1
^WPjMoiiraiit avec la Pi
¡’’■jl' d'abonnement par an
.... Fr.
J'Ii'anKer .
ex. à la même
^iliesse, cliaeuii Fr
Brê.Hil,l)iinoinark.
^Kypte, IJ (ill ají de ^ SiuVlê,
par
we.loii r J.'fvrrd <ÎP
Fr. H
^ . On a’aliohne
(iK ,'’’’«au trAdmini.sf.i‘Mt,ion ;
Pili Pasleiu’tí; ot s
à Torre Peîlir.e.
Annî;e XXXV. N. 35.
G’rtbomieiiient se payeU’avance.
iu >oM,-Pn: 2Í) ceuiiiïieH par espaoe
rt\- li[;;ne ponr 1 fois — Î5 oenfhnet! fie 2 à ."i fois et ?0 cent.iines pour n fois et au dodsus.
S'y;.li «îSHe> pour la îléflarlioii à M.
S' 'l'ourii, pii)f., Toî'ye ¡‘dlice et
jroMv r,-Vilfinuisfration à M. Jeau
•lalla. pvoi'.. '/'»ri-f! I't-ilice,
l')üt ohûyf^rnnmi iVadreaee coûte
lô eeïitîmes, sauf eenx du eomtrt'Mifemenf «le i’aiiuée.
L’ECHO
DK8 VALLÉES VAUDOISES
Paraissant chaque Jeudi.
iiiK aeriîi; lémoins- i«t.I,S. Suivant la vérité areo la ohacii.é. Ri’li- IV', 15. Qnn (on rèi;uB vioune. Malt, VI III.
Convocations —
neapoiidiuice
Sommaire :
Sur la 1 '(instil utioii
l\ir
-,—......... Le 1.") .août au Val Salut
Martin — Chroui(|ue — Xmivclle.s et fait.s
divers — Ouvrai;-cs reçus — Aiuiomes.
Société d’Utilité Publique
. L’Assemblée générale annuelle de
^ v;jnrlr>i<r* rVITtilîtA nnHlinno
3ciété vaudoise d’Utilitc publique
lieu mardi 4 septembre à S h.
*l2 du soir, dans la salle du Synode.
Ordre du Jour :
k-apport du Comité central;
î^omination du Bureau de présidence :
domination de inembre,s à vie ;
Approbation du Statut et du Réglement.
Communîcation.s et propositions
éventuelles.
Le Président
]>. ruvüiK.
^ogìgìg d’hisioirG iaudoisG
Isatis sa dernière réunion le bureau de la' Société a arrêté :
La .séance a.nnucllc se tiendra
lundi soir, 3 Sept, prochain à 8 h.
dans ILIfifiï Miujua du Collège.
2'^ l.a séance de cette année e.st
réservée aux seuls Membres de la
Société.
] / ordre du jour est établi
]->ar le réglement.
4*' Cet avis tient lieu de convocation individuelle de.s îdembre.s.
La Tour, le ‘¿H À<«U 1300.
At.ex. ViNAY, prémient
Pour r Evangélisation
Mercredi soir, 5 septembre, dans
la Salle du Synode, M. le pasteur
Ern. Giampiccoli donnera une séance
de projections lumineuses sur 1’ « Exposition de Paris». Le produit de
cette séance sera au profit de la
Cai.sse centrale du Comité d’Evangélisation, qui a un déficit de 30.000
frs. — Ces billets (oblation d’i franc)
se trouveront dès Vendredi en vente
à la librairie Gille.s,
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2
— 274
Sur la Constitution
Mon cher Directeur,
Je dois avant tout vous remercier
de m’avoir fait parvenir un exemplaire du Projet de Constitution
réimprimé par la Commission de
révision, et contenant, pour les chapitres qui restent k examiner, les
toutes dernières modifications proposées par la Commission. Il est de
toute nécessité que cette nouvelle
édition soit placée, dès maintenant,
entre les mains de tous ceux qui
sont appelés à se prononcer sur les
questions qui vont être débattues
au prochain Synode.
Je n’ai pas à revenir sur le Synode général. Le seul point sur
lequel la Commission ait retouché
le Projet est celui qui concerne la
fréquence plus ou moins grande des
Synodes. Le projet primitif les voulait de trois en trois ans, tandis que
le projet actuel renvoié cette question aux réglements. En effet, elle
n’est pas essentielle et, dans les
circonstances actuelles, avec le fonctionnement des Synodes régionaux
annuels, nous pourrions nous contenter d’un Synode général chaque
deux ans.
Là où la nouvelle édition du Projet est surtout reuue et corrigée, c’est
à l’endroit de l'Administration centrale de r Eglise, autrement dite
la Table. On sait que le projet primitif fondait on une seule administration, de onze membres, la
Table et la Commission d’Evangélisation. A sections réunies, cette
commission fonctionnait comme autorité représentative et administrative
de l’Eglise dans son ensemble ; mais
elle se dédoublait en deux sections
dont une administrative et l’autre
d’évangélisation. De cette manière,
on évitait, d'après la Commission,
l’inconvénient d’avoir deux administrations parallèles s’occupant l’une
des églises des Vallées, l’autre de
celles de la Mission.
Ce projet, la Commission le’f®'
connaît, n’a pas rencontré l’appr®!
bation générale. Il s’écarte d’un®
manière tranchée du système iiidiqu®
par la Constitution de 1855 et pr®^
tiqué depuis i860, consistant à t®'
connaître la Table comme admiüi®'
tration centrale et à conher certaines
œuvres particulières à des Commit'
sions spéciales. Ce système a
offrir dans la pratique quelques iB'
convénients ; mais on a le vagu®
pressentiment que celui qu’on pJ"®'
posait en présenterait d’aussi graves
et on craint de faire un saut dan^
l’inconnu. Cette lourde machine de
onze membres fonctionnerait-elle aVe®
facilité ? Ce n’est pas le cas ordì"
nairement pour les commissions nom'
breuses. Cette responsabilité qui »■P"
partient tour à tour à l’enseinhl®
et à une section séparée de la metP®
commission, n’est-ce pas cpieldjj®
chose ou de trop ' commode ou d®
trop gênant ? Ce partage des attp'
butions n’est-il pas bien compiigli® '
L’élection par le Synode d’une Ad'
ministration de ce genre serait-eh
facile ? Et pourquoi limiter absoD'
ment aux deux sections, admim®,
trative et d’évangélisation, l’actii^'^®
de la Commission exécittive du hiy'
node ?
Ces difficultés qui faisaient
cueillir avec répugnance ou
hésitation la proposition d’une A
ministration centrale à sections,
ramené les pensées vers le systèm®
établi par la Constitution de
et on s’est demandé si vraim®d
ce système était responsable d®
inconvénients auxquels on voudrai
parer ; s’il n’y aurait pas lieu
laisser subsister après en avoir
miné ce qui ne répond plus à l’®'actuel de l’Eglise. ^ ...
La Constitution de 1855
clairement le principe que la '1
est, d’un Synode à l’autre,
ri té représentative et administrai'
de l’Eglise», i.es œuvres paA'®
hères peuvent être confiées à d
commissions spéciales placées
3
—
la haute surveillance de la Table,
l-’unité est, par là, sauvegardée. Si,
avec le temps, nous en sommes
"^enus à avoir, — comme le dit la
1-ommission dans son introduction
S' la 2.'”® édition — «deux adminisItaüons parallèles qui s’occupent
l’une des Vallées, l’autre de la Mission et qui donnent à notre Eglise
l’aspect d’un beau corps, muni de
*ieux solides bras, mais privé de
l^te pendant 360 jours de l’année»,
est-ce la faute du principe fondaitiental établi par la Constitution ?
On ne saurait l’affirmer du moment
un la Table y est seule reconnue
comme autorité représentative et
administrative de l’Eglise.
Si, dans la pratique, on s’est quel^lue peu écarté de ce principe (car
d ne faut pas exagérer et la commission dans les lignes citées plus haut
^ chargé les couleurs) — a quoi
feut-il l’attribuer ?
Avant tout aux circonstances pro'''■identielles qui ont élargi d’une manière si rapide le champ de l’évanëiélisation et, par là même, accru
l’importance du Comité chargé de
diriger cette œuvre. Il est dans
l’histoire des nations comme des
■ cglises des circonstances qui concentrent pour un temps l'attention
®Ur une branche particulière des
services publics. Voilà, par exemple,
l^ien des mois que l’Angle terre a
les yeux fixés sur son Admiiiisb'ation militaire ; les autres ministères et l’autorité centrale n’en fonctionnent pas moins quoiqu’ils soient
moins en vue.
A côté de ces circonstances providentielles et heureuses, il en est
d’autres qui le sont moins. Comme
fruit de l’œuvre accomplie, le Comité
trouve à la tête de 68 stations
et de 46 églises, dont deux ou trois
feulement pourvoient à leurs besoins,
tandis que les autres s’attardent
mollement .sous la douce tutelle du
Comité. Eist-ce là un fait normal qui
puisse se prolong'er indéfiniment sans
amener quelque catastrophe ?
Si plusieurs de ces églises, par de
plus grands sacrifices, étaient arrivées
à être majeures, le Comité aurait
été mis à même d’être moins tuteur
d’églises déjà anciennes et davantage
fondateur et nourricier d’églises nouvelles, ce qui est sa fonction principale.
D’un autre côté, si la Table a
fonctionné, jusqu’à présent, comme
autorité régionale des églises des
Vallées beaucoup plus que comme
Administration de l’Eglise dans son
ensemble, cela tient en partie, sans
doute, à la Constitution elle-même
qui prescrivait que quatre sur cinq
d’entre ses membres dussent nécessairement résider dans les Vallées
— qui lui assignait des fonctions
se rapportant surtout aux églises
reconnues comme paroisses ; cela peut
tenir aussi, en quelque mesure, à un
effacement volontaire de sa part au
profit de l’œuvre d’extension. Mais
cela ne tient pas au principe posé
dans la Constitution de 1855. Ce
principe a pu être, par le fait des
circonstances et des hommes, imparfaitement appliqué ; mais il subsiste
et ne demande qu’à être mieux suivi.
C’est là le point de vue auquel
s’est rangée la majorité de la Commission de révision dans les dernières
propositions qu’ elle présente. Elle
maintient, dans ses lignes essentielles, le chapitre de 1855 relatif à
la Table « autorité représentative et
administrative de l’Eglise » d’un .Synode à l’autre ; les œuvres spéciales
étant confiées à des Commissions
placées sous la haute surveillance
de la Table et responsables au Synode. Seulement, elle supprime tout
ce qui donnait à la Table un caractère forcément régional et la met
en relation directe avec toutes les
assemblées de district, pour tout ce
qui a trait aux intérêts généraux de
l’Eglise. Elle maintient à cinq le
nombre de ses membres et pour en
faciliter le renouvellement, ainsi que
celui des Commissions, elle propose
que « les membres de la Table et
4
276 —
des Commissions synodales ne puissent demeurer en charge .au delà de
six années consécutives, dans les
mêmes fonctions».
Déchargée d’un côté de la surveillance des églises particulières par
les Commissions exécutives des districts et de celle des oeuvres spéciale.s
par d’autres commis.sions synodales ;
délivrée de toute attache trop régionale, la Table pourra être à même
de remplir plus complètement ses
fonctions d’Administration centrale.
Le Synode fera-t-il bon accueil à
ce minimum de modifications à l’ordre actuel ? Je ne saurais le prévoir
d’une manière sûre, niais je ne puis
m’empêcher de le croire.
Il est temps que je m’arrête : si
j’ai réussi à attirer l’attention ne
fut-ce que de dix personnes sur les
questions auxquelles j’ai touché, j’estimerai n’avoir pas perdu ma peine.
Votre dév.
X.
COjBiESFÛMBâlCI
s. 28. 8. 19(0
Mon cher Echo,
J’ ai reçu, il y a quelques jours, le
journal anglais «The Queen » splendidement illustré, qui contient un
article sur Tori'e-Pellice. Il y aurait
beaucoup à rectifier, mais kk non
est locus. Je me limite^à transcrire
le paragraphe qui nous e.st, et sera,
le plus nuisible. Le voici;«.Depuis
le temps de Cromwell l’Angleterre
passait un subside, — que M. Gladstone a aboli — à la Communauté
Vaudoise dans les Vallées.... Mais
comme les Vaudois sont très à leur
aise — pour ne pas dire (qu’ ils nagent) dans l’abondance — il n’y a
pas de raison pour qu’ils continuent
d’être les pensionnaires (?) d’une nation. Un propriétaire de l’endroit
me dit que presque tous les banquiers
prospères de Turin sont des Vaudois.
Les longues-barbes (q'est le terme
Vaudois pour désigner les pasteurs)
possèdent des terres et des vill^;*
en abondance (plenty) dans les
rons de Torre-Tellice; outre le côL
lège et les beaux (fine) édifices de
la Communauté bâtis pour comwé''..
morer le bicentenaire de leur glorioU^
home coming. »
Des amis d’Outre-Manche m’ayuu
demandé si les choses étaient telle®»
je me permets de demander P®''"
voie de VEcko an propriétaire qu' ®
fourni les données à 1’ auteur
l'article:
i" Pouvez-vous, sur votre ho"'’
de ’
neur et conscience, affirmer que
(¡ne tous (nearly all) les banquie''®
prospères de Turin-sont Vaudois? •C’est un énorme mensonge, avoiiezde>
2^ Pouvez-vous encore affit'®®’"
que les pasteurs possèdent « tef®®^
et villas en abondance dans les s'*'
virons de T.-P. » ou même ailler"^® _
Maintenant de deux choses l’uie<
ou bien ce propriétaire est d’"^®
crasse ignorance, ou bien il .sent^,
le besoin de soulager son foie irt'l-®
en déversant le trop plein de
contenu sur 1’Eglise Vaudoise.
ses informations nous le montre"
sous.... un angle qui n’est pas droit**"
mais bien obtus. En croyant
montrer du cerveau, il nous a mO"^‘
.... ses oreilles.
Nou.s nous en appelons de l’aute
de 1’ article mal informé, à 1’ auteq
de r article bien informé. Car,
le coup, il a montré de ne pas
plus de jugement que de barbe ®
menton. Et si c’ était une femme?—'
Ton bien dévoué
X. Y. Z.
Le 15 Août au Val Saint
MBSisel 20 Août I9t0 „■
Mon cher PJcho ^ „j
So conformant à l’usage g®*'
de nos Vallées, les Eglises d® ^
haute Vallée de S. Martin
aussi cette année leur fête du
5
277
seulement.... c’était le ig, et
^ns l'après midi .seuîcnienc, diaqiic
^8llise ayant eu dans la matinée,
culte ordinaire du Dimanche
'*'atin.
La localité désignée pour cette
g'inion en commun était le C'ro.s la
un magnifique petit plateau
forme de cuvette ombrag'é par
Sapins et des mélèzes gigantos'1^6s tout près du Col des Fontaines
la route qui de ce col conduit
ji^alse. Ceux qui connais.scnt à fond
, histoire vaudoise, pouriaiient peutnous dire si vraiment cette
^halité a été le théâtre d’une ou
plus!
ou
leurs guerres ou batailles, livrées
*lér:
par nos ancêtres, ou si ce nom
nve seulement d’une lég'ende peu
®cise et moins connue encore. Ce
je crois pouvoir leur dire moi,
< h nom des quatre à cinq cents
^htsonnes qui se sont réunies hier
hs ces délicieux ombrag'es, c’est
la paix dont nous avons tous
;i'^'_au Gros la (.xuerro, nous pous^'"hit à changer ce nom en Cnm lu.
si la géographie s’ écrivait avec
impressions comme celles que
^Us en avons emportée après y avoir
xsssé une heure et demie ensemble.
temps, pluvieux la veille et
dCore dans la nuit, et qui se remit
pluie le soir môme, nous fut
™i"ticulièrement favorable, si bien
nous eûmes non seulement un
^Ombreux contingent de Pral, Roj^Pmt et Massel, mais aussi de Perrierppneille. Les cinq pasteurs présents
® auraient dû être plus nombreux
fut
avo
ore) ont tous pris la parole. Ce
fi’abord M. J. J. R. Tron pasteur
i^assel qui présidait et qui aprè.s
Pré,
ir lu les paroles de Actes II,
747 traça un tableau rapide mais
cis de r Eglise primitive de Jé,j,^h.lem en la propo.sant comme mo®> aux Eglises de nos jours et
pf particulièrement â la nôtre. Enj^hte M. (jiraud de Pral parla avec
çi^hcoup de clarté .sur le socialisme
^etien, le vrai, celui qui ne consiste
^ ® à dire : nous .sommes pauvres,
il huit détruire les riches, mais bien
plutôt: nous, sommes riches (et qui
ne l’est dans une certaine mesure?)
nous devons secourir ceux qui sont
moins favorisés que nous. Enfin M.
I .ég'er pasteur à Rodoret, termina
ce.tte partie religieuse proprement
dite en insistant avec beaucoup de
force sur le culte qu’à l’exemple de.s
Apôtres nous devons rendre à Dieu
dans r assemblée de nos frères et
dans nos maisons particulières, et
concluant que notre vie entière doit
être un culte et un témoignage rendu
à notre Sauveur et à notre Roi.
Après cela, M. II. Pons évangéliste
à Païenne nous donna d’intéressants
détails sur 1’ œuvre d’évangélisation
en Sicile et M. le missionnaire Davit
nous parla des devoirs de l’Europe
Chrétienne à 1' égard des payens de
rAfric[ue Australe.
Une commémoration de notre roi
bien aimé llumbert I avait déjà été
faite à Mas.sel le Dimanche 12 courant, où avait parlé outre le pasteur
de la paroisse, M. C. A. Tron de
S. Germain. Plusieurs allusion.? à la
fin tragique d’Humbert, et au beau
commencement du règne de Victor
Emmanuel Ht, n'en ont pas moins
encore été encadi-ées de temps en
temps dans les courtes allocutions
des orateurs. Enfin dans la prière
finale faite -par M. Giraud a tenu
encore une grande place, l’intercession en faveur de l’Italie affligée,
de la reine mère si cruellement séparée de son époux, et du souverain
actuel qui a reçu si soudainement la
couronne, dans des circonstances si
difficiles.
Des chants bien conduits grâce à
la présence dos trois régents de
Massel, Maneille et Bobi, furent intercalés entre chaque discours, et
contribuèrent pour leur bonne part
à la réussite de cette fête.
Zéro,
6
278
tí fi îi O j\ I Q li fi
La Session syiioilsilc s’ouvrii'a
lundi prochain, B sepienihre, à 2 iieiiro?,
pai' un culto pi'ésiilé par M. le pastouiPaolo Calvino, de Lugano, et suivi
de la consécration un saint ministèro
de MM. .Howard Théopliiie Gay, de
Naples, et Henri Pons, de Massel.
Cornine ceux qui P ont précédé
depuis 1897, co Bynodo porto en tête
de son ordre du jour l’exainoii du
projet de Constitution, qui se poursuit
lonteinent et laboricnsoinent depuis
plusieurs années. Ij’accueil favorable
que paraissent avoir rencontré les nouvelles inodifioations proposées par la
Commission, nous porte à croire que,
cette année, cotte œuvre aussi importante que laborieuse pourra être conduite à bonne hn.
Nous relevons du Rapport lie lit
Table que les registres de nos 19
paroisses (y compris celle do Cosmopoli ta-Avtilloros-ltiacliuelo) portent ensemble, pour r année ecclésiastiifue
écoulée, 14554 membres d’Eglise,
2489 électeurs, 5(145 auditeurs au
culte principal, 989 catéchumènes ,
427 admissions, 4550 élèves aux écoles
primaires et 3707 aux écoles du dimanche. Il y a eu 670 baptêmes, 170
mariages et 514 ensovelisscments. Les
contributions ao sont élovéos en tout
à L. 81195,55.
La Tour. M. le président de l’Huioii chrétienne de la Ville noua prie
d’annoncer que, pendant la semaine
du Synode, la salle de V Union (vieux
Pensionnat) sera ouverte au public,
qui y trouvera papier planica et encre
à sa disposition.
Saint Jean. L’ a.ssemblée électorale
de la paroisse do Saint Jean a procédé dimanche à 1’élection d’un nouveau pasteur. Une réunion préparutoiro
avait eu lieu deux semaines auparavant. Deux candidats y avaient été
proposés : SI. le docteur Théophile
Gay, pasteur évangéliste à NapD^, *
M. D. Léger, pasteur à liodoret
’a candidature de M. Gay qui
cté dès lors accueillie, avec le
faveur.
Â. la votation de dimanche,
Si. G'Î ^
a eu la presque totalité des sun*’®«
141 sur 155 votants. D’aprèa
informations que nous avons 1^®'' m ,
croire exactes, JL le D;r Gay
subordonné son acceptation à eertii*
conditions, que la paroisse, l’un®
plus favorisées sous le rapport
ressources matérielles, s ’ empr®*®j^^.
sans doute de remplir. Que .Dieu
nisse le nouvel élu, dans sa b®*,® ^
difficile tâche, et l’Eglise qui
appelé avec une votation ai honoré
pour lui.
NouYelles et faits divers
Croix-Rouge.
.clfiir®
I.a petite bro' ^
de i6 p. mentionnée aux
reçus renferme des données
téressahtes sur les' progrès et 1®
vail accomplis dans le
l’année dernière par cette exce^ j
institution. Nous allons glaner
par-là les quelques détails .que
croyons propres à intéresser
particulièrement nos lecteurs.
La Croix Rouge Italienne jgg,
pédié à la Croix Rouge
à l’occasion de la guerre du I
vaal, 630 cai.sses contenant du
italien, du marsala, et autres ^
fins, du jus de citron etc.
Croix Rouge du Transvaal 66
renfermant des instruments d® gprurgie, des médicaments et ^ du
blimé corrosif. Le tout a ete
avec la plus vive reconnaissae®®^jpi
Dans le courant de l’été non ^ à
de 355 caisses ont été eiivoy®
nos soldats en Chine. Elles
liaient du marsala,
4eS'
ço'
, du cogaC; d®
mouth, du tabac. La .Société 5I
clare prête à renouveler 1’
le besoin s’en fera sentir.
Plusieurs familles de militait®®
v®r.
a
7
27Í)
Afrique, qui n’avaient pu obtenir
Hori
Modeste
Seulement
pension
de
reçu un
l’Etat, ont
subside de
Croix Roug'c, mais la Société s’est
g^^P’^^ssée de faire des démarches
f^t faveur afin que justice fût
patrimoine de l’association atÿ chiffre de fr, 6.474.674,23
Y 5°’^pris le matériel qui est estimé
plus de deux millions et qu'on
détailler comme suit ;
° hôpitaux de querre de loo lits
2> » » » 50 »
ambulances de montagne
*5 trains-hôpitaux
H postes de secours « ferroviari »
^ ambulances fluviales
^ tiavires-hôpitaux.
h
iu
Société sont
24.000 environ, ré
p ^ombre de
ds en 363 sous-comités.
York. On nous communique
l’Eglise du Saint-Esprit (fondée
•Ñ,
*6^8 par des Huguenots réfugiés
6w-York) vient de fonder un
pour les Jeunes filles de langue
I0 Cette institution, qui portera
^^tiQm d'Jsiifi Jhi/jimiot, se trouve
Un des plus beaux quartiers de
«''die. A partir du mois d’Octobre
'^''chain,
on y recevra temporai®nt les jeunes filles venues à
5p®"('York dans l’intention de prendre
dans les familles américaines,
due celles qui, s’y trouvant
Sont momentanément .sans place.
(J, directrice de l’asile se chargera
lier chercher les jeunes personnes
. hateau et de les placer.
ÎoU prix de pension sera de quatre
^ars (20 francs) par semaine.
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Xa Bbatroisse IDauboisè be Cui’iti
1849-1899
PAR
ERNESTO GIAMPICCOLI
Pr. L. 1,25
en vente à la Librairie Grilles — Torre PelHce.
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À louer
en octobre pr. deux, quatre ou six
pièces, avec jardin.
Eau potable et g-as.
Eau courante pour lavage et arrosage. A . 5 min. de la Tour.
appartement
de .5 pièces au premier
louer de .suite. S’adresser à M-f lijgé}’
Cdï.SSOII aux Appiots(Torre
J. Jalla, <!ercn>t-admÍHM}'<i^^
La Tour — Imprimerie
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