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an-. -'.i«1X..D«ABONNBMBNT:r: Par aat Panr a meli
Italie et Colonies halieuneB * . ^ u . L. tO,-
Etranger . -, < . , . . . ^ . . 24,- 12,- .... .
Plusieurs abonnements à la même adresse . . 22,- . i,
On ■’abonne, à Torre Pellice, au Bureau d’Administration de l’fcfto (Via Wigram, 2) - Dans toutes les Paroisses, chez MM. les Pasteurs. 'T'
PARAISSANT CHAQUE VENBBEDI
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i-jti"?'"' \vj- ;'',;i?7
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L'ABONKBMBNT se SAYB J>*AVANCe. . ^
S’adresser: pour la Rédaction, à M. It Prof. Louis Micol v Tom Peiiire >— pour
I’Adminhitratien, au Bureau du journal, Via Wigram, N° 2 - Torre Pellice.
' Pour toutes les annonces s’adresser an Bureau du> journal.
Tous les changements d’adresse coûtent 90 centimes, sauf ceux du commencement de l’année.
Le munéco: 25 eenttmei'
Que toutes les choses vraies, honnêtes, justes, pures, aimables*», dignes de louange, occupent vos pensées (Philipp. IV, 8).
District des Vallées Vandoises.
La XXX'^ Conférence àu District
s'ouvrira,^ ■£>., V»., à : L<^ Tmrf : h ..lOï jmn
prochain, à 9 h. 30, par un culte pruMîc
présidé par le pasteur doct. Albert iHcca ;
les travaux seront ceux prévus par Var^
tide 54 des règlements.
MM. les Présidents des Consistoires sont
priés d’envoyer le Rapport annuel à M. L.
Marauda (Pîgnerol) et le « Résumé » à
M. R, Rivoira (Saint-Jean) avant le
31 courant.
Le 10 mai 1937.
La Comrdsdon de District.
promesses.
Je répandrai mon Ssprif sur
fouie créature ; vos fils ei vos
filles prophêiiseronf ; vos vieil-^
lards auront des songes^ ei vos
jeunes gens des visions...
Joël II, 28.
£a premile PenteeSte.
Xe jour de la peniecôie, ils
étaient tous réunis. Ziout à coup
il vint du ciel un bruit pareil à
celui du vent qui souffle avec
impétuosité ; ii remplit toute la
maison où ils étaient assis...
Dis furent tous remplis du
Saini-Ssprii.
Actes II, 1 et 4.
£’éternelle Pentecôte.
Vérité stupéfiante : notre vie
si médiocre, si imparfaite, est
visitée par le souffle de Jjieu,
fournit à l'’€sprif du Seigneur
Jésus une nouvelle occasion de
se manifester au sein de rhumanité moderne.
Georges FulHquet.
J>our la vie intérieure
L« lien.
« Eevêtez-Aîüus de la charité, qui
est le lien de la perfection >.
Col. m, 14.
La charité, à n© pas confondre ni avec
l’aumône ni avec l’amour, natureil, est la
source de toutes les vertust; elle les contient comme le germe contieint l'arbre;
e|le est toute la morale chrétienne., Nous
énumérons et claasifloMs les vertus, mais
chacune d’elle n’est, au fond, qu'un aspect, une manifestation de la charhiê.
«Appliquez-vous à nourrir dans votre
cœur la charité, écrivait Calvin, qui est
le principe de la vraie compassion, de la
vraie bonté, de la vraie patience... ». Sans
la charité, même,*telle vertu qes^ràit de
l'être. PKîSéz à la sincérité sans diaritSê ;
déjà l’apôtre exhortait à professer la vérité dans la charité pour éviter la dureté,
la bru/talité parfois de la franchise. Pensez à la justice sans la charité. Quiconque
n’est pas charitable n’est pas juste, disait Vinet, non seulem«it parce que la
charité eSt justice, mais parce qu’elle est
une lumière qui nous fait voir tout ce qui
est contenu dans la justice. De même
qu’une invisible et mystérieuse force intérieure unit et vivifie les innombrables
fragments dont l’arbre se compose, de
même la charité lie les vertus en vivante
unité, après les avoir produites et perfectionnées.
« « H:
L’intérêt, le plaisir, la patrie, la langue, la religion, la race sont de puissants
liens qui unissent les hommes entre eux.
Ixî lien parfait c’est la charité. Dans l’es-'
pace, il unit tom les hommes. Et s’il est
vrai que nous souffrons plus d’un accidjent
d’auto où quatre de nos connaissances ont
perdu la vie, que d’une famine qui a tué
un million de chinois, cela n© dépose pas
contre la charité, lien universel, mais'oontre le cœur humain dont la capacité
d’amour est toujours limitée. Dans le
temps la charité unit pour toujours les
hommes. Tout lien ayant son fondement
dans l’utËitarisme ou le sentimentalisme
se relâche inévitablement et finit par se
briser. Seul le lien de la charité résiste à
-A ■
raction du temps et dés forces adverses.
Le mot de Louis XIV : « Mon fils, il n'y
a plus de Pyrénées », devient de jour en
jour'moins vrai, car de nouvelles monta'.gnes surgissent quotidiennement à sépa' rer encore l’humanité déjà si fractionnée.
SH * *
' L’homme naturel est à Dieu ce que le
' màj est au bien. Parce que l'homme est
i %oïsme qui exclut tout amour, et Dieu
est amour qui exclut tout égoïsme. Le
point de contact entre Dieu et l’homme
slâtahlira donc sur la base de la charité.
* Mais la charité est le fruit d’un « nouveau » cœur, lequel est un don de Dieu
, en et par Jésus-Christ.
• A toi, ô Dieu, cause et objet véritable
I de notre charité, notre cœur monte. Et
toi,'* ô Notre Père qui es au cieux, produis
. qt reniouvélle en nous cette charité qui
t est "la vie de l’âme et l'âme de la vie,
i afin que, dans l’union avec les frères et
' avec toi, nous parvenions à la perfection.
, R.
___V'
Xe cœur des Jdères.
(Quoique en retard, « L’Écho » n’ayant pas paru la semaine dernière,
nous voulons consacrer une pensée aux Mères, en publiant les lignes
suivantes).
Jamais, dans le monde où nous sommes, — et vous pouvez prendre tous
les textes sacrés et tous les produits de l’art — vous ne rencontrerez un
chef-d’œuvre qui égale le cœur maternel. Celui-là, c’est Dieu lui-même qui
l’a créé. C’est un chapitre sculptural et vivant du grand livre d’humanité
dont toutes les Bibles ne sont que de pâles copies. Le cœur de la mère, quelle
merveille! Ni les soleils levants, ni les majestés de la création, ni la douceur
des regards d’étoiles dans la nuit, n’ont parlé à l’humanité comme le cœur
de la mère. j
Le cœur de la mère connaît la plus grande de toutes les Joies : l’enfant
aimé, l’enfant souriant, l’enfant bien portant. Le cœur de la mère est le
symbole de l’immense tendresse créatrice de Dieu inclinée sur les germes de
la terre. Mais, si la mère peut connaître la Joie la plus grande, la Joie de
contempler un être qui est germé de son être, nourri de sa substance, elle
peut éprouver l'immense douleur que lef'^ieil écrivain sacré a comparée à la
morsure d’un glaive, de voir souffrir l'enfant, chair de sa chair, mais chair
plus sensible que la sienne propre. Doits aucune balance de la terre on ne
pourra peser cette douleur maternelle, Eve penchée sur Abel, Rachel pleurant
ses enfants et ne voulant pas être consolée, Marie, mater dolorosa sur le
Calvaire. Ce sont des formes diverses de la même peine qui tord le cœur
des mères.... '
Quand tous désespèrent, la mère, non pas. Elle garde une lueur au sein
des ténèbres. Des centaines, des milliers d’hommes ont été abandonnés par
les médecins, par l'espérance, même de ceux qui les aimaient le plus, mais
par la mère, non pas. Il y a dans l’amour de la mère, quelque chose de
divin qu’elle tient de la source éternelle. En Dieu chaque être est une espérance — une espérance de Dieu ne peut pas périr. Dans le cœur de la mère,
quand bien même il y aurait beaucoup d'erreurs et d’ombres, quelque chose
de l’espérance divine est présent. A la racine de l’amour maternel se trouve
le pressentiment de la qualité de la vie, de son droit à la persistance, la
certitude qu’il y a en nous un principe qui ne saurait être aboli, à travers
même les ravages de la destruction, de la maladie et de la mort. Et c’est
cette foi qui en a tant sauvés, même en cette vie. Des mères ont accompli
de véritables miracles de tendresse, de sympathie, de simplicité, de persévérance, qui ont éloigné la mort.
SS—^
C. WAGNER.
---—S)
Les ricliesses do ebrétten.
Nous ne sommes pas de ceux q]ui dédaignent trop facilement l’argent en. fiftee du'
monde, quitte à le convoiter dans le secret de leur cœur. Au contraire, nous reconnaissons que l’argent nous est indispensable dans Ijes circonstanees actuelles
de la vie ; il est un moyen de subsistance,
quelque chose qui nous sert, mais qui ne
doit pas être servi et, à moins qu’il ne
parvienne d’une source moraleim)a(nt corrompue ou diabolique, un talent que Dieu
nous accorde et dont noua pouvons faire
un usage largement béni pour nous et
pour nos frères. Mais, quoi que le monde
en pense, l’argent n’est pas tout ; il
n’eSt même, parfois, rien du tout ou, ce
qui est pire encore, il ^t un danger, un tourment, unie idole, une ruine;
en tout ■cas, il a toujours une valeur bien inférieurjei à celle que le monde
lui attribue, comme s’il n’y avait rien de
plus noble et de plus précieux sur la
terre, comme si la, Bible ne nous indiquait
pas les vraies richesses du chi'étien.
» * *
On nous a dit, maintes fois, que l’homme riche dont parle la parabole évangélique (Saint-Luc XII, v. 17 à 21)-, était
insensé parce qu’il fondait sa Vie Sur des
biens matériels, sans égard ni à Dieu ni
à son âme qui, d’un instant à l'autre, pouvait lui être redemandée. Mais parce que
nous n’apercevons pas une vraie ressemblance, entre cet homme et nous (qui, en
effet, s’estime riche ? tous ne se plaignent-ils pas de leur pauvreté?), il nous
arrive d’oublier l’exhortation finale d© la
parabole, qui Se résume en ces mots :
SOYEZ RICHES EN DIEU, ou bien POUR
DIEU ! Ce qui signifié que Dieu étant notre plus grand Bien, nos désirs, nos pensées, nos efforts et notre volonté doivent
tendre toujours davantage vers Lui. II
est notre richesse, notre « souverain bien »,
comme disait le psalmiste ; donc rien, dans
notre existence, et surtout pas notre argent, ne doit Lui être préféré. H doit occuper en nous la première place. Plus que
tous. Il nous est nécessaii;e ; notre vie dépend de Lui et non pas de nos possessions
terrestres. H ,est notre Père céleste, donc
nous devons tout d'abord nous confier e,n
Lui, d’une foi qui donne la paix à l’âme,
la victoire sur le mal, la consolation dans
les épreuves, la certitude du céleste héritage. Avec Dieu, fussions-nous dans la
pauvreté, nous ne serions pas ,oncore véritablement pauvres ! Enfin, comme disait
Bossuet, « faisons de Dieu et de sa bonté
notre unique trésor. C’est ce trésor-là
dont on n© peut trop jouir ; c’est ce trésor-là où il n'y a jamais rien à épargner,
parce que plus on l’emploiq, plus il augmente ».
* !ft w
Dans une autre occasion Jésus^Christ a
parlé des vraies richesses : c’est quand il
exhortait ses auditeurs à se faire des
« TRESORS DANS LE CIEL» (Saint-Matthieu VI, v. 20).
S’il est des déclarations de Jésus que
nous n’aimons pas beaucoup entendre,
parce qu’elles sont trop tranchantes, trop
absolues, ou bien parce qu’eUes dévoilent
notre naturelle avarice et notre matérialité, celle-ci en est une. Il suffit de parler
des « trésors dans le ciel » pour que beaucoup de gens vous tournent le dos et sou
il
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L’Echo des Vallées
Gonnnissione FiDanziaria
PRO EMERITAZIONE.
{Sedicesima Lista),.
Signore e Signori :
Dott. A. Ribet, Massello (*) L.
Famiglia Ayassot, Chabriols
in memoria di P. Gay »
Matilde Gay, in memoria Id. »
Emilia e Evelina Gay, Pinerolo »
Schreiber Armando, Id. »
Fajniglia Bertalot, anziano', Id. »
Pons Carlo, Id.
Grill Carlo, Pigrosa Argentina
N. N., Firenze
César de Matteis, Genova
Elisa De Fabiis, Roma
In memoria del dott. Rodolfo
Steiner, un amico, Bergamo
»
»
»
»
»
100,—
25,—
50,—
20,—
50,—
150,—
10,
50,—
50,—
100,—
500,—
20,—
* * Hi
(Diciassettesirm Lista).
Signore © Signori ;
Maria Guigou, Torino L. 20,—
Fiertz Guglielmo, junior, To-
rino » 50,—
Weigman-Tiegler Nanny e av-
vocato Massimo- (*) » 500,—
Pons Carlo, Torino » 100,—
Davit Fulvio » 25,—
N. N., Prarostino » 100,
rient, comme si vous plaisantiez. Et pour-”-;
tant, quoique cette exhortation'* puisse
être gênante, elle s’impose, comme un, de^“‘ |
voir, à la conscience et au cœur de tout ’>
|i chrétien. « Amassez-vous des trésom dans
^ , lè^ ciel » ! C'est-à-dire occupez-vous d’amasser ce qui se'racporte à votre félicité étert^He : n’épuisjez pas v<® forces, votre intelligence, vos aiFections dans lep choses
destinées à la vie d’icii-bas, mais occupezvous, tout d’abord, de l’éternité. Ce qui ne
veut pas dire que chacun de nous ,ne doive
plus ni travailler, ni pianser à 'l’avenir, ni
pourvoir à ses besoins ; la vie alors serait
impossible. Mais plutôt que chacun de
nous, au milieu des activités, des jouissapoe(S, du travail journalier, sache élever
son cœur En-haut, au-dessus de ce qui
se voit et se toucha Qu'il ne considère
plus^ la vie uniquem,Qnt du point de vue
de l’argent, mais du point de vue du-ciel
et des trœors célestes. Qu’il mette toute
son affection et son espérance en ce qui
se nomme pardon, réconciliation avec
Dieu, salut et gloire éternelle. Qu’il s’y attache forteqjent ! Car à ce que l’on tient
pour un trésor, on attache son cœur et
on donne sa vie. Si c’est Dieu et les trésors célestes, nous sommes heureux; «si
c est quelque chose de mortel, que la
rouille, que la corruption, que la mortalité consume sans cesse, notre trésor nous
échappé et notre cœur demeure pauvre et
épuisé ».
3: % ,f;
Enfin, n’oublions pas que «c’est la BENEDICTION DE L’ETERNEL QUI ENlUCHIT J» (Prov. X, 22). Non pas, tout
d abord, les louanges, les honneurs, les tré
sors, l’approbation des hommes ; non pas
notre fatigue, notre effort matériel, notre
habileté, plus ou moins honnête, dans le
commerce, notre savoir faire ; non, mais
tout d’abord la bénédiction de Dieu.
N était-ce pas elle que los anciens patriarches invoquaient sur leurs enfants ?
N est-ce pas elle^ que Dieu promet et accorde aujourd’hui encore à ceux qui Taim^t ? N’est-ce pas elle que nous devons
rechercher, sachant que les autres choses
nous seront données par dessus ? Alors
vivons en nous, avec nos frères et envers
Dieu, manière digne de la bénédic
tion q^i’Eternel ! Parce que bénis, nous
serons aussi enrichis. Quand je pense que '
c est pour de Fargent que des hommes se
chicanent, se tourmentent et se ruinent ;
quand je reconnais que, souvient, c’est lui
seul la cause de nos convoitises, de nos
maux, de nos mauvaises actions et de notre incrédulité, je me dis : Que Dieu nous
déhvre d’un tel esclavage, qu’il nous aide
à éteviSr le corps et Tâme vers Lui et à
chercher les vraies et durables richesses !
E. Rostan.
m
14 Max 1937-XV
«S'; AU.
i r . PRO COLLEGIO.•
(Sedicesima Lista). Signore e Signori; V, . j,
■ Dono di amici svizzeri, in seguito a conferenza pastore
Maurizio Gardiol, a mezzo
A. Jalla L. 100,
Giuseppe Ceseri, Firenziet ‘ » 20,
Pons Carlo, Pinerolo » 10,
Mario, Lisa, Marcella Decker,
in memoria del loro padre
Cafb Decker (*) » 1.000,
« « ili
(Diciassettesima Lista).
Signore e Signori :
Pons Carlo, Torino L. 100,
Pons Evelina, Id. » 50,
Davit Fulvio » 25,
N. N., Prarostino » lOO,
h
? ;
I— «
SETTIMANA DI RINUNZIA.
NB. Le offerte contrassegnate con asteri
SCO (*) sono in titoli di Stato.
CHRONIQUE VAUDOISE
ANGROQNB. Le 27 avril, à l’Eïssart,
est née Odette Pons d’Onesio. Le 2 mai,
aux Malan, est née une petite Ne0y, dixième fiUe d’Henri Bertot. Nous félicitons les
parents et nous souhaitons une longue vie
chrétienne à ces enfants.
★ Le 29 ayril,. dans le temple du cheflieu, a été célébré l|ei mariage de Jean
Etienne Bonnet feu Etienne avec Célestine
CMavia feu Jean. Nos meilleurs vœux à
cette nouvelle famille.
★ Dimanche prochain, le culte au Serre
est suspendu. Il y aura les deux cultes au
Pradutour et au chef-lieu, et nous nous
préparons à participer en grand nombre
à la Sainte-Cène. Nos sœurs voudront aussi
profiter de ces occasions solenneffeB pour
porter le costume vaudois.
★ Nous rappelons aux parents que les
cultes des eçifants continueront au cheflieu, au Serre et au Marttid, jusqu’à la fin
de mai. R. N.
BOBI. Le 4 mai, à l’âge de 82 ans. Constance Pontet, du Payant, a fini sa course
terrestre. Nous exprimons aux parents
notre sympathie.
★ Le dimanche 9 mai, nous avons reçu
la bonne et agréable visite des Unions
Féminines de Villesèche, dirigées par
M. Janavel. Merci encore.
★ Nous avons baptisé, dernièrement ;
Guido Rostagnol de Paul et de Madeleine
Jourdan (Malpertus) ; Paid Geymonat dq
Joseph et d’Anna Pontet (Centre); Albert
Charbonnier d’Albert et d’Anne Berton
(Absès); Paul Navache de Joseph et de
Pauline Catalin (Pidou); Sûvio Negrîn de
Joseph et de ConStancq Durand-Canton
(Centre). R.
*
LA TOUR. Nous avons eu le plaisir
d’avoir au milieu de nous'M. le pasteur
G. Miegge, agent de la Société Bibliquie
de Rome. Il nous a donné, dimanche soir,
une très intéressante conférence sur l’œuvre qu’accomplit dans le monde la «Librairie de Dieu ». Nous le remercions de
sa vidte et lui sommes reconnaissants de
la soirée qu’ü a voulu nous consacrer, au
cours de laquelle, et devant un nombreux
public, il a tracé, entre autre, un encouragqant tableau de la vente de la ÎBible en
Italie.
★ M. Théophile Muston, de l’Envers des
Bruns, est mort dans des .circonstanqee
particulièrement douloureuses. Nous sympathisons de tout cœur avec la veuve, qui
s’est vue plongée soudainement dans un
deuil tout à fait inattendu ; dans sa profonde angoisse, nous tenons à l’assurj^r
que la grande famille paroissiale Fentoure
a!vec affection; surtout elle sait que le
Seigneur de toute consolation vraiment efficace est avec elle pour la fortifier dans
son épreuve.
★ « IN MEMORIAM ». M.me Eisa et
M. Rodolphe Rollier, fleurs en somwenir
de leur beUe^sœur M.me Marie RotlîerViffne :
Pour l’Hôpital de t-a Tour L. 100,—
» les pauvres de l’EgMse
de La Tour » 100,—
» le Refuge Roi Charles
Albert » 100,—
» l’Asile des Vieillards de
Saint-Jean » 100,__
Í
Franco et Paolo Rollier, fleurs en scruvenir de leur chère tante M.me Marie Roilier-Vigne ;
Pour l’Orphelinat de La Tour L. 100,—
MASSEL. Dans ces derniers temps, à
deux reprises nous avons dû prendre la
route du cimetière pour y accompagner la
dépouille mortelle de Catherine Tron, du
Robers, et de Madeleine Brmza, du Didier. Nous exprimons encore aux famiUes
affligées toute notre sympathie chrétienne.
★ Favorisés par un temps splendide,
nous avons eu, le jour de l’Ascension, notre bazar annuel, qui a très bien réussi.
Nous sommes reconnaissants à tous ceux
qui ont concouru à cette bonne réussite.
NEW-YORK. Rejnontant quelque peu
en arrière pour notre chronique, nous tenons à relever le fait que le 21 février,
tandis que nous fêtions (nous qui écrivons ces lignes), le «XVII » avec nos frèrœ de Philadelphie, c’est le doct. Jervis,
da Thiefis, N. Y., qui nous a remplacé sur
la chaire, à New-York. L’aide qu’il conti'nue à donner à notre œuvre, quoique ne
demeurant plus au milieu de nous, est vivement appréciée.
★ Le 31 mars, s’éteignait, pour cette
terre, à Fhôpi'tal de Englewood, N. J., Catherine Jourdan née Malan. Elle était entrée dans sa 64'= année. Veuve de David
Jourdan de Palisades Park, elle connut des
jours pénibles tant au point de vue de sa
santé qu’au point de vue économique. Mais
elle avait des amis, de bons amis qpii l’ont
suivie de près jusqu’à la fin, tels que M.Ue
Ijombardo, de La Tour.
★ Chez .nous aussi, les cultes des Rameaux et de Pâques ont attiré de magnifiques assemblées. Pour êtrei juste, il nous
faut ajouter que ceux des deux dimanches
suivants présentèrent, hélas ! le revers de
la médaille.
Aux Rameaux, nous reçûmes quatre jeunes gens qui aVaiqnt fréquenté, durant
trois ans, nos classes d’instruction religieuse et de français. A Pâques, le nombre des participants à la Sainte-Cène fut
bien réjouissant.
Aux deux occasions, notre Société de
Chant exécuta de beaux chœurs à quatre
voix.
★ Le 4 avril (le premier dimanche de
chaque mois notre culte est en langue italienne), nous eûmes parmi nos auditeurs
deux anciens membres de l’Eglise Vaudoise de Naples : une mère eit sa fiUe.
Etant allé leur rendre visite quelques
jours après, un après-midi, voici ce que
cette mère, haute de taiUe et à l’attitude
énergique, nous raconta : « Ce n’est que
peu de temps avant que je vinse en Amérique pour y rejoindre mon mari et d’autres membres de ma famille, que j’embrassai officieUfement la religion de l’Evangile. (Et cela disant, elle me montra
un Nouveau Testament que lui avait
donné le pasteur Moreschini, au nom de
l’Efelise). Mais mon mari est de cette foi^
depuis nombre d’annéjes. A vrai dire, il
est devenu quelque peu, et même très
indifférent, dans ce pays-ci. Il faudra
qu|0 vous lui parliez, Monsieur le Pasteur... Il accepta l’Evangile à Naples peu
après notre! mariage. C’en fut assez pour
que mon père, à Ischia (je suis native dè
cette île), ne voulût plus le voir. Enfin,
un beau jour, heureusement, la réconciliation se fit. Savez-vous comment ? Grâce
(Qtdnta LisiUi).
'Chiesa di Firenze (Via Man- r* ,
zoni) L. 2.661,85
» » PescoiaJiciano e diar
spora » 368,— "
» » Taranto » 400,—
» Grottaglie » 54,» » Messina (2° vers.) » 515,—
» » Milano, saldo » 30,» » Catania, saldo » 100,—
» » Fqilonica Po » 302,—
» » S. Lucia » 90,—
» » Mantova » 151,50
» » Venezia » 569,30
N. N., Brindisi » 10,Sciascia Augusto, Agrigento » 30,—
Forneran M. ved. Rostagno » 10,Levi Rostagno, Torino » 10,Fh-csa di Torino (2° vers.) » 2.560,—
■ ..
au prêtre local qui tint a mon père le raisonnjettnent que voici 'J Don **• mais dites-moi : votre gendre s’est-ü fourvoyé ^
évangélique ? est-il devenu un
-, mari infidèle, ou un mauvais gendre ?
— Oh, pas du tout ; c’est plutôt le contraire qui est vrai.
—- Alors ? Après tout, la religion d’un
homme est sbn affaire à lui, c’est une
chœe personnelle.'..
Et elle ajouta, les larme® aux yeux : Ces
jours-là, dans la lutte, mon mar;î était fervent pour sa religion ; aujourd’hui, celle-ci
ne semble plus rien lui dirja!».
Au même culte, nous fûmes réjouis par
la présence de M. et M.me Annibali-Deoker, résidant à Forest HiUs, L. I.
★ Le 8 avril, sous les auspices de notre
Société de Chant, a été donnée une soirée
dramatique-musicale dont le programme
et son exécution ont pleinement satisfait,
semble-t-il, la très nombreuse assistance.
Jamais, peut-être, nous n’avions été, en
pareils entretiens, honorés par tant
d’étrangers. De quelles nationalités ? Suisses et Valdôtains.
★ Il n’y a que deux jours, le 25 de ce
mois (avril), M.lle Elfi Jahier d’Henri Ernest et d’Albertine Trop, s’unissait en
mariage avec M. Sebastiano Burdi, dont
les parents Sont originaires de Bari : 1®
Nord et le Sud qui s© donnent la main,
créant ainsi une température moyenn;e! ;
idéale donc. En tout cas; notis la souhaitons telle, et de tout cœur, à nos jeunes
époux. P, G.
PARIS. CoUecte de la Colonie des Vaudiois de Paris, à la fête du 17 février :
a) Pour l’Orphelinat, L. 90.
'b) Pour la Semaine de renoncement,
L. 90.
c) Pour la Société d’histoire vaudoise,
en souvenir de M. le prof. Jahier, L. 40.
PERRIER-MANEILLE. Le 2 courant,
nous avons accompagné au champ du repos la dépouille mortelle de Madeleine
Pons née Breuza, du Serre, de Maneille,
âgée de 60 ans. Elle a supporté avec soumission chrétienne, pendant longftenips^
une pénible maladie qui lui avait presque
'Entièrement ôté la vue. Nous exprimons
à sa famille, tout© notre sympathie.
PRALI. Comme il avait été annoncé, le
vendredi 23 avril dernier, nous avons eu
la visite de M. le Modérateur, qui a pastsé
une bonne partie de la journée chez nous,
s’intéressant paternellement à toutes les
activités de notre Eglise. A la tombée de
la nuit, il adresse son message à l’assemblée qui, avec un groupe de Roudourins
bondait notre temple. II nous apporta
aussi de bonnes nouvelles de nos Eglises
de l’Evangélisation et il accorda la parole
à six de nos paroissiens, qui désiraient
lui dire quelquq chose de notre travail ecclésiastique. Nous remercions encore chaleureusement notre cher Modérateur pour
sa bienfaisante visite et nous l’accompagnons par nos prières.
★ Nous ayons su qu’à raidi du jour de
l’Ascension, un bon groupe de parents et
d'amis — à les « Alpi » — offraient un
dîner aux quatre soldats de notre com
' mune, de retour de l’A. O. I. Nous remercions le Seigneur d’avoir reconduit ces
militaires sains et saufs au sein de leurs
familles.
★ Dans l’après-midi du même jour, nous
avons eu notre bazar avec buffet, qui a
très bien réussi grâce au travail et à la
générosiité de plusieurs personnes. Nous
sommes reconnaissants à Dieu et nous remiercions cordialement M.me Edina Comba
©t toutes les personnes de notre paroisse
ou non, qui ont concouru au bon résultat
de notre vente de bienfaisance.
★ Dimanche, 9 mai, nous avons fêté
nos Mères par un culte spécial le matin,
et dans l’après-midi par un© petite fête, à
'laquelle soixante^huit sœurs prenaient
part. A cette réunion de l’après-midi, nous
eûmes une partie religieuse, une partie
intellectuelle, à laquelle une grand’mère
prit une part active, et ensuite M.me Cresson distribua la fleur traditionneUja aux
mamans qui ne l’avaient pas eue, le matin, en sortant du culte, parce que absen-
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L’Echo des ^Vallées - Vendredi 14 Mai 1937-XV -
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tes, et à toutes tmé'tasse de chocolat avec
quelques tranches de pain spécial.'^''' j
★ Lei dimanche 25 avril, a eü lieu Fein
sevelissemient de notm frère «Barbo»
Phüîppe Pascal feu Abel, de la Mayère,
âgé de 87 ans. Nous renouvelons nos condoléances à la famille en deuil, . .
PBAMOL; Le deuil a, dernièrement,
frappé deux famiUiés de notre paroisse.
Notre frère Jean Jacques Jahier, des BouchardiS, et la petite ^fant Ida Beux dé
Barthlg'emy et de Sylvie Jahier, des Beux,
ont été rappelées par Dieu ; l’un à l’âge
de 86 ans, après une longue infirmité,
l’autre à l’aube de sa vie. Nous renouvelions âlOx éprouvés nos sentiments de sympathie chrétienne.
★ Notre temple, qui n’est pourtant pas
délabré, se trouve cependant dans la nécessité de subir, le plus tôt ipvossible, quelques urgentes réparations. Toute maison
d adoration, quoique modeste, doit avoir
un aspect propre et digne de son nom;
c’est tout à fait ce que le Consistoire de
Pramol désire réaliser avec le concours et
l’appui matériels de ceux qui voudront
bien lui donniqr une preuve de leur attachement et de leur intérêt. Enfin,'- pas
n’est besoin d’un long discours pour susciter la générosité à l’égard d’un si noble but ; et nous croyons que tous lœ Pramollins et les amis de Pramol nous en donneront une preuve tangible, ]ën envoyant
bientôt leur offrande au Pasteur. Dès à
présent, merci !
PBAB1TST1N. Dimanche, 9 courant, dans
le temple bien rempli, a eu dieu la confirmation de 30 catéchumènes. Que Dieu leur
soit en aide pour qu’ils puissent être fidèles aux promesses qu’ils ont faites.
G. R.
ROBÀ. Dimanche, 2 mai, dans l’aprèsmidi, malgré une pluie battante, un nombreux public se réunissait au presbytère
pour rendre leS honneurs funèbres à la
dépouille mortelle de M.U,e Emma Bertalot, ta,nte du Pasteur, et qui pendant
trente ans avait été la collaboratrice, humble et fidèle, de M.me Louise Geymet, à
Carema, dans la VaTée d’Aoste, qt ensuite
à Felónica Pô>, dans la province de Mantoue.
Les bons Rorengs ont bien voulu unir
abondamment leurs larmes à celles de la
fajiTiüe de leur Pasteur, qui a pu expérimenter qu’au momeoit de l’épreuve,
l’amour et la .sympathie fraternelle sont
quelque chose de merveilleux.
M. B. Gardiol, pasteur émérite, prêta
généreusement son assistance au collègue
en dquü en présidant le culte du matin,
l’école du dimanche, et en participant à
la célébration du service funèbre.
SAINT-GERMAIN. A la célébration du
baptême du petit Nino, qui eut lieu dimanche, 15 avril, les parents Oreste Bleynat et Pauline Comba ont promis d'élewr ],eur enfant dans la foi chrétienne.
Que Dieu bénisse ce foyer !
★ Beaucoup de parôissiens ont voulu
monter (ou descendre) au Ciampèt,
Taprès-midi de l’Ascension, pour une réunion en plein air.
Le temps splendide, le site tranquiie et
reposant et surtout le. message de la Parole de Vie ont réconforté nos âmes.
Après le culte, la jeunesse s’est encore
arrêtése deux heures au Ciampèt pour
chanter et jouer.
★ La fête des Mères a été céHébrée dans
le temple, dimanche dernier, par un culte
émouvant et bienfaisant. Les enfants ont
offert à leurs mamans les fleurs let Ijeis
baisers, qui témoignent de leur reconnaissance.
Après le sermon, leg élèves d© l’écoSe.
du dimanche ont chanté à deux voix, sous
la direction du Régent, VHnm aUa Madré,
de P. Bosio.
La ca’lecte pour l’Orphelinat de La Tour
<a donné 70 lires.
SAINT-JEAN. Nous avons célébré, le
9 mai, le dimanche de la Mère. Au culte
principal, la Chorale a ^écuté itn chant
préparé tout exprès sous la vailante direction de M. G. Albarin. L’après-midi,
«ne véritable fête était offerte aux Mères
de la paroisse par TUnion des Jeunes Filles et l'UhÎDn^Caidiette.’ Aux Présidentes
de ces deux Unions, à M.lles Et, Marauda et I. Malanot, à toutes leurs coHaboratrices nos sincères remercîments,
★ Mardi, 11 mai, a été béni le mariage
de M.De lÂna Agli, des Fraches, et
M. Aldo CoÎsson-, du Malanas. Afix heutreux époux, nos rp'effleurs vœux.
★ Asile des Vieillards. Nous accu«>ns
réception, avec gratitude, des dons suivants : M.me et M. Giulio Goss, ingénieur,
L. 50 - M.me Emma Turin, en souvenir
du comm. L. Bounous, 25 - M. Robert Reviel, 1.500. 1
VILLESÈOHB, C'est dans lie but de fai,nëi
mieux connaître les Vallées à nos paroissiens que dimanche dernier, 9 courant,
nous avons organisé une promenade au
Val Pélis, dont nous gardons un beau souvenir. Après im court arrêt à La Tour,
nous avons assisté au culte au ViUar, où
nous avons reçu un chaleureux accueil de
la part de M. et M.miei Jahier et d’un cer-:
tain nombre de paroissiens. ,,
Dans Taprès^midi, poursuivant vers
Bobi et Sibaud, M. Jahier, qui nous acoompagnait, évoqua des épisodes du glorieux passé, dont ces différents endroits
avaient été témoins ; particulièrement solennels furent les instants pai^és à Sibaud.
De retour à Bobi, M.m© Ricca, aidée
par quelques dames et demoiselles, nous
avait préparé une agréable surprise qui
fut fort goûtée par tout le monde ; on se
sépara à regret, après ces quelques instants d’agréable entretien.
A La Tour, accompagnés par le prof,
M. Th. Pons, on visite encore le Musée
Vaudois et l’on retourne enfin, e|i passant par Pignerol, où plusieurs désirent
saluer M. et M.rpq Marauda, dont la paroisse garde tin souvenir reconnaissant.
A toutes les personnes^ qui nous ont si
gentiment accueillis, nous exprimons notre reconnaissance en leur disant au-revoir au Clos.
★ Nous remercions TétudÎanlt M. Peyrot, du Crieuset, qui a remplatié le Conducteur de la paroisse, au culte du dimanche matin.
★ Lundi matin, 10 courant, notre sœur
Judith Michelin née Bounpus, entrait '
dans son repos, à Tâge de 65 ans. Pendant quinze années de pénible maladie,
toujours supportée avec résignation et
avec foi, notre sœur a rendu un lumineux
témoignage de la puissance de Dieu qui
s’accomplit dans la faiblesse. Ceux qui
Tont approchée garderont longtemps le
souvenir d’un td témoignage...
A la famille en deuil, nous redisons notre .sympathie chrétienne.
““ Pra del Tormo
Annunziamo che domenica 6 giugno, alle
ore 20.30, avrà luogo njeilla sala sinodale
, della « Casa Valdese » la seduta anniversaria di detta Società. Fin da ora invitiamo
il pubblico ad intervenire nuimeroso. Tale
riunione sarà seguita da colletta in favore delle Missioni. Il Presidenté. .
Notre sympathie à M. le pasteur H. Geymet, de Rorà, qui vient de perdre sa tante,
décédée à la suite d’urie longue et pénible maladie, à l’âge de 48 ans.
Ü! * «
Le 24 avril, à ViUa Mirasolê (Mainate),
M.Ue Gabrielle Dreher, fille aînée de feu
M. Dreher, épousait M. Titta Buffo, junior.
Nous n’avons pas oublié la large bienfaisance ¡dxereée par la famille Dreher, au
profit des œuvres de notre Eglise, et nous
souhaitons ■ aux heureux époux une vie
longue et bénie.
« FIORI » in memoria del compianto professore D. Jalmr, per la Società di
Studi VaMesi » :
Siig. Renzo Rivoira, Luserna San
. Giovanni L. 20,—
Coniugi Peranzoni, Id. » 10,—
Cav. Magg. Carlo Eynard,
R. Console^ Torre Pellice » 50,—
A.UX C«
its.
E. R. Reçu la méditation et l’artide. Merci
teaucoup.
J. H. M, Bien reçu. Merci. Continue.
E. G. Merci pour la méditation qui paraîtra prochainement.
—ilMHBlIIIBil '
Il m.'
Comme annoncé dans l’Echo précédent,
le « Convegno » traditionnel des Unions
Chrétiennieis a eu lieu à Ba Sea de La Tour,
par unie radieuse journée, qui a tout de
suitle répandu dans les cœurs beaucoup de
joie. Joie de se retrouver entre amis dans
le magnifique cadre de la nature ; joie de
oonterapler nos chères montagnes encore
couvertes de neige à travers le clignottement des sapins : sans un nuage, dans
toute leur grandeur évocatrice.
A 10 heures, la grande assemhée de jeunesse se réunissait fiddement pour le
culte : environ 250 jeunes gens çA
jeunes fiüas, unissant leurs voix joyeuses
dans le chant des beauxJiymnes de notre
Recueil.
Très approprié le choix du texte du pasffeur émérite, M. Revel — au ’ Plsaump
CXXI — qui a fait ressortir en peu de
miûts l’impression de force suscitée par la
montagne, qui pousSe l’homme à s’élever
toujours plus haut, guidé par un besoin
instinctif de purification. Mais ila riiontagnie nous tend des pièges, de nombreuxohstacles, des abîmes, il y a des dangers
à chaque pas : çommie dans la vie de chaque jour. D'où viendra le secours ? Point
de doute ni d’hiésitation ! Le ^ours
« vient de TEternal qui a fait les cieim
et la terre ». C’est Lui qui nous gardera
de tout mal.
M. Robert Jahier, auquel nous sommes
felconnaisBants d’être arrivé au rendezvous suivi d’un nombreux groupe de jeunesse, nous a ensuite entretenus avec sa
simplicité habituelle, mais si efficace, sur
quelques pensées suggérées par le récit
de (l'Ascension. Il eist souvent poignant,
et nous le savons tous par expérience, de
sq séparer de chers amis, même si ce n’est
pas pour un adieu définitif, et à plus forte
raison nous pouvons comprendre quel devait être le déchirement des apôtreis vu
qu’il s’agissait de Jésus. Lep vraies amitiés sont celles qui nous poussent à l’Ascension, à regarder en-haut, non pour nous
faire oublier la tâche d’ici-has, quand la
séparation douloureuse nous atteint, mais
pour la transfigurer.
J’ai fait aTusion à la jeunesse du Villar,
mais je dois aussi mentionner cele tout
aussi nombreuse de La Tour, Saint-Jean,
Saint-S|econd, Pignerol, qui, cette dernière,
a bravé bien des kilomètres à byciclette,
pour être solidaire avec les autres Unionistes. Il y manquait, hélas ! parmi les autres, ceux de Turin, mais la personne qui
les représentait les avait tous dans le
cœur, et compte dès à présent sur liâur
présence compacte au prochain « Convegno », car : 1’« Union fait la force », chers
amis, ne l’oublions pas !
Parmi la jeunesse de La Tour, nos chères orphelines, mignopnes' et souriantes,
toutes parées de gentianes, cueillies très
tôt dans la matinée, mettaient dans la
nombreuse assemblée une note de douceur et de poésie.
Apr^ le culte du matin, la jeun,epse
s’est retrouvée encore une fois, sous le
même bosquet de sapins, sur la même
motte de terre ! pour écouter avec un
grand recueillement les discours du professjgjur A. Jalla et du pasteur Robert Jahier. Ce dernier a été appelé à se prodiguer, mais nous .sommes sûrs qu’il ne le
regrettera pas, et certes... nous non plus !
Le prof. JaUa, avec sa compétence habituelle, a rappelé les souvenirs historiques des monts et des lieux environnante,
et M. Jahier nous présente la leçon de fidélité et d’union qui se dégage des pages
les plus douloureuses de notre histoire —
il paraît quje ces souvenirs sont rappelés
souvent — mais qu’importe ? Il est bon
que la jeunesse «’Oublie pas l'héroïsme
de ses ancêtres, et se rappelle leur fidélité
à l’Evangile.
Des jeux, des chants bien choisis et bien
dirigés, ont terminé cette magnifique journée unioniste', laisssant dans les cœurs de
toute l’assistance un souvenir bienfaisant.
m.. t.
Fêt« de Gbant des Ecoles do Dimanche.
»'• ■ 'I 1 ■ ‘-ïh '
Cette fête devient toujours plus populaire et sympathique. Pour le Val Pélis,
elle s’est déroulée la jeudi 29 avril, dans
le temple de La Tour. La joumlee est merveilleuse, aussi vers 10 heures le temple
qe( remplit d'environ six cents enfants et
d’une centaine d’adultes, au bas mot,
*M. Jules Tron, pasteur de La Tour,
pr^de, et donne la bienvenue à la jeune
assistance. î
Le programme se déroule piendant presque deux heures, et l'on entend des chants
âtensemble et dés chants particuliers à
chaque école du dimanche, choisis dans le
recueil français ou dans l’Irmarîp.
Les enfants ont pu jouir aussi d'un beau
morceau d’orgue, eadécuté par M. le prof.
A. Tron.
Le programme musical a été agrémenté
par quelques discours.
M. le pasteur Ricca, de Bobi, a illustré, la valeur des paroles d’un cantique:
« Tiens-moi dans ta présence ».
M. le pasteur R. Jahier a appelé l'attention des auditeurs sur la valeur de Yharmonie ©t étudié les conditions pour la réaliser.
M. le chev. Héli Long, qui avait dirigé
les chants d’ensemble, termina par des
remerciements à l’adresse de l’Eglise de
La Toux et de son Pasteur, ainsi qu’à tous
ceux qui ont contribué à la réussite et à
l’agrément de la belle fête enfantine.
FMon dii lu leiisst ynudiilse.
Depuis qu’il existe un Comité de Fraternité Interdénominationale (composé de
MM. P. Bosio, pour les Vaudois ; L. Vergn.ano, pour les Méthodistes Wesleyens ; et
J. Rivera, pour les Baptistes) nous avons
eu chaque année une rencontre fratemleitle
dans la vaste Vallée du Pôl. Il y a trois»
ans, c’était à Vicobellignano, sur les bords
du grand fleuve ; il y a deux ans, à Brescia ; Tannée dernière, à Parma ; et le
21 avril dernier, la rencontre a eu lieu à
Felonica Pô, localité bien connue aussi aux
Vallées.
Nous nous y sommes-rencontrés — délégués plus ou moine nombreux des Unions
Vaudoises de Santa Lucia di Quistello,
Mantova, Brescia, Bergamo, Venezia; des
Unions Wesleyennes d|© Parma, Mezzano
Inferiore, Carràra ; et Baptistes de Ferrara — une cinquantaine environ du dehors, à qui nos frères de Felonica ontffait
un accueil vraiment fraternel.
Le suj|S[t qui devait être traité dans
cette rencontre était celui de « la vie spirituelle » : M. Z. TonareUi, pasteur baptiste
à Ferrara, a parlé « de la nécessité, pour
la jeunesse de ,soigner le développement
die la vie spirituelle ». M. G. Ferreri, pasteur wesleyen à Parme (en remplacement
de M. Argentieri),, « des difficultés que le '
monde oppose à ce développement ». M. A,
Comba, pasteur vaudois à Bergamo, «des
résultats d’un effort persévérant ». Cette
étude a pris toute la matinée ; Tapr^midi devait être occupé par une excursion, mais le terrain ,n’étant pas suffisamment sec, on a préféré sp réunir de nouveau dans l'église où MM. L. Vergnano,
Z TonareUi et le doct. E. Meynier nous ont
donné de bons messages.
L'assemblée, très nombreuse, a répondu
aux discours par des chants enlevés avec
entrain et avec joie. Sur les visages souriants ©t dans les yeux brillants, on lisait
clairement lés sentiments que le psalmiste
exprime par ces paroles : « Oh ! qu’il est
agréable, qu’il est doux pour des frères de
demeurer ensemble ! ».
Avant de se dire « Au revoir », TUnion
die la Jeunesse Vaudoise de Felonica a encore voulu nous offrir un excellent goûter
pour nous fortifier avant le long voyage
du retour.
A. M. E. Ayassot, qui dirige Téglise de
Felonica Pô et qui a organisé la journée
dans tous ses détails, ainsi qu’à M.me Ayassot et à TUnion de la Jeunesse d|ei Felœ
nica, nous exprimons notre vive reconnaissance. Arstaldo Comba.
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/.•'j^:>/V>^.r *> :•’ «^it.'jain.u.Ml' f .... rill'll II''MI'lili
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Sp€í<Szioal n Jb«|;dgHo^ <H piceöfl
animali vivi sulle Ferrovie dello Stato.
.Àl^ ftné <ii agewWhe ìÌ' ««nriiercio' dei
pipcoli animali viviì, *'è stata recentemente
ammessa -la spedizione a b^aglio suiQe
. Ferrovie dello Stato di piccoli animali vivi
(àie prima né èrano espusi, e ’cioè del poilamé, dei conigli, degli "àgnaHini e di altri simpi, ànimali. ' A
PÌui;icialari facÒitazioni'sono state’itìdtre accordate per le spedizioni di cui trattasi, eseguite in destinazione deUle località per lé quiali è consentito il rSascsio degli sigiali bigliétti di andata e ritorno
^r fierie e mercati. In questi casi lo speditore, yèi^ semplice presentazione dello
speciale biglietto di andata e ritorno e del
big^lietto di abbonamento, benefìcerà della
esenzione delle tasse di porto e df disirtlezione (pagando soltanto un diritto fisso
di L. 1) se trasporto non supera i kg. 10
e, se li supera, pagherà le tasse di porto
sul peso diminuito di kg. 10^ senza pagar«
quelle di disinfeziona
I trasporti di animali vivi per fiere e
mercati fruenti di tali agevolazioni non
possono però essere inoltrate con le automotrici nè coi treni leggeri.
COMUNE 01 TORRE PELtICE.
Italo Givlle dal 26 Aprila al 9 Maggio 1937-IY,
Nascite N® 4 — Decèssi N® 1
inflhliH: WWb Taoloitn.
REFUGE.
Roberto e Bianca Steiner-Stampa, Bergamo, L. 50 - Norina Frizzoni, Id., 25 Ester Revel-Ayassot, La Tour, 10 - Romano Giovanni, pasteur émérite. Id., 10 Moreno et Bleiker, Id., 100 - Doct. et Madame Albert Schnek Guy, Berne, à l’occasion de leur visite, 20 - Pasteur Pfisterer, Bischofszell, 50 - Rosa Caffari-Steiner,
Bergamo, 50 - Maria Steiner, Id., 100 Jahiér Giacomo, La Tour, 15 - Jahier Eh',
pasteur émérite, Id., 20 - Phyllis W.
Goodhart, New-York, 100 - Lidia e Anna
Viicîno, La Tour, 10 - Alddphje et Lidia
Comba Id., 30 - Valdensian Presbyterian
Church, a mezzo rev. Silvano Poët, Chicago, 200-Coïsson-Mathieu, missionàri, 15.
HOPITAUX.
Giacomo Bernard, Porharet, L. 20 - Costantino Francesco, Perosa, 10 - Grül Edmondo, podestà, Prab, 10 - Garrou Francesco fu Francesco, Id., 5 - Romano Giovanni, pasteur émérite, La Tour, 20 - Ester Revel-Ayasssot, Id., 5 - Garrou Enrichetta, Rodoret, 10 - Farmacia Pozzo, Perosa, 10 - Margherita Coucourde, Pomaret,
5 - Rostan Giovanni Stefano, ex-podestà.
Frali, 10 - Union Chrétienne Coppieri,
La Tour, 25 - Eli Jahier, pasteur émérite,
Id., 20 - Adolfo et Lidia Comba, Id., 30.
ORPHELINAT.
Henri Peyrot,^ Turin, L. 50 - Ester ReveLAyassot, La Tour, 15 - Union Chrétienne Coppieri, Id., 25 - Eli Jahier, pas-'
teur émérite, Id., 20 - Union Chrétienne
Chabriols, Id., 25 - Adolfo e Lidia Comba,
40 - Charbonnier Sam., Bobbio PelJice, 4
Moreno et Bleiker, La Tour, 100 - Romano Giovanni, pasteur émérite, Id., 10 Jahier Giacomo, Id., 15 - Ester RevelAyassot, 15 - Berti n-MicbelinhSatomon,
Vülar, 10 - Roberto .e Clelia PeUenc, Torre
Pellice, 50 - Fomiaron ved. Rostagno, Prarostino, 10 - Pietro Cattre, Torre Pellice,
20 - Charbonnier Samuele, Bobbio Pellice, 7.
« IN MEMORIAM » :
Pour le Uefiige Roi Charles-Albert :
Peyrot Elisa, à la mémoire de
son mari le maresciallo Antonio Peyrot L. 100,
Rosa Maria e Anita Lamberti,
Taranto, à la mémoire de leur
chère mère » 20,
EmeStine L. P^risç, Wa^iàg:- tel
ton, « à la rñémbíbe dè
_ c^ra mère» , ' 200,—
tìcét.. Triade Î*eriob Bergîutté, §
« in memonam » de 'son ■
épouse bien-aiméei
' Pour l’Hôpital du Pomaret ;
Faüiiilite >Pastre-Rey, di Poma-'"
1-14 ' Mai 19d7-AV M • >«' - --V ‘
«H
retto, à la mémoire de éôïi
cher mari ét pèrè
5o;—
Pour les Hôpitam ;
10,—
A la mémoire de Ribet Luigi,
la marrain« Ribet Sevtìrina »
Paschetto Caterina e consorte,
Torre Penice, à la mémoire
de Pons Barthtìemy » 15,
TERRAINS EN VENTE
JalM Traa. «rMtaar-vwwMaM*
Twn e«IHu • fcewHiiierle Alato* a A.
L’Aïïoctto gTEFAIIO PEÏR0T
riceve in TORRE PELLICE
Via Roma, 9 — ogni giorno feriale
dalle ore‘ lo alle 1«.
I
4'
Pour l’Orphelinat ;
Gày Margherita, La Tour, à là,
mémoire de Libero Gay » 12,—
Henriette Dajmas, qn souvenir de son très cher papà » 20,—
A, et C. Peter Romano, Perosa, à la mémoire de leur
onde, le pasteur Giovanni
Romano » 50,^—
Prof. Teofilo Pons, La Tour,
à la mémoire de Louise Mathieu » 25,—
A. C. D. G. de Saint-Sqcond, à
la mémoire d’Ernest Gardiol » 50,—
A la mémoire du pasteur Paolo
Gay, Robert Jahier, Villar » 10,—
Donna Virginia Agnelli, Torino, in memoria della signora Matilde Ribet-Turin » 50,—
Famille Pastre-Rey, du Pomaret, à la mémoire de leur
bien-aimé mari et père » 50,—
Matilde Gay, Villar Pellice, in
memoria di Paolo Gay » 20,—
Ed. e Marta Richard-Romano,
Cairo d’Egitto, in memoria
del loro zio pastore Giovanni
Romano » 50,—
Paschetto Caterina e consorte,
Torre Pellice, in memoria di
Pons Bartdomeo » 15,—
Fleurs à la mémoire de M.me Rollier
Vigne:
Pour l’Hôpitcd Vaudois de La Tour :
linpii^ati Ilpac, Milan L. 100,—
Fratelli CiiwLIa, Id. » 100,—
Capom. Binda, Id. » 100,—
Capom. Mantelli e Risari, Id. » 100,—
Cav. Oreste Vitale, Id. » 200,—
Gonfalonieri Emilio, Id. » 150,—
Barbieri & Borelli, Modena » 100,—
Dott. Piacentini della Ditta
Buzzoni, Ferrara » 200,—:
N. N., Milano » 100,—
Personale della Ditta A. Rollier & C., Id. ^ » 600,—
Pow VOrphdirmt :
Roberto e Pia Isenburg, Mi- •
lano » 50,—
L’Administration remercie sincèrement
les amis fidèles qui n’oublient pas nos
Œuvres de Bienfaisance. Elle sympathise
avec les familles éprouvées par le deufl,
qui, en faisant du bien aux pauvres, honorent la mémoire de leurs bien-aimés.
Pour VAdmimstratim :
des Institutions Hospitalières Vaudoises:
Le Président : Aw. Stefaiîo Peyrot.
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