1
P Soixante-huitième année - Anno X“
7 Octobre 1932
N» 40
PELUCl^
VULEE8
PARAISSANT CHAQUE VENDREDI
PRIX D'ABONNEMENT:
Italie (y compris les Vallées et Colonies)
Etranger (y compris les deux Amériques)
Plusieurs abonnements à la même adresse .
Par an
L. 10,. 24,. 22,—
Pour 6 mois
6,
12
On s'abonne : à TorrePellice, au Bureau d’Administration de l'Echo (Via Arnaud, 25)
- Dans toutes Îes Paroisses, chez MM. les Pasteurs.
B
L'ABONNEMENT SE PAYE D'AVANCE,
pour la Rédaction, à M. le Prof. Louis Micol - Torre Pellice
S'adresser ;
— pour l’Administration, au Bureau du journal, Via Arnaud, N
25 - Torre Pellice.
Pour toutes les annonces s’adresser au Bureau du journal. r
Tous les changements d’adresses coûtent 50 centimes, sauf ceux du commencement de l’année. —
<wv Le naméro: 20 centimes •vv
8
s
Ì
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables..., dignes de louanges, occupent vos pensées (Phil. IV, 8).
Aux lecteurs.
sbIæ Table m’a confié le timon de i’Elcho
jt, (Quoique conscient de la responsaibilité
et du travail que je prenais sur moi, j’ai
aopepté, car j’aime le journal et je suis
'persiutdé qu’ü peut encore accomplir une
utile, soit au sein de nos Vcdiées,
soit au milieu des nxmbreux Vaudcis dis"
éminés ài l’étranger.
■’ Si vous vous attendez à l’énonciation
iun programme, je ne peux pas vous satkfaire ; Un programme c’est une promsse, et les promesses il faut les maintem. Comme je ne voudrais pas ressembler au potier dont parle Horace, qui
méditait des amphores et produisait des
marmites, je me limite à vous dite: Je
•ferai de mon mieux pour que le journal
4oit varié, intéressant et utile. Je compte
mr votre sympathie, votre encouragement,
et même sur vos conseils, quoiqu’il soit impossible de contenter tout le monde. VouM^z aussi renoUvder votre abonnement
pour 1933 et persuadez vos amis à en faire
de même ; chaque famille vaudaise devrait
être abonnée.
A tous ceux qui ne sont pas encore
abonnés, mais qui verseront leur abonnement avant la fin du mois d’octobre, on
enverra le journal dès le commencement
de novembre.
îi« * #
Je crois qu’ü est de mon devoir d’expriraer, aussi en votre nom, un sentiment de
‘reconnaissance à ceux qui ont dirigé le
joimud pendant les dernières années et à
tous ceux qui liid ont consacré une partie
de leur temps et de leur activité.
Aux collaborateurs,
I Je vise à ce que le journal soit « varié,
intéressant et utüe» ; or, une des premières conditions pour atteindre ce but,
consiste dans la variété des cdlaboratmrs.
h veux dotw espérer que votre attitude
rte sera pms celle d’un certain membre
d’église qui se plaignait continuellement
que le cfumt n’allait pms, mais qui, de son
dôté, n’ouvrait pas la bouehe pour unir sa
voix à la voix des auÉres membres.
Pour que l’écho se produise il faut remitir centaines conditions. Dans l’intérieur
d!U dôme de Saint Paul, à Londres, û y a
Mwe galerie murmurante (th© whispering
gallery); mais si tout le monde se tait
^on peut être sur que l’étrange phéno'nene pmsse inaperçu. Le cicerone, qui confit son fait, prononce quelques mots, et
tous ceux qui se trouvent le long de la balustrade circulaire les entendent, même à
tme distance conddérable.
• Dans nos montagnes.ü est des rochers
oelèbres pour leur écho„ mais üs restent
’f^fruieur cqmrne des tombes, si aucun ne
fait entendre sa voix. Une troupre d’en^ fants alla voir au, de ces rochers, mais
I (feiMs leur attente émue üs oaMiaient de
'oner, de chanter ou de siffler : rien de surI Pfemnt ne se produisait. ToUi à coup,
que l’am d’eux hisse tomber son
Verre en tôle qui, roulant dms le ravin,
1"*'ovoqua l’écho; des édats de rire suivi^ont et l’écho, cent fois répété, se mêla à
voix.
Chers collègues et chers amis, pour que
se produise ü faut que j’entende
voix sous la forme de bons articles,
ñ serra d’avance en mon propre mm et au
4 f’Om de ceux (pd aiment la variété.
Prière d’adresser tout ce qui regarde la
'^^adaction du journal comme suit :
¡Monsieur le pyof. Louis Micol
Tome Pellice.
POÜll U VIE iHTlBIEURE
Une pïièPe ¿e ^alomon.
«Donne-moi donc maintenant de la
sagesse et de l’intelligence ».
2 Chron. I, 10.
L’Eternel aipiparaît à Salomon et lui dit :
Demande ce que tu vieux que je te donne.
Quelle offre imervieilleuseî ! Si elle nous
était faite, nous resterions confondus et
ébbuis à tel point qu’il nous semblerait
de perdre la raison puis, reprenant peu
à peu le contrôle de nous-mêmes et croyant de rlajisonner admirablement, nous
demanderions à Dieu les choses lels plus
invraisemblables et les moins nécessaires,
peut-êire même invoquerions-nous des choses pernicieuses.
Salomon, qui est (passé à la postérité
avec la renommée d’un sage, a accepté
l’ofïlre de l’Eternel et il en a fait le meilleur usage possible en demandant de la sagesse et de rinteEigence. Son cas est donc
intéressant et nous voulons l’examiner
pour en tirer profit.
Il ahrait pu demander des richesses, des
biens, de la gloiire, ou lai mort de ceux
qui le haïssaient, ou des jours nombreux ;
mais ce dont il sent le plus pressant besoin c’^ la sagesse et l’intelligènce ; il oublie donc tous les autres intéirêts et invoque de Dieu un eslprit éclairé et juste.
Etant convaincus que si Dieu était disposé à nous accorder ce que nous demandons, notre prière ne ressemblerait pas,
dans le plus granid nombre des cas, à celle
du roi laiutefulr, il ¡est bon de recheroheri
le secret de la requête afin d’en établir
aussi clairement que possible les raisons.
Tout d’a’boîç|d, Salomon sent sa responsabilité : il est établi roi à la place de David son ipère, qui, malgré ses faiblesses et
ses chutes, a été un grand souverain, et il
ne voudrait pas en d^honorer la mémoire
ni en affaiblir le trôine. Il est appelé à
régner sur un peuple nombreux comme la
poussière de la terre (du moins, il le
croyait aussi nombreux), qu’il veut guider et juger avec équité. Il voit la grandeur de sa tâche et se sent loomme anéanti
sous le poids de la royauté ; ü comprend
la beauté de sa mission et voudrait s’en
acquitter de la meilleure manière.
Nous voyons donc facilement la seconde
raison de la requête. Le sentiment même
de responsabilité a créé dans Salomon un
idéal vers lequel il tendba de toutes ses
forces : il veut bien faire ce qu’il fait ; roi,
il entend que tout en lui — pensée, imrole, action — soit royal. Son peuple espère en lui et il ne veut pas le tromper;
les étrangers ont pour lui de l’ajdmiration
et de la crainte, il faut conserver l’une
et l’autre ; la postérité réclame qu’on prépare son jour et il lui promet de laisser
des traces bénies ; en un mot, Ü prend sa
charge au sérieux et il désire faire tout
ce qui est en son pouvoir pour la bien
remplir.
Enfin, s^tant la grandeur de sa mission royale et voulant gouverner comme
un sage, il se considère l’instrument de
quelqu’un qui est au dessus de lui, par
conséquent il est humble. Il ne se dit pas ;
Je suis roi, donc je n’ai besoin des conseils et de la direction de personne ; je suis
roi et jè commanderiaii à l’imivers entier.
Non, par le fait même qu’il est roi, il prendra' conseil de quelqu'un, il élèvera sa i«n
sêe et sa prièlre au Roi des rois et invoquera de lui la sagesse et l’intelligence.
■’ C’est l’heure où tous les ouvriers de
l’église, après avoir reçu leur mandat, reprennent le travail! et préparent la campagne d’hiver; il faut, comme Salomon,
^tir toute notre responsabilité, meme si
notre œuvre est bien plus modeste,
i. Le fait même d’être chrétien implique
un devoir difficile et tous les membres de
nos églises devraient sentir, eux aussi, leur
responsabilité devant le monde qui les observe et qui attend d’eux une direction
et des lumières.
Si tous, conducteurs et fidèles, nous mettrons la main à l’œuvre avec Tardent désir de bien faire et en demandant à Dieu
l’intelligence et la sagesse dont nous avons
besoin, notre activité sera bénie et donnera ses fruits.
‘ Devant nos re^onsabfiités, quelconque
Soient-eUes, répétons du plus ptrofond du
cœur la prière de Salomon : Donne-moi
dope maintenant de la sagesse et de
inintelligence.
gnnnnnnnnnnnnnnnnn
’ les Diiies valises
lé la laile ÉeMe iei.
On savait que le célèbre penseur chré. tien et fin critique littéraire Alexandre
Vinet descendait d’une famille de réfugiés
dauphinois;, mais personne, et lui moins
que tout autre, n’avait songé à pîéciser
1 ses origines.
L’intérêt du public s’étalât réveillé récemment, au point de réclamer une édition conuplète de sa riche production' religieuse et littéraire, le Comité d’Edition a
désiré enrichir cette collection d’une biographie complète de TiUustre autant
qu’humble pasteur' et professeur. C’est
ainsi qu’on a été amené à s’occuper de
ses origines, non point par une simple
curiosité, mais pajlce qu’il est incontestable, ipar les lois de l’hérédité, que les caractères essentieOs d’une personnalité dépendent en bonne partie du milieu familial d’où ele est issue.
Il n'est donc pas sans intérêt d'apprendre qu’Alexandre Vinet, par sa naissance
Vaudois du Canton de Vaud, est par ses
origines un Vaudois des VaUées des Alpes.
Il est en réalité un Alexandre Vinay.
La famille Vinay tire son nom de Vinadio (en piémontais Vinaï), une des plus
hautes communes de la vallée de la Stura
de Coni, région où l’Inquisition ooromença
dès le Moyen Age ’à signaler et poursuivre
des hérétiques vaudois, qui cherchaient
une retraite dans la vallte de Barcetonnette, par le Cbl de TArgentière.
Il est d’usage, encore aujourd’hui, de
donner comme surnom, à des persmmes
venant du dehors, le nom de leur lieu
d’origine ; et ce surnom est fréquemment
devenu le nom ,de famile.
C’rat ce qui a dû arriver aux,' réfugiés
de Vinadio, lorsqu’ils cherchèrieut im refuge à l’Arche, aux sources de TUbaye.
On ne peut préciser à quelle époque ils
franchirent Alpes. En tous cas, dès
1565, maître Damian Vinay, Barthélemi
feu Pierre et Antoine, de TAIrche, sont
nommés ¡par le gouverneur ducal parmi
ceux qui avaient (déclaré vouloir vivre
«dans la pureté de l’Evangile, sans soy
départir ni préjudicier à la liberté de
conscience ».
Taudis qu’une partie de la famille resta
à TArcbe, où elle est encore représentée
aujourd’hui, de nouveaux actes d’intolérance décidèrent un Antoine Vinay à aller s’établir à Guifiestre après la peste
de 1630. Son fils Pierre vînt s’établir en
1649 aux Clos de Riclaret; c’est de lui
que idlescendent les Vinay des Vallées et
ceux d’Allemagne.
Antoine eut deux autres fils, partant
Tun et TaUtre le prénom de Jean, selon
un usage qui n’étajt pas rare alors. L’aîné
mourut lafvant la Révocation (1685), le dernier, appelé l’autre Jean, abandonnant
Guifiestre, ,rejoignit son frère Pierre.
Mais comme, avant la fin de Tannée, le
duc expulsa des Vallées les réfugiés français, Tautre Jeato passa à Genève et de
là au Pays de Vaud avec sa femme et
famille.
Les noms de ses fils ne sont pas connus ;
mais, dfe le 10 octobre 1685, sont secourus à Genève Jean Vinay de OuMestre,
sa femme et 3 enfans.
En septembre 1690, quatre femmes Vinej, fixées aux environs de Rolle, étaient
signalées comme nécessiteuses. L’une était
veuve, les maris trois autres sont allés
aux vallées de 'Ptêmont. Ont-ils pris part
à la Rentrée en 1689, ou se sont-ils enr^és en 1690 dans les compagnies de réfugiés qui se joignirent aux Vaudois pour
combattre 'sous les dralpeaux dU' dtuc de
Savoie ? La forme du nom Vinet paraît
déjà en 1687 à Gilly, près de RoUe^
Un des fUs de l’autre Jean Vinay, dont
le nom' n’est pas connu, doit avoir été le
père de Louis Vinet, né en 1700, marié à
Rolle ■ et qui flut le bisaïeul d’Alexandre
Vinet. On conçoit aisément que- le nom
Vinay ait été lu et prononcé Vinet, comme
par exemple Ton appelle Gay (Gué) à Genève ceux que nous aippébns Gaï aux
Vallées.
Ces données, acioompagnées d’un arbre
généalogique, viennent d’être exposées par
le doct. Emile Piguet, de Neuchâtel, dans
la Revue Historique Vaudoise du mois
d’août, sous le titre : Contribution à l’histoire et à h généalogie de Vinet.
On y voit, pour trouver enfin, au Pays
de Vaud, la liberté religieuse, que la famille
Vinay = Vinet a abandonné quatre fois
sa parenté, ses biens et son pays, à Vinajdio, TAïche, Guifiestre et 1^ Vallées.
Cette série de renoncements pour raisons
de conscience n’a pu: que préparer, des hommes fortements trempés pour majii'tenîr ïo
droit des liberté évangéliques, J. J.
È USCITO :
ERNESTO COMBA
LE DUE PAROLE D'ORDINE Dl CIÀNrORlN
L. 1 franco di porto in Italia
L. 1,50 franco di porto all’Estero
Inviare vaglia alia
LIBRERIA EDITRICE CLAUDIANA
TorrePellice (Torino).
È USCITO:
STQRI/I DEI ?m
narrata da ENRICO MEYNIER
Volume in ottavo grande, di pagine 350.
Prezzo : L. 14, franco di porto in Italia.
Estero: L. 17, franco di porto.
Presso la Libreria Editrice Claudiana
Torre Pellice (Torino).
i ■:
2
Eeole du Dimanehe.
I.
L’enfant.
Nul ne met en doute la valeur unique
de l'école du dimanche. Tout pasteur considère cette branche de son activité comme l’mie des plus intéressantes et des plus
importantes, car l’écolier d’anjourd'hu-i
sera le catéchumène et le jnemibre d’église
de demain.
Il est bon, à l’époque de la réouverture
des écoles du dimanche, de fixer notre attention sur quelques iproblèmes qui s’y
rapportent directement.
L’école du dimanche a pour but d’éveiller l’âme dé l’enfant à la vie religieusechrétienne. Il ne s’agit pas de lui inculquer les premiers éléments du catéchisme
ou de remplir son œprit de notions abstraites qui lui Siont inintelligbles, de connaissances disiparates sur la foi, sur le péché, 'sur la conversion, sur la rédemption.
Il ne s’agit pas davantage de pétrir son
intelligenice à l’image et reæemblance de
celle de l’éducateur. Celui-ci (pasteiur ou
moniteur), doit être, pour son élève, un
stimulateur d’intérêts, un éveilleur de besoins intellectuels, mqraux et religieux. Il
doit amener l’enfant à voir avec; ses yeux,
à comprendre avec son intelligence, à acquérir lui-même des loonnaissances et faire
des expériences religiepses par un travail
et un .effort personnels. Plus qu’un maître enseignant « ex cathedra », l’éducateur
doit être un collaborateur qui réduit sa
personnalité pour- mieux pénétrer dans la
mentalité de l’enfant, pour le mieux comprendre et poux l’aider plus latvantageusement. Ce qui ne signifie pas que l’éducateur doive s’effacer entièrement.
Que l’enfaint se ¡développe religieusement dans une atmosphère de liberté, c’est
juste : qu’il fasse lui-même ses expériences et ses découvertes, c’est bien ; mais
la liberté de l’enfant et l’a/utoirité de l’^ucateur sont deux aspects d’une vérité complexe et doavent se fondre an unité harmouique. Cair l’enfant n’a pas la capacité
de tout découvrir, n’a pas le temps de
refaire, pour son compte, les expériences
d’une humanité millénaire.
L’éducateur doit donc avec tact, avec
compréhension, avec amour, guider l’enfant sans le ipousser.
Le guider Où ? — à Dieu !
Il est évident qu’il ne faut pas diriger
l’esprit de l’enfant vers des notions métaphysiques de Dieuf pas n’est besoin non
plus que son Dieu soit d’abord le Maître
du tonnerre, l’Etemel des iSrmées ou le
Dieu de la justice ava'nt d’être le Dieu
Père. Qu’il se contente, au début, de saisir la notion d’un Eltre plus puissant encore que les parents, qui aime et protège
comme eux, la notion d’un bon Père qui
est au ciel. On évitera donc les récits ter«
rifiants et 1^ contes anthropomorphes par
trpp grossiers de l’Ancien Testament ; ils
révèlent un état inférieur de religion par
où il est inutüe, voire même dangereux,
que l’enfant i>asse.
Il faut que tout parle à l'enfant de joie
et de lumière ; de là la nécessité de choisir,
dans la Bible, des récits très simples, faits
pour créer ,rme impression morale en même temps que pour montrer l'amour du
Père Céleste !
Il va sans dire qu'aux rédts bibliqrœs
on adjoinidra, le plus possible, des cartes,
des gravures, des tableaux appropriés. La
description ,habile d’une image demeure
inaffaeable dans l’esprit de l’enfiaint.
Plus tard, dans la seconde enfance (c’est
à cette catégorie qu’appartient le plus
grand nombre des élèves de nos écoles du
dimanche), lorsque l’intelligence de l’enfant est plus développée, capable d’attention prolongée et d’abstraction, on spiritualisera sa notion de Dieu, soit par dies
comparaisons ou par des figures habilement présentée. Dans la Bible, qui est le
texte d'étude de nos élèves de l’école du
dimanche, l’enfant sagement guidé apprendra que Bieu est le Onéateur et le
Seigneur du monde, qu’il'aime les bons et
châtie les méchants, qu’il s’afflige de nos
fautes, quTl se .réjouit de notre confiance,
qu’il,pardonne ceux qui se repentent, qu’il
écoute les prières, qu’il aide les besogneux;, qu’H console les affligés, qu’il est
tout-puissant, tout-juste, tout-bon.
Mais le jeune esprit de l’enfant a besoin d’inicaimer dans une personne toute
idée morale ou religieuse. Cfette i>ersonne
est, dans la Bible, Jés,us. En Lui et par Lui
l’enfant parviendrai à ,une notion vivante
de Dieu. Aussi faudrait-il peut-être renoncer à rianonter aux enfants les faits,
quoique sublimes, pour les ¡réalités rfeligieuses qu’ils renferment, des premiers
chapitres de la Genèse, et l’histoire, quoique merveilleuse, des patriarches et du
peuple d’Israël, pour ne présenter à nos
élèves que la personne dn Christ.
Quoi de ipluB vivant, de plus captivant
que Jésus jpareourant les sentiers fleuris de la Galüée, suivi des douze, entouré
d’une foule tantôt enthousiaste, tantôt
menaflante ?
Il ne faut pas bien d’effort pour arrêter l’attention de l’enfànt sur les prodiges et les miracles et les paraboles de Jésus. Et les pleurs du Maître doux et humble de cœur sur le tombeau die Lazare, et
les scènes dramatiques du procès et de la
crucifixion du ffife de Marie, tout cela se
grave dans l’esprit de l’enfant.
En Jésus l’enfant connaît Ifieu, connaît
ses frères. Hacé sous le rayonnement de
Sa personne, l’enfaUt s’éveiUe à la vie religieuse, à la croyance d'abord, à l'expérience ensuite dé Dieu.
A l’école du dimanche l’enfant jcom_mence un voyage spirituel qui, par l’action .de l’Esprit .divin, le conduira bien
loin et bien haut. Am. Ricca.
FACOLTi VALDESE DI TEOLOGIA
AVVISO.
Riapertura del Convitto e sessione di
esami. — La sera di Martedì 18 corr., il
Convitto della Facoltà sarà riaperto per
i sigg. Candidati che intendono sostenere
esami generali nei giorni 19, 20, 21, 22.
Essi devono iscriversi almeno otto giorni
prima e notificare al Segretario la data
precisa del loro arrivo a Roma.
Inizio dei Corsi. — I Corsi incominceranno regolarmente la mattina di Lunedì
24 Ottobre. Gli Studenti sono tenuti a
trovarsi a Roma non più tardi di Sabato 22.
Coloro che desiderano l’ospitalità nel
Convitto devono preavvisare in tempo e
direttamente il Segretario, precisando l’ora
dell’arrivo.
Prof. Ernesto Comba, Segretario
Via Pietro Cossa, 42 - Roma (26).
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Miarîe Garrou, 1 - Marguerite Garrou, 1 s
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des Vaudois, 2 - Jeanne Strom, 2 - M. et
M.me Jules Cardon, 2 - Pierre et Julie Ba,ridon, 2 - Henri et Marguerite Pons, 2 M. et M.me Jean Coïsson, 2 Pierre Louis
Rostan, 1 - Jeanne Pons, 1 - Hélène Mar-tinat, 1 - Maüithe Salomon, 1 - Céline Lageard, 1 - Célestine Grill, 1 - Maison
« Emile », 2 -- Jean Malanot, 1 - Alice Duvoisin, 5. - Total $ 28.
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Poët, 1 - H. Albert Jahier, 1 -- Benjamin
Pons, 1. - Total $ 9.
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Tron, 1 - Henri Tron (Corona), 1 - César
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Durand-Canton, 1 - Jean Gaydou, 1 - Fanny
M. Multare, 1 - Josué et Louise Tron, 2. Total $ 13.
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remerciements particuliers aux coUecteurs,
lesquels ont certainement fait ce qu’ils
ont pu. Pierre Griglio, pasteur
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Toure Pellice (Torino).
CHRONIQUE VAUDOISE.
LATOUR. Samedi matin, à 9 h. 30, les
élèves — laiocompagnés par leurs maîtries
et maîtresses — de nos écoles élémentaire se réunissaient dans le temple pour
l’inauguration ,de la nouvelle année scolaire. Nous ne pouvons qu’atpproiiver le canactêre religieux, voulu maintenant pair le
gouvernement — mais que noius avons tou-jours donné — de cette cérémonie qui,
faite dans les dispositions que les croyants
y apportent, ne peut qu’être bénie. Quoi
de plus nécessaire, et quel privilège, en
même temps, que de se mettre, au commencement d’un© année dé travail, sous
le regard de Celui qui est notre divin !Maître, notre ioisipiriaiteur et notre foro^
-4^
Le pasteur, M. Jules Tron, lut quelques-,*
versets adaptés à la circonstance, puis il)
s’adressa, dans *jne courte allociution, '
d’abord aux élèves, en leur disant ce que*
l’école ¡doit être pour eux et dans quelletdispositions il faut y aller, ensuite rappe»
lant aux instituteurs et institutrices Ce-f
lui sur qui nous avons tous besoin de fixe?
les regards, puisque nous avons conscienciP
de notre ignorance, de notre impuissand^
à accomplir tout le traviaSl de notre vocâi»
tion et idans tous ceux qui nous sont
confié.
M. Alexandre Rivoir, directeur « didattioo», insiste sur la beauté et la néoe®sité de l’instruction, il rappelle la part ’
de l’élève — la volonté, l’étude inteUigente^P
l’attention — pour que le travail qui s’accomplira durant l’année soit profitable, ü ’
dit aux élèves l’affection que les maîtnes
ont pour eux, et leur désir de leur fairq •
du bien.
Nous eûmes ¡ensuite la distribution des ;
prix que le Consistoire donne aux élèves ï
qui se sont démontrés les plus studieux et^,
appliqués à l’étuide de jla Bibl,e et du .
français.
La cérémonie termina par le chant d’un
cantique et la prière.
— Dimanche après-midi, l’Union des ¡Mères de famille a eu le privilège d’accueillir M.me Nott, de Londres, qui a bien"
voulu nous consacrer quelques heures. Présentée par la présidente de TUnian des
Mères, M.me Ida Jalla, qui dit à la distin^
guée visiteuse la joie de la ,revoir, car ce
n’est pas la pnemière fois que l’Union ace plaisir, M.me Nott adressa aux mamans
quelques mots qui allèrent au cœur par
la chaude affection dont ils étaient inS-:
pirés. Une ,bonne conversation s’engagea
ensuite, au cours de laquelle an réalisa, "
k
ime fois de plus, combien il est agréable»,
pour des sœurs, de se trouver ensembîè.
On se sépaira après avoir consommé un
thé bien garni, offert par la généreuse
M.me Nott.
— Nous laivons reçu, pour les répara
tions au temple dles Cbpters, les" souiraesi'
suivantes : M. et M.me Jules Linder, L. 20
- M.me Ph. B., 20 - Une veuve reconnaissante, 50 - M.me Emma Motta, 20 - M.me
veuve Ayassot-Revel, 20 - M. V. A- Costabel, modérateur, 50 - M. Henni Chairbonnier. Baissa, 10 - M.me Hilda BruschettiniRoland, 150 - Prof. Jean Jalla, 20 - M. et
M.me J. P. Massel, 25 - M. Théophile Mathieu, 15 - M.lle Anita Mathieu, 15 - M.lle
Joséphine Btradiey, 10 - M.lle Marie Rihet,î
15 - M.me Lydie Joürdlan, 5 - M. et M.me
Louis Bert, 30 - M. et M.me Théophile
Mialan, pasteur, 50 - M.lle Lydie Costabel,
40 - M. et M.me Gustave Comba, 100 •
M.Ile Elvira Arias, 5. -â
Que tous cès donateurs reçoivent ici l’ex-,
pression de notre vive reconnaissance î
grâce à eux, un autre bon pas en avant,
a été fait,;, mais mous sommes loin encor®
du but, aussi nous esipérons que leur exeiBi;
pie se|ra suivi pair beaucoup d’autres meffl*'’
bres d’église et amis qjui aiment la xaé-son de Dieu' et qui nous aideront à fait«
de notre vieux 'Sanctuaire des Copiers UMÎ
Ì
(W
demeure digne de Celui à qui nous devoflS
toutes choses.
— Concert. Samedi, 15 courant, à 20 h. 30,
à l’Aula Magna du CoUège, aura lieu V»;
très beau concert de bienfaisance, avec IS
particjipatîon de M. Marco Peyrot, iUr®'
tre violoncelliste à f'Augmtée de Rome»
de IM.lles Chauvie ¡(soprano) et ThefleT.
(piano). Les bilets, à L. 5, se trouvent Si
vente dans les pirincipaux magasins.
PERRIBR-MANEILLE. (Retardée).
manche, 25 septembre, M. Mkol prêoW
son sermon d’adieu à cette congrégiati
devant une nombreuse assemblée accourü®
pour écouter une deimière fois les exhor
tâtions et les conseils du Pasteur qui,
daut dix années, a desseirvj cette paroîSS
avec un zèle non commun. Son 'sermiMi
très émouvant et empreint de tristesse
M. Micol s’était tirés affectionné à cef^
paroisse et les i)aroissiens l’aimaient r
moment de se séparer, chajcun avait ^
cœur plein.
Au nom dœ assemblées, le régent
cal, à MiarieiUe, et M. J. Abram Pascal, a?
3
perrier, ,nemercièmnt le Pastejur pour TcefUr
vre bénie aiocomiplie fidèlemient au sein de
cette congrégiation.
Dans l’après-midi, une soixantaine de
membres se réunirent autour du Pasteuic
et de sa famille pour l’offre d’un cadieau.
li'avocat PMicol, secrétaire communal, rap^■pela l’œuvre expliquée pair le pasteur Micol en déhons die l’Eglise^ pour maintes
Institutions, qui sont d’uine très grande
utilité pour la population du Perrier. Le
légent Pascal rappela ensuite l’œuvre aocomplie par M. Micol au sein de l’Eglise :
[iÇ® sermons si impriessifs, son enseigne'pent religieux, sa ponctualité dans tout
ce q!ui concernait son service, qui n’a pas
été démentie, même quand les difficultés,
(pour se porter d’une localité à l’autre,
étaient très grandes. La réunion, très famiiliale, fut clôturée par les remercîments
du Pasteur et par une bonne tasse de tbé.
Nous renouvelons ici, à M. Micol, nos
souhaits les plus sincères pour son nouveau champ de travail, afin qu’ü puasse
en recueUUr de bons ftuàts.
^ — Dimanche, 2 octobre, le vice-modérateur M. Marauda présenta à l’assemblée le
nouveau conducteur, M. O. Peyronel, ,désigné à l'unanimité par les membres électeurs de é#te Eglise. M. Peyronel, qui est
déjà connu très favorablement .parmi nous,
nous délivra son message plein d’enthou^
siaisme. Au pasteu|r Peyronel et à sa fu.-ture compagne nous donnons la bienvenu^
'en les assurant qu’ils seront entourés ide
toute notre sympathie chrétienne. Rep.
I' PRALI. Dimanche, notre culte a été pré^dé par le candidat en théologie M. Arturo Kostagno. Merci encore.
— Samedi, c’était Armand Peyrot de
ilenri (Malzat), et Alinde Grül de Etienne
(Id.), qui s’uniæaient en malriage. Le mê^
Oie jour, les grands parents de l’époux,
^rül Jean et Marie, du Coin, célébraient
leurs noces d’or. Aux jeunes et aux vieux
fipoux, nous renouvelons nos meilleurs
^uhaits.
J. BOM&. Roma docet, Rome enseigne, et
H faudrait im long article pour donner
une idée quelque peu complète de l’œuvre
évangélique qui se ¡poursuit dans cette
grande ville. Nous avons lu les rapports
des deux églises vaudloises de Rome, et le
'[ travail accompli, les résultajts obtenus, soit
à un point de vue matériel |^it à un
point de vue ^irâtuel, nous ont fait exclamer : Rome enseigne ! et si elle enseigne, nous écrivons ces lignes afin que nous
apprenions.
L’église' (de Via Quattro Novembre et
celle de Pjazza Cavour, d’un commun accord, ont intensifié leur activité, cette dernière année, en instituant chacune un second culte, la première celui du soir et la
seconde celui du matin : la fréquentation
a démontré que la mesure était bonne et
BCorrespondalit à un© nécessité. En effet, le
culte du matin, à Piazza Cavour, a réuni
une moyenne de 110 auditeurs, et celui
»du soir, à Via Quattro Novembre, a été
encourageant dès le premier dimanche, et
le troisième dimanche le temple se remplissait déjà.
L’œuvre de Piazaa Cavour s’iest admirablement affirmée et même les Cercles de
Saint Pierre la connaissent et ont SQUwnt
envoyé des jeunes gens pour surveiller ce
tW’on y prêcha A ce qu’il paraît, cependant leur zèle s’est beaucouip refroidi, car
iUn de ces jeunes gens, après avoir consciencieusement survéiUé, est devenu membre de notre église !
La jeunesse prend une part très active
la vie ecclésiastique : les étudiants en
théologie reçoivent, tous les après-midi, les
Nombreux visâteurs |qui entrant dans le
temple de Piazza Cavour ; ils s’occupent de
»i’école du dimanche et d’autres activités;
bn peut dire que chacun a son rôle et
QWe tout est bien organisé.
L«s deux communautés ont fait un réel
effort financier aussi, avec ides résultats
très encourageants : un grand nombre de
contributions ont été doublées et même
triplées ou quadruplêes.
On n’a ipas honte de l’Evangüe, à Rome,
bt les personnages les plus en vue ne crai
gnent pas de faire savoir qu’ils appartiennent à nos églises, et ce qui est plus remarquable encore, ils ne dédaignent pas
de se rendre utiles en accomplissant des
devoirs très humbles ne lit-on pas, dans
un rapport, qu'un professionniste, qui n’est
pas le premier venu, en sa qualité de diacre dirige le service d’ordre au culte ?
Il nous semble donc que nos deux congrégations dé Rome sont s,ur la bonne voie
pour réaliser le devoir de chaque Vaudois
tel qu’il ed; résinné en trois mots par le
rapport de l’église de Piazza Cavour ;
Croire, témoigner, donner.
Que Dieu soit avec ces vaifiaiites communautés et avec leurs conducteurs.
SAINT-GERMAIN. AsÜe des VieiUctrds.
Le 29 septembre a eu lieu la réunion du
Comité. On a constaté avec plaisir que les
réparations exigées pour le chauffage du
réfectoire, dju dortoir et des chambres des
Diaconœses, sont réussies à la satisfaction
de tous.
Une plaque en marbre a été inaugurée
au souvenir du chey. Albert Rostan et de
sa compaigne, bienfaiteurs de l’Asile. Cinq
admissions ont eu lieu.
Nous avons resu avec reconnaissance les
sommes suivantes : E. Oabella, L. 20 - Ç.
Cocito, 25 - Eglise d’Angrogne, 30 - M. Gay,
80 - C. flVfaggiore, en souvenir de son mari,
25 - De Bernardi Teresa, 15 - Nancy Seiger,
300 - Prof, Griset, 50 - Id., en souvenir
de son père, 100 - T. Downie, 25 - P. Balmas-Turin, 30 - Sjusette Vola, 15 - Eglise
de Bobi, 50 - L. Mdnetti-Goïsson, 200 Lydie Bounous-CuBen, Naples, m souvenir
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DONS EN NATURE.
Je n’ai pas entièrement perdu l’instinct
du colecteur, et ne pouvant faire mieux,
je vais lanceV mon appel à toutes les paroisses pour solliciter des... pommes de
terre. Si on y ajoutera des haricots, des
pois, des lentilles, des fèves, des châtaignes, des f rUite et idu vin, etc., tant mieux.
C’est pour nos Instituts de bienfaiaalnee
que je plaide, m’adressant à nos campagnards, afin que, dans la mesure du possible, ils contribuent à maintenir des Institutions idont chaicun peut avoir besoin.
Queles sont ces Institutions ?
Je vous réponds, afin que vous sachiez
¡pour quel but vous donnez. Nous avons
nos deux Hôpitaux, du Pdmaret et de La
Tour, l’Orphelinat de La Tour, le Refuge
pour incurable^; de Saint-Jean, l’Asile des
Vieillarlds, de Saiint-Germain, pour ne parler que de-celles qui se trouvent dans nos
Vallées et auxquelles vous vous intéressez
tout particulièrielment.
Toutes ces Institutions traversent des
temps difficiles et souvent il faut faire de
grands efforts pour boucler les comptes
sans déficit. Sachez donc que les pommes
de terre et le reste pèsent favorablement
sur la balance. Vous avez compris eit saisi
ce qu’il faut saisir et vous avez décidé de
donner libéralement des produits du sol.
Il reste une difficulté ; à qui donner ? à
qui porter ce que vous destinez à un institut qui peut pfr® votre maison de
demain ?
On va organiser tout un plan qui facilitera votjre tâche, car je suis convaincu
(ïue vos Pasteurs et Consistoires, vos
Unions, prendront à cœur cette collecte et
la mèneront à bien en vous épargnant un
dérangement inutile et évitant une incertitude qui éteint renthqusdasnœ.
'Nous attendons donc avec confiance et
nous vous .remercions dès à présent au
nom de nos Institutions et au nom de
ceux qui y sont ou y seront recouvrés.
COMUNE DI TORRE PELLICE
TÄBEU STATISTICA - Hese dl Settembre 1932-X.
Nascite N® 6 — Decessi N® 5
Institutions Hospitalières Vaudoises.
Dons reçus depuis le 12 août au 30 sept. 1932.
REFUGE.
M.ines et M.rs :
M.me Hélène Grimes-Quarrthorpe de Binstead, L. 100 - Paroisse de Rorà, 20 - Charbonnier Jean, La Tour, 20 - Eglise de Vülesèche,
40 - Charles E'ynard, vice-consul, Constantine, 25
r Attilio Durand, Nice, en souvenir de son père
Henri Durand, 100 1rs. = L. 75,50 - M.me
Zecca, Id., en souvenir de son père, 20 frs. =
L. 15,10 - Marguerite et Ida Jourdan, La Tour,
in memoriam de Edouard Jourdan, 100 - M.me
Catherine Léger, 50 - Emile Rivolr, pasteur,
La Tour, 10 - Ph. Léon Pahzel, Paris, 10 - Domenico Abate, Catane, 5 - De Pasquale Paul,
Id., 50 - Sœur Miriam, Strasbourg, 10 - M.me
BeUion Altaertine, Saint-Jean, 5 - M.lle Selma
Longo, Floaence, 25 - M. et M.me Lucani,
Borne, 20 - M.Iie Hélène Curchod, Lausanne, 20
- M. et M.lle Clxarlcs Curchod, pasteur, Id., 10
- Anonyme, Suisse, 5 - Un groupe de chanteurs,
La Tour, 26,50 - Jean Etienne et Paul Barolin,
en souve7iir de le^ir mère, 500.
Dons pour des buts spéciaux:
'Adèle Long-Parena, Turin, (ireniler verseaient peur la fondation! d’un lit en mémoire de
son regretté mari M. Ermanuo Long, L. 2.500
n Fédération des Vaudois des Etats-Unis, pour
le lit des Vaudois des Etats-Unis, 637.
ÿ
* « «
ORPHELINAT.
M.mes et M.rs :
Paroisse de Rorà, L. 20 - PeRegrin David,
La Tour, 15 - Chaçtonnier Jean, Id., 20 - Eglise
-de ViUesèche, 40 - Id. de Brescia, 50 - Charles
_ Eynard, vice-consul, Constantine, 25 . - Lydie
Griset, Saint-Germain, 100 - L. A. Monnet,, Armaria, La ToiU’, 100 - Paroisse de Prali, in
7Henwrîam des jemies gens Guido Bichard et
Ainato Boston, 100 - Marguerite et Ida Jourdan,
in memoriam de Edouard Jom'dcm, 100 - M.me
Hilda Long, La Tour, recon?iaissante à Sœur
Eva Gay, 25 - N. N., Saint-Jean,, 10 - M.lle
Selma Longo, Florence, 25 - Diano Nicola, Bari,
5 - Quelques délégués au Synode des VaUéeSi, 27
^ M.me Cramer, Rome, 50 - Eglise de Coaz,ze, 80.
» H>
HOPITAUX.
M.mes et M.rs:
Paroisse de Rorà, L. 20 - Charbonnier Jean,
La Tour, 20 - Selma Longo,, Florence (pour Pomaret), 20 - Eglise de ViUesèche, 50 - Charles
Eynai’d, vice-consul, Constantine, 50 - L. A,
Monnet,, Armaria, La Tour, 200 - Marguerite
et Ida Jourdan, in memoriam de Edouard Jourdan, 100 - M.Re Selma Longo, Florence, 15
M. Ue Cabella Eugénie, Turin, 20 - M.lle Geymet, La Tour, 10 - R. Coïssoii, missionnaire,
Id., 20.
Dons pour des buts spéciaux ;
Une amie d’école, en 7némoire de M.me Nancy
Costahcl-Bonjour (pour* l’inptallatlon radiologique à l’Hôpital de La Tour), L. 40 - M. et M.me
Giulio Comba, premier versement pour là dotation d’un lit au nouveau pavUloni de l’Hôpital
de La Tour, en mêmoh-e de M. Ermanno Long
(Lit Long Auguste et Orlitia), 2.500.
Madame Théodore Geeliæt-Secretan,
Monsieur Georges Henri Grellet, Ma-,
dame François Secretan et ses enfants;
les familles PEYROT, TURIN, DECKER,
MEILLE, COUCOURDE, VINÇON, RIBET,
ont la douleur de vous faire part de la
grande perte qu’ils viennent de faire en
la personne de
Monsieur JEAN GRELLET
greffier substitut dü Tribunal cantonal
l0wr cher fils, frère, neveu et cousin, enlevé à leur affection, le 23 septembre, dans
sa 39“® année.
L’incinération a eu lieu à Lamanne, le
lundi 26 septernbre.
Cet avis tient Heu de faire-part.
Les familles JOURDAN, de Bmssang et
Mouktra, vivement touchées par les témoin
gnages de sympathie et ^affection reçus,
remercient sincèrement toutes les pçrscmr
nés cpd se prêtèrent dam la doîdoureuse
draomtance ou accompagnèrent leur bienn
aimé aiu champ du repos.
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FERRERÒ - Pastore : Oreste Peyronel.
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PRAROSTINO - Pastore : Guido Rivoir.
RICLARETTO - Pastore; Guido Mathieu,
RODORETTO - Pastore : Giovanni Tron.
BORA’ - Pastore; Enrico Pascal.
S. GEBM, OHISONE - Pastore : Enrico Tron, J.
TORRE PELLICE - Pastore : Giulio Tron.
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PRADELTORNO - Evangelista : C. A. Arnoulet.
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moderatore - Pastore Antonio Boston, segretario-oassieiB - Via Quattro Novembre,
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