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Soixantddoáziériie „alinée
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/ PRIX D'ABONNBMBNTt J Pm bbi P«W s B>^
Italie et Colonies italiennes '. . . . L. 10,- 6rEtranger . . . . . . ,. » 24,- 12,Plusieurs abonnements à la même adresse i. » 22,-
Ob ■ '•boBBc: ä Torre PeUice, »a Bureau d’Administration de l’EcAo (Via Wlgram, 2) ‘
- Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs. 7 ■
FABAI3SANT CHAQUE VENDREDI
■
r . ,
L'ABONNUmiT SB FAVB »fAVJkllCS.
S’adresser: potrr la |<id«c;ttMi, Ü M.lel4o& LodisMicol- TorrePtíike— poui
l’AdminiatratleB, au Bureau dn joutml, Via Wigram, 2 - Torre PelUce.
Popr toutes les ■■noBccs s’adrener au Bureau du journal.
d’adresse coûtent f» «fatiaB
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O La nnméco: 910 MolïiiiM -O'
Tous les changemeuts d’adresse coûtent f» efBtiuMs, sauf -ceux du comnen'
cernent de l’année. ' /
Que toutes les choses viiaies, honnêtes, justes, pures, aimables..., dighes de louange, occupent toi petMées (Fhilipp. IV, 8).
AVIS.'
Les muveaux abonnés •pour 1937 reçoé
vent gratuit&ment le jountal dès awjmr
U,
d’hni. ....
Nous comptons sur la fidélité de nos. lecteurs et nous leur rappelons *qu'%m don
supplémentaire sera le bienvenu.
Nous prions nos correspondants et nos
abonnés, surtout ceux de l’étranger, d’écrire les noms d’une façon lisible, mieux
encore ; en lettres d’imprimerie, Nous
n’avons aucun Champollion dans notre Bureau, pour déchiffrer des hiéroglyphes, et
no'us savons, d’autre part, q%e les gens se
fâchent si leur nom riest pas cçrreçt.
E3SBëaS3iiees8â£l~^3£»3ll3eE§gËE9e8£3£3e3âËë3l3Ê3
pour la vie inférieure
L’ESPRIT DE PAUVRETE.
« Voyant ces multitudes, Jésus gravit la montagne. 11 s’assit, ses diBciplf’s s’apprcclièrent de lui. Ouvrant
alors la touche,, U se, mit à les enseigner, disant : « Heureux les paUvres
ciui le sont en vérité : le Royaume des
rieux est à eux ».
Merci, Jésus, de nous donner ainsi ton
temps, toi, le Fils de Dieu, à nous, les
pauvres, les petits, les perdus, les mléprisés' peuti-être. Pour nous mettre tout-àfait à l’aise, pour te faire tout fraternel,
tu « t’assieds » au milieu de nous comme
celui qui n’est pas prpasé et qui veut passer un bon moment avec æs aimis. Ta
bouche s’ouvre pour nous parler, et ce
n’est pas un « docteur » qui nous parle,
c’est l’Ami et le Frère que nous avions
toujours cherché sans pouvoir le trouver,
Tu as commencé par nous aimer; c’est
pourquoi tu sais si bien nous parler.
Qu’avec toi, maintenant, nous devenions
nous-mêmes simples et transparents, perméables à la vie que tu nous apportes !
— Heureux les pauvres, ceux qui le
sont en vérité, dans leur esprit, car le
Royaume des cieux est à eux.
— « Heureux les , pauvres !... ». Voilà
bien une parole .surprenante pour le
inonde, Jésus, car je vois partout, autour
de moi, des hommes qui s’acharnent à la
poursuitq des richesses. Hs veuleiit de: l'argent, toujours plus d’argent, parce qu’ils
croient qu’en ayant beaucoup d’argent ils
/
seront heureux et puissants; et cela leur
rétrécit le cœur, cela les rend durs, égoïstes, malhonnêtes, injustes Souvent, Jiruels
parfois ; cela fait d'eux des,« concurrents »
et des « rivaux », et cela fait surtout qu’ils
n’ont plus le temps de se connaître ét de
s'aimer.
Mais tu as raison, Jésus, le bonheur
n’*est pas là où le monde l’a mis. J© suis ea>
tré dans beaucoup de maisons où l’on avait
aiæumuilé des richesses parfois considérables tellement que je m'y sentais tout
petit, moi qui n'ai que peu de chose et
qui suis obligé de recevoir mes amis si
siimplement, et je n’y ai que bien rarement trouvié le bonhetur. Et je couq)iends
tuaiutenant que le bonheur fuit toujours
celui qui veut être « rjçhe » et qui veut
le rester, — Tamibitieux, le satisfait, lie,
repu, odui qui s’installe pour jouir, alors
que açâ frères souffrent autow de iTii. Celi^-là n’est qu’un éternel insatisfait.
— Ecoute, mon ami, j'ai à te parler
de.fla son© Pauvreté, non pas d'une pauvreté tout extérieure et subie, mtai^ d’une
pauvreté intérieure, librement acceptée,
aimée.
. Es-tù. « pauvre » ? As-tu Tèsprit- de
pauya?oté ?^ Es-tu intériévrement détaché
des biens matériels, libre en face des cho
ses qui asservissent tant de tes semblables, offert à Dieu avec ces choses, — et
■ tout le reste — afin' que Dieu dispose librement de toi et de tout cela pour que
soit ce qui doit être ?
Tout est là, vois-tu, quand il s’agit de
« partir » avec’ moi. Le monde n’a pas encore pu « démarrer » parce qu’ü ignore
ou méprise l’esprit' de pauvreté et que,
pour lui, l'argent, c’est la grande chose.
Ili est donc asservi à l’argent, immobilisé
par l’argent, perdu par l’argent.
, Au reste, • ne te fais pas d'illuBions ; il
ne suffit pas d’être pauvre pour avoir l’esprit de pauvreté, et là plupart des déshérités de la terre sont, eux aussi, et souvent tout autant que les fortunés, les esclaves de Targerit ; non pas, sans doute, de
celui qu'ïls possèdent, puisqu’ils n’en ont
pas, mais de celui qu’ils convoitent. A eux
aussi les choses du Royaume, celles qui
font vivre, demeurent cachées et inaccessiblès.
La vraie pauvreté, celle qui ouvre la
porte sur le bcnheur et sur la vie, parce
qu’elle déleste l’homme, rompt ses amarres et lui permet de cammencer son ascen-,
Sion, .est une pauvreté essentielle et indépendante des conditions extérieures de
l’existence. C’est un détachement intérieur qui libère l’homme une fois pour
toutes de son asservissement-atavique aux
choses qui passent, et qui lui permet d’offrir à Dieu ces choses pour qu’il en dispose en vue de l’ordre nouveau d© son
Royaume. La vraie pauvreté, compreuds-le
bien, résulte toujours d’une vision redressé des choses et d’une saine hjérardiie
des valeurs. Elle ne méprise pas les riches^,s; elle les offre à Dieu pour qu’il
en. soit fait l'usage qui convient, selon les
directives que Lui seul peut donner, dans
la Justice et dans l’Aimour,
Mais ce nîest pas tout. Ceux qui ont l'esn
prit de pauvreté, ce sont aussi les humbles, ceux qui se sentent pauvres intérieurement, ceux qui ont conscience de
leur misère et qui la crient à Dieu. Ce
sont ces chercheurs sincères de mieux à
qui Dieu peut, à cause de leur humilité,
diispenser ses, trésors, parce qu’.ils sont
comme des vases ouverts devant Lui —
ouverts pour recevoir, et ouverts pour
donner.
H ne suffit pas, mon ami, pour que
Dieu puisse venir avec les richesses de
son Royaumo, que tu sois lihne à l’endroit
des bijens m,àtériels ; il faut que tu sois
Hbre, aussi à l'endroit de toi-même, délivré de ton orgueil, de ta isagesse, de ton
intelligence, de ton esprit de jugement et
de critiqiue, et des envahissements multiples du moi qui toujours s© recherche et
s’affirme Ilui-imême ; il faut que tu aies
compris ta condition d'être «dépendant,»
et que tu sois réconcilié avec êHe. La
porte du Royaume, vojs*tu, eét étroite ; elle
ne kisœ pas passer celui dont le moi se
et se rend encombrant. Elfe est très
basse aussi et tout œ qui raiidilt l’homme,
tout ce qui l’empêche de se ibaisser jusqu’à
ta. taille du « petit enfant »., doit être abam
donné avant qu’on pui^ fe franchir.
Ccmprends-tu œla, enfant, le com
prends-tu ét l’acceptes-tu vraiment —
cela et „tout ce que'je n’ai pas pu te dire
encon?., mais ’que tu pressens, à travers
mes. paiEOles-? Alors tu-es heureux car de.
grandes choses t’attendent;, un monde
nouveau s’offr© à toi ; un monde où avec
Moi, (tu trouveras la Vie; un monde où,
dans la joie de Ma communion, tu apprendritô à aimer, à servir et à souffrir.
--- Merci, Seigneur. Tu parles un lanh
gage nouveau et ta voix est une voix
« autre » et « unique ». Et cependant je
comprends que c’est 1© langage et la voix
de toujours.
J’écoUte et j’obéis.
{Dialogues intérieurs). G.-F. Grosjean.
lOO,
25,
SESTA LISTA.
PRO EMERITAZIONE.
Signore e Signori :
Giuseppe Scarinci, S. Giacomo
degli . Schiavoni (1° vers.) L.
Liborio Naso, Pescolanciano »
Comm. Domenico Colucci Bey,
Lido Venezia »
D'Antona F. Riesi »
IIP/ , ■ »
Méry Alessio, Genova »
Jenny e Emilio Corsani, Id. »
Hahn Edoardo e Signora, Torino t »' LOCO,
Ten.-col. L. Rivoi,ra, Luserna '
250,
80,
500,
50,
500,
S. Giovanni
N. N., Ivrea {^)
Antonio Rostan (*)
Nora Gurgo-Cramer, Milano
Comm. Emilio Gardiol, Id.
E. F. G.
Leopoldo GonneHi, Rqma (’*=) »
Emma e Marta Turin, Torino »
X, Milano (=^) »
R. Cavagnaro, Id. (*) »
Unione delle Madri e delle
Giovani, Perrero »
Alcuni fratelli della jChiesa di
Cerignola »
Giovanni Mumenthaler, Milano »
K. L. »
Z. Z. »
1.000,—
100,—
300,—
200,—
» 10.000,—
» 25.ÒOO’—
» 200,—
300,—
2..000,—
100 —
5C0,
300,—
200,—
100,—
1.000,—
PRO COLLEGIO.
Liborio Naso, Pescolanciano L,
Giuseppe Pistone, Riesi »
Méry Alessio, Genova »
Dante Moi, S. Lucia »
Ten-col. L. Rivoira, Luserna
’ S. Giovanni »
Franco Vidossich, ex-alunno
del Ginnici©, in: ricortlo del
suo soggiorno al Convitto di
Torre PdUice »
Lysco, Torre PeUice »
Jean Cairus, ViUar PeUice »
N. N., Ivrea (*> >>
Antonio Eostan ("*) »
Delfina e Anita Ricca, Luserna
S. Giovanni (*) »
Commi. Emitio GardwU, Milano »
E. F. G, ,. ^
Corara Annibaie Fiori, Roma »
J. Gibert, Milano (*) »
Giovanni Mumentbafer, Milano »
EnricQ Trop, Torino (3® versamento). (’'*) - »
25,—
100,—
50,—
5,
1,000,
500,—
50,—
lOOç
100*—
200,—
100,—
5.000, —
20.000,—
25,—
1.000, —
100,—
2jOOO,
be oft^rte coàtw,scgnate con asterisco ■ (*)
sono in titoli di rendita dello Stato.
dans les prisons/
Un coup d’œil par l'imaginatiqn, mais
suffisant à notre but. V^oià unie grande
bâtisse, tout entourée d’épaisses et hautes
murailfes flanquées de tours, où des gardes veillent sans cesse, baïonnette au
canon.
Dans l’intérieur, des centaines d’hommes
(ou de femmes, ce qui est plus triste encore), condamnés à des années de prison,
Tous les délits et tous les: crimes y sont
repr^ntés ; on a là l’image, de toutes les
faiblesses humaines. Mais,, à tout prendre,
quels personnages insignifiants, .ïpaJgré fe
renommée que leur a peut-être créée un
long procès où les plus céHèbres gens de
robe ont fait couler des torrents d’éloquence.
Que de personnes, da.ns la lugubre enceinte des prisons : elles sont certes coupables et nous n’alIons pas marcher en
guerre contre la justice...
' Mais une pensée me hante, se précise,
se formule ainsi : Les vrais coupables sontils là ? Mais si, me répond^^râ. Ne voyezvous pas ? Il y a des voleurs, des cambriœ'
leurs, des assassins, des espions, des traîtres, des inoestuieux, de# coupables de
chantage... I^a liste serait vraiment trop
longue si nous voulions faire une revue
complète de tous les délits et de tous les
crimes.
Mais les vrais coupables sont-ils là ? Ne
sommes-nous pas plutôt eiî présence de
gens sur lesquds nous devrions nous
apitoyer ? , ^
Il faut se demander comment ces gens
ont été élevés, dans quel milieu üs ont
vécu, quelles influences jls ont ressenties.
Si j’étais juge, je crois que je me trouverais souvent dans rembarras. Peut-on
prétendre que le mal produise le bien ?
Il suffit de penser à l'influence ifefaste du
cinéma et de la littérature, d'où s’exhalent des miasmes qui empoisonnent le
cœur et l'esprit.
Il y a certes, les bons films et les bons
livres, mais à côté, que d'ordures qui sont
une école d’impjireté et de crime. L’en^
fance et la jeunesse sont saisies dans un
tourbillon et seulement tes volontés fortes résistent. Que de crimes doivent être
le résul'tat d’impressi<His lointaines repues de l’écran ou du jivre : les artistes
et les auteurs s’en dqutent-ils ? Le gain
tue la conscience et il est probable que
plusieurs ne se rendent pas compte du
mal qu’ils font. A nous de veiller et de
dénoncer le danger, afin que les pouvoirs
public*' soient 'toujours plus stricts et
prohibât tout ce qui est immoral. Si les
gens n'étaient pas empoisonnés, corroînpus par les spectacles et par la tedture,
fl y aurait beaucoup moins de c’rflnes.
Un état qui sait sauv^arder l'intégrité
morale du peujfle, est un état destiné à
vivre et à prospérer.
C’çst quand la nuit est bien noire qu’m
dietingiÿte le nmux les dtofles gui scmtülent ou firrmrrmd. C’est quand tout est
sombre et désespéré autour de nom qm
nous discernons le plus aisément les
myom de la grâce divine.
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1 - L’Ecole du DimanciK. ' '
EstdU© un culte ou une école ? A-t-on
entendu réspéter,'souvent, ces dernières an, nées :* « L'école du dimandie c'est le culte
des enfants». Les mêmes tendances-litur«'
giques qui portaient, k réduire, dans le
culte des «grands» la'ilcMigueur du ser-*
•mon, au profit de la Mturgiie,’^et’à introduire dans le cidte des silences, des phrases musicales, des morceaux d'orgue, ont
exercé leur influence aussi sur l’école dd
dimanche. Quelques essais individuels ont
été faits, pour donner à l’école dui'diman-^
che une véritable liturgie. Voici à titre
d’information, un exemple de «culte des
enfants », conçu sur le mpdêle de celui
,d« grands.
* l,;invôcfltiDn. . • \
2. I«*' cantique. - •
8. Lecture de la Bibde ; un passage qui
' ne soit pas sans rapport avec la leçom mais ncm pas' la leçon eüîfiü i
,, ■ if -i'même.'
4. Prière silencieuse. (Pour que ks' enV fants comprennent de quoi ü s’agit,
on leur explique d’abord ce> qu'on
va feiire. Par exemple, le directeur
dit : « Maiijtenant nous prions en si,• ience pour demander pardon à Dieu
de nos péchés »; ou «pour le nemercier de nous avoir gardés, en
bonne santé»). ^
5. Prière en commun, prononcée par le
pasteur.
6. Collecte. On la fera religieusement en
silence,
7. Il® cantique.
8. Formation des groupes. Les élèves ré
citent le verset du jour (un setil verset) qm se rapporte à la leçon du
dimanche précédent. Les moniteurs
répètent la leçon- du dimanche précédent.
9. III® cantique.
10. Méditation du pasteur sur le texte du
jour.
11. IV® cantiqua ... . - i 12‘ Nôtre ‘ Père.
13. Doxologie chantée.
Cela semble, à première vue, im peu
oomphqué. D’autre part, les collègues qui
ont adopté cette méthode en sont satisfaits. Nous n’avons pas l’intention de nous
piTononcer d’une façon absolue. Mais nous
pensons, même au risique de passer pour
conservateurs, que l’école du dimanche
doit servir avant tout à enseigner. Si la
parole de Saint-Paul : « Comment invbqueront^ils cehti en qui ils n’ont pas cru ? Et
comment croiront-ils en celui dont ils
n’ont pas entendu pailler ? » (Rom. X, 14)
est vraie pour tous, eUe l’est d’une façon
toute spéciale pour les enfants, qui ont
tout à apprendre.
Cela ne veut pas dire que l’école du
dimanche ne doive avoir que le but de
garnir ila tête de nos enfants de connaissances froides et étrangères à leur cœur.
Aucun enseignement religieux ne devrait
se borner à cela : ce ne serait plus un
epseignement religieux. Il ne suffit évidemment pas de faire étudier par cœur
aux enfants des chapitres de la Genèse, ni
même des parabcles de Jé^, pour pouvoir dire qu’on leur a donné Une instruction: Téligieuse. L’enseignement rdigieux
doit être donné d’une manière vivante et
prppre à faire naître dans le cœur des élèves des sentiments d’adoration, de reconi^issanoe, de dévouement ; et cela ne peut
venir que de l’influence d’une âme vivante
et religieuse, qui sache parier directement
aux âm^ des enfants, faire de la Bible
une Parcde de Dieu vivante et vécue, une
prédication, une « proclamatimi » qui intéresse directement les hommes d'aujourd’hui.
Si c’edt ainsi, qu’on enseigne la Bible,
la leçon de Bible sera toujours, en quelque mesure, un culte, et ce ne seront pas
quelques cantiques, prières ou phrases liturgiques de plus ou de moins qili permettront de lui donner ou de ne pas lui,
donner ce nom. •
Et à ce propos, qu'on nous permette
une r«narque d’ordre généraL
; N|i. mnltiplkjiis paÿti^'les q^riences'*^-;
. ■‘et W innovations, tanV'qù’iJ n'est pas.ab-^vJ
i- solu^nt' ceirtain :^ii^6]les présentent
,grajrà avantage.'N’dubliorts pas que l’uni-'
"foriîiité, - et la continuité, des vieille habitudes déjà par elle-même un’;avantage ; gardons-nous de sacrifier oçt avan-.
tagé très réel au profit d'améliôrationsv id S,'’’dernier, 29 noveembre, à St-Jean, se dé->
discutables,' eit qui peut-être ne justifient ê
p^ le trouble qu’elles apportent avant £
d’entrer dans les habitudes, Et n’oublions.
pas non plus que la rotation des pasteurs
est ‘plutôt rapide j^dans 'nôtre Eglise,' et |
^_^que si chaque nouveau pasteur devait i
"suivre le principe de faire tout à rebours ,i
de ce qu’on fait ses devancieirs, nos pa- *
roisses hniranent par etre en permanence,, ,>
à l'état fluide. |k
' On pourrait dire, la même chose des progratnmes. ' .¡^
Il serait peut-être intéressant de faire p
une.enquête aux ‘Vallées, .pour savoir quel- :•
les écoles du dimanche suivent le même ^ :
programme. La publication trimestrielle ‘
j du Comité National des écoles du dimanche, par exemple, est-eUte suivie ?
Rien die plus facile, que de trouver des
collègues qui nous disent, en parlant de ’
cette publication ': « On ne peut pas s’en
servir ». Et, remarquez bien ceci : les rédacteurs du maniUél changent, les programmes changent, mais ce jugement ne,
change pas ; c’est une fin de non recevoir,,
toujours, sans exceptions. La publication^
du Comité,^,« ne sert à rien ». C'est entendu. En réabté, elle ne sert à rien simplement pairce que nous sommes malades
d’un individualisme impénitent, et chacun
de nous est intimement convaincu, que le
prt^amme qu'il a préparé lui-même est
certainement préférable à celui- qui a été
préparé par son collègue.
Mais encore une fois il nous est permis
de penser qu’un pirogramme quelconque,
adopté par tout le monde, et suivi avec
régularité, serait préférable aux chefsd'œuvre individuels, qui changent aussi
souvent que changent les pasteurs, et qui
durent «l’espace d’un matin». Le résultat de cette espèce de mouvèÉfenit perpétuel, c’est que nos enfant®«Iréj^êtéront«.,,
trois ou quatre fois, en -cinq fans, les mê- ^
mes leçons, tandis qu’il y en a qui ne se-i l
ront pas même effleuiées. -t I
En tous cas, il faudrait au moins que j.
dans chaque école du dimanche le pro- I
gramme qui a été développé chaque an- J
née soit inscrit quelque paut, pour rins-,|
truction des pasteuts qui se succèdent :
dans les paroisses, et pour éviter les irtconvénients que nous avons rappelés. ,
H y aurait encore une remarque à faire
au sujét de l'habitude, assez générale, de.
faire étudier aux enfants la leçon qui doit,
être expliquée, au lieu de celle qui a été,’
expthquée. Cette habitude antipédagogi-,
que met les enfants dans la nécessité d’apprendre leurs versets machinalement, sans
les comprendre, ou d’en demander Itexplication à leurs parents, ce qui rend inutile ceffle qü’iJs entendront à l’école du
dimanche.
Nous ne voyons que des désavantages à
cette vieille habitude, et notre parti prid
de conservalteurs ne va pas jusqu’à vouil
foir la garder à tout prix! -i i ?
- ■ ■ M.
{Extrait d'un rapport présenté tm
node 1936)'. ■ . ‘ . f
g,;
La MstioQ de ^aint-^eail
„,La journée des Unionistes de dimanche
%■ roula d’une façon joyeuse et inspirée à la 1
I' fois, comme une vraie fête de jeunesse
chrétienne. Au culte du matin, le paSteur ^
' Guido Rivoir, président d!u Groupe, adressa .
- un fervent appel à la fidélité à la Parole >
de Dieu. Dans l’après-midi, plus de 259
jeunes gens et jeunes filles, venant de
. toutes les Unions avoisinantes, se réunissaient dans la Salle Albarin. Après le culte,^'
présidé par le pasteur Lorenzo Rivoira, et
quelques communications intéressantes de
- M. Guido Rivcir, le prof. Attilio Jalla parla
! du Synode de 1526, au Laux, près de Fé
• nestreUe, le premier Synode Vai^diois,* r^p-,
pelant lé grand sujet qui y fut traité, la
I possible adhésion à la Réforme, et exposant les principes fondamentaux qui y fu
• rent discutés. Enfin, M. Mario Falchi indiqua à ce magnifiique public de jeunes,
/ vibrant die cordialité et de sentiment fraternel,, le devoir d’être fort et constant
dans l’œuvre pratique de témoignage chrétien. Après un thé abondant, servi à toute
l’assemblée par les Unionistes de SaintJean — les jeunes filles dans le beau cos, tume vaudois, — la réunaion se conclut par
des chants, joyeusement enlevés, exprimant les sentiments de vive reconnaissance pour la belle journiée.
« Pra del Torno »
La Société Missionnaire « Pra dei
Torno» vient de reprendre son activité
de réunions ét de cuites, dans nos 'Vallées,
Les membres Roberto Malan et Alfonstj
Barbieri ont présidé, à Rodioret, le dimanche 22 novembre, le culte du matin, llécolè
du dimanche, une réunion de jeunes gens.
Merci àu pasteur M. Genre, pour son accueil si cordial. '
Le jeudi, 24 novembre, les membres Ror
herto Malan et Giovanni Peyrot sont aflife
à Cacet-Rivcar, La Bureau.
Le passé éCwi homme m regarde auom
homme. Cest affaire entre Dieu et hé.
L’homme ne dmt compte d Vhomme qm
de son présent. IStm pas « qu’as-tu été f ».
Mais « qu'es4tu ?», ou mieux encore : « que
veux-tu être ? >. '
* * S!
Nous rappelons que le troisième dimanche du mois courant, 20 décembre, à la
Maison Unioniste de Torrç Pelliçe, aura
lieu le « Convegiio » mensuel d’études religieuses. On traitera ce sujet : «L'esprit
révolutionnaire du Christianisme».
Les Unionistes et leurs amis y sont cordialement invités.
Le « Convegno » d’hiver aura probableraqnt iieq au col de la le 6 jan- j
vier prochain, avec le programme traditionnel. Que tous les Unionistes se préparent ! A. J.
FÉDÉRATION JUVÉNILE VAUOOISE.
Groupe des Vallées Vaudoises.
Nos Unions ne veulent pas perdre la
bonne habitude.qu’elles avaient, ces dernières années, de se retrcaiver de temps
à autre pour se faire du bien en étudiant
la Parole de Dieu, afin de l’appliquer ensuite à la vie quotidienne. La jeunesse
vaudoiae ne doit pas craindre d’entendre
trop souvent parler de la Bible ; au contraire, elle doit saisir toutes lès occasions
qui lui sont offertes pour accroître sa
connaissance de la Parole de Dieu, pour
toujours mieux comprendre que c’est uniquement cette Parole et notre fidélité à
cette Parole qui pourront donner im sens
et une valeur réelle à notre vie de jeunes
gens chrétiens. Plus que jamais, nous, les
jeunes, nous avons besoin d’écouter, au
milieu des distractions, du monde, ce que
la Bible veut nous dite. ’ ;
Voilà pourquoi nous vous invitons tous,
jeunes gens et jeunes filles vaudois, à vous
retrouver à Saint-Germain, D. v., dimaUr'
che prochain, 13 décembre, à 14 heures.
Un «Convegno» aura lieu dans le temple, et nous y entendrons deux messages
inspirés par la Parole de Dieu. En voici
les titres : « La personnalité de JésusChriSt», par le pasteur R. Nisbet; «La
place de Jésus-Christ dans la vie des jeunes », par te pasteur A. Rihet.
Deux sujets de la plus haute importance pour notre instruction reRgieius6 et
pour notre vie spirituelle. Nous ne douitons point que la jeunesse vaudoise répondra à notre appeL, Nous Ty attendons avec
joie, et nous espérons que cettei ilêunion
puisse réeltement concourir au bien de
chacun de nous et de nôtre Eglise.
E.Rostan,
II
18 icifi M ors. I. irmE
' fi "*■ ' 4. '
pendant;sa ■'visite à Turin, S.
M. te;
,. Réîn^ et Împératrire s’^t, rendue à l’Ospe-'
'^d(de ’^Maggiore, pour y visiter Susette
Pontet. ■ f '
Voici ce que publie la Gazzetta del Po--j:
* pdo du If’' décembre :
« Poco dopo, sempre in forma privatis-'
sima, S. M. si recava àl”0spedate delBe* v
Molinette per visitare e confortare una
cara malata, la signora Susetta Pontet, sua
fedele, umile e devotissima guardarobiera
nativa delle'Valli' Valdesi e che è stata
per molti anni al servizio della Reai Casa.
La Pontet, affidata dalla Regina Imjperatrice alle sapienti cure dal prof. Uflfreduzzi, accolse l’Augusta Signora con com-?.,
mozione profonda. Elena di Savoia dopo
essersi .soffermata alquanto al capezzate
defi’umilissima malata alla quale jCon mar ,
terna tet^rezza. recq
parola, si intratteneva col prof. Uffreduzzi... ».
Notre Reine n’oubUe donc pas les personnes qui l’ont fidièlement servie, aussi ne
peut-on que l'admirer et l’aimer.
Encore un bienfaiteur de l’Eglise, rentré dans le repos :
I mireil lonii. de la Péne.
C’est à ce titre que nous le rappelons
ici et que nous déposons à sa mémoire la
fleur die la reconnaissance.
ir était né à Nice, en 1857, et reste orphelin en bas âge ; mais le dtoct. Bert
(son oncle), de Villesèche, d’abord, et
l’Institut des « Attigianélli » de Turin ensuite, pourvurent à lui donner cette sajne
éducation chrétienne qui* firent de lui,
pour toute la vie, le chrétien humble et
fervent que tous ceux qui l’ont connu ont "
apprécié.
Sa vie, pas très mouvementée, se pa.ssa
à Monaco pour peu de temps, et prasque
entièrement à là Pérouse ;, mais eUle connut l’éprouve : ce fut d’abord la première
compagne de sa vie qui lui fut enlevée ;
et ensuite son fils., Emile, capitaine des
« Betsaglieri »,, tm des premiers tombés
dans la grande guerre (sur le Carso, le
5 juillet 1915). Ce coup fut terrible pour
les parents... mais la foi les soutint et
. inspira plus que jamais notre frère à consacrer son activité et .ses ressources à la
cause du bien : il fut ancien de l’église diu
Pomaret et, entre autre, président de
1’« Associazione Famiglie dei Caduti »,
qu’il aida largement ; et plus largement encore, généreusement ill aida
l’Eglise et ses Institutions, en offrant le
revenu — et bien au-delà — de sa profession d’ébéniste. Beaucoup de Vaudois
puissent-ils imiter son exempte ! »
Que le Seigneur console et soutienne sa
veuve, M.me Marguerite née Bertalot, et
sa fille, M.me Eugénie Gagliardi.
CHRONIQUE VAUDOISE
ANOROONE. Aveç le cœur ptein dè
reconnais-sance, dimanche, 29' novembre,
nous avons inauguré notre temple du cheflieu, complètement remis à neuf . Une beUé
assemblée d’environ 300 personnes, a participé au culte unique, présidé par les
deux 'Pasteura de te paroisse. Nous esi>é^
rons que notre beau temple invitera tou®
les paroissiens à y entrer nambreux chaque dimanche.
Nous renouvelons nos chaleureux remerctements à tous ceux qui nous ont aldiés
et qui peut-être voudront encore nous aider ! “ et à ila Chorale, qui a pris part au
(Culte avec 1e chant d’un beau cantique,
t'rès bien exécuté,
★ Trois jours de suite, nous avons dû
prendre te chemin du cimetière. Le 30 novembre, a eu leu l’ensevelissement de Césarme Bertm née Bertalot, emportée par
. une viotente matedie, à l’âge de 46 ans.
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I^i^Üo des ValiÄ i“ Vendit lì ï)ê<»^Â 1936-wt:
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¿J«ií.i.i ;...,
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Le 1«’! décembre; nous ayons accompa- ÿ
gnô au champ du repos hT dèÎKMiÜle mor- "''
teEe d’Henri Rivoire feu Daniel, mort à
Malpaset, à l’âge de 75 ans, après de lon-^,
gxies et cruelles ^Boqifranceè^, à.
Enfin, le 2 décembre, a eu lieu le ser- '
viee funèbre de Jean Daniel' Gaydou ijÿa.
Jean Pierre, décédé aux Odins, âgé de^
7&„ans.' On le comptait parmi les plus fi
dièslds des participants aux cultes.
A toutes les familles, si douloureuse-.
ment éprouvées, nous exprimons notre
profonde, fratemelle sympathie. .
■ é.
★ L’Administration’ de la paroisse nageî
dans les eaux basses après les réparations*
au'temple du chef-lSeu, qui nous ont absorbé une somme plus forte qu’on ne
prê-voyait. Le Consistoire serait donc*
tî'ès ' récohiiaisBant aiix paroissiens qui
n'tint pas adopté te’ système des enveloppés mehsueUes, S’ils voulaient bien
vérsér'’-’teur* contribfttioh mensüelte dès ■
maintenant, et faire leur possible pour
augmenter cette contribution. R. N.
BOBI. Nous avons reçu d’une demoiselle
de Bobi, un titre de L. 500. Le Consistoire
exprime. à la, donatrice sa vive reconnais
sance.
★ Baptêmes du mois de novembre z'Paolo
Ricca d’Albert et d’Armanda Gambeffi ;
Jean Mondon de David et d’Annette Pon
tet ; Elio Puy de Daniel et die Madeleine
Bertinat ; Hélène Artus d’Elisée et de
Constance Pontet.
★ Décès. Le 29 novembre a eu lieu l’ensevelissement de Pond Bonjmr, de la Ville
Supérieure, âgé de 68 ans. Notre sympathie aux affligés.
★ Dimanche, 6 courant, M. Bilbîl Carrillo, donnait, dans la grande salle du Centre, une intéressante causerie sur TEspagne. Nous regrettons que plusieurs dizaines de personnes ri’aient plus pu trouver de place dans la salle.
★ Notre sympathie à M. Nicodème Gay,
qui vient de perdre son père, à Genève.
R.
GÊÎIÈVE. [Can'ouge). Le lundi 16 novembre, une nombreuse assistance, comprenant une forte délégation de la Société
des Vaudbis du Piémont domiciliés à Genève, rendait les derniers honneurs, puis
accompagnait au cimetière de Saint-Georges, te regretté Matthieu Gay, décédé
après une courte maladie, vg-iUaminent
supportée, dans sa 76® année. Après avoir
élevé une nombreuse famille au Prà, près
Bobbio-Pellice, il avait quitté notre .pays,
y laissant son fils Nicodème Gay comme
successeur, et s’était rendu aPprès de ses
autres enfants, tant 'en Amérique qu’en
Suisse. C’est dans ce dernier pays qu’il
s’est endormi pour toujours, entouré des
siens, dans la paix de son Dieu et Sauveur. Après te culte au domicijlle de la far
mille, M. Benech, président des Vaudois
du Piémont de Genève, prononça en termes distingués et partant du cœur un témoignage touchant de l’estime dont le défunt était entouré de tous, tant comme
homme, père de famille, honnête, simple
et travailleur, que comme bon Vaudois du
Piémont et véritabie croyant.
_ LA TOUR; Dimanche dérnièr, au culte
du matin, M. Charles Gay, candidat au
Saint Ministère, a été présenté à fEglise
par M. Jules Tron, qui remercia d’abord
M. te Modérateur de noi» l’avoir envoyé
pour collaborer avec te Püsteur dans ce
diàmp, soû, surtout â cette êpoqtie de l'année, le travail est pMticulièrement intense, puis i! souhaita la plus cordiale bienvenue au jeune ouvrier du Seigneur, et il
termina en demandant aux paroissiens
di’entourer le coadjuteur de’ la chaude
sympathie qu’üs ont toujours eue pour
leurs pasteurs.
★ Samedi dernier, le Pasteur a célébré
le mariage de M. David Travers avec M.Ue
Marcelle’Oeseone, L’épouse était en. costume vaudois, et on se disait : « Que ce
serait beau,' « les jeunes filles vouiaient suivre oet exenipte, et te porter ensuite, le costume, pour te culte et autres
cérémonies religieuse ».
"Aux époux, nos meilleurs ’vcetwc de bonheur.
, . W, '■ i ' ■' "
★ Nous avons accompagné au cliamp
du repos k dépouiUe v mortelle de
^M.me Catherine Gcnin née Comba, décédée au Bosc, après une courte maladie.
Nous demandons à Dieu de consoler la famille affligée. ' .
LONDRES, Club Vaiudcis. Un bon nombre des membres dû Qub Vaudois de-Londres, se réunirent .le 29 novembre^ dan^ "
la salle de l’écoie du (MnKÎnclve''de Soho
Square. M.lle Gras, ayant désiré ne plus
garder la Caisse, cette année, c^e fut offerte à M.fle Long, qui l’accepta. Après le
thé, te pasteur Christel, nous dofana encore quelques récits sur son voyage au
Caméroun,et nous fit voir plusieurs 'ob-'
jets, idoles et vêtements faits par Ifes nè- '
grès, et qu’il avait rapportés d’Afrique.'^
H finit en r^minandant au Club de faire*
quelque chose poür aider tes'*jeunés 'qui '
ont envie d'étudier et qui ne peüvent pas
entrer dans les écoles, lesquelles n’ont que
deux ou trois instituteurs et lès places'
llimitées.
Avant de se séparer, M.fle Revel fit une
« tombola », avec plusieurs prix, ce qui *
amuse toujours tout te monde; et il fut,
décidé que l’encaisse de ces loteries se-,
rait mise à part et envoyée à la Caisse
de l’Egh'se Vaudoise à la fin des séances.
La prochaine réunion aura lieu le 3 janvier 1937, D. V, et ce dimanche-là on célébrera la fête de l’arbre de Noël
A. H. Rei^eîl.
NEW-YORK. Deux décès, dans notre colonie, à la distance de moins d’une semaine l’une de Tautre.
, Le 9 novembre, c’était David Jourdan,
originaire de,Saint-Jean et résidant à Palisades Park (N.-J.), qui nous, quittait. Il
était’ dans sa 66® année. Il laisse après
lui, dans l’infirmité, sa -bonne oompî^ne,
M.me Catherine Jourdan née Malan, à laquelle nous exprimons encore toute notre
sympathie chrétienne.
Le 15, c’était Etienne Bertin, d’Angrbgne, demeurant à Brooklyn (N..-J.), (^üP'
passait dans l’invisi,tâe. Avec très ' peu
d’espoir de s’en tü-ér, il Vêtait'sôumis’a '
une grave opération CteBcxi hâta la fin
de ses souffrances. Il n’avait que
54 ans. H laisse une veuve — déjà bien
éprouvée dans ses affections de famflte,
mais d’une grande force d’âme, M.me
Marguerite Bertin née Coïssctfi, et trois
enfants, dont l'ainé est encore adolescent.
Nous implorons sur eux tous la protection céleste.
Dans les deux cas, te service funèbre a
été pdésidé par le Pasteur soussigné, qui
a pu ainsi annoncer la Parole de la Vie,
non seulement à des Vaudois accourus de
différents côtés, même de très loin, mais
à nombre d’étrangers. P. G.
PIONEROL. Notre Eglise vient d’éprouver encore une perte sensible par te détpart d’ici-bas, le 2 courant, de Madame
Sophie Godino née Peyrot, âgée de 46 ans.
Ame foncièranent bonne et active, elle
n’a pas pu recueifliir les fruits de son travail béni ; mais nous savons que les œuvres de ceux qui meurent «dans le Seigneur » les suivent.
i^e te Seigneur lui-même soutienne les
affligés, en particulier le mari, M. te ehev.
Oscar Godino et ses fils, Ivan, sous-lieutenant d’âviation, et Franco, auxquels noie
renouvelons l’assurance de notre affection
chrétienne.
PRARU8T1N. Deux deuils sont venus
frapper notre paroisse.
Marguerite Gaudin veuve Roman est
décMée, à la Massera di Bosc, après une
longue et pénible raaladie«, à l'âge de
77 ans.
Le 25 novembre, c’est te facteur de Rûcheplate, Jean Fomeron, qui nous quittait. Il avait 79 ans.
Nos condoléances aux familles éprouvées.
★ Nous avons présenté au Seigneur
Bruno SèmondM, fils de César et d’Amandine Genre, de Pravarî. ^ G, R.
SAINT.0BRMAIN. M. Henri Peyrot, du
Perrier, et MUe Irma ComtanMn, du Plan
(Envers Pinache), orat demandé à Dieu de
“Stï
bénir le foyer qu’ils vtmt fwid^. Que Dieu '
fasse deseiendré scs précieuses bénédictions
sur les éjteux, auxquefe nous exprimons ^
toutes nos féBcitationsf; 1
' ■ . ■■ .-Ji/J.'jtr. '
SADlT-JBANy Le 25 novembre a eu Heu
l’enseveHssemeent ^de Mme Una Poèt
veuve Gaydm*i cüteédée après une kmgue '
malade, à k Louchera,^à l'âge de 68 ans.*"
^’Le 6 décembre! nous'avons accompagné
au champ du repés M.me Margûerite Idn- î
taret mcirié Constantin, 'dêcédéé après une
longue infir^té, à Saint-Jeani, à i'âge-def
78 ans. ■ ‘_ '
Le 8 décembre, a eu lieu l’ensevelissement de M.me Clémentine MowrgUa mariée Rivowe, décédée après une longue et
pêniWe mafladie, au Ciabot de Mugniva, à
l'âge de 68 ans. ’
A toutes ces famiflles en déuiJl, notre P'rôfonde sympathie chrétienne-,
■' : VILLAr! ACTilS IJTIIRGIQUBS ' '
I ^ *** Noùs'^ayqhs' te jòìé de 'présènter à Dieu, .par _le ritié,du baptême, ^trois
enfants : jfiaçhel Catalin de Jean et Susette Negrin,'et Robert Guillaume Cordài
de Jean Eüenne et Lo-uise Catalin, à la
réunion du Bessé, te 17 novembre; SSuw)
Bertin de ÎWetrre et Marie leiuîse Giraudin, au Coûgnet, le 11 nov^bre.
*** Nos vœux les plus affectueux accompagnent tes deux couples 1« unionistes », dont nous avons céléWé le mariage
le Î4 et te 26 novembre dernier : Robert
Dcdmas d’Etiemtó Timothée, du Teynaud,,
avec Marthe Ida Gönnet, du Ciavôun
d'Vila, et Jean Pierre Ganmt de Pierre
Paul, de Saint-Cristcphe, avec Caroline
PwMne Gönnet, des Coûgniets.
*** Samedi, 21 novembre, a eu lieu i’enseveüssement de notre frère Paul MicheUn Sdoïïum feu J. Daniel, die Buffa, décédé le jour précédent, à l’âge de 74 ans.
Notre vive sympathie à la veuve et à tous
tes parents, * 3
VJLLËSbBBXLsU 31 octobre, a été béni
le ¡mariage d’Aldo Jean Bounous de J.
PieCTe, avec Hâène Clôt de César Auguste,
A Pendant.,te,mois de novembre, ont
étéj-présenté^ an Saint-Paptêm® : Sere-.
' rino Emile'Bcmnous de Ferdinand et d’Es-'
ther Peyronél, et Süvio Lévy Peyrond de
Héli et d’Hélène Clot-Varizia.
★ A l’âge de 73 ans est décédé, après
une llongué et pénible maladie, J. Erançois
Peyrand, du Peyronéon, Notre sympathie
chrétienne est assurée à la famille en
deufl,
★ Le culte de dimanche prochain, ,
13 courant, commencera à 10 heures pïécises, au Heu de 10 h. 30.
★ Nos meilleures félicitations à M. Benjamin VigUdmo, actudtement résidant à
Rome, qui a brillamment conquis le diplôme de « ragioniere perito commerciale».
tatitilloiii topItaBlni liiiilM.
'.me RaiÀàié ^Bcàmas-Tu
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La mamma Cesira Tron, Torre Pellice,
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Vaudois, 200 - Angela E. Dreher, Mal
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Bounous, 10 - Giulietta Rivoir* 5 - EHsa
Peyrot, 10 - Césarine Durand, 10 - AdMe
Alfano, 10 - Angèle Grisét, 5 * Elise Vim
çon,' 10 - M.ltes : Cflotide Bevd, 10 - Edâ
Revdl, 15 -^ Anna Rostari, 5 - M.me Pauline Bahnas-Turin, 40 - M.Mfi. Marguerite
Balmas, 55 - M. Guido Balmas, 20. —Total L. 220.
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100 - N. N., 1Ó"- M.Ife Mathüde MeîBe, 25
- M.me Semete De Femex, 200 - Mme Rodolphe De Hanta, 50 - M.lte Eisa Gberiiol
_
zer, 20 - M.me Suzanne Pascal, 2ï)''*rCav,
Fernando PeltegrinJ, TOO - M et MLhie Bifvoiro-PeBegrini,*’ 100"C M, Ugo Rivoirp, 10
- M.mé Mathilde Ribet, lOO M.lte Emilie
Ribet, 100 - M.me Giampiccoli-Ribet, lOO-^
- M.Ue Lisa Rosenberg, 10 » M. et M,me,H.
Tron, 50 - M.me Sebes-Noerbel, 20 - M.me
A. Talmone, 20-.M.më A. Wiid, 200.-^
Total L. L635.
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.- ■rC . . J.
L. Bonnet veuve de M. Luigi Ferrerò,
Torino, « in memoriam », L. 2.000 Lien
des Vaudois des Etats-Unk ^d'Am^'que,
par le rév. Pietro Griglio, New-York, pour
le fonds du lit des Vaudois des Etats-Unis
à l'Hôpital ,du Pomaret, 900 - .La mamma
Cesira Tron, Torre Pellice, «fiori per te'
sua Adèle », 25 - Ed. Marauda, Londra, 40.
. ; ORPHELINAT. ' '
L. Bonnet veuve de M. Luigi Ferrerò,
Torino, « in memoriani », L. 2,000 ,- « 4.
te mémoire de ma chère sœtir Lydia Ga-.
sanova», Jenny Stalé-Subilia, .50 ^ |frry
Pos, sommes (reçues à te spato dies articles
publiés en Hollande, sur les Vaudois, 200
- Lierv des Vaudois des Etats-UnÎ9;'*par fe
rév. P. GrigHo, New-York, pour le maintien d’une orpheline! 1000 - Henriette
Mourglia, Rorà, 10 - La mamma Cesira
Tron, Torre Pellice^ « fiori 'per te sua
Adèle », 25 - Ed., Mauranda, Londra, 40 Àda et Emma Bonous, Torte PeHiee, 50
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Buffoli-FontanàrRoux », 1000 - Famigíiá
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Id., « in memoria delite care cugine’^ Lidia
e Alda Pavese», 15 - Silvia Mauritl, Genova, «in memoria del cav. Oscar Goetzlof», 30 - Leccisi Alfredo, Brindi 10 A mezzo Mary Poe, Hartem, 200 - Contessa Tereerina Hauer Badini, Roma, 3Ó Ketfy e Gustavo Comba, Id., - Albertina Peyrot-Baret, Id.! 20 - Paducci Ida,
Forano Sabina, 30 - Venerino Menno,
S. Giacomo degli Schiavoni, 20 - Famiglia
Dreher, Malnate (Vjar^), 100 - Codetta
dopo il culto, a Forano Sabina, 40 - Colletta dopo il culto, a S. Giacomo degE
Sehiavoni, 40 - Chiesa di Taranto, «in
omaggio dell'opera da évangelizzazione a
Taranto del pastóre Bertin e Sig.ra», 100.
■7;
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■Æ.
4
ÇQMttNÇ PI TORRE PEI.I.ICE.
W m mß NoiembfO al 9 Pie.
Nascit« N» 3 —5 Decessi N^ 1
eS-'.f’'" • "'iv
Irène n. Griot, ing. H. Hustadt, ausd
au nom des MmàBes iiUSTADT, BURCKHARDT, GMOT, <mt la douleur dannoncer le départ" de leur Mem-aimé
Heinrich Husladf
(fid a répondu,- plein de ccmfmioe, d l’appel du MaUre.
«J’élève mes ye.ux vers ks
inQnitagnes 4’où me viendra le
secours. Mon secours, vient de
l’Bternd, qui a fait les cieux
et la terre », ^
Psajme CXXI, 1,
Goldwn-Wujipertal-Berlin, 2Ì novembre 1936.
OscÀR GoDiNO avec ses fils Ivan et
î^iANCo, àmsi que toute leur famüle, vivemmt touchés des témoignages d’affection dont üs ont été l’objet à l’ocoamon du
départ pour la Patrie céleste de leur bienairnée épouse et mère
SàlMç (iiiiHno nie P'eyrot
expriment à torn les amis leur reconnaissance émue.
« Mon Dieu, en toi je me
confie». Psaume XXV, 2.
Pignerol (St-Miehel), le 3 décernbre 1936-XV.
ÆmmmmÊÊÊ^mÊÊÊ^^^^
La veuve Catherine Gaydou née CoïsSON, émue, remercie M. le pasteur Deodato, et toutes les personnes qui, de prçs
/>T no Irvrar» yvM-f JÎ ____ \
et de Imn, ont pris part à sa. douleur; à
l’occasicm du départ de son cher mari
Angrogne (les Odins), 3 déoembre 1936-XV.
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"i’AïïMatio 0TEFABO FEÏRÜT
riceve in TORRE PELLICE
' Via Roma, 9 — ogni giorno feriale
dalle ore IO alle 1^.
L’an. ARNALDO P1TTAVINÛ
reçoit à LA TOUR
le vendredi matin - Place Cavour« 7
' à PEROSA ARGENTINA
le mardi après-midi - Via Roma, 33
à PINEROLO .
Via Buniva, 18 - p. Il
Prof. GUIDO MALAN
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PINEROLO (aulica Camussi)
la. e la 3» Dooeniea del mese dalle 8 alle 11
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ddlla S. A. Coopera.tiva di Consuono di
ViUar Penice:. Le domande, indirizza,te
ala Direzione, si ricevono fino al 20 corrente. Il capitolato è visibile presso la
stessa. La Direzione.
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Alfnanacco .Popolare Illustrato*
»
Anna 1957
CONTENUTO: Calendario per l’anno 1937 R. Osservatorio Astronomico d' Torino iTarifle Postali - ^tratto di Vittorio Emanuele 111 -Famiglia Reale - Calendario e articoietti mensiti - il Cristianesimo in Etiopia
Leopardi, eop ritratto - Una pagina sempre
. .. . . .. _ V. . „ . . .
attuale (A S, Martino ^eiìa Battaglia) - Speietà
delle Nazioni - A Zig-Zag - Note utili.
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Denunzie di successione
fatte con criterio razionale
Jules Tren, direeteur-respoBitabltt
Terre Pellice - Imprimerie Alpine S. A.
ORARIO FERROVIA TORREPELLICE-PINEROLO-TORINO
Torre Pellice p. (1) f 5,54 7,17 12,38 18,25 (t) 19,48 (2) 21,03
Luserna S. G. » > 5,58 —,— 7,20 12,44 y 18,29 19,52 21,08
BriCherasio » 6,10 —,— 7,33 12,58 > ' 18,47 20,05 21,20
Pinerolo » 5^24 6,30 6,56 7,47 13,19 17,38 19,11 20,26 21,39
Airasca » 5,48 6,44 7,23 8,- 13,40 18,01 19,31 20,52 22,02
Torino a. 6,35 7,20 8,07 8,30 14,16 18,42 20,- 21,30^ 22,40
Torino p;. (3) :0i25 6,33 7,56 11,40 13,26 17,26 0) 18,35 19,06 20,02 20,53
Airasca 1,03 7,18 8,26 12,18 14,13 18,02 19,12 19,32
Pinerolo » •1,22 7,46 8,42 12,37 14,35 18,18 19,30 19,46 21,14
Bricherasio » 8,03 8,55 Í 14,54 18,40 » 20,03 ““j"“
Luserna S. Q, » ' t 8,14 9,06 > ~~ 15,06 18,52 », 20,14
Torre Pellice a. > 8,18 9,10 15,10 18,56 20,18
(1) Feriale — (2) Festivo — (3) Al Lunedi. .
OBABIO AUTOMOBILE TOBBE-BOBBIO PELLICE
Torre P. p. 8,30 (1) 15,20 19,05 BobbioP.p. 6,30 (1) , 11,50 17,35
S. Margh. » 8,35 15,25 19,10 ViaFourca » 6,35 11,55 17,40
Chabrióls » 8,42 15,32 19,17 VillarP. » 6,41 12,01 17,46
ViUar P. . 8,49 15,39 19,24 Chabrióls » 6,48 12,08 17,53
ViaFourca » 8,55 15,44 19,29 S. Margh. » 6,56 12,15 18,Bobbio P. a. 9,- 15,50 19,35 Torre P. o. 7,- 12,20 18,05
(1) Al Venerdì e Festivo.
ORARIO FERROVIA ELETTRICA PINEROLO-PEROSA ARGEM INA
Pinerolo p.
Ponte Lemina (fac.) »
Abbadia »
Riaglietto-Fiugeral/oc)»
S. Martino »
Pqrte »
Malanaggio (fac.) »
S. (3firm|no »
ViUar Perosa »
Dubbione »
Pinasca »
S. Sebastiano »
Perosa Argentina a.
6,45
6,53
6,56
7,
7,03
7,06
7,14
7,24
l.Ì2
7,35
7,41
7,45
7,52
7,59
8,02
8,05
8,08
8,11
8,16
8,19
8,26
8,33
8,36
(1)
8,45
8,52
8,55
8,58
9,01
9,04
9,08
9,12
9,19
9.26
9,29
8,45 9,35
'(2)
10,45
10,52
10,55
10,58
11,01
11,04
11,07
11,10
11,17
11,24
11,27
11,34
11,40
12,45
12,52
12,55
12,58
13,01
13,04
13,08
13,12
13,21
13,26
13,29
13,36
13,39
14.35
14,42
14,45
14,49
14,52
14,55
14,59
15,02
1.5,10
15,18
15,21
15,29
15.35
16,45
16,53
16,56
17,
17,02
17,05
17,08
17,11
17,18
17,25
17,28
17,33
17,36
18,23
18,30
18,33
18,36
18,39
18,42
18,49
18,56
19,03
19,06
19,14
0)
19,52
19,59
20,02
20,05
20,08
20,11
20,14
20,17
20,24
20,31
20,34
20,39
20,42
(1)
21,23
21,32
21,35
21,38
21,41
21,44
21,47
21,50
21,57
22,—
22,08
22,12
22,15
Perosa Argentina p.
S. Sebastiano »
Pinasca »
Dubbione »
ViUar Perosa »
S. Germano »
Malanàggio (fac.) »
Porte *
S. Martino •
Riaglietto-Fingerar/ire>
Abbadia >
Ponte Lemina (fac.) »
Pinerolo a.
6,28
6,31
6,37
6,40
6,47
6,59
7,01
7,05
7,08
7,11
7,15
7,18
7,25
7,55
7,57
8,03
8,06
8« 13
8,20
8,23
8,27
8,30
8,33
8,36
8,39
8,45
(2)
9,
9,07
9,12
9,20
9,26
9,30
9,33
9,36
9,38
9,41
9,44
9,50
12,
12,08
12,13
12,16
12,23
12,30
12,33
12,39
12,42
12,45
12,48
12,51
12,58
18,06
18,16
18,19
18,26
18,34
(1)
9,45
9,47
9,52
9,55
10,02
10,10
10,13
10,17
10,20
10,23
10,26
10,29
10,35
(1) Festivo dal 12 Luglio al 6 Settembre — (2) Sabato (Mercato-a PlBeroto)
(3) Festivo fino all’ll Luglio e dal 7 Settembre in poi — (4) Festivo fino all’ll Lugltb e dal 6 Settembre in poi.
13.55
13,59
14,05
14,08
14,15
14,22
14,40
14,43
14,46
14,49
14,52
14.55
15,
16,25
16,28
16,33
16,36
16,50
16,58
17,01
17,05
17,08
17,11
17,15
17,18
•17,25
18,41
18,44
18,47
18,50
18,63
19,
(4)
19,25
19,28
19,33
19,36
19,43
19«50
19,53
1^58
20,01
20,04
20,07
20,10
20,15
U)
20,30
20,33
20,38
20,42
20,48
20,55
20,58
21,01
21,04
21,07
21,10
21,13
21,20
OBABIO AUTOMOBILE PEROSA-PBBBEBO^BALY.
Perosa Argentina
Pomaretto
Ch|otti-Riclaretto
Trossieri-Paetto
Perrero
Chiabrano-Maniglia
Ptìmeifrè
Crogetto-Oardiola
l^odpretto
Ptaly (Villa)
Pply (Ghigo)
a.
P
a.
9,
9,08
9,23
9,27
9,30
9,35
9,43
9,47
9,59
10,07
10,16
10,20
13,50
13.58
14,13
14,17
14,20
14,25
14,33
14,37
14,49
14.59
15,06
15,10
19, k)
19,38
19,53
19,57
20, 20,05
20,14
20,19
20,32
20,41
20,50
20,55
Praly (Ghigo)
Praly (Vijla) '
Rodqretto
Crosèttò-Gardiola
Pomeifrè
Chiabrano-Maniglia
Perrero
Trossieri-Faetto
Chiotti-Ricl aretto
Pomarétto
Perosa Argentina
a.
P
(3)
4,50
4,55
5,04
5,13
5,28
5,30
5,40
5,45
5,48
5,52
,6,07
6,15
10,35
10,39
10.47
10.55
11,07
11,11
11,20
<11,25
11,28.
11,32
11.47
11.55
(3)
16.25
16,30
16,39
16,48
17,01
17,05
17,15
17.25
17,28
17,32
17,47
17,65
(1) Prosegue filio a Rrgljr sdttpnto n«i,giorni festivi dai 12 Luglio al 6 Settembre — (2) Prosegue per PrsJy
soltanto nel giorni precedenti i festivi dalt’It Luglio al 5 Settembre — (3) Proviene da Fraly nel giorni festivi dal
12'Luglio, ai 6 Settembre, -r .il strvlzio fta Ptrrero e Prcfly si tffettaa dal 18 Olugito al S Stittmbre. . ■
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