. Pendant l’été, nous
avons eu la visite de MM. les pasteurs
Guido Maithieu, Guido Miegge, Oreste
Peyronel et de M. Domenico Abate. Que
les messages qu’ils nous ont adressés restent en bénédiction au milieu de nous.
★ La traditionnelle réunion des Echassiers sur l’évangélisation a eu lieu, cette,
année, au Clos. M. le doct. Ribet et
M. Abate nous ont fait connaître des témoignages frappants de fidélité à FEvangile au milieu des luttes et des difficultés
que rencontrent parfois nos frères die
l’évangélisation.
★ Dknanche prochain, 10 octobre, nous
aurons, D. v., la visite de M. Lamy Coïsson, pasteur à Prall
★ Dimanche, 24 septembre, nous avons
aiccompagné au champ du repos la dépouille mortélle de notre sœur Marie Anne
Menusan veuve Rostamg, de 83 ans, décédée après de Ibngues ét pénibles souffrances, à Villesèche. A lia famille en deuil'
et particulièrement à sa file, M.me Marguerite Gril, qui venait de partir pour
FAmérique, nous exprimons notre sympathie chrétienne.
RIDUZIONI FERROVIARIE.
In occasione delle manifestazioni torinesi è ammesso, dal 27 settembre al 13 novembre 1937, Ü rilascio di biglietti Andata-Ritorno con riduzione del 50 %. H
timbro del Comitato viene apposto gratuitamente nell’interno delle r/mfiifestaémd ;
prezzo d’ingresso ridotto a L. 1,50.
4
- ê:
fi
k ;
remercient sinrcrement toutes" les personnes qui, soit par écrit soit en accompagnant la chère disparue au champ du repos, ont voulu prendre T^rt à leur deuû.
Un remerciement spécial à MM. les pasteurs Jules Trôn et Louis Marauda, pour
leurs bonnes paroles ^encouragement, et
à la Délégation du « Fascio Femminilè »
de Saint-Germain.
Salat-Gerniain Cluson, 3 octobrq 1937-XV.
M. Henri Peyrot, missionnaire à Tananarive, sa femme et ses enfants; M.me
Ida Gu ASCO, à Los Angeles, son mari et
ses enfants; M. Attiuo Peyrot, professeur à Alexandrie d’Egypte, sa femme et
ses enfants ; M. René Peyrot, à Paris;
M. Paitl Ghigo, rem,ercient sincèrement
toutes les personnes qui ont bien venduleur témoigner de la sympathie pendant
la maladie et à l’occasion du départ pour
le cnel de leur bien-aimée mère, belle-mère
grand’mère et sœur
Í lie
que Dieu a rappelée à Lui le 4 octobre 1937, à l’âge de 78 ans.
Luserne St-Joan (Le Pont), 5 octobre 1937-XV.
inïïDlO fEHMimiE HLDESi 01ÏILMM
Ctons reçus du 16 août au 30 septembre 1937.
M.mes et- M.rs :
Cav. Andrea Cristadoro, Taranto, L. 20
- Laura Barazzuoli, Livorno, 50 - Comm.
V. Beretta, Roma, «in memoria della signora Anna Morghen », 300 - Elisa Lantaret, Pomaretto, 10 - Parrocchia di Perrero-Maniglia, 25 - Parrocchia di Luserna
S. Giovanni, 50 - Dott. Enrico Pons, Roma 20 — A mezzo sig.ra Marta Richard,
Cairo : D, Jahier, Suez, 105 - Adelina Rivoir, Cairo, 21 - H. A. Carew, Suez, 52,50
- Dott. Alberto Mochi, Cairo, 52,50 - Ed. e
Marta Richard, Id., 105.
Eugenia Cabella-Geymet, Rorà, L. 25 Emma Karrer e Maria Luisa Pons-Karrer. Torre PelMce, 10 - Dott. Enrico e Sybil Tron, Milano, 100 - Chiesa di Bari, 25
- Selma Longo, Firenze, 20 - Luisa Talmone, Torre Pdliee, 50 - Allessandrina
Rostagno, Pinerob, 20 - AIMaud Lisetta,
Id., « in memoria di Bona Lonçf », 20 Coucourde Giulio e famiglia, Id., 10 Long-Rivoire Fanny, Id., 20 - Scuola domenicale, Id., 30 - Maggiore Abelie Ghigo,
Roma, 50 - Chiesa di Rorà, 50 Farina
Angelo, Torre Pedice, 50 - Chiesa di RieJaretto, 50 - Emma e Michele Paschetto,
Torre Pellice, « in memoria della cara
zia e cugine Pavese », 20 - Mary K. Macgregor, Id., 100 - Susanna TaJmone ed Arnaldo FontanarRoux, Sa4nta Margherita
Ligure, L. 1.000, « ricorrendo il venticinquesimo anniversario deile loro nozze ».
La Direction de ITInstitut remercie chaleureusement Tes donateurs.
loMim Maliiin liHaliR.
A l’occasion du XXV® anniversaire de
leurs noces (6 octobre 1912-1937) M. le
chev. Arnaldo Fontana-Roux, et M.me Suzanne Fontana-Roux, ont fait parvenir
aux Œuvres locales les dons suivants :
L. 1000 pour le Refuge Roi Charlés-AÎbert de Luseme St-Jean.
» 1000 » FOrpheünat Vaudois de La
Tour,
» 1000 » l’Eglise Vaudoise de La
Tour.
» 1000 » PAsile des Vieillards de St
Jean.
Nous leur envoyons, de la part de tous,
nos. remerciements sincères et nos meilteurs vœux.
REFUGE.
Famifie Gay, Saint-Jean, «22 août 1937»,
L. 100 - Uniofne Qristiana Femminile, Vülasecca, 40 - X. Y, Z., « reconnaissant à
25 - C E.. Id., *100 - M.lle Rivoire, La^
HOPITAUX.’'
ífaye, 30.
Souscriptions
i'
M.lle Rivoire,' La Haj^e, L. 30 - Unimii
Cristiane Femminili, ViUlasecca, 40 - Qé- ’^íV
Nascite N® 2 — Decessi N® 2
Tr«ii« djroct^ur-^esponsaJblo
Térr« FéJKc« •'l«firpíin«ri« Alpine 8. A*
mentine Maggiore, La Tour, 25 - C. E.,
Id., 100. Ï ^
V ORPHELINAT.
Emilia Tourn, Rorà (ancienne Orpheline), L. 50 - Oléanthe Cocito, Turin, 50
- M.lle Rivoire, La Haye, 30 - Unioni Cri' stiano Femminili, Villasecca, 40 - X. Y. Z., .
«reconnaissant à Dieu », 100 - Prof. Baridon, Villar PellSce, 50 - Lidia Griset,
Paris (ancienne Orpheline), 50 - Selma
Longo, Flbrence, 20 - Clémentine Maggiore, La Tour, 25 - Armandi-Hugon Carlo,
Id., 10 - C. E., Id., 100 - N. N., Bobbio
Pellice, 100.
« IN MEMORIAM ».
Refuge ;
Fleurs à la mémoire de leur
cher père Joseph Long, Ites fil- -*
les et les beaux-fils, St-Jean L. 100,—
Caroline Decker-Boringhieri,
Turin, fleurs à la mémoire
du prof. Giovanni Ribet » 50,—
M. me veuve François Chanfo
ran, Genève, en souvenir de
son mari . » 250,—
Giancarlo e Luciana TosellS, StJean, in ricordo del Ibro caro
nonnetto » 50,—
Letizia lotti, Id., in • memoria
del suo amatissimo padre » 20,—•
Hôpitaux :
Flora veuve Peyrot, Lina, Alice
veuve Lorenzini, Phine, Lisette et Jean Bonjour, Bobbio Penice, en souvenir de
leur chère mère et bellemère Marie Louise Long
veuve Long- » 100,—
N. N., Pomareit, à la mémoire
d’ElSa Tron (pour l’Hôpital
du Pomaret) » 25,—
Zuocaro Alessandro, S. Secondo,
à la mémoire de Carlo Rostan, Pinasca (pour l’Hôpital
du Pomaret) » 15,—
Fleurs à la mémoire de leur cher
père Joseph Long, lies filles et
les beaux-fils, Saint-Jean » 100,—
Caroline Decker-Boringhieri,
Turin, fleurs à la mémoire
du pasteur Eli Jahier » 50,—
Orphelinat :
A la mémoire de son frère Daniel, du Perrier, TerzanoPons Marta, San Marzano
Olivete » 10,—
Fleurs à la mémoire de leur
cher père Joseph Long, les
filles et les beaux-fils, SaintJean » 100,—
Emma Leidheuser-Gardiol, Milan, en souvenir de M.lîe E.
Noerbel » 100,—
L. B., I^ Tour, une fleur en
souvenir de sa mère » 10,—
M. me Soderstrôm-Denech,, Ge- '
néve, en souvenir d’Elise Benech » 50,—
Genre David, régent émérite,
Pomaret, à la mémoire du ré- '
gent Luigi Rostagno » 10,—
C. E., La Tour, à la mémoire
de M.me Louise Mathieu-Vinay » 100,—
Avec des sentiments de vive reecHi,naissance. Pour l’Administration :
Le Président :
Avv. Stefano Peyrot.
COMUNE DI TORRE PELLICE.
Stato ClTlla dal 20 Sott, al 3 Ottobre 1987-IV.
' ^ I .V. -1 Ì V ^
pour les oeuvres de l’Egl. Vaudoise d’Italie
1936-193 7. - ■
NEW-YORK ET ENVIRONS. ' '
' ' ' (II« Liste). '
j Collecteur : Henri Rivoire.
Henriette Eynard, $ 1 - EmRia Gay, 1
- Paul Roman, 1 - Esther Malfroy, 1 - Laurent Rivoire, 1 - Michel De Pasquale, 1
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