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Prezío LIr# li
.^niio LXXIX - N. 16
TORRE PELLICE, 29 Aprile 1949
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■v'Ì'g»»:
“Avendo spoigrliato Tprlnclpatl c le potestà ne ha
fatto un pubblico spettacolo, trionfando su di loro per
mezzo della croce,,. Paolo
DELLE VAL
SETTIMANALE DELLA
La joie chrétienne
Ce que je dis, étant encore dans le monde, je le dis
afin qu’ils aient la plénitude de ma joie (Jean 18:13)
CHIESA VALDESE
"CET
Jésus dit : ma joie, comme il disait, quelques insUmts plus tôt, ma
'paix.. Il ny a pas, hors de Lui, de paix digne de ce nom. Il n’y a ¡ms,,
hors de Lui, de joie digne de ce nom, de joie parfaite.
Cette, joie est sieime. Elle n’est pas nôtre. Nous ne pouvons pus
/« faire naître en nous par la veirtu de je ne sais quelle hygiène optimis
te, par une sorte d’auto-suggestion croyante, par un quelconque entraînement à la suavité, par héroïsme ou par dérobade devant les tesfionsahiliiés et les sacrifices.
Lu joie est d’ailleurs. Elle vient d’En hiaut. Elle nous est offerte,
elle nous est promise, elle nous est donnée. Nous ne pouvons que la recevoir de Celui en qui habite Ik plénitude de la joie, la joie ruyonnasnte,
paisible et durable que Jésus a annoncée dès les premiers jours de son
ministère.
Soitvenons-nous que l’intercession du Christ est de tous les siècles;
'‘‘qu’il demande au Père, aujourd’hui-même, que nous recevions la
plénitude de la joie.
On connaît ce roman de Giono qui s’intitule ; Que ma joie demeure. L’auteur, un jour, u expliqué que son titre lui a été suggéré par le
Choral que Jean-Sébastien Bach a écrit sur ce thème: 0' Jésus, que ma
«joie demeure», mais qu’il a, à dessein, écarté Jésus, parce qu il ne
voulait pas tenir sa joie d'un autre, parce qu’i! ne faut lu devoir qu à
soi-même. Aux croyants, aux rêveurs et aux chimériques la joie que
lésus donne.
Je crois, pur devers moi, que la chimère et Le rêve ne sont pas
du côté que Giono pense. «.O Jésus, que ma joie demeurey)... Quand
Bach chantait ainsi, il priait ainsi en lui-même: « 0 Christ, demeure en
moi et i|ue je demeure en toi»,
La joie, c’est, selon l’Evangile, le signe que la Parole vivante de
Dieu habite en nous, en notre condition charnelle et mortelle, qu’elle y hchite, « pleine de grâce et de vérité ».
^ J affirme donc, eq premier que _la^ joie est un grme que Dieu
nous fuit pur Jésus-Christ, notre avocat auprès du Père.
qu’éclairait la splendeur de VEternel dans la miit du dcsert. Ainsi,
ceux qui la oonnaisseai. le moins, cette joie surnaturelle, ceux qui
sont le moins capables de là connaître, ce sont les heureux de ce monde - ceux qu’on appelle ainsi - ce sont les épargnés, ce sont ceux qui
prennent pour devise i Pour vivre heureux, vivons caiJiés.
S!i le Christ nous |uit don de sa joie, c’est dans la mesure où nous
avons part - je cite Phil. III lù - a à la puissance de sa résurrection et
à la communion de ses souffrances »; dans la mesure où, nous étant
chargés de notre croix, nous nous mettons à le suivre. La vie chrétienne,
en effet, est une «imitation de Jésus-Ckrist»; il faut prendre ce mol dans
son sens le plus simple et ne le prononcer qu’avec humilité très grande
guerra fredda, che paralizza molle
attività umane o le distoglie da fini
costruttivi; e non è neppure eorato
affermare che esso consolida certe
posizioni e cristallizza certi atteggiamenti nefasti alla pace del mondo.
Je remarque, en second lieu, que la joie, <Ians le Nouveau-Testament, est généralement conjointe à la souffrance.
« Les apôtres étaient remplis de joie, raconte le livre des Actes,
parce (pi’ils avaient été jugés digues de souffrir pour le nom de Jésus»
{Actes V 41). Aux Corinthiens, Paul déclare qu’au milieu de toutes
ses afflictions, il est comblé de joie. (II Cor. VII. 4).
Cette grâce insigne de Dieu nvst donc pas annulée, à peine est-elle
violée, ¡Mr ¡es détresses et les adversités. On pense plutôt à cette nnee
Mais encore, de quoi cette joie eSt-elle faite? De quel métal est-elle
forgée? D’héroïsme extrême, de vengeance ttiomphanie sur le Prince
de c« monde? Certainement rwn. Lorsque les soixarde-dix disciples
revinrent de leur première mission, disant: « Seigneur, les démons
même nous sont soumis en ton nom », Jésus les arrêta: « Ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont assujettis, mais réjouissezvous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux ».
Parce que Dieu est amour, parce, qu’il met tout son ciel en fête
pour un seul pécheur qui se reperU.
Jésus possède lu joie parfaite à l’heure où il sait que, par son stdorifice, l’oeuvre de rédemption sera pleinement accomplie, que, «lorsqu’il aura été élevé, il irttirera tous les hommes à lui». C’est alors qu’il
donne à ses discip'cs lé commandement nouveau: « Aimez-vous les uns
les autres comme je vous ai aimes...»
La joie chrétiennes-vous le voyez, si elle est généralement liée à la
souffricmcé^ l'est aussi'à l’amour. Il ne faut pus la confondre avec le
triomphe du propaga^iste qui fait des adeptes, du fanatique qui fait
des prosélytes. La j.tfP-tie- l’apôtre de Jésus-Christ est d’un autre ordre.
Elle est de l’ordre de ht chkrité. Elle n’est pas le fruit du zèle, de la
conviction et du succès. Elle est un reflet, sur le visage et dans le coettr
du croyant, de l’Amour rédempteur.
Inoltre, non si può non osservare
ohe la politica dei patti conduce inevitabilmentc a nuovi armamenti.
Sono già stale annunziate le somme
favolose che il Governo americano
intende stanziare per dare al Patto
Atlantico un contenuto reale, non
solo sulla carta, ma anche nei fatti
e nelle garanzie di carattere militare.
E a poco a poco ci verranno rivelate
anche le cifre che i bilanci di altre
nazioni, come la nostra, dovranno
dedicare alle spese militari, mentre
la nazione mostra ancora tante ferite
di guerra ed assiste impotente o incapace allo spettacolo di tante ingiustizie individuali o sociali che
andrebbero sanate ed a tante opere
che dovrebbero essere compiute con
le entrate dei .bilanci per i] benessere di tutti. «Prima di aprire le
porte ad una nuova guerra», scriveva ultimamente un giornalista francese, «chiudete quelle dell’ultima».
E ve ne sono ancora tante!
{Extrait de la prédication prononcée par le Pasteur Mare Du Pasquiet\
de Nearhâtel à l’ouverture de VAsumhlée des délégués des Efj^ses prèshytériennes. à Genève, le M Août 1948.
JS ans rènierçions sincèrement le Paefeur M. Du. Pasqunr pour nous
avoir permis de piihlier cette méditation.) Red
Xa nostra proposta
Ci si potrebbe obbiettare: ma allora, che intendete proporre? In
realtà, sul piano politico non abbiamo nulla da proporre e le nostre riflessioni hanno il semplice scopo di
mettere in luce alcuni aspetti, sian
pure negativi, della politica dei patti. Ci saranno indubbiamente anche
degli aspetti positivi; e poiché non
dobbiamo astrarre dalla realtà dei
fatti, può anche darsi che il Patto
Atlantico costituisca uno dei mezzi
capaci di assicairare per qualche
tempo all’umanità una pace relativa:
ad una umanità <he, al di qua e al
di là del sipario di ferro, sembra a■limata da buoni propositi di pace
c va griidlando a perdifiato che vuole
Dopo il Patto delle Nazioni Unite
per la dihsa di tulli contro tulli,
dopo il Patto di Bruxelles per la difesa dei « cinque », anche il Patto A
tlantii’o j)cr la difesa dell’Europa
Occidentale e deirAinerica del Nord
è vm dato acquisito nella storia politica del mondo contemporaneo. I
delegali delle nazioni componenti lo
hanno firmato nel corso di una solenne cerimonia, e nessuna petizione
popolare riuscirà ad ottenere altro
risultato se non quello di una protesta, sia pure di una vasta, significativa protesta.
POLITICA DEI PATTI
la pace, ma intanto cerca la propria
sicA! rezza nelle conquiste Ideologiobe, territoriali, nella potenza delia
menzogna e delle armi.
Mai, in questi ultimi anni, un patto intemazionale aveva suscitato tante approvazioni e, al tempo stesso,
tante violenti .radicate opposizioni.
. Anche da noi, anzi specialmente in
Italia, l’opinione pubblica è stala
profondamente divisa e una massa
di persone sono rimaste perplesse.
Si è fatto bene ad entrare ne] blocco
atlantico che è. in realtà, uno scl ieramento antisoviético? Si poteva non
entravi, dal momento che l’Italia
dipende in grande misura dagli aiuti americani per la ripresa della sua
vita economica e materiale ? Non
era possibile rimanere neutrali e
pronunciare una parola che suonasse
condanna di tutti i patti, anche se
Í di non aggressione ? La non adlesiione
al patto non avrebbe forse significato a più o meno lunga scadenza la
possibilità di cadere nella zona
*’■ d’influenza o dl’invadenza sovietica?
seussioni; gli uni affermando di aver
salvato la patria, gli altri giurando
di averla spinta sulla via di una
nuova, tremenda conflagrazione mondiale. L’antagonismo fratricida che
è una delle tante «tradizioni» del
popolo italiano non è mancato nep)nire questa volta. Tutti ricordlano
come gli onorevoli deputati si siano
azzuffati in Parlamento, dando sfogo all’intemperanza più deplorevole;
talché un giornalista ha potuto scrivere non senza ragione ; « Qualcuno
ora potrà esclamare dinnanzi ad una
violenta chiassata: Ehi, qui non siamo a Montecitorio..!».
le nazioni che vogliono servire la
Causa della yiace e favorire lo sviluppo della morale c della cultura cristiana.
jfilcuno deduzioni
Valutazione politica?
A queste e ad altre domande gli
italiani hanno risposto con la vivacità e l’impetuosità delle loro di
Non abbiamo alcuna intenzione
di offrire ai nostri lettori una valutazione politica del Patto Atlantico
né crediamo «li doverci pronunciare, come Chiesa, a favore o contro
il Patto stesso^ anche se, al di qua e
al di là dell’Atlantico, alcune Chiese hanno preso ufficialmonle posizione, per lo più favorevolmente.
Radio Vaticano, riferisce >1 giornale
Réfoime, in una trasmissione del 2(1
Marzo, ha dichiarate «he « il patto,
n^^la sua essenza e nel suo scopo,
costituiste uno sviluppo dej pensiero papale, anche se il pontefice Pio
• XII non ha in alcun modo parteripaio alla sua costituzione». La Chie-a
Romana .aggiunge ancora il giornale francese, intende sostenere tutte
I delegali delle Chiese Protestanti Americane, riuniti a Cleveland,
sotto gli auspici del Consiglio Federale delle Chiese di Cristo, hanno
elaboralo una dichiarazione sulla
«responsabilità morale e sulla potenza degli Stati Uniti» ed hanno
inviato al Presidente Tniman un
telegramma a proposito .dici Patto
Atlantico. Nc pubblichiamo una
parte soltanto: «... Dal momento che
non esiste ancora la base necessaria
per lo stabilimento di un diritto e di
un ordine universale, gli Stati Uniti sono liberi di unire la foro potenza politica a quella di altre nazioni
per mezzo di patti regionali, come
lo prevede e lo auspica la Carta delle Nazioni Unite. Se s mo veramente
coiìcepiti nel quadro delle Na&ioni
Unite, se sono fondati sulla comunanza naturale di interessi e destinali a conservare ed a favorire il benessere generate delle nazioni contraenti, i patti regionaii possono consolidare la sicurezza comune. Al
Contrario, e.ssi rischiano di aggravare la non sicurezza generale, se i termini nei quali i patti sono concepiti nascondono tin’alletàusa innanzi tutto militare che può, giustamente, sembrare aggressiva alle altre nazioni...».
Ma, se crediamo di non dover valutare il Patto nel suo significato cminentemente politico, desideriamo
però fare alcune deduzioni di carattere generale.
Certo Gesù non ha detto: «Beati
gli oratori o i cantori della pace»,
ma «beati gli operatori della pace» :
il che è ben diverso .
E’ triste, a quattro anni di distanza dalla fine di ima guerra che ha
richiesto il sacrificio dì quaranta
milioni di vittime umane, vedere
l'umanità cosi proltmdameiite divisa, oltre che dia ideologie diverse,
dai sipari di ferro, dalla politica dei
patti, dei blocchi, delle alleanze. La
storia, purtroppo, è una maestra da
cui sembra che gli uomini non voglia
no imparare nulla. Se avessimo bisogno di una prova per veramente
credere che il peccato è all’opera
nell’umanità, bas crebbe osservare
a qual punto l’opera della ricostruzione della pace è ostacolata in tutti i paesi del mondo.
Un giornalista frances«- ha definito
il Patto Atlantico un «male necessario». Sarà. Si è voluto porre un
argille ad una crescente minaccia, si
è voluto opporre ad un blocco di
forze ideologiche e materiali un
blocco altrettanto e più potente : il
blocco dei cosidfelti popoli liberi o
amanti della, libertà anche se sotto
il manto di quella libertà ci sono
delle pesanti sihiavitù. Comunque,
per quanto necessario, quel male serve a confermare l’esistenza di nna
Ci sarebbe una proposta da fare,
ma nei Ministeri «legli Esteri o sulle
piazze di questo mondo essa è sicura di non essere presa in considera- '
zione. Pure essa possiede un immenso valore morale e spirituale. Bisognerebbe credere, ma credere «davvero, c«jme dice Paolo, che «in Cristo Gesù, ve» che già eravate lontani,
siete stati avvicinati mediante il sangue di Cristo. Poiché è Lui che è la
nostra pace; Lui che dei due popoli
ne ha fatto uno solo ed ha abbattuto
il muro di separazione con l’abolire
nella sua carne la causa delf’inimicizia, affin di creare in sè stesso dei
due un solo uomo mtovo, facendo
la pace; ed affin di riconciliarli ambedue in un corpo unico coti Dio,
mediante la croce, sulla quale fece
morire l’inimicizia loro».
Ma forse questo linguaggio é troppo vecchio per la generazione dell’èra atomica. E’ una predica inutile. E’ un’antica favola per i poicri
di spirito. L’umanità preferisce seguire la propria via, die è la via
della falsa sapienza, dei dblori a catena e del piti o treno totale disorientamento.
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cesimo, puuicheranno il battesimo desìi adulti
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mentre il pedlobattesimo J veau, ’ il ne peut Voir le royau'mel
daUà chiesàif ròmana
La domenica «Ielle sono
stati ammessi nella Chiesa Kvang< lira Valdese dj Tcsifew^"H catceunK“-^
ni adulti (cop questo Iternnpc
battezzare i nostri catecumeni arbiìti.
Senza falsrt scrupoli, per l’oiuire li
»io. m , A V- .
r'.ìtS-yi-*
sianiifii-ato.
vcn^i'3.
gono conmnenicnté ^-te^t quei ca*^
tecppieaii ohe non n.inriii s<?guil<« un ^
coeso di ¿.‘stijnrione,'u’ì'*'l iun.x « «me
coronamento lolla Scuola Di'ini ni
cale), dei quali la metà sono stati
battezzati seuoudo il rito cvaiifiidìco, ’
Questi catecumeni erano già stati baf- ■
tezzati. con il rito cattolico Alcuni
di essi avevano 'Operato «la tempo tI
\ mezzo del >.amnnn dì n. sita xita »
Questa celebrazione dU baltesimu,
o per meglio dire, di un secmulo battesimo cristiano, solleva tutto il problema polemico del battesimo cailolioo, e pone un problema psicologico di prim'orUine, su cui vale la
pena di fermarsi un istante
Infatti:
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«Sii^
w
ir
mento del sito diverso
Psicologicamente parlando, tale mio.
priinipio s’impone, non più e
vo
Com’è noto, il canone IV della
sessione VII del concìlio di Trento
stabilisce l’miatema per dii asserisca
che il battesimo degli eretici, purché dato nel nome del Padre, del Iiglio e dello Spirito S^nto, con l’intenzione di compiere quello che compie la Chiesa (« cum ìntenlione laciendi, quod fadt Ecclesia »), non sia
valido. "
Su questo testo ineccepibile si fondano e si sono fondale tutte le proteste dei nostri fratelli, ogniqualvolta, in atubiente di matrimonio misto,
i nonni cattolici hanno approfittato
di un meanento di disattenzione dei
coniugi idi religione mista per far
battezzare una seconda volta - cattolicamente - i loro pargoli.' Il battesimo degli eretici è valido. Se im parroco lo ignora, o finge di ignorarlo,
peggio per il parroco che neppure conosce le regole canoniche!
Un equivoco
cose non stanno precisamente
Le
così.
In realtà, la riserva « con l’iutenzione di compiere, quel die compie
la Chiesa » è il ponte dell'asino di
questa polemica, forse simpatica, ma
inutile.
Poiché il canone IV avrebbe una
sua ragione d’essere soltanto nel caso
in cui il battesimo degli eretici (il
nostro, dunque!) sia fatto con le stesse intenzioni con le quali è amministrato il battesimo cattolico.
Ma il battesimo cattolico e il bui
tesìmo evangelico non hanno alnm
punto in comune, tranne (ma forse
neppnr quella) l'acqua. E’ un equivoco pericoloso che essi siano riientiti uguali.
Il battesimo cattolico lava il peccato originale (lo elimina) e lava pure !<• colpe attuali (le caiu:ella), eonipiute anteriormente al battesi i « sles.
so. Esempio classico, l’imp« rateie
Costantino, il quale ritardò fino alla
fine della sua vita, di farsi liattezzare, e trovò così il tempo per procedere, con ...garbo, alla eliminazione
violenta dì quei dodici o tredici faniiglìari che disturbavano il suo quieto vivere! ! !
Nulla di ciò é nel battesimo evnn
gelico. Quest’ultimo, secondò Pielm
è K la ricbieslti di una buona cosi !"i!za fatta a Dio »; o, più modemanu-n.
te, é rimplorazioiie della grazia di
Dio sulla creatura die deve essere
battezzata (quando si tratta dì un
pargolo), o una professione di fede
pubblica (quando si tratta di adulti),
E il peccato originale? Niente la
vaggio, secondo gli evangelici. E il
limbo, cui sono destinati i faiu uilli
nbn battezzati ? Una fola non bi’nliea. Essi non abbisognano di nulla dì
tolto ciò.
I preti e noi
Di'l resto i parroci - che sanno generalmente molto bene a qual partilo attenersi - hanno, anciie in questo
caso, preso posizione. E l’hanno presa
con un nettissimo atteggiamenlo confessionale.
Battejszano i già battezzali, ribattezzano a richiesta senza alcuna difficoltà (tì sorta, battezzano entro ì tradizionali otto giorni.
E noi? Io dico che. noi dovremmo
L se il baUesimo senza la clausoia
. dcirinteiueìone non-è valido per la
' Chir Sa cattolica, perchè dovrebbe
^ eswirlo per noi che siamo convinti
.di compiere tm rito che non è il
rito cattoilico? • *
Il battesimo tridentino
Il neofita che viene a noi ■'■b ledendoci l’ammissione nella nostri
chiesa, è persuaso che, isinilto
non meno di umeambìamento di no»
me. Il significatbt che gli viene dato
ex-uovo, il bisogilto di chiarezza e di
diilereuziazimie dal rito cattolico, la
volontà di un’esplicita testimonianza
della grazia dìvipA o della propria
fede lo esigono, V. ^
Rileui imo dunque che gli adulti
proveniinti daUa'^iesa romana debbano venire nbattezzati'.
nelle nostre anagrafi, nulla piti in
Im lo rìallaceerà al passato, dj cui
ora si versTogna. .Perchè costringerlo a erodere, che ciò non valga perii hattesiino, e sopratutto quando
il hiiUesimo da lui ricevuto lo riallaccia il 1 imediabilmenlc a quel
pa'isnto clic non viiolt« più ricordare'^
Imprevista soluzione
di un problema battesimale
,1
Risoirna proprio essere più generosi - e intorno a cose che, come
l’anima, non \sono infine nostra
proprietà - dei cattolici, quando questa generosità non viene eer.
to praticata nei nostri riguardi dai
cattolici stessi?
Di rimbalzo, ne verrà anche ri.solla, in modo imprevisto, la questione
se si delrhano battezzare gli adulti o
se si debba attenersi al pedobattismo.
Infatti, le eliiese che si atterranno
al ooncctto del secondo battesimo dei
catecumeni provenienti dal calloli
limarrà e«cluiivamente il rito dei figli dei membri di Chiesa, i quali « all’atto della: loro ammissione nella comunità, passeranno per il rito ecclesiastico della confermazione del loro
battesimo. 3-, , ,
In patte, questo è ciò che le nostre
. ,eorauiiità già fanno, ma tollerando
per buono il battesimo oaltolìco dei
fmtccnmcni provenienti dal oattolice. simo. La chiarificazione che pr’ópoiiiamo ha il risultato di dare al battesimo degli adulti quella cittadinanza
nelle nostre comunità che esso ha giuslainenU' il diritto di avere (come
nelle chiese missionarie idcll’età apostolica); mentre limita il pedobatLismo a quei casi in cui veranieìUe
10 richiedono i genitori consapevoli del bisogno della grazia di Dio. E
i lille significati del battesimo, come
ai'cennali più sopra, sarebbero affermati ognuno per parte propria, senza
11 pericolo di ini erferenze di dubbia
Opportunità, se non addirittura di
.• dubbia fedeltà allo spirito della Parola di Dio.
de Dieu,,. Jean 3i 3
Il arrive souvent de voir des personî
nés de familles chrétiennes ne s’ocou^
pant guère de leur, salut. Nées de\
chrétiens et élevées dans les « prlneif l
pes de l’Evangile » cela'ne saffit-il pc^f
pour être sauvé ? Ils ont toufours mor^
ché droit, sans faillir en rien {?) n’esti}^
•ce pas suffisant pour être agréabh'^'^
Dieu et lui appartenir (?),
Et ils vont marchant dans les ténèi“bres, se reposant sur leurs propres œuvres. Mais que dit la Parole :
« Ce qui est né de la chair est chair » «
et « la chair et le sang ne peuvent
riter Vinarrruptibilité » ei encore :
« Le Salut ne v ent pas de vous,
un don de Dieu, afin que mrsonne
se glorifie ».
Acceptez-donc Christ, simplement ‘ ^ î
car celui qm croit en . Lui est né dé i ?
Dieu.
Lr.:
La psicologia
Ma c’è di più. Il credente (il neofita), il quale ha abbandonato la
chiesa romana, talora con uno sforzo
non indifferente di liberazione, vuoi
mostrare alla comunità che sta per
aceoglieilo che egli liconimcia daccapo. Alleile il baUesimo. rito non
ripetibile, viene rifatto, sul fonda
A Toronto, nel Canada, sarà tenuta, dal 10 al Hi agosto 19v^0 la trentesima Assemblea jquadr'ennale dell’Fducazione Cristiana ' A questa Assemblea mondiale sono aspettati circa 5.000
delegati da più di 75 paesi e le sue
sessioni avranno luogo nell’Università di Toronto e nelle Chiese ojircostanti. ^
* Questa Assemblea mondiale si riunisce per la prima volta dopo la guerra L’ultima volta si era riunita ad Oslo nel 1936 e altre pre«cedenti Assemblee avevano avuto luogo a Los Angeles, Zurigo, Rio de Janeiro, Glasgow,
Tokio, ecc.
I PASTORI'
T' ra i diversi ministri {servitori) di Cristo, che. nella chiesa opcI rano nel nome Suo, ve n'è uno che adempie una missione d’vna im
poi tanza tutta particolare, quella che adempivano gli apòt/toU nella prim»
generazione cristiana e con loro tutti quelli che si cHhrmavano; vesco
to, anziano o pastore. Quella missione era di fare comprendere alla
comunità Ui panda del suo Signore; e, ¡ler mezzo di questa parola, dirigerla. Due missioni inseparabili l’ima dall'altra: predicare e condurre.
Il Cristo dirige la sua chiesa colla .sua Parola. Questa Parola che
già coruIucetHt Israele nel deserto, questa parola che è contenuta in
tutta la Bibbia dei:'essere PREDICATA, cioè portata ad ogni uomo
con tutta la sua forza, la sua chiarezza e la sua attualità.
Il Pastore è il portatore di questa' Parola vivente. Egli non Ui ripete
solo letteralmente, egli la ridice spiegandola, precisandola, impiegatidr V parole che sono proprie degli uomini di oggi. Egli trasfonde la
realtà etermi di questa Parola nel linguaggio ed i problemi del momento. Egli non può farlo che per la grazia di Dio. Tale è Ut missione prima ed essenziale del Pastore, egli è MIìSISTBO DEtjL 1 PAROLA.
Là dove risuona questa predicazione, la Chiesa si rtitmsce e scopre
quello che il Signore attende da essa. Essa deve ora adUonpiere la missione che la Parola le prescrive. Perciò cs.w ha bisogna di essere diretta come, una squadra lo è dal suo sorvegliante. Il compito del pastore è di scoprire la missione che ognuno deve adempiere, di renflernelo
consapevole, di fornirgliene la nere.s.surta preparazione. Così si stringerà intorno ftl pastore la squadra degli operai del Regno di Dio ed il
pastore .sarà in mezzo a loro colui che riunisce e dirige il gregge. Pei
il suo tramite, il Solarono Pastore. Gesù Cristo, vuole essere lui stesso il
Pastore della Sita Chiesa.
Il pastore non è dunque il ’’factotum” d’ima Chiesa che lo paga
■ Egli è l’organizzatore d’un lavoro comune. Se egli è .solo all’opera,
malte co.se rimarranno da fare, non solo perchè il sua temjyo è lirmtaio, ma perchè, limitati sono pure i doni che Egli ha riceimto dallo
Spirita Santo.
Il pastore non è nemmeno un prete, cioè, un uomo messo a. parte
per adempiere certe funzioni sacre. Egli non ha neppure il monopolio
della fdedicazione. Tale o tal altro dei fedeli annunzierà f Elvangclo in
ctdti o rinnioni di evangelizzazione; nui egli non lo farà che occttstonalmente, a richiesta del pastore, che solo, porta la responsabilità
intera della predicazione nella sua parrocchia.
Se la disciplina della Chiesa afflila al solo pastore la celebrazione
dei sacramenti, si tratta di semplice misura d’ordine. Nessuna ragione
dottrinale vieta ad un fedele di celebrare il Battesimo o la Santa Cena,
ma naturalmente egli non potrebbe farlo che .se ne avesse ricevuto regolare mandato da parte della Chiesa. Co.sì pure il pastore non ha il
monopolio dell’assoluzione e della benedizione. Quello che fu il carattere unico del suo ministerio, è che egli porta, nella comunione con
Crwio, IN MODO PERSONALE, la responsabilità della iiia spirituale
di una determinata Chiesa. La .sua sola autorità è quella della Parola
lávente.
Dunque non ci domandiamo se un determinato pastore Iva le mille
c una qua’ità per « riuscire » ma se il suo ministero viene dall’Alto.
(Da « Réforme » Ottobre 1947)
tesii
I Presidenti del Consiglio mondiale
dell’Educazione Cristiana, Lord Mackintosh of Halifax (Inghilterra) e Dean
Luther Weigle della Yale University
Divinity School di New Haven (U. S.
A.) hanno lanciato un « Appello »
deirAssemblea, con la Preghiera di
portarlo a conoscenza del mondo cn&t ano.
Un “APPELLO,, alla 3E.ma As.
samblaa Mondiale dcll'Educazia.
na cristiana.
uh anni che h<mno seguAo al nastro
laauno rnonaiale ael lydb, sono sicti
anni lunghi e amari, pieni di ansia e
ai pena, jruiio di ignoranza e di peccata.
Lo spinto che ha dominato quel penado Ha dato libero corso alle enormi forze naturali, ma si è servito di
esse per procurare una schiavitù dei
corpi.e degli animi.- L'idealismo senza
uio e divenuto arma di fanatic-. Persino il reciproco giudizio dell uomo
sull uomo è divenuto sirumento dt,
ciudelia e di oppressione, ed è occasione di sospetto e di conflitto l'incontro dell Oriente e dell’Occidente.
Ma anche in quegli oscuri tempi Dio
non SI è lasciato senza testimonianza.
Oh uomini hanno mantenuto la fede.
Cristo è stalo proclamato con devozione gioiosa e ferma. Nella Chiesa universale è penetrato un senso nuovo di
unità mondiale m Colui che k h la rivelazione di ciò che Dio è e dt ciò che
si diventa per mezzo dr Lui ».
Consapevoli del male del nostro
tempo, sostenuti dalla fede che Gesù
Cnsto è il nostro Maestro e Signore
noi nudiamo la sua chiamata: Andate,
ammaestrate tutte le nazioni.
A nome del Consiglio mondiale dell’Educazione Cristiana noi chiamiamo delegati cristiani di tutti i paesi per
prendere parte alla trentesima Assemblea mondiale dell'Educazione Cn-'
stiana a ì'oronto - Canadá - dal 10 al
16 agosto 1950.
Lo scopo di questa Assemblea è di
estendere e rafforzare l’educazione cristiana nel mondo in modo che sempre
e dappertutto, nella loro vita giornaLera, bambini, giovani e adulti manfiestino in parole e azioni la loro fedeltà a
Gesù Cristo come Maestro e .Signore.
Possa l'Assernblea raggiungere questo Scopo
vivificando il nostro senso di imtà
mondiale in Gesù Cristo per fronteggiare insieme i nostri comuni conflitti;
imparando l'uno dall'altro il senso
dell educazione crisi ana nelle scuole
domenicali, nelle case, nelle scuole
e in altre istituzioni sparse
mondo ;
nel
pieparando il terreno alle nostre
chiese, alle nostre associazioni interdenominazionali, alle assemblee per
essere di maggior aiuto alle comunità, alle case, alle scuole nel loro
lavoro di educazione;
proclamando di nuovo ai membri e
ai dirigent’, dt tutte le chiese l'urgen
za pressante e iminediata di raffor^
zare e di estendere ovunque l’edm^^
cazìone cristiana
Per raggiungere completamente gii:*.;
scopi di questa Assemblea sollecitiamo f.
la preghiera d ognuno e che lo Spinto
Santo ci guidi m tutto il lavora prepa--^#
"■ila
ratono.
Febbrai!,
1949.
'nIÈE S
F.to : Mackintosh of Haotax Presa-?
dente - Luther A. Weigle, Presidente - For,rest L Knapp,
mes Turnbull. Segretar; Generali.
Une valise complète
Un voyageur chrétien iiiiissaiil sa
valise lit remarquer a sou ami: « regarde, j’ai un peu de place, il faut
*iuc je meiie encore un guide, une
lampe, un miroir, un télescope, iin
livre de |>oesies, un certain nombre
lie biographies, un jiaquei de vieih
les lettres, un rfXHieil de clianls, une
epée tranchamte, une petite hihlio-^
tlièque de 66 volumes et le ioiil doit
oeeiiper mi espace de 25 cm. carrés ».
« Gomment vas-tu faire? » demanda son ami.
— « (Test 1res simple » répondlilil « ma Bible eontieiU toutes ces choses ».
Voue trouverez que eotte. réponse
est vraie si vou.s lisez atteiilivenieut
votre Bible celte année. (Commence/,. vou.s ne le legre.llerez pas.
{Brethren Missionary Herald}-,,
M:
«
'I
I
11H ’
Té
— Buon giorno signora!
— Buon giorno, signor pastore, sta..^
bene? ... Noi, sa, abbinino avuto ii.n S®
po’ d’influenza, ed allora..
».
£
T
signor pastore, ina che
— Oh!
sorpresa!
— Come stale?.■
— Non c’è male... ma sapesse qiian-. 4
lo lavoro.... Domenica prossima man- -kr,
derò il mio ragazzo alla Scuola Do-.i^
menicale, senz’altro, jIs
■H
--o--
— Oh!., il nostro signor pastore.!
Lei chi sa cosa pensa, non ci vede
mai m Chiesa... Ma noi .siamo dei
vostri, sa: dei fedelis.simi (!).
4
— Quale combinazione, signor Z..I
—Venivo proprio da lei, signor pastore,., non creda che ci siamo allontanati dalla Chiesa, cosa vuol mali
abitiamo così lontano!,.
I
Morale a domanda : Perchè queste persone parlane così, pur non av&ido il Pastore loro chiesto nulla?-'
L. S/s
3
»
L’ECO DELLE vkÌA VALDESI
f'
¿4*
GIOVENTÙ’ A CONVEGNO
A Palermo
A Brescia
Nei giorni 19 e 20 Marzo ha avuto
luogo a Palermo un convegno, gioval^nile cui hanno partecsipato giovani di
tutte le chiese della Sicilia. Il culto
‘d’apertura, tenuto all’aperto dal Past.
•Liborio Naso, fu molto edificante; le
vibranti parole dell'oratore ed il crearlo, in quel giorno sorridente per il bel
sole primaverile, sembravano condurre, iin una soave ascesa, gli animi dei
if convenuti verso il F’adre Celeste.
Una belila giornata hanno trasoonso
insieme l© Comumifcà Valdesi di Brescia e Verona, il lainedi di Pasqua a
Svrmione. V’eraaio 50 memibri della
Camiunità di Brescia, 40 di Verona,
oltre ad un gruppo di Mantova © rappresentanti di Bologna, Gargnamo,
Pinerolo © Koma, giunti con tutti i
mezzi ; torpedoni, auto, toioiclette ©
vapoiimi !
Dopo aver consumato la colazione
al sacco e fatto diversi giuochi ci radunammo, sotto un grande albero per
ascoltare due studi sui temi : « La creazione deU’uomo » e (( La vita come dono » tenuti da due convegnisti. La discussione che ne seguì fu abbastanza
interessante. La sera prima d’andare
a riposare il nostro pensiero fu rivolto
ad Agape. Si discusse molto intorno
al nascente villagigio e si fece, in proposito, una colletta.
” L’indomani mattina, dotpo una bre■ ve visita alla capitale sicula, ci ritro|¿vammo tutti nel tempio ed ancora una
evolta il Past. Naso ci rivolse* il suo
messaggo pieno d’amore fraterno. Nel
poimeriggào altri giovani convegnisti
tennero due studi sul tema ; « La parabola dei talenti » e « La responsabilità del vivere » seguiti da una interes
■■-santlss ma discussione chiusa poi da
una preghiera Innalzata a Dio dal noi stro capo gruppo Past. Franco Som
mani.
^ Una commedia, abilmente interpre^.tata dalla fìlodraminatica palermitana
servì a chiudere il convegno che tanto
in quei due giorni fece sentire ai g:or^fVani convenuti la realtà delle parole
F'del salmista.- (( Quant’è buono e piaÉ oevole che fratelli dimorino assieme! »
iti Salvatore Coltrerà.
All’omibira degli ulivi, siul promontorio che si siping© in mezzo a.l liago di
Garda, vicino all© rovine della villa
di iGatullo, è stato tenuto un convegno
sul temariiOHlESA © GIOVENTÙ’,
lil Pastor© P. Bobìo ha iintiiodotto l’argoimemto prospettando il duplice aspetto della Ohiesa ; parlando cioè della Ohiesa invisibile della quale fanno
parte tutti i oredenti in Cristo e della
Chiesa visibile, terrena, oostitnita da
organismi imperfetti oh© hanno là
misedon© di proci aniiar© l’Evangelo
suilla teim.. Ha notato dh© vi sono dei
giovani evangeliici i quali non hanno
idee ohiar© in proposito; vivendo in
paese cattolico fanno proprio il concetto romano di Chiesa (divisa in
Chiesa dtocente : le gerarohie — e Ohiesa disoente ; la massa dei fedeli) e
sembrano ignorare il ooncotto evangelico di Chiesa : ri unione .di tutti i ctredoniti, uguali fna loro, sotto la direzione spirituale dtìl uSignore. Le Chiese
terrone hanno idei dif etti ; tutti i difetti dei ioio membri, somimati fra loro (compresi i difetti di quei tali giovani che hanno semipr© in bocca la parola « amore fraterno » ma dimenticano di amar© sul serio il Sig-nore, 1«
comunità, anche se imiperfette., i Con.
sigli eletti per dirigerne le attività, i
Pastori, i fratelli). Uno dei modi più
efficaci per amar© consiste nel giudicare meno © noi co.rreggere di più i
propri difetti, affin dii diminuire quel
li della Chiesa dell^ quale tutti fac. ?
ciamo parto.
Due giovani di Verona {trof. G. Vttacekif^ l’ di'B.reaoìi (iBtud. Univers.’’
C. Biancóni) sviluppano poi Largo,
mento ifertmandosi, il primo, a parla.
r© delPatteggiamento rispettoBo dei
giovani iQristiani ver^ 1© persone anziane dàfilia Chiesa ei^erso tutti i fratolli, © del loro attoggiamento di te~
stimolili verso quelli di friori, insistendo Sulle opportunità di renderà
testimonianza neH’aiabiente nel quale
ognuno vive; il seopndo, additando
tutte le opportunità ©he i giovani hanno ntìll’amlbito dell© CSomunità di sorvire il ‘Signor© coadiuvando col Consiglio di Cihiesa e coi' Pastori iu tutte
le attività edi assumendosi molti incarichi pratici eh© alleggeriscano il oompito assai pesante idei iPastori. — Gli
studi sono stati intramezzati dal canto vigoroso dei nostri Inni.
'Questi due studi, ibnervi, pratici o
impirontati al desiderio di sei'vire il
Signore oooi' umiltà «id allegrezza nella
Chiesa, hanno iprofondamente eddificato i presenti e diversi fra loro (Sig.
Ferretti - iBlig. iMeniotti > iSignora Sforza ecc.) hanno espreseo la loiroi viva
soddisfazione. Il Pastor© ha conolusi»
richiamando i giovani .a intensificare
la loro opera di collsiboraizione anOhe
nei Gulti col costituire un gruppo di
cantori vioino all ’ aimoinio, per dare
maggior ordine e vita al canto.
'Uopo iJ lOonvegno, oolaziome al sacco ; epipoi giucchi e sporte © lieti conversari; sul tardi si visitano le grotte di 'Oatullo e si riparte sui rapidi
torpedoni, per Brescia, con lunga fermata a Desenzano, e per Verona, con
fermata a Peschiera.
Erano ormai parecchi anni che non
.si erano potuti fare i convegni : il primo tentativo è stato felice © 1© nostre
due COmuinità, che stanno dimostrando in imolti modi il toro zelo e la loro
buona volontà, sono state, ibeh liete d:
ritrovarsi e di fraternizzare.
/Lo chauffeur.
. ri ,
La voce delle Comunità
tSOBBlO PELLICE
'll
■ I culti della Settianiana iSanta sono
stati molto iKia fi’equentati. La matti,
na del Voneidì Santo vennero oonfermati ncU’allcanza del loro battesimo:
Ben mal Ivomne, Berti nat Margherita, Cairus .Maria, (òatalin Lidia,
ChiliÌK>n lier Giovanna, Davit Eveli.
na, (larnicr Suscita, (icyinonat Maddalena, Gönnet .àmia, Negrin Giovanna, Artus .àldo, ißaridon Aldo,
Botijnur Lino ('harilxxnuier Oreste,
Daiit Ai'inamk), Duval Abele, Favat
Beve: ino, Gönnet Emilio, Michelin
Stotano, Moiidoini-Mariin Paolo, Pontet Guiido. La cerimonia, (xnm© sempre
oonniiiioventp, è stata resa piii suggestivi! ‘dall’esecnziom' da ipart© della
corale 'di 'du.p coid di cireostiMiaa so'tto
d’esperta direzione del pittore Sig.
Scropix). 'Molto l>en riirscita « la festa
dei biurdiiini n nel pomeriggio, dopo
'la (inai© l’Unione dell© Maidri e delD
Gh »vani diedero il lienvonuto ai nuovi
OOinfiTiinati in un’atmiosfera di dolcezza © di fra.teunità cristi ano.
A Pasqua, la 'Chiosa era letteralmonto gremito; numei-osiasime 1© cuffie ©d iinjromente il miinero dei partecipanti alla S. Ccn'a.
/Anche in questa occasioin© la corale
ha estìguito 'du© inni.
Il 'Signore Ivinedica per ognuno di
noi il ritordo di quei culti : possan')
ep«i aiutarci ad essere sempre più fe.deli alla Vocazione eh© il Siiiguore ci
ha ri volito.
Alido, di 'Stefano e d,i Bertinat Maria;
SIcrop'po Erica Dafne, di Filippo: e di
Callo Lucia; Laiusarot Aldo, di David© e di Artus Susamna; iBonjour Aldina, di David© e di Artu» Anita; Ba.
ri'don Bruna © Marina, di Aninia; Po.
gliaiii Mauro, di Achille e di Venaldo
Nelly; Favat M'arisa, di Mangherita;
Favat T.evy, di Paolo © di Bonnet Rachel'©; G-oniniot Ollga, di 'Stefano e di
Pontet Siisanina.
Il Signore prcn'da sotto la sua protezione questi pargoli.
In oaiaeion© del Battesimo della
piccola Scroppo, la nostiva Cffiiesa ebSi© il piacere di uina visita di illustri
per'.sonal'ità del mondo artiatioo torinese, tra queste abbiamo salutato il
maestro Fp'.ic© iCasorati.
: toitl:/
tarile commoesa le iprom'ess© di fedeltà e di consacrazione.
Alcuni adulti di altra oooifeseione
eh© hanno manifeatato il desiderio d.i
uuiiTsd alla nostia Comuinità, saranno
l icfivuti, a Dio piacendo, 'a Pentecoste
* Riunioni speciali di preparazione
alla Pasqua some state presiedute dai
Pastori Bertiniatti © Deodlato, f equenbat© 'da un uditorio numeroso eti
attento, nella ISbuola dei Bellonatti,
e sono etat© di grànde beueflcio spirituale, !p.r©diiapon«ndo .gli animi ai
Oulbi 'della Scttimania Santa.
PINEROLO
Domenica, 1 Maggio, alle ore
15, avrà luogo nei lempio la Festa di Canio delle Corali della
Valle Chisone.
Il pubblico è cordialmente invitato.
Le Corali .sono pregate di concentrarsi presso il tempio alle
ore 14,15.
LUSERNA S. GIOVANNI
* Dopo lunghe soffcpMiz© è stata tolta all’affetto dei suoi cari, R.oatagnol
Costanza deJla Ferrera, di anni 66. T
funerali ebbero luogo il -10 marzo.
Il giorno di Pasqua si addonn'antava luci iSignor© Geymonat Annetta della Costa, all’età di unni 85. I^a sua e^
Slatenza fu molto travagliato, mia la
sua fede in Dio non «enne mai meno.
I .SUOI funerali furono la dirao»bratioii© def l’atf'fitto e 'della stima di cui
era circondata.
AH© fannigli© afflitto vada la -nostra
profonda e sincera simpatia.
* Ultimamente, sono «tati battemoti ; Bertinat Pierino, di iStefano e di
Bertinat Maddalena; Artus Renato,
jdi David© e di Oairus Anna; Bertinat
Domenica 10 Aprile l'a nostra G.)munità ha avuto la gioia dj ammettor© alla confermazione 'del loro Battesimo 27 catecumeni ; .Altbarin Oarl-i,
Benech Dora, Bersaiiidii Bruno, Ber'tin
Gino, B'oiulard Enrico, Oaffarel Elen.i,
Fraschia Bruno, Fenouil Alice, Gay
Susanna, Gaydoii Bruñó, Gaydou Remo, Griglio Fioriina, Ooas Nella, Jourdan Luigia, Ijong Enrico, Malan Bruno, Malan Mario, Malan Giuseppina,
Malaniot Diego, Migliobti Aldo, Pomi
Arnaldo, Poma Aldo, Priiasuit Romino. Ricca Armanda, Rostagno Adelina, Rostagno Ivana, Turaglio Giulia.
Un altio catecumeno. Rivorrà Sii.
vio, pur avendo frequentato regolarmente il catochiamo, ha rimamdiato li
sua amm'iaadon© in lOhiesa, ini abtes.a
di ricever© il Battesimo per imomer
sione.
La Gomainità si è raccolta numerosw
attorno a qneeti suoi figli per asool.
* E| '»tato celebrato il matrimonio ;
religioso e ■cdvile di Ballion . Lorenzo
e tMiegg© Alba Miaria; Gonü'ÍBt Luigi
© Benóch Elia».
* Abbiamo aooomipagnato al campo
del riipoeo Eytnard Enirioo, deceduto
all’Afiiilo dei Veochú; 'Rmn T©oifi''o,
Broxtom Margaret 'in Bourgoyne,
Fonttooiin© Antometta ved. Gooorda., ''
deceduti al Rifugio lOairlo Alberto ;
Benech Maria ; Riqu© Margherita v«d ■*
Gaydou; Rivoira Vittoria; Tourn Ma.
ria Luigia ved. RiVoiria; Staiillè Eufrasia in Long.
Alle famiigli© così dolorosamiantc
provate, 'rinnoviamo iFespifession© della noaitra simpatia.
ÔUÔA
Sotto la guida del nuovo oonduttoir©,
Popéra della Chiesa nella Vali© di Suso, riprende la 'Sua viltà regolare, si
strinigono .i rap'porti con i frabdiii
sparai nella vasta valle; aneh© con i
fratellii della Chiesa Battista nei vari
‘paesi vi sono frequenti © firateriii contatti, così lo scorso mes© 'di Marzo un
gruppo 'della nostra Chiesa ha visitato la Chiiesa Battista dii S. Antonino ;
l’accogl lenza 'fu quanto mai fraterna
ed affettuosa ed di Pastore Mattone ha
preaontato' il nostro candidato Franco
Domite oh© ha dato il suo vibrante messaggio. I Membri di questa Chiesa di
S. Antonino, guidati dal nostro frate'llo
Giovarmi Rostagno e dalla sua Signora oi hanno restituita la Visita nel
giorno di Pasqua'Parteoipandb tutti in
una perfetta comunione di spirito alla
S anta Cfena.
Anioora una volta la nostra chiesa si
è dimostrata troppo pdcoola, troppe
persone non hanno trovato posto, © Dio
volesse oh© così non fose© solo nelle
grandi occasioni, ma ad ogni Culto,
por quanto siano seanpre ben frequentati.
Visite ad altri gruppi sono stati fatti e ai faranno sempre più frequenti a
Dio piacendo. Dove non vi sono sale
di riunione ci troviam'O nelle vaste cucine di campagna ed 'all’aperto.
Nello sooi-so mese ai è dato vita all’Union© Giovanile Valdese di Busa.
Per quanto ancora esigua ooane numero
questa ■unione è piena di vita; ogni sa.
baio tiene 1© sue riunioni comi uno studio presentato a turno ©d aneh© i giovani 'Cadetti ai tprepai'ano a oiimentar-si in questa preparazione, alla dómenica a'ooomipagnano l’Evangelista nelle
visite ai gruppi di isolati © si sta organizzando una gifia ad Agàpe alla qual©
'desi'derano partecipare famiglie dei vari 'paesi della valle.
* Il Culto serale del Gtovedl Sarto,
istituito nella nostra Gomunità 'da pochi anni, raccoglie un 'numero sempre
maggior© 'di par'tecipantd. La Corale
vi ha contriibuito efficaicemento con la
esecuzion© di un coro.
'Scarsa inveo© è stata la ipartecip-izione al culto del Venerdì Santo, e
noni riusciamo a comprenderne la ragione.
La Domenica di Pasqua, la Oomiiiiità al completo ha rallegrato i nostri
cuori aperti al messagigio del Signo-e
Risiorto. La ipartecipaziori© alla Si. Cena numerosa e ordinata.
Ringraziamo la Corale per il suo
oori'ti-ibuto alla edificazione degli animi.
Ciommovonto e raccolto il 'Culto con
celebrazione della S. Céna, nel pomeriggio di Pasqua al Rifugio.
A coronamento ■dCilla giornata, la
sera 'di ‘Pasqiua, nel 'Tempio, abbiamo
avuto una suggestiva visione di proie
z.ìoini luminose a colori, rievocanti la
l'tsuirrezion© del Signore © le siue apparizioni ad discepoli, isecondó la narrazione 'diegli Evangeli. 1 vari quadri,
sottolineati dal oanUi di a^ipropriati
inni eaeguiti dalla Corale, si sono for
temente impressi neU’animo dei presenti, suscitando 'profonde emoizioini.
E’ »tota anche questa una predica,
ziore dell’Evangelo ohe, per la grazia
di Dio, non mancherà di 'portare iil
mio frutta.
Ringinziamo il giovani© Valdo Aba
to per la sua collaborazione aH'organo,
Il giorno 6 Aprii© abbiamo accompagnato all’'ultima dimora terrena la
salma della nostra sorella Maria Wol.ff
di anni 47 'd'eoeduta all'oepodal© di Su.
sa; era molto conosciuta ©d am'ata, il
suo fU'neiale è stato una larga manife.
stazione di questa simpatia ed abbiamo potuto dare il nostro messaggio di
conforto e di speranza cristiana od lina folla che non è stata tutta nella chic
sa ; si dovette aprire la fiiniestra perchè
quelli rimasti fuori ipotessero sentire,
e parecchi© persone eh© udiirono il
imcssaiggio dell’Evau'gelb per la prima
volta ritornarono nel giorno di Pasqua.
Oom© ovunque, accanto all© luci vi
sono pur© 'délil© ombre che si proiettano su tutto la vita dèlia Com'unità,
ra.a il IStìgnore noti lascia maincare il
suo soccorso a chi, solo imi Lui ha posto la fede ; © cosi è per questa ohiesa.
TORRE PELLICE
potuto giunger© prima a Torre Pelliv,
oe, mentr© puirtroppp un altro giovra.
n© 'Proni Orllamdb anche egli assente da
Torr© ipeir ragioni di lavoro^ è stato
impedito all’hltiinio momento da una
inidispoisizione © sarà oonfennatò in
una 'dell© proeeime D'omeniphe.
Tutti i ,cat©aumeh.i " conferinandi
assieme^all]© toio famiglie, apeoialmente convocate, e buon numero'di
membri di Chièsa' avevano avuto pochi giorni prima delta, oonfennazione,
una riunion© serale di .preparoadone
nella 'preghiera e nella meditazione,
oh© ha voluto esser© una oontiniiarnow
in© comun© del lavoro preparatario
già iinMiàto con ì colloqui personali
di ognuno di ©sai con il Pastor©.
Oi auguriamo che questi giovani,
ohe la Chiesa ha oi'rcondata delle sue
preghiere e della sua solidarietà in
questi gio'mi, sappiahò rimanere fede'li 'àlle promesse 'pronuned'at© © <liegnement© prender 'parte alla vita della conigregazdone ohe li ha accolliti nel
suo senio. iChieddamo pur© a Di© che
tutti coloro ohe^ asaistendo alla confermazione, lianno riooddlaito le pro
miess© che in un passato più o meno
lontano pronunciarono esai stessi sappiano rinnovarle di cuor loro.
fi';
•>'1^ ■■
* E’ stato amministrato il S. B«attesimo a Bourne Lidia, di Ernesto e
Coglie Irma; Bertì/n Ivo, di Giulio e
Bertin Aline.
CONFERMAZIONI la Domenica
dell© Parile sono stati oontfermati, per
essere poi airamessi alla Comunione al
Chilto di Pasqua, i seguenti 34 gioV'Ond; Avonidet Alda, Bricco Alma,
Bonjour Renato, Eynard Bianca.
Grangetto Elide, Jouve Arietta, Malan Elba, Mifai Martina, Pagetto
Laura, Paschetto Biaii'ca, Passatore
Eurosa, Poet Alga, Rivoira Amalia,
Roston Liliana^ Tron Graziella, Vigne El'ein'a, Vin^n Imiia
Ayassot Guido, Bert Ettore, Borno
Franco, Bounous Giorgio, B'uwllo Angelo, Chiavia Italo, Eynard' Dario,
Eymard Fran'Co, Giordan Roberto,
Qrant 'Roberto, Gr'Ossi Aldo, Jouirdan
Renato, iMiegge Mario, Pons Ernesto,
Ricca Roberto, Rivoiira Silvio, Rostan
Italo.
Ad ©ssi si è aggiunto la Domeniea di
Pasqua il giovane Balmas Oiiamoairlo
il quale, proveniente dalla Svizizera
dove attualmente lavora, non aveva
La Settimana. Santa abbiamo celebrato molti culti idei quaild crediamo
'di poter dir© che hanno lasciato un
riioordo benedetto ©, aperiamo, ricco
di frutti in gran numero di fedieli.
Molta gente al Culto dell© Palme e
non minone affluenza ai Culti con
lOonminion© dfel Gi'ovedì ■Santo nel
Tempio di Torre Pellic© © del Venerdì
Santo in quello dei Coppieri, Questi
Culti aerali, ormai entrati ambedue
nella trodizdon© della nostja Comunità sono stati caratterizzati da una
partecipaaionie particolarmente numerosa alla S, lOena e da un iraccogUmento commosso eh© nemmeno la gran,
de aff'luenza ha ’disturbato.
Minore assai è stata la parteciipazione dei fedeli al 'CSuIto litui'gico dèi
Venerdì mattina; tuttavia, malgT'ad.i
la giornata fosse iper molti lavorativa
e iper di più coincidente con giorno
©d ora di mercato, circa duecento
cinquanta person© ■ vi presenziarono.
Da molte testimonianze racooilte abbiaimo però avuto l’impressione che,
per coloro che vi hanno partecipato,
il ‘Chito liturgico è stato di vera ©di.
fioazione. Vi .atoibiamo comunque no.
tato con piacer© un raooog'limento ed
un fervore spiritual© idavvero insòliti
e tal© da iuicoraggiarci a moltiplicare,
ov© e quando possibile, simili riunioni 'di mediitoiziom © ipreghiera in cui
larga iparte è lasciata all raccoglimento personal© ed alla orazione indiividnale nel silenzio.
Il Culto del mattino ili Pasque ha
gremito il nostro Tempio in modo ohe
molti hanno dovuto rimanere in piedi per tutta la dunito della funzione.
Circa 400 persone hanno partecipato
alla Oom.und'oine mentre iFassifeiriblea,
naturalmente di molto più numerosa,
»ì è m<aintenuta compatta sino alla fi.
n© dimostrando oonne, salvo poche impenitenti eccezioni, si sia ormai compreso tia noi che la celeibrazione ■della
Comunione è parte integrante dtl
culto.
Con ile due ultim© settimane di Aprile Sii dhiudono 1© riunioni dj qua¡rtiere eh© durant© tutto l’inverno hanno formato (7 ogni settimana) una
delle maggiori attività ecclesiastiche.
In ognuno dei quartieri abbiamo avuto o avr'emo una riunione di chin- *
aura con un «■esom© di quartiere» nella
attesa dì iniziar© con l’estate la serie
dell© riunioni domenicali all’aria a.
perta.
Domenica 24 Aprile è stato consacrata all© Missioni.
Al mattino tutti i ragazzi delle varie 'Scuole Domenicali si »onio riuniti
nC'l Tempio per una speciale aduinanza raisedonaria.
'Dopo id Culto per i ragazzi^ quello
per i grandi an'che esso presieduto dal
Pastoie Ayassot che ha attirato l’at.
tenzion© della Comunità sulla essenzialità di un vivo spirito missionario
per la esistenza stessa della Ohiesa
oom© Chiesa di 'Cristo, com© testimone
e predicatric© della sua croce e risurrezione. Traendo ispirazione dall© apparizioni di Cristo risorto ai Disoepc
li il P'astor© ha posto chiaramente la
Chiesa dinmazi alla evidenza 'del fatto dhe ; <mmqn© Oriisto è presente fra
i suoi è per affidar© loro una missione verso coloro oh© non lo conoscono
ancor.a, o non hanno anioora compreso
la grand© novella della sua risurrp
I
4
L ETO deal VALLI VAtDESÌ
'■ '•'«C '
■¡ir.
/
sione. Dove Oristt> apipare, appajre
oon'liui il dovere misaìoniarìo. '
ed permei iggio una bella e aiimpa.
ùoa riunione ha affollato la'sala uuionista pei* nma parola dd benvenuto ai
¡3 amaaionaird ohe Torre Peiliòe ha avuto ii ipirivilegio dd avere per la giornata: de liSàgnofine Spelta, Jadia,
Gay ed i Sagñori ooiná'Uga Coiason;'
L/n toasai' ed un tè pfeparati i>on^
premiU'ioBe oure ideile ibignoa-e o
ginoriue delie varie iSocdetà. missionarie
■deila iparrooohia ha raoooito nei vari
iocalii oeaia casa unionista un t>eQ< numero di aanieà deile -ihtssdoni, disposti
a dare il toro contributo coni gene rosila. il pomeiùggio sd è svolto in una
ipiaeevole atmosfera di ((iamigiia »,
ed infatti gli amici delle iiussioni formano davvero 'una larga famiglia che
si sforza di manteaere vivo l’affetto
e Tinteresse per Topera che i suoi memori fontani vanno compdenido.
iLa, sera alle nove 'uel Tempio abbiamo avuto <iuasi idue ore df godimento
spirituale intenso. La riunione aveva
lo enapo di raooogiliere per un culto
di addio e saluto i eduque Missionari
Valdesi che per un caso davvero eccezionale venivano a trovarm adunati
in Torre Peflioe. Di Pastore Ayassot
ha presieduto la riunione ed ha rivolto all'assemblea ed ai Missionari uu
breve messaggio al quale hanno fatto
seguito ooin enoamiabile brevità ed efficacia i cinque messaggi dei Missionari od un saluto della Pra del Torno
interpretato dad Prof. Miegge. Vorremmo avere io spaaio per riferire i
oiiuiue brevi disoorsi ohe aibbiamo
udito con tanto proñtto e godimento
spirituale, come cinque variazioni ben
distinte eu di uno stesso tema; quello della vocazione missionaria Á1 termine della serata ìf Pastore Ayassot
ha offerto ai Missioniari un piccolo
ricordo della gioi'nata accompagnato
dal motto : « D tuo Dio sarà teco, dovunque tu andrai » Gios. 1: 9.
Farà piacere ai nostri amici e collaboratori rapprendere che anche il
risultato economico della giornata è
stato veramente inooraggiante poiché
abbiamo raccolto in tutto più di L.
100.000 per le missioni.
Ancora una volta il nostro ringraziamento sentito a tutti coloro che
hanno in più modi contribuito alla
riuscita della bella manifestazione.
Lunedi mattina alle 9.30 è stato celebrato nel nostro Tempio, su richiesta
delle organizzazioni che dirigevano ie
celebrazioni dell’anniversario della
iiberazione, un cullo per la pace.
il Pastore ha sottolineato il valore
e T importanza, e nelilo stesso temipo
la difiScile responsabilità della posizione della Chiesa, la quale, tra duo
ocmoezionì opposte e contrastanti di
pace, quella delTOiiente e quelli
delTOccddente ha il compito di ricordare al mondo che la vera pace, la
sola, è quella che viene dalil’alto. Essa potrà tradursi da «pace di Dio»
iio «pace degli uomini» soltanto quando le nazioni ed li popoli saranno disposti a «servire la causa della pace»
anziché a «servirsi» di essa. E. A.
MASSELLO
I>a Settimana, Santa è trascorsa una
volta ancora largendoci i tesori dei
suoi mistici ricordi e il suo invito a
morire con Cristo 'per poter risuscitire e vivere con Lui.
, Al culto del Venerdì Santo, abbiamo avuto la gioia di veder Oonfermare il loro Battesimo quattro catecumeni ; Mirai Lilia, Mirai Rino, Pey.
ran Aldo, e Pom Luciana, iper i quali
sonò salite a Dio fervide' preghiere di '
interoeesiope ® «li benedizione. *' 'La corale ha oontribuiito validiamante alla edihcaasione spirituale dei culti. la*"nngraziamo vivamente '
{Decesso : L’indomaini della Pasqua
di Eisurrozione ha chiuso gli occhi alla vita teriena per riaprirli nella luminosità dài' oielo, il decaino diei nostri
FTatel'ii, Mic(A Enrico, delle Porte di
Massello, deceduto nella grave età di
93 anni. Costante esempio di fede, egli
era uno di quelli òhe, pur penando
sotto al peso quotidiano della vit'i,
sanno dove vanno e in ohi hanno creduto, 'poiché sanno di avere il loro no- •
me scritto nel libro della vita.
Oon, lui, è una ibella figura ohe scompare ma che parlerà ancora per molto
tempo !
Battesimo-. Bostan Riccardo, di
Bruno e di Breuza Livia. — Possa cgli, benedetto 'da Dio', essere motivo
costante di gioia per la .sua famiglia
e la sua Chiesa !
Rivisti FriUstntcsini
Pubblichiamo H Sommario dell’ultimo Dumero dii questa Rivista,
che rappresenta a tutt’oggi l’unico
organo di cultura religiosa del Protestantesimo italiano e che dovrebbe etsdere maggiormente conosciuta
e diffusa. Esce in fascicoli di 48 pagine, in bella veste etlitoriale. Si
possono chiedere numeri di saggio
alla Redazione: Via Gorret 1 Aosta.
N. 1/1949 (Gennaio - Marzo) V. Subilia: Nota sulla nozione di
testimonianza nel Nuovo Testamento - C- Gay : Misericordia e non sacrificio - P- H.Furley: Il caso 13.013
- Parabola moderna del Buon Samaritano - A. Ravenna-. I testi di RasSchamrah-Ugarit - V. V.: Politia
Ghristi - Il problema deU’etica sociale nel Luteranesimo • X: La
Chiesa Cattolica Romana e il Movimento Ecumenico - F. S. : Un confronto ecumenico - Recensione - Libri ricevuti - Riviste ricevute.
Doni, pervenuti agli I. O. V.
In memoria di Alfredo c Teresa
Quattrini i figli elfu-gisoono
all’Orfan. Femm. di T. ip. L. lO.blO
all’Orfan. Maacih. di Pomaretto 10.000
Per Ospedale Valdese 20.000
Alla Casa delle Diaconesse 10.000
I Signori Vidossioh Costanza e T'esare in memoria di Ernesto Burgoyuc
e 'Margaret iBroxyom iBurgoyne elargiscono a favore di :
Rifugio (( Carlo Alberto » L. 20.(K»
Orfan. Fiemm. di Torre Pel lice 10.000
Orfan. Masch. di Pomaretto 10.000
Tsiio dei Vecchi di S. Germano 10.000
In memoria di Adelina Salma
■della cara moglie
In memoria
mamma :
Per la Casa delle Diaconesse : Il marito Enr ico Balm a L. ,3000.
Per l’Osp>edale di Pomaretto; I figli : Bàlima Arturo L. 5000 — Giulietta e Elsa L. 5000,
UN I. UT ¥ Q
sv
In fratàc^ Gabbio «h»! Ckxauine di
Càsafle .Córte 'Oerrò (Novara), all’alba làed. 23 mairzo, quaaì novauiitenine, è
entrata, serenamente’e senza soffrire,
nel suo riposo
igato, con mansioni direttive, il ge
nero Aldo Vinçon; volle ohe 'di Lei
non si parlasse ma invece 'ohe sicordasse la Soia fede e si leggesse il versetto: a Poiché questa è la volontà dèi
padr^ mio : che chiunque contempla
U Figliolo e crede in Lui, abbia vifa
eterna; ed, io lo risusciterò nell’ulti
mo giorno » (& Giov., VI, 40).
E ’stata seppellita nel cimitero evangelico 'di Pai lanza,.
Doni ricovuli
dal Cassiere della'Tavola Valdese
Per Collegio e Scuola Latina
Ing. Arturo Lrng, in memoria
mamma Faoiiny Rivoir Long L. 500.
Per Istituto Gould
Ing. Airtaro Long, in memoria
mamma Fanny Rivoir Long L. 500 —
Longo Paolo L. 100 — G. Hentsoh
L. 5 000
Per Istituto Femminile di Firenze
Lops Michele, Trani L. 1.000.
Per Rifugio Carlo Alberto
Q. Hentsch L. 8.500.
Per AsHo di San Germano
Chiesa di Cerignola L. 1.000 — Longo Paolo L. 100.
Per Asilo di Sicilia
Longo Paolo L. 400 — Puglisi iSal.
vatore, iin memoria fratello Angelo,
L. 300 — Santoro lilla L. 1.000 — Famiglia Ruegg, in memoria G. Bòr’in
L. 1.000 — Pietro Valdo Panasoia, id.
id. L. .500 — Pintaldi Edel, id. jd.
L. lOO — Unsold Leo, id. id. L. 500
— Chiesa di Reggio Oalabria L. 2.320.
Per Gasa delle Diaconesse
Ing. G. Neumann, Firenze L. 500.
— Longo Paole L 100.
SCUOLA LATINA’i
_■ . ■■■'■■' ■ .Í#
Doni ricevuti dalla Direzione doùL
1 Gennaio od 31 Marzo 1949,
■RSiLIA SiilNI wl«l*w« Vili
lasmaniclo addolorati ma^''fiiden'ti nelle
promesse del (Padre Cel'este i figli 'Col.
Guido. Bruna, Vera « Rag. Vittorio.
■ ■ 'W.'*
Fino alT'ultkno istante conservò lu
cida la mente, giova,!^ il cuore, arguto lo spirito e sorridente il volto; e
sempre rwidò la .Sua Firenze in cui,
sposa felice e madr6ij.eaemp.lare, trascQise la maggior parte deba Sua esìstenza, fedele alla iSua^ Chiesa.
Visse gli ultimi amini presso la figlia
Ver.a ed, in .un ambien.te completamente operaio e cactolioo, fu un faro
di i'uoe evangelica .perchè a tutti proclamò la Sua fede ed> il S.uo Credo,
sicuri ed inorollabiü, tanto da ren.
dere ammirato chi ebbe la fortuna di
oonoscerLa. La .Sua certezza di una
vita miglio'xe, il Suo esempio, l’amore
manifestato verso ij .prossimo e le opere di 'bene e ‘di carità cristiana,
oompiiU'te unitamente alla figlia, furono una testimonianza reale e sostanziale che non verrà diimenticata e lasoeirà solchi profondi e tracce durature.
I funerali — che fu'rouo celebrati
dai Pastori Fera eri di 'Milano e Ferrea di Verbania, e ohe Essa .lichiese
semplici — riuscirono imiponenti per
la partecipazione delle maestranze dei
Cotonificio Furter 'presso cui e ooou
Rostagno Emilio (Aleseanidria) Lire 2000 — Bertalmio Amedeo L. 0000
— Cotonificio Val 'di Susa - Perosa Ar.
'gCntina L. 10.000 — Revel Alma 500 —
Masse! Pierino 3000 — iBa’ma Giu.
Fetta (Parma) 500 -— Bernard Giaco,
rao 2000 — Rostan Chirla 2ÒOO — Matthieu Mimi in mem. balbbo 600 — Pa.
stre Regina e Augusto lOOO — Coïsson
Viola e Laini 1000 ™ Rostagno Giovanni (IB'ussoleno) itìOO — Bounous
Pasqualina 2000,
La nostra gratitudi'ue è asaiourata a
tutti gli amici de] nostro Istitu'to.
La Direzionr.
La famiglia della oompianita
nata Nagrin
proràndamiente oommossa dalla dimosbrazione 'di affetto ricevuta in oeeasione 'del lutto ch.g l’ha colpita, sentitamente ringrazia lamici e oonoeccnti
ed in parti'Colare il Pastore Signur
Gei)re che spesso Tha 'visitata e con.
foi'tata durante .la sua luniga malattia.
Bòbbio Pellioe, 17 Apri'e 1940.
I.e famiglie Balma e Cbucourde ringraziano cnemimosse tutti coloro ohe con
scritti o presenziandio ai fun.erali della loro diletta
■alma Adallna nata Cawcawrda
presero parte ail loro grande dolore
Ringraziano in modo iparàieoliaie i'
Doti. Mathieu, i pastori P. Marauida
e E. Rostan, le Suore dell’Ospedale,
le iSig.ne Mimi Mathieu e Luisa Marauda, il Concistoro delln Chiesa di
Piinerolo, glj insegnanti, le scolaresche e i vioini di casa di Pi.nero’« che
vollero fare una cospicua offrrta alla
Casa dj Riposo 'della Città in mrmo„ ,
lia dell’E'Jtinta.
Le famiglie Long e iSitallé ringraziano vivamente tuttj coloro che vollero esprimere la loro simpatia nelia
dolorosa circostanza della dipartenza
della cara m.r>glie, zia e cugina
Siaiià Lilly ■ufrasin In Long
In partioolnr modo esprimono la 'oro gi'atitU'dine al dott, De Bettini per
le amorevoli cure 'prestatele, al pastore 'Sig. Deodato, alla nipote Marisa òhe le fu vicina con affetto, e ai vi,
cimi idi casa che tanto si prodigarono
Luserna S, Gio'vanni 08-4-1949.
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Problemi di vita famigliare
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Airasca 5,40 1 1 7,t3| 8,461 1 1 1 13,52 1 17,51 1 1 18,46 1 19,16 1 22,14
Pinerolo 1 1 T.38I 9,08 1 1 1 13,07 1 14,20 1 18,17 1 1 19,01 1 1 19,43 1 22,35
Bricharaalo 1 e.æi 8.051 9,26 1 9,35 1 12,48 | 13,24 1 14.47 1 18,45 1 18,52 1 19,18 1 120,02 1 22,55
Torre Pellice 1 8,531 8.25 1 1 9,50 1 13,02 1 14,02 1 15,03 1 1 19,07 I 19/5 1 ! 20,24 1 23,13
Torre Penice 1 4,35 1 1 5,581 6,101 7,051 9,05 1 12,20 1 1 13,13 1 16,30 1 19,42 1
Bricherasio 1 4.501 1 6,.l!| 6,30 1 7,20 1 9,19 1 12,34 I 12,40 1 13,26 1 16,46 j 1 19,58'1
Pinerolo 1 5,181 1 6,27 1 6,51 1 7,36 | 1 1 13,04 1 13,40 1 17,07 1 20,22 1
Airasca 1 5,431 6,13 1 6,52 1 7,16 1 7,55 1 1 1 13,32 1 1 17,33 1 20,45 1
Torino 1 6,301 6,451 7,35 1 8,10 1 8,30 1 1 1 14,201 14,301 16,20 1 21,35 |
BRICHERASiO-BAROE e viceversa
Brlcher. 5,16 1 9,30 1 13,35 1 14,551 18,50 | 20,15 Barge 4,25 1 1 6,081 12,22 1 14.081 16,20 1 19,32
Barge 5,36 1 9,50 | 13,54 1 15,14 1 19,10 1 20,36 Brlcher. 4/7 1 6,30 1 12,40 1 14,38 1 16,40 1 19,52
TRAMVIA PINEROLO-VI LLAR-PEROS A ARGENTINA e viceversa
Pinerolo 4,25 1 5.45 1 6,451 8.151 10,151 11,30 1 12,40 1 14,40 1 17,20 1 19,15 1 1 1
PeroM 5,45 1 6,37 1 7,401 9,10111,20 1 12,251 14 1 15,40 118,» 1 20,10 1 1 1
PeroM 4,451 5,551 7 1 6,20 1 9,40111,45 1 13 1 16,05 1 rr,40 1 18,50 1 1 1 1
Pinerolo 6 1 6,451 T,55| 9,101 10,40 1 12,53114,15 117 1 18,35 1 19,45 1 1 1 1
Autoservizio e tramvia
PINEROLO-ORÖASSANO-TORINOeviccv.
(I) (2) (O
Pinerolo 6,15 | 8,20 | 11,25 | 12,50 |
Orbass. 7 | 9 | 12,05 | 13,30 |
Torino 7,40 | 9,38 | 12,43 | 14,08 |
0) (2)
I 18,10 I 18,45
I 18,50 I 19.30
I 19,37 I 20,08
Torino 6,20 I 8,25 I 11,30 | 14,25 |
Orbas. 7,03 | 9,04 | 12,08 | li,01 |
Pinerolo 7,43 | 9,44 | 12,a | 15,41 |
(1) Ferlait — (2) Festivo
14,55 I 18,15 I 18,55
15,33 I 18.59 I 19,35
16,13 I 19,39 I 20,15
Autoservizio Sapav-Satti
PEROSA AROENTINA-PINEROLO-AIRASCA-TORINO e viceversa
Orario giorni feriali Sapav-Satti
C Sapav Salii Sapav Salii
Salti Sapav Salti Sapav
Linea Automobilistica
TORRE-BOBBIO PELLICE e viceversa
Torre Pellice
Bobbio Penice
(I)
8,35 I 11,30 I
9,05 1 12 I
I 19,15
I 19,45
(I)
Bobbio Penice 6,05 I 9 I 15,30 I
Torre Pellice 6,35 I 9,30 I 16 I
(I) Solo il Venerdì
Pinerolo 7,40! 11,40 1 13,451 19 Torino 7 111,50 117 1 18,40
Airasca 7,54 1 11,54 1 13,59 1 19,14 Airasca 7,31 1 12,21 1 17/1 1 19,11
Torino 8,25 1 12,25 1 14,30 1 19,45 Pinerolo 7,45 1 12,35 ' 1 17,45 1 19,25
Orario srlornl festivi
Pinerolo 7,40 1 8,30 1 13,10 1 19,50 Torino 7,20 1 12,15 1 18 25 1 23,55
Airasca 8,44 1 13,24 1 1 20,04 Airasca 7,51 1 12,46 1 18,56 -
Torino 8.25 1 9,15 1 13,55 1 20/5 Pinerolo 8,05. 1 13 1 19,10 1 0,35
Auto PEROSA ALTE VALLI *
(1) (2) (3) (4)
Perosa 9,25 1 20,20 1 Sestriere 1 14.10 1 16,50
Fenestrelle 10,15 1 21.10 1 Pragelato 5,50 1 14/5 1 17,15
Pragelato 10,55 1 21.50 1 Fenestrelle 6,10 1 15 1 17,40
Sestriere 11,45 1 1 Peroaa 6,50 1 15,45 1 18.25
(1) Da Fenestretle a Pragelato solo II venerdì e sabato
solo al sabato t domenica — (3) Feriale — (4) Festivo —
servizio si effettua soltanto al martedì, giovedì e feettvt.
(2) Da Pragelato a Fenestrelle
B. Fra Pragelato e Sestriere il
Perosa
Perrero
9,20 I 20,20
9,50 I 20,50
Perrero
Perosa
6.20 I 15,20
6,46 I 15,45
7
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